country:paraguay

  • Paraguay : au sujet des émeutes à Asunción
    https://nantes.indymedia.org/articles/37406

    Des manifestants ont pris d’assaut et incendié le Parlement dans la nuit de vendredi à samedi 1er avril à Asunción, capitale du Paraguay. La raison de leur colère est un amendement qui permettrait au chef de l’État d’enchaîner les mandats. Ce texte a été écrit par des anarchistes sur place.

  • Le Conseil adopte onze résolutions dont cinq sur les droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés
    ​Conseil des droits de l’homme de l’#ONU, le 24 mars 2017
    http://www.ohchr.org/FR/NewsEvents/Pages/DisplayNews.aspx?NewsID=21445&LangID=F#sthash.ZKaoENC8.dpuf

    Concernant la #Palestine :

    Par une autre résolution sur les droits de l’homme dans le #Golan syrien occupé (A/HRC/34/L.11), adoptée par adoptée par 26 voix pour, 3 contre (États-Unis, Royaume Uni et Togo) et 18 abstentions, le Conseil se déclare profondément préoccupé par les pratiques israéliennes dans le Golan syrien occupé, telles qu’elles sont décrites dans le rapport du Secrétaire général soumis à la présente session du Conseil.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (26) : Afrique du Sud, Arabie saoudite, Bangladesh, Bolivie, Brésil, Burundi, Chine, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Ghana, Inde, Indonésie, Iraq, Kenya, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Philippines, Qatar, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (3) : États-Unis, Royaume-Uni et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (18) : Albanie, Allemagne, Belgique, Botswana, Congo, Croatie, Géorgie, Hongrie, Japon, Lettonie, Pays-Bas, Panama, Paraguay, Portugal, République de Corée, Rwanda, Slovénie et Suisse.
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    Par une résolution visant à « Faire en sorte que les responsabilités soient établies et que justice soit faite pour toutes les violations du droit international dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est » (A/HRC/34/L.38), adoptée par 30 voix pour, 2 contre (États-Unis, Togo) et 15 abstentions, le Conseil invite instamment tous les États à promouvoir le respect du droit international et invite instamment toutes les Hautes Parties contractantes à la quatrième Convention de Genève à respecter et à faire respecter le droit international humanitaire dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (30) : Afrique du Sud, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Ghana, Indonésie, Iraq, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (15) : Allemagne, Albanie, Croatie, Éthiopie, Géorgie, Hongrie, Inde, Japon, Kenya, Lettonie, Pays-Bas, Panama, Paraguay, Rwanda et Royaume-Uni.
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    Par une résolution sur le « droit du peuple palestinien à l’#autodétermination » (A/HRC/34/L.39), adoptée par 43 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 2 abstentions (Panama et Paraguay), le Conseil confirme que le droit de souveraineté permanent du peuple palestinien sur ses richesses et ses ressources naturelles doit s’exercer dans l’intérêt du développement national et du bien-être de ce peuple et dans le cadre de la réalisation de son droit à l’autodétermination.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (43) : Afrique du Sud, Albanie, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Géorgie, Ghana, Hongrie, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Lettonie, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Royaume-Uni, Rwanda, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (2):Panama et Paraguay.
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    Aux termes d’une résolution sur la situation des droits de l’homme dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est (A/HRC/34/L.40), adoptée par 41 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 4 abstentions (Rwanda, République du Congo, Panama et Paraguay), le Conseil se déclare profondément préoccupé par la situation des prisonniers et des détenus palestiniens, y compris des mineurs, dans les prisons et les centres de détention israéliens.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (41) : Afrique du Sud, Albanie, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Côte d’Ivoire, Croatie, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, Éthiopie, Géorgie, Ghana, Hongrie, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Lettonie, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Royaume-Uni, Slovénie, Suisse, Tunisie, Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (4) : Congo, Panama, Paraguay et Rwanda.
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    Par une résolution intitulée « Colonies de peuplement israéliennes dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et le Golan syrien occupé » (A/HRC/34/L.41/Rev.1, oralement révisée), adoptée par 36 voix pour, 2 contre (États-Unis et Togo) et 9 abstentions, le Conseil décide de tenir, à sa session de septembre 2017, une table ronde sur « les activités de colonisation israéliennes dans le Territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est », et demande au Haut-Commissariat de consulter les États et l’ensemble des parties prenantes.

    Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (36) : Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Bangladesh, Belgique, Bolivie, Botswana, Brésil, Burundi, Chine, Congo, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, El Salvador, Émirats arabes unis, Équateur, , Éthiopie, Ghana, Inde, Indonésie, Iraq, Japon, Kenya, Kirghizistan, Mongolie, Nigeria, Pays-Bas, Philippines, Portugal, Qatar, République de Corée, Slovénie, Suisse, Tunisie et Venezuela.

    Les États suivants ont voté contre (2) : États-Unis et Togo.

    Les États suivants se sont abstenus (9) : Albanie, Croatie, Géorgie, Hongrie, Lettonie, Panama, Paraguay, Rwanda et Royaume-Uni.
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    Remarque : on voit que la politique d’#Israfrique commence à porter ses fruits avec le #Togo qui vote systématiquement pour israel...

    Et pourquoi la France ne vote pas ?

  • J – 105 : Ciné-club au Kosmos , cycle Cinéma-parano , ce soir Ces garçons qui venaient du Brésil ( The Boys from Brazil ) de Franklin J. Schaffner, avec comme intervenant, non pas une personne pour nous parler du film en cinéphile, mais un spécialiste du génome humain, généticien, Jean-François Deleuze, qui vient nous parler au contraire de l’angle scientifique de ce très étrange récit de science-fiction nazie.

    Il n’y a pas grand-chose à retenir de cet épouvantable nanar d’un autre âge, dont l’admirable distribution pouvait laisser espérer bien mieux, Gregory Peck, en vieil homme refusant les insultes de l’âge, dans le rôle de Josef Mengele, Laurence Oliver, un peu décati, qui joue le rôle d’un Simon Wiesenthal fictif, James Mason en ancien officier de la SS et Bruno Ganz, tout jeune, en généticien bienveillant qui intervient trop tard dans le film pour le racheter complètement, et dont l’intervention ressemble un peu à celle décalée de Henri Laborit dans Mon Oncle d’Amérique d’Alain Resnais. Le film enfile les perles de fantasmes à propos du Nazisme, allant jusqu’à donner crédit et corps à la démarche pourtant antiscientifique de Mengele à Auschwitz, imaginant qu’il y aurait posé les jalons de découvertes fracassantes de génétique au point de pouvoir, accrochez-vous bien, dans les années septante, au Paraguay, cloner, en une centaine d’exemplaire, Hitler lui-même, on n’ose imaginer à partir de quel fragment de l’oncle Adolf. Un vrai nanar de cinéphile. Et j’ai eu un petit accès de rire quand au générique est apparue la mention que toute ressemblance avec des personnes ou des faits avérés était fortuite. Sans déconner.

    Et franchement lorsque la lumière est revenue dans la salle j’en étais à me demander quelle mouche avait encore piqué Nicolas d’inviter un généticien de renom pour nous parler d’un tel navet. Et je le trouvais bien brave d’oser poser la question de savoir quel était, dans cet épouvantable navet à la si brillante distribution, sans parler de scènes de tournage dans quatre ou cinq pays différents, donc pas le film à petit budget, non un vrai grand ratage dans les grandes largeurs, quelle était donc, dans ce naufrage, la part de véracité scientifique ?

    J’ai bien cru que je n’étais pas complètement sobre quand notre généticien de renommée mondiale a répondu sérieusement que la partie scientifique du film était quasi irréprochable, parfaitement documentée, et complètement en phase avec les connaissances de l’époque et que certainement le film avait bénéficié d’un conseil scientifique très compétent et que les extraits de films qui étaient projetés par le personnage de chercheur en génétique interprété par Bruno Ganz dans ses explications à Herr Liberman (Laurence Oliver) étaient probablement d’authentiques films de laboratoire qui étaient par ailleurs parfaitement commentés. Notre généticien avançait cependant qu’il s’expliquait mal comment le personnage de Mengele dont il disait tout ignorer (apparemment en terminale il devait avoir de meilleures notes en sciences qu’en histoire) pouvait passer de méthodes qui consistaient par exemple en l’injection de solution de bleu de méthylène dans les yeux d’enfants juifs aux yeux marrons (fait historiquement avéré et qui laisse bien voir quel genre de scientifique sérieux était Mengele) aux expériences de clonage trente ans plus tard avec notamment cette préoccupation de recréer un contexte, un environnement, comparable à celui de la véritable biographie d’Adolf Hitler, choyé par une mère jeune et aimante, sans doute de trop, et ayant eu à souffrir le décès du père plus âge, quand il avait treize ans.

    S’en suivent des explications extrêmement désordonnées mais passionnantes (ça doit être à la fois génial et fatigant d’être l’étudiant de ce généticien à la pensée tellement profuse et qui part dans toutes sortes de directions simultanées, toutes productives mais pas toutes reliées entre elles) à propos de séquençage, de miniaturisation (j’aime beaucoup l’idée de fabrication d’organes humains à l’échelle de rats de laboratoire pour pouvoir tester différents traitements, en revanche je vis en cauchemar l’idée d’un cerveau humain miniature qui serait prisonnier d’un corps de rongeur, apparemment il y a encore quelques comités d’éthique qui trouvent à redire à ce genre de possibilités, mais pour combien de temps encore ?) de médecine prédictive, et même, même de stockage de données dans des échantillons d’ADN dans lesquels les ressources en matière de stockage paraissent presque infinies, apparemment ce seraient des milliers de films que l’on pourrait stocker (je n’ai pas bien compris comment, mais j’aime bien l’idée et je ne suis pas le seul dans la salle puisque Nicolas demande s’il serait techniquement possible de projeter le film qui serait obtenu par le séquençage de son ADN).

    On se quitte dans un froid mordant et pénétrant, je fais remarquer à Nicolas que parfois les rencontres de ciné-club avec un intervenant non cinéphile sont fort riches. Amical clin d’œil à ma déception s’agissant de Close Encounters With Vilmos Zsigmond . Ou encore que la qualité du film ne laisse rien présager de la qualité des débats d’après projection. Par exemple qu’on peut donc atteindre au sublime en terme de débat avec Ces garçons qui venaient du Brésil , vrai navet et avoir un débat désespérant après Otto e Mezzo (absolu chef d’œuvre), mais confiez les débats au désespérant Pacôme Thiellement et vous serez rentré tôt.

    #qui_ca

  • Et le #Paraguay découvrit le #libre-échange, par Renaud Lambert @renaudlambert (Manuel d’histoire critique, 2014)
    http://www.monde-diplomatique.fr/publications/manuel_d_histoire_critique/a53149 #st

    Quand il trouve porte close, le libre-échange sait s’imposer par les armes. Adepte d’un protectionnisme rigoureux, le Paraguay en a fait la douloureuse expérience entre 1865 et 1870, lors de la guerre de la Triple Alliance qui l’opposa au Brésil, à l’Uruguay et à l’Argentine. Financés par les milieux d’affaires londoniens, ces trois pays sont parvenus à le soumettre à l’économie-monde britannique.

    http://zinc.mondediplo.net/messages/47819 via Le Monde diplomatique

  • Déclaration de la Directrice générale de l’UNESCO sur la Vieille ville de Jérusalem et ses remparts, Patrimoine mondial de l’UNESCO | Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture
    14.10.2016 - UNESCOPRESS
    http://www.unesco.org/new/fr/media-services/single-view/news/statement_by_the_director_general_of_unesco_on_the_old_city-1

    Paris, 14 octobre – « Comme je l’ai rappelé à maintes reprises, et encore récemment à l’occasion de la 40ème session du Comité du Patrimoine mondial, la Vieille ville de Jérusalem est la ville sacrée des trois monothéismes, le Judaïsme, le Christianisme et l’Islam. C’est au titre de cette diversité et de cette coexistence religieuse et culturelle que la ville a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Le patrimoine de Jérusalem est indivisible, et chacune de ses communautés a droit à la reconnaissance explicite de son histoire et de son lien avec la ville. Nier, occulter ou vouloir effacer l’une ou l’autre des traditions juive, chrétienne ou musulmane revient à mettre en péril l’intégrité du site, contre les raisons qui justifièrent son inscription sur la Liste du patrimoine mondial.

    Nulle part ailleurs qu’à Jérusalem les traditions et patrimoines juifs, chrétiens, musulmans, s’imbriquent à ce point et se soutiennent les uns les autres. Ces traditions culturelles et spirituelles s’appuient sur des textes et des références, connus de tous, qui font partie intégrante de l’identité et de l’histoire des peuples. Dans la Torah, Jérusalem est la capitale du Roi des juifs David, où Salomon construisit le Temple qui abrita l’Arche d’Alliance. Dans l’Evangile, Jérusalem est le lieu de la passion et de la résurrection du Christ. Dans le Coran, Jérusalem est la destination du voyage nocturne (Isra) que le prophète Mohammed fit depuis la Mecque jusqu’à la Mosquée Al Aqsa.

    Dans ce microcosme de notre diversité spirituelle, des peuples différents fréquentent les mêmes lieux, parfois sous des noms différents. La reconnaissance, l’usage et le respect de ces noms sont essentiels. La Mosquée Al Aqsa / Al-Haram-al-Sharif, sanctuaire sacré des musulmans, est aussi le Har HaBayit – ou Mont du Temple – dont le Mur Occidental est le lieu le plus sacré du Judaïsme, à quelques pas du Saint Sépulcre et du Mont des Oliviers révérés par les Chrétiens.

    La valeur exceptionnelle universelle de la ville, qui lui a valu d’être inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO, tient à cette synthèse, qui est un appel au dialogue, non à la confrontation. Nous avons une responsabilité collective qui consiste à fortifier cette coexistence culturelle et religieuse, par la force des actes, et aussi par la force des mots. Cette exigence est plus forte que jamais, pour apaiser les divisions qui portent atteinte à l’esprit multiconfessionnel de la ville.

    Lorsque ces divisions rejaillissent sur l’UNESCO, une Organisation dédiée au dialogue et à la recherche de la paix, elles l’empêchent de mener à bien sa mission. La responsabilité de l’UNESCO est de faire vivre l’esprit de tolérance et de respect de l’histoire, et c’est mon engagement quotidien en tant que Directrice générale, auprès de tous les Etats Membres. Je m’emploierai à cette tâche en toutes circonstances car c’est notre raison d’être : rappeler que nous formons une seule humanité et que la tolérance est la seule voie pour vivre dans un monde de diversité. »

  • Du Paraguay au Brésil : l’impérialisme « new look » : les coups d’État « parlementaires » — Jean ORTIZ
    http://www.legrandsoir.info/du-paraguay-au-bresil-l-imperialisme-new-look-les-coups-d-etat-parleme

    Cachez ces objectifs d’hégémonie pour le pillage que l’on ne saurait voir !!
    Les hypocrites ! Ils ont trouvé en Amérique latine un artifice moins voyant que les Marines d’antan, les GI’s et les bérets verts d’autrefois, les troupes d’élite, la flotte et les porte-avions, les drôles de drones, les bombardements « chirurgicaux » sans anesthésie, l’artillerie lourde... l’impérialisme « hard » a troqué, pour l’heure, la canonnière et le « gros bâton », les centres de torture (ESMA, Villa Grimaldi...), les disparus, les « vols de la mort », pour « l’impérialisme soft » : les coups d’État « de velours », « pseudo-parlementaires », « pseudo-institutionnels », sur fond de travail de sape de la CIA, des fondations et agences subversives (NED, USAID), et de déstabilisation à vif des régimes progressistes d’Amérique latine, par la guerre médiatique, économique...

    #Brésil #Paraguay #Dilma_Rousseff #impérialisme

  • « Nous ne nous reposerons pas tant que nous n’aurons pas libéré tous nos prisonniers politiques » affirme Via Campesina
    https://viacampesina.org/fr/index.php/les-grands-ths-mainmenu-27/droits-humains-mainmenu-40/1350-nous-ne-nous-reposerons-pas-tant-que-nous-n-aurons-pas-libere-tou

    Au Brésil il y a 44 prisonniers politiques : 10 paysans et 34 indigènes. On a déjà utilisé la loi de sécurité nationale contre les mouvements sociaux et maintenant on utilise la Loi 12.850 qui se réfère aux organisations criminelles. C’est le cas du MST dans l’État de Goias. Valdir Misnerovicz et Luis Batista Borges sont détenus depuis avril et mai sur le fondement de la loi des organisations criminelles alors qu’ils défendent et revendiquent la réforme agraire au Brésil.

    Il y a des personnes criminalisées en France, en Espagne. La situation est très difficile au Paraguay, en Argentine et au Honduras. Les situations se ressemblent beaucoup : violences en manifestations, violences policières, emprisonnements, procès. Au Honduras Berta Càceres a été assassinée. Au Brésil Elton Brum dos Santos a été tué par la police d’un tir dans le dos.

    #prisonniers_politiques

  • Who really won the legal battle between Philip Morris and Uruguay?
    https://www.theguardian.com/global-development/2016/jul/28/who-really-won-legal-battle-philip-morris-uruguay-cigarette-adverts

    The question however is for whom is the system working? In investment arbitration cases, states never win. States can never file lawsuits against investors, so the best-case scenario for them is if the tribunal dismisses the investor’s accusations.

    In this case, although #Philip_Morris was required to contribute $7m for legal costs, #Uruguay will still have to pay a further $2.6m in financial costs and much more in terms of the non-material resources it has taken to fight this.

    [...] The arbitration panel’s decision to hear the case put a brake on the adoption of similar tobacco control measures in Costa Rica, Paraguay and New Zealand, among others.

    Moreover, the lawsuit may have encouraged legal threats and actions by other corporations, hopeful that they could secure either revision of government policies or financial compensation.

    #arbitrage

  • L’OMS veut enquêter sur des abus au droit à la santé en Israël
    L’Angleterre, la France et l’Allemagne font partie des 107 pays à avoir voté en faveur d’une enquête en Cisjordanie, à Gaza et sur le Golan
    Raoul Wootliff 26 mai 2016
    http://fr.timesofisrael.com/loms-veut-enqueter-sur-des-abus-au-droit-a-la-sante-en-israel

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé mardi à une enquête sur des abus présumés des droits à la « santé mentale, physique et environnementale » commis par Israël, le seul pays à être ainsi isolé par l’assemblée annuelle de l’institution des Nations unies.

    La motion, co-parrainée par le groupe des états arabes et les Palestiniens, mandate une délégation pour enquêter et rapporter les « conditions sanitaires dans les Territoires palestiniens occupés » et dans « le Golan syrien occupé », et place le résultat de cette enquête au programme de la réunion de l’année prochaine.

    Le rapport doit se concentrer sur « l’impact d’une occupation prolongée et de violations des droits de l’Homme sur la santé mentale, physique et environnementale ».

    Le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne faisaient partie des 107 pays qui se sont prononcés en faveur de la proposition pendant le rassemblement d’une semaine à Genève. Huit pays ont votés contre la résolution et huit pays se sont abstenus. Cinquante-huit autres pays de l’assemblée étaient absents pour le vote.

    Israël n’a été rejoint que par les Etats-Unis, le Canada, l’Australie, le Paraguay, le Guatemala, la Micronésie et la Papouasie Nouvelle-Guinée dans son opposition à la motion.

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    Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est, et dans le Golan syrien occupé
    Projet de décision proposé par les délégations du Koweït, au nom du Groupe arabe, et de la Palestine
    http://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHA69/A69_BCONF1-fr.pdf

    http://www.who.int/mediacentre/events/2016/wha69/fr

  • Paraguay battles over land rights in the courts and across the airwaves | Global development | The Guardian
    http://www.theguardian.com/global-development/2016/may/03/paraguay-battles-over-land-rights-in-the-courts-and-across-the-airwaves

    Carlos Goncalvez, director of the media pressure group DemInfo, explains why community radio stations are being targeted (pdf).

    “Cartes wants to shackle organisations that fight for the rural poor,” he says. “Community radios give marginalised rural citizens a voice. They inform them about their rights and the struggle for agrarian reform.”

    This struggle centres on land ownership: according to a 2008 farming census, 80% of Paraguay is controlled by 1.6% of the population. A third of the rural population live in extreme poverty (pdf).

    #terres #pauvreté #réforme_agraire

  • Comment des #Multinationales accaparent les savoirs des indiens d’Amérique du sud
    http://www.bastamag.net/BREVE-Comment-des-multinationales-de-l-agro-alimentaire-pillent-les-savoir

    Connaissez-vous la stévia ? Cette petite plante d’Amérique du sud a l’étonnante capacité de donner un goût sucré aux aliments, sans avoir les inconvénient du sucre, source d’hypertension, d’obésité ou de diabète. Cultivée depuis plusieurs siècles par le peuple guarani, qui vit des deux côtés de la frontière entre le Paraguay et le Brésil, la stévia connaît depuis quelques années un véritable succès mondial. La demande pour des produits naturels et sans sucre augmentant rapidement. On trouve désormais cet (...)

    En bref

    / #Amériques, La science au service des citoyens ?, Multinationales

    #La_science_au_service_des_citoyens_ ?

  • Global Zika update : Incidence, microcephaly and Guillain-Barré syndrome | Outbreak News Today
    http://outbreaknewstoday.com/global-zika-update-incidence-microcephaly-and-guillain-barre-synd

    The World Health Organization (WHO) released their Zika Situation Report Friday, which is chock full of interesting information, ranging from the incidence of Zika virus to microcephaly and Guillain-Barré syndrome (GBS) data.

    Between 2015 and 2016, 33 countries have reported autochthonous transmission- Barbados, Bolivia, Brazil, Cape Verde, Colombia, Curaçao, Costa Rica, Dominican Republic, Ecuador, El Salvador, Fiji, French Guiana, Guadeloupe, Guatemala, Guyana, Haiti, Honduras, Jamaica, Maldives, Martinique, Mexico, Nicaragua, Panama, Paraguay, Puerto Rico, Saint Martin, Samoa, Solomon Islands, Suriname, Tonga, United States Virgin Islands, Vanuatu and Venezuela.
    Brazil has reported by far the most cases, in fact, the outbreak got so large they stopped counting cases. Best estimates from Brazil health officials say there has been [between] 497,593 and 1,482,701 cases of Zika virus since the outbreak began.

    Dernier état de la situation de l’OMS, ici (actuellement, au 5/02/16)
    http://www.who.int/emergencies/zika-virus/situation-report/en

  • Un discours anticapitaliste venu du Sud - Le pape contre le « fumier du diable », par Jean-Michel Dumay (septembre 2015)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/09/DUMAY/53677

    Devant un auditoire dense réuni au parc des expositions de Santa Cruz, la capitale économique de la Bolivie, un homme en blanc fustige « l’économie qui tue », « le capital érigé en idole », « l’ambition sans retenue de l’argent qui commande ». Ce 9 juillet, le chef de l’Eglise catholique s’adresse non seulement aux représentants de mouvements populaires et à l’Amérique latine, qui l’a vu naître, mais au monde, qu’il veut mobiliser pour mettre fin à cette « dictature subtile » aux relents de « fumier du diable » (1).

    « Nous avons besoin d’un changement », proclame le pape François, avant d’inciter les jeunes, trois jours plus tard au Paraguay, à « mettre le bazar ». Dès 2013, au Brésil, il leur avait demandé « d’être des révolutionnaires, d’aller à contre-courant ». Au fil de ses voyages, l’évêque de Rome diffuse un discours de plus en plus musclé sur l’état du monde, sur sa dégradation environnementale et sociale, avec des mots très forts contre le néolibéralisme, le technocentrisme, bref, contre un système aux effets délétères : uniformisation des cultures et « mondialisation de l’indifférence ».

    En juin, dans la même veine, François adressait à la communauté internationale une « invitation urgente à un nouveau dialogue sur la façon dont nous construisons l’avenir de la planète ». Dans cette encyclique sur l’écologie, Laudato si’ (« Loué sois-tu »), il appelle chacun, croyant ou non, à une révolution des comportements et dénonce un « système de relations commerciales et de propriété structurellement pervers ». Un texte « à la fois caustique et tendre », qui « devrait ébranler tous les lecteurs non pauvres », estime la New York Review of Books (2). En France, 100 000 exemplaires de ce petit manuel se sont envolés en six semaines (3).

    Voir aussi « Changement de cap pour la conquête des âmes »
    http://www.monde-diplomatique.fr/2015/09/A/53717

  • L’Assemblée générale appelle à la reprise des négociations entre Israéliens et Palestiniens « fondées sur des éléments clairs et un calendrier précis » |
    24 novembre 2015

    Couverture des réunions & communiqués de presse
    http://www.un.org/press/fr/2015/ag11732.doc.htm

    L’Assemblée générale a adopté par 102 voix pour, 8 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et 57 abstentions, une résolution sur le Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien (A/70/L.10) par laquelle elle prend note du rapport annuel de ce dernier et le prie de faire participer les organisations de la société civile palestinienne et des parlementaires à ses travaux, afin de mobiliser le soutien de la communauté internationale en faveur du peuple palestinien, notamment en cette période critique, marquée par l’instabilité politique, les difficultés humanitaires et la crise financière.

    L’Assemblée note avec satisfaction les efforts de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) en vue d’établir un rapport sur les coûts économiques de l’occupation israélienne pour le peuple palestinien, appelant l’attention sur les constatations alarmantes du rapport intitulé « Rapport sur l’assistance de la CNUCED au peuple palestinien : évolution de l’économie du Territoire palestinien occupé ». L’Assemblée demande que tout soit mis en œuvre pour que les ressources supplémentaires nécessaires pour accélérer la mise en œuvre des activités décrites dans le rapport soient débloquées.

    Par la résolution sur la Division des droits des Palestiniens du Secrétariat (A/70/L.11), adoptée par 99 voix pour, 8 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et 59 abstentions, l’Assemblée prie le Secrétaire général de continuer à doter la Division des ressources dont elle a besoin. Elle invite tous les gouvernements et toutes les organisations à offrir leur concours à la Division dans l’exécution de ses tâches.

    Aux termes de la résolution sur le Programme d’information spécial sur la question de Palestine du Département de l’information du Secrétariat (A/70/L.12), adoptée par 155 voix pour, 7 voix contre (Australie, Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie et Palaos) et 7 abstentions (Cameroun, Honduras, Nauru, Paraguay, Soudan du Sud, Tonga et Togo), l’Assemblée générale considère que le Programme d’information est très utile en ce qu’il aide à sensibiliser la communauté internationale à la question de Palestine et à la situation au Moyen-Orient. Elle prie le Département de diffuser des informations sur toutes les activités du système des Nations Unies touchant la question de Palestine et les efforts de paix.

    Par la résolution sur le Règlement pacifique de la question de Palestine (A/70/L.13), adoptée par 155 voix pour, 7 voix contre (Canada, États-Unis, Îles Marshall, Israël, Micronésie, Nauru et Palaos) et sept abstentions (Australie, Cameroun, Honduras, Paraguay, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Soudan du Sud et Tonga), l’Assemblée générale souligne qu’il est urgent de préserver les chances d’aboutir à l’existence de deux États, Israël et la Palestine, vivant côte à côte dans la paix et la sécurité, à l’intérieur de frontières reconnues fondées sur celles d’avant 1967. Elle souligne qu’il est nécessaire de reprendre des négociations fondées sur des éléments clairs et assorties d’un calendrier précis et encourage les efforts résolus déployés par les membres du Quatuor, par la Ligue des États arabes et tous les autres États concernés. L’Assemblée demande qu’une conférence internationale soit organisée à Moscou, comme l’a envisagé le Conseil de sécurité dans sa résolution 1850 (2008), en vue de promouvoir et d’accélérer la conclusion d’un règlement juste, durable et global.

    #Palestine #ONU

  • A la Une : Mauricio #Macri, le nouveau #président_argentin - #Amériques - RFI

    L’Argentine et la victoire de Mauricio Macri au second tour de l’élection présidentielle qui met fin à la décennie « kirchnériste »

    « Macri s’est imposé et a mis fin à douze années d’hégémonie kirchnériste », titre La Nación. Mauricio Macri, ex-président du club de football Boca Junior et maire de Buenos Aires prendra ses fonctions le 10 décembre pour quatre ans. Il succède à Cristina Kirchner qui l’a appelé pour le féliciter et l’inviter dès demain à la résidence de Olivos. Cristina Kirchner a déjà commencé à faire ses adieux. Elle a prévenu qu’il ne faudrait pas remettre en question les avancées que son gouvernement a obtenues pour les Argentins, rapporte La Nación. Pour Página 12, Daniel Scioli « n’a donc pas réussi à rompre le maléfice puisqu’aucun gouverneur de la province de Buenos Aires n’a réussi à se faire élire président ». De son côté, Mauricio Macri « n’a pas appelé à la revanche, mais à l’unité », signale Clarín.

    Une victoire relevée dans la presse de l’ensemble du continent

    Mauricio Macri a été félicité par plusieurs présidents du continent, indique Página 12, dont la Colombie, le Paraguay, le Mexique, mais aussi les pays dits progressistes et désormais anciens alliés : le Chili, l’Equateur, la Bolivie et le Venezuela. Pour le Washington Post, le maire de Buenos Aires a été catapulté à la tête du pays en surfant sur une vague de mécontentement due à plusieurs scandales au sein du gouvernement, une économie faible et un nationalisme combatif.

    Selon l’éditorialiste d’El Pais d’Uruguay, cette victoire n’est pas le fruit du hasard. Macri a su tisser au fil des ans des alliances politiques qui lui ont permis d’accéder à la présidence du pays : une coalition avec Elisa Carrió de l’Alliance civique, qui s’était présentée au premier tour, et avec l’Union civique radicale qui a apporté à Macri un large soutien sur tout le territoire. Un triomphe fort de la victoire de María Eugenia Vidal dans la province de Buenos Aires lors des élections d’octobre, insiste El País, alors que cette province était un bastion du péronisme et semblait invincible.

    Le Venezuela perd un allié stratégique.

    Les relations entre l’Argentine et le Venezuela risquent de se tendre, car comme le rappelle 2001, Macri avait déclaré qu’en cas de victoire, il demanderait des comptes à Nicolas Maduro à propos des abus, des prisonniers politiques, de la participation de militaires dans le gouvernement et pour faire suspendre le Venezuela du Mercosur ; une promesse qu’il dit vouloir tenir lors du prochain sommet en décembre.
    Selon El País, la vague progressiste du continent semble « avoir commencé à se fissurer à Buenos Aires ».

    Mais le nouveau président devra nécessairement « négocier avec le Congrès », prévient O Globo ; il devra aussi forger des alliances avec les principaux dirigeants péronistes, ajoute La Nación . Macri devra mettre en place une dévaluation de la monnaie, assainir le marché des changes et lever les restrictions qui pèsent sur le commerce extérieur, avance le journal colombien El Tiempo.

    Les grands défis du nouveau président Mauricio Macri

    Mauricio Macri n’a pas la majorité à l’Assemblée nationale et encore moins au Sénat, insiste Clarín. La « révolution du bonheur » dont Mauricio Macri s’est senti investi à mesure qu’on approchait du second tour ne durera pas longtemps estime d’un ton sarcastique l’éditorialiste du journal de Rio Negro. « Les circonstances économiques provoquées par l’irresponsabilité du gouvernement sortant ne lui donneront pas le temps de profiter de cette lune de miel » poursuit-il.

    Selon Clarín, le nouveau président fait face à quatre défis majeurs : le ralentissement de l’économie mondiale, les déséquilibres de l’économie nationale, l’obstruction de l’opposition et l’inexpérience politique de sa propre coalition. Les grandes interrogations étant : est-ce que le président pourra faire passer ses réformes au Congrès, et est-ce que la rue le laissera les mettre en œuvre ?

    Heureusement, estime l’éditorialiste de Rio Negro, les partisans de Macri ne sont pas autoritaires ni illuminés. « Ce sont des centristes pragmatiques », assure-t-il, « qui veulent que l’Argentine soit assimilée davantage aux démocraties développées qu’à des pays ’bolivariens ’ comme le Venezuela, l’Equateur, sans parler de Cuba, qui ont servi de modèle au kirchnérisme » assène-t-il. Il faut désormais un changement soutenable, insiste pour sa part Clarín. Et Clarín de conclure : « à partir de maintenant le kirchnérisme n’est pas le problème, mais il faudra bien reconnaître qu’il a proposé la solution ».

    http://www.rfi.fr/ameriques/20151123-une-mauricio-macri-le-nouveau-president-argentin?ns_campaign=reseaux_so
    http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/ARGENTINA2-ELECTION_0.JPG

  • Stévia : une douceur au goût amer

    La stévia est présentée comme la dernière grande nouveauté en matière d’édulcorants. De plus en plus de produits « naturels » contenant de la stévia arrivent sur le marché. Pourtant, contrairement aux dispositions prévues par la Convention sur la biodiversité, les peuples Guarani du Paraguay et du Brésil, qui ont découvert les vertus édulcorantes de cette plante, ne bénéficient pas des retombées économiques de leur savoir ancestral. Un rapport de la Déclaration de Berne (DB) met en lumière la face cachée du marché de la stévia.


    https://www.ladb.ch/themes-et-contexte/agriculture-et-biodiversite/biodiversite/biopiraterie/stevia

    #stévia #peuples_autochtones #mondialisation #globalisation #privatisation #infographie #visualisation #coca-cola #propriété_intellectuelle
    cc @odilon @reka @louca @albertocampiphoto @fil

  • #Soja, #viande et #sucre qui nous arrivent du Brésil : « Tachés du sang de nos enfants » hurlent des tribus amérindiennes - RTL Info
    http://www.rtl.be/info/monde/international/une-agriculture-tachee-du-sang-des-enfants-indigenes-les-indiens-du-bresil-appel

    Les Etats-Unis, l’Asie et l’Europe doivent savoir qu’une partie du soja, de la viande et du sucre de canne qui leur parvient est tachée du sang des enfants indigènes. Continuer à les consommer, c’est entraîner plus de crimes contre nos peuples", a assuré à l’AFP Lindomar Terena, coordinateur de l’Articulation des #peuples_indigènes du #Brésil (#Apib).

    L’appel au #boycott, lancé il y a quelques jours, provient de six peuples indigènes, appuyés par des dizaines de mouvements sociaux, syndicaux et de l’église brésilienne ainsi qu’Amnesty International.

    Les Amérindiens demandent aux acheteurs étrangers de cesser d’acquérir, via des géants brésiliens comme JBS, Marfrig, Bunge ou encore ADM, des produits agricoles du Mato Grosso do Sul.

    ...

    Cette région, à la frontière avec le Paraguay, est le théâtre d’un conflit meurtrier entre les Indiens, notamment Guaranis, et les agriculteurs. Certains pâturages et plantations sont reconnus comme terres indigènes mais la justice tarde à y réintégrer les tribus.

    Condamnés à vivre au bord des routes ou dans des bidonvilles, certains Amérindiens réoccupent des territoires, ce qui fait monter la tension.

    Plus de 40 #assassinats d’indigènes ont eu lieu dans le Mato Grosso do Sul en 2014 d’après les chiffres de l’ONG CIMI, qui dénonce un « génocide ». Le dernier meurtre en date, celui d’un jeune leader guarani, remonte à fin août. Le taux de suicide dans cette population est par ailleurs l’un des plus élevés au monde, d’après l’ONG Survival International : 232 pour 100.000 en 2013.

    #terres #agro-industrie

  • Commerce des services (#TiSA) : Ce que l’#Uruguay peut, d’autres le pourraient…
    http://www.cgas.ch/SPIP/spip.php?article2977

    C’est avec une immense satisfaction que le Collectif Stop TiSA ! a pris acte de la décision du gouvernement de l’Uruguay de se retirer de la négociation actuellement en cours à Genève de l’ Accord sur le commerce des services, plus connu sous son acronyme anglais TiSA (Trade in Services Agreement).

    C’est parce que l’objectif primordial de TiSA – l’ouverture au marché privé de l’ensemble du #commerce des #services menace directement l’accès de l’ensemble de la population aux services essentiels, en particulier à l’#eau potable, aux #semences saines, aux soins de #santé – que le gouvernement uruguayen a pris cette décision.

    C’est sous la pression des organisations syndicales et des mouvements populaires opposés à la mainmise des #multinationales sur la satisfaction des besoins essentiels de la #population que le gouvernement de l’Uruguay a pris cette décision que nous saluons.

    Wolf Richter : Uruguay Does Unthinkable, Rejects TISA and Global Corporatocracy
    http://www.nakedcapitalism.com/2015/09/wolf-richter-uruguay-does-unthinkable-rejects-tisa-and-global-corpo

    TiSA involves more countries than TTIP and TPP combined: The United States and all 28 members of the European Union, Australia, Canada, Chile, Colombia, Costa Rica, Hong Kong, Iceland, Israel, Japan, Liechtenstein, Mexico, New Zealand, Norway, Pakistan, Panama, Paraguay, Peru, South Korea, Switzerland, Taiwan and Turkey.

    Together, these 52 nations form the charmingly named “Really Good Friends of Services” group, which represents almost 70% of all trade in services worldwide. Until its government’s recent u-turn Uruguay was supposed to be the 53rd Good Friend of Services.

    #ACS

  • Le Plan Condor en Amérique du Sud
    http://www.madaniya.info/2015/09/11/le-plan-condor-en-amerique-du-sud-ou-le-processus-de-fabrication-de-l-enn

    Il y a quarante ans était lancée officiellement l’opération Condor à Santiago du Chili. Les dictatures en place au Chili, au Paraguay, au Brésil, en Argentine, en Uruguay et en Bolivie mèneront de concert des actions clandestines contre leurs opposants. Mais en 1975, tout était déjà en place pour assurer une coordination des forces policières, militaires et de renseignement, comme le démontre l’enseignant-chercheur Gabriel Périès dans l’interview qu’il a accordée à Golias.

    Des liens inter-polices étaient affirmés dès 1905 durant la conférence de Buenos Aires, suivie d’une seconde en 1920 où apparaissent les notions de « délinquant subversif » et de « sécurité nationale », qui seront les piliers de la période des dictatures dans le Cône sud.

    Véritable multinationale de la répression, le Plan Condor se poursuivra jusque dans les années 1980. Il bénéficiera du soutien de Washington, de la CIA, des épiscopats et du Vatican. Les services de renseignement occidentaux apporteront leur appui, la France importera, à partir de 1956 en Argentine, les méthodes contre-insurrectionnelles utilisées durant la guerre d’Algérie, tandis que les dictatures espagnole, italienne ou portugaise emprisonneront ou exécuteront les militants expulsés dans leur pays d’origine après la conférence de 1920.

    Si cette coordination trans frontière est bien connue à partir de son inauguration, le 25 novembre 1975, on parle moins de la période qui l’a précédée. Sans doute parce qu’elle évoquerait des compromissions gênantes et plus encore mettrait le doigt sur la continuité d’un processus qui avance par étapes.

    Dans un texte rédigé à notre intention et publiée en annexe de ce document, Gabriel Périès livre une réflexion sur la transformation du régime politique français depuis 2008, sous la présidence Sarkozy, avec le Livre blanc de la défense qui entérinait la notion de sécurité nationale dans le cadre législatif français, et le retour de l’État au sein du commandement intégré de l’OTAN, dispositif transnational hérité de la guerre froide.

    En 2009, les débats sur l’identité nationale faisaient écho à ceux lancés par les militaires argentins sur ce qu’était l’identidad national, dans le cadre de la défense de la sécurité nationale et la lutte contre un ennemi intérieur.

    La loi de programmation militaire 2014-2019, Patriot Act à la française, marque une étape supplémentaire en élargissant les champs de la surveillance et du renseignement. Les accords qui ont conduit au Plan Condor en Amérique du Sud, interrogent aujourd’hui sur des dérives qui pourraient affecter les libertés individuelles et collectives et l’exercice de la démocratie.

  • #Déforestation : 18 millions d’hectares de forêts perdus en 2014
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/09/03/en-2014-la-planete-a-perdu-18-millions-d-hectares-de-forets_4744568_3244.htm

    La déforestation de la planète continue. Le recul de la couverture forestière dans le monde, en 2014, correspond à deux fois la superficie du Portugal, ou encore à celle du Cambodge ou de la Syrie, soit plus de 18 millions d’hectares (ou 180 000 km2), selon les données de l’université du Maryland, aux Etats-Unis, et de Google, publiées mercredi 2 septembre par la plate-forme Global Forest Watch.

    Cette diminution des forêts (définies comme un couvert végétal d’au moins 5 mètres de haut), qui représentent un tiers de la surface émergée de la planète, ne cesse de s’amplifier. L’année 2014 se révèle être, à l’exception de 2012, la plus mauvaise depuis le début du XXIe siècle. A chaque minute, ce sont quelque 2 400 arbres qui sont coupés. Et plus de la moitié des hectares de forêts perdus le sont dans les pays tropicaux.

    De nouvelles zones de recul apparaissent, comme dans le bassin du Mékong, principalement au Cambodge, en Afrique de l’Ouest (Sierra Leone, Liberia, Guinée…), à Madagascar, dans la région du Gran Chaco, en Amérique du Sud, plus particulièrement au Paraguay. « Cette nouvelle analyse indique une poussée vraiment alarmante de la perte de forêts dans des zones auparavant négligées », estime Nigel Sizer, directeur international du programme des forêts au World Resources Institute (WRI). Soixante-deux pour cent de la perte de couverture arborée en 2014 se sont faits, en zone tropicale, dans des pays autres que le Brésil et l’Indonésie, les deux pays les plus touchés historiquement par la déforestation ; contre 47 % en 2001.

    « Dans beaucoup de ces pays, l’accélération de la déforestation est due aux productions de plus en plus importantes de #caoutchouc, de #soja, d’#huile_de_palme et de #bœuf, analyse Nigel Sizer. Pour ralentir cette perte de forêts, nous devons améliorer la gouvernance forestière pour empêcher les défrichements illégaux, planifier de façon plus équilibrée l’utilisation des #terres et les demandes des grands importateurs, pour arriver à une production de produits de base durable. »

    #forêt

  • Un muro de 5 metros de alto y 1300 de largo separa a Posadas de #Paraguay

    La pared impide el ingreso de peatones a la cabecera del puente que une #Posadas con Encarnación; vecinos, comerciantes, ONGs, el Colegio de Arquitectos y otras entidades lo rechazan.


    http://www.lanacion.com.ar/1819973-un-muro-de-5-metros-de-alto-y-1300-de-largo-separa-a-posadas-de
    #mur #barrière_frontalière #Argentine

  • Paraguayan 11-year-old gives birth after pregnancy sparked abortion debate | World news | The Guardian
    http://www.theguardian.com/world/2015/aug/13/paraguay-11-year-old-gives-birth-abortion

    An 11-year old girl who became pregnant after being raped by her stepfather and was denied an abortion by Paraguayan authorities has given birth, in the culmination of a case which put renewed focus on Latin America’s strict anti-abortion laws.

    The girl, known by the legal pseudonym “Mainumby”, gave birth to a girl weighing 3.55kg (7.8lbs) at the Reina Sofia maternity hospital, a facility run by the Red Cross in Asunción, Paraguay’s capital. The baby was delivered by Caesarean section as a natural birth was judged to be too dangerous.

    suite à http://seenthis.net/messages/398303

    Et donc voilà, un article de plus qui se concentre uniquement sur le sort des #filles des #femmes que la #culture_du_viol, partout, meurtrit. L’#enfant a subi un #viol, l’#ivg lui est interdit. RIEN, absolument rien sur le #violeur, la volonté de prendre le mal à racine, le #sexisme, le #patriarcat, les #violences_masculines à l’égard des femmes. #as_usual

  • Asunción : Une fillette de 11 ans, violée, accouche au Paraguay - - tdg.ch
    http://www.tdg.ch/faits-divers/Une-fillette-de-11-ans-violee-accouche-au-Paraguay/story/13663786

    Une fillette de 11 ans, violée par son beau-père, a accouché jeudi 13 août à Asuncion, capitale du Paraguay, pays où l’avortement est interdit et où les grossesses de mineures sont nombreuses.

    Le Dr Dolores Castellanos, de l’Hôpital de la Croix-Rouge d’Asuncion, a précisé à l’AFP que la fillette se remettait normalement de l’accouchement par césarienne pour donner naissance à une fille de 3,5 kg. L’enfant a été baptisée Milagros (« Miracles » en espagnol).

    Et dans 11 ans la gamine sera violée par son père... On ne dit pas si le violeur a été inculpé #viols #culture_du_viol #ivg #patriarcat