country:roumanie

  • A L’EST, MAIN BASSE SUR LES TERRES - #Documentaires - France5
    http://documentaires.france5.fr/documentaires/lest-main-basse-sur-les-terres

    La demande en terres agricoles disponibles augmente sans cesse. Elle active un marché dont s’est emparé le monde de la spéculation, avec des priorités de rendement souvent bien éloignées des préoccupations liées à la sécurité alimentaire. Le phénomène touche essentiellement les pays du Sud, d’Asie, d’Afrique ou d’Amérique du Sud.

    Mais le mécanisme concerne également l’Europe. En Ukraine, des fonds spéculatifs investissent en masse dans d’immenses surfaces qui sont parmi les plus fertiles de la planète.

    En Roumanie, entrée dans l’Union européenne il a y un peu plus de trois ans, des fermes de plusieurs milliers d’hectares sont achetées par des investisseurs, souvent agriculteurs eux-même. Certains paysans français sont désormais attirés par les mirages agricoles de l’Est de l’Europe.

    « A l’Est, qui sème le blé, récolte le pactole ». Les terres deviennents sources de revenus et de bénéfices pour l’industrie de la finance. La déréglementation, la globalisation des échanges affectent tous les secteurs de l’économie mondiale et l’agriculture n’échappe pas à la délocalisation. Ce documentaire propose d’analyser les aspects économiques, sociaux et humains des bouleversements à venir.

    En suivant le parcours d’un agriculteur alsacien qui veut tenter sa chance dans les terres noires de Roumanie et des fonds d’investissement qui opèrent en Ukraine, l’enquête permet une réflexion sur la fin annoncée du monde paysan tel qu’il existe aujourd’hui, en Europe de l’Est mais aussi en France.

    #terres #agribusiness

  • Assez d’atteintes aux droits et à la dignité des personnes dans les préfectures :

    agissons ensemble !

    Dans le cadre des mobilisations pour que les étrangers soient reçus dignement dans les préfectures d’Ile de France

    Les organisations d’aide aux étrangers, confrontées quotidiennement aux conditions d’accueil et de traitement des dossiers réservées aux étrangers par les différentes préfectures d’Ile de France, se sont réunies le 3 novembre 2011.

    Elles ont fait le constat que, malgré quelques différences de pratiques constatées d’un département à l’autre, les étrangers sont traités partout de la même façon : conditions d’accueil déplorables, refus d’accès et de délivrance de dossier, délais interminables de traitement, absence d’interlocuteurs pour les associations, examens et réponses faits au mépris des droits fondamentaux, qu’il s’agisse du droit à la vie privée et familiale, du droit au travail, du droit aux soins, du droit à l’éducation ou de l’accès à la procédure d’asile.

    Elles sont convaincues que ce manque de considération pour les personnes reçues autant que pour les personnels chargés de l’accueil, relève d’une politique délibérée que l’insuffisance des moyens matériels et humains ne peut suffire à expliquer. Dans le cadre d’une législation de plus en plus restrictive et répressive, elle vise à limiter les possibilités d’accès au séjour, voire à déstabiliser la population étrangère, qu’elle soit en situation régulière ou privée du droit au séjour.

    Les étrangers sont aujourd’hui les premières victimes, mais comme souvent, la manière dont on les traite est révélatrice des méthodes qui sont déjà appliquées à d’autres ou le seront demain, qu’il s’agisse d’étrangers ressortissants de l’Union Européenne comme les roms de Roumanie et Bulgarie, de l’ensemble des populations précaires ou des simples citoyens.

    Ce scandale doit cesser. Les services de l’Etat doivent être les garants de l’égalité entre les usagers, du respect et de l’universalité des droits fondamentaux. La loi et les pratiques doivent changer !

    Les associations appellent tous ceux que révoltent ces conditions indignes d’accueil et de traitement à réagir, selon des formes à déterminer dans chaque département :

    Premiers signataires : Fédération de Paris du MRAP, RESF Paris…

    Pour que les pratiques et la loi changent,
    nous nous rassemblerons
    mercredi 7 décembre à 8 heures du matin devant le
    Centre Asile , 92 boulevard Ney, 75018, Paris
    métro Porte de Clignancourt

    #migrants #paris #manif #resf #mrap

  • La valse européenne des médecins | Mehdi Chebana et Laurent Geslin
    http://www.monde-diplomatique.fr/2011/05/CHEBANA/20448

    Dans les campagnes françaises et dans certains quartiers urbains, les rares installations de médecins généralistes ne compensent pas les départs à la retraite. Inquiets, les élus locaux multiplient les initiatives et recrutent des praticiens jusqu’en #Roumanie… / #France, Roumanie, Éducation, #Finance, (...) / France, Roumanie, Éducation, Finance, #Jeunes, Protection sociale, Santé, #Médecine - 2011/05

    #Éducation #Protection_sociale #Santé #2011/05

  • Le Courrier des Balkans, le portail francophone des Balkans | Roumanie : pays producteur d’armes cherche clients, mauvaises références acceptées
    http://balkans.courriers.info/article18414.html

    Ces dernières années, Bucarest a bien vendu des armes, des munitions et des produits stratégiques à des pays comme Israël, l’Égypte, l’Irak, les Émirats Arabes unis, la Jordanie, Oman, l’Afghanistan, le Pakistan, l’Inde, la Géorgie, le Burkina Faso le Gabon ou l’Éthiopie. Et évidemment les États-Unis.

    L’oncle Sam va donner un sacré coup de main à cette industrie avec la construction prochaine du très controversé bouclier antimissiles à Deveselu, dans le sud du pays (lire notre article « La Roumanie donne son feu vert à l’installation du bouclier antimissile américain »). Mais la Roumanie vend aussi aux États-Unis des dizaines de milliers de WASR-10, la version roumaine de l’AK-47 (ou Kalashnikov) ainsi que des fusils semi-automatiques. Rien qu’au dernier trimestre 2010, la Roumanie y a exporté 8.100 fusils semi-automatiques, 326 pistolets mitrailleurs et 10 mitrailleuses lourdes.

    #armement #Bulgarie

  • Appels à la fin de l’impunité de la CIA en Europe
    http://www.lalibre.be/actu/international/article/690482/appels-a-la-fin-de-l-impunite-de-la-cia-en-europe.html

    Dix ans après le début de la guerre contre le terrorisme, l’Europe n’a toujours pas fait la lumière sur la participation de certains pays aux activités illégales de l’agence de renseignement américaine sur le sol européen. L’Allemagne, la Pologne, la Suède, la Lituanie, le Royaume-Uni, la Macédoine, la Roumanie Tous viennent d’être épinglés par Amnesty International, le Conseil de l’Europe et le Parlement européen pour avoir collaboré, aidé, ou pour avoir fermé les yeux devant des enlèvements, détentions illégales et/ou torture de personnes soupçonnées d’être membres d’al Qaeda ou liées à des activités islamistes. Aucun des pays européens en question n’a mené l’enquête jusqu’au bout. A chaque fois c’est l’argument « secret d’Etat » qui est invoqué.

    Le Parlement européen quant à lui a nommé un rapporteur mardi pour rédiger un rapport d’initiative dans les six mois à venir sur les activités illégales de la CIA en Europe.

    #CIA #prisons_secrètes

  • « Laisse-la à l’école, elle aura bien le temps de se marier » | Montpellier, une place au soleil
    http://montpellier.blog.lemonde.fr/2011/09/28/laisse-la-a-lecole-elle-aura-bien-le-temps-de-se-marier/#xtor=RSS-3208

    « J’accepterais de faire n’importe quel travail : dans l’agriculture, dans le bâtiment, dans la plomberie », explique-t-il dans un français bancal. Bien que citoyens de l’Union européenne, les Roumains ne peuvent pas encore travailler où bon leur semble, comme le peut un Allemand ou un Espagnol.

    La Roumanie aurait dû être membre de plein droit de l’UE en 2011, mais il en sera autrement. « On est Européens, mais on n’a pas le droit de travailler », tempête Nicou. « On nous a dit que ce serait pour 2011, puis pour 2012. En 2012, on nous dira quoi ? 2020 ? », poursuit-il. « Marquez-le sur votre carnet ! Je veux travailler, n’importe où », exige-t-il. Sans permis, il fait la manche à un carrefour, comme bien d’autres. Cela lui rapporte une petite dizaine d’euros par jour.

    #Roms

  • La Roumanie veut se doter d’un centre de stockage de déchets radioactifs - LeMonde.fr
    http://abonnes.lemonde.fr/planete/article/2011/09/06/la-roumanie-veut-se-doter-d-un-centre-de-stockage-de-dechets-radioac

    Les gens doivent comprendre qu’il s’agit d’un projet robuste et sûr. Nous n’allons pas laisser aux générations futures un site dangereux.

    non mais de qui se moque-t-on ?

    Mais le projet ne fait pas l’unanimité dans le village. « Je ne suis pas d’accord, lance Mircea Ion, un habitant. Nous avons déjà assez de problèmes avec la centrale. Nos arbres ne font plus de fruits, nos jardins ont été abîmés et nos enfants sont affectés. Qu’ils aillent au diable, avec leur dépôt radioactif ! »

    Malgré la catastrophe de Fukushima, les autorités roumaines ne veulent pas remettre en question le vaste programme nucléaire prévu pour les décennies à venir. Le gouvernement roumain projette de construire deux nouveaux réacteurs à Cernavoda, grâce à un partenariat public-privé portant sur 4 milliards d’euros.

    #nucléaire

  • Appel à un campement Reclaim The Fields du 21 au 30 semptembre 2011 à Rosia Montana, Roumanie.

    https://lereveil.ch/contrib/camp-reclaim-the-fields-septembre

    « La nourriture, la terre, les semences, l’eau et les savoirs autonomisants sont trop importants pour être considérés comme marchandises et centralisés dans un schéma capitaliste. Nous résistons à la logique du profit dans nos manières de vivre. Nous travaillons déjà à créer des modes de vie paysan et alternatifs pour vivre et cultiver ensemble. C’est pourquoi nous réclamons la terre !

    Rosia Montana, village situé dans les montagnes Apuseni en Roumanie, se trouve menacé par un projet d’extraction aurifère, au nom du profit. Nous déclarons notre solidarité avec les habitant-e-s de Rosia Montana qui défendent leurs terres depuis 10 ans contre le pillage et l’exploitation prévus par une société privée. Il existe d’autres luttes pour l’accès et le contrôle des terres en Europe et ailleurs, beaucoup d’histoires à transmettre et d’expériences à partager.

    Nous voulons créer un espace commun, partager des expériences et des réalités, échanger des techniques et des savoirs, faire grandir le mouvement, rassembler nos énergies, renforcer les luttes locales, trouver les liens entre nous et avec d’autres mouvements anti-capitalistes et anti-colonialistes et fêter nos luttes ! Dispersons les semences de la résistance ! Faisons pousser ce camp ensemble ! »

    #autonomie

  • Transnistrie : Les négociations sur la région sécessionniste de Moldavie reprennent le 21 juin à Moscou après cinq ans d’interruption. Alors que la Roumanie et la Russie se disputent la même zone d’intérêt, l’Union européenne ne semble pas pressée d’intégrer la Moldavie.
    http://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2011/06/21/moscou-et-bucarest-jouent-une-partie-serree

  • Coca-Cola et Nescafé : le mauvais goût pour les autres

    L’aura qui entoure les produits alimentaires de l’Ouest vendus en Europe de l’Est n’empêche pas que de nombreux Roumains, plutôt que d’aller acheter leur café et leur chocolat au coin de la rue, préfèrent demander à des parents ou connaissances vivant en Allemagne ou en Autriche de leur en expédier. Ils pensent que les produits de marque occidentaux disponibles en Roumanie sont moins bons qu’à Vienne ou à Munich. Ce soupçon est désormais étayé scientifiquement : une étude effectuée par l’association slovaque de protection des consommateurs a révélé que des produits de marques telles Coca-Cola, Jacobs Krönung, Tchibo Espresso et Nescafé Gold présentent une moindre qualité sur le marché est-européen (République tchèque, Pologne, Slovaquie, Roumanie, Bulgarie, Hongrie) qu’en Allemagne et en Autriche.

    http://www.cafebabel.fr/article/37580/coca-cola-et-nescafe-mauvais-gout-pour-les-autres.html

    • De notre côté, on avait un doute sur le Nescafé au Liban. La famille me disait que c’était pas le même, ça pourrait donc être le même cas qu’en Roumanie. (Note : il nous avait semblé constater une nette amélioration l’année dernière.)

      Assez paradoxale, d’ailleurs, parce qu’il n’est pas rare de commander un Nescafé quand tu sors. Alors qu’ici, je n’ai jamais vu quiconque commander du Nescafé dans un bar ou au restaurant. Vaudrait mieux qu’il soit meilleur là-bas qu’ici, logiquement :-))

  • Dossier spécial travailleurs pauvres - Observatoire des inégalités
    http://www.inegalites.fr/spip.php?article1300

    L’expression de « travailleur pauvre » désigne de manière générale une personne qui possède un emploi, mais dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. Le niveau de pauvreté lié à la rémunération du travail dépend par ailleurs du seuil considéré. Par exemple, le Bureau international du travail (BIT) prend en considération les seuils de pauvreté retenus par la Banque mondiale, soit 1,25 dollar par jour en ce qui concerne le seuil d’extrême pauvreté, et deux dollars par jour pour le seuil de pauvreté. Eurostat, l’organe statistique européen, propose quant à lui un seuil relatif qui correspond à 60 % du revenu médian au sein de chaque État. Il faut donc se garder de toute comparaison entre les données européennes et internationales. Par mois, le seuil de pauvreté au Royaume-Uni est estimé à 967 € contre 159 € en Roumanie (voir Les seuils de pauvreté en Europe). Si l’on retient les critères proposés par le BIT, soit 2 dollars par jour, le seuil serait autour de 45 euros par moi

    #travail #pauvreté #données #international #for:rezo.net #for:luc.serisgmail.com #for:twitter

  • Lalibre.be - La #Belgique avance à toute allure sur la liste de la banqueroute
    http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/635032/la-belgique-avance-a-toute-allure-sur-la-liste-de-la-banqueroute.html

    La Belgique avance à toute allure sur la liste des pays qui risquent la faillite. C’est ce qu’indique une étude réalisée par le spécialiste de l’analyse de marché Credit Market Analysis (CMA), rapporte lundi De Morgen. A la suite de l’effritement rapide de la confiance des investisseurs, la Belgique occupe une inquiétante 16ème place sur cette liste, juste après le Liban et la Roumanie.

  • Sous-Traitance : Un monde bien compliqué (L’En Dehors)
    http://endehors.org/news/sous-traitance-un-monde-bien-complique

    Donc, promis, juré, les industriels qui vont être aidés ne délocaliseront plus... Ils l’ont juré la main sur le coeur. Et ils vont certainement tenir leur promesse. Car ça veut dire quoi, délocaliser, et surtout ne pas délocaliser ??? Quand Renault rachète Dacia, une entreprise roumaine, ce n’est pas de la délocalisation, c’est un investissement à l’étranger. Et s’il rachète cette usine, ce n’est pas pour la fermer, ni pour y envoyer ses propres salariés avec des salaires d’expatriés évidemment. Mais si Renault possède des usines en Roumanie qui emploient des ouvriers roumains, il est normal qu’il y produise des bagnoles. Renault ne rachète pas Dacia seulement pour produire des Dacia, il rachète Dacia aussi pour produire des Renault en Roumanie. Donc, des ouvriers roumains en Roumanie produisent des Renault qui seront achetés par ceux qui ne sont pas encore licenciés en France, mais ce n’est pas de la délocalisation. Vous me suivez ?

    #économie #mondialisation #libéralisme #entreprise

  • Homo Numericus : Vague de filtrage sur l’Internet mondial
    http://www.homo-numericus.net/spip.php?breve993

    uel point commun réunit la Roumanie, le Danemark, l’Allemagne, l’Australie, la Grande-Bretagne ? Tous ces pays s’apprêtent à filtrer l’accès du public à Internet au niveau des fournisseurs d’accès dans le but d’empêcher l’accès à des contenus illégaux. Ce faisant, ils rejoindront d’autres pays qui, comme la Chine, la Syrie, l’Arabie Saoudite ou la Tunisie, le font depuis longtemps.

    #politique #Internet #controle #censure