• Économie circulaire : le Club de la durabilité alerte sur certains effets négatifs et contreproductifs
    https://www.actu-environnement.com/ae/news/economie-circulaire-club-durabilite-effets-positifs-negatifs-406

    Quand le reconditionnement se nourrit de surconsommation

    L’Agence de la transition écologique (Ademe) a montré qu’un téléphone mobile reconditionné permet de réduire de 91 à 77 % l’impact environnemental annuel de cet équipement, par rapport à un neuf. Ainsi, l’emploi de 82 kg de matières premières et l’émission de 25 kg de gaz à effet de serre (GES) peuvent être évités par année d’utilisation. Le rapport présente cependant plusieurs effets contreproductifs.

    En matière de surconsommation, tout d’abord. « Back Market indique que la collecte en France et en Europe auprès des consommateurs et des entreprises est aujourd’hui très insuffisante pour répondre à la demande et qu’il est indispensable d’importer des équipements en fin de vie à reconditionner en France ou déjà reconditionnés dans d’autres pays », explique le rapport. Et de préciser que la place de marché estime que près de la moitié des téléphones reconditionnés vendus en France proviennent d’Amérique. Pourquoi l’Amérique ? Parce que le modèle économique du crédit-bail de courte durée avec renouvellement annuel du mobile se répand outre-Atlantique.

  • Signature d’un #accord entre la Suisse et Chypre en vue la mise en œuvre de l’#accord-cadre migration

    La conseillère fédérale Karin Keller-Sutter et le ministre chypriote de l’intérieur Nicos Nouris signent un accord bilatéral de mise en œuvre du #crédit-cadre migration. Ce crédit-cadre fait partie de la deuxième contribution de la Suisse en faveur de certains États membres de l’Union européenne

    #Chypre #Suisse #accord_bilatéral #migrations #asile #réfugiés #externalisation

  • Gabriel Attal, sur le projet du futur candidat Macron : « On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre #contrat-social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales. » #LesDevoirsAvantLesDroits

    Attal, l’archétype du parvenu, _le sniper de la #Macronie_, "sceptique", samedi dans le Parisien payant, sur l’utilité d’un débat pour Macron avant le premier tour. [ pour cause de bilan lamentable et indéfendable ! ]

    Comme toujours avec cette bande désorganisée de #tyrans-infantiles, il fallait payer pour lire les propos hallucinants d’Attal qui joue le rôle de porte-parole de la campagne non-déclarée de Macron avec de l’argent public.

    Propos que j’ai pu retrouver ici :
    https://www.bfmtv.com/politique/elections/presidentielle/gabriel-attal-sceptique-sur-l-utilite-d-un-debat-pour-macron-avant-le-premier

    Gabriel Attal estime qu’un débat télévisé avant le premier tour "montrerait un manque d’exigence démocratique". S’il est organisé, la participation d’Emmanuel Macron n’est "pas d’actualité".

    "Le président a toujours montré son intérêt pour la confrontation d’idées. Mais à quoi ressemblerait ce débat de premier tour ? Douze candidats cherchant pendant 1h50 leur ’moment’ avec le président, qui aurait dix minutes pour leur répondre. Je suis sceptique face à un tel format qui montrerait surtout un manque d’exigence démocratique", estime ce proche du président sortant dans un entretien mis en ligne samedi soir.

    Alors que les oppositions poussent Emmanuel Macron à annoncer enfin sa candidature pour que la campagne démarre vraiment, Gabriel Attal estime que "l’absence de débat est le fait des candidats déclarés" qui "installent une campagne de morts-vivants".

    Il accuse les oppositions d’avoir une vision noire et pessimiste d’une France où « tout était mieux avant ».

    "À les écouter, tout était mieux hier et tout sera pire demain. Où est la foi dans les Français ? Notre pays regorge de créativité, d’audace. Emmanuel Macron a fait entrer notre pays dans le temps des conquêtes. Quand la situation sanitaire et internationale le permettra, il proposera, je l’espère, d’aller plus loin encore pour l’avenir ", insiste-t-il, sans s’avancer quand le chef de l’Etat pourrait descendre dans l’arène.

    Pour ce qui est du projet du futur candidat Macron, le porte-parole dit, sans plus de précisions : "dans l’après-Covid, on veut continuer à réinventer notre modèle productif par l’investissement, la compétitivité, la décarbonation. On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales ."

    Concernant les adversaires politiques, ce sniper de la macronie estime que " les partis de gauche sont au bout d’un cycle" et qu’à droite, "il y a un mercato entre LR, le RN et Zemmour", un "match à trois" qui "s’est transformé en triangle des Bermudes "

  • Will #blockchain Replace Credit Cards by 2022?
    https://hackernoon.com/will-blockchain-replace-credit-cards-by-2022-36742354cb4f?source=rss----

    The possibilities for blockchain payment systems are far-reaching these days. It is now possible that Blockchain could replace credit cards in the near future. So, is it going to happen by 2022?Yes, it may happen that soon!A decade back, digital cards (debit & credit) came in the banking industry and did some changes. Honestly, it made our life easier.However, now with the help of blockchain, it is even easier and cost-effective. It uses the encrypted distributed ledgers that can work with or without banks and clearing houses.If things go as per prediction, the market is going to be ten times bigger.Yes, 10 TIMES!Adoption Of Blockchain Payment SystemsSee how the banking industry is rapidly adopting blockchain in payment transactions.According to reports, 69% of banks and financial (...)

    #blockchain-technology #bitcoin #credit-cards #blockchain-startup

  • Crypto credit money — Will this time be different?
    https://hackernoon.com/crypto-credit-money-will-this-time-be-different-22c1428cdade?source=rss-

    Crypto credit money — Will this time be different?In the previous article, we did look at the two dimensions of the money — on the base money and on the credit money. We looked as well, which kind of monetary systems existed in the last 5’000 years and what could be possible scenarios for the future.The key question is — will this time be different? Will we enter the phase with crypto base money without crypto credit money or will there be the credit money as well in the crypto sector?ClassificationHere is the summary of the monetary systems from the past 5’000 years.The first conclusion from the previous article is that the monetary systems are not static, but they are evolving:• The monetary systems started with commodity base money and decentral credit money• The next step was sovereign coins (...)

    #base-money #credit-money #bitcoin #monetary-system #blockchain

  • Will there be #credit-money in the crypto sphere?
    https://hackernoon.com/will-there-be-credit-money-in-the-crypto-sphere-ef3c5ad89c3b?source=rss-

    If there are presentations about what is money, then we usually hear, that money has to be durable, portable, divisible and fungible. We fully agree with this discussion.But there is a bigger picture. The money doesn’t have only one dimension, but it has two dimensions — there is base money and there is credit money. The notes and coins in your wallet are the base money. The money what you have on your bank account is actually credit money.This article:• Analyses how the base money and credit money work today• Analyses how the base money and credit money worked in the last 5’000 years• Discusses what will happen with the credit money in the crypto sphereBelow is the picture of the first known credit money, from Mesopotamia, from ca 2’500 B.C., now in the possession of the British Museum in (...)

    #monetary-system #blockchain #base-money #bitcoin

  • Disrupting Credit Scores With #blockchain
    https://hackernoon.com/disrupting-credit-scores-with-blockchain-2294f795cda4?source=rss----3a81

    hunter-johnson@unsplash.comWe have all heard about Nike. It’s the iconic brand associated with such athletes as Michael Jordan and Tiger Woods. It is a true symbol of American industry and consumerism. What fewer people know is that Nike started off as an importer of Japanese shoes, before it ever made an American shoe. According to Nike founder Phil Knight, in his book ‘Shoe Dog’, the company also had cash flow issues when it was a small business, just starting out. It went through several banks in its early years, as few banks wanted to keep its business. The main issue which lead banks to drop Nike was that Knight requested small business loans, which banks did not want to give him. His business strategy was growth at all costs, this meant that he used each loan to purchase as much (...)

    #disrupting-credit-scores #blockchain-credit-scores #credit-score #blockchain-credit

  • 08/06/2018: Biggest Stories in the Cryptosphere
    https://hackernoon.com/08-06-2018-biggest-stories-in-the-cryptosphere-9aba9ff870c?source=rss---

    by BlockEx1. Mastercard To Use Public #blockchain For Its Credit CardsMastercard has filed a patent with the U.S. Patent and Trademark Office (USPTO) to establish a public blockchain to authenticate payments carried out with their credit cards at the point of sale. Users’ payment credentials would be corroborated over a blockchain platform that anyone would have access to. The two-method system would be integrated with point-of-sale devices to obtain fully secured transactions. It is estimated that card providers lose $2 billion every year due to card skimming. This patent could be the answer to the issue.2. Korea’s Biggest Crypto Exchange Cleared by GovernmentBithumb, the biggest crypto exchange in South Korea, has been cleared by the local government of any illegal activity. Financial (...)

    #investing #credit-cards #cryptocurrency #bitcoin-mining

  • La #finance londonienne souffre moins qu’annoncé après le oui au #Brexit RTS - Gaspard Kühn/tmun - 27 Décembre 2017 _
    http://www.rts.ch/info/economie/9205583-la-finance-londonienne-souffre-moins-qu-annonce-apres-le-oui-au-brexit.h

    La #City à Londres reste suspendue aux négociations sur le Brexit. Dans ce contexte d’incertitude, les conséquences sur les emplois de la place financière sont pour l’instant moins graves qu’initialement annoncé.

    Alors que la deuxième phase de négociations entre l’Union européenne et le Royaume-Uni débute, les banquiers londoniens sont déjà courtisés par plusieurs villes européennes, comme Francfort, Dublin ou Paris.

    L’enjeu est de taille : Londres, actuellement principale place financière de la zone euro, pourrait perdre l’accès au marché commun pour les services financiers.

    Un nombre important d’emplois pourraient quitter la City, le directeur de la Bourse de Londres allant jusqu’à articuler l’estimation de 100’000 postes.

    Le grand écart entre les annonces et les faits

    Qu’en est-il à l’heure actuelle, un an et demi après le oui des Britanniques à la sortie de l’UE ? Dans les faits, l’écart entre les effets d’annonce et les chiffres est important, révèle une enquête du Financial Times.

    Par exemple, #UBS avait annoncé qu’un employé sur cinq basé à Londres pourrait partir. Au final, ce sont 200 collaborateurs sur les 5000 de la capitale britannique qui seraient concernés par un départ d’ici 2019.

    Même prudence chez #Credit-Suisse : 250 des 5000 employés basés à Londres seraient concernés. Quant aux grandes banques allemandes et françaises, elles sont au diapason : chez #Deutsche-Bank, 350 collaborateurs sur 7000 pourraient partir, alors qu’ils seraient 150 sur 3100 chez #BNP-Paribas.

    Soit bien loin de l’exode annoncé au départ. Un écart qui peut s’expliquer par les compétences en matière de finance qu’offre Londres, ainsi que par le système de régulation britannique très libéral qui n’existe pas ailleurs en Europe.

    #Angleterre #union-européenne

  • Nouveau rapport : « En quête de transparence : sur la piste des banques françaises dans les paradis fiscaux »
    Les principaux résultats de cette étude témoignent tant de l’importance des activités menées dans les paradis fiscaux que des spécificités de ces territoires :

    – Les banques françaises déclarent un tiers de leurs bénéfices internationaux dans les paradis fiscaux. Le Luxembourg, paradis fiscal au cœur de l’Union européenne, accueille à lui seul 11 % de ces bénéfices.

    – Les activités des cinq banques françaises sont 60 % plus lucratives dans les paradis fiscaux que dans le reste du monde. La Société Générale est à ce titre la banque la plus « rentable » : à volume d’activité égal, ses activités dans les paradis fiscaux rapportant plus de quatre fois plus que dans les autres pays.

    – Les salariés des banques étudiées sont en moyenne 2,6 fois plus productifs dans les paradis fiscaux que dans les autres pays. L’Irlande est de loin le paradis de la productivité par salarié : le travail d’un salarié du groupe BPCE y rapporte en moyenne 1,8 million d’euros, soit 31 fois plus que la moyenne de l’ensemble des salariés du groupe. Dans 34 cas, les banques indiquent même avoir des filiales dans des territoires offshore sans aucun effectif. La palme en la matière revient aux Iles Caïmans : les cinq banques françaises y possèdent en tout 16 filiales, sans un seul salarié, et pourtant 45 millions d’euros de bénéfices y sont déclarés.

    – Les activités les plus risquées et spéculatives sont toujours situées dans les paradis fiscaux. Les activités de banque de détail y sont en effet très minoritaires : le Crédit Agricole compte par exemple près de 4 fois moins de banques de détail dans les paradis fiscaux que dans les autres pays.

    – A taux de profits égaux, les banques françaises payent deux fois moins d’impôts dans les paradis fiscaux. Dans 19 cas, les banques françaises n’y paient même aucun euro d’impôt bien qu’elles y déclarent des bénéfices. Derrière ces chiffres, c’est bien l’utilisation spécifique des paradis fiscaux par les banques françaises qui est interrogée : transfert artificiel de bénéfices et donc réduction de leurs propres impôts, facilitation de l’évasion fiscale de leurs clients ou encore contournement de leurs obligations réglementaires en y menant des activités spéculatives et risquées.
    #évasion_fiscale #banque #Crédit-Agricole #bnp-paribas #société-générale #PPFJ #paradis_fiscaux #finance #france #économie #fiscalité
    http://www.stopparadisfiscaux.fr/que-font-les-etats/la-france/article/nouveau-rapport-en-quete-de

  • Voici comment ne plus payer d’impôt (si vous êtes riche)
    http://actuwiki.fr/2/41827
    http://actuwiki.fr/wp-content/uploads/2014/02/6967466-voici-comment-ne-plus-payer-d-impot-si-vous-etes-riche-635x314.jpg

    C’est le dernier produit dont on parle, à mots à peine couverts, dans les dîners en ville. Il existe depuis plus d’un siècle mais faisait office d’antiquité jusqu’à ce que la hausse des impôts pour les plus hauts revenus, le durcissement de l’ISF et la traque aux comptes non-déclarés à l’étranger le remettent en selle.

    Il figure désormais en bonne place dans la « boîte à outil » des techniques préférées des conseillers en optimisation fiscale. Son nom ? Le crédit lombard. En 5 ans, le nombre des Français qui y ont recours est passé de quelques centaines à plusieurs milliers, l’an dernier. Cette année, c’est l’explosion : il devrait s’en signer entre 20 et 30.000, pour des sommes qui dépasseraient la dizaine de milliards. Explication et plongée dans un monde trouble : les MPR, autrement les « méga-problèmes de riches ».
    Un montage parfaitement légal

    Le crédit Lombard est un produit en apparence tout ce qu’il y a de plus banal. « Il s’agit, explique Edouard Petitdidier, associé fondateur de la société de gestion Allure Finance, d’un prêt de 1, 2 ou 3 ou 4 ans gagés sur des actifs d’assurance vie ou des valeurs mobilières en dépôt dans l’établissement prêteur ».

    Si l’emprunteur vient à ne plus rembourser sa dette, la banque devient automatiquement propriétaire de la garantie, ce qui apure la dette. Proposé par toutes les filiales des grandes banques suisses installées en France, mais aussi par d’autres établissements comme KBL-Richelieu et Banque 1818, ce produit est très apprécié par les utilisateurs les plus fortunés. Car beaucoup savent que le Lombard ne livre ses vrais avantages que si l’on pousse à bout sa logique…
    Voilà comment ça marche

    Prenons un cas concret. Monsieur Georges -appelons-le comme cela- nous a été présenté par un conseiller en gestion de patrimoine. C’est un patron d’entreprise française qui paie beaucoup d’impôts sur le revenu. Ou plutôt qui en payait beaucoup. En contrat avec l’Etat, il aurait pu choisir de faire comme ses amis et partir s’installer à Bruxelles. Mais il a préféré rester à Paris. Mais les 300.000 euros qu’il laissait au fisc chaque année (sur ses revenus de plus de 800.000 euros et son patrimoine personnel évalué à 4 millions) le faisaient néanmoins enrager.

    Le crédit Lombard a calmé sa colère : en réduisant à presque rien son salaire, il a divisé son impôt par dix. Comment vit-il ? Tout simplement grâce à l’argent que lui a prêté sa banque –un de ces fameux « crédits lombards » -. Il est gagé sur un contrat d’assurance d’un million d’euros qui servira à rembourser, dans trois ou quatre ans, les 800.000 euros qu’elle lui aura versé sur son compte courant dans lequel il peut puiser à sa guise. Versements qui seront, forcément, exempts de tout impôt, puisqu’il ne s’agit pas d’un revenu ! L’opération peut être renouvelée plusieurs fois, mais notre chef d’entreprise n’en doute pas : »D’ici là, la majorité aura changé, et le nouveau gouvernement aura mis fin à la sur-taxation des chefs d’entreprises… »
    On ne prête qu’aux riches

    Autre avantage de cette formule : vivre à crédit, grâce à un Lombard, ne coûte pas très cher : le taux appliqué est généralement celui de l’Euribor 3 mois + une marge comprise entre 1,2 et 1,6 point. Soit, au taux d’aujourd’hui, environ 2,5%. Gardiner, une société suisse de gestion de portefeuille se vante même de prêter à 1,9%…

    Obtenir un prêt Lombard coute donc moins cher que ce que rapporte le (bon) contrat d’assurance-vie que l’on apporte en contrepartie. Autrement dit, vivre à crédit ne coute rien et en plus permet d’économiser sur ses impôts ! Quant au salaire qu’il se versait, il le réinvestit dans l’entreprise, qui n’a jamais été aussi prospère… Rien d’étonnant, donc, à ce que de plus en plus de chefs d’entreprises soient tentés. « C’est vrai, certains clients nous l’ont demandé » reconnaît Bruno Cellier, responsable de l’offre patrimoine de KBL Richelieu. « Mais s’ils l’ont fait, c’est contre notre avis. » Trop près de l’abus de droit ? En tout cas, en France, créer un montage destiné uniquement à échapper à l’impôt est puni par la loi…
    Faire « disparaître » un compte en Suisse

    Mais si le crédit lombard connaît un tel succès auprès des Français aisés, ce n’est pas seulement du fait de quelques patrons salariés un peu trop imposés. La traque aux comptes non déclarés en Suisse lui a aussi donné un beau coup de fouet. C’est en effet une des grandes techniques des banques françaises pour rapatrier l’argent non déclaré de leurs clients au nez et à la barbe de Moscovici.

    Pour le banquier genevois « repenti », Pierre Condamin-Gerbier, le prêt lombard est l’une des techniques préférées des filiales françaises de banques suisses pour filouter le fisc. Leur méthode est simple : un client français ayant un compte en suisse achète un bien en France. Pour cela, il sollicite un prêt d’une banque suisse installée en France. Celle-ci se garantit par une hypothèque, mais, parallèlement, prévoit une autre garantie, « hors livres » comme on dit dans le jargon bancaire, qui est donnée par la maison mère à sa filiale parisienne.

    Là encore, en cas de défaut de remboursement -ce qui ne manquera pas d’arriver, puisque c’est le but de la manoeuvre- la banque saisira le compte non-déclaré de l’emprunteur et la propriété de ses actifs suisses passera donc à la banque. Le montage est d’autant plus astucieux, précise Pierre Condamin-Gerbier que « l’établissement ne déclarera pas nécessairement cette saisie ».

    Les apparences sont donc sauves et tout le monde y gagne : la banque car elle a fait une double opération qui lui a permis de prélever, à chaque étape, des frais, et le particulier qui peut ainsi faire disparaître de son patrimoine des avoirs qui commençaient à lui brûler les doigts. Simple et radical pour résoudre le principal méga-problème du moment pour quelques milliers de riches…

    #Credit-Suisse
    #Euribor
    #Evasion-fiscale
    #France
    #impôt
    #Suisse
    #taxe
    #vie

  • Les banques ? Pas si neutres dans le #fiasco des #investissements « #locatifs »
    http://www.enqueteouverte.info/residencesdetourisme/2013/10/30/les-banques-pas-si-neutres-dans-le-fiasco-des-investissements-locat

    1. Est-il cohérent d’emprunter pour faire un placement ?

    Cette ques­tion, que les ban­ques ont évacué en con­sid­érant comme des emprunts immo­biliers les dossiers d’investissement locatif, n’est pas seule­ment théorique.

    Un emprunt à 5% d’intérêt annuel n’a de sens que si le place­ment dégage une rentabil­ité sen­si­ble­ment supérieure, de l’ordre de 6,5% ou 7%. Mais si un tel place­ment existe et qu’il est réputé “sans risque”, pourquoi les organ­ismes prê­teurs perdent-ils leur temps et leur argent à mon­ter des dossiers à 5% pour des particuliers ?

    La réponse, c’est la défis­cal­i­sa­tion, accordée seule­ment aux par­ti­c­uliers et non aux étab­lisse­ments prê­teurs. Elle dope le ren­de­ment appar­ent du place­ment immo­bilier. Pour con­va­in­cre les par­ti­c­uliers, les com­mer­ci­aux ont aussi fait miroi­ter des per­spec­tives de loy­ers suré­val­uées, minoré les charges, oublié de par­ler des impayés, des mois sans locataires, etc.

    Que des néo­phytes soient tombés dans le pan­neau en nom­bre aussi élevé est déjà un motif d’étonnement. Mais que dire des ban­ques ? N’importe quel con­seiller ayant un peu de métier sait que le ren­de­ment locatif net se situe en général autour de 3% annuel, presque deux fois moins que le taux d’un emprunt immo­bilier. La défis­cal­i­sa­tion, à elle seule, ne rendait pas l’opération intéres­sante, car elle courait sur 9 ans seule­ment, alors que les emprunts étaient con­trac­tés en général pour une durée deux fois plus longue.

    Dossier emblé­ma­tique

    Le choix est vaste mais Appolo­nia s’impose. Les ban­ques, dans cette affaire, sem­blent vrai­ment avoir cru au mou­ve­ment per­pétuel, lais­sant des par­ti­c­uliers s’endetter à 250% ou 300%, comme si le cou­ple loyer-bonus fis­cal était capa­ble de payer un, deux, trois, qua­tre, vingt appartements.

    La jurispru­dence

    Un juge­ment du Tri­bunal de grande instance de Toulouse du 31 jan­vier 2012 mérite d’être cité longue­ment car il résume magis­trale­ment tout ce que les ban­ques auraient dû savoir : “Ia présen­ta­tion matérielle du pro­gramme et les per­spec­tives économiques de l’opération sont enjo­livées, Ia com­mer­cial­i­sa­tion est axée sur le très fort attrait de l’avantage fis­cal et donc d’un accroisse­ment aisé du pat­ri­moine (…). Le nom­bre des lit­iges de même nature révèle d’ailleurs par lui-même que ces méth­odes font sociale­ment prob­lème pour se situer en per­ma­nence à la lim­ite de ce qui est juridique­ment cor­rect, lim­ites qui se trou­vent inéluctable­ment franchies dans cer­taines espèces comme dans la présente où la sim­u­la­tion dite non con­tractuelle (…) présente les économies d’impôts qui depen­dent de revenus futurs tou­jours aléa­toires comme un équiv­a­lent à un rev­enue effec­tif afin de mon­trer que la somme loy­ers et economies d’impôt équili­bre les charges”.

    2. Les ban­ques pouvaient-elles inté­grer les loy­ers dans les revenus pour cal­culer la capac­ité de rem­bourse­ment des emprunteurs ?

    La ques­tion rejoint la précé­dente. Et la réponse, là encore, est non. Les échéances de prêts sont gravées dans le mar­bre pour la durée du prêt, com­prise en général entre dix et vingt ans. Qui peut croire une sec­onde que des dizaines de mil­liers de bailleurs vont encaisser leur loyer sans coup férir pen­dant aussi longtemps ? La pru­dence la plus élé­men­taire com­mandait d’intégrer seule­ment 50%, voire 30% des loy­ers dans les revenus de l’emprunteur, pas 100%.

    Dossier emblé­ma­tique

    Appolo­nia encore, mais l’intégration des loy­ers dans le cal­cul de la capac­ité de rem­bourse­ment a été pra­tiqué par qua­si­ment toutes les ban­ques parte­naires des défis­cal­isa­teurs, de Quié­tude à Mona Lisa en pas­sant par Oléa ou Sim­bio­sis, sans oublier Akerys, en Robien-Scellier, dont les com­mer­ci­aux n’hésitaient pas à endet­ter les acheteurs jusqu’à 60% de leurs revenus.

    Jurispru­dence

    La cour d’appel de Rennes (24 mars 2011) fait grief à la société Afedim d’avoir inté­gré les revenus locat­ifs dans les revenus des acquéreurs dans du Mal­raux. Con­firmé par la cham­bre com­mer­ciale de la cour de Cas­sa­tion le 8 jan­vier 2013.
    ...

    #banques
    #Apollonia
    #BNP-Paribas
    #Crédit-Agricole
    #Crédit-foncier
    #Crédit-mutuel
    #Helvet-Immo

  • Tu parles d’un cadeau ! - BFMTV.com
    http://www.bfmtv.com/economie/parles-dun-cadeau-687982.html

    C’est un petit miracle comptable mais, s’il décide de remplacer purement et simplement le CICE par des baisses de charges, l’Etat ne perdra pas d’argent, au terme d’un jeu de passe passe qui pourrait s’apparenter au bonneteau des forains, mais qui se révèle sans doute assez vertueux
    L’explication se trouve dans le bilan des entreprises : une baisse de charges, une baisse mécanique du coût du travail améliore tout aussi mécaniquement le résultat des entreprises… et sur ce résultat les entreprises paient de l’impôt. L’Etat baisse les charges, mais récupère par l’impôt sur les sociétés une fraction de ce qu’il a donné. En revanche rien de tel avec le CICE, crédit d’impôt, qui n’a aucun impact sur le résultat imposable, qui vient même après le résultat imposable dans les lignes de compte des entreprises.

    Et effectivement, au terme de savants calculs, les comptables sont formels, les deux masses sont équivalentes pour les finances publiques : 20 de CICE = 30 de baisse de charges (c’est bien 30, Hollande citait le chiffre de 35, mais il faut enlever 5 milliards déjà payé par l’Etat au titre des cotisations des fonctionnaires)

    Équivalentes pour les finances publiques, mais pas forcément pour les entreprises, et c’est là que les choses deviennent très intéressantes, et pour tout dire, assez vertueuses : pour un salarié à 2 smic le CICE offre 2080 euros d’allègements, la suppression des cotisations familles seulement 1820 euros. 260 de moins. En revanche l’allègement est significatif au-delà de 2,5 smic. Bref pour les entreprises, l’Etat organise pour la première fois de l’histoire une baisse de charges… sur les hauts salaires

    Pour les smicards, le calcul relève de l’alchimie et nous resterons là très prudents. Parce que l’on rentre dans la mécanique des allègements Fillon. L’Etat va-t-il les raboter de 5,25%, c’est à dire en déduire le montant des cotisations familiales ? Alors il pourrait gagner un peu d’argent, et l’entreprise en perdre, car dans ce cas-là, nous dit le cabinet Lowendalmasaï qui a fait les simulations, l’entreprise n’aurait plus que 4510€ d’allègements (annuels) contre 4640€ (fillon+CICE) aujourd’hui.

    De quoi relativiser le supposé « cadeau aux entreprises »

    Et tant mieux ! La morale de cette histoire tient en trois points fondamentaux

    –si tout se passe bien on peut réussir à démontrer que moins d’impôts= plus de recettes.....

    #économie
    #CICE
    #baisses-de-charges
    #bonneteau
    #crédit-d’impôt

  • Crédit d’impôt innovation : 4 questions pour tout comprendre (et éviter les pièges) | FrenchWeb.fr
    http://frenchweb.fr/credit-dimpot-innovation-4-questions-pour-tout-comprendre-et-eviter-les-pieges/135985

    Le Crédit d’impôt innovation : kezako ?

    L’instruction commentant le crédit d’impôt innovation (CII, ndlr) a été officiellement annoncé en novembre 2013 par Pierre Moscovici, ministre de l’Economie et des Finances, Arnaud Montebourg, ministre du Redressement productif, Bernard Cazeneuve, ministre délégué chargé du Budget et Fleur Pellerin, ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique. Par cette mesure, le gouvernement souhaite favoriser la compétitivité des entreprises de tailles micro, petites ou moyennes – selon la définition prévue par le droit communautaire – en diminuant le coût des dépenses liées à l’innovation.

    Plus précisément, l’article 71 de la loi n° 2012-1509 du 29 décembre 2012 de finances pour 2013 institut le crédit d’impôt innovation comme une extension du crédit d’impôt recherche (CIR, ndlr), lequel a provoqué beaucoup de redressements fiscaux (explications en fin d’article, ndlr). Le dispositif sera financé, dans un premier temps, à hauteur de 160 millions d’euros par an dès 2014 avant d’atteindre les 300 millions d’euros annuels en rythme normal....

    #Crédit-d'impôt
    #innovation
    #Crédit-d'impôt-recherche
    #fiscalité
    #Innovation

  • Que faire ? Agir ici ! (B. Bertez) | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/12/15/que-faire-agir-ici-bruno-bertez

    Quotidiennement, vous n’arrivez pas à intégrer le fait que ces gens vous ont déclaré la guerre, à vous et à ce que vous représentez, c’est pourtant la réalité. Mais ils jouent sur le fait que vous n’y croirez pas, que vous tendrez la joue gauche, que vous vous sentirez coupables de vouloir encore vivre debout et non pas à genoux.

    Voici un exemple tiré de la vie quotidienne qui montre ce que chacun peut faire pour un système moins pourri et plus conforme à une économie de liberté. Cet exemple, c’est le Crédit Agricole, lequel vous abreuve de publicités mensongères à la télévision en ce moment.

    Le Crédit Agricole vient de perdre plus de 20 milliards dans des opérations aventureuses à l’étranger. Et que dit sa publicité, aux imbéciles chantant et dansant qui l’interrogent ? Il dit, votre argent, c’est près de chez vous qu’on l’utilise. La preuve qu’il ment est donnée par une nouvelle subreptice qui vient de sortir.

    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=pGU9WWI_PbA

    Les Echos viennent de révéler un plan secret des francs-maçons du Crédit Agricole pour spolier les Caisses Régionales, vos caisses, en leur transférant ce que l’on appelle pudiquement du risque, entendez par là des pertes à venir. On va leur transférer du risque, donc du coût du risque, donc des pertes, donc on va pomper les fonds propres et les ressources, vos soi-disant ressources puisque l’on dit que ce sont des coopés !

    La structure cotée prépare le transfert du risque de ses compagnies d’assurance vers les caisses régionales. Ce « switch » permettra à Casa de relever son ratio de solvabilité.

    http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0203164386310-comment-credit-agricole-sa-va-renforcer-sa-solvabilite-636260

    Déjà la gestion des Caisses Régionales est un scandale pénal avec les opérations immobilières contestables de Caisses comme celles du Crédit Agricole du Nord de la France. Ils sont non seulement incompétents, mais ils abusent dans tous les sens du terme.

    Bien entendu avec la bénédiction du gouvernement, des Finances, des Autorités Européennes, des Allemands et de Roehn et des Loges réunies.

    Ils sont toujours ravis de vous spolier quand il s’agit de conforter le système klepto qui leur est cher à eux, mais coûteux, à nous......

    ......

    Donc la manœuvre est simple, on va voler les Caisses Régionales, c’est-à-dire vous, pour renflouer la Caisse Centrale, c’est à dire les kleptos.

    C’est ce que l’on a fait avec la Caisse d’Epargne, la Bred, Natixis, etc. En toute impunité.

    #banques
    #banksters
    #Credit-Agricole
    #effet-de-levier

  • Blog de Paul Jorion » EMPRUNTS « TOXIQUES » : LE COMMERCE DES INDULGENCES POLITIQUES, par Zébu
    http://www.pauljorion.com/blog/?p=60034
    http://0.gravatar.com/avatar/e9d73a7b825d826716e5a25df85c1c8a?s=92&d=identicon&r=G

    Arguties spécieuses, car si le gouvernement actuel ne fait qu’endosser l’héritage du gouvernement passé, rien ne l’y obligeait en vérité à le faire tel quel, a fortiori en créant un fonds de compensation financé à moitié par l’État et ne couvrant que 45 % des IRA (Indemnités de Remboursement par Anticipation) calculés pour les emprunts dits ‘structurés’, et encore, uniquement ceux les plus ‘toxiques’, le restant étant payé par des collectivités locales qui auraient pu faire valoir leurs droits en justice.

    Arguties spécieuses, car l’État aurait très bien pu imposer de créer un fonds de compensation financé à 100 % par les banques, qui aurait permis de lever la reprise de l’aléa moral des banques par l’État et éviter ainsi à l’État de se retrouver piégé dans ce type de situation. En prenant pour base le fait que la Taxe sur les Risques Systémiques (TRS) passe de 0,50 % à 0,539 % pour répondre au financement du fonds de compensation pour les emprunts toxiques, soit 750 millions d’euros (50% x 100 millions x 15 ans), on obtiendrait donc 750 millions financés par 0,039 %. En multipliant cette même augmentation par 10, on obtiendrait donc logiquement une capacité de financement de 7,5 milliards d’euros sur 15 ans, le tout pour une taxe passant non pas de 0,50 % à 0,539 % mais bien de 0,50 % à 0,89 %, soit moins qu’un doublement de cette même taxe. Cette ‘TRS’ a-t-elle fait naître des faillites bancaires lors de son institution il y a 2 ans déjà ? Aucunement.

    #DEXIA
    #emprunt-toxiques
    #économie
    #finance
    #banksters
    #Caisse-des-dépôts-et-consignations
    #CNP-Assurances
    #SFIL Société de Financement Local
    #TEG (Taux Effectif Global)
    #BNP #Crédit-Agricole , ainsi que des banques étrangères, notamment anglo-saxonnes)
    #CAFFIL CAisse française de Financement Local
    #CDC (CAFFIL, créée pour pallier la disparition de la filiale DMA de DEXIA ..)
    #article_[60] revient à blanchir des banques ayant commis une faute,,,

  • Crédit lyonnais : l’Etat va emprunter 4,5 milliards pour solder la facture
    http://www.leparisien.fr/economie/credit-lyonnais-l-etat-passe-a-la-caisse-10-11-2013-3302883.php
    http://www.leparisien.fr/images/2013/11/10/3303011_credit-lyonnais_640x280.jpg

    Des années Mitterrand à la présidence Hollande en passant par les gouvernements Juppé, Jospin et Fillon, aucun pouvoir n’aura échappé à ce cauchemardesque et tentaculaire dossier. Trente ans après avoir été nationalisé et vingt ans après avoir failli emporter le système bancaire international dans sa chute, le Crédit lyonnais empoisonne toujours la vie politique française.

    Selon nos informations, le ministre de l’Economie, Pierre Moscovici, et son homologue du Budget, Bernard Cazeneuve, s’apprêtent à lancer une action décisive dans ce dossier. Plus précisément, un des articles de la loi de finances rectificative de 2013 qu’ils présenteront mercredi en Conseil des ministres autorisera l’Agence France Trésor — le service de Bercy chargé de la dette — à emprunter 4,5 Mds€ sur les marchés financiers. Objectif : lever les fonds nécessaires au remboursement des dernières dettes générées par la quasi-faillite de cette banque publique en 1993 (voir ci-contre). Si le Parlement accepte la mesure, l’Etat mettra donc un point final au volet financier de ce naufrage industriel..

    #économie
    #Credit-Lyonnais
    #bankster
    #sauvetage
    #dette-publique
    #emprunt
    #Etat
    #contribuables.

  • Le Crédit Immobilier de France déposerait le bilan - LExpansion.com
    http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/le-credit-immobilier-de-france-deposerait-le-bilan_413081.html

    Nouveau dépôt de bilan. Après les plans sociaux qui touchent ces derniers jours La Redoute ou FagorBrandt c’est le Crédit Immobilier de France qui mettrait la clé sous la porte selon l’hebdomadaire économique Challenges. Près de 1500 d’emplois seraient supprimés.

    Le plan de résolution aurait été voté aujourd’hui à l’unanimité par ses actionnaires, selon une source proche du dossier. La fermeture de l’établissement bancaire spécialisé dans les crédits immobiliers concernerait 2400 salariés.

    D’après Challenges, La Banque Postale s’est engagée à reprendre 300 d’entre eux, mais n’en a à ce jour effectivement recruté qu’une cinquantaine. 700 autres salariés continueraient à gérer les crédits accordés par le CIF. Près de mille emplois devraient donc être supprimés au minimum.

    #dépôt-de-bilan
    #plans-sociaux
    #Crédit-Immobilier-de-France ( #La-Redoute #Fagor #Brandt )
    #suppression-d'emplois
    #licenciement

  • Jean-Luc Mélenchon dit-il vrai sur la richesse ? - France Info
    http://www.franceinfo.fr/economie/le-vrai-du-faux/jean-luc-melenchon-dit-il-vrai-sur-la-richesse-1177997-2013-10-16

    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2013/10/15/1178007/images/ressource/131013LMT103.jpg

    Le leader du Front de gauche pousse un nouveau coup de gueule. « Y’en a marre ! De l’argent, il y en a ! Il est confiné à certains endroits. Le pays n’a jamais été aussi riche ». Vrai ou faux ? Réponse ici.
    Vrai

    Si la déclaration de Jean-Luc Mélenchon n’est pas nouvelle, elle prend une résonnance particulière, une semaine seulement après la publication d’une étude édifiante de la célèbre banque Crédit Suisse, le Global Wealth Report, le rapport 2013 sur la richesse mondiale.

    Richesse mondiale au top

    L’étude nous apprend que la richesse dans le monde a grimpé de 68% depuis 2003, malgré la crise qui frappe les économies depuis cinq ans. La richesse a atteint 241.000 milliards de dollars. C’est le niveau le plus haut jamais atteint, d’après le rapport.

    France bien placée

    Entre 2012 et 2013, c’est aux Etats-Unis que la richesse globale a le plus augmenté. Le deuxième pays où elle a le plus progressé est la Chine, suivi de l’Allemagne et de la France. La hausse de la richesse en France a été énormément aidée par la bourse depuis deux ans. Le CAC 40 a gagné 15% en 2012 et 15% depuis début 2013. Forcément, ceux qui possèdent des actions s’enrichissent actuellement.

    Richesse aux mains d’une minorité

    Si l’on se doute que la richesse est confinée dans les poches d’un nombre réduit de personnes, l’étude du Crédit Suisse a le mérite de mettre des chiffres sur la table. Et notamment celui qui révèle en pleine lumière les inégalités de patrimoine.
    Aujourd’hui, 46% du patrimoine mondial appartient à seulement 1 % des ménages. A l’inverse, les deux tiers des adultes de la planète possèdent seulement 3% de la richesse globale.

    #richesse
    #économie
    #millionnaires
    #patrimoine
    #richesse
    #Jean-Luc_Mélenchon
    #Crédit-Suisse

  • C’est en France qu’une nouvelle crise bancaire coûterait le plus cher | Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie
    http://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2013/10/15/cest-en-france-quune-nouvelle-crise-bancaire-couterai

    "Au sein de la zone euro, ce sont les banques françaises qui auraient le plus besoin d’être recapitalisées en cas de crise systémique, selon une étude de l’IESEG School of Management.

    Que se passerait-il en cas de nouvelle baisse crise bancaire « systémique », c’est-à-dire affectant l’ensemble du secteur financier ? Quels seraient les pays les plus affectés ? Quelles banques auraient le plus besoin d’être recapitalisées ? Une étude de l’IESEG School of Management tente de répondre à ces interrogations.

    Elle se fonde sur les insuffisances estimées de fonds propres des grandes banques, publiées par le « Volatility Laboratory » de « New York University Stern Business School » et par le « Center for Riks Management of Lausanne ».

    240 milliards d’euros nécessaires pour les grandes banques françaises, record européen

    Les résultats ne sont pas vraiment favorables aux grandes banques françaises. Au total, ce seraient elles qui auraient le plus besoin de capitaux, en cas de crise systémique, définie par une baisse de 40% de la Bourse sur six mois. Les besoins de recapitalisation des grandes banques françaises atteindraient 240 milliards d’euros, soit 11,7% du PIB, calcule l’auteur de l’étude, Eric Dor, directeur des études économiques à l’IESEG. Le pays qui suit immédiatement, c’est… Chypre (11% du PIB), puis la Grèce (8,35% de la richesse nationale) . La Grande-Bretagne est assez loin derrière (7,9% du PIB) suivie de l’Espagne (5,6%), de l’Italie (5%) et de l’Allemagne (4,5%).

    #économie
    #risque-systémique
    #banques-françaises sont les moins #capitalisées du #monde
    #crise
    #Deutsche-Bank
    #Crédit-Agricole
    #BNP-Paribas

  • France : quatre ex-banquiers jugés lundi
    http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/10/13/97002-20131013FILWWW00040-france-quatre-ex-banquiers-juges-lundi.php

    Quatre ex-employés d’une filiale d’investissement boursier du Crédit Agricole comparaissent à partir de lundi devant le tribunal de Nanterre, accusés d’avoir prélevé au détriment de plusieurs caisses de retraite des commissions abusives dépassant les 100 millions d’euros.

    L’ancien directeur du département « vente de produits dérivés et obligations convertibles » du Crédit Agricole Indosuez Cheuvreux (CAIC, aujourd’hui Crédit Agricole Cheuvreux), Didier Hannoun, est poursuivi pour « escroquerie et faux ». Il encourt cinq ans de prison. Son adjoint de l’époque, Eric Taieb, et deux autres collaborateurs sont également poursuivis.

    Les prévenus sont soupçonnés d’avoir entre 1998 et 2000 multiplié les transactions boursières, prélevant au passage des marges abusives, sans les déclarer à leurs clients. Objectif, selon l’accusation, faire gonfler artificiellement le chiffre d’affaires de CAIC et percevoir en conséquence, notamment pour M. Hannoun, de confortables bonus.

    « Ils sont rentrés dans une espèce de spirale, un peu comme dans le dossier Kerviel », souligne une source proche du dossier.

    En janvier 2000, la Cancava, la caisse de retraite des artisans, détecte une opération suspecte et évalue ses pertes à près de 30 millions d’euros. Dans la foulée, six autres caisses clientes s’aperçoivent avoir été victimes des mêmes pratiques.

    Le préjudice total avait été évalué en 2001 à 105,66 millions d’euros par le Conseil des marchés financiers (CMF), aujourd’hui intégré au sein de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Le CAIC avait remboursé l’intégralité de cette somme à ses clients floués.

    #bankers
    #Crédit-Agricole-Indosuez-Cheuvreux ( #CAIC, aujourd’hui #Crédit-Agricole-Cheuvreux )
    #caisses-de-retraite
    #commissions-abusives
    #marges-abusives
    #escroquerie-et-faux ......