Mais qui regarde le JT de 13 heures, à part les gens qui regardent le JT de 13 heures ?
Mais qui regarde le JT de 13 heures, à part les gens qui regardent le JT de 13 heures ?
« Plus de 1 200 » manifestations non déclarées, « parfois violentes », se sont déroulées sur tout le territoire depuis jeudi d’après le pointeur de l’intérieur. Est-ce "un problème aigu de maintien de l’ordre" ? une fine analyse des force en présence indique qu’il faut là-aussi reprendre la tradition Versaillaise et répondre au chaos qui menace par "le choix des territoires", omettant au passage quelques indications fournies il y a peu par le soulèvement Gilets jaunes
Le mystère des #crânes tranchés de la Londres romaine | Passeur de sciences
▻http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2014/01/19/archeologie-le-mystere-des-cranes-decapites-londres-r
Il est bien difficile de privilégier une hypothèse plutôt qu’une autre. Dans le cas des gladiateurs, les chercheuses soulignent que les blessures ressemblent beaucoup à celles trouvées à Ephèse (actuelle Turquie), dans le seul cimetière de gladiateurs où une analyse ostéologique a été menée. Malgré leur popularité, les combattants du cirque étaient en effet considérés comme porteurs d’une sorte de souillure et leur exclusion sociale les poursuivait en général jusque dans la mort. Les fossés du nord de la Londres romaine pourraient donc avoir été une zone réservée aux personnes tuées dans l’amphithéâtre, qu’elles aient été gladiateurs ou condamnés à mort.
L’hypothèse des têtes comme trophées de légionnaires tient également la route car ces pratiques ont été représentées sur plusieurs tombes de soldats. Rebecca Redfern et Heather Bonney précisent que, même si les Romains les voyaient comme des comportements non civilisés, les démembrements et décapitations de barbares vaincus n’étaient pas rares en temps de conflit, en particulier dans cette province, probablement parce que les armées de Rome avaient absorbé en leur sein des soldats locaux pour qui récolter le crâne de l’adversaire faisait partie des coutumes de la guerre. Bien loin des gentilles bagarres et batailles d’Astérix chez les Pictes !