• La Suède veut imposer un critère de « #conduite_honnête » aux migrants, sous peine d’expulsion

    Le gouvernement suédois a annoncé mardi sa volonté d’introduire dans la législation un critère de « conduite honnête » aux migrants sous peine d’expulsion. Depuis son arrivée au pouvoir en 2022, le gouvernement suédois, soutenu au Parlement par les Démocrates de Suède, parti d’extrême droite anti-immigration, a multiplié les restrictions de plus en plus sévères en matière migratoire.

    Introduire des normes de #comportements aux migrants sous peine d’expulsion. C’est la nouvelle mesure proposée par le gouvernement suédois en matière migratoire. Stockholm a annoncé mardi 1er avril son intention de mettre en place une règle de bonne conduite pour les étrangers, sous peine d’expulsion de Suède.

    « La grande majorité des personnes qui viennent en Suède sont parfaitement honnêtes, elles veulent simplement une vie meilleure, pour elles-mêmes, pour leur famille, elles veulent travailler, faire ce qu’il faut, apprendre la langue suédoise, faire partie de notre pays », a déclaré le ministre des Migrations Johan Forssell. « Mais nous vivons également à une époque où la confiance des citoyens dans la politique d’immigration repose sur un principe très fondamental, à savoir que ceux qui viennent en Suède et commettent des #crimes - ou qui se comportent mal d’une autre manière - ne devraient pas être ici », a-t-il ajouté.

    Fraude aux prestations sociales, endettement, toxicomanie...

    Ainsi Robert Schött, un ancien juge en charge de l’examen de cette mesure, propose d’introduire dans la législation suédoise un critère de « #conduite_honorable » destiné aux migrants - principalement les étudiants, ceux ayant un permis de travail, et leur famille. Et de pouvoir invoquer ce motif pour révoquer ou leur refuser un #permis_de_séjour.

    Ces « manquements dans le mode de vie » pourraient être, outre commettre un crime ou un #délit, la #fraude aux prestations sociales, l’#endettement, les perturbations à l’ordre public induites par la #toxicomanie, ou encore l’#apologie_du_terrorisme ou d’autres agissements qui « menacent la sécurité » de la Suède, a énuméré le ministre des Migrations.

    « Je suis convaincu que la grande majorité des gens comprennent exactement ce que nous voulons dire dans ce contexte », a affirmé Johan Forssell. « La législation sera plus stricte pour ce groupe de personnes qui ne sont pas des citoyens suédois ».

    Les ONG ont immédiatement critiqué cette nouvelle proposition gouvernementale. À l’instar de Civil Rights Defenders qui estime que « cela créerait un système dans lequel certaines personnes pourraient être punies pour avoir exprimé des opinions qui restent tout à fait légales pour d’autres ». Selon l’ONG, « cela porterait atteinte au principe de l’égalité de traitement devant la loi et constituerait une évolution extrêmement regrettable pour la Suède ».

    Multiplication des annonces

    Depuis son arrivée au pouvoir en 2022, le gouvernement suédois, soutenu au Parlement par les Démocrates de Suède, parti d’extrême droite anti-immigration, a introduit des restrictions de plus en plus sévères en matière migratoire.

    Début janvier, Stockholm avait indiqué vouloir durcir l’accès à la citoyenneté, et mettait déjà en avant une « conduite honorable ». Selon le texte, pour devenir suédois, un étranger devra avoir vécu huit ans en Suède - contre cinq ans actuellement -, passé un test de connaissances de la société et des valeurs suédoises, et réussi un examen de langue, avait recommandé une commission d’experts mandatée par le gouvernement.

    En décembre 2024, le gouvernement avait aussi annoncé un projet de loi qui limiterait la possibilité pour les demandeurs d’asile déboutés de déposer une nouvelle demande sans avoir quitté le pays, souhaitant ainsi lutter contre la « clandestinité ».

    En mai 2024, une proposition de loi visait à obliger les travailleurs du secteur public à dénoncer aux autorités les personnes sans-papiers avec lesquelles ils sont en contact. Cette mesure, jugée raciste et discriminatoire par les défenseurs des droits, avait créé la polémique dans le pays.

    Quelque 4 000 soignants avaient alors signé une tribune pour dénoncer un texte qui va à l’encontre du serment d’Hippocrate. « Cela aura des impacts de santé publique : des maladies pas traitées qui deviennent graves, la propagation de maladies infectieuses », expliquait la tribune.

    Demandes d’asile au plus bas

    Lors de la crise de 2015, la Suède avait largement ouvert ses portes aux étrangers et avait accueilli plus de 150 000 demandeurs d’asile, soit le nombre le plus élevé par habitant dans l’Union européenne. Mais en 2022, le bloc composé de la droite libérale conservatrice et de l’extrême droite l’emportait aux législatives. Une nouvelle ère anti-migrants s’était alors ouverte. « Il est temps de faire passer la Suède d’abord », déclarait à l’époque Jimmie Akesson, le leader des Démocrates de Suède (extrême-droite).

    Résultat, en 2024, le nombre de migrants ayant obtenu l’asile en Suède a atteint le niveau le plus bas depuis 40 ans. Seuls 6 250 permis de séjour pour l’asile ont été accordés dans le pays scandinave l’année dernière. « Aujourd’hui, trois personnes sur quatre qui demandent l’asile en Suède ne sont pas considérées comme ayant des motifs suffisants pour obtenir un permis de séjour. Elles ne sont donc pas des réfugiées et doivent rentrer chez elles », a récemment déclaré le ministre Johan Forssell.

    La Suède se considérait autrefois comme un refuge pour les personnes victimes de guerre et de persécutions, mais elle a peiné, au fil des ans, à intégrer un grand nombre de ses nouveaux arrivants.

    Preuve de ce changement de considération vis à vis des réfugiés, la Suède a été l’un des premiers pays a annoncé la suspension des demandes d’asile pour les Syriens après la chute de Bachar al-Assad en décembre dernier.

    https://www.infomigrants.net/fr/post/63738/la-suede-veut-imposer-un-critere-de-conduite-honnete-aux-migrants-sous
    #criminels_étrangers #expulsions #renvois #migrations #réfugiés #Suède
    ping @karine4

  • PFAS : un nouveau site « super-émetteur » identifié à Mourenx dans les Pyrénées-Atlantiques
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2025/04/01/pfas-un-nouveau-site-super-emetteur-identifie-a-mourenx-dans-les-pyrenees-at

    Les résultats de la campagne, publiés progressivement ces derniers mois par les autorités régionales et analysés par Le Monde, révèlent l’existence d’un nouveau « #super-émetteur » de #PFAS : l’usine #Finorga de #Mourenx, aujourd’hui détenue par le groupe Axplora (ex-Novasep), qui n’a pas répondu aux sollicitations du Monde. En activité depuis trente ans, le site synthétise des principes actifs pour l’industrie pharmaceutique.

    Les prélèvements réalisés par l’industriel entre mai et juillet 2024 ont rapidement attiré l’attention de l’inspection des installations classées. Cette dernière relève, dans un courrier de septembre 2024, des « rejets significatifs » de fluor organique absorbable (#AOF) – une méthode indiciaire pour estimer la quantité totale de PFAS présente dans les rejets. Jusqu’à 181,9 kilos de fluor organique ont été évacués en un jour vers la station de traitement des effluents industriels, soit une concentration de 10 700 000 microgrammes par litre d’eau. A titre de comparaison, l’ultratoxique PFOS, le seul PFAS réglementé dans les rejets industriels, ne doit pas excéder 25 microgrammes par litre d’eau.

    https://justpaste.it/h2dky

    #TFA #le_mystère_reste_entier #criminels

  • #États-Unis : Trump autorise des sanctions contre la Cour pénale internationale | Human Rights Watch
    https://www.hrw.org/fr/news/2025/02/07/etats-unis-trump-autorise-des-sanctions-contre-la-cour-penale-internationale

    « Le décret du président Trump sur la Cour pénale internationale place de fait les États-Unis dans le camp des #criminels de guerre, aux dépens des victimes de crimes graves qui cherchent à obtenir justice », a déclaré Liz Evenson, directrice du programme Justice internationale à Human Rights Watch.

    […]

    Même si les États-Unis ne sont pas un pays membre de la CPI, ces sanctions contredisent le soutien croissant exprimé par plusieurs hauts américains envers la Cour, au cours des dernières années. Après l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie en 2022, des représentants élus issus des deux partis –républicain et démocrate – avaient loué les efforts de la Cour visant à se pencher sur les crimes de guerre présumés des forces russes en Ukraine, et le Congrès américain avait pris des mesures pour autoriser la contribution des États-Unis à l’enquête de la Cour en Ukraine.

    #CPI

  • Trump’s real-estate instincts clash with his America First worldview - BBC News
    https://www.bbc.com/news/articles/ce9nmm3nvdno

    À aucun moment la #BBC ne soulève l’aspect criminel de la question. #criminels

    That’s probably the biggest conclusion to draw from Donald Trump’s stunning proposal for the US to take over Gaza and turn it into a resort for all the people of the world to enjoy – a “Riviera of the Middle East”, in his words.
    It also presents the latest iteration of a question that has persisted as long as Trump has been involved at the highest level of American politics.
    Should Trump’s Gaza development plan, which includes the resettlement of more than two million Palestinians and US “ownership” of the contested lands be taken literally or seriously? Both, or neither?

  • Suisse : Nestlé visé par une pétition contre le sucre dans les aliments pour bébés ats/miro

    Public Eye et des ONG partenaires ont remis mardi à Vevey (VD) une pétition munie de 105’000 signatures aux représentants de l’entreprise Nestlé. Le texte demande à la multinationale d’arrêter d’ajouter du sucre dans les aliments pour bébés.

    Lors d’une action de protestation, les ONG Public Eye, IBFAN et EKO ont retourné à l’entreprise sous forme symbolique l’équivalent de 10 millions de carrés de sucre. Il s’agit de la quantité totale de sucre ajouté contenue dans les produits pour bébés Cerelac, vendus chaque jour dans les pays à revenu faible, écrit Public Eye dans un communiqué.


    En Suisse, de tels produits sont pourtant vendus sans sucre ajouté. Par ce retour à l’expéditeur, l’ONG et ses partenaires demandent au géant agroalimentaire de mettre un terme à ces adjonctions. Le numéro un de la nutrition infantile doit mettre un terme à ce double standard injustifiable et néfaste, estiment les ONG.
    Sucres ajoutés dans les produits pour enfants des pays à faibles revenus
    . . . . .
    Mi-avril, une enquête de Public Eye avait révélé que les deux principales marques de Nestlé, Cerelac et Nido, contenaient beaucoup de sucres ajoutés dans les pays à plus faibles revenus, ce que les directives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) interdisent explicitement. L’ONG avait déposé une demande auprès du Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco) afin d’intenter « une action visant à mettre fin aux pratiques commerciales trompeuses de Nestlé ».

    Nestlé avait alors contesté le fait qu’il existe un double standard concernant ses produits destinés à la petite enfance, déclarant appliquer les mêmes normes partout dans le monde. Pour les laits de croissance, destinés aux jeunes enfants de 12 à 36 mois, plus de 90% de ces produits dans le monde ne contiennent pas de sucre raffiné. Le 100% devrait être atteint d’ici la fin de l’année, avait indiqué un porte-parole.


    Invitée mardi dans l’émission Forum, Peggy Diby, responsable produits et nutrition chez Nestlé, explique que l’entreprise s’efforce de réduire les niveaux de sucre depuis plusieurs années. « Dans nos laits infantiles, il n’y a pas de sucre ajouté, et cela, partout dans le monde », a-t-elle précisé

    Elle met également en lumière l’importance des habitudes de consommation dans l’acceptation des produits. « En Afrique du Sud, il y a quelques années, on avait mis sur le marché des recettes sans sucre ajouté. Les parents ne les ont pas achetées, nous avons dû les retirer du marché. Mais cette fois-ci, nous voulons les réintroduire, en éduquant les parents pour qu’ils s’habituent à ces nouveaux goûts. »

    Concernant les céréales pour nourrissons, Nestlé affirme avoir réduit la teneur en sucre de plusieurs produits et offrir davantage d’options sans sucre ajouté. Cette affirmation surprend Laurent Gaberell, responsable agriculture et alimentation pour Public Eye : « Je ne pense pas qu’on puisse dire qu’on a le choix. Notre enquête a montré que 96 % des céréales infantiles Nestlé vendues dans les pays en développement contiennent du sucre ajouté. Il est très rare de trouver des versions sans sucre ».

    #nestle #nestlé #sucre #bébé #Santé #multinationales #multinationale #alimentation #obésité #criminels #Lait #racisme

    Source : https://www.rts.ch/info/economie/2024/article/nestle-vise-par-une-petition-contre-le-sucre-dans-les-aliments-pour-bebes-286489

  • Los crímenes de la dictadura militar argentina se niegan cada vez más, ¿incluso en Alemania?
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/los-crimenes-de-la-dictadura-militar-argentina-se-niegan-cada-vez-m

    23.8.2024 Pilar Safatle, Juan Relmucao - Un ex militar vivió sin ser molestado en Berlín durante años. Mientras tanto, el gobierno argentino también relativiza las atrocidades de la dictadura.

    Se trata de una contribución presentada en el marco de nuestra iniciativa Open Source. Con Open Source, el Berliner Verlag da a todos los interesados la oportunidad de ofrecer textos con relevancia de contenido y estándares de calidad profesional. Este texto también está disponible en alemán.

    Fueron apenas unos golpes fuertes en la puerta de un departamento de Pankow, pero el eco alcanzó lugares tan distantes como Mar del Plata, en la costa atlántica argentina: en enero de 2023, agentes de la Oficina Federal de Policía Criminal y de la Fiscalía General de Berlín golpearon por primera vez la puerta del ciudadano argentino-alemán Luis Kyburg, un ex oficial de alto rango de la Armada investigado por crímenes cometidos durante la última dictadura militar. Se realizó una redada. La policía se llevó también documentación de importancia para la causa.

    Kyburg nació en Catamarca, en el noroeste de Argentina, pero obtuvo la nacionalidad alemana en 2009 gracias a su padre y a su abuelo, este último nacido en 1886 en Berlín-Steglitz y emigrado en 1908 a Argentina. Anticipándose a su destino, y según él mismo contó a sus compañeros en comunicaciones interceptadas por la BKA, su nieto huyó a Alemania en 2012:

    „Sólo lamento que mi ausencia me haya impedido seguir colaborando con todos mis compañeros, que no han podido contar con la ventaja que el azar me ha concedido“, rezaba una carta que escribió desde Alemania a su superior Rafael Guiñazú, ya condenado por delitos de lesa humanidad.

    Kyburg vivía tranquilamente en Alemania

    Kyburg llevaba una vida normal con su mujer y nunca ocultó su identidad. Incluso participó en un curso de alemán en la Volkshochschule de Friedrichshain-Kreuzberg, donde al principio hizo amigos, y participó en un curso de integración hasta 2014.

    Gracias a las investigaciones y juicios de Derechos Humanos llevados a cabo en Argentina durante los primeros años de la década de 2000, Kyburg presumiblemente habría sido encarcelado hace muchos años, junto con al menos nueve de sus compañeros cercanos de la Marina. Una parte considerable del cuerpo militar que integró ha sido condenada reiteradamente a prisión perpetua por su responsabilidad en el secuestro, tortura, muerte y desaparición de decenas de personas en la Base Naval de Mar del Plata, a 500 kilómetros de Buenos Aires.

    https://berliner-zeitung.imgix.net/2024/08/22/dada1818-bbd4-473e-a3cc-0b37c3619bb3.avif?auto=format&fit=ma
    Fabián (izquierda) y Fernando Hallgarten hacia 1969 en Mar del Plata privado

    Durante años, los abogados del Centro Europeo de Derechos Constitucionales y Humanos (ECCHR) elaboraron una profunda investigación junto a familiares, víctimas y expertos, como historiadores y juristas, para que Kyburg también fuera juzgado por los crímenes cometidos en Mar del Plata.

    En 2013, la Interpol emitió una orden internacional de búsqueda y captura contra él y la Justicia argentina también solicitó su extradición. Sin embargo, la Constitución alemana prohíbe la deportación de ciudadanos alemanes. Un buen día, un periodista argentino y dos exiliados afincados en Alemania -uno de ellos hermano de un desaparecido por la dictadura- lo encontraron en Prenzlauer Berg.

    Pero la justicia es a veces más lenta que la biología: Kyburg murió en Berlín unos días antes de ser imputado oficialmente. Esto es especialmePlataprivado de soportar para los familiares y descendientes de las víctimas de entonces.

    La larga lucha de los familiares

    Uno de ellos es Fabián Hallgarten. Hace unos 50 años, en Mar del Plata, con sus hermanos Claudio y Fernando aprendió a surfear. Pero, como hermano menor, surfear olas no fue lo único que Fabián aprendió de Fernando.

    „La solidaridad hacia los más desfavorecidos siempre estuvo presente en él. Casi todos los días llegaba a casa con algún niño desamparado para asistirle con leche y galletas o darle ropa“, contaba Fabián sobre Fernando en su prólogo para la querella contra Kyburg, que el ECCHR editó este año.

    Como parte de su educación religiosa y de izquierdas, los hermanos empezaron a trabajar en barrios marginales y zonas empobrecidas cuando eran adolescentes. Con el tiempo, Fernando se uniría a Montoneros, el grupo guerrillero que aglutinó a la militancia peronista en los años 70, tras 18 años de proscripción del movimiento y la muerte de Juan Domingo Perón.

    La noche del 26 de agosto de 1976, Fernando fue secuestrado por los militares de camino a casa de su madre. El joven de 20 años fue llevado por la fuerza, y fuera de todo marco legal, a la base naval, donde fue interrogado bajo tortura y, a los pocos días, asesinado de manera desconocida con el conocimiento y la voluntad de Luis Kyburg. Su cuerpo sigue hoy desaparecido.

    Fabián, que aún vive en Mar del Plata, se sumó en 2023 como querellante en la demanda contra Kyburg presentada por el ECCHR en 2018 ante la justicia alemana. Entre los demandantes también figuraba Anahí Marocchi, hermana de Omar Alejandro Marocchi, secuestrado y asesinado en la misma ciudad en 1976 a la edad de 19 años junto con su pareja, presuntamente embarazada, Susana Haydée Valor, que entonces tenía 24 años. Fabián y Anahí, por ser familiares directos de las víctimas, fueron fundamentales en la investigación de estos y más de veinte casos ocurridos en ese mismo centro de detención.


    La visita del 11 de julio de 2024 de diputados de La Libertad Avanza a la cárcel de Ezeiza. privado

    Finalmente, la acusación contra Kyburg constaba de 224 páginas. En octubre de 2023, la fiscalía de Berlín presentó cargos por 23 casos de asesinato -el único delito punible en Alemania-, presuntamente cometidos entre agosto de 1976 y enero de 1977 con la voluntad y el consentimiento de los acusados. Estos actos también fueron reconocidos en su momento por los superiores ahora condenados por su compromiso con la „lucha antisubversiva“.

    Una vez que la acusación entró en el juzgado, las partes del proceso supieron que Kyburg había fallecido a mediados de octubre en el Hospital Charité. Pocos días después, un grupo de Facebook de antiguos marinos del ejército le rindió homenaje e invitó a la ceremonia en su honor en el crematorio de Berlín-Ruhleben: „En patrulla eterna a reencontrarte con los grandes, QEPD querido BT don Luis Kyburg“. En un comentario más abajo dice: „Vuela alto camarada, sólo Dios lo sabe y juzgará a los suyos“.

    El gobierno argentino provoca negando los crímenes

    La ancianidad de los investigados no es el único problema al que se enfrentan hoy los juicios: ahora, además, el actual Gobierno argentino lleva a cabo un provocador negacionismo, un hecho sin precedentes desde el retorno de la democracia en 1983.

    Unos meses después de la muerte de Kyburg, durante el debate electoral, el entonces candidato Javier Milei dijo que la dictadura sólo había cometido „excesos“. Las mismas palabras que uno de los líderes de la dictadura, Emilio Massera, utilizó durante el juicio contra las juntas militares en 1985. Este ataque a uno de los principales consensos democráticos de la dividida sociedad argentina no impidió su llegada al gobierno.

    La voz del negacionismo durante la campaña fue la actual vicepresidenta, Victoria Villarruel, nieta, hija y sobrina de militares. Antes de entrar en la política, fue una activista marginal que reclamaba la anulación de las cadenas perpetuas impuestas a los criminales de la dictadura: participó en pequeños actos, escribió libros, fundó una ONG y se sentó en sets de televisión. Ahora, Milei y Villarruel gobiernan Argentina.

    En sus primeros seis meses de gestión, como denunció el Centro de Estudios Legales y Sociales (CELS) en un reciente informe, su administración „desmanteló, total o parcialmente, políticas cruciales para el proceso de Memoria, Verdad y Justicia“, principalmente a través del „desfinanciamiento y/o vaciamiento de estructuras“.
    Se dificulta la investigación de los „vuelos de la muerte“ y otros delitos

    El Ministerio de Defensa, por ejemplo, cerró el Equipo de Relevamiento y Análisis Documental de los Archivos de las Fuerzas Armadas, que aportó más de 170 informes con pruebas clave sobre prácticas de los militares. Entre ellas, los „vuelos de la muerte“, una forma de desaparición forzada que también se llevó a cabo con víctimas de la Base Naval Mar del Plata: a los detenidos se les decía que iban a ser „trasladados“, se les inyectaba un potente sedante y luego se los arrojaba desde aviones, aún con vida, al mar o al Río de la Plata.

    En los últimos días, el Gobierno también firmó por decreto el cierre de la Unidad Especial de Investigación de la Desaparición de Niños durante la última dictadura militar, que formaba parte de la Comisión Nacional por el Derecho a la Identidad (CONADI), al considerar que no es una tarea que le corresponda al Poder Ejecutivo, sino a la justicia.

    Pero esta postura también es ejercida desde el Gobierno desde el plano simbólico. En el último aniversario del golpe militar, por ejemplo, se difundió un video donde indican que la historia „no fue contada en su totalidad“.

    A mediados de julio, seis congresistas afines al gobierno visitaron oficialmente a Alfredo Astiz y a otros once militares condenados en prisión. Astiz, conocido como el „Ángel de la Muerte“, fue una figura importante de la dictadura y es conocido por haberse infiltrado entre los familiares de los desaparecidos presentándose como víctima en busca de su hermano. Actualmente tiene dos cadenas perpetuas por crímenes entre los que se encuentra la desaparición forzada de dos monjas francesas que realizaban labores comunitarias. Sophie Thonon-Wesfreid, abogada de las familias de franceses desaparecidos en Chile y Argentina y Jean-Pierre Lhande de la asociación de Desaparecidos Franceses en Argentina condenaron la visita.
    Visitas cuestionables a la cárcel

    Portavoces del Gobierno relativizaron o justificaron las visitas. Pero el escándalo aún no se apagó y algunos de los diputados -que se fotografiaron con los detenidos- se acusaron mutuamente y aseguraron haber sido „engañados“ con una „visita humanitaria“ a ancianos detenidos. Lourdes Arrieta, la sonriente diputada que aparece en el centro de la imagen, llegó a afirmar que „no tenía ni idea“ de a quién estaba visitando porque había nacido en 1993.

    Más tarde, salieron a la luz informaciones sobre visitas anteriores a otros presos. Diputados de la oposición afirman que el objetivo era evitar que continúen los juicios por crímenes de lesa humanidad que están en curso, que actualmente son 17. Presos y visitantes también habrían discutido estrategias para lograr una reducción de condena o lograr la prisión domiciliaria.

    Fabian Hallgarten siente angustia e indignación ante esta oleada de negacionismo. „Lo más doloroso es que se lleva a cabo, entre otras cosas, por la indiferencia de gran parte de la población . Además, esta situación se enmarca en el avance de la ultraderecha en todo el mundo con el resurgimiento de la tergiversación de la historia reciente“, afirma. „Pero, por otro lado, entiendo que el tema de los DDHH pase a un segundo plano para gran parte de la población debido a la terrible situación económica que atravesamos: despidos, aumento de la pobreza, jubilaciones miserables, etc. La prioridad es la supervivencia. Y este gobierno va hacia más recortes de derechos“.

    Pilar Safatle es una periodista argentina independiente que trabajó en Infobae.com y colaboró como becaria internacional para Die Tageszeitung (taz) en Berlín en 2022.

    Juan Relmucao es un periodista argentino independiente y colaborador de medios como Vice News, Rest Of World y el New York Times.

    #Argentine #Allemagne #dictature #criminels

  • LE RIFAIN LA NOUVELLE DU FRONT sur X : "🔴⚡️INFO : L’eurodéputée espagnole, Irene Montero déclare « Israël devrait être banni des JO. Nous ne pouvons pas permettre que le sport soit utilisé pour blanchir les visages des #génocidaires. Quelle profonde #honte, quel #dégoût, quelle #complicité de l’#Europe envers ces #criminels » "
    https://x.com/rifain_nouvelle/status/1816957768257167614

  • Meriem Laribi مريم sur X :
    https://x.com/Meriem_Laribi/status/1813691842619433351

    « 🚨 Fake news du leJDD. Il se trouve que l’une des 2 personnes interpellées m’a sollicitée pour rétablir la vérité. C’est une scandinave. Elle et son ami ont passé 26 heures en garde à vue. Pourquoi ? 🧶 1/ »

    Elle dit que le JDD a tout déformé. « Ils mentent en écrivant que c’était le rescapé qui portait la flamme au moment de notre intervention et qu’on aurait essayé de le blesser ». Il était, selon elle, loin derrière. Notons qu’on ne le voit pas sur la vidéo. 3/

    #criminels #sans_vergogne

  • Pentagon ran secret anti-vax campaign to undermine China during pandemic
    https://www.reuters.com/investigates/special-report/usa-covid-propaganda

    At the height of the #COVID-19 pandemic, the U.S. military launched a secret campaign to counter what it perceived as China’s growing influence in the Philippines, a nation hit especially hard by the deadly virus.

    [...]

    The U.S. military’s anti-vax effort began in the spring of 2020 and expanded beyond Southeast Asia before it was terminated in mid-2021, Reuters determined. Tailoring the propaganda campaign to local audiences across Central Asia and the Middle East, the Pentagon used a combination of fake social media accounts on multiple platforms to spread fear of China’s vaccines among Muslims at a time when the virus was killing tens of thousands of people each day. A key part of the strategy: amplify the disputed contention that, because vaccines sometimes contain pork gelatin, China’s shots could be considered forbidden under Islamic law.

    The military program started under former President Donald Trump and continued months into Joe Biden’s presidency, Reuters found – even after alarmed social media executives warned the new administration that the Pentagon had been trafficking in COVID misinformation. The Biden White House issued an edict in spring 2021 banning the anti-vax effort, which also disparaged vaccines produced by other rivals, and the Pentagon initiated an internal review, Reuters found.

    [...]

    To implement the anti-vax campaign, the Defense Department overrode strong objections from top U.S. diplomats in Southeast Asia at the time, Reuters found. Sources involved in its planning and execution say the Pentagon, which ran the program through the military’s psychological operations center in Tampa, Florida, disregarded the collateral impact that such propaganda may have on innocent Filipinos.

    We weren’t looking at this from a public health perspective,” said a senior military officer involved in the program. “We were looking at how we could drag China through the mud.”

    [...]

    Days later [in July 2020], China’s foreign minister announced Beijing would grant Duterte’s plea for priority access to the vaccine, as part of a “new highlight in bilateral relations.

    China’s growing influence fueled efforts by U.S. military leaders to launch the secret propaganda operation Reuters uncovered.

    We didn’t do a good job sharing vaccines with partners,” a senior U.S. military officer directly involved in the campaign in Southeast Asia told Reuters. “So what was left to us was to throw shade on China’s.”

    U.S. military leaders feared that China’s COVID diplomacy and propaganda could draw other Southeast Asian countries, such as Cambodia and Malaysia, closer to Beijing, furthering its regional ambitions.

    A senior U.S. military commander responsible for Southeast Asia, Special Operations Command Pacific General Jonathan Braga, pressed his bosses in Washington to fight back in the so-called information space, according to three former Pentagon officials.

    [...]

    Facebook executives had first approached the Pentagon in the summer of 2020, warning the military that Facebook workers had easily identified the military’s phony accounts, according to three former U.S. officials and another person familiar with the matter. The government, Facebook argued, was violating Facebook’s policies by operating the bogus accounts and by spreading COVID misinformation.

    The military argued that many of its fake accounts were being used for counterterrorism and asked Facebook not to take down the content, according to two people familiar with the exchange. The Pentagon pledged to stop spreading COVID-related propaganda, and some of the accounts continued to remain active on Facebook.

    Nonetheless, the anti-vax campaign continued into 2021 as Biden took office.

    [...]

    By spring 2021, the National Security Council ordered the military to stop all anti-vaccine messaging. [...]

    Nevertheless, the Pentagon’s clandestine propaganda efforts are set to continue. In an unclassified strategy document last year, top Pentagon generals wrote that the U.S. military could undermine adversaries such as China and Russia using “disinformation spread across social media, false narratives disguised as news, and similar subversive activities [to] weaken societal trust by undermining the foundations of government.”

    And in February, the contractor that worked on the anti-vax campaign – General Dynamics IT – won a $493 million contract. Its mission: to continue providing clandestine influence services for the military.

    #Chine #Philippines #vaccin #psyop #désinformation

  • #Nestlé adds sugar to infant milk sold in poorer countries, report finds | Global development | The Guardian
    https://www.theguardian.com/global-development/2024/apr/17/nestle-adds-sugar-to-infant-milk-sold-in-poorer-countries-report-finds

    Campaigners from Public Eye, a Swiss investigative organisation, sent samples of the Swiss multinational’s baby-food products sold in Asia, Africa and Latin America to a Belgian laboratory for testing.

    The results, and examination of product packaging, revealed added sugar in the form of sucrose or honey in samples of #Nido, a follow-up milk formula brand intended for use for infants aged one and above, and #Cerelac, a cereal aimed at children aged between six months and two years.

    In Nestlé’s main European markets, including the UK, there is no added sugar in formulas for young children. While some cereals aimed at older toddlers contain added sugar, there is none in products targeted at babies between six months and one year.

    #criminels #sucre #laits #bébés

  • Rami Ayari sur X :
    https://twitter.com/Raminho/status/1760692660493258923

    In #UNSC mtg on Middle East, @MSF SG Christopher Lockyear says: “Israeli forces have attacked our convoys, detained our staff, bulldozed our vehicles, hospitals have been bombed and raided. And now for a second time, one of our staff shelters has been hit.

    This pattern of attacks is either intentional or indicative of reckless incompetence. Our colleagues in #Gaza are fearful that as I speak to you today, they will be punished tomorrow.”

    He adds: “The humanitarian response in Gaza today is an illusion. A convenient illusion that perpetuates a narrative that this war is being waged in line with international laws.

    Calls for humanitarian assistance have echoed across this chamber. Yet in Gaza we have less and less every day, less space, less medicine, less food, less water, less safety.”

    Doctors Without Borders urgent update on #Gaza to UN Security Council - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=08FEiBklxsA&pp=ygUfbcOpZGVjaW5zIHNhbnMgZnJvbnRpw6hyZXMgZ2F6YQ%3D%3D

    #MSF #Gaza #génocide #génocidaires #criminels #sionisme

  • Adam Johnson sur X :
    https://twitter.com/adamjohnsonCHI/status/1745541816512888912

    Deeply embarrassing puff piece at the worst time possible. Continues promoting discredited liberal mythology that the US is some mitigating humanitarian force rather than the primary protector and weapons supplier for a brutal killing, disease, hunger and displacement machine

    #criminels #sans_vergogne #états-unis

  • Zoraiz sur X : https://twitter.com/_PersianReez/status/1744074546385498429

    A journalist caught an Israeli soldier about to throw a grenade at medics ER Responders ambulance and journalists but he stopped when she caught him on camera this is why reposting about what’s going on in Palestine is so important 🇵🇸

    #vidéo

    https://s3.bolojmd.com/twitter/convert?key=gAAAAABlnHuXno3yzZEkpCl8U7xPbXhI6XmyddIXUbwiQJfnUU8S1P7Zabyy

    #criminels

    • Netanyahu wants Alan Dershowitz to represent Israel at the Hague: Report
      2 January 2024 16:45 GMT
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/netanyahu-wants-alan-dershowitz-represent-israel-hague-report?nid=331

      Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu wants American lawyer Alan Dershowitz to represent Israel at the International Court of Justice in The Hague next week to address allegations Israel is committing genocide in Gaza, according to Axios journalist, Barak Ravid.

      South Africa launched a case on Friday for the International Court of Justice (ICJ) to declare that Israel is committing genocide against the Palestinians in its military campaign in Gaza.

      The submission from Cape Town, which says that Israel is in breach of its obligations under the Genocide Convention, calls for a halt to Israel’s military operations in the besieged enclave.

      Dershowitz is a well-known Jewish-American defence lawyer who has regularly defended Israel in Op-Ed articles and media appearances.

      Dershowitz defended former US President Donald Trump during his Senate impeachment trial.

      #CIJ

    • 05:40 GMT
      https://www.aljazeera.com/news/liveblog/2024/1/3/israel-hamas-war-live-hezbollah-vows-revenge-for-israeli-strike-on-beirut

      Malaysia endorses South Africa’s application to ICJ

      Malaysia has issued a statement welcoming South Africa instituting proceedings against Israel before the International Court of Justice on alleged genocide violations in Gaza.

      “As a fellow party to the Genocide Convention, Malaysia calls on Israel to fulfil its obligations under international law and immediately end its atrocities against Palestinians,” Malaysia’s Ministry of Foreign Affairs wrote in the statement.

      Clayson Monyela, a spokesperson for South Africa’s Department of International Relations and Cooperation, said South Africa expects “more countries … to issue similar statements in the coming days”.

      Clayson Monyela
      @ClaysonMonyela
      2 janv. 2024
      https://twitter.com/ClaysonMonyela/status/1742236235907686709

      #Malaysia has endorsed #SouthAfrica🇿🇦’s application before the ICJ against #Israel. Expect more countries (state parties) to issue similar statements in the coming days.

    • Charlies Ingalls Le Vrai 🤠🐑🐄🐔🐎🤓
      @CharliesIngalls
      9:17 PM · 3 janv. 2024
      https://twitter.com/CharliesIngalls/status/1742641446652346794

      🇵🇸🇿🇦 C’est parti... La Cour internationale de justice #CIJ tiendra des audiences publiques jeudi 11 et vendredi 12 janvier concernant la procédure engagée par l’Afrique du Sud contre Israël pour « génocide » dans la bande de Gaza.

      La plus haute juridiction de l’ONU entendra les arguments de l’Afrique du Sud et d’Israël.

      (Ne pas confondre la CIJ avec la Cour pénale internationale CPI, qui siège également à La Haye et qui juge des individus) !

  • #France : la demande de levée de l’#immunité #parlementaire de #Meyer_Habib rejetée

    "Dans une réponse rendue publique samedi 23 décembre par des députés du mouvement de gauche radicale La France insoumise (LFI), la présidente de l’#Assemblée_nationale #Yaël_Braun_Pivet ont écrit que « les propos tenus par un parlementaire dans l’hémicycle de l’Assemblée sont couverts, conformément à l’article 26 de la Constitution, par le principe d’irresponsabilité, lequel présente un caractère absolu et qu’aucune procédure ne permet de "lever" ».

    Des députés socialistes, écologistes et insoumis avaient mis en cause une phrase prononcée par Meyer Habib, député des Français établis hors de France, lors de la séance de questions au gouvernement mardi.

    « Alors que la ministre (des Affaires étrangères française Catherine Colonna) était invitée à réagir à la mort d’un agent du Quai d’Orsay, à la suite des bombardements israéliens sur un bâtiment d’habitation abritant des civils, le député Meyer Habib a prononcé distinctement, et par deux fois, les mots : "Et ce n’est pas fini !" », des propos pouvant « s’apparenter à l’apologie de crimes de guerre », avaient estimé ces députés.

    Meyer Habib, dont la circonscription comprend #Israël, est un partisan farouche de l’État hébreu, et soutient les bombardements et opérations militaires à #Gaza, déclenchés après les attaques sans précédent du Hamas le 7 octobre dernier en Israël.
    #LFI fustige « les soutiens inconditionnels des criminels de guerre israéliens »

    Le député avait vivement réagi à la démarche de ces élus de gauche, estimant que « leur pétard mouillé n’était qu’un contre-feu grossier pour tenter de faire oublier l’apologie du terrorisme répétée, le négationnisme et l’antisémitisme à l’œuvre dans leurs rangs depuis le 7 octobre ».

    La décision de la présidente de l’Assemblée de rejeter la demande de levée d’immunité suscite ce 23 décembre un vif mécontentement dans les rangs de la gauche radicale.

    « Les soutiens inconditionnels des #criminels_de_guerre israéliens se protègent entre eux. Un député français peut donc en toute tranquillité faire une apologie de crimes de guerre. Quelle honte ! », a déclaré le député Thomas Portes sur la plateforme X (ex-Twitter). "

    https://francais.rt.com/france/108543-france-demande-levee-immunite-parlementaire-meyer-habib

    #politique #international #racisme #suprématisme #racaille #sionisme #fascisme #juif #Palestine #changement #vangauguin

  • L’ignoble (et très lucratif) commerce des #passeurs
    (#infographie publiée en 2015, que je mets ici pour archiver)

    Chaque année, ils sont des milliers à fuir leur pays dans l’espoir de rejoindre des contrées plus clémentes en Afrique du Nord ou en Europe. Venus de la Corne de l’Afrique ou de l’Afrique de l’Ouest, du Nigéria ou de Centrafrique, mais aussi de Syrie depuis le début de la guerre... Ils sont environ 55.000, selon l’Office des Nations unies contre le trafic de drogue et le crime organisé (UNODC). Dans leur fuite, ils financent les #réseaux_des_passeurs. Ces #criminels leur font miroiter un voyage sans encombre, parfois des papiers, voire un travail en Europe. Ce #trafic génère un revenu de quelque 150 millions de dollars par an. Pour ces criminels - en témoigne une vidéo fournie par la police italienne il y a quelques jours -, les migrants ne sont qu’une #marchandise rémunératrice. Tout ce qui peut être source de revenus dans le voyage de ces personnes désespérées est exploité.

    https://www.nouvelobs.com/galeries-photos/monde/20150424.OBS7870/infographie-l-ignoble-et-tres-lucratif-commerce-des-passeurs.html

    voir aussi :
    https://www.seneweb.com/news/Immigration/infographie-l-ignoble-et-tres-lucratif-c_n_153451.html

    #visualisation #cartographie #flèches #business #exploitation

    ... mais qui sont les VRAIS responsables, soit celleux qui mettent en place le #régime_migratoire que l’on connaît aujourd’hui ??? Aucune trace de cette lecture politique dans l’article (ni dans la visualisation)

    ping @reka

  • Senior US Official Appears to Endorse Collective Punishment of Gazans – Mother Jones
    https://www.motherjones.com/politics/2023/11/brett-mcgurk-collective-punishment-gaza-hostages

    At a summit in Bahrain on Saturday, a US official stated that far more humanitarian aid would be allowed into Gaza if Hamas released the hostages it is holding. In doing so, Brett McGurk, the White House Coordinator for the Middle East and North Africa, effectively conceded that Israel is subjecting the people of Gaza to collective punishment.

    Collective punishment is a war crime.

    “A release of large numbers of hostages would result in a significant pause in fighting. A significant pause in fighting,” McGurk stated, “and a massive surge of humanitarian relief. Hundreds and hundreds of trucks on a sustained basis entering Gaza from Egypt.”

    “This is the pathway to a pause in the fighting. The release of hostages,” McGurk added. “The onus here is on Hamas. This is the path. Simply calling for ceasefire is not a path to peace.”

    Jeremy Konyndyk, president of Refugees International, argued that McGurk’s words violated the laws of armed conflict.

    McGurk explained the United States would keep its disagreements with Israel private. “ We will not tell another country how to grieve or how to protect itself, ” McGurk said. “But as friends and partners, we will do our best. And offer our best advice and counsel.”

    McGurk […] is now one of the most influential advisers shaping Biden’s response to the war in Gaza .

    #Leadership #criminels #états-unis

  • Lebanon: Israeli Strike an Apparent War Crime | Human Rights Watch
    https://www.hrw.org/news/2023/11/14/lebanon-israeli-strike-apparent-war-crime

    That evening, the Israeli military admitted carrying out the strike, telling the Times of Israel it “struck a vehicle in Lebanese territory that was identified as a suspicious vehicle containing several terrorists […] The claim that there were several uninvolved civilians in the vehicle is being examined. The event is under review.” According to Human Rights Watch research, they have provided no further evidence to justify their claim.

    […]

    In a televised interview the night of the attack, Ayoub said that shortly before the strike, the two cars had stopped at a small shop in Aitaroun. Human Rights Watch reviewed a video recording provided by Ayoub from the CCTV camera at the shop showing the family’s vehicle and geolocated it to be around 1.7 kilometers from the attack site, confirming Ayoub’s account.

    The CCTV footage shows a child and a woman, identified as the mother and Liane, with Ayoub, leaving the shop. The footage shows at least two young girls in the back seat of the car and two women in the front seats.

    #assassinat #civils #criminels

  • Donc, selon le ministère des affaires étrangères étasunien le nombre de Palestiniens assassinés par l’armée de l’état sioniste est « probablement bien plus élevé que celui fourni » par le Hamas.

    Death toll in Gaza likely ‘higher than is being reported’ : US official | The Hill
    https://thehill.com/policy/international/4301551-gaza-deaths-likely-higher-than-cited-us-official

    A senior Biden administration official said the death toll of Palestinians in the Gaza Strip is likely far higher than the 10,000 number being reported by the health ministry amid Israel’s war against Hamas.

    Barbara Leaf, assistant secretary of State for Near Eastern Affairs, told a House panel those killed more than one month into the war are likely “higher than is being cited.”

    #civils #victimes_civiles #criminels #vitrine_de_la_jungle