Le criminel Arnaud Mimran se lâche depuis sa prison sur Nétanyahou et Meyer Habib | Mediapart
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/240923/le-criminel-arnaud-mimran-se-lache-depuis-sa-prison-sur-netanyahou-et-meye
Le criminel Arnaud Mimran se lâche depuis sa prison sur Nétanyahou et Meyer Habib | Mediapart
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/240923/le-criminel-arnaud-mimran-se-lache-depuis-sa-prison-sur-netanyahou-et-meye
Tikun Olam sur X : “Disgusting hypocrisy. I hope the Iranian UN ambassador will hold up a similar picture of murdered Palestinian mothers or Israeli Jewish women raped, or murdered in honor killings.” / X
▻https://twitter.com/richards1052/status/1704621937354506423
For Decades, I Defended Israel From Claims of #Apartheid. I No Longer Can - Israel News - Haaretz.com
▻https://www.haaretz.com/israel-news/2023-08-10/ty-article-opinion/.highlight/for-decades-i-defended-israel-from-claims-of-apartheid-i-no-longer-can/00000189-d4ac-d821-afdd-dfacb4060000
At the conference, I was disturbed and angered by the multitude of lies and exaggerations about Israel. During the years since, I have argued with all my might against the accusation that Israel is an apartheid state: in lectures, newspaper articles, on TV and in a book.
However, the accusation is becoming fact. First, the Nation-State law elevates Jews above fellow citizens who are Arab – Muslim, Druze, Bedouin, and Christian. Every day sees government ministers and their allies venting racism, and following up with discriminatory actions. There is no mercy even for the Druze who, like Jews, have been conscripted into the military since 1948.
Second, Israel can no longer claim security as the reason for our behavior in the West Bank and the siege of Gaza. After 56 years, our occupation can no longer be explained as temporary, pending a solution to the conflict with Palestinians. We are heading toward annexation, with calls to double the 500,000 Israeli settlers already in the West Bank.
Benjamin Pogrund (born 1933) is a South African-born Israeli author.
Il n’est donc pas neutre, et donc voilà, son propos ne peut pas être lu sans arrière-pensée et donc, nananère, Israel n’est pas un apartheid.
Mon dieu ! On en est encore là ?
#impunité #complicité #criminels #communauté_internationale
#vitrine_de_la_jungle
sarah sur X :
“International rules-based order”
Mort de Zineb Redouane : l’enquête judiciaire s’interroge sur une « responsabilité médicale » des pompiers et de l’hôpital de la Conception, à Marseille
Depuis les faits, aucun policier n’a été mis en cause par la justice. Pourtant, dans son rapport détaillé d’avril 2021 que Le Monde a pu consulter, l’inspection générale de la police nationale (IGPN) avait « mis en lumière un manquement professionnel et un comportement contraire à la déontologie policière » concernant le CRS qui a tiré et son superviseur. Et l’IGPN de conclure que tous deux avaient « manqué à l’obligation de discernement » – le premier « par une action manifestement inadaptée », le second « par une décision manifestement inadaptée » – demandant « le renvoi en conseil de discipline de ces deux policiers ».
Dans ce rapport, « la police des polices » avait reconstitué la soirée du 1er décembre 2018 et décrit un climat « insurrectionnel » autour du domicile de Zineb Redouane, dans une atmosphère saturée de gaz lacrymogènes (200 grenades lancées lors de la manifestation). Et avait noté, concernant le tir mis en cause, que la « fatigue, [le] manque de visibilité, [la] tension et [la] nécessité légalement établie à riposter ont probablement pesé dans la décision du superviseur de l’autoriser, et celle du tireur, de l’effectuer ». Pour autant, l’Inspection avait pointé qu’« en effectuant un tir au Cougar, d’une munition ayant une portée de 100 mètres, alors qu’il se trouvait à 33 mètres de la façade d’un immeuble d’habitation (…), et qu’avec ou sans visibilité, il ne pouvait imaginer disposer d’un espace suffisant pour tirer une telle munition sans prendre le risque d’un dommage non souhaité et/ou que ce tir soit inefficace ». D’autant que le tireur « disposait d’un temps de réflexion » avant de lancer sa grenade.
Malgré ces remarques et conclusions, Frédéric Veaux, le directeur général de la police nationale, avait décidé, en octobre 2021, de ne pas suivre l’avis de l’IGPN. Sollicité pour expliciter son choix, M. Veaux n’a pas, pour le moment, répondu à la demande du Monde.
▻https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/07/24/mort-de-zineb-redouane-l-enquete-judiciaire-s-interroge-sur-une-responsabili
Frédéric Veaux
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Veaux
Par arrêté du 24 décembre 2009, Frédéric Veaux est nommé directeur central adjoint opérationnel du renseignement intérieur11 et devient de fait l’adjoint de Bernard Squarcini, directeur central du Renseignement intérieur (DCRI)3. À ce poste, il est cité dans l’« affaire des fadettes », où la DCRI est accusée d’avoir cherché à identifier les sources du Monde pour l’affaire Woerth-Bettencourt12,13,14,15. Aucune poursuite n’est retenue contre lui2.
Après l’élection de François Hollande à la présidence de la République en 2012, il est limogé de la DCRI par le nouveau ministre de l’Intérieur Manuel Valls, en même temps que Bernard Squarcini16,3,17. Il retourne dans son service d’origine, la police judiciaire, dont il devient directeur central adjoint à partir du 3 juin 2013.
Le Canard Enchaîné révèle que le capitaine des #CRS suspectés de la mort de Zineb Redouane a refusé de fournir les 5 lanceurs Cougar dont l’analyse balistique aurait permis d’identifier le tireur. L’#IGPN n’a pas insisté...
on préfère orienter l’enquête vers le système de soins et les soignants, tout comme il ya aujourd’hui des fafs bien racinés qui soulignent que ce n’est pas la police mais les chirurgiens qui ont ôté une partie de la boite crânienne d’Hedi (ça rame : le bobino Konbini a atteint 25 millions de vues).
rappel : dans l’affaire Zekler, tabassé, les policiers ont affirmé que celui-ci avait cherché à se saisir de leur armes, avant qu’une vidéo vienne démentir leur intox (des pv qui doivent avoir valeur de preuve, ont-ils dit, comme si leurs mensonges ne pesaient pas déjà assez lourd)
#criminels_en_bande_organisée #killing_an_arab
2020 : IL DÉNONCE LA PROMOTION DU CRS IMPLIQUÉ DANS LA MORT DE ZINEB REDOUANE (@LeMediaTV)
▻https://twitter.com/LeMediaTV/status/1301603370462052352
La personne qui a pris le commandement de notre compagnie, c’est le capitaine Bruno Félix. Et c’est le capitaine qui dirigeait la compagnie à Marseille lors du décés de Zineb Redouane.
comme dit ce flic (@LabasOfficiel
▻https://twitter.com/LabasOfficiel/status/1685198515226722304
« il a glissé, il est tombé la tête sur le carrelage, en fait il s’est fait tabasser au commissariat (...) on protège les plus violents parce que les plus violents c’est ceux qui rapporte le plus de chiffre » [arrestations, « affaires »]
un superbe mix virilisme armé, productivisme, bureaucratie, omerta
Palestinian boy killed by Israeli sniper in Jenin was unarmed, CCTV suggests
▻https://www.thetimes.co.uk/article/palestinian-boy-killed-by-israeli-sniper-in-jenin-was-unarmed-cctv-sugge
Video has emerged of the moment a 16-year-old unarmed Palestinian boy was shot dead by a sniper during the Jenin military operation there last week, exploding Israel’s claims that only combatants were killed.
The video, which The Times has verified with eyewitnesses, as well as with the parents of the dead teenager, appears to capture the moment Abdulrahman Hasan Ahmad Hardan died as he stood in front of the al-Amal hospital, after responding to a call from the mosque in his village to donate blood.
#criminels #sionisme #victimes_civiles #impunité #vitrine_de_la_jungle
Top Israeli officials criminally liable for knowingly ordering strike expected to harm civilians, including children, in the Gaza Strip | B’Tselem
▻http://www.btselem.org/gaza_strip/20230614_top_Israeli_officials_criminally_liable_for_knowingly_ordering_str
#vitrine_de_la_jungle #sionisme #victimes_civiles #crimes #criminels #impunité
Israel’s Annexation of the West Bank Has Already Begun | Foreign Affairs
▻https://www.foreignaffairs.com/israel/israels-annexation-west-bank-has-already-begun
Israel’s coalition government, the most right-wing in the country’s history, has come under fire for proposing reforms that would weaken the judiciary and dismantle checks and balances. They provoked some of the biggest protests ever seen in Israel and were eventually put on hold after a tremendous international and domestic backlash. But another move by the government—a bureaucratic change that has hardly drawn any attention—is just as significant.
[…]
The transfer of authority is in fact the culmination of decades of policies that have guaranteed Israel’s hold on the Palestinian territories. But the government has now crossed a threshold that represents a momentous—and likely cataclysmic—transformation in Israel’s position with respect to international law. Israel now has no need to formally declare the annexation of the West Bank. The deed is done.
Israel Shelves Plans for Controversial Construction That Would Effectively Cut West Bank in Two - Israel News - Haaretz.com
▻https://www.haaretz.com/israel-news/2023-06-09/ty-article/.premium/israel-shelves-plans-for-controversial-construction-that-would-cut-west-bank-in-two/00000188-a1c4-d3a7-adcf-b1cfa3fa0000
Israel is shelving controversial plans for a new housing project in Area E-1 of the occupied West Bank. The plan drew international criticism since construction in this area would sever the territorial link between the northern and southern parts of the West Bank, making it almost impossible to establish a contiguous Palestinian state in the future.
Cisjordanie : des milliers de colons israéliens marchent jusqu’à l’avant-poste d’Eviatar
Publié le : 10/04/2023 - Avec notre envoyée spéciale à Beita, Alice Froussard
▻https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20230410-cisjordanie-des-milliers-de-colons-isra%C3%A9liens-marchent-jusqu-%C3%A
Les colons israéliens ont marché ce lundi 10 avril par milliers au cœur de la Cisjordanie occupée, jusqu’à l’avant-poste israélien d’Eviatar, à proximité de la ville de Naplouse, où 53 familles israéliennes qui s’y étaient installées illégalement avaient été évacuées il y a deux ans.
Dans le cortège, il y a des drapeaux israéliens, des soldats tous les dix mètres, des familles avec des poussettes, des étudiants des yeshivas. Tous sont venus en bus des quatre coins du pays ou des colonies alentours. Beaucoup sont armés, lourdement, pistolets à la ceinture, fusil d’assaut en bandoulière. On trouve aussi parmi les marcheurs sept ministre du gouvernement, ainsi qu’une vingtaine de membres de la Knesset, le Parlement israélien.
Deux ans après l’évacuation des familles qui s’étaient installées à l’avant-poste d’Eviatar, les colons demandent le droit de revenir y vivre et poussent pour la légalisation du lieu, construit sur les terres palestiniennes des villages voisins de Beita et Qabalan. « Nous sommes ici pour renforcer Israël, pour renforcer les colonies, et pour dire à ceux qui ne nous aiment pas que nous sommes là pour rester, explique Elad Lepkifker, 40 ans, qui a fait le déplacement de Jérusalem. C’est notre seul pays. Et ici, nous sommes entourés de nombreux villages arabes, c’est possiblement plus dangereux. Alors, c’est très important d’avoir nos armes avec nous. » (...)
A million lives later, I cannot forgive what American terrorism did to my country, Iraq | Sinan Antoon | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/commentisfree/2023/mar/19/violence-us-invasion-iraq-bombs-al-qaida-islamic-state
Last December, the US navy proudly announced that its next amphibious assault ship will be named “ Fallujah ”. This may seem shocking, but it is part and parcel of settler-colonial culture. Apache, Lakota, Cheyenne and other names of native tribes still suffering the ongoing effects of American settler-colonialism are now the names of lethal weapons. A million lives later, this is what American terrorism has done to Iraq.
20 Years Ago: U.S. Invasion of Iraq — Based on Lies
▻https://the-spark.net/np1173802.html
The United States invaded Iraq on March 20, 2003, after an enormous propaganda campaign.
We were told that Iraq had “weapons of mass destruction” … whatever that exactly meant, coming from the U.S., the only country to have ever used nuclear weapons in a war. The U.S. had given Iraq chemical weapons during the Iran-Iraq war in the 1980s. But after the invasion, no WMDs were ever found.
We were told that Iraq was linked to terrorists. Without saying so exactly, President George W. Bush and those around him implied that Iraq had something to do with the 9/11 attacks. But in fact, there was NO connection between Iraq and 9/11. No al Qaeda members were even active in Iraq—until after the U.S. invasion.
We were also told that Iraq’s president, Saddam Hussein, was a brutal dictator. This was true—but all the propaganda conveniently left out the U.S. role in helping Hussein take and consolidate power, as well as the U.S. role in arming his regime against Iran.
The Bush government’s lies and misinformation were exposed before the U.S. attacked. And yet, Democrats and Republicans both lined up for war. Even those in Congress who voted against authorizing the invasion continued to vote to fund it, year after year after year.
The result for the Iraqi people was a disaster, with hundreds of thousands killed, ethnicity set against ethnicity, and the economy wrecked.
The working class in this country also paid a heavy price. Thousands of soldiers were killed and wounded, both mentally and physically. Huge sums of money were drained from our taxes and from the services we need. And deep moral damage was inflicted on the U.S. population that went along with this dirty imperialist war based on lies.
As the volume of the war propaganda drums increases once again, this time against Russia and China, we have every reason to remember the lies behind the Iraq war. As the old saying goes, fool me once, shame on you. Fool me twice, shame on me.
‘Everything Living Is Dying’ : Environmental Ruin in Modern Iraq
▻https://undark.org/2021/12/22/ecocide-iraq
As far back as 2005, the United Nations had estimated that Iraq was already littered with several thousand contaminated sites. Five years later, an investigation by The Times, a London-based newspaper, suggested that the U.S. military had generated some 11 million pounds of toxic waste and abandoned it in Iraq. Today, it is easy to find soil and water polluted by depleted uranium, dioxin and other hazardous materials, and extractive industries like the KAR oil refinery often operate with minimal transparency.
Israeli troops fired into group of Palestinian civilians in Nablus - Washington Post
▻https://www.washingtonpost.com/investigations/interactive/2023/palestine-shooting-nablus-videos
Israeli security forces in an armored vehicle fired repeatedly into a group of civilians sheltering between a mosque and a clinic after a Feb. 22 raid in the occupied West Bank city of Nablus, killing two people, including a teenager, and wounding three others, according to witnesses and a visual reconstruction of the event by The Washington Post.
#crimes #criminels #impunité #vitrine_de_la_jungle #sionisme #civils #victimes_civiles
L’UE et le Maroc veulent engager Israël dans une coopération « trilatérale » – EURACTIV.fr
▻https://www.euractiv.fr/section/monde/news/lue-et-le-maroc-veulent-engager-israel-dans-une-cooperation-trilaterale
portrait détaillé du : #Yevgeny_Prigozhin: the hotdog seller who rose to the top of Putin’s war machine | Russia | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/2023/jan/24/yevgeny-prigozhin-the-hotdog-seller-who-rose-to-the-top-of-putin-war-ma
▻https://i.guim.co.uk/img/media/9504377ca7d9d2fd38c4ca9c5be5499cad495f0d/809_74_2194_1317/master/2194.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
After nearly a decade in prison, the #Wagner_group founder’s ascent was extraordinary. But where does the ceiling of his ambition lie? Some of those who knew him describe his path to power
la suite plus ou moins :
▻https://www.theguardian.com/world/2023/feb/10/wagner-convict-soldiers-return-from-ukraine-russia-mercenary-group
Anatoly Salmin, a convicted thief and murderer, is home from prison years ahead of schedule, his reward for volunteering for a suicide mission in Russia’s war in Ukraine – and then managing to survive.
Hundreds of convicts recruited into the ranks of Wagner, a private military company tied to the businessman Yevgeny Prigozhin, have been killed or severely wounded in Ukraine, where the mercenaries have been tasked with some of Russia’s most desperate campaigns.
But a video released last month showed several dozen former convicts – among them murderers, drug dealers and domestic abusers – now heading to their home towns in northern Russia, supposedly having earned pardons by surviving six months in Wagner’s ranks in Ukraine.
#Russie #prison #chiens_de_guerre #crimes_de_guerre #criminels #criminalité #fucking_flip_total #survie
David Fisman sur Twitter :
School air vs #Davos WEF air H/t LibDemPatrick @sunflowercyn
Dr. Yara Hawari د. يارا هواري sur Twitter :
We told you so. In fact we’ve told you for decades. The reason Netanyahu can spout this kind of fascism and colonial violence is because of decades of impunity and international complicity.
Ursula von der Leyen sur Twitter : ▻https://twitter.com/vonderleyen/status/1608512029207457794
Congratulations Benjamin netanyahu on your 6th term as Prime Minister of Israel. Looking forward to working on strengthening our partnership, promoting peace in the Middle East and addressing the shockwaves of Russia’s war against Ukraine.
Xavier Abu Eid sur Twitter :
Zionist settlers attacking our Episcopal cemetery in #Jerusalem. Some people are having a party between Netanyahu’s ally Ben Gvir & the impunity granted by their western friends. Yes, please keep talking about “shared values” and “rock solid relationship”
Migration: Wie Deutschland Einwanderung neu regeln will
Den Arbeitgebern fehlen hunderttausende Fachkräfte. Die Regierung will Einwanderung und Staatsbürgerschaft reformieren - und neue Chancen für Geduldete schaffen.
„#We_need_you“ - „#Wir_brauchen_Sie“, so wirbt Wirtschaftsminister Robert Habeck auf dem Portal der Bundesregierung „Make it in Germany“ (▻https://www.make-it-in-germany.com/en) in einem englischen Video um Arbeitskräfte aus dem Ausland (▻https://www.dw.com/de/deutschland-sucht-dringend-arbeitskr%C3%A4fte/a-62598680). Deutschland sei ein vielfältiges Einwanderungsland, betont Innenministerin #Nancy_Faeser, die Regierung wolle einen „Neustart in der Migrationspolitik“. Menschen, die nach Deutschland gekommen sind, „haben sehr dazu beigetragen, dass unsere Wirtschaft so stark ist, wie sie heute ist“, sagt Bundeskanzler Olaf Scholz in seiner jüngsten Videobotschaft. Er wirbt wie Faeser für Erleichterungen beim Staatsbürgerschaftsrecht (▻https://www.dw.com/de/wie-h%C3%A4lt-es-europa-mit-dem-doppelpass/a-63927440).
Deutschland fehlen immer mehr Fach- und Arbeitskräfte: in Technik und Handwerk, der Gastronomie, Logistik, Erziehung oder Pflege. Wenn die geburtenstarken Jahrgänge der Babyboomer demnächst in Rente gehen, verschärft sich das Problem. „Für viele Betriebe ist die Suche nach Fachkräften schon heute eine existenzielle Frage“, warnte Bundesarbeitsminister Hubertus Heil, gerade mit Blick auf Digitalisierung und Klimaschutz. Ziel sei es, das modernste Einwanderungsrecht in Europa zu schaffen.
▻https://twitter.com/BMAS_Bund/status/1597966160972042243Chancen für Zuwanderer und für Deutschland
Die Ampel-Regierung aus Sozialdemokraten (SPD), Grünen und der liberalen FDP hat schon im Koalitionsvertrag angekündigt, das Einwanderungsrecht weiterzuentwickeln (►https://www.dw.com/de/ampelkoalition-einwanderung-wird-leichter-gemacht/a-59946490). Offener und einfacher soll es werden.
Drei Änderungspakete rund um die Migration hat die Ampel erarbeitet: zur Asylgesetzgebung und Chancen für Geduldete, der Fachkräfteeinwanderung und zur Staatsbürgerschaft. Viel ist die Rede von Chancen für Zuwanderer, doch es geht auch um Chancen für Deutschland (►https://www.dw.com/de/arbeitskr%C3%A4ftemangel-deutschlands-greencard-pl%C3%A4ne/a-63055635).
Ein erstes Migrations-Paket der Ampel wurde bereits einmal im Bundestag beraten und soll in Kürze beschlossen werden.
Chancen-Aufenthaltsrecht für Geduldete
Ende vergangenen Jahres lebten in Deutschland gut 240.000 Menschen mit dem Status Duldung: Ihr Asylantrag wurde abgelehnt, ihre Abschiebung aber befristet ausgesetzt - zum Beispiel wegen einer Gefährdung im Heimatland, schwerer Krankheit oder fehlender Reisedokumente. Trotz jahrelanger Kettenduldung können Menschen von jetzt auf gleich abgeschoben werden, auch wenn sie gut integriert sind, arbeiten und ihre Kinder zur Schule gehen.
Die Ampel will das ändern: Wer zum Stichtag 1.10.2022 seit mindestens fünf Jahren geduldet in Deutschland gelebt hat, soll für eineinhalb Jahre das neue Chancen-Aufenthaltsrecht (►https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/pressemitteilungen/DE/2022/07/chancen-aufenthaltsrecht.html) bekommen. Infrage kommen rund 136.000 Personen. Wer keine Straftaten begangen hat, kann in dieser Probezeit die Voraussetzungen für ein Bleiberecht schaffen.
Innenministerin Faeser erklärt das so: „Dazu gehört vor allem, dass sie ihren Lebensunterhalt selbst bestreiten, dass sie Deutsch sprechen und ihre Identität eindeutig nachweisen können.“ Wenn alle Voraussetzungen erfüllt sind, erhalten sie ein dauerhaftes Bleiberecht in Deutschland. Das gäbe Betroffenen und Arbeitgebern Sicherheit. Auch die Behörden wären entlastet.
Schnelleres Bleiberecht
Gut integrierte Jugendliche und junge Erwachsene bis zum 27. Lebensjahr sollen schon nach drei Jahren Aufenthalt in Deutschland ein Bleiberecht bekommen können. Bei allen anderen Geduldeten mit besonderen Integrationsleistungen wird die Wartezeit um zwei Jahre verkürzt auf sechs, oder vier Jahre, wenn bei ihnen minderjährige Kinder leben.
Integrationskurse für alle
Alle Asylbewerber sollen von Anfang an Zugang zu Integrations- und Berufssprachkursen erhalten, unabhängig von ihrer Bleibeperspektive. Die Bundesregierung will so Teilhabe und den gesellschaftlichen Zusammenhalt fördern, heißt es. Zudem soll eine unabhängige Beratung fürs Asylverfahren geben.
Schnellere Asylverfahren?
Die Regierung will Asylverfahren beschleunigen, zum Beispiel, indem Fälle schneller ans Bundesverwaltungsgericht abgegeben werden. Musterentscheidungen könnten auf ähnliche Fälle übertragen werden.
Abschiebungen
Die Rückführung von Menschen, die nicht bleiben können, soll konsequenter als bisher durchgesetzt werden, so formuliert es das Bundesinnenministerium. Das gelte besonders für Straftäter und Gefährder. Für sie sollen Ausweisung und Abschiebungshaft erleichtert werden.
Leichterer Familiennachzug für Fachkräfte
Um Deutschland für Fachkräfte aus Drittstaaten, also Nicht-EU-Staaten, attraktiver zu machen, wird der Familiennachzug erleichtert: Angehörige von Fachkräften müssen dann vor der Einreise keinen Nachweis über Sprachkenntnisse mehr vorlegen.
In einem zweiten Migrations-Paket geht es ausdrücklich um die Fachkräfte-Einwanderung. Fünf Ministerien haben sich auf Eckpunkte geeinigt, die das Bundeskabinett beschlossen hat.
Fachkräfte-Einwanderung
„Deutschland benötigt branchenübergreifend dringend Fachkräfte. Deshalb müssen alle Potenziale im In- und Ausland gehoben werden“ - so lauten die ersten Sätze im Eckpunkte-Papier zur Fachkräfte-Einwanderung aus Drittstaaten (▻https://www.bmas.de/SharedDocs/Downloads/DE/Pressemitteilungen/2022/eckpunkte-fachkraefteeinwanderung-drittstaaten.pdf?__blob=publicationFile&v=5). Die Bundesanstalt für Arbeit geht davon aus, dass Deutschland jedes Jahr einen Zuzug von 400.000 Arbeitskräften aus dem Ausland benötigt. Bisher kamen viele aus anderen EU-Staaten nach Deutschland, doch auch hier macht sich der demografische Wandel bemerkbar.
Seit 2020 gibt es ein Fachkräfte-Einwanderungsgesetz, doch der Zuzug aus Nicht-EU-Staaten nach Deutschland hält sich in Grenzen - und schrumpfte in der Corona-Pandemie: 2019 kamen gut 39.000 Menschen aus Drittstaaten zum Arbeiten nach Deutschland, gerade einmal 0,1 Prozent der Gesamtzahl an inländischen Arbeitskräften. 2020 waren es dann nur noch gut 29.000.
Kritiker und Unternehmer bemängeln bürokratische Hürden, zu langsam arbeitende Behörden und mangelnde Digitalisierung. Vor allem die Visa-Vergabe bei den Botschaften verlaufe schleppend. Die Ampel will einige Regeln ändern.
#Blue_Card EU für Akademiker
Die EU-weite Blaue Karte für hochqualifizierte Fachkräfte (▻https://www.bamf.de/DE/Themen/MigrationAufenthalt/ZuwandererDrittstaaten/Migrathek/BlaueKarteEU/blauekarteeu-node.html) - analog zur Green Card in den USA - wurde in Deutschland vor zehn Jahren eingeführt. Ohne Vorrangprüfung, ob Deutsche oder EU-Bürger verfügbar wären, und ohne Sprachkenntnisse können Akademiker damit für ein Beschäftigungsverhältnis einreisen. Sie müssen bestimmte Mindesteinkommen erzielen, um Lohndumping auszuschließen.
Die Ampelkoalition will die Gehaltsgrenzen senken, die bisher weit über 50.000 Euro im Jahr liegen. Niedrigere Sätze gibt es für bestimmte Mangelberufe in der Medizin, der IT oder bei Ingenieuren - auch für Berufsanfänger soll das künftig gelten.
Fachkräfte mit Berufsausbildung
Servicekräfte, Köche, Baufachleute, Energietechnikerinnen, LKW-Fahrer, Erziehungs- und Pflegekräfte, die Liste der Mangelberufe wird immer länger. Die Ampelparteien wollen die Vorteile der Blue Card auf nichtakademische Berufe ausweiten, heißt es im Koalitionsvertrag.
Fachkräfteeinwanderung
Migration: Wie Deutschland Einwanderung neu regeln will
Den Arbeitgebern fehlen hunderttausende Fachkräfte. Die Regierung will Einwanderung und Staatsbürgerschaft reformieren - und neue Chancen für Geduldete schaffen.
Eine junge Frau mit langen dunklen Haaren in blauer Jacke hält einen Schraubenzieher in der Hand und montiert etwas an einer grauen Wand mit Schaltungen. Im Hintergrund sind einige Männer zu sehen, die ebenfalls im Sitzen oder Stehen arbeiten
Technik- und Handwerksbetriebe, aber auch viele andere Branchen in Deutschland suchen dringend Auszubildende, Arbeits- und Fachkräfte
„We need you“ - „Wir brauchen Sie“, so wirbt Wirtschaftsminister Robert Habeck auf dem Portal der Bundesregierung „Make it in Germany“ in einem englischen Video um Arbeitskräfte aus dem Ausland. Deutschland sei ein vielfältiges Einwanderungsland, betont Innenministerin Nancy Faeser, die Regierung wolle einen „Neustart in der Migrationspolitik“. Menschen, die nach Deutschland gekommen sind, „haben sehr dazu beigetragen, dass unsere Wirtschaft so stark ist, wie sie heute ist“, sagt Bundeskanzler Olaf Scholz in seiner jüngsten Videobotschaft. Er wirbt wie Faeser für Erleichterungen beim Staatsbürgerschaftsrecht.
Deutschland fehlen immer mehr Fach- und Arbeitskräfte: in Technik und Handwerk, der Gastronomie, Logistik, Erziehung oder Pflege. Wenn die geburtenstarken Jahrgänge der Babyboomer demnächst in Rente gehen, verschärft sich das Problem. „Für viele Betriebe ist die Suche nach Fachkräften schon heute eine existenzielle Frage“, warnte Bundesarbeitsminister Hubertus Heil, gerade mit Blick auf Digitalisierung und Klimaschutz. Ziel sei es, das modernste Einwanderungsrecht in Europa zu schaffen.
Chancen für Zuwanderer und für Deutschland
Die Ampel-Regierung aus Sozialdemokraten (SPD), Grünen und der liberalen FDP hat schon im Koalitionsvertrag angekündigt, das Einwanderungsrecht weiterzuentwickeln. Offener und einfacher soll es werden.
Drei Änderungspakete rund um die Migration hat die Ampel erarbeitet: zur Asylgesetzgebung und Chancen für Geduldete, der Fachkräfteeinwanderung und zur Staatsbürgerschaft. Viel ist die Rede von Chancen für Zuwanderer, doch es geht auch um Chancen für Deutschland.
Ein erstes Migrations-Paket der Ampel wurde bereits einmal im Bundestag beraten und soll in Kürze beschlossen werden.
Chancen-Aufenthaltsrecht für Geduldete
Ende vergangenen Jahres lebten in Deutschland gut 240.000 Menschen mit dem Status Duldung: Ihr Asylantrag wurde abgelehnt, ihre Abschiebung aber befristet ausgesetzt - zum Beispiel wegen einer Gefährdung im Heimatland, schwerer Krankheit oder fehlender Reisedokumente. Trotz jahrelanger Kettenduldung können Menschen von jetzt auf gleich abgeschoben werden, auch wenn sie gut integriert sind, arbeiten und ihre Kinder zur Schule gehen.
Die Ampel will das ändern: Wer zum Stichtag 1.10.2022 seit mindestens fünf Jahren geduldet in Deutschland gelebt hat, soll für eineinhalb Jahre das neue Chancen-Aufenthaltsrecht bekommen. Infrage kommen rund 136.000 Personen. Wer keine Straftaten begangen hat, kann in dieser Probezeit die Voraussetzungen für ein Bleiberecht schaffen.
3:09 min
Deutschland: Neue Chance für Geduldete
Innenministerin Faeser erklärt das so: „Dazu gehört vor allem, dass sie ihren Lebensunterhalt selbst bestreiten, dass sie Deutsch sprechen und ihre Identität eindeutig nachweisen können.“ Wenn alle Voraussetzungen erfüllt sind, erhalten sie ein dauerhaftes Bleiberecht in Deutschland. Das gäbe Betroffenen und Arbeitgebern Sicherheit. Auch die Behörden wären entlastet.
Schnelleres Bleiberecht
Gut integrierte Jugendliche und junge Erwachsene bis zum 27. Lebensjahr sollen schon nach drei Jahren Aufenthalt in Deutschland ein Bleiberecht bekommen können. Bei allen anderen Geduldeten mit besonderen Integrationsleistungen wird die Wartezeit um zwei Jahre verkürzt auf sechs, oder vier Jahre, wenn bei ihnen minderjährige Kinder leben.
Integrationskurse für alle
Alle Asylbewerber sollen von Anfang an Zugang zu Integrations- und Berufssprachkursen erhalten, unabhängig von ihrer Bleibeperspektive. Die Bundesregierung will so Teilhabe und den gesellschaftlichen Zusammenhalt fördern, heißt es. Zudem soll eine unabhängige Beratung fürs Asylverfahren geben.
Schnellere Asylverfahren?
Die Regierung will Asylverfahren beschleunigen, zum Beispiel, indem Fälle schneller ans Bundesverwaltungsgericht abgegeben werden. Musterentscheidungen könnten auf ähnliche Fälle übertragen werden.
Abschiebungen
Die Rückführung von Menschen, die nicht bleiben können, soll konsequenter als bisher durchgesetzt werden, so formuliert es das Bundesinnenministerium. Das gelte besonders für Straftäter und Gefährder. Für sie sollen Ausweisung und Abschiebungshaft erleichtert werden.
Leichterer Familiennachzug für Fachkräfte
Um Deutschland für Fachkräfte aus Drittstaaten, also Nicht-EU-Staaten, attraktiver zu machen, wird der Familiennachzug erleichtert: Angehörige von Fachkräften müssen dann vor der Einreise keinen Nachweis über Sprachkenntnisse mehr vorlegen.
Auf einem Eisengitter bücken sich zwei Männer in Arbeitskleidung und befestigen Drähte
Auch in der Baubranche in Deutschland werden dringend Fachkräfte gesucht
In einem zweiten Migrations-Paket geht es ausdrücklich um die Fachkräfte-Einwanderung. Fünf Ministerien haben sich auf Eckpunkte geeinigt, die das Bundeskabinett beschlossen hat.
Fachkräfte-Einwanderung
„Deutschland benötigt branchenübergreifend dringend Fachkräfte. Deshalb müssen alle Potenziale im In- und Ausland gehoben werden“ - so lauten die ersten Sätze im Eckpunkte-Papier zur Fachkräfte-Einwanderung aus Drittstaaten. Die Bundesanstalt für Arbeit geht davon aus, dass Deutschland jedes Jahr einen Zuzug von 400.000 Arbeitskräften aus dem Ausland benötigt. Bisher kamen viele aus anderen EU-Staaten nach Deutschland, doch auch hier macht sich der demografische Wandel bemerkbar.
Seit 2020 gibt es ein Fachkräfte-Einwanderungsgesetz, doch der Zuzug aus Nicht-EU-Staaten nach Deutschland hält sich in Grenzen - und schrumpfte in der Corona-Pandemie: 2019 kamen gut 39.000 Menschen aus Drittstaaten zum Arbeiten nach Deutschland, gerade einmal 0,1 Prozent der Gesamtzahl an inländischen Arbeitskräften. 2020 waren es dann nur noch gut 29.000.
Infografik - Fachkräfteengpässe - DE
Diese Probleme nannten Arbeitgeber, die ausländische Fachkräfte beschäftigen
Kritiker und Unternehmer bemängeln bürokratische Hürden, zu langsam arbeitende Behörden und mangelnde Digitalisierung. Vor allem die Visa-Vergabe bei den Botschaften verlaufe schleppend. Die Ampel will einige Regeln ändern.
Blue Card EU für Akademiker
Die EU-weite Blaue Karte für hochqualifizierte Fachkräfte - analog zur Green Card in den USA - wurde in Deutschland vor zehn Jahren eingeführt. Ohne Vorrangprüfung, ob Deutsche oder EU-Bürger verfügbar wären, und ohne Sprachkenntnisse können Akademiker damit für ein Beschäftigungsverhältnis einreisen. Sie müssen bestimmte Mindesteinkommen erzielen, um Lohndumping auszuschließen.
Ein Finger zeigt auf das Wort Aufenthaltstitel auf einer Plastikkarte
So sieht die „Blaue Karte“ für ausländische Fachkräfte für Menschen aus Nicht-EU-Staaten aus
Die Ampelkoalition will die Gehaltsgrenzen senken, die bisher weit über 50.000 Euro im Jahr liegen. Niedrigere Sätze gibt es für bestimmte Mangelberufe in der Medizin, der IT oder bei Ingenieuren - auch für Berufsanfänger soll das künftig gelten.
Fachkräfte mit Berufsausbildung
Servicekräfte, Köche, Baufachleute, Energietechnikerinnen, LKW-Fahrer, Erziehungs- und Pflegekräfte, die Liste der Mangelberufe wird immer länger. Die Ampelparteien wollen die Vorteile der Blue Card auf nichtakademische Berufe ausweiten, heißt es im Koalitionsvertrag.
Hinter Küchenwerkzeugen wie Schöpflöffeln, die von der Decke hängen, steht ein junger Mann im weißen Oberteil an einer langen Gerätezeile in einer Großküche
Köchinnen und Köche fehlen ebenso wie Sevicekräfte - viele Restaurants müssen tageweise oder ganz schließen
Schon jetzt gibt es ergänzend zur Blue Card eine Aufenthaltserlaubnis für Fachkräfte mit einem deutschen oder in Deutschland anerkannten Berufsabschluss. Weil die Arbeitswelt sich ständig verändert, sollen diese Fachkräfte künftig jede qualifizierte Beschäftigung ausüben dürfen: Eine Mechanikerin könnte auch in der Logistik arbeiten. Die Arbeitgeber entscheiden, wer für sie geeignet ist.
Die Anerkennung soll digitalisiert werden, es soll mehr Möglichkeiten geben, Unterlagen auf Englisch oder in der Originalsprache anzuerkennen. Anders als bisher soll es auch möglich sein, die Anerkennung erst in Deutschland einzuleiten und nebenbei schon zu arbeiten, wenn Arbeitgeber eine „Anerkennungspartnerschaft“ übernehmen.
Chancenkarte zur Jobsuche
Eine neue Chancenkarte mit einem Punktesystem soll Menschen erlauben, einzureisen, um sich in Deutschland eine Arbeits- oder Ausbildungsstelle zu suchen. „Zu den Auswahlkriterien können Qualifikation, Sprachkenntnisse, Berufserfahrung, Deutschlandbezug und Alter gehören“, heißt es vage.
Arbeitsmarktforscher Holger Bonin sieht das kritisch. „Die Chancenkarte schafft neue Hürden“, sagte der Forschungsdirektor des Instituts zur Zukunft der Arbeit (IZA) der DW: „Bevor jemand einen Arbeitsvertrag abschließen kann, muss er Nachweise vorbringen, die er in anderen Ländern nicht vorbringen muss.“ Sein Alternativvorschlag: „Die Leute dürfen kommen, einen Arbeitsplatz suchen und wenn sie einen Arbeitsvertrag haben, dann prüfen wir, ob die Bedingungen stimmen.“
Werbung um Studierende und Auszubildende
Die Regierung wünscht sich, dass mehr Menschen aus dem Ausland für ein Studium oder eine Ausbildung nach Deutschland kommen, um anschließend hier als Fachkräfte zu arbeiten. Für Auszubildende soll die Vorrangprüfung entfallen. Studierenden soll es erleichtert werden, neben dem Studium zu arbeiten.
Schülerinnen und Schüler aus Nicht-EU-Staaten mit ausreichenden Deutschkenntnissen sollen Kurzpraktika bis zu sechs Wochen machen können, ohne dass die Bundesagentur für Arbeit zustimmen muss.
Westbalkan-Regelung
Die Westbalkan-Regelung erlaubt Staatsangehörigen aus Albanien, Bosnien und Herzegowina, Kosovo, der Republik Nordmazedonien, Montenegro und Serbien in Deutschland zu arbeiten, wenn sie ein Jobangebot eines deutschen Arbeitgebers haben. Vor der Zustimmung steht hier die Vorrangprüfung, ob nicht auch Arbeitskräfte aus Deutschland oder der EU zur Verfügung stehen.
Die Regelung ist noch bis Ende 2023 befristet. Sie soll künftig unbefristet gelten. Bisher gibt es eine Begrenzung auf 25.000 Personen je Kalenderjahr. Die Regierung möchte das Kontingent deutlich erhöhen und die Ausweitung auf weitere Staaten prüfen. Der Arbeitgeberverband BDA hat gefordert, die Kontingentierung ganz abzuschaffen.
Einwanderung mit Berufserfahrung
Die Regierung plant, für verschiedene Berufe die Einwanderung auch ohne deutsche Anerkennung ihres Abschlusses zu erlauben. Voraussetzung wäre eine mindestens zweijährige Berufserfahrung und ein Abschluss, der im jeweiligen Herkunftsland staatlich anerkannt ist. Die Prüfung der Sprachkenntnisse läge dann beim Arbeitgeber. Das gilt allerdings nicht für reglementierte Berufe wie in der Medizin- und Pflegebranche.
Für IT-Spezialisten soll die Mindestgehaltsgrenze abgesenkt werden. Die Arbeitgeber entscheiden selbst, welche Sprachkenntnisse erforderlich sind. Durch Beratungsangebote für alle soll der „Schutz vor ausbeuterischen Arbeitsbedingungen“ verbessert werden.
In einem dritten Migrationspaket soll das Staatsangehörigkeitsrecht reformiert werden.
Staatsbürgerschaft
„Wer auf Dauer hier lebt und arbeitet, der soll auch wählen und gewählt werden können, der soll Teil unseres Landes sein, mit allen Rechten und Pflichten, die dazugehören“, das sagte Bundeskanzler Olaf Scholz bei einer Veranstaltung mit dem Titel „Deutschland. Einwanderungsland. Dialog für Teilhabe und Respekt“.
Innenministerin Nancy Faeser will den Weg zur deutschen Staatsbürgerschaft verkürzen: Nach fünf statt acht Jahren in Deutschland soll es eine Chance zur Einbürgerung geben. „Wer besonders gut integriert ist, kann diesen Zeitraum auf drei Jahre verkürzen - Menschen, die zum Beispiel sehr gut Deutsch sprechen, in Schule oder Beruf herausragende Leistungen erzielen und sich ehrenamtlich engagieren. Leistung soll sich lohnen.“ Für alle ab 67 Jahren soll der formale Einbürgerungstest entfallen.
Zudem sollen Menschen nicht mehr gezwungen sein, ihre alte Staatsbürgerschaft aufzugeben, um Deutsche zu werden. Bundeskanzler Scholz sagte: „Ich habe nie verstanden, warum wir darauf bestanden haben.“ Bisher gibt es die doppelte Staatsbürgerschaft in Deutschland offiziell nur in Ausnahmefällen.
Kritik der Opposition, Zustimmung der Wirtschaftsweisen
Kritik an den Reformplänen kam von den oppositionellen Unionsparteien CDU und CSU, die unter anderem vor einer „Verramschung“ der deutschen Staatsbürgerschaft warnten.
Überraschend kam aber auch Kritik von Politikern der FDP, die diesen Plänen im Koalitionsvertrag zugestimmt hat.
Viel positiver sehen der Bundesverband mittelständische Wirtschaft und die Chefin der Wirtschaftsweisen eine erleichterte Einbürgerung. Monika Schnitzer sagte in einem Interview der Funke Mediengruppe: „Angesichts des demografischen Wandels und des steigenden Fachkräfte- und Arbeitskräftemangels ist das unbedingt zu begrüßen.“
▻https://www.dw.com/de/migration-wie-deutschland-einwanderung-neu-regeln-will/a-63641441
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Ampelkoalition: Einwanderung wird leichter gemacht
Mehr doppelte Staatsbürgerschaften, Familienzusammenführungen für Flüchtlinge und mehr Visamöglichkeiten - das sind nur einige der Ankündigungen der künftigen Bundesregierung.
Eine radikale Überarbeitung des deutschen Staatsbürgerschafts- und Einwanderungsrechts gehört zu den zentralen Ankündigungen im Koalitionsvertrag der künftigen Bundesregierung. „Wir wollen einen Neuanfang in der Migrations- und Integrationspolitik, wie es für ein modernes Einwanderungsland richtig ist“, heißt es in der 178-seitigen Vereinbarung von Sozialdemokraten (SPD), Grünen und Freien Demokraten (FDP).
Einbürgerung nach fünf Jahren möglich
Konkret soll der Erwerb der deutschen Staatsangehörigkeit vereinfacht werden und Einbürgerungen bereits nach fünf Jahren möglich sein - bei besonderen Integrationsleistungen sogar nach nur drei Jahren. In Deutschland geborene Kinder ausländischer Eltern werden mit ihrer Geburt Deutsche, wenn ein Elternteil seit fünf Jahren in Deutschland lebt. Migration - so heißt es im Vertrag - solle „vorausschauend und realistisch“ gestaltet, „irreguläre Migration“ reduziert werden. Für schnellere Asylverfahren will die neue Koalition das Bundesamt für Migration und Flüchtlinge entlasten. Die Visavergabe soll digitalisiert und ebenfalls beschleunigt werden. Arbeitsverbote „für bereits in Deutschland Lebende“ sollen abgeschafft werden.
„Wir wollen als Koalition einen Schlussstrich unter die restriktive Asylpolitik der letzten Jahre ziehen und dafür sorgen, dass Menschen, die hier dauerhaft leben und absehbar auch dauerhaft leben werden, die Möglichkeit erhalten, ihren Aufenthalt zu verfestigen, in Arbeit zu kommen, Sprachzugang zu haben, und zwar unterschiedslos“, sagt die Bundestagsabgeordnete Luise Amtsberg von den Grünen im DW-Gespräch.
„Das sind alles wichtige Schnittpunkte, die für ein modernes Einwanderungsland relevant sind und tatsächlich einen Paradigmenwechsel beschreiben“, fügt sie hinzu.
Union befürchtet Zunahme illegaler Migration
Ralph Brinkhaus, Fraktionsvorsitzender der konservativen Union aus CDU und CSU, die nach 16 Regierungsjahren nun auf der Oppositionsbank sitzt, steht den Plänen skeptisch gegenüber. „Wir hätten sicherlich nicht diese brutale Offenheit im Bereich Migration gehabt“, sagte Brinkhaus im Deutschlandfunk. „Wir haben große Sorge, dass das ein Pull-Faktor für ganz, ganz viel illegale Migration sein wird.“ Das Menschen, die ohne rechtliche Grundlagen nach Deutschland gekommen seien, nach einer gewissen Zeit hierbleiben dürften, halte er für falsch.
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Allerdings hatten die zuständigen Minister der 16 Bundesländer die Bundesregierung Anfang des Jahres aufgefordert, die Staatsbürgerschaftsregeln zu lockern. Die 2007 unter Bundeskanzlerin Angela Merkel ins Leben gerufene Integrationsministerkonferenz zur Koordinierung der Zuwanderungspolitik von Bund und Ländern forderte in einem mehrheitlichen Appell nachdrücklich eine Gesetzesänderung im Sinne der neuen Koalitionsvereinbarungen.
Niedrige Quote doppelter Staatsbürgerschaft
Aufgrund der geltenden Gesetze hat Deutschland eine der niedrigsten Quoten an doppelter Staatsbürgerschaft in Europa. Von den Vorschlägen zur doppelten Staatsbürgerschaft und der vereinfachten Einwanderungsverfahren dürfte besonders der Bevölkerungsteil mit türkischem Mitrationshintergrund profitieren. In Deutschland leben rund drei Millionen Menschen mit türkischen Wurzeln. Die ersten von ihnen kamen in 1960er Jahren anfangs als Gastarbeiter in die Bundesrepublik, die meisten blieben.
Aufgrund der bisherigen Gesetzeslage besitzen weniger als zehn Prozent von ihnen die deutsche und die türkische Staatsbürgerschaft. Nach einer Studie des Center for American Progress verfügen 55 Prozent nur über die türkische Staatsbürgerschaft.
Die Soziologin Gülay Türkmen vom Wissenschaftszentrum für Sozialforschung in Berlin, die über türkische Migrationsbewegungen forscht, begrüßt die angekündigte Überarbeitung der Staatsbürgerschaftsgesetze. Insbesondere in Bezug auf Deutschlands größten ausländischen Bevölkerungsteil.
Emotionale Bindung zur Türkei
„Der Hauptgrund, warum die türkischstämmige Bevölkerung die deutsche Staatsbürgerschaft ablehnen, ist die Verpflichtung, die türkische Staatsbürgerschaft aufzugeben“, erklärt sie der DW. „Das war bei älteren Generationen noch verbreiteter, weil die emotionale Bindung zur früheren Heimat viel stärker war.“ Das Vorhaben der neuen Bundesregierung werde sicherlich zu einer Zunahme der Anträge auf Staatsbürgerschaft in der türkischen Bevölkerung führen, „wie wir auch im Jahr 2000 nach der Vereinfachung des Einbürgerungsverfahrens gesehen haben“, fügt Türkmen hinzu.
Die Grünen-Abgeordnete Amtsberg macht die Union aus CDU und CSU dafür verantwortlich, dass so viele in Deutschland lebende Menschen keinen Einbürgerungsantrag gestellt haben.
„Herr Brinkhaus und die Union waren 16 Jahre in der Verantwortung. Sie haben in der Asyl- und Flüchtlingspolitik in Europa, aber auch in Deutschland relativ wenig erreicht. Vor allen Dingen haben sie dazu beigetragen, dass sehr viele Menschen über Jahre - und man muss schon fast sagen: Jahrzehnte - in diesem Land leben, ohne die Möglichkeit zu bekommen, ihren Aufenthalt zu verfestigen“, kritisiert Amtsberg. Obwohl es nach einer bestimmten Zeit absehbar gewesen sei, dass die Menschen dauerhaft bleiben würden. Wie das jetzt bei den afghanischen Schutzsuchenden der Fall sei.
Von Duldung zu vollem Aufenthaltsrecht
Im Koalitionsvertrag wird auch ein schnellerer Weg zum Aufenthalt für junge Menschen aufgezeigt, die sich in Deutschland besonders „integriert“ gezeigt hätten. Ein Vorteil für diejenigen, die nur über einen Duldungsstatus verfügen. Ihre Abschiebung wäre künftig schwieriger. Die rechtspolitische Referentin der deutschen Flüchtlingsorganisation Pro Asyl, Wiebke Judith, begrüßt diese Reform: „Aufgrund der Einschränkungen in den letzten Jahren leben rund 200.000 Menschen mit Duldungsstatus in Deutschland. Der Koalitionsvertrag enthält einige gute Ideen, wie man ihr Leben besser legalisieren kann“, erklärt Judith der DW. Zum Beispiel durch eine Absenkung der Schwelle für die Beantragung des Aufenthaltsrechts.
Im Allgemeinen stelle sie fest, dass die vorgeschlagenen Änderungen „das Leben von Menschen, die sich bereits in Deutschland aufhalten, viel einfacher machen werde“, sagt Judith. „Unser größter Kritikpunkt ist aber, dass der Koalitionsvertrag keine Änderung des Erstaufnahmesystems vorsieht.“ Demnach sind neue Flüchtlinge und Personen ohne legalen Status weiterhin zu einem Aufenthalt in einem Flüchtlingszentrum verpflichtet.
Flüchtlingszentren als Corona-Hotspots
„Die maximale Aufenthaltsdauer dort hat sich in den letzten Jahren auf 18 Monate erhöht“, erklärt Judith. Solche Aufenthalte könnten ein „ein enormes Gesundheitsrisiko bedeuten“, weil viele Zentren zu „Coronavirus-Hotspots“ geworden seien. Es gebe große Bedenken, dass dies die Asylverfahren negativ beeinflusse.
„Wir sind enttäuscht, dass der Koalitionsvertrag die Verbleibe-Dauer in Erstaufnahmeeinrichtungen nicht verringert“, fügt sie hinzu. Möglicherweise werde dies noch geschehen. Judith bemängelt auch, dass das derzeitige Abschiebesystem, nach dem kranke und traumatisierte Menschen gewaltsam aus Deutschland abgeschoben werden können, nicht thematisiert wurde.
Auf der anderen Seite wird der Familiennachzug für Geflüchtete erleichtert, nachdem es auch wegen der Pandemie einen Stau an Anträgen gegeben hat. Viele Menschen ohne deutsche Staatsbürgerschaft dürften die angestrebten Änderungen begrüßten. Aber der Koalitionsvertrag ist noch kein Gesetz. Außerdem gibt es keinen Zeitplan für die Vorschläge.
In Anbetracht der zunehmenden Internationalität Deutschlands wird die Einwanderungspolitik eine der zentralen Herausforderungen für die künftige Bundesregierung sein. „Mehr als ein Viertel der Menschen in Deutschland hat einen Migrationshintergrund“, betont die Soziologin Gülay Türkmen. „Es ist also definitiv an der Zeit, Reformen anzugehen.“
►https://www.dw.com/de/ampelkoalition-einwanderung-wird-leichter-gemacht/a-59946490
Le Ministre Fédéral de l’Économie et de l’Action Climatique, Robert Habeck, s’adresse directement aux travailleurs qualifiés internationaux : L’Allemagne a besoin de personnes qui souhaitent venir investir leurs connaissances, leurs compétences et leur passion - ici, dans notre pays.
Qu’il s’agisse d’artisans, d’ingénieurs électriciens, de spécialistes en informatique, de professionnels de la santé ou de personnel de restauration, nous avons besoin de personnes de tous horizons qui souhaitent venir vivre et travailler en Allemagne.
The EU Blue Card
The EU Blue Card is a residence title for graduates which is intended to facilitate and promote the permanent immigration of highly-qualified persons from outside the EU to Germany.
▻https://www.bamf.de/EN/Themen/MigrationAufenthalt/ZuwandererDrittstaaten/Migrathek/BlaueKarteEU/blauekarteeu-node.html;jsessionid=C4E641C9E1C766BB36DC1209CAB8FBFB.intranet671
Bundesregierung beschließt erstes Migrationspaket
Neues Chancen-Aufenthaltsrecht, Erleichterungen für Fachkräfte und konsequente Ausweisung von Straftätern.
In der heutigen Kabinettsitzung hat die Bundesregierung das von der Bundesministerin des Innern und für Heimat, Nancy Faeser, vorgelegte erste Migrationspaket beschlossen.
Die wichtigsten Bausteine sind die Einführung eines Chancen-Aufenthaltsrechts, Erleichterungen bei der Fachkräfteeinwanderung, der unmittelbare Zugang zu Integrationskursen und die konsequentere Ausweisung von Straftätern.
Bundesinnenministerin Nancy Faeser: „“""Mit dem Chancen-Aufenthaltsrecht schaffen wir einen Perspektivwechsel. Wir wollen, dass Menschen, die gut integriert sind, auch gute Chancen in unserem Land haben. Dafür sorgen wir mit dem Chancen-Aufenthaltsrecht. Die bisherige Praxis der Kettenduldungen wollen wir beenden. Damit beenden wir auch die Bürokratie und die Unsicherheit für Menschen, die schon Teil unserer Gesellschaft geworden sind. Wer Straftaten begeht oder hartnäckig Angaben über seine Identität verweigert, bleibt vom Chancen-Aufenthaltsrecht ausgeschlossen. "
„Wir müssen schneller Fachkräfte gewinnen, die wir in vielen Branchen dringend brauchen. Deshalb erleichtern wir es Fachkräften, ihre Familie mit nach Deutschland zu bringen. Sie müssen künftig keine Deutschkenntnisse mehr nachweisen. Wir wollen, dass Fachkräfte sehr schnell nach Deutschland kommen und bei uns Fuß fassen können. “
„Wir stärken die Integration von Anfang an – und das für alle Asylbewerberinnen und Asylbewerber. Der Zugang zu Integrationskursen hängt künftig nicht mehr von der Bleibeperspektive ab. Denn unsere Werte und unsere Sprache zu vermitteln, ist immer wichtig, auch wenn Menschen nur vorübergehend in Deutschland sind. “
„Gleichzeitig sorgen wir für die richtige Balance. Wir wollen irreguläre Migration reduzieren und reguläre Migration zu ermöglichen. Wir müssen vor allem Straftäter und Gefährder schneller und konsequenter ausweisen. Straftätern kann künftig leichter das Aufenthaltsrecht entzogen werden. Die Verwaltungsverfahren vereinfachen wir deutlich. Und für Straftäter erleichtern wir die Anordnung von Abschiebungshaft und verhindern damit, dass ausreisepflichtige Straftäter vor einer Abschiebung untertauchen.“"
Das erste Migrationspaket enthält insbesondere diese Änderungen:
- Chancen-Aufenthaltsrecht: Langjährig Geduldete erhalten durch eine einjährige Aufenthaltserlaubnis die Möglichkeit, die notwendigen Voraussetzungen für ein Bleiberecht zu erfüllen. Dazu gehört die Sicherung des Lebensunterhalts und die Klärung der Identität. Menschen, die sich zum Stichtag 1. Januar 2022 fünf Jahre lang in Deutschland aufgehalten haben, nicht straffällig geworden sind und sich zur freiheitlichen demokratischen Grundordnung bekennen, profitieren davon. Mit dem Chancen-Aufenthaltsrecht sollen Kettenduldungen verhindert und die Zahl der Langzeitgeduldeten reduziert werden. Am 31. Dezember 2021 haben sich in der Bundesrepublik Deutschland 242.029 geduldete Ausländer aufgehalten, davon 136.605 seit mehr als fünf Jahren.
– Bleiberechte: Bestehende Bleiberechtsregelungen werden so angepasst, dass mehr Menschen davon profitieren können. Gut integrierte Jugendliche sollen nach drei Jahren Aufenthalt in Deutschland und bis zum 27. Lebensjahr die Möglichkeit für ein Bleiberecht bekommen. Besondere Integrationsleistungen von Geduldeten werden gewürdigt, indem ihnen künftig nach sechs Jahren oder schon nach vier Jahren bei Zusammenleben mit minderjährigen Kindern ein Bleiberecht eröffnet wird. Die Voraufenthaltszeiten werden damit um jeweils zwei Jahre reduziert.
– Erleichterung der Fachkräfteeinwanderung: Um den Standort Deutschland für Fachkräfte aus Drittstaaten attraktiver zu machen, werden bewährte Regelungen aus dem Fachkräfteeinwanderungsgesetz entfristet. Der Familiennachzug zu drittstaatsangehörigen Fachkräften wird erleichtert, indem für nachziehende Angehörige das Erfordernis eines Sprachnachweises entfällt.
– Integration von Anfang: Allen Asylbewerberinnen und Asylbewerbern soll zukünftig der Zugang zum Integrationskurs und zu Berufssprachkursen im Rahmen verfügbarer Plätze offenstehen. Durch frühe Sprachförderangebote möchte die Bundesregierung einen Beitrag zur Teilhabe und zum gesellschaftlichen Zusammenhalt leisten.
– Rückführungsoffensive: Die Rückführung von Menschen, die nicht hierbleiben können, soll konsequenter als bisher durchgesetzt werden. Das gilt insbesondere für Straftäter und Gefährder. Für diese Personengruppe wird die Ausweisung und die Anordnung von Abschiebungshaft erleichtert.
►https://www.bmi.bund.de/SharedDocs/pressemitteilungen/DE/2022/07/chancen-aufenthaltsrecht.html
... „und konsequente Ausweisung von Straftätern“...
–-> #criminels_étrangers #renvois #expulsions
Arbeitskräftemangel: Deutschlands Greencard-Pläne
Deutschland will Nicht-EU-Bürgern die Einreise erleichtern und den Fachkräftemangel bekämpfen: mit einer Greencard-Variante, der sogenannten „Chancenkarte“.
Seit langem beklagen sich Industrieverbände über fehlende Fachkräfte und das Arbeitsministerium warnt davor, dass das Wirtschaftswachstum dadurch ausgebremst werden könnte.
Nach Angaben der Bundesvereinigung der deutschen Arbeitgeberverbände der Metall- und Elektroindustrie, Gesamtmetall, sehen zwei von fünf Unternehmen ihre Produktion durch Personalmangel behindert. Der Zentralverband des Deutschen Handwerks (ZDH) bezifferte, dass Deutschland rund 250.000 Handwerker fehlen.
Kriterien zur Arbeitsplatzsuche
Nun soll die neue sogenannte „Chancenkarte“, die Bundesarbeitsminister Hubertus Heil in dieser Woche vorstellte, Ausländern die Möglichkeit bieten, auch ohne Jobangebot zur Arbeitssuche nach Deutschland einzureisen. Dafür müssen sie mindestens drei von vier Kriterien erfüllen:
1) Ein Hochschulabschluss oder eine berufliche Qualifikation
2) Mindestens drei Jahre Berufserfahrung
3) Sprachkenntnisse oder ein früherer Aufenthalt in Deutschland
4) Ein Alter unter 35 Jahren
Dazu wird es weitere Begrenzungen und Bedingungen geben, betonte der SPD-Politiker. Die Zahl der Karten werde begrenzt sein, je nach dem Bedarf, den die deutsche Regierung festlegen werde, kündigte Heil an.
„Es geht um eine qualifizierte Zuwanderung, um ein unbürokratisches Verfahren. Deshalb ist es wichtig, dass diejenigen, die die Chancenkarte erhalten haben, ihren Lebensunterhalt bestreiten können, wenn sie hier sind“, sagte Heil am Mittwoch im WDR-Radio.
Immer weniger junge Menschen in Deutschland
Dass es für den deutschen Arbeitsmarkt Verbesserungsbedarf gibt, findet auch Sowmya Thyagarajan. Sie kam 2016 aus Indien nach Hamburg, um in Luftfahrttechnik zu promovieren. Mittlerweile ist sie Geschäftsführerin ihres eigenen deutschen Unternehmens Foviatech, das Software für die Optimierung von Transport- und Gesundheitsdienstleistungen entwickelt.
„Ich denke, dieses Punktesystem könnte eine sehr gute Möglichkeit für Menschen aus dem Ausland sein, hier zu arbeiten“, sagte Thyagarajan der DW. „Vor allem, weil es immer weniger junge Menschen in Deutschland gibt.“ Im Moment bevorzuge ihr Unternehmen bei der Einstellung Deutsche und EU-Bürger, einfach wegen der bürokratischen Hürden, die es für Arbeitnehmer aus anderen Ländern gebe.
Den Nutzen der vier Kriterien für die Erlangung einer Chancenkarte bewertet Thyagarajan unterschiedlich: Qualifikationen und Sprachkenntnisse seien wichtig. „Aber bei einer Altersbegrenzung unter 35 Jahren bin ich mir nicht sicher, wie sinnvoll das ist. Man muss nicht jung sein. Es kommt auf die Fähigkeiten an“, sagt die Geschäftsfrau. Was die dreijährige Berufserfahrung angeht, so ist Thyagarajan ebenfalls skeptisch, weil in einigen Fällen ein Hochschulabschluss das erforderliche Fachwissen vermittele: „Für manche Berufsprofile braucht man keine Erfahrung, aber für manche muss man tatsächlich Erfahrung haben.“
Bürokratische Hürden für ausländische Arbeitnehmer
Noch kritischer blickt Holger Bonin auf die Pläne von Arbeitsminister Heil. Für den Forschungsdirektor am Institut für Arbeitswirtschaft (IZA) in Bonn stellt die Chancenkarte „unnötig hohe Hürden auf und macht das System komplizierter“. Bonin befürchtet einen Zuwachs an Bürokratie. „Warum macht man es nicht viel einfacher? Man gibt den Leuten ein Visum, um Arbeit zu suchen, und wenn sie innerhalb einer bestimmten Zeit nichts finden, müssen sie gehen.“ Wenn diese Kriterien für Arbeitgeber wichtig seien, „können sie das bei der Einstellung entscheiden. Da muss keine Chancenkarte vorgeschaltet sein.“
Bonin argumentiert, dass einige der von Heil genannten Kriterien für deutsche Arbeitgeber vielleicht gar nicht so wichtig seien. Wie zum Beispiel ein internationales Unternehmen, welches hauptsächlich auf Englisch kommuniziere: dort sei es relativ egal, ob die Bewerber Deutsch sprechen oder in Deutschland gelebt haben.
Kulturelle und strukturelle Probleme
Deutschland hat im Vergleich zu anderen westlichen Ländern, die um qualifizierte Arbeitskräfte werben, einige kulturelle Nachteile: Zum einen wird Deutsch weniger häufig gesprochen als Englisch. „Fachkräfte suchen fast immer nach Ländern, in denen Englisch gesprochen wird“, so Thyagarajan. Ein weiteres Problem ist, dass deutsche Arbeitgeber traditionell einen höheren Wert auf Zertifikate und Qualifikationen legen. Doch ausländische Nachweise werden in Deutschland oft nicht anerkannt oder deren Zertifizierung dauert Monate. „Diese Probleme werden nicht durch die Einführung einer Chancenkarte gelöst“, sagt Bonin.
Daneben gibt es noch systemische Schwierigkeiten. Deutschlands föderales System mit regionalen Zuständigkeiten in den Bundesländern führt dazu, dass lokale Behörden manchmal unterschiedliche Qualifikationen anerkennen. Hinzu kommt, dass Deutschland immer noch abhängig ist von einer Papierbürokratie, bei der ausländische Arbeitnehmer oft notariell beglaubigte Übersetzungen ihrer Zeugnisse vorlegen müssen. Auch dies ist ein Problem, das Arbeitsminister Heil anzugehen versucht.
„Ich halte es für sehr, sehr notwendig, neben einem modernen Einwanderungsgesetz auch das bürokratische Monster bei der Anerkennung von Qualifikationen auszudünnen“, sagte er dem WDR. Dazu wünsche er sich eine zentrale Stelle, die Qualifikationen schnell anerkennt, und Backoffices in Deutschland, welche die überlasteten Konsulate im Ausland unterstützen können. Einen Entwurf für ein neues Zuwanderungsgesetz will Heil im Herbst vorlegen.
►https://www.dw.com/de/arbeitskr%C3%A4ftemangel-deutschlands-greencard-pl%C3%A4ne/a-63055635
COP27 climate talks reach crunch time with big rifts remaining | Reuters
▻https://www.reuters.com/business/cop/cop27-draft-climate-deal-retains-15c-limit-many-issues-unresolved-2022-11-1
Après le dos rond, la contre-attaque
“Instead of a reference to phasing out all fossil fuels, we have an even weaker version of the language around coal and fossil fuel subsidies than we got last year,” said Catherine Abreu of the E3G non-profit think tank.
Craig Murray - sur Twitter : “RT sahouraxo: Freudian slip of the century” / Twitter
▻https://twitter.com/CraigMurrayOrg/status/1591494587431911425
▻https://video.twimg.com/ext_tw_video/1527078073073651712/pu/vid/778x360/PMhFRj5FoWf4z8FF.mp4?tag=12
B’Tselem בצלם بتسيلم sur Twitter :
▻https://twitter.com/btselem/status/1566794338666946562
B’Tselem in response to the military’s announcement on the killing of Shireen Abu Akleh: It’s not an investigation, it’s whitewash; it was no mistake, it’s policy
Nigeria-UK Migration Agreement : Smugglers, illegal migrants to face maximum sentence, deportation
THE United Kingdom government has signed a new migration agreement with Nigeria that will deter illegal migration, the Home Office announced Friday.
Under the agreement, both countries will issue emergency travel certificates or temporary passports within five days in order to speed up removal of people with no right to be in the UK.“Our new landmark agreement with Nigeria will increase the deportation of dangerous foreign criminals to make our streets and country safer.
“The deal will mean that operational teams in both countries will share their expertise to take the fight to criminal people smugglers who are responsible for a wider range of criminality and put profit before people while undermining the security of our two countries,” Home Secretary and member of the UK Parliament for Witham Priti Patel said.
On Thursday, 21 people (13 Nigerians and eight Ghanaians) with no right to be in the country, including those with combined sentences of more than 64 years, for crimes such as rape and sexual offences against children, were deported.
The UK is also working closely with the governments of Belgium, France and Rwanda to do everything possible to stop illegal migrants before they reach the UK.
While thousands of illegal migrants are ferried into the UK by small boats from bordering countries, some people who enter the UK on regular routes can still become irregular migrants.
According to the UK government, illegal migrants include persons who entered the UK without authority, entered with false documents and individuals who have overstayed their visas.
It also includes people who work or study on a tourist visa or non-immigrant visa waiver, enter into forced or fraudulent marriages or had their marriages terminated or annulled.
The agreement will compliment UK’s newly approved Borders Act which prescribes increased maximum sentence for illegally entering the UK or overstaying a visa and a maximum sentence of life imprisonment for people smugglers and small boat pilots.
In addition, the act puts into law that those who could have claimed asylum in another safe country but arrive illegally in the UK, can be considered as ‘inadmissible’ to the UK asylum system.
UK Guardian reported that the deal with Rwanda, which will reportedly cost an initial £120 million, follows three years of promises by Patel to outsource asylum processing to third countries and failures to strike deals with Albania and Ghana.
Under the arrangement which has faced heavy criticism, migrants will have their asylum claims processed in the East African country and be encouraged to settle there.
“We will now work tirelessly to deliver these reforms to ensure we have an immigration system that protects those in genuine need while cracking down on abuse of the system and evil people-smuggling gangs,” Patel assured.
In 2021, French and UK authorities prevented more than 23,000 attempts to travel illegally to the UK.
Over 6,000 crossings have been prevented so far in 2022, more than twice as many as at this point last year.
▻https://www.icirnigeria.org/nigeria-uk-migration-agreement-smugglers-illegal-migrants-to-face-maxim
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« Le Green Deal agricole n’aura pas lieu »
▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/06/12/le-green-deal-agricole-n-aura-pas-lieu_6129877_3232.html
L’#escroquerie de l’« Indice de risque harmonisé 1 » (Harmonized Risk Indicator 1, ou #HRI-1) [qui] « évalue le risque [des #pesticides] en fonction de la quantité de produits utilisée » révélée par le toxicologue autrichien Helmut Burtscher-Schaden…
[…] il montre que le système proposé par la Commission pour mesurer la baisse du recours aux pesticides réalise le tour de force de pouvoir transformer une aggravation des risques en une amélioration.
[…]
HRI-1 est si défectueux qu’il désavantage des produits considérés par les autorités européennes elles-mêmes comme à faible risque, et d’usage courant en agriculture biologique, par rapport à d’autres, classés parmi les plus dangereux. Non seulement ce thermomètre ne donne pas la bonne température, mais il peut refroidir le chaud et réchauffer le froid. Selon HRI-1, ajoute M. Burtscher-Schaden, une seule application de bicarbonate de potassium comme fongicide naturel (également utilisé comme additif alimentaire) présente un risque huit fois plus élevé qu’une application du fongicide de synthèse difénoconazole, placé par les autorités sur la liste des pesticides les plus problématiques, en raison de sa persistance et de sa toxicité.
Parfois, il vaut mieux ne pas savoir. C’est ce que semblent se dire, ces jours-ci, la Commission européenne et une bonne part des Etats membres, pour éviter d’avoir à verdir leur #agriculture. Truquer le thermomètre est un moyen commode d’être sûr de pouvoir annoncer, un jour, que la fièvre a disparu. C’est en tout cas bien plus confortable que de se lancer dans le traitement de la maladie. Traiter la maladie, c’est long, c’est pénible, c’est incertain. Truquer le thermomètre, c’est facile et ça marche à tous les coups.
Dans les prochains jours, l’Union doit adopter une série de dispositions techniques cruciales pour mesurer les progrès de ses Etats membres dans la réduction des #intrants utilisés en agriculture. La stratégie « Farm to Fork » (« de la ferme à la fourchette »), volet agricole du Green Deal (Pacte vert) d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, prévoit ainsi, notamment, une « réduction de l’usage et des risques de 50 % des #pesticides » d’ici à 2030 sur le territoire des Vingt-Sept. Et c’est ici que l’affaire se complique. Car, pour mesurer une « réduction de l’usage et des risques » de quoi que ce soit, il faut une métrique, et c’est souvent dans les détails de cette métrique que le diable est caché.
C’est le toxicologue autrichien Helmut Burtscher-Schaden, membre de l’association Global 2000, qui l’a déniché. Dans une note publiée le 9 juin, il montre que le système proposé par la Commission pour mesurer la baisse du recours aux pesticides réalise le tour de force de pouvoir transformer une aggravation des risques en une amélioration.
Le dispositif en question se nomme « Indice de risque harmonisé 1 » (Harmonized Risk Indicator 1, ou HRI-1). Il évalue le risque en fonction de la quantité de produits utilisée, modulé par des facteurs de risque si imparfaitement établis qu’il aboutit à des résultats « grotesquement faux » , fustige le toxicologue. En utilisant la grille d’analyse de HRI-1, il montre, par exemple, que ce système d’évaluation attribue « le même risque à 1 kilogramme de sable de quartz, une dose qui protège cinq arbres contre l’abroutissement du gibier, et à 1 kilogramme d’insecticide pyréthrinoïde, susceptible de tuer tous les insectes vivants sur 200 hectares » .
Thermomètre défectueux
HRI-1 est si défectueux qu’il désavantage des produits considérés par les autorités européennes elles-mêmes comme à faible risque, et d’usage courant en #agriculture_biologique, par rapport à d’autres, classés parmi les plus dangereux. Non seulement ce thermomètre ne donne pas la bonne température, mais il peut refroidir le chaud et réchauffer le froid. Selon HRI-1, ajoute M. Burtscher-Schaden, une seule application de bicarbonate de potassium comme #fongicide naturel (également utilisé comme additif alimentaire) présente un risque huit fois plus élevé qu’une application du fongicide de synthèse difénoconazole, placé par les autorités sur la liste des pesticides les plus problématiques, en raison de sa persistance et de sa toxicité.
Ainsi, HRI-1 contrevient à cet autre objectif de la stratégie « Farm to Fork » : atteindre la proportion d’un quart des surfaces agricoles exploitées en bio d’ici à 2030. Comment atteindre cet objectif si des produits de biocontrôle peuvent être considérés comme plus risqués que des substances de synthèse reconnues comme devant être exclues au plus vite du marché ?
Interrogée, la Commission ne dément aucune de ces informations mais souligne que « le HRI est un indicateur utile pour mesurer l’utilisation des pesticides et la réduction des risques dans l’UE » , et « la Commission travaille en permanence sur les moyens de renforcer encore ses indicateurs sur les pesticides . Bruxelles évoque de « futurs indicateurs basés sur des données plus concrètes » .
« Ignorance stratégique »
La France a vu pareille bataille il y a près de quinze ans. En 2008, les industriels souhaitaient que le tonnage de pesticides utilisés en France soit l’indicateur de suivi du recours à ces produits. Les pouvoirs publics ne les ont pas écoutés et ont mis au point un autre indice, le NODU (« nombre de doses unités »). Celui-ci est basé sur les quantités, rapportées aux surfaces traitées et aux taux d’application. Le tonnage peut baisser quand le NODU c’est-à-dire l’usage réel augmente (le NODU lui-même n’a pas échappé à un certain degré de trucage, puisqu’il exclut les traitements directement appliqués sur les graines).
On le voit : les standards d’évaluation des risques et les métriques réglementaires peuvent être un facteur majeur de construction et de maintien d’une « ignorance stratégique », au sens de Linsey McGoey ( The Unknowers. How Strategic Ignorance Rules the World , Zed Books, 2019, non traduit). L’ignorance est souvent, de fait, la condition sine qua non au maintien de certaines activités. C’est parfois un actif précieux qu’il faut à tout prix conserver ; CropLife, le lobby agrochimique européen, ne s’y est pas trompé et a pris fait et cause pour HRI-1.
Ce n’est pas tout. Ce qui se décide ces jours-ci à Bruxelles concerne non seulement l’évaluation des risques mais aussi le simple tonnage et la localisation des usages. Sur ce volet, la même volonté de maintenir, le plus longtemps, le plus d’ignorance possible est manifeste : selon les discussions du dernier trilogue sur le sujet, le 2 juin, le système d’information sur les intrants agricoles ne devrait pleinement entrer en vigueur qu’en... 2028. Soit deux années avant l’horizon de 2030 fixé par la Commission.
Une telle absence de volonté politique est l’indice que le Green Deal agricole n’aura pas lieu. Là encore, la France aura été pionnière : en 2008, le plan Ecophyto fixait l’objectif d’une réduction de 50 % du recours aux pesticides en dix ans. Quinze ans plus tard, il n’a fait que croître.
Helmut Burtscher-Schaden | Global 2000 - Feb 2022 :
HRI 1: A RISK INDICATOR TO PROMOTE TOXIC PESTICIDES ?
▻https://www.organicseurope.bio/content/uploads/2022/06/GLOBAL2000_HRI-1_final_28022022.pdf
Are organic pesticides hundreds of times more dangerous than synthetic chemical pesticides? “What nonsense!” you might reply. But this is exactly the result you get, when applying the Harmonised Risk Indicator 1 that the European Union intends to use for the monitoring of the 50% pesticide reduction target under the European Green Deal.
Since all these pesticide active substances get the same weighting factor of 8, the HRI 1 “measures” the same risk for one kilogram of a nerve agent, such as the highly bee-toxic insecticide deltamethrin, as for one kilogram of quartz sand, even though the latter is obviously not hazardous.
Pesticides : l’hypocrisie européenne
▻https://www.arte.tv/fr/videos/095070-000-A/pesticides-l-hypocrisie-europeenne
Eldorado pour les agro-industries chimiques, le Brésil est complaisamment alimenté en #pesticides par une Europe qui se débarrasse de ses produits interdits. Un cynisme aux conséquences désastreuses pour la santé, épinglé par une enquête accablante.
Zero-covid strategies are being ditched, but they were the best option | New Scientist
▻https://www.newscientist.com/article/mg25433800-100-zero-covid-strategies-are-being-ditched-but-they-were-t
If the target of zero covid is now being ditched, does that mean it was a failure? A crude answer would be: only if you think saving lives and preserving economic growth constitutes a misstep.
Let’s go further . Consider what would have happened if, in early 2020, every country able to had adopted a zero-covid policy . It is incontestable that the global death count would be far lower, fewer people would have long covid and the economic damage would have been reduced. The virus would still be spreading, but slowly, and rising rates of vaccination would control it further. Crucially, omicron probably wouldn’t have had the chance to evolve.
Elizabeth Jacobs, PhD 🏴☠️ sur Twitter
▻https://twitter.com/TheAngryEpi/status/1508867813032677390
How strange that CDCDirector and friends are wearing masks indoors when they clearly told us it was safe to take them off. We must never again put a person who cannot communicate simple public health guidance to the public in charge of the @CDCgov.
UK Covid infections climb by a million in a week - BBC News
▻https://www.bbc.com/news/health-60872687
Au #Royaume-Uni, le nombre de malades du #Covid-19 atteint des records dans l’#indifférence
▻https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/au-royaume-uni-le-nombre-de-malades-du-covid-19-atteint-des-records-dan
Contrairement à la dernière vague, les autorités ne montrent aucune volonté d’adopter de quelconques mesures et la flambée actuelle se déroule dans une relative indifférence du public, l’actualité étant dominée par la guerre en Ukraine et la chute du pouvoir d’achat.