• Nigeria-UK Migration Agreement : Smugglers, illegal migrants to face maximum sentence, deportation

    THE United Kingdom government has signed a new migration agreement with Nigeria that will deter illegal migration, the Home Office announced Friday.

    Under the agreement, both countries will issue emergency travel certificates or temporary passports within five days in order to speed up removal of people with no right to be in the UK.“Our new landmark agreement with Nigeria will increase the deportation of dangerous foreign criminals to make our streets and country safer.

    “The deal will mean that operational teams in both countries will share their expertise to take the fight to criminal people smugglers who are responsible for a wider range of criminality and put profit before people while undermining the security of our two countries,” Home Secretary and member of the UK Parliament for Witham Priti Patel said.

    On Thursday, 21 people (13 Nigerians and eight Ghanaians) with no right to be in the country, including those with combined sentences of more than 64 years, for crimes such as rape and sexual offences against children, were deported.

    The UK is also working closely with the governments of Belgium, France and Rwanda to do everything possible to stop illegal migrants before they reach the UK.

    While thousands of illegal migrants are ferried into the UK by small boats from bordering countries, some people who enter the UK on regular routes can still become irregular migrants.

    According to the UK government, illegal migrants include persons who entered the UK without authority, entered with false documents and individuals who have overstayed their visas.

    It also includes people who work or study on a tourist visa or non-immigrant visa waiver, enter into forced or fraudulent marriages or had their marriages terminated or annulled.

    The agreement will compliment UK’s newly approved Borders Act which prescribes increased maximum sentence for illegally entering the UK or overstaying a visa and a maximum sentence of life imprisonment for people smugglers and small boat pilots.

    In addition, the act puts into law that those who could have claimed asylum in another safe country but arrive illegally in the UK, can be considered as ‘inadmissible’ to the UK asylum system.

    UK Guardian reported that the deal with Rwanda, which will reportedly cost an initial £120 million, follows three years of promises by Patel to outsource asylum processing to third countries and failures to strike deals with Albania and Ghana.

    Under the arrangement which has faced heavy criticism, migrants will have their asylum claims processed in the East African country and be encouraged to settle there.

    “We will now work tirelessly to deliver these reforms to ensure we have an immigration system that protects those in genuine need while cracking down on abuse of the system and evil people-smuggling gangs,” Patel assured.

    In 2021, French and UK authorities prevented more than 23,000 attempts to travel illegally to the UK.

    Over 6,000 crossings have been prevented so far in 2022, more than twice as many as at this point last year.

    https://www.icirnigeria.org/nigeria-uk-migration-agreement-smugglers-illegal-migrants-to-face-maxim

    #UK #Angleterre #Nigeria #accord #accord_bilatéral #accords_bilatéraux #asile #migrations #renvois #expulsions #déboutés #passeport_temporaire #certificat_de_voyage_d'urgence #sans-papiers #criminels #criminels_étrangers #passeurs #mariage_blanc #Borders_Act

    ping @isskein @karine4

  • « Le Green Deal agricole n’aura pas lieu »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2022/06/12/le-green-deal-agricole-n-aura-pas-lieu_6129877_3232.html

    L’#escroquerie de l’« Indice de risque harmonisé 1 » (Harmonized Risk Indicator 1, ou #HRI-1) [qui] « évalue le risque [des #pesticides] en fonction de la quantité de produits utilisée » révélée par le toxicologue autrichien Helmut Burtscher-Schaden…

    […] il montre que le système proposé par la Commission pour mesurer la baisse du recours aux pesticides réalise le tour de force de pouvoir transformer une aggravation des risques en une amélioration.

    […]

    HRI-1 est si défectueux qu’il désavantage des produits considérés par les autorités européennes elles-mêmes comme à faible risque, et d’usage courant en agriculture biologique, par rapport à d’autres, classés parmi les plus dangereux. Non seulement ce thermomètre ne donne pas la bonne température, mais il peut refroidir le chaud et réchauffer le froid. Selon HRI-1, ajoute M. Burtscher-Schaden, une seule application de bicarbonate de potassium comme fongicide naturel (également utilisé comme additif alimentaire) présente un risque huit fois plus élevé qu’une application du fongicide de synthèse difénoconazole, placé par les autorités sur la liste des pesticides les plus problématiques, en raison de sa persistance et de sa toxicité.

    #escrocs #union_européenne

    #paywall

    • Parfois, il vaut mieux ne pas savoir. C’est ce que semblent se dire, ces jours-ci, la Commission européenne et une bonne part des Etats membres, pour éviter d’avoir à verdir leur #agriculture. Truquer le thermomètre est un moyen commode d’être sûr de pouvoir annoncer, un jour, que la fièvre a disparu. C’est en tout cas bien plus confortable que de se lancer dans le traitement de la maladie. Traiter la maladie, c’est long, c’est pénible, c’est incertain. Truquer le thermomètre, c’est facile et ça marche à tous les coups.

      Dans les prochains jours, l’Union doit adopter une série de dispositions techniques cruciales pour mesurer les progrès de ses Etats membres dans la réduction des #intrants utilisés en agriculture. La stratégie « Farm to Fork » (« de la ferme à la fourchette »), volet agricole du Green Deal (Pacte vert) d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, prévoit ainsi, notamment, une « réduction de l’usage et des risques de 50 % des #pesticides » d’ici à 2030 sur le territoire des Vingt-Sept. Et c’est ici que l’affaire se complique. Car, pour mesurer une « réduction de l’usage et des risques » de quoi que ce soit, il faut une métrique, et c’est souvent dans les détails de cette métrique que le diable est caché.

      C’est le toxicologue autrichien Helmut Burtscher-Schaden, membre de l’association Global 2000, qui l’a déniché. Dans une note publiée le 9 juin, il montre que le système proposé par la Commission pour mesurer la baisse du recours aux pesticides réalise le tour de force de pouvoir transformer une aggravation des risques en une amélioration.

      Le dispositif en question se nomme « Indice de risque harmonisé 1 » (Harmonized Risk Indicator 1, ou HRI-1). Il évalue le risque en fonction de la quantité de produits utilisée, modulé par des facteurs de risque si imparfaitement établis qu’il aboutit à des résultats « grotesquement faux » , fustige le toxicologue. En utilisant la grille d’analyse de HRI-1, il montre, par exemple, que ce système d’évaluation attribue « le même risque à 1 kilogramme de sable de quartz, une dose qui protège cinq arbres contre l’abroutissement du gibier, et à 1 kilogramme d’insecticide pyréthrinoïde, susceptible de tuer tous les insectes vivants sur 200 hectares » .

      Thermomètre défectueux

      HRI-1 est si défectueux qu’il désavantage des produits considérés par les autorités européennes elles-mêmes comme à faible risque, et d’usage courant en #agriculture_biologique, par rapport à d’autres, classés parmi les plus dangereux. Non seulement ce thermomètre ne donne pas la bonne température, mais il peut refroidir le chaud et réchauffer le froid. Selon HRI-1, ajoute M. Burtscher-Schaden, une seule application de bicarbonate de potassium comme #fongicide naturel (également utilisé comme additif alimentaire) présente un risque huit fois plus élevé qu’une application du fongicide de synthèse difénoconazole, placé par les autorités sur la liste des pesticides les plus problématiques, en raison de sa persistance et de sa toxicité.

      Ainsi, HRI-1 contrevient à cet autre objectif de la stratégie « Farm to Fork » : atteindre la proportion d’un quart des surfaces agricoles exploitées en bio d’ici à 2030. Comment atteindre cet objectif si des produits de biocontrôle peuvent être considérés comme plus risqués que des substances de synthèse reconnues comme devant être exclues au plus vite du marché ?

      Interrogée, la Commission ne dément aucune de ces informations mais souligne que « le HRI est un indicateur utile pour mesurer l’utilisation des pesticides et la réduction des risques dans l’UE » , et « la Commission travaille en permanence sur les moyens de renforcer encore ses indicateurs sur les pesticides . Bruxelles évoque de « futurs indicateurs basés sur des données plus concrètes » .

      « Ignorance stratégique »

      La France a vu pareille bataille il y a près de quinze ans. En 2008, les industriels souhaitaient que le tonnage de pesticides utilisés en France soit l’indicateur de suivi du recours à ces produits. Les pouvoirs publics ne les ont pas écoutés et ont mis au point un autre indice, le NODU (« nombre de doses unités »). Celui-ci est basé sur les quantités, rapportées aux surfaces traitées et aux taux d’application. Le tonnage peut baisser quand le NODU c’est-à-dire l’usage réel augmente (le NODU lui-même n’a pas échappé à un certain degré de trucage, puisqu’il exclut les traitements directement appliqués sur les graines).

      On le voit : les standards d’évaluation des risques et les métriques réglementaires peuvent être un facteur majeur de construction et de maintien d’une « ignorance stratégique », au sens de Linsey McGoey ( The Unknowers. How Strategic Ignorance Rules the World , Zed Books, 2019, non traduit). L’ignorance est souvent, de fait, la condition sine qua non au maintien de certaines activités. C’est parfois un actif précieux qu’il faut à tout prix conserver ; CropLife, le lobby agrochimique européen, ne s’y est pas trompé et a pris fait et cause pour HRI-1.

      Ce n’est pas tout. Ce qui se décide ces jours-ci à Bruxelles concerne non seulement l’évaluation des risques mais aussi le simple tonnage et la localisation des usages. Sur ce volet, la même volonté de maintenir, le plus longtemps, le plus d’ignorance possible est manifeste : selon les discussions du dernier trilogue sur le sujet, le 2 juin, le système d’information sur les intrants agricoles ne devrait pleinement entrer en vigueur qu’en... 2028. Soit deux années avant l’horizon de 2030 fixé par la Commission.

      Une telle absence de volonté politique est l’indice que le Green Deal agricole n’aura pas lieu. Là encore, la France aura été pionnière : en 2008, le plan Ecophyto fixait l’objectif d’une réduction de 50 % du recours aux pesticides en dix ans. Quinze ans plus tard, il n’a fait que croître.

      #agrochimie #agrobusiness #lobbies #criminels

    • Helmut Burtscher-Schaden | Global 2000 - Feb 2022 :
      HRI 1: A RISK INDICATOR TO PROMOTE TOXIC PESTICIDES ?
      https://www.organicseurope.bio/content/uploads/2022/06/GLOBAL2000_HRI-1_final_28022022.pdf

      Are organic pesticides hundreds of times more dangerous than synthetic chemical pesticides? “What nonsense!” you might reply. But this is exactly the result you get, when applying the Harmonised Risk Indicator 1 that the European Union intends to use for the monitoring of the 50% pesticide reduction target under the European Green Deal.

      Since all these pesticide active substances get the same weighting factor of 8, the HRI 1 “measures” the same risk for one kilogram of a nerve agent, such as the highly bee-toxic insecticide deltamethrin, as for one kilogram of quartz sand, even though the latter is obviously not hazardous.

  • Zero-covid strategies are being ditched, but they were the best option | New Scientist
    https://www.newscientist.com/article/mg25433800-100-zero-covid-strategies-are-being-ditched-but-they-were-t

    If the target of zero covid is now being ditched, does that mean it was a failure? A crude answer would be: only if you think saving lives and preserving economic growth constitutes a misstep.

    Let’s go further . Consider what would have happened if, in early 2020, every country able to had adopted a zero-covid policy . It is incontestable that the global death count would be far lower, fewer people would have long covid and the economic damage would have been reduced. The virus would still be spreading, but slowly, and rising rates of vaccination would control it further. Crucially, omicron probably wouldn’t have had the chance to evolve.

    #bouffons #criminels

  • Elizabeth Jacobs, PhD 🏴‍☠️ sur Twitter
    https://twitter.com/TheAngryEpi/status/1508867813032677390

    How strange that CDCDirector and friends are wearing masks indoors when they clearly told us it was safe to take them off. We must never again put a person who cannot communicate simple public health guidance to the public in charge of the @CDCgov.

    #criminels

  • UK Covid infections climb by a million in a week - BBC News
    https://www.bbc.com/news/health-60872687

    Au #Royaume-Uni, le nombre de malades du #Covid-19 atteint des records dans l’#indifférence
    https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/au-royaume-uni-le-nombre-de-malades-du-covid-19-atteint-des-records-dan

    Contrairement à la dernière vague, les autorités ne montrent aucune volonté d’adopter de quelconques mesures et la flambée actuelle se déroule dans une relative indifférence du public, l’actualité étant dominée par la guerre en Ukraine et la chute du pouvoir d’achat.

    #politique #criminel #criminels #MSM

  • Le #Danemark veut envoyer 300 #détenus_étrangers au #Kosovo
    (... encore le Danemark...)

    La ministre kosovare de la justice a confirmé jeudi l’accord qui prévoit de confier à une prison de son pays des prisonniers étrangers, condamnés au Danemark et susceptibles d’être expulsés après avoir purgé leur peine.

    Le Danemark a franchi, mercredi 15 décembre, une nouvelle étape dans sa gestion des étrangers. Le ministre de la justice, Nick Haekkerup, a annoncé que le pays nordique prévoit de louer 300 places de prison au Kosovo, pour y interner les citoyens étrangers, condamnés au Danemark, et qui doivent être expulsés vers leur pays d’origine après avoir purgé leur peine. Le 3 juin déjà, le gouvernement dirigé par les sociaux-démocrates, avait fait adopter une loi lui permettant de sous-traiter l’accueil des demandeurs d’asile et des réfugiés à un pays tiers.

    L’accord sur les détenus étrangers a été confirmé, jeudi 16 décembre, par la ministre kosovare de la justice, Albulena Haxhiu. Il s’agit d’une première pour ce petit et très pauvre pays des Balkans, dirigé depuis le début de 2021 par le parti de gauche nationaliste Autodétermination !, proche du parti socialiste européen, et qui rêve d’adhésion à l’Union européenne.

    Une lettre d’intention entre les deux gouvernements devrait être signée, lundi 20 décembre, à Pristina. Un traité sera ensuite soumis à l’approbation des deux tiers du Parlement. Mme Haxhiu a révélé que les prisonniers danois seraient enfermés dans le centre de détention de Gjilan, à l’est du pays, et assuré qu’il n’y aurait pas de terroristes, ni de prisonniers à « à haut risque » parmi eux. Selon elle, ce projet d’externalisation « est la reconnaissance du Kosovo et de ses institutions comme un pays sérieux ».
    « Une prison danoise dans un autre pays »

    A Copenhague, le ministre de la justice a fait savoir que les négociations avec Pristina avaient débuté il y a un an. Le dispositif a été présenté dans le cadre d’un accord entre les sociaux-démocrates, les conservateurs, le Parti du peuple danois et le Parti socialiste du peuple, pour réformer le système pénitentiaire. L’objectif est d’augmenter la capacité des prisons danoises pour pouvoir accueillir un millier de détenus supplémentaires.

    Parallèlement à l’ouverture de nouvelles cellules dans les établissements existant, le gouvernement compte donc libérer 300 places en se débarrassant des détenus d’origine étrangère, condamnés à l’expulsion une fois leur peine purgée. Ils étaient 368 en 2020. « Il faut s’imaginer que c’est une prison danoise. Elle se situe juste dans un autre pays », a expliqué M. Haekkerup, précisant que l’équipe dirigeant le centre de Gjilan serait danoise.

    A Pristina, Mme Haxhiu a confirmé : « Les lois en vigueur au Danemark s’appliqueront, la gestion sera danoise, mais les agents pénitentiaires seront de la République du Kosovo. Le bien-être et la sécurité [des détenus] seront sous leur entière responsabilité. »

    Avec ce dispositif, le gouvernement danois veut « envoyer un signal clair que les étrangers condamnés à l’expulsion doivent quitter le Danemark ». Au ministère de la justice, on précise toutefois que si les détenus, une fois leur peine purgée, refusent d’être expulsés dans leur pays d’origine et que Copenhague ne peut les y forcer faute d’accord avec ces pays, alors ils seront renvoyés au Danemark, pour être placés en centre de rétention.

    En échange de ses services, le Kosovo devrait obtenir 210 millions d’euros sur dix ans : « Cette compensation bénéficiera grandement aux institutions judiciaires, ainsi qu’au Service correctionnel du Kosovo, ce qui augmentera la qualité et l’infrastructure globale de ce service », a salué le gouvernement dans un communiqué. Le Danemark, de son côté, a indiqué qu’il allait aussi verser une aide de 6 millions d’euros par an au petit pays, au titre de la transition écologique.
    De nombreux problèmes juridiques

    Comme pour l’externalisation de l’asile, ce projet pose de nombreux problèmes juridiques. Le gouvernement danois a précisé que les détenus ayant une famille seraient les derniers envoyés au Kosovo, car ils doivent pouvoir « avoir des contacts avec leurs enfants ». Une aide financière au transport sera mise en place pour les proches.

    Directrice de l’Institut des droits de l’homme à Copenhague, Louise Holck parle d’une « décision controversée du point de vue des droits de l’homme », car le Danemark, rappelle-t-elle, « ne peut pas exporter ses responsabilités légales » et devra faire en sorte que les droits des prisonniers soient respectés. Professeure de droit à l’université du sud Danemark, Linda Kjær Minke estime qu’il faudra modifier la loi, ne serait-ce que « pour imposer un transfert aux détenus qui refuseraient ».

    Entre 2015 et 2018, la Norvège avait sous-traité l’emprisonnement de prisonniers aux Pays-Bas. Dans un rapport publié en 2016, le médiateur de la justice avait constaté que les autorités norvégiennes « n’avaient pas réussi à garantir une protection adéquate contre la torture et les traitements inhumains ou dégradants ». Jamais aucun pays européen n’a transféré des prisonniers aussi loin (plus de 2 000 km), et le Danemark devrait faire face aux mêmes problèmes que la Norvège, estime Linda Kjær Minke :« Même si la direction est danoise, les employés auront été formés différemment, avec peut-être d’autres façons d’utiliser la force. »

    Ces mises en garde ne semblent pas affecter le gouvernement danois, qui multiplie les décisions très critiquées, comme celle de retirer leur titre de séjour aux réfugiés syriens. Le but est de décourager au maximum les demandeurs d’asile de rejoindre le pays. La gauche et les associations d’aide aux migrants dénoncent une « politique des symboles ».

    https://www.lemonde.fr/international/article/2021/12/16/le-danemark-veut-envoyer-300-detenus-etrangers-au-kosovo_6106356_3210.html#x

    #asile #migrations #réfugiés #externalisation #pays-tiers #rétention #détention_administrative #détention #étrangers_criminels #criminels_étrangers #expulsion #renvoi #accord #Gjilan #prison #emprisonnement #compensation_financière #aide_financière #transition_écologique #étrangers

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    • Danimarca-Kosovo: detenuti in cambio di soldi per tutela ambientale

      Da Pristina e Copenhagen arriva una notizia sconcertante. Il ministro della Giustizia del Kosovo Albulena Haxhiu ha annunciato che a breve arriveranno nel paese 300 detenuti, attualmente nelle carceri danesi e cittadini di paesi non UE, per scontare la loro pena in Kosovo. In cambio Pristina otterrà 210 milioni di euro di finanziamenti a favore dell’energia verde.

      L’accordo fa parte di una serie di misure annunciate in settimana dalle autorità danesi per alleviare il sistema carcerario del paese per far fronte ad anni di esodo del personale e al più alto numero di detenuti dagli anni ’50.

      I detenuti dovrebbero scontare le loro pene in un penitenziario di Gjilan. “I detenuti che saranno trasferiti in questo istituto non saranno ad alto rischio", ha chiarito Haxhiu in una dichiarazione.

      L’accordo deve passare ora dall’approvazione del parlamento di Pristina.

      In molti, in Danimarca e all’estero, si sono detti preoccupati per la salvaguardia dei diritti dei detenuti. Un rapporto del 2020 del Dipartimento di Stato americano ha evidenziato i problemi nelle prigioni e nei centri di detenzione del Kosovo, tra cui violenza tra i prigionieri, corruzione, esposizione a opinioni religiose o politiche radicali, mancanza di cure mediche e a volte violenza da parte del personale.

      Perplessità rimandate al mittente dal ministro della Giustizia danese Nick Hekkerup che si è dichiarato convinto che l’invio di detenuti in Kosovo sarà in linea con le norme a salvaguardia dei diritti umani a livello internazionale. «I detenuti deportati potranno ancora ricevere visite, anche se, naturalmente, sarà difficile», ha chiosato.

      https://www.balcanicaucaso.org/aree/Kosovo/Danimarca-Kosovo-detenuti-in-cambio-di-soldi-per-tutela-ambientale

    • Le Kosovo prêt à louer ses prisons au Danemark

      Le Kosovo veut louer 300 cellules de prison pendant dix ans au Danemark, en échange de 210 millions d’euros. Le pays scandinave prévoit d’y « délocaliser » des détenus étrangers avant leur potentielle expulsion définitive dans leur pays d’origine. Un projet qui piétine les libertés fondamentales.

      Le Kosovo s’apprête à signer lundi 20 décembre un accord de principe avec le Danemark pour lui louer 300 cellules de prison. Le Danemark prévoit donc de déporter à plus de 2000 km de ses frontières 300 détenus étrangers qui viendront purger la fin de leur peine au Kosovo avant d’être expulsés vers leur pays d’origine, si les procédures d’extradition le permettent. Mais ce n’est pas encore fait : une fois l’accord signé, il devra encore être ratifié par les parlements respectifs des deux pays, à la majorité des deux tiers.

      Montant de la rente de cette « location » : 210 millions d’euros pour Pristina. L’argent « sera consacré aux investissements, notamment dans les énergies renouvelables », a précisé Albulena Haxhiu, la ministre de la Justice du Kosovo, qui a tenté de déminer le terrain. « Ce ne seront pas des détenus à haut risque ou des condamnés pour terrorisme, ni des cas psychiatriques. Les institutions judiciaires bénéficieront de la compensation financière, cela aidera à améliorer la qualité et les infrastructures du Service correctionnel. »

      « Il faut s’imaginer que cela sera une prison danoise. Elle sera juste dans un autre pays », a expliqué de son côté son homologue danois, Nick Haekkerup. Mais pourquoi l’un des plus riches pays européens aurait-il besoin d’« externaliser » la prise en charge de ses détenus ? Le Danemark dit avoir besoin de 1000 places de prison supplémentaires. Pour cela, il va créer de nouvelles cellules dans les prisons existantes, et en libérer d’autres en se débarrassant de détenus étrangers. Il s’agit surtout d’envoyer un message de fermeté aux réfugiés qui souhaitent rejoindre le pays scandinave.

      Les Danois ont commencé à préparer le terrain en octobre 2020, avec une visite du système carcéral kosovar. Ils ont « évalué positivement le traitement de nos prisonniers et nos capacités », s’était alors félicité le ministère de la Justice du Kosovo. Les 300 détenus resteront soumis aux lois danoises, mais les gardiens de prison seront bien kosovars. Ce projet d’externalisation carcérale est « la reconnaissance du Kosovo comme un pays sérieux », s’est félicitée Albulena Haxhiu.

      “Le Kosovo se transforme en un lieu de détention pour les migrants indésirables. Pour un peu d’argent, notre gouvernement renforce le sentiment anti-réfugiés qui s’accroit en Europe.”

      Mais pour le Conseil de la défense des droits de l’homme (KMLDNJ), qui surveille les conditions de détention dans les prisons kosovares, cet accord « légalise la discrimination des détenus ». « Tout d’abord, vendre sa souveraineté à un autre État pour dix ans et 210 millions d’euros est un acte de violation de cette souveraineté. De plus, les conditions et le traitement de ces détenus qui viendront du Danemark seront incomparablement meilleurs des autres 1600 à 1800 détenus du Kosovo », estime l’ONG. « Les propriétés de l’État ne doivent pas être traitées comme des infrastructures privées à louer », ajoute Besa Kabashi-Ramaj, experte en questions sécuritaires.

      Cet accord a en effet surpris beaucoup d’observateurs locaux et internationaux, et ce d’autant plus que le Kosovo est actuellement gouverné par le parti de gauche souverainiste Vetëvendosje. « Le Kosovo se transforme en un lieu de détention pour les migrants indésirables. Pour un peu d’argent, notre gouvernement renforce le sentiment anti-réfugiés qui s’accroît en Europe », déplore Visar Ymeri, directeur de l’Institut pour les politiques sociales Musine Kokalari. « Aussi, quand la ministre de la Justice affirme que le Kosovo a assez de prisons mais pas assez de prisonniers, elle participe à une politique de remplacement du besoin de justice par un besoin d’emprisonnement. »

      Selon le Rapport mondial des prisons, établi par l’Université de Londres, le Kosovo avait 1642 détenus en 2020, soit un taux d’occupation de 97%. Le ministère de la Justice du Kosovo n’a, semble-t-il, pas la même façon de calculer l’espace carcéral : « Nous avons actuellement 700-800 places libres. Vu qu’au maximum nous aurons 300 détenus du Danemark, il restera encore des places libres », a même fait savoir Alban Muriqi, du ministère de la Justice.

      Le Kosovo a onze centre de détention : cinq centres de détention provisoire, une prison haute sécurité, une prison pour femmes, un centre d’éducation pour les mineurs et trois autres prisons. C’est au centre de détention à #Gjilan / #Gnjilane, dans l’est du Kosovo, que seraient louées les cellules au Danemark.

      https://www.courrierdesbalkans.fr/Kosovo-Prisonniers-Danemark

    • La Danimarca e le prigioni off-shore

      Sono immigrati incarcerati in Danimarca. Dal 2023 rischiano di scontare la propria pena in un peniteniario di Gjilian, in Kosovo. Un approfondimento sullo sconcertante accordo del dicembre scorso tra Copenhagen e Pristina

      Sebbene Danimarca e Kosovo abbiano avuto poco a che fare l’uno con l’altro, alla fine di dicembre si sono ritrovati insieme nei titoli dei giornali di tutto il mondo. Ad attirare l’attenzione della Danimarca sono state le quasi 800 celle vuote del Kosovo. I titoli dei giornali erano di questo tipo: «La Danimarca spedisce i propri prigionieri in Kosovo».

      Ci si riferiva ad un accordo firmato il 21 dicembre 2021 per inviare - in un centro di detenzione nei pressi di Gjilan, 50 chilometri a sud-est di Pristina - 300 persone incarcerate in Danimarca. Le autorità danesi hanno specificato che i 300 detenuti saranno esclusivamente cittadini di paesi terzi destinati ad essere deportati dalla Danimarca alla fine della loro pena.

      In cambio, il Kosovo dovrebbe ricevere 200 milioni di euro, suddivisi su di un periodo di 10 anni. I fondi sono stati vincolati a progetti nel campo dell’energia verde e delle riforme dello stato di diritto. Il ministro della Giustizia del Kosovo Albulena Haxhiu ha definito questi investimenti «fondamentali» e il ministro della Giustizia danese Nick Hækkerup ha affermato che «entrambi i paesi con questo accordo avranno dei vantaggi».

      L’idea di gestire una colonia penale per conto di un paese dell’UE ha messo molti kosovari a disagio, e nonostante la fiducia espressa dal governo danese, l’accordo ha ricevuto pesanti critiche anche in Danimarca. Ma cosa sta succedendo alla Danimarca e al suo sistema carcerario da spingerla a spedire i propri detenuti in uno dei paesi più poveri d’Europa?
      Problemi in paradiso?

      La Danimarca e i suoi vicini nordici sono rinomati per l’alta qualità della vita, gli eccellenti sistemi educativi e le generose disposizioni di assistenza sociale. Di conseguenza, può sorprendere che il sistema carcerario danese abbia qualche cosa che non va.

      Secondo Peter Vedel Kessing, ricercatore dell’Istituto Danese per i Diritti Umani (DIHR), non c’è da stupirsi, il sistema carcerario infatti «non è una priorità in molti stati. Tendono a non dare la priorità alla costruzione di prigioni. Vogliono spendere i soldi per qualcos’altro». E in Danimarca “hanno prigioni molto vecchie".

      Alla fine del 2020 il servizio danese per i penitenziari e la libertà vigilata (Kriminalforsogen) ha riferito che il sistema carcerario aveva la capacità di contenere 4.073 prigionieri. In media, c’erano però 4.085 detenuti ad occupare le celle nel 2020, facendole risultare leggermente sovraffollate.

      Un rapporto del gennaio 2020 dell’Annual Penal Statistics (SPACE) del Consiglio d’Europa sottolinea che la Danimarca aveva 4.140 detenuti mentre possedeva capacità per 4.035. I funzionari penitenziari hanno trovato lo spazio in più riducendo le aree comuni e dedicate ai servizi di base. Secondo un rapporto DIHR del novembre 2021, «diverse prigioni hanno chiuso sale comuni o aule per avere un numero sufficiente di celle». Il rapporto menziona anche la trasformazione di palestre, sale per le visite e uffici in celle di prigione.

      In Danimarca, ogni detenuto dovrebbe avere una cella propria. Ma nelle prigioni come quella di Nykøbing, una città a 130 chilometri a sud di Copenaghen, ci sono ora due detenuti per cella, secondo un rapporto del “Danish Prison and Probation Service”.

      Il rapporto includeva una previsione per il 2022: si aspettano di superare del 7,9% i posti a disposizione. Sia il Kriminalforsogen che l’importante media danese Jyllands Posten hanno stimato una possibile carenza di 1.000 posti entro il 2025, se non si trovano soluzioni strutturali.

      Ora, invece di erodere ulteriormente gli spazi comuni, si pensa di inviare i detenuti a 2000 chilometri di distanza. Tra le molte cose, sono stati tanti i danesi a far notare che l’accordo viola i diritti di visita dei detenuti: diventerà molto più difficile per le famiglie e gli amici dei detenuti presentarsi all’orario di visita nel Kosovo orientale.

      «Se improvvisamente ti trovi a dover andare in Kosovo per trovare tuo padre… non sarà possibile per la stragrande maggioranza delle famiglie dei detenuti. Ad esempio, un bambino di 3 anni, non è che può andare in Kosovo quando vuole e, naturalmente, il detenuto non potrà venire a trovare il bambino», sottolinea Mette Grith Stage, un avvocato che rappresenta molti imputati che si battono contro la deportazione, al quotidiano danese Politiken. «Questo significa di fatto che i deportati perdono il contatto con la loro famiglia».

      Per coprire la spesa prevista di 200 milioni di euro in un decennio, il governo danese ha recentemente annunciato che intende aumentare le tasse sulla tv. L’annuncio ha causato reazioni amare. In un’udienza parlamentare all’inizio di febbraio, il direttore delle comunicazioni dell’organizzazione Danish Media Distributors, Ib Konrad Jensen, ha dichiarato: «È un’ottima idea scrivere in fondo alla bolletta [della televisione]: ’Ecco il vostro pagamento al servizio carcerario del Kosovo’».
      Aiuto!

      Non solo c’è una carenza di spazio nel sistema penale, ma la Danimarca ha anche difficoltà nell’assumere abbastanza guardie carcerarie ed è da questo punto di vista gravemente sotto organico negli ultimi anni.

      Un rapporto del 2020 del Consiglio d’Europa mostra che l’Albania ha una proporzione di guardie carcerarie per prigionieri più alta della Danimarca. Il confronto è stato portato alla luce dai media danesi per cercare di enfatizzare la scarsa qualità delle prigioni danesi: guarda come siamo messi male, anche l’Albania sta facendo meglio di noi.

      I funzionari penitenziari si sono opposti a questo tipo di parallelismo. «L’Albania è certamente un paese eccellente», ha dichiarato Bo Yde Sørensen, presidente della Federazione delle prigioni danesi, in un articolo del quotidiano Berlingske, «ma di solito non è uno con il quale paragoniamo le nostre istituzioni sociali vitali».

      Anche altri media danesi hanno fatto paragoni denigratori con i paesi balcanici per evidenziare i problemi del proprio sistema carcerario. Nel penitenziario di Nyborg, situato sull’isola di Funen, la testata danese V2 ha riferito che la qualità del lavoro è più scadente di quella della Bulgaria, affermando che «in media, un agente penitenziario nella prigione di Nyborg gestisce 2,8 detenuti», mentre «in confronto, la media è 2,4 in una prigione media in Bulgaria».

      La diffusa scarsa opinione tra i media danesi delle condizioni dei penitenziari nei Balcani mette chiaramente in discussione le assicurazioni che il governo danese ha dato nel garantire che i propri prigionieri a Gjilan troveranno le condizioni a cui hanno diritto per la legge danese.

      Ma come è chiaro, anche in Danimarca il sistema penitenziario ha problemi a rispettare queste stesse condizioni. Nel penitenziario di Vestre, a Copenhagen, i detenuti sono chiusi nelle loro celle durante la notte perché non ci sono abbastanza guardie per sorvegliarli durante la guardia notturna. I detenuti in Danimarca avrebbero diritto al contrario di avere un alto grado di libertà di movimento all’interno della struttura carceraria, anche durante la notte.

      «Non è un segreto che il servizio penitenziario e di libertà vigilata danese si trova in una situazione molto difficile. Ci sono più detenuti e meno guardie carcerarie che mai, e questo crea sfide e mette molta pressione», afferma Sørensen in una intervista per Berlingske.

      Un comunicato stampa emesso dal Fængselsforbundet - servizio penitenziario danese - mostra i bisogno in termini chiari: «Prendiamo il 2015 come esempio. A quel tempo c’erano 2.500 agenti per 3.400 prigionieri. Cioè 1,4 detenuti per agente. Ora il rapporto è di due a uno. Duemila agenti per 4.200 detenuti».

      In risposta ai problemi di personale, le prigioni danesi sono ricorse al chiudere a chiave le celle. «Il modo per evitare la violenza e per avere una migliore atmosfera nei penitenziari», commenta Kessing, ricercatore del DIHR, è quello di «creare relazioni tra l’istituzione penitenziaria, i detenuti e il personale della prigione». «Ma a causa della diminuzione del numero di guardie, non si ha più il tempo di sviluppare relazioni», chiosa.
      La risposta? Il Kosovo

      Per superare queste sfide, la Danimarca sembra aver preso esempio dalla vicina Norvegia, che ha affrontato problemi simili nel 2015. Quell’anno la Norvegia ha inviato 242 detenuti nei Paesi Bassi per risolvere i problemi di sovraccarico dei penitenziari. Ma nel 2018 il governo norvegese ha deciso di non rinnovare l’accordo di fronte a lamentele relative a riabilitazione e giurisdizione.

      Ora la Danimarca ha gettato gli occhi - come recinto per i propri detenuti - non sui Paesi Bassi ma su uno dei paesi più poveri d’Europa.

      «Il loro futuro non è in Danimarca, e quindi non dovrebbero nemmeno scontare la loro pena qui», ha dichiarato il ministro della Giustizia Nick Hækkerup, dando conferma di una crescente retorica anti-immigrazione in Danimarca.

      Quando i detenuti cominceranno ad arrivare a Gjilan nel 2023, la prigione sarà gestita dalle autorità danesi, causando una potenziale confusione su quale giurisdizione applicare: problema simile era sorto tra Norvegia e Paesi Bassi.

      Mette Grith Stage, come anche altri avvocati danesi, hanno espresso preoccupazione per questo accordo e si sono detti scettici sul fatto che le leggi penali danesi saranno applicate appieno nel sistema carcerario del Kosovo.

      In un’intervista con DR, l’emittente pubblica danese, il ministro della Giustizia Hækkerup ha però ribattuto: «Il penitenziario sarà gestito da una direzione danese che deve formare i dipendenti locali, per questo sono certo che le prigioni saranno all’altezza delle leggi e degli standard danesi. Deve essere visto come un pezzo del sistema carcerario danese che si sposta in Kosovo».

      Le dichiarazioni delle autorità danesi durante tutta la vicenda hanno spesso citato la loro «presenza significativa» in Kosovo. Tuttavia la Danimarca è l’unico paese scandinavo a non avere un’ambasciata a Pristina. L’ambasciata danese a Vienna, che supervisiona gli affari nei Balcani, ha esternalizzato il lavoro a uno studio legale nella capitale del Kosovo.

      A seguito degli obblighi NATO della Danimarca, un totale di 10.000 componenti delle proprie truppe hanno servito nella KFOR dal 1999 ad oggi. Attualmente sono 30 i militari danesi in Kosovo. Nel 2008 la Danimarca fu uno dei primi paesi a riconoscere l’indipendenza del Kosovo.

      Anche se le autorità danesi affermano di considerare il Kosovo alla pari, il semplice fatto che la Danimarca stia assumendo la gestione di una delle prigioni del Kosovo potrebbe legittimamente essere visto come una minaccia alla sovranità di quest’ultimo. Quando i prigionieri norvegesi vennero mandati nei Paesi Bassi, il penitenziario continuò ad essere sotto autorità olandese.

      Ma al di là delle preoccupazioni sulla giurisdizione, gli standard delle prigioni, i diritti di visita e i costi, ci sono questioni morali più grandi. Il popolo danese vuole veramente che a proprio nome vengano gestite strutture carcerarie offshore per i suoi immigrati incarcerati? E il popolo del Kosovo vuole essere una colonia penale dei paesi più ricchi? I governi della Danimarca e del Kosovo dicono di sì, ma cosa dice la gente?

      https://www.balcanicaucaso.org/aree/Kosovo/La-Danimarca-e-le-prigioni-off-shore-215757

  • America’s Food Safety System Failed to Stop a Salmonella Epidemic. It’s Still Making People Sick. — ProPublica
    https://www.propublica.org/article/salmonella-chicken-usda-food-safety

    For years, a dangerous salmonella strain has sickened thousands and continues to spread through the chicken industry. The USDA knows about it. So do the companies. And yet, contaminated meat continues to be sold to consumers.

    […]

    The industry’s influence wasn’t lost on regulators. Former USDA officials hold key posts at some of the food industry’s biggest companies. Indeed, two people who led the 2017 meeting for the agency now work for the food industry.

    #états-unis #antibiorésistance #porte_tournante #criminels #corruption_légale #acheter_les_lois #lobbying

  • U.S. lawmakers move urgently to recognize survivors of the first atomic bomb test
    https://www.nationalgeographic.com/history/article/lawmakers-move-urgently-to-recognize-survivors-of-the-first-atom

    For General Groves, getting the bomb ready—in secrecy—for wartime use had trumped all other considerations, including public safety.

    Yet he realized that a blast whose flash was seen in at least three states and two countries could not be wholly concealed. He ordered the commanding officer of the Alamogordo Air Base to feed a cover story to the Associated Press that “a remotely located ammunition magazine containing a considerable amount of high explosives and pyrotechnics exploded.” There had been, the report went on, “no loss of life or injury.” Local newspapers reprinted the announcement without challenge.

    Barbara Kent recalls that the day after the explosion, her camp’s dance instructor took the girls into Ruidoso, where government officials were to make an announcement about the source of the blast.

    “It was so crowded downtown—everyone was shoulder to shoulder,” Kent says. “What they told us—there was an explosion at a dump. They said, ‘No one worry about anything, everything’s fine, just go along with your own business.’ Everyone was confused. Some people believed it, but some people thought they couldn’t imagine that a dump explosion would do this." She continues: "They lied to us. I didn’t learn the truth until years later.”

    As time passed, Kent says she began to hear disturbing reports that her fellow campers were falling ill. By the time she turned 30, she says, “I was the only survivor of all the girls at that camp.” She adds that she has suffered from lifelong illnesses: She had to have her thyroid removed and has survived several forms of cancer, including endometrial cancer and “all kinds of skin cancers.”

    #états-unis #nucléaire

    • #Trinity (essai atomique) — Wikipédia
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Trinity_(essai_atomique)

      Des abris furent construits à environ 10 000 yards (9 100 m) au nord, à l’ouest et au sud de la tour, et furent appelés N-10,000, W-10,000 et S-10,000. Chacun avait un responsable : Robert Wilson à N-10,000, John Manley à W-10,000 et Frank Oppenheimer à S-10,000[56]. La plupart des observateurs se trouvaient néanmoins à une trentaine de kilomètres, et certains assistèrent à l’explosion de façon plus ou moins informelle ; Richard Feynman affirma ainsi qu’il fut la seule personne à avoir vu l’explosion sans les lunettes de protection fournies, car il avait utilisé le pare-brise de son véhicule pour filtrer les rayons ultraviolet nocifs[57]. Bainbridge demanda à Groves de lui donner une liste de VIP de dix noms. Il choisit Oppenheimer, Richard Tolman, Vannevar Bush, James Conant, Thomas F. Farrell (en), Charles Lauritsen, Isidor Isaac Rabi, Geoffrey Taylor, James Chadwick et lui-même[53]. Le groupe assista à l’essai depuis Compania Hill à environ 30 kilomètres au nord-ouest de la tour[58].

      […]

      L’intense lumière et la puissante détonation furent remarquées dans tout le Nouveau-Mexique. Groves fit par conséquent publier un communiqué de presse rédigé plusieurs semaines auparavant par Laurence :

      « Alamogordo, N. M., 16 juillet
      L’officier commandant la base d’Alamogordo a fait la déclaration suivante aujourd’hui : « Plusieurs demandes ont été reçues concernant une forte explosion ayant eu lieu sur la base d’Alamogordo ce matin. Un magasin de munitions isolé et contenant une quantité considérable d’explosifs et d’engins pyrotechniques a explosé. Aucun mort ou blessé n’est à déplorer et les dégâts à l’extérieur du magasin d’explosifs ont été négligeables. Les conditions météorologiques affectant la composition des obus à gaz détruits par l’explosion pourrait pousser l’Armée à évacuer temporairement certains civils[92] ». »I

      #criminels

    • L’article de Wikipedia est par ailleurs sidérant,

      Dans le cadre du projet Manhattan, les scientifiques du laboratoire de Los Alamos développèrent une arme à fission utilisant du plutonium surnommée « Gadget » mais en raison de sa complexité, ils n’étaient pas certains qu’elle fonctionnerait. Il fut donc décidé de réaliser un essai dans une région isolée et inhabitée […]

  • Israeli Soldiers Kill Five Palestinians In West Bank
    Sep 26, 2021 – – IMEMC News
    https://imemc.org/article/israeli-soldiers-kill-five-palestinians-in-west-bank

    Israeli soldier killed, on Sunday at dawn, five Palestinians, injured and abducted many others, during massive invasions into various communities in the occupied West Bank, resulting in exchanges of fire with Palestinian fighters.

    Israeli media sources said undercover Israeli soldiers of the Duvdevan special forces carried out extensive operations to ‘arrest members of Hamas movement’ across the West Bank, leading to exchanges of fire, resulting in the death of at least five Palestinians.


    The Palestinian Red Crescent Society (PRCS) that the soldiers shot Osama Sobeh, 22, with live fire causing serious injuries before he was rushed to Ibn Sina hospital in Burqin town, west of the northern West Bank city of Jenin, where he succumbed to his wounds.

    Local sources said Sobeh was killed when the soldiers invaded the home of a former political prisoner, identified as Mohammad Zar’ini, near the al-Yamoun town.

    The soldiers also invaded Burqin town, southwest of Jenin, and surrounded a house, while more soldiers were deployed in the area before sporadic exchanges of fire took place for several hours.

    In addition, Palestinian medical sources the soldiers shot a young man in the leg when the army invaded Kafr Dan village, northwest of Jenin; the soldiers also abducted at least one Palestinian before moving him to an unknown destination.

    In Jenin city, undercover soldiers kidnapped Ahmad Abu Rmeila and Mohammad Mazen Sa’adi, after ambushing them in a gas station in Jenin city.

    Exchanges of fire between the soldiers and Palestinian resistance fighters were also reported in several areas in the Jenin governorate. At least eight Palestinains, and two Israeli soldiers were injured.

    In addition, the soldiers killed three Palestinians and injured several others during an exchange of fire in the Ein Ajeeb area, east of Beit Anan town, and in Biddu town, northwest of occupied Jerusalem.

    Ahmad Zahran

    One of the slain Palestinians has been identified as Ahmad Zahran, a member of the al-Qassam Brigades, the armed wing of Hamas.

    It is worth mentioning that Ahmad is the brother of Zahran Zahran, who was killed y the Israeli army in the year 1998.

    Local sources said the army used at least ten drones during its invasions into villages, northwest of occupied Jerusalem, especially in the Ein Ajeeb area.

    The army also invaded Beit Fajjar town, south of Bethlehem, and abducted Mohammad Moayyad Thawabta, 20, Qussai Jamal Deeriyya, 22, and Mohammad Ibrahim Deeriyya, 18, from their homes.

    In Hebron, in southern West Bank, the soldiers invaded and ransacked many homes, and abducted two Palestinians, identified as Amer Tawfiq Abu Hlayyil and Hazem Nader Abu Hlayyil, in Doura town, south of the city.

    #Palestine_assassinée

    Updated: “Including A Child, Israeli Soldiers Kill Five Palestinians In West Bank”
    Sep 26, 2021

    Updated: Israeli soldiers killed, on Sunday at dawn, five Palestinians, including a child, injured and abducted many others, during massive invasions into various communities in the occupied West Bank, resulting in exchanges of fire with Palestinian fighters.

    The five slain Palestinians have been oficially identified as:

    Yousef Fathi Soboh, 16, from Burqin town, west of the northern West Bank city of Jenin.
    Osama Yasser Soboh, 22, from Burqin town, west of the northern West Bank city of Jenin.
    Mahmoud Mustafa Hmeidan, 27, from Beit Anan town, northwest of occupied Jerusalem.
    Zakariyya Ibrahim Badwan, 36, from Biddu town, northwest of occupied Jerusalem.
    Ahmad Zahran, 37, from Biddu town, northwest of occupied Jerusalem.

    • Cinq jeunes palestiniens ont été assasinés et par les forces de l’occupation à Jénine et Jérusalem
      Date : Sunday 2021-09-26 - 11:30 AM
      Palestine Occupée-Gaza Post
      https://thegazapost.com/fr/post/130675/Cinq-jeunes-palestiniens-ont-%C3%A9t%C3%A9-assasin%C3%A9s-et-par-les-fo

      Dimanche matin, cinq martyrs palestiniens ont été tués et d’autres blessés par les forces de l’occupation israélienne à Jénine en Cisjordan et Jérusalem Occupée.

      Dans un communiqué, le ministère de la Santé a indiqué que la mort de trois citoyens dans la ville de Badu, au nord de Jérusalem.

      Le ministère a souligné dans son communiqué que « les martyres sont les trois jeunes hommes Palestiniens, Ahmed Zahran, Mahmoud Hamidan et Zakaria Badwan »


      À Jénine, Oussama Yasser Sobh , 22 ans, a été abattu par les forces armées de l’occupation israélienne, un autre martyr n’est pas encore connu , et quatre autres ont été blessés par les forces de l’occupation israélienne

      L’hôpital Ibn Sina a annoncé qu’Oussama Yasser Sobh, 22 ans, avait été tué par des tirs israéliens dans à Jénine .

      Le gouverneur de Jénine, Akram al-Rajoub, a signalé le martyre d’un autre jeune homme dans le village Burqine à Jénine, qui n’est pas identifié, et son corps est toujours sous la garde des forces d’occupation.

    • L’occupant israélien assassine cinq résistants palestiniens
      26 September 2021
      Par Al-Jazeera, Al-Quds News Network
      https://www.chroniquepalestine.com/occupant-israelien-assassine-cinq-resistants-palestiniens

      Ramallah, Cisjordanie occupée – Cinq Palestiniens ont été assassinés par l’armée israélienne d’occupation lors de raids militaires menés dans la nuit de samedi à dimanche dans les régions de Jénine et de Jérusalem en Cisjordanie occupée.

      Mohammad Hleil, porte-parole du ministère palestinien de la santé, a confirmé à Al Jazeera le meurtre de trois Palestiniens du village de Biddu, au nord-ouest de Jérusalem, qui ont été identifiés par leurs familles comme étant Ahmad Zahran, Mahmoud Hmaidan et Zakariya Badwan.

      Les forces israéliennes d’occupation ont également assassiné un habitant du village de Burqin, au sud-ouest de la ville de Jénine, qui a été identifié comme étant Osama Soboh , âgé de 22 ans, a confirmé Hleil, ajoutant que des rapports font état de la mort d’un cinquième Palestinien, Yousif Soboh , âgé de 16 ans.

      Selon les médias de l’occupant, deux soldats israéliens ont été “gravement blessés” lors des affrontements armés qui ont suivi, et ont été hospitalisés.

      Selon la famille d’Ahmad Zahran, les forces israéliennes le pourchassaient depuis des semaines, notamment par des raids précédents de l’armée sur leur maison, des arrestations et des interrogatoires de membres de la famille, ont rapporté les médias locaux.

      La mère d’Ahmad Zahran a accusé l’Autorité palestinienne d’avoir aidé l’opération d’arrestation de l’armée israélienne, affirmant que les forces de l’Autorité Palestinienne avaient également fait une descente chez eux récemment. “C’est l’AP qui nous a envoyé les Israéliens”, a-t-elle déclaré aux médias. (...)

  • L’office du #Litani met en garde contre l’utilisation d’une #eau polluée pour irriguer les terres agricoles
    https://libnanews.com/loffice-du-litani-met-en-garde-contre-lutilisation-dune-eau-polluee-pour-

    Le communiqué souligne que cette pollution est induite en raison du déversement d’eaux usées dans le fleuve à hauteur de 47 millions de mètres cubes par an en dépit d’un plan décidé en 2017 pour mettre une série de projets d’infrastructures et de traitement des #eaux usées.

    Cependant, l’application de ce plan se heurterait toujours à un problème de financement.

    #tristesse #Liban #criminels #crimes #dirigeants_arabes #indigents_arabes

  • Farah Nabulsi sur Twitter :

    “Just another day… A bloody morning in Palestine😞. The Israeli occupation forces killed 4 Palestinians in Jenin city, today. The martyrs are :
    – Nour Jarrar 19 years old.
    – Amjad Husseineh 20 years old.
    – Raed Abu Saif 21 years old.
    – Saleh Ammar 19 years old.” / Twitter
    https://twitter.com/farah_nabulsi/status/1427195617944690692

    #criminels #assassins #impunité #sionisme

  • #Pfizer will turn to a plant in Africa to help supply the continent with vaccines next year. - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2021/07/21/business/pfizer-will-turn-to-a-plant-in-africa-to-help-supply-the-continent-with-vac

    Il est hors de question de laisser les Sud-Africains fabriquer eux-mêmes les #vaccins,

    … the South African producer, Biovac, will only be handling distribution and “fill-finish” — the final phase of the manufacturing process, during which the vaccine is placed in vials and packaged for shipping. It will rely on Pfizer facilities in Europe to make the vaccine substance and ship it to its Cape Town facility.

    #Afrique #criminels

  • #Terrorisme : au nom de sa #sécurité, la #France expulse toujours plus

    Depuis 2018, l’Hexagone a expulsé plus de la moitié des islamistes radicalisés fichés et en situation de séjour irrégulier en France. Et selon la volonté du ministre de l’Intérieur, le nombre d’expulsions devrait encore augmenter. C’est un des axes du contre-terrorisme français, rapporte la Deutsche Welle.

    Agir plus vite et plus durement avec les immigrés condamnés pour des crimes graves, telle est la consigne donnée aux préfets de France par le ministre de l’Intérieur, Gérald #Darmanin, en juin. Les #titres_de_séjour sont à réexaminer, et des expulsions à prévoir pour les coupables de #crimes graves : homicide, viol, trafic de drogue, violences conjugales ou contre des dépositaires de l’autorité publique. Voilà le dernier cap fixé par la France pour améliorer la sécurité sur le territoire, rapporte la Deutsche Welle, qui fait un point sur la stratégie antiterroriste de la France.

    « En parallèle de cette mesure, le gouvernement a également publié de nouveaux #chiffres sur les expulsions », écrit le site de la radio internationale allemande : sur 23’000 #personnes_fichées, car soupçonnées de radicalisation, dans le #FSPRT - le #Fichier_de_signalements_pour_la_prévention_de_la_radicalisation_à_caractère_terroriste -, 1’115 seraient en situation irrégulière sur le territoire. Parmi elles, environ la moitié - 601 - a été expulsée ces trois dernières années. L’autre moitié serait en passe de l’être ou se trouve actuellement en prison, a précisé le gouvernement.

    Le gouvernement Macron n’est pas le seul à opérer de la sorte. Les exécutifs successifs du pays, où plus de 250 personnes ont été victimes d’attentats terroristes ces dernières années, ont répondu en durcissant les lois d’immigration. Dans ce contexte, le sujet des expulsions « est devenu plus explosif », explique le journaliste allemand, qui s’est entretenu avec un expert en contre-terrorisme français.

    Tensions dans les pays du Maghreb

    « Le profil des #terroristes_actifs en France a changé », a ainsi expliqué #Marc_Hecker, chercheur à l’Institut français des relations internationales, à la radio allemande. Selon lui, ceux qui ont perpétré les dernières attaques étaient souvent des #immigrés, des #demandeurs_d'asile ou des personnes entrées clandestinement dans le pays.

    Le chercheur pointe deux évolutions qui en découlent. Premièrement, la France a modifié sa pratique d’expulsion :

    Même si la France n’expulse pas d’individus vers les zones de guerre, la liste des pays vers lesquels aucune expulsion n’est réalisée s’est réduite au fil des années."

    Les capacités limitées des #services_de_renseignements

    Deuxièmement, dans les pays en question, la situation sécuritaire se trouve sous tension. Cela concerne avant tout les pays du Maghreb, qui ont vu les expulsions de France se multiplier. « Envoyer les personnes radicalisées vers des pays qui ne disposent pas des mêmes capacités de surveillance que la France ne fait qu’accentuer le problème pour ces pays », explique Hecker.

    « Impossible pour le moment de savoir si les expulsions permettront d’améliorer durablement la situation sécuritaire tendue de la France, mais cela devrait au moins décharger temporairement les autorités », estime la Deutsche Welle. Un des problèmes centraux reste qu’un fichier comptant 23’000 noms représente un défi de taille constant pour les services de renseignements. De plus, le #fichage de toutes les personnes qui sont passées sous les radars, comme le meurtrier de Samuel Paty ou l’attaquant de Notre-Dame de l’Assomption, à Nice, demande des moyens supplémentaires.

    Quant au changement de #profil des attaquants, il est impossible d’évaluer s’il est passager ou définitif.

    https://www.courrierinternational.com/article/vu-dallemagne-terrorisme-au-nom-de-sa-securite-la-france-expu
    #expulsions #renvois #asile #migrations #réfugiés #machine_à_expulser #islamisme #radicalisation #criminels_étrangers #statistiques #sans-papiers

    ping @cede @karine4 @isskein

  • UK to block #visas for countries refusing to take back asylum seekers

    Bill would give home secretary power to take action against citizens of countries deemed not to be cooperating.

    The UK will block visas for visitors from countries the home secretary believes are refusing to cooperate in taking back rejected asylum seekers or offenders.

    In proposed legislation published on Tuesday, #Priti_Patel and future home secretaries would have the power to suspend or delay the processing of applications from countries that do no “cooperate with the UK government in relation to the removal from the United Kingdom of nationals of that country who require leave to enter or remain in the United Kingdom but do not have it”.

    The clause in the nationality and borders bill also allows for the home secretary to impose additional financial requirements for visa applications – that is, an increase in fees – if countries do not cooperate.

    The proposals mirror US legislation that allows officials to withdraw visa routes from countries that refuse to take back undocumented migrants. It is understood that countries such as Iraq, Iran, Eritrea and Sudan are reluctant to cooperate with the UK on such matters.

    The change is one of many in the bill, described as “the biggest overhaul of the UK’s asylum system in decades” by Patel, which includes measures such as:

    - Asylum seekers deemed to have arrived in the UK illegally will no longer have the same entitlements as those who arrive in the country via legal routes. Even if their claim is successful, they will be granted temporary refugee status and face the prospect of being indefinitely liable for removal.

    - Asylum seekers will be able to be removed from the UK while their asylum claim or appeal is pending, which opens the door to offshore asylum processing.

    - For those deemed to have arrived illegally, access to benefits and family reunion rights could be limited.

    – The appeals and judicial process will be changed to speed up the removal of those whose claims are refused.

    - The home secretary will be able to offer protection to vulnerable people in “immediate danger and at risk in their home country” in exceptional circumstances. It is thought this will be used to help a small number of people.

    – The system will be made “much harder for people to be granted refugee status based on unsubstantiated claims” and will include “rigorous age assessments” to stop adults pretending to be children. The government is considering the use of bone scanners to determine age.

    - Life sentences will be brought in as a maximum penalty for people-smugglers.

    - Foreign criminals who breach deportation orders and return to the UK could be jailed for up to five years instead of the current six months.

    – A new one-stop legal process is proposed so that asylum, human rights claims and any other protection matters are made and considered together before appeal hearings.

    Campaigners have dubbed the proposed legislation the “anti-refugee bill”, claiming it will penalise those who need help the most.

    Analysis of Home Office data by the Refugee Council suggests 9,000 people who would be accepted as refugees under current rules – those confirmed to have fled war or persecution following official checks – may no longer be given safety in the UK due to their means of arrival under the changes.

    The charity’s chief executive, Enver Solomon, said that for decades people had taken “extraordinary measures to flee oppression”, but had gone on to become “law-abiding citizens playing by the rules and paying their taxes as proud Britons”.

    Steve Valdez-Symonds, refugee and migrants rights programme director at Amnesty International UK, branded the bill “legislative vandalism”, claimed it could “fatally undermine the right to asylum” and accused Patel of a “shameful dereliction of duty”, adding: “This reckless and deeply unjust bill is set to bring shame on Britain’s international reputation.”

    Sonya Sceats, chief executive of Freedom from Torture, described the plans as “dripping with cruelty” and an “affront to the caring people in this country who want a kinder, fairer approach to refugees”.

    More than 250 organisations – including the Refugee Council, the British Red Cross, Freedom from Torture, Refugee Action and Asylum Matters – have joined to form the coalition Together with Refugees to call for a more effective, fair and humane approach to asylum in the UK.

    https://www.theguardian.com/politics/2021/jul/06/uk-to-block-visas-from-countries-refusing-to-take-back-undocumented-mig

    #asile #migrations #réfugiés #chantage #visas #UK #Angleterre

    La loi comprend aussi une disposition concernant l’#externalisation des #procédures_d'asile :
    https://seenthis.net/messages/918427

    Une des dispositions rappelle la loi de l’#excision_territoriale (#Australie) :

    Asylum seekers deemed to have arrived in the UK illegally will no longer have the same entitlements as those who arrive in the country via legal routes. Even if their claim is successful, they will be granted temporary refugee status and face the prospect of being indefinitely liable for removal.

    voir :
    https://seenthis.net/messages/901628#message901630
    https://seenthis.net/messages/416996
    #modèle_australien

    #offshore_asylum_processing
    #Irak #Iran #Erythrée #Sudan #réfugiés_irakiens #réfugiés_iraniens #réfugiés_soudanais #réfugiés_érythréens #réfugiés_soudanais #regroupement_familial #aide_sociale #procédure_d'asile #recours #mineurs #âge #tests_osseux #criminels_étrangers #rétention #détention_administrative #anti-refugee_bill

    ping @isskein @karine4

  • Iraqi Poet Sinan Antoon Looks Back On Donald Rumsfeld’s Career : NPR
    https://www.npr.org/2021/07/04/1012978311/iraqi-poet-sinan-antoon-looks-back-on-donald-rumsfelds-career

    ANTOON: My earliest memory of Mr. Donald Rumsfeld is when I was a teenager in our living room in Baghdad, I saw on the evening news Saddam Hussein receiving Donald Rumsfeld, who was the emissary of President Ronald Reagan. And the United States was heavily supporting Saddam Hussein and his regime despite all of his crimes. So when Donald Rumsfeld resurfaces again in the Bush administration and begins to speak of democracy and liberty, I have that image of him exchanging smiles with Saddam Hussein.

    GARCIA-NAVARRO: And what does that tell you?

    ANTOON: What the United States does abroad in the world, and especially in the global south and especially where I come from in the Arab world, is consistently support dictators, unelected tyrants. The examples are everywhere around us.

    #etats-unis #crimes #Irak #criminels

  • Human Rights Watch Watcher sur Twitter :

    “This is Naftali Bennett, the man who will likely replace Benjamin Netanyahu as Prime Minister of Israel. In 2014, Israeli occupation forces murdered four Palestinian boys playing on the beach in Gaza. Bennett was asked about the atrocity on CNN. This was his response:” / Twitter
    https://twitter.com/queeralamode/status/1399067277526409216

    شنشون sur Twitter : "Bennett described Israel’s murder of those kids playing football on the beach as Palestinians committing “self-genocide.”" / Twitter
    https://twitter.com/humanprovince/status/1399103380149133316

    #sionisme #criminels #en_série

  • Dossier israélo-palestinien | Washington « ne fait pas obstacle à la diplomatie » à l’ONU | La Presse
    https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2021-05-18/dossier-israelo-palestinien/washington-ne-fait-pas-obstacle-a-la-diplomatie-a-l-onu.php

    Mais seulement selon des termes entièrement favorables à l’état sioniste (tant que ce dernier n’implorera pas l’arrêt des hostilités). Pour que "l’équilibre des forces" soit maintenu.

    #criminels #états-unis

  • Le conflit israélo-palestinien toujours dans l’impasse après une nouvelle réunion de l’ONU
    mis à jour le 16/05/2021 à 23:00 Par AFP
    https://www.lesoir.be/372474/article/2021-05-16/le-conflit-israelo-palestinien-toujours-dans-limpasse-apres-une-nouvelle-reun

    (...) Parallèlement à la réunion, les 15 membres du Conseil de sécurité ont poursuivi des négociations sur un texte commun visant à appeler à la fin des hostilités et réaffirmer le projet d’une solution à deux Etats vivant côte à côte, Israël et la Palestine, sur la base des résolutions déjà adoptées par l’ONU.

    Mais selon plusieurs diplomates interrogés par l’AFP, les Etats-Unis, à la position jugée incompréhensible pour nombre de ses alliés, continuaient dimanche à refuser toute déclaration conjointe. Depuis une semaine, Washington, isolé, a déjà rejeté deux textes proposés par trois membres du Conseil : la Norvège, la Tunisie et la Chine.
    « Cycle insensé de terreur »

    « C’est un peu étrange si l’on pense à l’attente que nous avions tous d’un retour des Américains dans la diplomatie multilatérale », relève un ambassadeur sous couvert d’anonymat. « Nous avions pensé aussi que les Etats-Unis seraient désireux de montrer la pertinence du Conseil de sécurité dans des situations comme celle-ci », ajoute-t-il.

    Le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a regretté « l’obstruction » américaine pour faire adopter une déclaration.

    « Le Conseil de sécurité doit prendre des mesures » et « à cause de l’obstruction d’un pays », il « n’a pas été capable de parler d’une seule voix », a-t-il déploré en demandant à Washington « d’assumer ses responsabilités » à l’ONU.

    Les deux premières sessions d’urgence du Conseil de sécurité s’étaient tenues à huis clos et les Etats-Unis, qui préféraient attendre mardi, ne voulaient pas de la réunion de ce dimanche. Leur ambassadrice à l’ONU, Linda Thomas-Greenfield, s’est bornée à réclamer une cessation « du cycle de violences », assurant que son pays « travaillait sans relâche pour une fin des hostilités » et « une paix durable ».

    En ouverture de la session, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a mis en garde le Conseil de sécurité sur le risque d’« une crise sécuritaire et humanitaire incontrôlable » dans la région si un cessez-le-feu n’était pas rapidement imposé. « Ce cycle insensé d’effusion de sang, de terreur et de destruction doit cesser immédiatement », a-t-il martelé.

    Un appel largement repris à leur compte par nombre de pays ayant choisi de faire participer un ministre à la session dimanche, de la Russie à la Tunisie, en passant par la Norvège ou l’Irlande, afin de marquer leur engagement diplomatique dans le conflit.

    Le Niger, par la voix de son ambassadeur Abdou Abarry, a réclamé de faire « reconnaître aux Palestiniens les mêmes droits » que ceux qui sont accordés à Israël, notamment celui « de se défendre ».

    #ONU

  • Israeli Forces Shoot Across Lebanese Border, Killing One
    May 14, 2021 – – IMEMC News
    https://imemc.org/article/israeli-forces-shoot-across-lebanese-border-killing-one

    Protesters in Lebanon, many of them Palestinian refugees, gathered at the border fence between Lebanon and Israel Friday to protest the Israeli assault on the Palestinian Territories. Israeli forces stationed at the border opened fire, killing one and wounding several others.

    The man killed was identified as Mohammad Tahhan , 21. He was from the town of Adloun, and died at Marjayoun Governmental Hospital after he was injured by Israeli fire.

    Israeli military claims that Mohammad had crossed the border were refuted by photos and videos showing that he was clearly in Lebanon when he was shot.

    The Friday protests came a day after several rockets were fired by unknown assailants in Lebanon, landing in the Mediterranean Sea off the coast of Israel. Israeli fighter jets then engaged in flyovers of southern Lebanon throughout the night, terrifying the residents of the Palestinian refugee camps located in southern Lebanon.

    Many say they are fearful of Israeli bombardment of the camps, which has happened several times in the past two decades. (...)

    #Palestine_assassinée #Liban