• Europe : un point de non-retour
    http://www.taurillon.org/europe-un-point-de-non-retour

    L’Europe que nous avions connue ces 60 dernières années s’est éteinte à l’annonce du référendum grec. La cause de son effondrement relève d’une question historique, et non pas politique : il aurait été opportun d’approfondir le projet européen avant que tout cela ne survienne, mais l’Europe des visions à court terme a, encore une fois, manqué une occasion d’aller vers l’intégration.

    #Opinions

    / #Grèce, #Crises, #Integration, #Grexit

  • #Grèce : L’odyssée de la dette doit prendre fin
    http://www.taurillon.org/grece-l-odyssee-de-la-dette-doit-prendre-fin

    Juin 2015. La Grèce fait encore la une de l’actualité. Et pour les mêmes raisons qu’il y a 5 ans : sa dette. Aujourd’hui, rien n’est résolu. L’Europe a prouvé qu’elle savait acheter du temps, mais pas trouver des solutions définitives. Les solutions sont pourtant là, pour peu qu’on s’affranchisse de toute considération idéologique.

    #Opinions

    / Grèce, #Crises, #Grexit

  • 2014, année de #crises … Et ce c’est pas fini en 2015 !
    http://www.bruxelles2.eu/2015/01/13/2014-annee-de-crises-et-ce-cest-pas-fini-en-2015

    Dans le monde, les conflits autour du continent européen ne se sont pas effacés durant l’année 2014. Au contraire ! Et les ministres des affaires étrangères ou de la défense de l’Union auront fort à faire cette année pour tenter de juguler ces crises comme d’harmoniser leurs positions.

    Une « myriade » de conflits, plus proches

    La multiplication de conflits n’est pas une nouveauté. La spécificité aujourd’hui, c’est qu’ils sont devenus à la fois plus intenses et surtout plus proches du niveau européen, que ce soit au Moyen-Orient ou dans l’Est du continent. C’est le principal défi en 2015. S’il y a dix ans, les conflits étaient nombreux (#Afghanistan-Pakistan,#Somalie, #Irak, #Congo…), ils étaient aussi plus lointains. Les Européens pouvaient être impliqués mais plus ou moins directement. Et ils impactaient moins directement la sphère européenne dans son entier.

    D’intéressants «vœux» de Nicolas Gros-Verheyde.

    #UE #Géopolitique #Union_européenne #défense

  • The Economist explains: What happens when a country goes bust

    http://www.economist.com/blogs/economist-explains/2014/11/economist-explains-20?fsrc=scn/fb/wl/bl/ee/happenswhencountrybust

    FROM the days when monarchs over-borrowed for their mercantile adventures, to Argentina’s recent failure to pay its creditors, countries have long run into trouble paying back what they have borrowed. Spain’s 16th-century king, Philip II, reigned over four of his country’s defaults. Greece and Argentina have reneged on their commitments to bondholders seven and eight times respectively over the past 200 years. And most countries have defaulted at least once in their history. But what precisely happens when countries stop paying what they owe?

    #crises #crise_financière#crise_bancaire #économie #dette

  • #parution #revue
    #Villes et #industries
    #Crises, #recompositions et nouvelles dynamiques

    Dans les pays anciennement industrialisés, notamment en Europe et en Amérique du Nord, villes et industries se sont développées en étroite corrélation depuis la fin du dix-huitième siècle. L’explosion du nombre et de la taille des villes y fut, on le sait, consécutive aux révolutions industrielles. L’héritage de ces révolutions industrielles marque encore de nombreux paysages urbains ainsi que certains types de représentations des rapports entre villes et industries, avec l’image de structures de productions vieillies et polluantes. Les liens fonctionnels entre villes et industries ont pourtant changé, que l’on se place du point de vue de l’habitant ou des systèmes économiques dans leur ensemble.

    2Les citadins aspirent à une nouvelle qualité de vie, dans un contexte qui met de plus en plus en avant le cadre de vie et l’environnement. Les transformations majeures du système économique mondial depuis quelques décennies ont bouleversé les liens entre villes et industries. La mondialisation et les dynamiques de métropolisation ont renouvelé en profondeur les processus économiques, les formes spatiales et les échelles de l’industrie et de la ville. La multiplication et la diversification des réseaux ne s’appuient pas moins sur de nécessaires proximités, mais ces enjeux et facteurs de compétitivité sont mobilisés de manière de plus en plus complexe. Plus généralement encore, les villes sont porteuses d’images, de sens et de fonctions qui ont considérablement évolué, et auxquels les industries cherchent à se réarticuler tout en étant aiguillonnées par des rythmes très rapides de mutations et de concurrences.

    3Cette concurrence accrue entre les industries, mais aussi entre les villes, pousse à l’invention de nouvelles formes spatiales et économiques ; les industries, qui se sont largement diversifiées, se rapprochent des services sur de nombreux points. De nouveaux critères comme la qualité de la vie, des évolutions, notamment dans les transports et dans les nouvelles technologies, renouvellent les critères de choix de localisation. Les économies métropolitaines et leurs infrastructures matérielles et immatérielles doivent faire preuve de compétitivité et d’innovation, alors même que la désindustrialisation soulève une crise sociale sans précédent, marquée par le chômage et la paupérisation de larges fractions de la société.

    4Par ailleurs, les pays émergents d’Asie et d’Amérique latine, bénéficiaires des délocalisations, souvent associées à des zones franches, connaissent une croissance urbaine et industrielle spectaculaire. En s’affirmant comme de nouveaux marchés de production et de consommation, ils entrent dans la compétition métropolitaine internationale en se dotant de centres financiers, de pôles d’excellence en matière de hautes technologies et se positionnent sur le domaine des industries vertes comme de la ville durable, tout en conservant un positionnement fondé sur des productions à bas coûts, qui peuvent créer des situations sociales et spatiales extrêmes dans des milieux urbains en forte tension.

    5L’objectif de ce numéro spécial de Territoire en Mouvement est d’aborder ces transformations en cours et d’interroger les perspectives futures : quels projets urbains sont mis en place ? Comment se construisent de nouveaux espaces métropolitains techno-industriels ? Comment les acteurs des villes et des industries s’approprient-ils et suscitent-ils ces mutations, quelles articulations se tissent entre les différentes échelles et les différentes modalités des projets industriels et urbains ? Comment l’innovation est-elle mobilisée par les acteurs urbains et industriels ? Comment se déclinent ces processus dans différentes régions du monde ? Le dossier de ce numéro spécial est centré sur des cas d’étude européens, sans être exclusif puisque certains articles proposent des comparaisons avec des métropoles américaines et sud-américaines.

    6Ce numéro propose donc des analyses et des approches variées mais qui peuvent être regroupées en trois grands domaines de questionnements. Premièrement, les mutations de l’articulation ville-industrie doivent être mieux comprises et interprétées, ce qui ne peut se faire que par le prisme de diagnostics fondés sur des études de terrain, souvent comparatives. Ces enquêtes approfondies permettent de relativiser et de nuancer les dynamiques de « régénération urbaine » ou de « revitalisation urbaine », qu’il s’agisse de grandes métropoles (B. Fernandez Agueda) ou de villes petites ou moyennes (M-È Férérol, I. Casillo). Ces articles présentent des analyses de formes spatialescréées ou confortées par les nouvelles dynamiques concurrentielles, mais se proposent surtout de lire ces mutations avec un certain recul, en montrant le poids de dynamiques plus anciennes ou d’éléments de contexte social, économique et politique.

    7Un deuxième ensemble d’articles approfondit la question des relations entre villes et industries à la lumière d’analyses de dispositifs mis en place à différentes échelles (régionale, nationale, transnationale), pour articuler de manière évolutive les nouvelles contraintes et possibilités fonctionnelles mobilisées par les industries dans les villes d’aujourd’hui. La métropolisation semble être ici le concept clé, qu’elle soit appréhendée comme une dynamique externe refaçonnant les polarités urbaines (L. Diop et C. Lamour ,N. Raimbault et F. Bahoken), comme un mouvement complexe dans lesquels certains espaces gagnants s’insèrent au prix de transformations radicales en choisissant de miser sur des secteurs porteurs, parfois au détriment de quartiers voisins (B. Lusso, B. Lebeau) ; ou comme une occasion d’inventer de nouvelles formes spatiales et fonctionnelles fondées sur les réseaux et leurs ressources (R. Besson).

    8Enfin, les enjeux environnementaux ont conquis une place incontestable dans ces dynamiques, et sont donc également présents dans ce dossier : risques industriels, pollutions et exigences de qualité de vie, choix de localisation, aménagements et zonages reconfigurent l’interface ville-industrie tout autant que la recherche d’innovation ou le redéploiement des appareils productifs et scientifiques. Ces risques s’analysent en termes de dispositifs réglementaires ou de périmètres ainsi qu’en termes de représentations (J.-C. Blesius, C. Osadtchy) ; mais plus généralement, ce sont des reconfigurations de jeux d’acteurs et l’irruption de nouvelles échelles, régionales et internationales qui exigent de repenser l’articulation ville-industrie en termes de risques sociaux, économiques et environnementaux (N. Grembo), en montrant la part politiquement et socialement construite de ces risques (S. Rufat).

    9Au final, ce dossier souhaite, modestement, apporter quelques réponses à une question simple : quelle place pour l’industrie dans la ville aujourd’hui ?

    http://tem.revues.org/2520
    #industrialisation #urban_matter

  • La crise des idées au pouvoir – perspectives révolutionnaires (1) | labyrinthes
    https://labyrinthes.wordpress.com/2014/11/12/la-crise-des-idees-au-pouvoir-perspectives-revolutionnaires-1 (...autopub...)

    Mais si la production sociale des subjectivités complices et consentantes à leur propre avilissement et abrutissement est depuis longtemps l’élément indispensable d’une perpétuation du mouvement d’inégalisation et d’artificialisation des modes d’existences et de ce par quoi nous sommes sensés nous estimer libre et heureux, il semble cependant que cette dynamique de production quasi industrielle d’imbéciles heureux, ou tout du moins d’idiots résignés, réclame une intensification croissante des dispositifs d’assujettissement aux normes du raisonnable, en réponse à l’affaiblissement progressif de leur force d’évidence, et donc de leur capacité à produire des individus satisfaits de leur situation et de la situation économique et sociale. Cette désaffection croissante à l’égard des mécanismes d’attribution des positions sociales et des logiques et pratiques sociales par lesquelles ils se présentent comme justes et justifiés (désaffection qui se manifeste aussi bien par la massification des usages légaux ou non des psychotropes, que dans la multiplication des cas de désertion des places assignés), si elle peut être considérée comme un élément manifeste d’une crise des représentations sociales dominantes ouvrant la voie à une déstabilisation des classes dirigeantes, voire permettant d’envisager la perspective d’une ré-émergence de la contestation de la domination de classe elle-même, doit aussi nous rendre attentif aux méthodes mises en place afin de la contrer, que ce soit justement en termes de renforcement des dispositifs d’assujettissement aux normes, ou bien en termes de stratégies de contournement visant l’institution de nouvelles normativités parallèles, à même de ménager une porte de sortie, pour les classes dirigeantes, au #capitalisme libéral : le capitalisme autoritaire, et ses auxiliaires traditionnels que sont l’#État policier, le patriotisme, la guerre et la xénophobie.

    #crises #racisme #répression #luttes #indignés #propagande #extrème-droite #mouvements-sociaux

  • Comment les banques centrales provoquent les crises financières
    http://www.economiematin.fr/news-crise-financiere-cause-banque-centrale

    Nous disons et écrivons très souvent que l’économie est largement financiarisée depuis plus de 15 ans. Nous vivons dans une économie de bulles d’actifs financiers. En fait, lorsqu’une bulle éclate sur un actif, on assiste généralement à la naissance d’une nouvelle bulle sur un autre actif car l’argent abondamment créé par les banques centrales ne peut, en général, être repris sous peine de provoquer d’énormes pertes en patrimoine chez les investisseurs privés ou de créer une crise bancaire.

    Nous sommes donc en plein aléa moral puisque certains acteurs financiers ne sont pas assez rigoureux dans l’analyse du risque de leurs investissements ; ils se reposent sur le fait qu’ils ont une capacité de nuisance systémique et qu’en conséquence il y aura toujours un prêteur/sauveur en dernier ressort (en l’occurrence la banque centrale de sa zone monétaire).

    C’est l’une des principales origines des crises financières que nous connaissons depuis les années 2000 : des politiques monétaires trop accommodantes pour ne pas dire laxistes avec un environnement de taux « anormalement » bas et donc de coûts de financement très avantageux (taux emprunts d’Etat de plus en plus ridicules, écarts de taux vis-à-vis des taux de swap ne rémunérant que très peu ou même pas du tout le risque bancaire ou d’entreprise)

    La crise financière est inévitable lorsque l’investisseur va chercher du rendement sur des classes d’actifs de plus en plus risquées parce que les actifs prétendus les plus sûrs — comme les emprunts d’Etat (Etats-Unis, Royaume-Uni et grands Etats de la Zone euro) — rapportent de moins en moins.

    La crise financière peut devenir particulièrement violente — comme en 2007-2008 — lorsque de surcroît les produits de placement classiques (y compris les plus risqués) rapportent moins alors même que les exigences de rentabilité restent inchangées ; d’où l’innovation financière pour fabriquer des produits structurés sophistiqués et complexes censés procurer du rendement avec un risque maîtrisé......

    #économie
    #finance
    #BCE
    #banques_centrales
    #crises_financières
    #taux
    #rendement
    #dette

  • Réforme fiscale : de l’argent, il y en a ! 360 milliards d’euros pour un vrai débat | Attac France
    http://www.france.attac.org/dossiers/reforme-fiscale-de-largent-il-y-en-360-milliards-deuros-pour-un-vrai-d

    Le Premier ministre a annoncé qu’il souhaitait « remettre à plat » la fiscalité, un an après avoir renoncé à mener la « révolution fiscale » promise par le candidat Hollande. C’est pourtant bien d’une révolution dont nous aurions besoin, à un moment où la fiscalité - qui frappe plus durement les plus fragiles et qui épargne les plus riches - est remise en question dans sa légitimité même.

    Un exemple significatif : la hausse de la TVA, programmée pour janvier 2014, va frapper les plus faibles pour mieux financer des cadeaux fiscaux qui vont bénéficier en grande partie aux plus grosses entreprises, et ce sans contrepartie ! De quoi questionner les vélléités de « remise à plat » du Premier ministre...

    Les riches et les grandes entreprises doivent contribuer à hauteur de leurs moyens à l’effort fiscal, c’est une affaire de justice sociale. Mais aussi une nécessité économique en ces temps d’austérité. Au lieu de persévérer dans l’erreur en imposant des mesures d’austérité qui détruisent l’économie, il suffirait de prendre l’argent là où il se trouve !

    Dans la poche des spéculateurs : 200 milliards d’euros pourraient être récupérés à l’échelle de l’Europe. Dans la poche des actionnaires et des créanciers : 100 milliards de surcoût du capital qui pèsent sur l’économie française. Et quid de l’évasion fiscale ? Ce sont 60 milliards qui sont soustraits au budget chaque année en France par les fraudeurs.

    Alors pour une vraie réforme fiscale, Attac fait monter les enchères. De l’argent il y en a : 360 milliards d’euros pour un vrai débat !

    #économie
    #réforme-fiscale
    #spéculateurs
    #bulles
    #crises-financières
    #dividendes
    #actionnaires
    #fraude
    #évasion-fiscale

    • Argh c’est typiquement le genre de publication quasi contre-productive je trouve : parler de milliards de façon abstraite et non illustrée, à tel point que ça fait penser à un tract de LO.. (le truc vrai mais pourtant pas crédible, qui ne fait pas bouger les lignes dans l’opinion..).
      Une infographie qui montre les volumes en jeu et illustre le comportement des acteurs incriminés (spéculateurs, actionnaires, créanciers..) ce serait tellement bienvenu..
      En plus la sémantique est inadaptée, parler d’aller chercher le pognon « dans la poche des actionnaires », ça ne peut convaincre que les convaincus, le reste de l’opinion publique est très servile vis à vis du concept de propriété privée, tout ce qui touche à la spoliation ne peut que les braquer.
      Il suffirait de parler de la piste consistant à imposer les revenus des spéculateurs, des actionnaires et créanciers (c’est la même chose, mais ça fait moins spoliation), en disant que 100 milliards d’euros c’est 1 fois et demi la recette de l’impôt sur le revenu, et là oui ça pourra faire infléchir la façon de penser des gens.. Elle est où l’éducation populaire chère à Attac ?

      Faut mettre plus en avant les arguments comme ceux décrits ci-dessous, même si c’est #selon_une_étude_récente :-), ça c’est parlant.. Les gens sont sensibles au bon sens, et ils savent faire la différence entre les rémunérations acceptables et les privilèges indus..

      Chaque année, les entreprises non financières versent 130 milliards d’euros, sous forme de dividendes aux actionnaires et d’intérêts aux prêteurs.

      Selon une étude de l’Université Lille I*, une partie des dividendes peut se justifier au titre du risque économique pris et une partie des intérêts paie légitimement les coûts de fonctionnement des banques. Mais 100 milliards d’euros sont versés chaque année par les entreprises aux prêteurs et actionnaires sans aucune justification économique.

      http://www.france.attac.org/articles/100-milliards-deuros-le-surcout-annuel-du-capital

  • Complexité de la fiscalité : ces prélèvements qui donnent envie de s’arracher les cheveux
    http://www.huffingtonpost.fr/2013/11/19/complexite-fiscalite-impot-csg-quotient-taxe-plus-values_n_4300982.ht

    FISCALITÉ - Si l’annonce de Jean-Marc Ayrault de s’en prendre au système fiscal français n’était pas attendue, elle n’est pourtant pas vraiment surprenante. Oui, au contraire de certains de nos voisins, notre droit fiscal est d’une complexité ahurissante. Qui ne s’est jamais retrouvé bloqué devant sa feuille d’impôts, parfois même obligé de demander les services d’un inspecteur pour arriver à ses fins ?

    « Le système fiscal français est devenu très complexe, quasiment illisible, et les Français, trop souvent, ne comprennent plus sa logique ou ne sont pas convaincus que ce qu’ils paient est juste, que le système est efficace », a admis mardi dans Les Echos le Premier ministre. Une réunion avec les partenaires sociaux a été annoncée pour les prochains jours, afin d’engager une « remise à plat » de la fiscalité, « en toute transparence ».

    Selon l’OCDE, la France est « malade de sa fiscalité ». Pour ne pas pénaliser excessivement la croissance, la fiscalité doit respecter trois principes : simplicité, stabilité et neutralité. Pourtant, la fiscalité française est très complexe. Il existe un grand nombre d’impôts et de prélèvements, allant de pair avec une multitude de déductions, crédits d’impôt et d’exemptions.

    Or, cette complexité est coûteuse pour les contribuables et engendre des coûts élevés de recouvrement de l’impôt. De plus, la fiscalité française change souvent. De fait, selon l’OCDE, "un système fiscal stable est souhaitable pour réduire les coûts administratifs et de conformité et les effets négatifs de l’incertitude sur les décisions d’investissement et d’épargne.

    Voici quelques points précis qui suscitent des maux de ventre aux Français....

    #économie
    #crises
    #taxes
    #fiscalité
    #impôts
    #Csg
    #Impôt-sur-le-revenu
    #réforme-fiscale
    #taxe-d'habitation
    #tranches-d'Imposition

    • C’est marrant, j’étais sûr qu’il y aurait quelque chose comme ça…

      1. CSG et impôt sur le revenu : pourquoi ne pas les fusionner ?
      Si on fusionnait ces deux prélèvements, on pourrait notamment mettre fin à la déclaration de revenus annuelle. L’ensemble des taxes serait ainsi prélevé à la source chaque mois, sans intervention compliquée réclamée au contribuable. Ainsi, on trouverait son vrai salaire net à la fin du mois sur la fiche de paie.
      2. L’impôt sur le revenu et ses diverses tranches
      Le système d’imposition sur le revenu fait écho au problème que nous évoquons ci-dessus. Avant de pouvoir fusionner CSG et impôt sur le revenu, il faudrait faire en sorte que la mécanique devienne compatible : au contraire de la CSG qui est simplement proportionnelle (un même taux pour tous les niveaux de rémunération), l’impôt sur le revenu est progressif selon plusieurs tranches.
      Vous vous dites que c’est compliqué ? Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas seul.

      Ben oui, quoi, la progressivité c’est un concept compliqué. Il faut simplifier, on vous dit !

    • 5. Le grand flou de la taxe d’habitation
      Il faut prendre la valeur locative brute du bien qui est revalorisée annuellement par un coefficient voté par le parlement. (…) Celle-ci est multipliée par un taux fixé par les collectivités territoriales. Du coup, c’est toujours un peu la surprise chaque année.

      Et, en plus, les assemblées élues se permettent de fixer les taux. C’est dingue !

    • oui l’UMP crie déjà comme un cochon qu’on égorge

      La CSG, 90 milliards d’euros, est payée par tout le monde au même taux alors que seule la moitié des Français paie l’impôt sur le revenu. Imaginez que l’on bascule 90 milliards d’euros sur l’impôt sur le revenu, donc encore plus que l’impôt sur le revenu, avec le même barème et avec seulement la moitié des Français qui le paie. C’est un choc fiscal pour les classes moyennes et les classes moyennes supérieures absolument colossal. C’est grave car in fine, cela consiste à taxer encore plus ceux qui travaillent et détaxer ceux qui bénéficient de l’assistance", a déclaré M. Carrez sur la radio BFM.

      http://fr.news.yahoo.com/carrez-ump-fusion-ir-csg-choc-fiscal-absolument-132054033.html

      nouveau tag : #choc_fiscal hihihi
      (alors que le choc de compétitivité, c’était un choc salutaire, lui..)

    • La question des niches fiscales

      La mise en commun des deux impôts poserait également la question de l’avenir des niches fiscales, qui réduisent l’impôt sur le revenu, mais pas la CSG. Et aussi « du maintien du quotient familial », déjà fortement raboté et qui ne concerne que l’IR, note Vincent Drezet, le puissant secrétaire général de Solidaires Finances publiques, principal syndicat de Bercy.

      http://www.lefigaro.fr/impots/2013/11/20/05003-20131120ARTFIG00276-l-impossible-fusion-de-l-impot-sur-le-revenu-et-d

      Attention dans chaque niche, il y a un gros chien qui mord ! ;-)

      #niches-fiscales

  • Citation :

    Les #guerres_civiles, les #conflits_ethniques ou religieux provoquent des mouvements de population qui, en termes quantitatifs, n’ont pas de précédent dans l’histoire de l’humanité. Ces #crises posent clairement un problème de #territorialité dans la mesure où
    elles créent la pire des #exclusions, le #déracinement par l ’#exil. La
    #mémoire et le #culte du #territoire perdu deviennent alors la trame même du #lien_social. Les dizaines de millions de personnes #réfugiées sur les #lignes-frontières ou « #déplacées » rappellent que les #exodes d’aujourd’hui seront peut-être les #diasporas de demain.

    (p.11)

    Tiré de Bonnemaison « Le lien territorial entre frontières et identités », in Géographies et cultures , 1996

    #migration #asile

    • Plus loin dans l’article...

      Par sa seule existence, la #frontière permet à des centaines de milliers de personnes, « vrais » #réfugiés d’un conflit ou combattants vaincus mais toujours armés, de bénéficier de la #protection de la « #communauté_internationale » et de son #assistance_humanitaire, dans un pays limitrophe. La seule marge de manoeuvre du pouvoir central du pays d’accueil concerné réside dans le choix de la région d’installation des #camps_de_réfugiés. On autorisera cette installation dans des régions marginales dont on n’a que faire, mais on l’interdira partout où elle pourrait faire obstacle à des activités économiques ou touristiques lucratives.

      (pp.12-13)

    • Et plus loin...

      Dans ce contexte, le véritable accueil est bien souvent celui, spontané ou non, que donnent les #populations_locales sur le territoire desquelles l’installation des réfugiés a été tolérée par un pouvoir central indifférent ou contraint. En fait, les réfugiés s’imposent d’autant plus qu’ils sont nombreux et n’ont plus rien à perdre. Si le territoire est la #richesse des #pauvres, ce sont les plus pauvres qui doivent encore partager leurs maigres ressources.
      Dans les aires d’accueil, plusieurs logiques territoriales s’affrontent. Celle de la géopolitique internationale, fondée sur le principe du respect des frontières s’impose à celle, toute pragmatique, d’un pouvoir national qui voit son autorité sur le territoire s’affaiblir. Les espaces incertains qui en résultent deviennent des sanctuaires rêvés pour toutes sortes de troupes armées. Dans ce contexte, la logique de survie des réfugiés - lorsqu’ils ne sont pas sur les routes de l’#errance - se mesure aux quelques mètres carrés, au besoin chèrement défendus, d’une hutte de branchages. Quant aux sociétés locales, elles voient leurs territoires envahis, leur économie bouleversée et leurs règles sociales et politiques mises à mal par ces germes de chaos. On sait comment ce type de situation inextricable a conduit certains pays, par exemple le Liban, à la plus meurtrière des guerres civiles ... ou à des situations inextricables, comme dans la région de Kivu dans l’Est du Zaïre, où la spirale de l’interminable guerre civile se double d’un conflit frontalier dramatique.

      (p.13)

  • Appel à communication : « Re-Imagine...
    http://www.scoop.it/t/artpol/p/4007948515/appel-a-communication-re-imaginer-la-belle-vie-en-temps-de-crises

    "En 2011, Time Magazine a nommé le "protestataire" ("manifestant") personnalité de l’année, arguant que la protestation est devenue "l’expression définissant notre époque" et le protestataire (manifestant) "un fabricant d’histoire". (...)"

    #imagination #crises #changement #protestation #manifestant #Belle-Vie #le-temps-des-crises #création #inventivité #mutations #histoire #Artpol #vangauguin #art #politique #culture #société

  •  » [Vidéo] Comment penser et représenter la crise, par Frédéric Lordon & André Orléan
    http://www.les-crises.fr/comment-penser-la-crise

    Quelle crise vivons-nous ? Une crise de la spéculation et de l’économie des fonds de pensions ou bien également une crise de civilisation ? Pour l’économiste André Orléan, nous vivons sous l’empire et l’emprise de la valeur. Puisque la science économique doit être refondée sur d’autres bases théoriques et d’autres principes que les spéculations chancelantes des néoclassiques, il est temps de déconstruire la notion dominante de valeur économique, tout comme la philosophie a pu déconstruire les valeurs morales, religieuses ou esthétiques, en en explicitant les règles de production. Selon André Orléan, « l’extension infinie du règne de la marchandise est le moyen par lequel l’argent établit sa puissance ». Mais, à rebours de Marx, il considère que les économistes ont trop voulu transformer le monde et qu’il est temps désormais de mieux l’interpréter ! La crise financière que nous vivons est matière à penser tant elle a surpris les économistes, les experts et la plupart des éditorialistes. Mais elle est aussi matière à représenter. Elle sollicite également les artistes, documentaristes, plasticiens, cinéastes et metteurs en scène, à qui il revient de trouver les formes expressives susceptibles de hâter la transformation de nos cadres de pensée. Comme le dit Frédéric Lordon : « Il faut toute la cécité des “demi-intellectuels” pour ne pas voir que les idées pures n’ont jamais rien mené, sauf à être accompagnées et soutenues d’affects qui seuls peuvent les doter de force. » Et d’ajouter : « On pourra analyser la crise financière sous toutes ses coutures, raffiner l’argument autant qu’on veut, démonter les systèmes, exposer les rouages, tout ça ne vaudra jamais une image bien choisie qui fait bouillir les sangs ou, comme le dit fort à propos une expression commune, qu’on prend en pleine gueule. » Ainsi, « il ne faut plus seulement dire la crise capitaliste, il faut la montrer, ou bien la faire entendre ». Avec D’un retournement l’autre, sa « comédie sérieuse » en quatre actes sur la crise financière, Frédéric Lordon a choisi les alexandrins pour mettre en scène la tragi-comédie boursière qui se joue à l’ère planétaire. D’autres cherchent du côté de l’esthétique post-dramatique pour donner corps et forme au chaos économique. Un dialogue entre deux économistes hétérodoxes sensibles à la question de la représentation théâtrale.

    #Frédéric_Lordon
    #André_Orléan
    #Crises économiques dans le système capitaliste
    théorie #Gramsciste

  • Le frauduleux appel à l’action de l’UE pour combattre le #chômage des #jeunes
    http://www.wsws.org/fr/articles/2013/jul2013/pers-j01.shtml

    A leur sommet de jeudi à Bruxelles, les chefs de gouvernement de l’Union européenne ont décidé de débloquer six milliards d’euros pour les jeunes chômeurs. La mesure s’appelle officiellement « Plan d’action contre le chômage des jeunes. » En fait, c’est tout le contraire. C’est une parodie et une insulte à l’intelligence des jeunes et qui ne fait que souligner le fait qu’une génération entière n’a pas d’avenir dans une Europe capitaliste.
    Dans les 27 pays membres de l’UE, un jeune sur quatre de moins de 25 ans est officiellement comptabilisé comme chômeur, soit un total de 5,6 million de personnes. Le chiffre véritable est même encore plus élevé, vu que les statistiques officielles ne tiennent compte que de ceux qui ont été en recherche d’emploi au cours de ces quatre dernières semaines et qui sont en mesure d’occuper un nouvel emploi en l’espace de deux semaines.
    Les six milliards d’euros devraient être dépensés sur les années 2014 et 2015. Ceci correspond à une moyenne de 45 euros par mois par chômeur, c’est-à-dire une goutte dans l’océan.
    Même des personnalités en vue du patronat et de la politique ont admis qu’il s’agissait d’une mesure symbolique. Thomas Mayer, chef économiste de la Deutsche Bank, l’a décrite comme étant « plutôt une forme de politique de symbole » et Martin Schulz, le président du parlement européen, a dit que l’argent alloué n’était « pas suffisant. »
    Selon la Commission européenne, quelque 4,5 milliers de milliards d’euros d’argent public ont été alloués depuis 2008 pour soutenir le système bancaire du continent. A présent, ces mêmes gouvernements européens vont libérer 0,13 pour cent de cette somme pour les jeunes en Europe. Ce pourcentage montre l’importance relative que l’élite dirigeante attache aux jeunes en Europe par rapport aux banques.

    • Merci de souligner cet info, 700 000 jeunes sont au chômage en France : ce n’est non seulement le résultat d’une désaffection française et européenne désarmée pour combattre les mécanismes de l’échec, mais aussi une véritable volonté libérale de laisser-faire les marchés en pensant que leurs acteurs sont les seuls compétents pour s’entendre autour d’une table. Mais nul n’est dupe, les bras de fer sont inéquitables, les règles sont truquées et les dés sont pipés. Personnellement, je ne pense pas que cette civilisation aille bien loin. Comme je l’ai dit au ministre du Travail, ça sent le sapin. Pour s’en convaincre, il nous faudrait un bon petit référendum sur l’utilité de l’Europe.
      #Europe #Libéralisme #Crises #Mutation #Chômage #Jeunes

    • Ah le chômage des jeunes....

      Vraiment très impressionnant de voir des arguments de droites repris par des gens qui se disent de gauche, sérieux, radicaux.

      La phrase la plus drôle étant certainement celle-ci (et le passage que je mets en gras)

      Dans les 27 pays membres de l’UE, un jeune sur quatre de moins de 25 ans est officiellement comptabilisé comme chômeur , soit un total de 5,6 million de personnes. Le chiffre véritable est même encore plus élevé ,[...]

      Si on regarde la pyramide des ages 2010 en Europe, on
      http://epp.eurostat.ec.europa.eu/statistics_explained/index.php/Population_structure_and_ageing/fr
      http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_l%27Union_europ%C3%A9enne

      on a environ 130 millions de personnes de moins de 25 ans. Mais comme on est heureux d’avoir gagner quelques victoires contre le capitalisme, on ne va compter que les jeunes entre 15 et 25 ans, ce qui fait environ 60 millions de personnes. 5.6/60 = 9.5% Où sont les 25% dont ils parlent ? Comment est-ce que ça peut être encore plus que 1 sur 4 ? En seraient-ils au point où ils ne savent pas distinguer population et population active ?

      Enfin je me demande qui peut se réjouir qu’un jeune entre 15 ou 25 qui est soit au lycée, soit à la fac et a donc en général 35 heures de cours, et à peut prés l’équivalent à étudier hors de l’école, ait en plus besoin d’avoir un emploi. Le patronat, évidement qui peut donc étendre son pouvoir sur la gestion du temps des gens et des jeunes gens. Mais la gauche ? Faut-il s’alarmer du chômage des jeunes ? Surtout si on considère que celui-ci, une fois re-contextualisé, n’apparait pas plus important que celui du reste de la population.

      Sinon, concernant le plan des eurocrates et gouvernements nationaux, oui compte tenu de l’objectif il est ridicule et c’est clairement du foutage de gueule compte tenu de l’ampleur des plan d’austérité ( au moins 14milliard en 2014 rien que pour la France). Mais l’objectif est-il louable ?

    • Oui c’est bien ce que je dis, mais quand on dit « un jeune sur quatre de moins de 25 ans est officiellement comptabilisé comme chômeur » on ne dit pas que c’est la population active.

      Et vu que la population active des 15-25 ans est de l’ordre de 40% (extrêmement variable selon les pays), prendre ce taux reviens grosso-modo à prendre le taux de chômage des précaires, dont le taux de chômage est évidement plus élevé. Mais ce passe-passe, prendre le taux de chômage des 40% des actifs les plus précaires, aboutirait au même chiffre (voire pire) si on l’appliquait à la population active des 25-65 ans.

      L’argument du chômage des jeunes, en plus d’être incroyablement faux, est l’argument préféré de la droite depuis au moins Balladur et son contrat d’insertion professionnelle jusqu’à Chirac et le CPE. Et une bonne partie du travail des luttes contre ces projets de précarisation des jeunes travailleur et de valorisation du salariat des jeunes a été de déconstruire le discours sur le chômage des jeunes. Je trouve donc hallucinant qu’une partie de la gauche réutilise ce discours.

      Pour dénoncer les politiques d’austérité, de mise au pas du salariat, et des conséquences sur le chômage, pas besoin d’aller chercher le taux de chômage des jeunes actifs (et si on le fait, merci de le faire de manière correcte en disant clairement de quoi on parle).

      En plus faire comme si la distinction entre population active et population est secondaire, cela affaibli le travail de critique des magouilles sur le taux de chômage (en gros pour faire baisser le taux de chômage, on fait passer des actifs chômeurs au status d’inactifs).

      Bref TF2 embrouille déjà suffisamment le débat sur le chômage pour que la gauche, qui plus est la gauche de gauche, n’en rajoute pas une louche.

    • Ah et à votre avis, quand on cherche pour la première fois un emplois, quel est la probabilité qu’on soit en recherche d’emploi ? Dans cette situation est-ce anormal de chercher un emploi, donc être chômeur, pendant 2-3 mois ?

    • Prenons le cas de la France :
      http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=T12F041#tableaux

      Taux d’activité 2010 Hommes (en %) :
      15 à 24 ans : 42,9
      25 à 49 ans : 94,8
      50 à 64 ans : 61,2
      dont 50 à 55 ans : 93*
      dont 55 à 64 ans : 45,2
      65 ans ou plus : 2,4

      Taux d’activité 2010 Femmes (en %) :
      15 à 24 ans : 35,6
      25 à 49 ans : 84,2
      50 à 64 ans : 54,1
      dont 50 à 55 ans : 82*
      dont 55 à 64 ans : 40,0
      65 ans ou plus : 1,1

      Le taux d’activité de l’ensemble de la population de plus de 15 ans est de 56,7% (notez l’influence de la structure de la pyramide des âges sur ce chiffre http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?ref_id=ccc ).

      Définition :

      Le taux d’activité est le rapport entre le nombre d’actifs (actifs occupés et chômeurs) et l’ensemble de la population correspondante.

      http://www.insee.fr/fr/methodes/default.asp?page=definitions/taux-activite.htm

      * calcul perso en pondérant la période 50-55 par 1/3 et la période 55-65 par 2/3. Donc je suppose qu’entre 50 et 65 ans chaque classe d’âge annuelle compte autant d’individus, ce qui presque vrai mais faux.

  • #Irak : la #sécurité dans le #jeu des #escrocs
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1732

    Un #pays à la merci de toutes les dérives.

    Le #déchaînement de la #violence #islamiste sur fond #ethnique , des #sectes en plein déchirement, est le nouveau #régime et #climat que subissent les #irakiens . Mais aussi la #corruption et toutes les #crises imaginables pour détériorer un pays et un #peuple qui espèrent encore la #démocratie .
    La #chute de #SaddamHussein en Irak, sur de fausses #accusations , fut la première démonstration de remise en ordre de systèmes #républicains dans le #mondearabe. Ce retour précurseur à l’alternance au pouvoir, ouvre grande la (...)

  • #Tunisie : congrès #Ennadha et responsabilités !
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1350

    Les #crises que connait le pays, dont celles des #salafistes, Ghannouchi doit répondre.

    Le mouvement Ennahdha (la renaissance, en arabe) tunisien tient son premier congrès post-révolution des jasmins, et le 9ème depuis sa naissance le 6 juin 1981. Du 12 au 15 juillet, l’attention du peuple tunisien, des cercles #politiques et #intellectuels ainsi que les mouvements islamistes, et les autres, du monde entier seront tournés vers cet événement. Car c’est aussi la 1ere force politique d’une Tunisie qui a marqué le #Printemps #Arabe.