• Une #récession plus forte que prévue pour la #Zone_euro
    http://fr.myeurop.info/2013/05/03/une-recession-plus-forte-que-prevue-pour-la-zone-euro-8277

    myeurop

    La Commission publie aujourd’hui ses prévisions économiques de #printemps. En 2013, la contraction du #PIB sera plus aigue que prévue dans la zone euro. La France rejoint le groupe des pays en récession.

    Le tableau est encore un peu plus noir que prévu. lire la (...)

    #Économie #Union_européenne #commission_européenne #croissance #prévisions_de_croissance

  • A la Dominique, la croisière n’amuse pas - Les blogs du Diplo

    http://blog.mondediplo.net/2013-04-04-A-la-Dominique-la-croisiere-n-amuse-pas

    Un nouveau billet sur Visions carto...

    Quelques coups de boutou [1] derrière le crâne viennent parachever les derniers élans d’une résistance vaine. Le gommier [2] chaloupe sous le poids de l’animal hissé péniblement à bord : un thon jaune d’une cinquantaine de kilos. Les visages se décrispent alors qu’on recouvre le poisson de feuilles de bananier sèches. Les deux pêcheurs relèvent la tête et s’épongent le front. Face à eux, à une quinzaine de kilomètres, se dessine le profil escarpé de l’île caribéenne de la Dominique. Une dizaine de volcans crevant les nuages à plus de 1 000 mètres d’altitude, des mornes aux pentes abruptes, couverts d’une végétation dense, qui tombent à pic dans une mer d’un bleu intense.

    #caraïbe #tourisme #croisières

  • IMF slashes world growth outlook - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2013/04/18/econ-a18.html

    The International Monetary Fund downgraded its 2013 outlook for the world economy Tuesday amid mounting signs that the global slump is intensifying. In its latest World Economic Outlook report, the IMF said it expects global growth to reach 3.3 percent this year, compared to its January estimate of 3.5 percent. It left unchanged its projected growth rate of 4 percent for 2014.

    #économie #mondialisation #fmi #croissance

  • OIT - Neuvième Réunion régionale européenne, Oslo, avril 2013 – Emploi, croissance et justice sociale - wcms_207982.pdf
    http://www.ilo.org/wcmsp5/groups/public/---ed_norm/---relconf/documents/meetingdocument/wcms_207982.pdf

    Mesures efficaces axées sur l’emploi :
    Il faudrait envisager de favoriser et de renforcer les mesures visant à créer de l’emploi qui se sont avérées efficaces pendant la crise. Cet aspect est particulièrement important car l’on continue de prévoir une croissance faible. Parmi les mesures en faveur de l’emploi qui n’ont pas seulement pour effet de protéger et de stimuler l’emploi, mais aussi de contribuer à la reprise, on retiendra :
    i) les dispositifs de réduction du temps de travail ;
    ii) le soutien direct aux secteurs à fort coefficient de main-d’œuvre ;
    iii) la formation pour enrayer l’érosion des compétences et faire face à l’évolution de la demande de qualifications.

    Rien de révolutionnaire. Mais il faut le dire et répéter : la réduction du temps de travail est un meilleur moyen de préserver et créer de l’emploi que la réduction du salaire socialisé (cotisations sociales) dont on nous rebat les oreilles depuis 30 ans.

    Sur la croissance : les incantations magiques, c’est fatiguant. Sans parler du mythe du découplage de la croissance et de ses externalités négatives. Une autre histoire, ceci dit.

    #rtt #emploi #OIT #Europe #travail #chômage #croissance #justice_sociale

  • La #croissance économique est la cause de la #crise
    http://www.reporterre.net/spip.php?article4068

    « Tous les problèmes sont aggravés par la croissance économique et les politiques la mettant en oeuvre. La crise économique, financière et budgétaire à laquelle nous sommes confrontés trouve sa source dans la croissance visée par nos sociétés et nos économies. »

    Phénomène relativement nouveau, la permanence de la croissance économique peut être datée à la fin de la seconde guerre mondiale. John R. Hicks, Prix Nobel d’économie en 1972, notait dans un article paru en 1966 ("Growth and Anti-Growth", Oxford Economic Papers 18-3) : « Il n’est en aucune façon nécessaire que les sciences économiques visent la croissance. Je me souviens personnellement d’une époque où elles n’étaient absolument pas orientées vers la croissance. Je me revois suivre un cours de principes [économiques]... en 1926-1927. Il n’était en rien question d’indice de croissance élevé. La stabilité de la majorité des secteurs économiques suffisait à nous satisfaire. »

    #économie

  • Revue de presse sur la #Chine semaine du 01.04.13

    La Chine, premier #marché #mondial de la #distribution en 2016

    Selon une étude (PDF) réalisée en partenariat avec l’Economist Intelligence Unit et publiée mercredi 3 avril, c’est la Chine qui, sans surprise, tire le train de la #croissance du #secteur, et de loin.

    http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/04/04/la-chine-premier-marche-mondial-de-la-distribution-en-2016_3152624_3234.html

  • Focus: Dash for cash | The Economist

    http://www.economist.com/blogs/graphicdetail/2013/03/focus-6?fsrc=scn/fb/wl/bl/dashforcash

    IN THE race to become rich, several of Asia’s economies have set records for long-run growth. Over the 30 years from 1982 to 2011 China achieved annual growth in GDP per person of nearly 10%.

    In doing so it overtook Japan to become the world’s second-largest economy in 2010 and also graduated from lower to higher middle-income status, according to the World Bank’s classification system. All of the other economies in our chart that maintained 6% growth or faster over 30 years can now be classified as high-income. If China wants to join them, it will have to keep up the pace a bit longer. The OECD, in a new survey of China, reckons it might get there by 2020.

    #économie #croissance

  • La #crise actuelle de l’économie capitaliste et ses origines [texte intégral de l’exposé n°130 du 22 février 2013] #analyse #marxisme
    http://www.lutte-ouvriere.org/documents/archives/cercle-leon-trotsky/article/la-crise-actuelle-de-l-economie

    Introduction
    L’économie capitaliste continue de s’enfoncer dans la crise. Les annonces officielles du taux de croissance des économies des plus grands pays capitalistes du monde sont si faibles qu’elles flirtent constamment avec la #récession, quand elles n’ont pas carrément plongé dedans comme en Espagne.
    Cette mesure officielle du taux de #croissance est un très mauvais indicateur de la santé économique des pays capitalistes, et d’abord parce qu’il fait la part belle à toutes les surévaluations spéculatives. Les annonces de plans de licenciements à la chaîne, dans pratiquement toutes les branches, et la hausse continuelle du #chômage qui en est la conséquence immédiate, sont une mesure bien plus réelle de la contraction de l’économie.
    La crise actuelle est le dernier épisode en date d’une crise quasi permanente qui dure depuis près de quarante ans. Depuis plusieurs décennies, l’#économie capitaliste est toujours plus noyée dans un océan de « liquidités » comme disent les financiers. À chaque krach boursier, la réaction des États a été la même : injecter de la monnaie pour éviter les faillites en chaine et l’effondrement de l’économie. Krach après krach, la quantité totale d’argent a enflé, démesurément, sans rapport avec la quantité de richesses produites, alimentant la #spéculation et préparant le #krach suivant.
    Des sommes ahurissantes, à donner le tournis, valsent d’une place financière à l’autre. En un clic de souris, des capitaux peuvent renchérir telle matière première ou étrangler encore un peu plus les finances de tel État. Ces sommes d’argent cherchent frénétiquement à s’investir. Cela est aussi vieux que le capitalisme et, à ce propos, on peut reprendre une phrase de #Marx de 1849 sans en changer un mot : un capitaliste « n’est jamais aussi malheureux que lorsqu’il ne sait pas quoi faire de son argent. Voilà le secret de toutes les grandes spéculations, de toutes les entreprises profitables. »
    À l’époque actuelle, c’est avant tout dans la spéculation et peu dans la production, au regard des profits engrangés, que le capital cherche toujours aussi furieusement à s’investir. Or, quelles que soient les inventions délirantes des savants fous de la finance, il n’y a que dans la production que la richesse se crée. Tous les gains faramineux réalisés dans la spéculation ne proviennent au bout du compte que d’une seule source : le profit fait sur le dos des travailleurs dans la production.
    Voilà pourquoi l’ensemble de l’organisation économique capitaliste s’étouffe dans sa propre graisse financière : d’un côté, il n’y a jamais eu autant d’argent dans l’économie, et de l’autre, cet argent qui répugne à s’investir dans le seul endroit où la richesse se crée, la #production, parasite et étouffe cette dernière.
    Il y a près de cent ans, #Lénine, reprenant un point de vue largement partagé par tous les communistes de l’époque, utilisait le terme d’impérialisme pour caractériser l’économie capitaliste. Il le décrivait comme l’état de sénilité du capitalisme, exprimant ainsi que cette organisation sociale avait épuisé ses possibilités quant au rôle de développement des forces productives qu’elle avait eu dans l’histoire.
    Un siècle après, le capitalisme est toujours là. Alors, par quels soubresauts est-il passé ? Lesquelles de ses contradictions se sont exacerbées ? Et aujourd’hui, quelles sont les causes et les conséquences du développement sans limite de la #finance ?
    Pour répondre à ces questions, il faut repartir des analyses de Marx des crises du capitalisme, et aussi revenir sur une évolution essentielle du capitalisme : celle qui amena la domination des monopoles et des trusts, l’#impérialisme.

    Les crises du capitalisme : de la période de la « libre concurrence » à celle de la domination des monopoles
    – Crises et expansions : le mode de fonctionnement du capitalisme
    – La domination des monopoles et l’impérialisme
    – D’une guerre mondiale à l’autre : la première période de convulsions de l’impérialisme
    L’économie capitaliste depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale aux années 1970 : de la reconstruction à la financiarisation
    – La béquille des États pour reconstruire l’économie
    – Le tournant des années 1970
    – La crise de 1974 et l’intervention des États
    D’une crise à l’autre, le capitalisme financier toujours plus parasitaire
    – Ces capitaux qui cherchent à s’investir partout sauf dans la production
    – Le règne de la spéculation
    – Une économie de crédits et d’endettements fondée sur le socle de l’endettement des États
    La crise de 2008 et ses conséquences
    – De la spéculation sur l’immobilier aux États-Unis à la crise de l’euro
    – Les contradictions de la situation économique actuelle

  • L’ #islamophobie : l’ #opinion #raciste en #territoire des #libertés
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1695
    Du #préjugé #croisé à la #mémoire #coloniale !

    L’avènement de l’ #islam au #Maghreb n’a jamais été l’ #œuvre de conquérants venus d’ #orient, pour ce but. C’est le cas des pays d’ #Asie , qui comptent actuellement le plus de musulmans, dont l’ #Indonésie et le #Pakistan en sont les exemples. Les conquérants #musulmans plus guerriers visaient l’ #Europe, une terre vierge mais viabilisée à tous points de vue avec plusieurs siècles de la présence romaine.
    Ils avaient nourri me projet de passer par le détroit de Gibraltar, lequel est attribué à, l’avoir séparé en 2 (...)

  • La grande illusion | Le nouvel Economiste
    http://www.lenouveleconomiste.fr/la-grande-illusion-17901

    “Voilà des décennies que les politiques fondent leurs décisions sur une conviction : celle selon laquelle la #croissance reviendra, ce qui n’est évidemment pas le cas étant donné qu’on est désormais dans une économie de services”, résume celui qui voit dans l’acharnement des gouvernements à prétendre le contraire une démarche relevant moins de la science économique que de l’#idéologie #politique. Idéologie qui, selon lui, explique nombre de nos difficultés actuelles, à commencer par l’augmentation des déficits budgétaires et d’explosion de la #dette. Car au lieu de s’interroger sur la façon de “faire tourner l’#économie sans croissance”, regrette-t-il, on a préféré parier, dès le milieu des années 80, sur l’avènement d’une économie financière.

    Apte à relancer la croissance à court terme, certes, mais pas à la pérenniser, bien au contraire. “Pendant dix ans il est vrai que la #finance a créé de l’activité et des profits disproportionnés, reconnaît-il ; mais ceux-ci n’ont eux-mêmes créé aucune #richesse et pendant ce temps-là l’économie réelle survivait par endettement.” Preuve de la fracture : en 2007, le poids des opérations spéculatives menées chaque jour sur la planète atteint 3210 milliards de dollars alors que celui des exportations ne dépasse pas 64 milliards.

    L’illusion de la relance
    Pour Olivier Berruyer, cette disproportion explique beaucoup : le poids de la finance – écrasant – sur le politique, la disparition de visées collectives comme de toute approche à long terme… Des dérives qui, rappelle-t-il, existaient déjà en 1929 : “Le politique le sait et pourtant, il n’a rien fait pour réguler la finance. Pour rétablir les équilibres.” Une aberration qui, selon lui, s’explique une fois encore par un choix idéologique. Celui consistant à vouloir “relancer la croissance par la finance” et pour cela, à parier sur un modèle dérégulé. “Or le passé l’a prouvé : maintenir les équilibres exige un cadre normatif, assène-t-il. On ne peut obtenir de croissance à long terme dans un système dérégulé.”

    • Oui, il y a bel et bien un aveuglement, et un acharnement...
      La finance n’est qu’une activité destinée à collecter et mettre à disposition des ressources pour atteindre un objectif économique, ressources calculées en fonction du risque et du retour sur investissement, pour garantir la pérennité globale de l’ensemble. C’est tout.

      La finance n’invente rien, elle ne crée rien. Tout au plus si elle est performante, elle minimise le gâchis de richesses par optimisation des investissements. Ce devrait être un accessoire d’accompagnement, c’est devenu une machine folle d’asservissement et génératrice des pires gâchis. Tout simplement je crois parce que grisée par sa propre puissance, et corrompue par un aveuglement idéologique, la profession a perdu le sens de sa mission...
      La prédation est devenu le terrain d’expansion du système pour maintenir l’illusion de croissance alors que tout est saturé. Comme si on devenait cannibale pour maintenir l’illusion qu’on dispose de plus de nourriture que la veille.

      Sans parler de l’oligarchie financière institutionnelle dont on parle quotidiennement, on peut illustrer ce gâchis avec les sociétés de capital risque, promues par le système pour créer des entreprises et des emplois : les capitaux risqueurs sont des ambulanciers qui viennent aider les entrepreneurs sur des terrains où les banques n’osent pas aller. Quand l’entreprise survit, le capital risqueur garde les bijoux du convalescent pour se rémunérer. Plus il y a de mortalité infantile chez les entreprises, plus les capitaux risqueurs devront dépouiller les survivants pour se rémunérer. Au niveau économique, concret, matériel, il ne reste que les apparences d’un champ de bataille sans vie...
      Voilà comment le système se maintient aujourd’hui. Des cycles perpétuels de création/destruction et une perpétuelle fuite en avant en espérant une stabilisation et une croissance illusoire..

  • Information technology in Africa: The next frontier | The Economist
    http://www.economist.com/news/business/21571889-technology-companies-have-their-eye-africa-ibm-leading-way-next-frontier?fsrc=scn/fb/wl/pe/thenextfrontier

    This month Microsoft, which has offices in 14 African countries, unveiled a smartphone to be sold in several African markets. It is made by China’s Huawei and uses Microsoft’s new operating system.

    In Kenya Microsoft intends to bring broadband to places that do not yet have electricity, using solar power and “white spaces”, or spare broadcast-television frequencies. Within a year, says Fernando de Sousa, the general manager for Microsoft in Africa, 6,000 people in the Rift Valley will have access to broadband. Similar projects are planned elsewhere. Since October Microsoft has been running “app factories” for programmers in Egypt and South Africa.

    (...) Kenya may be keenest. In 2006, frustrated by the slow progress of a regional plan to lay a fibre-optic cable along the east coast of the continent, Kenya negotiated its own link to the United Arab Emirates. The Gulf cable landed in 2009.
    (...)

    In many sectors, such as health care, education and water, as well as traffic, governments are sure to be important customers for IT companies. But private clients matter too, especially in telecoms and finance. The mobile phone, the first computer many Africans will own (see chart 2), is the bridge between the two.

    To Westerners, “mobile banking” is a new way of doing something old. To many Africans, it is the obvious way of doing something new. In Kenya M-PESA, a system of transferring money over phones, is an everyday, reliable utility. Equity Bank, a fast-growing bank, most of whose customers have never had an account before, has come of age with mobile technology:

    #afrique #internet #câbles #croissance #mobile etc

  • On ne construira pas une #Europe prospère avec des mesures austères | Causeur
    http://www.causeur.fr/emmanuel-maurel-ps-hollande-europe,21081

    Notre dette abyssale ne serait-elle donc qu’un « fantasme » ?

    L’#endettement public pose problème. À un certain moment, on atteint un seuil qui interdit toute relance de l’économie. Mais la politique de rigueur ne fait qu’ajouter de l’austérité à l’austérité. Plus le gouvernement grec réduit ses dépenses publiques, plus il coupe dans les salaires, plus le déficit est abyssal. Le véritable pragmatisme serait de relancer les salaires et l’investissement pour casser le cycle de la récession. On nous explique qu’on va créer une Europe prospère en prenant des mesures austères. Serons-nous plus riches lorsque tous les Européens seront devenus pauvres ? Bien sûr que non.

    Nous avons beaucoup parlé de croissance économique. Mais dans un monde fini où les ressources naturelles se raréfient, la croissance est-elle la solution ou le problème ?

    La #croissance n’est pas LA solution. On ne peut plus continuer avec le modèle actuel. L’exploitation de l’homme, celle des ressources naturelles et celle de notre environnement sont liées. Plutôt que de décroissance, je préfère parler d’une autre croissance, sur des bases et avec des instruments d’évaluation totalement différents. Nous devons repenser notre manière de consommer, notre rapport aux objets, au monde qui nous entoure, à la publicité. Songez que les industries pharmaceutiques ont un budget publicitaire presque supérieur à leur budget de recherche !

    La gauche doit-elle renoncer à l’idéologie du progrès ?

    Nous devons réinterroger la notion de progrès entendu comme une croissance infinie de la consommation. À l’avenir, le progrès technologique devra être mis au service d’un vaste changement de mentalités. Le progrès social bien sûr, mais aussi le progrès intellectuel, moral et civique peuvent justement passer par de nouvelles formes de croissance. Nous avons du pain sur la planche !

  • La loi sur les ondes est morte-née, vive la 4G ! - Terra eco
    http://www.terraeco.net/La-loi-sur-les-ondes-est-morte-nee,48098.html

    Télescopage entre :

    La technologie quatrième génération (#4G) déboule par petites touches dans l’Hexagone.

    et

    déjà fortement expurgé en commission avant son étude en séance à l’Assemblée, le texte [de loi sur les ondes électromagnétiques] n’a finalement même pas été débattu, jeudi soir. Le groupe socialiste à l’Assemblée l’a renvoyé – à la demande du gouvernement - à l’étude de la Commission des affaires économiques. Ainsi écarté, le texte ne devrait, au mieux, faire son retour à l’agenda parlementaire que dans quelques mois.

    Mais le déploiement de la techno aura eu lieu, priorité de Fleur Pellerin : la proposition de loi EELV « aurait retardé considérablement le déploiement du réseau de téléphonie mobile, en particulier celui de la 4G, au détriment des utilisateurs mais aussi des opérateurs qui y voient une source de création de valeur, vitale en cette période ».

  • Revenu garanti, « la première vision positive du XXIe siècle »
    http://www.peripheries.net/article326.html
    via ??? #revenu-de-base #plein-emploi #croissance

    Pourtant, il faut bien constater que l’hypothèse du revenu de base rencontre un écho bien moins large en France qu’en Allemagne ou en Suisse. « Contrairement aux clichés qui prétendent que les peuples germaniques disciplinés ont la religion du travail, tandis que les Français latins sont d’indécrottables paresseux réputés dans le monde entier pour faire grève pour un oui ou pour un non, on se rend compte que la “valeur travail” est bien plus ancrée en France,

    (...) Notre problème n’est pas que l’on consacre trop d’argent au social, mais que nos politiques de l’emploi sont vouées à l’échec. Et puis, si les gens ont compris une chose avec la crise, c’est bien que de l’argent, il y en a... »

    (...) « En réalité, le plein-emploi n’a jamais existé ! Nous courons après une chimère depuis des décennies. S’en débarrasser enfin serait d’autant plus bénéfique que c’est aussi lui qu’on invoque pour justifier la recherche de la croissance, alors même qu’une croissance éternelle, on le sait, n’est ni possible, ni souhaitable. »

  • Croissance ou décroissance ? | Mouvement Colibris
    http://www.colibris-lemouvement.org/comprendre/croissance-ou-decroissance
    via "Le changement par la consommation" #croissance #decroissance

    Les événements les plus destructeurs comme les inondations, les accidents de voiture, les hospitalisations… stimulent paradoxalement la croissance économique et haussent l’indice de « développement » d’un pays.

    satisfaire les besoins fondamentaux de tous les citoyens, veiller à la répartition équitable des biens légitimes, édifier une organisation sociale et territoriale dans le respect de l’équilibre naturel, encourager la participation « cré’active » de chacun au service de l’intérêt collectif. Aux logiques de compétition et d’antagonisme, il est possible de substituer les valeurs de coopération et de complémentarité.

  • Revue de presse sur la #Chine semaine du 29.10.12

    L’industrie chinoise donne des signes de reprise

    #L'industrie #manufacturière #chinoise a renoué avec la #croissance en octobre. L’indice officiel qui mesure l’activité #industrielle est ressorti à son meilleur niveau en huit mois.

    Un premier pas la consolidation de sa croissance #économique ?

    http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202360996701-l-industrie-chinoise-donne-des-signes-de-reprise-506385.php

  • La sobriété heureuse ou comment rester sur sa soif ? (entretien original)
    http://www.agrobiosciences.org/article.php3?id_article=3365

    Avec les crises économiques et écologique, plus rien ne sera comme avant, le bling-bling a fait son temps. Voici venue l’ère de l’alter-consommation, du consommer moins et mieux, du #sobre et du #solidaire. Signes de ces temps nouveaux, le développement des Amap, la naissance de monnaies alternatives comme le Sol Violette [1] à Toulouse et la parution d’une littérature abondante sur le sujet, tout cela s’accompagnant, à mon sens trop souvent, d’insupportables leçons de morale (du genre : « Tu as fait quoi, toi, aujourd’hui pour la planète ? » ) et d’une drôle de sémantique, où l’on tente de nous expliquer l’abondance frugale, la sobriété heureuse, la simplicité dans la béatitude, appelant à la bonne volonté des citoyens, pour un monde où chacun serait libre et heureux.
    N’y a-t-il pas, là, une indécence à demander de consommer moins à quelques millions de personnes qui, déjà, n’arrivent à boucler les fins de mois.

    • D’abord, pourquoi des mots, apparemment contraires, ainsi associés ? Pourquoi des personnes comme #Pierre-Rabhi, #Serge-Latouche ou d’autres ont-ils adjoint heureuse à #sobriété ? A mon avis parce que, dans nos sociétés de #croissance, de nombreux mots ont été détournés par un système de #production d’une avidité permanente.

      Le dictionnaire nous dit qu’une personne est sobre, si elle boit et mange avec modération, si elle vit sans excès, sans luxe ou si elle agit avec mesure. Je n’y vois rien de négatif, ni de triste. Presque tous les philosophes, passés comme présents, valorisent cette sobriété-là qui permet de faire la différence entre l’utile et le futile, entre l’usage justifié et le gaspillage, etc.

      Ce qui s’est passé c’est que notre système, basé sur la croissance, a eu tendance à dévaloriser la sobriété ou la frugalité pour une raison facile à comprendre : ces mots s’opposent à la croissance perpétuelle du chiffre d’affaires, des ventes, de la production de tout et n’importe quoi. A mon avis, donc, ceux qui qualifient d’heureuse la sobriété veulent simplement retrouver le sens originel du mot sobriété qui n’a rien à voir avec l’austérité.

      Seconde remarque, vous trouvez cette idée de sobriété heureuse culpabilisante. Ce le sera si l’on fait peser sur le seul consommateur individuel le poids des changements nécessaires, changements qui doivent porter beaucoup plus sur des orientations collectives que sur de petits gestes individuels pour la planète. Et puis je trouve, moi aussi, qu’il serait indécent de demander à des gens qui vivent déjà très modestement - c’est-à-dire au moins 1/3 des Français - de se mettre à la frugalité. Mais, à mon avis, la plupart des avocats de la sobriété ne tombent pas dans ces travers. Par exemple, lorsqu’ils parlent de sobriété énergétique, certes ils disent qu’il faut veiller individuellement à ne pas surchauffer les logements mais ils demandent, surtout, d’engager des investissements massifs d’isolation thermique, source d’emplois utiles, de bien-être pour tous, y compris par la réduction des factures énergétiques.

      Enfin, je ne crois pas que ces thèmes soient portés par des bobos aisés. Ça a pu être en partie vrai dans le passé mais, je le constate, ça ne l’est plus. Le public vient très nombreux dans les débats sur ce que j’appelle l’objection de croissance, et encore plus depuis que nous sommes en crise profonde. Or le public est désormais composé de personnes très diverses, en particulier de jeunes qui sont très loin d’appartenir aux catégories aisées. Au contraire même, ils sont plus proches du seuil de #pauvreté que du seuil de richesse.

    • http://seenthis.net/messages/187774

      Ce n’est pas à la mère célibataire qui gagne 800 € par mois comme caissière, trois jours par semaine et avec des horaires impossibles, qu’il faut demander de réduire sa #consommation d’énergie. On a là un enjeu de #justice_sociale. D’ailleurs, la consommation d’énergie et de matière augmentent selon le gradient des revenus. Réduire collectivement la consommation d’énergie, c’est réduire beaucoup plus fortement celle des plus riches. D’une part parce qu’il est logique de leur demander plus d’effort, puisque ce sont eux qui consomment le plus. Ensuite, cela permettra aux #classes_moyennes, qui devront porter le gros de la réduction de la consommation, de l’accepter plus facilement. Enfin, cela changera le modèle : pour l’instant, les super-riches définissent pour la société un modèle général de surconsommation ostentatoire ; ils sont les premiers acheteurs de tous ces objets superflus et très sophistiqués que la classe moyenne tente ensuite d’acquérir afin de les imiter. Si on change la façon dont se comporte la couche sociale au sommet de la société, on change le modèle général de la consommation.

  • Aujourd’hui le journal de France Culture à 12h30 a été l’occasion d’une belle illustration de la bêtise de l’idéologie croissanciste

    http://download.od.tv-radio.com/podcast09/10059-01.09.2012-ITEMA_20396198-0.mp3
    (au passage on peut voir que #FranceCulture n’héberge même plus elle-même ses podcast, elle sous-traite ça à #tv-radio.com ou #SmartJog The Leader in Fast Secure Digital Delivery of Media Worldwide.)

    Véronique Pellerin (journaliste à France Culture) interview une autre journaliste (économique) Valérie Segond

    Véronique Pellerin fait un constat intéressant :

    La rentrée économique est marquée par un triple 0. Trois trimestres de croissance quasi nulle.

    Valérie #Segond en fait une interprétation délirante :

    La France est aujourd’hui dans une situation de stagnation, qui semble quasi-chronique. Sachant qu’en Juin l’activité était au même niveau de mars 2007, soit juste avant l’éclatement de la crise des subprimes. Bref tout se passe comme s’il y avait une 5 pour rien !

    Le raisonnement est faux puisqu’il repose sur les idées suivantes :
    – seule la sphère monétarisée crée des richesses
    – les marchandises « consommées » disparaissent aussitôt achetées

    Le reste est tout autant hallucinant de bêtise et ne déverse que le discours capitaliste classique. En plus l’interview est factice, puisque visiblement il a été écrit et les journalistes jouent des rôles, avec citation d’Alain Juppée comme voix de la raison.

    Une perle journaliste crée par Valérie Segond :

    Le gouvernement doit relancer l’emploi - le vrai, pas les emplois d’avenir fictifs, mais ceux crées par les entreprises.

    • Arf je n’avais pas vu que ce verbiage s’inscrit dans une grande stratégie à haut niveau intellectuel.

      Jean-Luc #Hees vient de publier une tribune dans Le Monde :

      Faisons évoluer la radio publique vers le Net
      http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/08/31/faisons-evoluer-la-radio-publique-vers-le-net_1754086_3232.html

      L’article commence par une enfilade de moi-je et de « mes équipes » qui fait légèrement tâche quand ensuite il tartine de « service publique au service des citoyens » ou plutôt au services des payeurs de #redevance :

      Ma charge à la tête de la #radio de service public inclut donc une nécessité absolue, une nécessité vitale, de promouvoir l’ #innovation, sous toutes ses formes. Je ne prétends pas que les radios privées restent à l’écart de toute innovation, bien sûr. Mais ma tâche est autre. L’innovation continue est l’un de mes devoirs. [...] j’ai choisi de mettre l’accent sur quatre thèmes qui illustrent l’innovation en radio, des thèmes sur lesquels mes équipes de direction et moi-même serons comptables devant les citoyens qui paient leur redevance.

      Ceux qui ne payent pas leur redevance... qu’ils aillent se faire voir chez les grecques.

      Ensuite il enchaine sur #Internet comme innovation médiatique, qu’il dit nécessaire dans une situation de coupe budgetaire, mais évidemment il ne diffusera pas les podcast par Bittorrents pour économiser de la bande passante et il ne diffusera pas sous licence libre les logiciels développés.

      La priorité suivante dissone légèrement quand on a écouté le journal d’aujourd’hui de France Culture et qu’on connait la couleur des analyses politiques et économiques sur Radio France :

      Sur chacune des antennes de la radio publique, le décryptage de l’ #économie va s’approfondir, tant par les sujets abordés que par le recours à toujours plus d’experts, de citoyens et de journalistes, avec une volonté délibérée et sourcilleuse d’un #pluralisme permanent des regards – la marque fondamentale du service public.

      Enfin une autre priorité nous laisse penser qu’il vuet retourner au XIXe siècle. Mais pas pour y chercher Marx et les mouvements socialistes, plutôt le #paternalisme et le #machisme le plus rance :

      Les catégories sociodémographiques ? Deux d’entre elles vont être privilégiées. Les #femmes. Le service public propose non seulement une présence plus importante des femmes journalistes et animatrices d’émissions que toutes les autres stations, mais va multiplier, d’Inter à Info ou à France Bleu, les émissions consacrées aux problèmes des femmes, sous forme de grands débats ou de reportages sur la vie quotidienne.

  • Revue de presse sur Chine semaine du 13.08.12

    La Chine est prise au piège d’une #croissance qui génère plus d’#inégalités

    par Mark Leonard , cofondateur et directeur de l’European Council on Foreign Relations via Le Monde

    Ou comment la #Chine reproduit inconsciemment le modèle de développement économiques des Etats Unis pendant les années 50, avec les conséquences sociales désastreuses en boomerang
    http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/08/15/la-chine-est-prise-au-piege-d-une-croissance-qui-genere-plus-d-inegalites_17