Etats-Unis : Le bruit des mines à bitcoin couvre celui des chutes du Niagara L’essentiel
« Bourdonnement lancinant », « bruit aigu » : dans la ville américaine de Niagara Falls, des résidents habitués au grondement apaisant des célèbres chutes d’eau ont récemment découvert un son beaucoup moins agréable : le rugissement des fermes de minage de bitcoins.
« Je n’arrive à dormir qu’environ quatre heures par nuit à cause de ce bruit constant », déplore Elizabeth Lundy, 80 ans. « Je peux l’entendre même à travers mes doubles fenêtres », poursuit cette coiffeuse à la retraite, parée de lunettes de soleil et gants de jardinage. Le ronron mécanique s’entend distinctement en cette matinée ensoleillée d’octobre sur le perron de Mme Lundy. Il se transforme en vacarme assourdissant 500 mètres plus loin, sur l’avenue Buffalo où opère l’entreprise US Bitcoin.
Les fermes de minage de bitcoin se sont multipliées aux Etats-Unis, devenus leaders mondiaux du secteur, depuis que la Chine a mis en 2021 un coup d’arrêt à cette activité sur son territoire. Attirée par l’énergie hydroélectrique bon marché disponible à Niagara Falls, la société Blockfusion y a élu domicile en 2019, suivie par US Bitcoin en 2020 qui s’est implantée dans une ancienne usine de production de sodium.
Cette dernière a aligné en extérieur des centaines de bruyants ventilateurs, nécessaires au refroidissement des milliers de cartes graphiques qui chauffent en générant la plus connue des cryptomonnaies par la résolution d’équations complexes.
« Bourdonnement lancinant »
« On dirait le bruit d’un réacteur de (Boeing) 747 », commente Frank Peller qui habite une maison brune à plus d’un kilomètre et demi de ce centre de calcul. « Quand on était assis dans notre jardin – je vis à environ trois ou quatre kilomètres des chutes du Niagara – on pouvait les entendre au loin chaque soir. Maintenant, on ne les entend plus du tout, mais d’où j’habite j’entends le bruit du minage de bitcoins tous les jours », résume auprès de l’AFP le septuagénaire à la crinière argentée. « C’est plus fort le matin, en soirée, s’il y a beaucoup d’humidité et une brise », ajoute-t-il.
Bryan Maacks, qui réside plus près de cette « mine », décrit lui un « bourdonnement lancinant », une vibration qui traverse sa maison nuit et jour depuis l’hiver dernier. « C’est épuisant mentalement. C’est comme avoir une rage de dents qui dure 24 heures tous les jours », fulmine l’homme de 65 ans. Il explique devoir porter des écouteurs en permanence chez lui et utiliser un ventilateur pour neutraliser le son et parvenir à s’endormir. Excédé, il a lancé une pétition et confectionné un panneau « US Bitcoin Stop au bruit » trônant à l’arrière de son pick-up rouge qu’il a garé plusieurs semaines face à l’entreprise.
« La pollution sonore de cette industrie ne ressemble à rien de ce qu’on a connu », assène le maire de Niagara Falls, Robert Restaino, dans son bureau décoré de tableaux représentant les fameuses cascades. La ville accueille pourtant de l’industrie lourde depuis des décennies. Face au flot de plaintes, concernant principalement US Bitcoin, la mairie a décrété en décembre 2021 un moratoire sur toute nouvelle activité de minage, puis imposé début septembre aux cryptomineurs de stricts niveaux sonores à ne pas dépasser : 40 à 50 décibels aux abords d’une zone résidentielle.
Mur antibruit
« Dès que nous avons eu connaissance de ces préoccupations, nous avons érigé une barrière en plastique », s’est défendu US Bitcoin dans un communiqué à l’AFP. « Nous avions établi des plans pour un mur antibruit » dont la construction a été empêchée par le moratoire, selon l’entreprise. Dans la ville voisine de North Tonawanda, l’entreprise de minage canadienne Digihost, elle aussi confrontée à l’ire des riverains, a entrepris la construction d’un mur d’isolation acoustique de plus de six mètres de haut, pour un coût estimé à plusieurs centaines de milliers de dollars, relate le maire Austin Tylec.
A Niagara Falls, la mairie a ordonné début octobre la fermeture des deux fermes à bitcoins tant qu’elles ne seraient pas en conformité avec les nouveaux statuts locaux. Si les deux entreprises assurent coopérer avec la ville, seule Blockfusion avait éteint ses processeurs fin octobre et réduit le nombre de ventilateurs en fonctionnement, ceux d’US Bitcoin tournant encore à plein régime, a constaté une journaliste de l’AFP.
« Si elles continuent à refuser de se plier à notre ordre de fermeture, alors nous devrons aller devant les tribunaux », assure Robert Restaino. Une telle bataille juridique oppose déjà dans le Tennessee la ferme à bitcoins Red Dog Technologies aux autorités locales. D’autres plaintes pour pollution sonore aux abords de centres de calcul ont émergé de la Caroline du Nord à la Pennsylvanie. « Je continuerai à protester jusqu’à ce que le bourdonnement disparaisse. Jusqu’à ce que je récupère le grondement des chutes », conclut Bryan Maacks.
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Source : ▻https://www.lessentiel.lu/fr/story/le-bruit-des-mines-a-bitcoin-couvre-celui-des-chutes-du-niagara-871498766
]]>100 millions de dollars volés sur la plateforme de cryptomonnaies Binance Agence France-Presse à Paris
Binance, la plus grande plateforme de cryptomonnaies au monde en volume, a affirmé vendredi avoir été victime d’un piratage. Elle évalue l’ampleur du vol à environ 100 millions de dollars.
Selon Binance, les pirates sont parvenus à retirer un total de deux millions de BNB, la cryptomonnaie émise par Binance, soit environ 580 millions de dollars au cours de vendredi. Ils n’ont toutefois pu en exploiter qu’une fraction, la majorité du montant ayant été immédiatement bloquée. Grâce à la réaction rapide des personnes chargées de valider les transactions, « la majorité des fonds sont restés sur l’adresse des pirates », a indiqué à l’Agence France-Presse un porte-parole de Binance. Environ 100 millions de dollars ont en revanche été dérobés et n’ont pour l’heure pas pu être récupérés.
Les pirates ont pris pour cible le pont interchaîne BSC Token Hub. Un pont est un service qui permet à un utilisateur de transférer des jetons cryptographiques d’une chaîne de blocs (blockchain) vers une autre. La Binance Smart Chain (BSC), à laquelle est relié le pont visé par les pirates, a été suspendue pendant quelques heures.
Les attaques informatiques contre des ponts interchaînes se sont multipliées au cours des derniers mois. Selon Chainanalysis, deux milliards de dollars ont été dérobés par le biais de 13 piratages de ponts interchaînes entre janvier et août. Ces attaques représentent 69 % des vols de cryptomonnaies en 2022, indique Chainanalysis. Elliptic, un autre cabinet d’analyses en cryptomonnaies, a noté dans son rapport trimestriel sur les piratages publié cette semaine que les ponts « ont tendance à accumuler de grandes quantités d’actifs verrouillés sur de nombreuses chaînes de blocs, dont beaucoup n’ont peut-être pas de culture de sécurité ou d’audit avancée en raison de leur relative obscurité ».
Source : ▻https://www.ledevoir.com/economie/762515/cryptomonnaies-100-millions-de-dollars-voles-sur-la-plateforme-de-cryptomo
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]]>#Bruxelles (Jette) : un bac à fleurs installé au milieu d’une piste cyclable Rédaction, image : Twitter Jef Vandenbergen
▻https://bx1.be/categories/mobilite/jette-un-bac-a-fleurs-installe-au-milieu-dune-piste-cyclable/?theme=classic
Le dispositif a été installé récemment.
Un bac à fleurs a été installé en plein sur la piste cyclable de l’avenue de Jette. Pour éviter la chute, les cyclistes doivent dévier de la piste. Le dispositif a été installé il y a quelques jours pour empêcher les automobilistes d’éviter un ralentisseurs récemment placé sur la voirie.
Selon Bruxelles Mobilité, il s’agit d’une situation temporaire : “Nous sommes conscients que la situation n’est pas optimale pour les cyclistes“ . Le passage est en effet plus étroit pour les deux-roues. “Le bac à fleurs ne restera pas là, mais il assurera désormais une plus grande sécurité pour les cyclistes“ , précise l’administration bruxelloise à nos confrères de Bruzz.
▻https://twitter.com/nonkelvladimir/status/1573035952074903557
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#Quebec : Effondrement des cryptos : un partenaire de la Caisse de dépôt dans l’eau chaude Brigitte Noël - Jeff Yates - Radio Canada
▻https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1890606/celsius-cdpq-retraits-crypto-effondrement
Le bas de laine des Québécois avait investi 150 M$ US dans Celsius Network en octobre 2021.
Celsius Network, un partenaire de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), a subitement cessé de permettre à ses clients de retirer les cryptomonnaies qu’ils ont placées sur sa plateforme dimanche soir alors que l’entreprise est secouée par de nouveaux remous dans le marché de la cryptomonnaie.
L’annonce est survenue huit mois jour pour jour après que la Caisse de dépôt et placement du Québec eut investi 150 M$ US dans Celsius, une entreprise qui offre des services de prêts dans l’univers de la cryptomonnaie.
“En raison de conditions extrêmes dans le marché, nous annonçons aujourd’hui que Celsius met sur pause tous les retraits, les échanges et les transferts entre comptes”, a écrit l’entreprise dans un communiqué ▻https://blog.celsius.network/a-memo-to-the-celsius-community-59532a06ecc6?gi=a3ad76376e6e envoyé à ses clients peu avant 23 h, dimanche.
“Nous comprenons qu’il s’agit de nouvelles difficiles, mais nous croyons que notre décision [...] est l’action la plus responsable que nous pouvons entreprendre pour protéger notre communauté”, poursuit le communiqué.
Comme Radio-Canada le rapportait fin mai, ►https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/4095/caisse-depot-cryptomonnaie-celsius-quebec Celsius avait été durement frappée par un effondrement des prix des cryptoactifs ayant eu lieu dans la semaine du 9 mai. Certains clients de la plateforme s’étaient plaints d’avoir tout perdu après avoir obtenu des prêts en cryptomonnaie auprès de Celsius.
Depuis, Celsius peine à se relever. Selon les statistiques de l’entreprise, l’entreprise a perdu près de 2 G$ US en dépôts de ses clients depuis un mois. Celsius affirmait en octobre gérer 27 G$ de cryptoactifs pour le compte de ses clients. Ce chiffre avait baissé à 12 G$ en mai. Depuis, l’entreprise ne publie plus sur son site le total des actifs qu’elle gère.
La valeur du CEL, la cryptomonnaie qui a été créée par l’entreprise et qu’elle encourage ses clients à utiliser, s’est effondrée, passant d’environ 3 $ US en avril à 0,20 $ US aujourd’hui. Au moment de l’investissement de la CDPQ , le prix du CEL s’établissait à 5,60 $ US.
Effondrement des prix des cryptomonnaies
Les conditions actuelles du marché de la cryptomonnaie indiquent que Celsius n’est probablement pas au bout de ses peines. La plupart des cryptomonnaies majeures ont piqué du nez au cours du week-end dans un vent de panique qui a soufflé le marché, porté en partie par des indicateurs économiques inquiétants frappant l’économie mondiale.
Lundi matin, le S&P 500 perdait plus de 3 % de sa valeur, tandis que Dow Jones perdait un peu plus de 2,5 %. Ces deux indices connaissent une année difficile : ils ont reculé respectivement de 21,4 % et de 16,3 % depuis le début de 2022.
Le prix du bitcoin, la cryptomonnaie la plus populaire, avait chuté de près de 16 % en 24 heures, lundi matin. D’un sommet de plus de 67 000 $ US en novembre 2021, le prix du bitcoin, très volatil en temps normal, atteint maintenant un peu plus de 23 000 $ US.
Pour Hilary J. Allen, professeure de droit au Washington College of Law et experte en réglementation de la cryptomonnaie, il n’est guère étonnant de voir le marché de la cryptomonnaie s’effondrer dans les circonstances économiques actuelles.
“Il n’est pas surprenant que, dans un environnement où les taux d’intérêt augmentent, l’argent facile quitte le système. Il y a moins d’argent à investir dans les cryptoactifs”, juge-t-elle.
Mme Allen explique que des investisseurs qui ont placé des cryptoactifs du côté de Celsius pourraient être durement affectés si l’entreprise s’effondre.
“Pour les gens qui ne disposaient pas de beaucoup de moyens pour investir là-dedans, c’est potentiellement dévastateur. Nous avons vu avec [l’effondrement des cryptomonnaies Terra et Luna à la mi-mai] qu’il y a eu au moins un suicide. Les gens publiaient des lignes de prévention du suicide dans les groupes sur Reddit et ainsi de suite. Je suspecte que nous verrons la même chose avec Celsius, parce que beaucoup de gens ont investi beaucoup d’argent qu’ils ne pouvaient pas se permettre de perdre”, ajoute Mme Allen.
Un modèle d’affaires critiqué
Au moment d’investir dans Celsius, la CDPQ avait vanté le modèle d’affaires de l’entreprise. “La technologie des chaînes de blocs présente un potentiel perturbateur pour plusieurs secteurs de l’économie traditionnelle”, avait déclaré Alexandre Synnett, premier vice-président et chef des technologies à la CDPQ, dans un communiqué.
L’enquête de Radio-Canada ►https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/4095/caisse-depot-cryptomonnaie-celsius-quebec recensait les inquiétudes soulevées par des experts du domaine de la cryptomonnaie, qui soulignaient que Celsius utilise des pratiques financières semblables à celles ayant mené à l’implosion du système financier en 2008. Plusieurs États américains avaient d’ailleurs allégué que l’entreprise vendait des valeurs mobilières non enregistrées et ont forcé l’entreprise à limiter ses activités aux États-Unis.
Le ministère fédéral des Finances, qui n’avait pas offert de commentaire précis concernant Celsius, avait toutefois statué que les entreprises qui agissent de façon non réglementée – comme c’est le cas de Celsius – font affaire illégalement au Canada.
Le reportage révélait également que Celsius compte dans son orbite plusieurs individus qui se retrouvent au cœur de controverses dans le monde de la cryptomonnaie, dont une personne liée à des sites que les autorités financières canadiennes ont à l’œil.
En réponse à des questions découlant de notre enquête ►https://ici.radio-canada.ca/recit-numerique/4095/caisse-depot-cryptomonnaie-celsius-quebec , qui soulevait des inquiétudes quant aux activités de Celsius, la CDPQ avait réitéré son soutien à l’entreprise. Tous les investissements de la Caisse “font l’objet d’un processus d’analyse rigoureux afin de prendre des décisions avisées dans l’intérêt de nos déposants”, nous avait répondu une porte-parole.
Jointe lundi matin, une porte-parole de la CDPQ a assuré que la Caisse “suit de très près” ce qui se passe chez Celsius.
“Celsius a été affectée par des conditions de marché très difficiles dans les dernières semaines, plus particulièrement par le fort volume de retraits des dépôts des clients. Celsius agit de façon proactive pour s’acquitter de ses obligations auprès de ses clients [la communauté Celsius] et a honoré ses engagements auprès de ses clients jusqu’à présent.”
Consternation chez les clients *
L’annonce de dimanche soir a causé de la consternation chez les clients de Celsius. En réponse au gazouillis de l’entreprise concernant le gel sur les transactions, de nombreux clients ont fustigé la décision. Le silence radio du PDG de l’entreprise, Alex Mashinsky, a aussi fait réagir.
“Alex tweete constamment, il se vante que Celsius est une entreprise magnifique, il critique les autres plateformes. Et maintenant, quand nous attendons désespérément de l’entendre, il est silencieux. Il n’a offert aucune mise à jour, alors que la communauté vit cette dure épreuve. C’EST DÉGOÛTANT”, a écrit un client dans un groupe Telegram de la communauté Celsius.
En réponse à un gazouillis d’un client, samedi, Alex Mashinsky avait répondu : “Connaissez-vous une seule personne qui a eu du mal à retirer ses fonds de Celsius ? Pourquoi partagez-vous de la peur et de la désinformation ?”
Celsius n’a pas donné suite à nos questions.
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]]> Les mineurs de bitcoin produisent autant de déchets électroniques que les Pays-Bas, selon une étude
▻https://www.rtbf.be/info/economie/detail_les-mineurs-de-bitcoin-produisent-autant-de-dechets-electroniques-que-le
L’industrie des mineurs de bitcoin, qui permet la validation des transactions et la création de la cryptomonnaie, a produit 30.700 tonnes de déchets électroniques sur un an en mai, soit autant qu’un pays comme les Pays-Bas, estime une étude.
» Le cycle de vie des machines (utilisées par les mineurs) est de 1,3 an, c’est extrêmement court par rapport à n’importe quoi d’autre, y compris les iPhones" dont le rythme de remplacement est régulièrement critiqué, explique l’un de ses auteurs, Alex de Vries.
Pour faire fonctionner le réseau décentralisé du bitcoin, des processeurs valident des transactions et prouvent leur participation à l’exercice en cherchant à deviner le résultat d’équations complexes.
Ils reçoivent en échange de nouveaux bitcoins, un processus appelé "minage", qui incite les participants à utiliser des microprocesseurs ultra-spécialisés et toujours plus puissants, les machines plus anciennes devenant rapidement obsolètes.
Utilisation intensive de l’électricité
Et plus les prix grimpent, plus ce cycle s’accélère : "Au plus haut des prix début 2021, (les déchets émis) pourraient atteindre 64.400 tonnes, ce qui montre la dynamique en place si les prix du bitcoin montent encore", selon l’étude publiée dans le journal scientifique Elsevier, par Alex de Vries, économiste employé de la banque centrale néerlandaise, et Christian Stoll, chercheur au MIT.
Cela ne représente toutefois qu’une fraction de la production mondiale de déchets numériques (53,6 millions de tonnes en 2020, selon le rapport annuel du moniteur mondial des "e-déchets").
L’activité des mineurs de bitcoin avait déjà été critiquée pour son utilisation intensive d’électricité.
Le Cambridge bitcoin electricity consumption index (CBECI) estime que la consommation annuelle du bitcoin pourrait atteindre 98 TWh (térawatt-heure), soit 0,4% de la production électrique mondiale, ou un peu plus que la consommation des Philippines.
Les avis divergent
Pour les amateurs de la cryptomonnaie, cette énergie dépensée assure la sécurité du réseau.
Mais elle inquiète également certains adeptes, de plus en plus nombreux alors que le prix du bitcoin a grimpé de plus de 330% sur un an - la première cryptomonnaie s’échangeait pour 47.410,09 dollars vendredi.
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]]> Fraude aux cryptomonnaies : le gendarme boursier américain poursuit BitConnect
▻https://www.letemps.ch/economie/fraude-aux-cryptomonnaies-gendarme-boursier-americain-poursuit-bitconnect
Le gendarme de la Bourse américaine, la SEC, a engagé des poursuites contre une société de prêts en ligne en cryptomonnaies, et ses dirigeants, accusés d’avoir escroqué 2 milliards de dollars (1,69 milliards d’euros) d’investissements.
La plateforme BitConnect et son fondateur Satish Kumbhani proposaient d’investir des titres dans un programme de prêts qui devait rapporter gros, selon la plateforme. BitConnect était supposé utiliser son « logiciel-robot propriétaire de courtage volatil » pour faire fructifier ces fonds déposés, explique un communiqué de la SEC mercredi.
Cependant, la SEC affirme qu’au lieu d’utiliser les fonds dans ces investissements et ces échanges, BitConnect et ses dirigeants les ont « siphonnés » pour leur propre bénéfice en les transférant en cryptomonnaies sur des portefeuilles numériques à leur nom et celui du promoteur de leur opération, Glenn Arcaro. Celui-ci était en charge d’attirer les clients sur son site web créé pour l’occasion, Future Money.
Des accords à l’amiable signés
La SEC les accuse d’avoir « volé des milliards de dollars à des particuliers du monde entier en exploitant leur intérêt dans les cryptomonnaies », a indiqué Lara Shalov Mehraban, directrice régionale de la SEC à New York.
La plainte de la SEC accuse les défendeurs d’avoir violé les dispositions antifraude et d’enregistrement des valeurs mobilières imposées par la loi fédérale. Elle vise à obtenir la restitution des fonds confiés, des intérêts et des sanctions civiles.
La SEC a déjà signé deux accords à l’amiable avec cinq des prévenus. Dans une action parallèle, le département de la Justice a indiqué que Glenn Arcaro avait plaidé coupable dans cette affaire.
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]]>Un point de vue intéressant de Jackson Palmer (un des fondateurs d’une crypto-monnaie)
▻https://twitter.com/ummjackson/status/1415353985406406658
I am often asked if I will “return to cryptocurrency” or begin regularly sharing my thoughts on the topic again. My answer is a wholehearted “no”, but to avoid repeating myself I figure it might be worthwhile briefly explaining why here…
After years of studying it, I believe that cryptocurrency is an inherently right-wing, hyper-capitalistic technology built primarily to amplify the wealth of its proponents through a combination of tax avoidance, diminished regulatory oversight and artificially enforced scarcity.
Despite claims of “decentralization”, the cryptocurrency industry is controlled by a powerful cartel of wealthy figures who, with time, have evolved to incorporate many of the same institutions tied to the existing centralized financial system they supposedly set out to replace.
The cryptocurrency industry leverages a network of shady business connections, bought influencers and pay-for-play media outlets to perpetuate a cult-like “get rich quick” funnel designed to extract new money from the financially desperate and naive.
Financial exploitation undoubtedly existed before cryptocurrency, but cryptocurrency is almost purpose built to make the funnel of profiteering more efficient for those at the top and less safeguarded for the vulnerable.
Cryptocurrency is like taking the worst parts of today’s capitalist system (eg. corruption, fraud, inequality) and using software to technically limit the use of interventions (eg. audits, regulation, taxation) which serve as protections or safety nets for the average person.
Lose your savings account password? Your fault.
Fall victim to a scam? Your fault.
Billionaires manipulating markets? They’re geniuses.
This is the type of dangerous “free for all” capitalism cryptocurrency was unfortunately architected to facilitate since its inception.
But these days even the most modest critique of cryptocurrency will draw smears from the powerful figures in control of the industry and the ire of retail investors who they’ve sold the false promise of one day being a fellow billionaire. Good-faith debate is near impossible.
For these reasons, I simply no longer go out of my way to engage in public discussion regarding cryptocurrency. It doesn’t align with my politics or belief system, and I don’t have the energy to try and discuss that with those unwilling to engage in a grounded conversation.
I applaud those with the energy to continue asking the hard questions and applying the lens of rigorous skepticism all technology should be subject to. New technology can make the world a better place, but not when decoupled from its inherent politics or societal consequences.
]]>A-t-on enterré trop vite le cash ? Le Temps du débat par Emmanuel Laurentin - 30 Octobre 2019 - france culture
"Bitcoin", "Lydia", "Libra" ... La disparition du cash est annoncée depuis plusieurs années, et dans certains pays (Chine, Suède) les espèces deviennent obsolètes. A-t-on encore besoin du cash ? Quels avantages, quels inconvénients ? A qui profite de la disparition des espèces, et qui en pâtit ?
▻https://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10175-30.10.2019-ITEMA_22189496-0.mp3
Création récente de la monnaie virtuelle initiée par Facebook, la Libra, lancement possible d’une crypto monnaie en Chine, création d’un service Uber Money : toutes ces nouvelles récentes laissent présager le pire pour la survie des monnaies classiques telles que nous les connaissions sous leur forme papier ou métallique. Et une même petite musique laisse entendre que pour des raisons fiscales et de lutte contre le blanchiment en particulier les gouvernements voudraient se débarrasser du cash. Pourtant il y a dix jours, la Monnaie de Paris rendait un diagnostic exactement inverse, imaginant la survie du paiement en espèces.
• Entretien avec Manuel Valente, directeur de CoinHouse, pour le Journal du Net, le 05/07/2018
• Entretien avec Jeanne Lazarus , « Les Français semblent mûrs » , Le Parisien le 23/08/2014
• Sur la Monnaie de Paris et son PDG, Marc Schwartz : Monnaie de Paris : comment le nouveau patron veut consolider le modèle économique, Les Echos, le 17/05/2019 et La Monnaie de Paris ne croit pas à la disparition du cash, Les Echos, le 21/10/2019
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]]>#Canada : Une « mine » de bitcoins parmi nous Rémi Léonard - 2018 - Le Courier de Saint-Hyacinthe
▻http://www.lecourrier.qc.ca/une-mine-de-bitcoins-parmi-nous
Quelque part à Saint-Hyacinthe, un entrepôt contient des centaines d’ordinateurs qui s’activent en permanence dans un unique but : générer des bitcoins et autres cryptomonnaies. Sans faire de bruit, la jeune entreprise Bitfarms a en effet établi chez nous une véritable installation industrielle destinée à « miner » ces monnaies virtuelles
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Comment ça marche ? Prenons l’exemple du bitcoin, la plus connue de ces devises en pleine émergence. Un peu partout sur la planète, des ordinateurs comme ceux de Bitfarms enregistrent et sécurisent continuellement les transactions du réseau en effectuant des séries de calculs mathématiques. En échange du service rendu, les « mineurs » reçoivent tout simplement des bitcoins. Ce système ne repose donc sur aucune autorité centrale, comme une banque ou un gouvernement, mais plutôt sur un réseau hautement décentralisé.
Un seul bitcoin vaut aujourd’hui environ 13 000 dollars canadiens, mais sa valeur est hautement volatile. Il y a six mois, le bitcoin tournait autour de 3 500 $ et pas plus tard que la semaine dernière il valait environ 18 000 $. L’Autorité des marchés financiers du Québec incite d’ailleurs les investisseurs à la prudence à l’égard des cryptomonnaies, jugées à risque.
Même s’il est théoriquement possible de générer des bitcoins avec un simple ordinateur, pour être rentable, les « mineurs » doivent compter sur un imposant parc informatique. Les installations de Bitfarms à Saint-Hyacinthe font 40 000 pieds carrés et totalisent 10 mégawatts (MW) de puissance, selon l’entreprise. À titre comparatif, la petite centrale hydroélectrique située près du pont Barsalou, au centre-ville de Saint-Hyacinthe, a une puissance installée de 2,55 MW.
Des activités mystérieuses… et payantes !
À propos, où se trouve donc cette « mine » maskoutaine ? Eh bien… on l’ignore ! Dans un reportage accordé à Radio-Canada, les dirigeants de Bitfarms indiquaient vouloir garder secret l’emplacement de leurs entrepôts bourrés de matériel informatique.
C’est dans un document de présentation destiné aux investisseurs que nous avons appris que l’entreprise opérait quatre « mines » en Montérégie, une à Saint-Hyacinthe et trois autres à Farnham, Cowansville et Notre-Dame-de-Stanbridge. Le document, daté de décembre 2017, avance aussi que deux nouvelles installations sont en chantier à Magog et à Saint-Jean-sur-Richelieu. Du côté de Saint-Hyacinthe, l’entreprise prévoit également doubler la capacité actuelle.
Des résultats rendus publics en début d’année nous renseignent par ailleurs sur la rentabilité de toutes ces « mines » québécoises. Entre le 6 novembre et le 31 décembre 2017, Bitfarms aurait engrangé des revenus de 10,6 millions $US, avec des frais d’exploitation de seulement 900 000 $US ! L’entreprise se targue en 2018 de réaliser des revenus de près de 300 000 $US par jour en moyenne.
Le faible coût de l’électricité et le climat nordique du Québec en font apparemment un territoire idéal pour « miner » le bitcoin, étant donné que le refroidissement des appareils informatiques compte pour une bonne partie des dépenses. Bitfarms indique par ailleurs avoir négocié une entente avantageuse pour l’achat d’électricité avec Hydro-Québec.
Aventure à l’international
Bitfarms est enregistrée au Québec depuis juillet 2017 sous le nom Backbone Hosting Solutions. Ses dirigeants sont Nicolas Bonta, Emiliano Grodzki, Pierre-Luc Quimper et Mathieu Vachon.
Tout récemment, un partenariat a été conclu avec la société israélienne Blockchain Mining, une ancienne compagnie d’extraction minière qui s’est recyclée dans les cryptomonnaies. L’entente a permis à Bitfarms d’accéder à la bourse de Tel-Aviv et la filière québécoise de l’entreprise semble déterminée à « développer agressivement » leurs activités chez nous, écrivent Mathieu Vachon et Pierre-Luc Quimper.
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]]> Des millions en cryptomonnaies inaccessibles après la mort d’un p.-d.g. AFP à Ottawa - 5 Février 2019 - Le Devoir _
▻https://www.ledevoir.com/economie/547153/des-millions-en-cryptomonnaies-inaccessibles-apres-la-mort-d-un-p-d-g
Un site canadien d’échange de cryptomonnaies a saisi la justice pour dénouer un imbroglio juridique après la mort de son jeune p.-d.g., seul à connaître le mot de passe permettant d’accéder aux centaines de millions de dollars appartenant à ses clients.
La Cour suprême de Nouvelle-Écosse devait se pencher mardi sur la requête de la société Quadriga CX, basée à Vancouver, qui demande à être placée sous le régime des faillites. Une déclaration sous serment a été déposée par la veuve de l’ancien président, Jennifer Robertson, au nom de la plateforme numérique.
Selon ce document cité mardi par plusieurs médias canadiens, Mme Robertson affirme que l’ex-patron de Quadriga, Gerald Cotten, était le seul à connaître les codes permettant d’accéder notamment à l’équivalent de 180 millions de dollars canadiens (120 millions d’euros) en cryptomonnaies appartenant à 115 000 clients.
Photo : Lars Hagberg Archives Agence France-Presse La société Quadriga CX permet d’échanger bitcoin, litecoin et etherum. La société a annoncé mi-janvier que Cotten, âgé de 30 ans, était mort des suites de complications de la maladie de Crohn lors d’un voyage humanitaire en Inde le 9 décembre.
Dans sa déclaration transmise à la justice, sa veuve explique que son mari avait emporté dans la tombe les codes d’accès à son ordinateur portable crypté avec lequel il gérait sa compagnie.
Cet ordinateur donne notamment accès aux fonds en cryptomonnaies déposés dans des « portefeuilles froids », un support numérique codé hors ligne permettant d’échapper aux pirates informatiques, explique la presse.
« Je ne connais pas le mot de passe ni les codes de récupération », a assuré Jennifer Robertson. « Malgré des recherches répétées et méticuleuses, je n’ai pu en trouver aucune trace écrite ».
La société, présentée comme la principale plateforme de cryptomonnaies au Canada, permet d’échanger bitcoin, litecoin et etherum.
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]]>Peter Thiel, l’homme qui voulait achever la démocratie
▻https://usbeketrica.com/article/peter-thiel-l-homme-qui-voulait-achever-la-democratie
Cofondateur de #PayPal et investisseur historique de #Facebook, Peter Thiel est une figure à part dans la #Silicon_Valley. #Libertarien invétéré, conseiller de Donald Trump, transhumaniste convaincu, capable de disserter sur les philosophes grecs aussi bien que sur l’avenir des #crypto-monnaies, le golden boy de la vallée veut faire de la technologie l’arme qui portera le coup fatal à la politique.
]]> L’Islande utilise plus d’énergie pour les cryptomonnaies que pour ses logements RTBF - Belga - 13 Février 2018
▻https://www.rtbf.be/info/economie/detail_l-islande-utilise-plus-d-energie-pour-les-cryptomonnaies-que-pour-ses-lo
Le « minage » de cryptomonnaies en Islande pourrait consommer plus d’énergie électrique que les logements au cours de l’année 2018, indique mardi la compagnie énergétique Hitaveita Sudurnesja Orkas sur la BBC.
Selon le porte-parole de la compagnie, Johann Snorri Sigurbergsson, les centres informatiques sont de plus en plus nombreux sur l’île. Souvent, il s’agit d’entreprises qui veulent se « verdir ». La quasi totalité de l’énergie islandaise est issue de sources renouvelables, comme la géothermie ou l’hydraulique.
▻https://www.youtube.com/watch?v=FGhP9U-3bLs
Mais ces centres sont également utilisés pour le minage. Et ces fermes de minage, des entrepôts abritant des ordinateurs puissants qui créent des Bitcoin ou d’autres cryptomonnaies en résolvant des calculs complexes, ont besoin d’énormément d’énergie. Et leur nombre grandissant pourrait mettre l’Islande dans une situation délicate, puisque sa production énergétique pourrait ne plus couvrir la demande.
D’après Johann Snorri Sigerbgsson, la consommation des fermes de minage - notamment pour refroidir les ordinateurs - sera de 840 GWh annuellement. L’ensemble des ménages islandais consomment 700 GWh sur la même période.
#énergie #géothermie #hydraulique #gaspillage #Islande #cryptomonnaies #bitcoin #économie #blockchain #crypto-monnaie
]]>Le #bitcoin fait entrevoir la libre entreprise bancaire
▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/080118/le-bitcoin-fait-entrevoir-la-libre-entreprise-bancaire
Le désordre monétaire étatique, c’est maintenant. Il est défendu par tous ceux qui voient dans les #crypto-monnaies une menace. Une technologie numérique « disruptive » pourrait-elle y apporter une solution et donner naissance à un nouvel ordre monétaire ? Interrogations.
#Economie #blockchain #Bretton_Woods #Bundesbank #Charles_Gave #Ludwig_von_Mises #Milton_Friedman #or #Satoshi_Nakamoto
]]>GEAB, le (très cher) think tank à tendance prophétique sur l’état du monde nous fait partager son auto-satisfaction :
Notre évaluation annuelle est bien évidemment centrale à ce moment de réflexion : 75 % de taux de réussite selon notre notation des « 36 tendances de l’année 2017 » que nous avions identifiées en janvier dernier. De quoi nous conforter quant à la justesse de vue de la « carte de l’année à venir » que nous avions alors posée.
Un 120ème Rugissant : Evaluation 2017, Bitcoin, Israël… Entre rêve et cauchemar | GEAB
▻http://geab.eu/un-120eme-rugissant-evaluation-2017-bitcoin-israel-entre-reve-et-cauchemar
Un autre article (en anglais) sur le #bitcoin la #crypto-monnaie qui (décidément) cristallise de nombreux fantasmes sur le devenir de l’économie mondialisée.
▻http://geab.eu/bitcoin-crypto-currencies-state-power-strategies
Crypto-currencies, of which Bitcoin is the most popular, are “virtual” currencies devoid of any physical reality, possessing an electronic form and functioning by using cryptographic methods. They are used specially as a means of payment in an innovative decentralised peer-to-peer system. With the Bitcoin and the other crypto-currencies, one can buy everything from food products, company shares, to false driving licenses and even Kalashnikovs.
]]>Je ne donne plus, je vends en Ğ1
▻https://tcrouzet.com/2017/12/15/je-ne-donne-plus-je-vends-en-g1
C’est une cryptomonnaie reposant comme Bitcoin sur la technologie blockchain, mais les similitudes s’arrêtent là. Quand vous rejoignez la Ğ1, vous touchez tous les jours un revenu de base, avec lequel vous pouvez commencer à échanger (le minage est rémunéré, mais ce n’est pas de cette façon que se fabrique la monnaie).
Au cours des parties, l’économie Ğ1 est tout aussi dynamique que l’économie argent-dette, mais les inégalités sont réduites, d’autant que cette monnaie décentralisée fonctionne sans banque. Par ailleurs, comme tous les acteurs reçoivent un revenu de base, ils peuvent l’utiliser pour accéder aux biens ou connaissances qui leur paraissent indispensables.
Je tente l’aventure.
Si certains sont déjà membres et veulent me certifier :
▻https://g1.duniter.fr/#/app/wot/9jiaxJAVWzdY3Wkq7Gh53fvgksQBqDD8ASSqSC4qUXFV/nicod_
Deux Prix Nobel d’économie alertent sur les dangers du #bitcoin
▻http://www.liberation.fr/futurs/2017/11/30/deux-prix-nobel-d-economie-alertent-sur-les-dangers-du-bitcoin_1613646
▻https://img-s-msn-com.akamaized.net/tenant/amp/entityid/BBFYrZZ.img
Alors que la devise numérique, après avoir atteint un pic à 11 000 dollars mercredi, accusait une baisse de 14,98% jeudi après-midi sous les 9 500 dollars, le français Jean Tirole et l’américain Joseph Stiglitz jugent la #crypto-monnaie socialement inutile et nuisible.
]]>« L’économie » du Bitcoin devient pire que celle des Subprimes
▻https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-173986-leconomie-du-bitcoin-devient-pire-que-celle-des-subprimes-211
Les crypto-monnaies annoncent des « sous-jacents » alors qu’on n’y trouve que l’épargne de « geeks » prêts à tout pour être dans le coup et d’un grand nombre de gogos espérant toucher le gros lot.
. . .
C’est ainsi que de proche en proche, suivant un rythme pareil aux techniques financières les plus risquées, les monnaies cryptées, le bitcoin en tête, mettent en scène, sans google glass pourtant, une économie virtuelle dans laquelle viennent s’investir, sans parfois s’en rendre compte, des centaines d’épargnants très réels. Les techniques financières les plus dangereuses sont fondées sur des promesses et des engagements sans cause ni fondements. Leur empilement en douteuses poupées russes est symptomatique de risques incontrôlés. Il est de plus en plus temps que des bornes soient mises à ce marché où en vend sans pudeur des milliers de miroirs aux alouettes.
En savoir plus sur ▻https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-173986-leconomie-du-bitcoin-devient-pire-que-celle-des-subprimes-211
]]> Creator of Bitcoin digital cash reveals identity
▻http://www.bbc.com/news/technology-36168863
Australian entrepreneur Craig Wright has publicly identified himself as Bitcoin creator Satoshi Nakamoto.
[...]
At the meeting with the BBC, Mr Wright digitally signed messages using cryptographic keys created during the early days of Bitcoin’s development. The keys are inextricably linked to blocks of bitcoins known to have been created or “mined” by Satoshi Nakamoto.
[...]
Soon after these stories were published, authorities in Australia raided the home of Mr Wright. The Australian Taxation Office said the raid was linked to a long-running investigation into tax payments rather than Bitcoin.
[...]
“I would rather not do it,” he said. “I want to work, I want to keep doing what I want to do. I don’t want money. I don’t want fame. I don’t want adoration. I just want to be left alone.”
Information à prendre avec précaution (comme à chaque fois...), mais ce coup-ci il semble en apporter la preuve. Sans compter qu’il était déjà dans la short list des inventeurs envisagés.
#Bitcoin #Blockchain #Craig_Wright #Crypto-monnaie #Cryptographie #Satoshi_Nakamoto
]]> Le bitcoin tarde à s’imposer comme monnaie d’échange
▻http://www.lesechos.fr/journal20150302/lec2_finance_et_marches/0204186098586-le-bitcoin-tarde-a-simposer-comme-monnaie-dechange-1097904.ph
Le bitcoin fait l’amère expérience de « la loi de Gresham qui veut que quand un individu a le choix entre deux monnaies, il thésaurise et garde celle qui a le plus de valeur et utilise celle qui a le moins de valeur pour régler ses dépenses. Si les individus pensent que le bitcoin a une valeur spéculative intrinsèque élevée, ils ne voudront pas l’utiliser comme monnaie », explique Noah Smith, professeur de finance à la Stony Brook University. Ainsi, moins le bitcoin aura d’intérêt en tant qu’actif spéculatif plus il aura de chances de devenir une véritable monnaie (unité de compte, moyen de paiement...). Plus sa volatilité diminuera plus les spéculateurs s’en détourneront, estimant avoir peu à gagner, ce qui facilitera son utilisation comme monnaie. Le risque de change du bitcoin diminuerait alors, facilitant et accroissant son usage chez les commerçants et marchands.
#Bitcoin #Crypto-monnaie #Monnaie #Numérique #Spéculation #Thésaurisation #Économie
]]> L’incroyable succès du bitcoin en Amérique latine
▻http://www.lesechos.fr/finance-marches/marches-financiers/0204192490641-lincroyable-succes-du-bitcoin-en-amerique-latine-1097722.php
Gadget de quelques initiés il y a encore deux ans, le bitcoin connaît un succès spectaculaire en Amérique latine ces derniers mois. Dans une région fortement touchée par l’inflation et les restrictions d’achats de devises étrangères, notamment en Argentine et au Venezuela, la devise cryptographique a en effet trouvé un terrain fertile pour son développement.
S’il n’existe pas de statistiques, tous les courtiers latinos font état du décollage du marché.
#Amérique_latine #Argentine #Bitcoin #Crypto-monnaie #Inflation #Numérique #Venezuela #Économie
]]> La Banque d’Angleterre s’intéresse au bitcoin
▻http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/02/27/la-banque-d-angleterre-s-interesse-au-bitcoin_4584570_3234.html
Baptisé « One Bank Research Agenda » (« Un programme de recherche pour la banque »), celui-ci vise à ouvrir l’institution à des sujets qui pourraient bousculer à terme sa façon de travailler, tels que les changements démographiques ou encore les monnaies numériques privées. « Leur émergence prouve qu’il est possible de transférer de la valeur de façon sécurisée sans [passer par un] tiers de confiance », explique l’institution, jugeant cette technologie prometteuse.
De fait, les paiements classiques se font aujourd’hui par le biais des banques et des intermédiaires tels que MasterCard, Visa, PayPal ou encore Western Union. Des agents dont les e-monnaies permettent de se passer. « Cela peut avoir de profondes implications pour le système financier, juge la BoE. La question de savoir si les banques centrales doivent utiliser cette technologie mérite donc d’être posée. »
#Bank_of_England #Banque #Banque_centrale #Bitcoin #Crypto-monnaie #Monnaie #Prospective #Économie
]]> Google May Introduce Bitcoin on New Payment System
▻https://www.cryptocoinsnews.com/google-may-introduce-bitcoin-new-payment-system
Google and Square announced Thursday that they were working on new payment systems that would be able to accept Bitcoin. The move is expected to heat things up in the payments market in general, and with Apple Pay, in particular.
#Banque #Bitcoin #Crypto-monnaie #Google #Paiement_électronique #Square #Économie_numérique
]]> Quel avenir pour le Bitcoin ?
▻http://le-coin-coin.fr/1472-quel-avenir-pour-le-bitcoin-3
Le fait est que, même aujourd’hui, il est difficile de bien évaluer le potentiel du bitcoin – sa valeur intrinsèque- et des cryptos en général. Est-ce que le prix actuel d’un bitcoin – autour de 370$ – est bas ou élevé ? En fait, la réponse prudente étant qu’il se trouve exactement au niveau auquel il doit être, c’est-à-dire le prix dicté par le marché. Bon, on ne réinvente pas la roue, d’accord. Mais pour bien envisager le potentiel financier du Bitcoin, reste qu’il faut se retrousser les manches, et apprendre à connaitre justement ce marché. Si une majorité des gens avaient fait un effort de recherche avant d’investir en novembre-décembre 2013, il y a fort à parier que la ‘’bulle’’ aurait été moins intense, la chute moins douloureuse, le marché se retrouvant dans des mains moins frileuses, le rendant plus difficile à manipuler.
Alors qu’en est-il vraiment ? L’auteur de ces lignes n’a pas de boule de cristal et autre gri-gri permettant de lire l’avenir ou de conjurer le sort, mais on peut à tout le moins présenter quelques pistes de réflexion.
#Banque #Bitcoin #Crypto-monnaie #Innovation #Numérique #Économie
]]> Le faircoin, une monnaie en ligne équitable au service des coopératives
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/11/28/le-faircoin-une-monnaie-en-ligne-equitable-au-service-des-cooperatives_45308
Le rêve d’une « coopérative mondiale », qui hante les militants libertaires depuis des décennies, a refait surface début 2014 en Catalogne, au sein de la Cooperativa catalana integral (CCI), un réseau regroupant des coopératives de production, des squats et des associations écologistes et altermondialistes. L’objectif, ambitieux, est de « créer un outil révolutionnaire pour construire une autre économie mondiale » en s’inspirant des principes « des communautés peer-to-peer, du coopérativisme ouvert et l’éthique des hackers ». Pour parvenir à un tel résultat fonctionnant sur le plan mondial, le fondateur du mouvement, Enric Duran, 38 ans, incite les associations alternatives d’autres régions d’Europe à se regrouper sur le modèle de la CCI, puis à se fédérer au sein d’un réseau d’échange et d’entraide baptisé Fair Coop.
[...]
Pourtant, il n’est pas question d’adopter le bitcoin, qui possède selon eux plusieurs défauts rédhibitoires. [...] Enfin, les premiers arrivés dans le système bitcoin profitent à présent de la montée du cours pour s’enrichir sans rien faire, comme des rentiers.
On reproche souvent au Bitcoin que les premiers arrivés sont favorisés (ce qui est vrai) et que c’est intolérable. Mais les difficultés de Faircoin sont un très bon exemple de la pertinence de ce mécanisme pour garantir le succès des crypto-monnaies inspirées de Bitcoin : les premiers sont aussi ceux qui d’abord prennent le plus de risque et qui ensuite entretiennent (avec certes plus ou moins de succès) sa valeur. Je dis pas que c’est le seul moyen, je dis pas non plus qu’il faut pas travailler à l’améliorer, mais force est de reconnaitre que c’est une solution très efficace.
Sinon le projet Faircoop est intéressant, mais le Faircoin semble quand même aujourd’hui assez fragile. Il serait dommage que (l’éventuel) échec de l’un entraine celui de l’autre. À suivre !
#Bitcoin #Coopérative #Crypto-monnaie #Enric_Duran #Faircoin #Faircoop #Économie
]]> La puissance de la blockchain
▻http://www.scilogs.fr/complexites/la-puissance-de-la-blockchain
Imaginez qu’au centre de la place de la Concorde à Paris, à côté de l’Obélisque on installe un très grand cahier, que librement et gratuitement, tout le monde puisse lire, sur lequel tout le monde puisse écrire, mais qui soit impossible à effacer et indestructible. Cela serait-il utile ?
#Bitcoin #Blockchain #Crypto-anarchisme #Crypto-monnaie #Innovation_disruptive #Numérique #Open_source #Pair_à_pair
]]> Des calculs complexes et stupides par milliards
▻http://www.scilogs.fr/complexites/des-calculs-complexes-et-stupides-par-milliards
On dépense donc plus d’un million d’euros en moyenne par jour pour calculer des f(x) en grand nombre dont tout le monde se moque et que personne d’ailleurs ne mémorise. Aujourd’hui, on évalue la fonction f=SHA256 plus de 240 millions de milliards de fois par seconde (voir le « taux de hash » ici) .
[…]
Plusieurs solutions pour remédier à l’absurdité gravissime du minage des Bitcoins ont été envisagées et certaines ont été mises en place. Mentionnons quatre idées.
[…]
Notre monde est de plus en plus informationnel et computationnel (excusez-moi de l’usage de ces affreux mots), et cela a comme conséquence de très étranges phénomènes qui sont parfaitement rationnels vus du côté des concepteurs de protocoles, mais qui sont aussi parfaitement et gravement absurdes si on considère la dépense de moyens et d’énergie qu’ils entraînent.
Pour revenir, approfondir et envisager des alternatives à la preuve de travail utilisée par Bitcoin. Mentionnons la preuve de travail “utile”, la preuve de mémoire, la preuve de détention (proof of stake, c’est à dire inciter à la capitalisation), ainsi que la simple réduction de la fréquence du travail de la preuve de travail (sans compter des combinaisons de tout ça).
Le choix de Bitcoin de fonctionner avec une preuve de travail consistant à inverser SHA256 apparait donc clairement comme n’étant pas le meilleur, et à mon avis même du point de vue strict d’un développeur qui doit aussi être vigilant à ce que ses algorithmes puissent tourner sur des machines peu puissantes et à l’énergie limitée comme les smartphones.
Mais bonne nouvelle, des discussions à ces propos existent.
#Algorithme #Bitcoin #Crypto-monnaie #Cryptographie #Mathématiques #Preuve_de_travail #Proof_of_stake #Proof_of_work #SHA-256 #Énergie
]]> Quelques idées plus ou moins réjouissantes sur le Bitcoin
▻http://le-coin-coin.fr/1143-quelques-idees-moins-rejouissantes-garder-lesprit-propos-bitcoins
Le Bitcoin est mal compris. On se trompe souvent à son sujet et, qu’on y soit favorable ou opposé, on ignore fréquemment certaines choses élémentaires — et faciles à vérifier — permettant de mieux en saisir la nature. Voici une petite liste de ces vérités oubliées ou négligées qu’il serait pourtant utile d’avoir toujours en mémoire. Certaines semblent servir le Bitcoin, d’autres indiquent qu’il faut rester prudent ; ce n’est pas ce qui nous importe ici : notre but est seulement de comprendre et d’aider à comprendre mieux cet étrange et formidable objet numérique révolutionnaire.
Intéressante remise à plat de quelques questions inhérentes au Bitcoin et même souvent aux crypto-monnaies jusqu’ici.
#Algorithme #Bitcoin #Crypto-monnaie #Cryptographie #Mathématiques #Numérique #Open_source #Économie
]]> Les preuves de travail [pdf]
▻http://www.lifl.fr/~delahaye/dnalor/PreuvesDeTravail.pdf
Donner à des ordinateurs des problèmes à résoudre permet de les freiner.
Cette procédure est utile pour lutter contre les attaques sur le réseau Internet, pour limiter l’envoi de spams ou pour organiser des courses entre machines.
[…]
L’idée des preuves de travail est due à Cynthia Dwork et Moni Naor qui, dès 1993, suggérèrent cette méthode pour lutter contre les spams.
[…]
Une idée étonnante a été proposée pour contrôler les effets de [l’]excès de puissance de nos machines. Il s’agit de soumettre aux ordinateurs des problèmes à résoudre, afin qu’ils calculent longuement pour trouver la solution ; alors seulement, ces ordinateurs ont le droit d’accéder à une boîte à lettres ou à un service informatique en ligne.
Ces « preuves de travail » jouent un rôle de plus en plus important. Elles sont combinées aux outils de base de la cryptographie moderne (chiffrage, signature numérique, authentification, etc.) pour concevoir des protocoles complexes réalisant des opérations considérées comme impossibles il y a peu.
[…]
Les preuves de travail les plus habituelles (dont celle utilisée par Bitcoin) consistent à faire des calculs pour résoudre un problème qui, malheureusement, est sans intérêt réel […] Ne pourrait-on pas concevoir des preuves de travail fondées sur des problèmes dont la solution serait utile ?
[…]
Sunny King (pseudonyme d’une personne ou d’un groupe) a conçu une preuve de travail aussi facile à ajuster que l’inversion partielle des fonctions de hachage cryptographiques et qui permet de trouver des chaînes de nombres premiers intéressantes : les chaînes de Cunningham.
[…]
S. King a créé en juillet 2013 sa propre cryptomonnaie, Primecoin, proche dans sa conception de Bitcoin, mais utilisant des preuves de travail qui conduisent à des chaînes de Cunningham nouvelles. Des chaînes de Cunningham records, de longueur 10, 11, 12 et 13, ont ainsi été découvertes, ce qui prouve l’efficacité de la méthode proposée et sa capacité à contribuer à la recherche mathématique.
[…]
Un autre projet en cours de développement, nommé Curecoin, tente de concevoir une preuve de travail (et une cryptomonnaie associée) qui soit beaucoup plus clairement utile. Le calcul mené par les machines devrait aider à découvrir comment se replient diverses protéines, ce qui, pour certaines d’entre elles, serait utile en médecine.
Vraiment très intéressante explication et surtout présentation des applications et perspectives du concept de preuve de travail cher aux crypto-monnaies.
Je retiens essentiellement l’existence de preuves de travail “utiles”, qui permettent d’envisager différemment l’un des problèmes majeurs des technologies qui reposent sur elles, à savoir son coût énergétique et donc écologique (sans non plus le résoudre complétement).
Et pour comprendre simplement ce qu’est une preuve de travail, il y en a une adaptée au cerveau humain et qui a un succès fou, le Sudoku : difficile à résoudre mais très facile à vérifier.
#Bitcoin #Chaîne_de_Cunningham #Crypto-monnaie #Cryptographie #Cynthia_Dwork #Mathématiques #Moni_Naor #Numérique #Preuve_de_travail #Primecoin
]]> Blockchain : La dénationalisation de la monnaie
▻http://le-coin-coin.fr/1033-blockchain-denationalisation-monnaie
Le pire cauchemar des États n’est pas que le prix du Bitcoin atteigne 1 million de Dollar. Le vrai risque c’est de voir ces bases de données décentralisées se multiplier dans le monde, de voir des milliers de devises alternatives émerger (des devises spécifiques pour des communautés, pour des associations, pour des entreprises…) toutes en concurrence les unes avec les autres. Imaginer des milliers de titres financiers (actions, obligations, assurances…) voir le jour sur internet d’une manière complètement anonyme sans passer par les rouages bureaucratiques et étatiques du monde financier actuel. La frontière entre titre financier et devise va complètement disparaître : une action pourrait être considérée comme une devise tout comme un contrat d’assurance, ou une obligation.
Il s’emporte un peu le bonhomme, mais il y a de ça.
#Banque #Bitcoin #Blockchain #Crypto-anarchisme #Crypto-monnaie #Monnaie_fiduciaire #P2P #Pair_à_pair #Économie
]]> La première « crypto-banque » arrive !
▻http://cestpasmonidee.blogspot.fr/2014/11/la-premiere-crypto-banque-arrive.html
Plus encore que la focalisation de la future banque sur les crypto-monnaies (qui pourrait tout de même en faire la première qui soit réellement transnationale), c’est l’approche retenue par ses concepteurs qui mérite l’attention ici, puisqu’il s’agira d’une des premières concrétisations d’une autre vision des services financiers, dans laquelle les méga-institutions omni-compétentes laissent la place à des plates-formes intelligentes agrégeant les solutions d’une multitude de fournisseurs spécialisés, accessibles à la demande. Que la révolution commence !
▻https://www.cryptocurrency-bank.com
#Banque #Bitcoin #Blockchain #Crypto-monnaie #Finance #Économie
]]> Petites nouvelles de l’univers bitcoin…
▻http://cestpasmonidee.blogspot.fr/2014/10/petites-nouvelles-de-lunivers-bitcoin.html
Malgré quelques tentatives de réglementation jugées excessives (notamment la « BitLicense » à New York) et en dépit d’une actualité dominée par la volatilité de son cours, la cryptomonnaie Bitcoin et son socle technologique entrent progressivement dans la culture financière globale, prêts à déferler dans le quotidien du grand public.
#Banque #Bitcoin #Crypto-monnaie #Finance #Innovation #Internet #Paiement_en_ligne #Économie
]]> NXT Cryptocurrency
▻http://nxt.org
NXT is the natural evolution of the remarkable advances offered by cryptocurrency technology. NXT started with a vision of a radical new digital economy and was designed from the ground up to create a platform to realise it. Not only does it open up new possibilities – everything from digital cash and property ownership records to smart contracts and online transfer of stocks and shares – but it addresses all of the most serious deficiencies in existing cryptocurrencies. Most altcoins aim to fix one or two of these. NXT was developed to allow a sustainable, fair and versatile platform that would benefit everyone.
]]> Pourquoi les économistes devraient être intéressés par le bitcoin
▻http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/01/06/pourquoi-les-economistes-devraient-etre-interesses-par-le-bitcoin_4343607_32
Et cela devrait tout particulièrement intéresser les économistes.
Je prendrai un exemple dans un cadre bien connu des économistes. Celui de l’incohérence temporelle. Bernard a un problème. Il veut léguer un bitcoin à sa fille Alice, née le 1er janvier 2000, qui a donc aujourd’hui presque 14 ans. Mais il veut que ce leg ne se fasse qu’à la date des 20 ans de celle-ci. Il sait aussi que sa fille, quand elle aura 16 ans, lui demandera ce bitcoin pour des dépenses qu’il juge frivoles et Bernard prévoit qu’il ne pourra pas résister à ces demandes insistantes. Enfin, Bernard sait qu’il peut décéder avant le vingtième anniversaire de sa fille. Si Bernard se limite à l’utilisation des services offerts par les banques et les notaires, il n’existe pas de solution absolument satisfaisante à son problème.
Mais Bernard connaît le bitcoin et il imagine donc le mécanisme suivant.
Ah tiens, je savais pas qu’il était possible d’horodater un échange... Mais je suis pas sûr d’avoir bien saisi non plus.
#Bitcoin #Crypto-monnaie #Héritage_(droit) #Lègue #Monnaie #Numérique #Économie
]]> « Proof of work » ou « proof of stake » ?
▻http://www.btcanalys.es/articles/16
Chaque crypto-monnaie repose sur un mécanisme de validation des transactions. Celui-ci repose soit sur le concept de Proof of Work (comme Bitcoin) soit sur le concept de Proof of Stake (comme partiellement Peercoin et totalement Nxtcoin). Nous expliquons et étudions ces deux mécanismes. Les conséquences économiques sont importantes.
#Algorithme #Bitcoin #Crypto-monnaie #NXT #Numérique #Pair_à_pair #Peer-to-peer #Peercoin #Proof_of_stake #Proof_of_work
]]> La Suisse, Mecque du bitcoin pour les start-up
▻http://www.bilan.ch/argent-finances-plus-de-redaction/bitcoin-scene-suisse-start-effervescence
La Mecque de la cryptomonnaie : voilà ce qu’est la Confédération selon le Wall Street Journal. Tandis qu’à Zoug émerge une Crypto Valley peuplée d’expatriés, les projets liés à la monnaie virtuelle pullulent dans le pays.
En effet, ça bouge pas mal...
#Banque #Bitcoin #Crypto-monnaie #Finance #Innovation #Monnaie #Numérique #Startup #Suisse #Économie
]]> Cryptomonnaie : la seconde génération
▻http://blog.spyou.org/wordpress-mu/2014/07/29/cryptomonnaie-la-seconde-generation
Voici venir la seconde génération de cryptomonnaie, NXT en tête.
De quoi s’agit-il ? Non, pas d’une Nième version du Bitcoin avec quelques ajustements. Il s’agit principalement d’une refonte du principe de base. Le bitcoin est majoritairement basé sur le « Proof-of-Work » (PoW) qui, si on schématise, donne la masse monétaire créée à ceux qui mettent les plus grosses ressources techniques à disposition du réseau. Il utilise également un peu du « Proof-of-Stake » (PoS) qui consiste à rémunérer les créateurs de blocs avec les commissions de transaction.
NXT, lui, élimine quasi totalement le PoW, permettant de constituer un réseau qui ne demande pas une énergie phénoménale. Il est en ce sens un peu plus égalitariste et carrément plus écolo, un simple Raspberry Pi suffit à « miner » (dans le monde du NXT, on dit « forger »).
#Bitcoin #Crypto-monnaie #Innovation_disruptive #Monnaie #NXT #Numérique
]]> Les altcoins anonymes
▻http://france-bitcoin.net/2014/07/les-altcoins-anonymes
[L]a transparence intrinsèque de Bitcoin laissera à l’avenir une place de choix à un altcoin ayant la capacité de garantir l’anonymat des individus l’utilisant pour effectuer leurs transactions. Quels sont donc les prétendants à ce titre ? Pour l’instant, il y a deux altcoins qui sortent du lot, auquel il convient d’ajouter un concurrent de poids qui arrivera sur le marché probablement dans les 6 mois à venir : Darkcoin (DRK), Monero (XMR) et Zerocash (c’est celui-là qui n’existe pas encore).
#Anonymat #Bitcoin #Chiffrement #Crypto-monnaie #Darkcoin #Monero #Monnaie #Numérique #Pair_à_pair #Zerocash
]]> Bitcoin : le point sur l’anonymat
▻http://france-bitcoin.net/2014/06/le-point-sur-lanonymat
Une des fausses croyances les plus répandues au sujet de Bitcoin est celle concernant son supposé anonymat. Certes, payer en bitcoins permet généralement une plus grande discrétion qu’un paiement par carte bancaire, mais on est loin de l’anonymat total vantée par la rumeur. Une adresse envoyant des bitcoins peut en effet facilement être reliée à une identité réelle (soit via l’IP de l’ordinateur qui effectue la transaction, soit via l’historique des transactions enregistrées par la blockchain). Par conséquent, Bitcoin est beaucoup moins anonyme que le cash.
[...]
Or nous venons de voir qu’il existe un gros marché que Bitcoin ne pourra pas satisfaire : celui des transactions nécessitant l’anonymat, là où la transparence doit laisser la place à l’opacité, pour le bien de tous. S’il l’on admet que les crypto-monnaies sont supérieures aux monnaies-papiers traditionnelles, la conséquence logique est qu’il y a un altcoin qui va occuper la place du roi sur cet important créneau.
Juste, didactique et très intéressant !
#Altcoin #Anonymat #Bitcoin #Crypto-monnaie #Monnaie_fiduciaire
]]> CoinPunk, les libertaires du bitcoin contre-attaquent
▻http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/05/20/coinpunk-les-libertaires-du-bitcoin-contre-attaquent_4415623_4408996.html
Il affirme en effet que l’ensemble de l’écosystème est aujourd’hui menacé par une série de défaillances techniques : « Un réseau aussi complexe a besoin d’une maintenance permanente. Il faut prendre le temps d’aller dans le fichier central, de faire des réparations, et d’améliorer la qualité du code. Or, de nos jours, ce n’est pas fait de façon satisfaisante. »
Certaines interventions sont devenues urgentes : « Les programmes en langage Javascript n’ont pas été mis à jour depuis longtemps, il y a des bugs délirants. »
#Bitcoin #Crypto-monnaie #Logiciel_libre #Monnaie #Open_source
]]>The Information Policy Case For Flat Tax And Basic Income - Falkvinge on Infopolicy
►http://falkvinge.net/2011/05/19/the-information-policy-case-for-flat-tax-and-basic-income
Richard Falkvinge fondateur du #Parti_pirate suédois et « ultrakapitalist » voit l’avenir dans la #crypto-monnaie, et en déduit « logiquement » la fin de l’impôt, son remplacement par une TVA généralisée sur la consommation ("doublée" à 25%, whatever that means…) et assortie d’un #revenu de base inconditionnel. Sur le capital, 0.
Using numbers from Finland and France, if we roughly double the VAT, we can abolish all other personal taxes. The tax pressure would be the same, as would the governmental income: it would just be based on consumption and not on income. Usually, these correlate to a high enough degree.
(...). The basic unconditional income case. Citizen’s salary.
#cdp
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