• Les Européens veulent interdire le libra, la monnaie numérique de Facebook
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/10/19/les-europeens-veulent-interdire-le-libra-la-monnaie-numerique-de-facebook_60

    Plusieurs pays européens, dont la France, se préparent à mettre leur veto au projet de monnaie virtuelle libra, dangereux pour l’économie mondiale, selon le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire. Chaque jour, le libra subit les foudres de ses opposants les plus farouches, les Etats. Le G7, le groupe des sept pays les plus industrialisés (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Italie et Japon), était déjà convenu jeudi, à Washington, que la condition sine qua non pour lancer les (...)

    #Facebook #cryptage #Libra #cryptomonnaie

  • Ce que les « révélations #Snowden » ont changé depuis 2013
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/09/13/ce-que-les-revelations-snowden-ont-change-depuis-2013_5509864_4408996.html

    Dans la nuit du 5 au 6 juin 2013, le quotidien britannique The Guardian publie sur son site Internet un document secret inédit, le premier d’une invraisemblable archive soustraite à la National Security Agency (NSA). Derrière cette fuite, la plus importante de l’histoire des services de renseignement américains, un ancien agent de la CIA et sous-traitant de la NSA : l’Américain Edward Snowden.

    Devenu le lanceur d’alerte le plus célèbre de la planète, il publie, jeudi 19 septembre, une autobiographie, Mémoires vives (Seuil). Il y détaille les raisons de son passage à l’acte : l’occasion d’un #bilan de ce que l’on appelle désormais les « révélations Snowden ».

    #internet #sécurité #cryptographie #libertés #surveillance

  • Libra : Facebook face à la raison d’Etat
    https://www.alternatives-economiques.fr/libra-facebook-face-a-raison-detat/00090064

    Les régulateurs pourraient rendre caduques les promesses du projet de monnaie privée de Facebook. Mauvais temps pour Facebook. Après l’annonce fracassante le 18 juin dernier du lancement en 2020 d’une cryptomonnaie, la libra, les problèmes s’accumulent déjà pour l’entreprise. Réactions virulentes des régulateurs Les réactions immédiates des régulateurs montrent que le projet est pris très au sérieux. Le jour-même de l’annonce, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire déclarait à l’Assemblée nationale : « (...)

    #Facebook #cryptage #domination #cryptomonnaie #Libra

  • Libra, la cryptomonnaie de Facebook : comme un air de fin du monde…
    https://jcenglebert.weebly.com/blog

    Je soutiens ici que le lancement par Facebook de la cryptomonnaie Libra devrait faire dresser les cheveux sur la tête de n’importe quelle personne saine d’esprit. Je me base pour ma démonstration sur le travail que j’ai réalisé concernant les applications et implications environnementales de la technologie blockchain, technologie sous-jacente aux cryptomonnaies. Je vais tout d’abord revenir sur les caractéristiques majeures de Facebook et des blockchains. Ensuite, je vais donner un bref aperçu de la (...)

    #cryptomonnaie #domination #Facebook #Libra #profiling

    • Le scandale Cambridge Analytica a permis de révéler que les données personnelles de 57 millions d’utilisateurs ont été vendues à l’équipe de campagne électorale de Trump. Les activités sous-jacentes à ce scandale sont moins connues. Il s’agissait de faire apparaître sur le « mur » de l’utilisateur des « posts » fantômes (ne correspondant à aucun utilisateur) qui correspondent à ses peurs les plus profondes en vue d’orienter son choix électoral.

      «En attendant les robots», Antonio Casili, Fev. 2019, Seuil
      http://www.casilli.fr/tag/en-attendant-les-robots

      La blockchain est vue par l’économiste ultra-libéral Hernando de Soto comme une manière pour les pays du Tiers-Monde d’accrocher une valeur à leur patrimoine. Il s’est montré particulièrement enthousiaste concernant les utilisations de blockchain pour créer des cadastres inexistants. Cela permet, à partir de terres utilisées à des fins de subsistances, de créer des actifs immobiliers. Ces actifs peuvent être l’objet de transactions financières ou servir de gage à des crédits, hypothécaires par exemple.

      Business-as-usual - almost a tag.

  • Ce que le Libra raconte du futur de Facebook en 5 scénarios
    https://usbeketrica.com/article/libra-raconte-futur-facebook-en-5-scenarios

    Mark Zuckerberg l’a annoncé le 18 juin : Facebook lancera en 2020 sa cryptomonnaie Libra. Un changement de stratégie qui nous a donné envie de réfléchir à ce que pourrait devenir le géant Facebook à horizon 2050. La stratégie de Facebook peut sembler intrépide. Malgré les scandales à répétition sur l’utilisation des données personnelles qui ont visé la plateforme ces dernières années, Mark Zuckerberg rehausse encore ses ambitions. Cette fois-ci, c’est une monnaie qu’il lance avec ses partenaires Uber, eBay, (...)

    #Iliad #MasterCard #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Libra #Paypal #Spotify #Uber #domination #BigData #bénéfices (...)

    ##profiling

  • Facebook ouvre l’ère des entreprises devenues puissances universelles
    https://www.lemonde.fr/emploi/article/2019/06/26/facebook-ouvre-l-ere-des-entreprises-devenues-puissances-universelles_548152

    A travers sa monnaie, il faut craindre que Facebook organise de nouveaux référentiels de ce qui est marchandisable ou pas, désigne les activités accessibles à sa monnaie et celles qui ne le sont pas, explique, dans sa chronique, le titulaire de la chaire Théorie et méthodes de la conception innovante, Armand Hatchuel. En annonçant la création d’une monnaie virtuelle pour ses 2,5 milliards de clients, Facebook a rompu avec l’un des codes majeurs des Etats modernes : le monopole de la monnaie. La (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #Libra #domination

  • Le libra de Facebook, une monnaie au service de groupes privés | Mediapart
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190619/le-libra-de-facebook-une-monnaie-au-service-de-groupes-prives?onglet=full

    Super article, basé sur des faits (la lecture du livre blanc de lancement du Libra), et qui dégonfle pas mal de baudruches. Peut être un peu trop optimiste, car négligeant les désirs politiques de Zuckerberg...

    Facebook va-t-il créer une monnaie mondiale ? Depuis l’annonce par le géant du numérique du lancement, prévu en 2020, d’une « cryptomonnaie », les fantasmes et les titres ronflants se succèdent. Mais le détail de ce lancement, rendu public le 18 juin sous forme d’un « livre blanc », ramène ce projet dans des limites plus raisonnables. Le « libra », cette nouvelle cryptomonnaie, n’aura guère les moyens de concurrencer le système monétaire international sur lequel, du reste, elle entend se fonder.

    La première est que la blockchain sera fermée. Il faudra disposer d’une permission pour y avoir accès : ce sera donc un protocole privé et non un système ouvert à tous comme l’est le bitcoin. Au lieu d’être fondé sur la collaboration de tous les participants à la blockchain, ce protocole sera centralisé par l’association Libra, qui gérera cette monnaie depuis Genève et sera constituée des partenaires de Facebook (aujourd’hui 28 entreprises dont Iliad, Uber, PayPal, Visa, MasterCard, eBay ou encore Spotify).

    Le « livre blanc » prétend vouloir passer, lorsque la technologie sera au point, à une blockchain ouverte. Le système ouvert est en effet plus lent, il nécessite une validation collective qui prend du temps. Une transaction avec le bitcoin prend environ une dizaine de minutes aujourd’hui (ce temps a déjà été fortement réduit ces dernières années). Or le libra se veut un instrument de paiement avant tout : les transactions doivent donc être instantanées.

    La deuxième différence concerne la valeur. La valeur du bitcoin ne repose sur rien d’autre que sur la confiance dans son algorithme. Celle du libra ne sera pas fixée par un « marché du libra », mais par un panier de devises dont la structure n’est pas précisée, mais qui devrait a minima comporter l’euro, le dollar des États-Unis, la livre sterling, le yen japonais et peut-être le renminbi (ou yuan) chinois. L’association Libra fixera la pondération de chaque monnaie dans ce panier et fixera ainsi la valeur du libra par rapport aux autres devises.

    C’est une méthode utilisée par exemple par le FMI pour établir la valeur de ses droits de tirage spéciaux (DTS), son unité de compte, mais aussi par la Banque centrale chinoise pour fixer le cours du yuan. La valeur du libra ne sera donc pas « fixe », mais elle évoluera en fonction des taux de change des devises du panier. La promesse de l’association est que, en choisissant des devises stables, la valeur du libra ne devrait évoluer qu’à la marge.

    Au-delà de l’aspect technique, le régime monétaire du libra est, donc, in fine, très archaïque. C’est celui de l’étalon monétaire appliqué à un panier de devises, où une banque centrale disposait de réserves exactement équivalentes à ses créances monétaires. Le libra est donc l’équivalent d’une pièce de 20 francs-or de jadis : on savait qu’il y avait dans cette pièce 5,801 grammes d’or fin. Et lorsque l’on disposait d’un billet de cent francs, on pouvait aller l’échanger aux guichets de la Banque de France contre 5 pièces de 20 francs disposant de ce poids d’or.

    Ici, l’association libra promet qu’un libra aura une valeur donnée en dollars ou en euros et qu’à tout moment, on pourra l’échanger contre sa contre-valeur parce qu’elle dispose dans ses réserves du montant exact de ses créances en libras.

    À quoi servira le libra ?

    C’est un système extrêmement sûr, mais bien peu utile dans un régime économique où l’on doit investir dans l’avenir, prendre des risques et faire face à des besoins qui croissent plus vite que l’activité économique. C’est le revers de l’absence de spéculation : il n’y a pas non plus de vraie capacité d’investissement. La lecture du livre blanc montre que l’association cherche surtout à faire du libra une réserve de valeur, ce qui en réalité traduit un biais commercial.

    En faisant du libra un instrument de portage d’actifs liquide et relativement stable, l’association veut favoriser certains usages qui correspondent à l’intérêt des membres les plus puissants de l’association : le transfert de fonds à bon marché, le portefeuille électronique et, in fine, la consommation de biens et services proposés par les partenaires du système. On comprend pourquoi Facebook a attiré des entreprises commerciales dont beaucoup sont spécialisées dans les systèmes de paiement (Visa, MasterCard, Stripe, PayPal ou Lyft).

    Des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient

    Facebook, non, a répondu Mark Zuckerberg dans un message publié ce mardi : « Chaque information partagée avec Calibra [la filiale dédiée au libra – ndlr] sera conservée séparément des informations que vous partagez sur Facebook. »

    Ou encore : « À l’exception de cas limités, Calibra ne partagera pas les informations de compte ou les données financières avec Facebook ou toute autre tierce partie sans votre consentement », affirme un communiqué. « Les infos [recueillies par Calibra – ndlr] ne seront pas utilisées pour le ciblage publicitaire sur Facebook », réaffirme à Mediapart un responsable de la communication de la compagnie pour l’Europe.

    Pour David Marcus, ancien dirigeant de PayPal qui supervise le projet pour Facebook et s’est s’exprimé sur Twitter, « une des raisons de créer Calibra est d’avoir une entité dédiée et régulée, qui s’engagera fermement à protéger la vie privée de ses clients, car nous avons entendu haut et fort que vous ne vouliez pas que les données sociales et financières soient mélangées ».

    Cette collecte et sa monétisation sont au cœur du savoir-faire de Facebook, WhatsApp, Instagram… On imagine mal que sa nouvelle filiale soit durablement privée de ces talents. Olena Havrylchyk, professeure d’économie à l’université Paris I-Panthéon Sorbonne, s’interroge : « L’histoire a montré que le modèle économique de Facebook avait déjà changé dans le passé, passant de la protection de la vie privée (lorsque Facebook n’avait pas de parts de marché) à la surveillance (après, devenu un monopole). Peut-on s’attendre à une évolution similaire dans le modèle de Libra ? »

    Facebook ayant préempté toute la communication sur le projet, sans compter son architecture technique, on ignore quel usage les autres membres de l’association feront des données récoltées. Uber pourra-t-il adresser des publicités spécifiques à ses clients utilisateurs de libra ? À leurs amis ? Des ristournes ? Visa et MasterCard pourront-ils collecter des données que jusque-là ils ne possèdent pas, comme les relations des détenteurs de cartes de crédit ?

    Que pourront faire exactement les utilisateurs ? Plafond de dépenses, de rechargement en libras, d’envoi d’argent : on n’en sait rien à ce stade. Quiconque a utilisé PayPal ou d’autres moyens de transfert d’argent sait qu’il ne suffit pas d’avoir un compte créditeur pour que ça passe.

    Le problème du libra n’est pas réellement le fait qu’une entreprise privée crée une monnaie, puisqu’il n’y aura pratiquement aucune autonomie de création monétaire. Il est d’ailleurs piquant, de ce point de vue, de voir beaucoup d’observateurs prétendre que Facebook, avec sa monnaie privée, viendrait sur le terrain d’une prérogative des États. C’est doublement faux.

    D’abord parce que Facebook ne va pas vraiment « battre monnaie », puisque chaque libra sera couvert par le montant équivalent en devises émises par les banques centrales.

    Ensuite parce que le système actuel est déjà un système de création monétaire privée. Ce sont les banques commerciales qui aujourd’hui, dans les contraintes fixées par la Banque centrale tant sur le plan monétaire (le niveau des taux) que sur celui de la régulation (les ratios de solvabilité et le montant des réserves obligatoires), émettent l’essentiel de la monnaie en circulation par la distribution de crédits. Lorsqu’une banque émet un crédit, elle n’a pas cet argent dans un coffre, comme le libra devra l’avoir : elle crée la monnaie ex nihilo.

    #Facebook #Libra #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie #Economie_monétaire

  • Quand Facebook devient un État | L’Echo
    https://www.lecho.be/entreprises/technologie/quand-facebook-devient-un-etat/10139091.html
    https://images.lecho.be/view?iid=dc:150957912&context=ONLINE&ratio=16/9&width=640&u=1561153098000

    Un bon papier qui soulève des questions... et interroge des gens connus de nos services : Ah ces prophètes, toujours les mêmes qui seront démentis dans quelques années, comme d’habitude :

    Certains n’ont pas hésité à parler de révolution, comme l’économiste Bruno Colmant, qui a réagi sur Twitter : « La création du libra, la monnaie de Facebook, est l’événement monétaire d’un demi-siècle après la fin de l’étalon-or décidé par les USA. C’est même la plus grande révolution depuis l’invention de la monnaie papier : une monnaie universelle, privée et digitale ! Facebook devient un État. Le libra est une véritable révolution monétaire et socio-politique. »

    « L’arrivée de nouvelles monnaies met à jour l’archaïsme des banques, nous dit pour sa part Laurent Alexandre, spécialiste des nouvelles technologies et de l’intelligence artificielle. Les banques se sont endormies. Il faut penser le rôle de la banque de demain. Et la question majeure est celle de la cybersécurité. Il faudra sortir des dizaines de milliards : on voit mal BNP ou ING le faire. Or, les Gafa sont capables de faire de la cybersécurité. »

    Le libertarisme (voir l’encadré) hante en effet les Gafa. Pour le comprendre, il faut se replacer dans le contexte des années 60. Dans son ouvrage, « Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture », Fred Turner a remarquablement montré comment les communautés hippies de l’époque, faute de pouvoir réaliser leurs utopies, vont progressivement, dans les années qui suivent, se réincarner à travers la constitution de communautés alternatives par le biais de la cybernétique. Une rencontre étonnante a ainsi eu lieu entre illuminés notoires, artistes, hackers, scientifiques et activistes de gauche. Cette collusion a forgé le système de pensée dans lequel évoluent aujourd’hui les représentants de la Silicon Valley. Un personnage clé comme Stewart Brand a formulé la perspective générale du mouvement : libérer l’individu en créant des réseaux qui permettent d’améliorer la vie de ceux qui y participent, sur la base d’un système autorégulé, sans l’aide de l’État. Mais cette idéologie libertaire, plutôt de gauche à la base, va entrer progressivement en lien avec un libertarisme de droite, c’est-à-dire un hyperlibéralisme : « Le libertarisme vise à tout transformer en marchandise, en objet échangeable sur un marché, précise Guillaume Vuillemey. Dès qu’un nouveau marché planétaire se crée, c’est un succès du libertarisme. » En mettant à mal nos libertés, Facebook semble néanmoins s’éloigner de toutes les formes de libertarisme : « Facebook n’est pas un rêve libertaire, estime Louis Larue, chercheur à la chaire Hoover de l’UCL. Le libertaire veut la libre concurrence, alors que Facebook fonctionne comme un monopole. C’est l’enfer des libertaires. Tout est centralisé. À mon sens, c’est une entreprise capitaliste classique qui a simplement plusieurs domaines d’activité. »

    #Facebook #Libra #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie

  • Ne plus croire Facebook sur parole
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/06/20/ne-plus-croire-facebook-sur-parole_5478897_3232.html

    Les précédentes erreurs de l’entreprise américaine doivent inciter les régulateurs financiers à surveiller de près le lancement de la monnaie électronique « libra ». « Votre argent m’intéresse », disait sans ambages la publicité d’une grande banque française. Facebook n’est pas aussi direct, mais l’intention est la même. Après s’être soucié de savoir qui nous fréquentions, où nous voyagions, ce que nous aimions manger ou pour qui nous votions, le réseau social a désormais l’ambition d’avoir un œil sur notre (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #Libra #manipulation #domination #BigData #données

  • Facebook urged to pause Libra crypto-currency project (https://www....
    https://diasp.eu/p/9233510

    Facebook urged to pause Libra crypto-currency project

    HN Discussion: https://news.ycombinator.com/item?id=20222267 Posted by headalgorithm (karma: 5935) Post stats: Points: 95 - Comments: 120 - 2019-06-19T11:01:15Z

    #HackerNews #crypto-currency #facebook #libra #pause #project #urged HackerNewsBot debug: Calculated post rank: 103 - Loop: 264 - Rank min: 100 - Author rank: 68

  • Libra : four reasons to be extremely cautious about Facebook’s new currency
    https://theconversation.com/libra-four-reasons-to-be-extremely-cautious-about-facebooks-new-cur

    Facebook has unveiled libra, a cryptocurrency that will enable users to make international payments over Messenger and other group platforms like WhatsApp – perhaps from as soon as 2020. Here’s how it looks likely to work : a user would buy libra and keep a balance of the currency in Facebook’s digital wallet, called Calibra. The user could either transfer currency to another user – say a family member in another country – or purchase items or services from a participating online retailer. (...)

    #Facebook #Libra #cryptomonnaie #domination #BigData

  • Facebook crée son propre écosystème d’affaires avec sa cryptomonnaie Libra
    https://theconversation.com/facebook-cree-son-propre-ecosysteme-daffaires-avec-sa-cryptomonnaie

    Face aux attaques internes (leadership, gouvernance, etc.) et menaces externes (concurrence, technologie, etc.), l’emblématique patron de Facebook a choisi de réagir de façon à la fois spectaculaire, technologique et massive. Mark Zuckerberg et ses 27 partenaires prestigieux – Uber, Visa, Booking.com, eBay, Spotify, PayPal ou Iliad (Xavier Niel) ont en effet commencé à communiquer depuis quelques semaines sur la naissance imminente de la fondation Suisse Libra Association qui aura la charge de (...)

    #Iliad #MasterCard #Stripe #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #Instagram #WhatsApp #WeChat #eBay #Facebook #booking.com #Libra #LinkedIn #Paypal #Pinterest #Spotify #Twitch #Twitter #Uber #YouTube #domination #BigData #bénéfices #marketing (...)

    ##profiling ##Kiva ##MercadoLibre ##Branch

  • Facebook’s Libra: Three things we don’t know about the digital currency - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/613801/facebooks-libra-three-things-we-dont-know-about-the-digital-curren

    If it’s not the most high-profile cryptocurrency-related event ever, Facebook’s launch of a test network for its new digital currency, called Libra coin, has been the most hyped. It is also polarizing among cryptocurrency enthusiasts. Some think it’s good for the crypto industry; others dislike the fact that a big tech company appears to be co-opting a technology that was supposed to help people avoid big tech companies. Still others say it’s not even a real cryptocurrency.

    Libra’s network won’t work that way. Instead, running a “validator node” requires permission. To begin with, Facebook has signed up dozens of firms—including Mastercard, Visa, PayPal, Uber, Lyft, Vodafone, Spotify, eBay, and popular Argentine e-commerce company MercadoLibre—to participate in the network that will validate transactions. Each of these “founding members” has invested around $10 million in the project.

    That obviously runs counter to the pro-decentralization ideology popular among cryptocurrency enthusiasts.

    Today’s public blockchains use too much energy and process transactions too slowly to elicit mainstream demand. This is probably the biggest obstacle to adoption of cryptocurrencies. It’s why Facebook chose not to use proof of work, the process that Bitcoin uses to reach agreement among the blockchain network’s nodes, citing its “poor performance and high energy (and environmental) costs.”

    If the high-powered roster of financial firms and technology companies beat Ethereum to the punch on proof of stake, it would be ironic: public blockchains are supposed to disrupt Big Tech, not the other way around.

    On top of all that, how serious is Facebook is about achieving decentralization and becoming a “real” cryptocurrency? Perhaps the fact it has made a big song and dance about being decentralized is simply a way of offsetting the firm’s appalling record on data privacy. But will users demand that the currency be more decentralized—or will many simply not care?

    #Crypto_monnaie #Monnaie_numérique #Libra #Facebook

  • Facebook : Libra, une monnaie pas si révolutionnaire
    https://www.alternatives-economiques.fr/facebook-libra-une-monnaie-revolutionnaire/00089666

    En 2020, les utilisateurs de Facebook pourront régler des transactions passant par le réseau social grâce à sa monnaie, le libra. C’est ce que devrait annoncer ce mardi 18 juin Mark Zuckerberg, le patron de Facebook. Uber, Spotify, Booking, eBay... sont de la partie : il devrait aussi être possible de payer chez eux en libra. Visa, Paypal, Mastercard en profiteront pour proposer des services financiers. Beaucoup d’éléments restent encore incertains quant aux conditions de lancement et d’utilisation (...)

    #MasterCard #Visa #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Uber #Spotify #Paypal #Libra (...)

    ##domination

  • De Visa à Uber ou Free, Facebook obtient des alliés de poids pour sa cryptomonnaie
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/06/14/de-visa-a-uber-ou-free-facebook-obtient-des-allies-de-poids-pour-sa-cryptomo

    L’entreprise de Mark Zuckerberg doit annoncer mardi les détails de « libra », une « monnaie » qui sera lancée avec une vingtaine de partenaires mi-2020. Facebook a réussi à convaincre des entreprises importantes de tenter l’aventure de sa cryptomonnaie, « libra ». Parmi celles-ci figurent deux poids lourds du paiement – le système de carte bancaire Visa-Mastercard et le service en ligne PayPal –, mais aussi les transporteurs Uber et Lyft ou encore des fournisseurs de service comme le site de réservation (...)

    #Free #Visa #Facebook #WhatsApp #Messenger #domination #cryptomonnaie

  • Facebook Plans Outside Foundation to Govern Cryptocurrency
    https://www.theinformation.com/articles/facebook-plans-outside-foundation-to-govern-cryptocurrency

    Facebook plans to cede control of its forthcoming cryptocurrency to outside backers, a move meant to encourage trust in the digital payment system and reassure financial regulators, The Information has learned. In recent months, the social network has courted dozens of financial institutions and other tech companies to join an independent foundation that will contribute capital and help govern the digital currency, according to people briefed on the plan. The digital token, which Facebook (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #domination

  • Draft bill proposes 10-year prison term for dealing in cryptocurrency - Business News
    https://www.indiatoday.in/business/story/draft-bill-proposes-10-year-prison-term-for-dealing-in-cryptocurrency-154

    HIGHLIGHTS

    A draft bill has proposed 10-year jail term for people dealing in cryptocurrencies in India
    Besides making it completely illegal, the bill makes holding of cryptos a non-bailable offence
    A cryptocurrency is a virtual currency that uses cryptography for security and is generally based on blockchain technology

    Holding, selling or dealing in cryptocurrencies such as Bitcoin could soon land you in jail for 10 years.

    The “Banning of Cryptocurrency and Regulation of Official Digital Currency Bill 2019” draft has proposed 10-year prison sentence for persons who "mine, generate, hold, sell, transfer, dispose, issue or deal in cryptocurrencies.

    Besides making it completely illegal, the bill makes holding of cryptos a non-bailable offence.

    A cryptocurrency is a digital or virtual currency that uses cryptography for security and is generally based on blockchain technology, a distributed ledger enforced by a disparate network of computers. Bitcoin is the most popular cryptocurrency in the world.

    Given the high chances of cryptocurrencies being misused for money laundering, various government bodies such as the Income Tax Department and the Central Board of Indirect Taxes and Customs (CBIC) had endorsed banning of cryptocurrencies.

    The draft bill for banning cryptocurrency has been in the works for some time with Economic Affairs Secretary Subhash Chandra Garg leading the exercise.
    While strict law would soon be in place to deal with people indulging in trade of cryptocurrency, India is likely to have its own digital currency.

    “A decision on the launch of Digital Rupee would be taken after consulting the Reserve Bank of India (RBI),” said an official.

    #Monnaie_numérique #Cryptomonnaie #Bitcoin #Inde

  • Als deutscher Code-Knacker im Zweiten Weltkrieg | Telepolis
    https://www.heise.de/tp/features/Als-deutscher-Code-Knacker-im-Zweiten-Weltkrieg-3436447.html

    23. September 2004 Klaus Schmeh

    Erstmals hat sich ein Zeuge gemeldet, der am Knacken der US-Verschlüsselungsmaschine M-209 beteiligt gewesen war

    Dass deutsche Dechiffrier-Spezialisten im Zweiten Weltkrieg Geheimcodes der Alliierten knackten, war selbst Experten bis vor einigen Jahren nicht bekannt. Verschiedene Quellen belegen jedoch, dass es den Deutschen seinerzeit beispielsweise gelungen ist, die US-Verschlüsselungsmaschine M-209 zu entschlüsseln. Der auf Kryptologie-Themen spezialisierte Telepolis-Mitarbeiter Klaus Schmeh hat nun erstmals einen Zeitzeugen aufgespürt, der an der Entzifferung von M-209-Nachrichten beteiligt war.

    Eine der faszinierendsten Episoden der Technikgeschichte spielte sich im Zweiten Weltkrieg ab. Damals knackten britische Spezialisten auf dem Landgut Bletchley Park bei London unter strengster Geheimhaltung die berühmte deutsche Verschlüsselungsmaschine Enigma, wobei sie Tausende von Menschen und für die damalige Zeit hochmoderne Datenverarbeitungsmaschinen einsetzten.
    Die Verschlüsselungsmaschine M-209 wurde im Zweiten Weltkrieg von der US-Armee eingesetzt. Die Deutschen schafften es, sie zu knacken.

    Die Deutschen, so lautete bis vor wenigen Jahren die Lehrmeinung, unterschätzten im Gegensatz zu den Briten die Möglichkeiten der Dechiffrier-Kunst und konnten daher abgefangene Funksprüche der Kriegsgegner nicht entschlüsseln. Erst seit einigen Jahren ist bekannt, dass diese politisch korrekte Einschätzung völlig falsch ist. So berichtete beispielsweise der ehemalige Präsident des Bundesamts für Sicherheit in der Informationstechnik (BSI), Dr. Otto Leiberich, dass die Deutschen im Zweiten Weltkrieg die US-Verschlüsselungsmaschine M-209 knackten, was durchaus kein einfaches Unterfangen war.1 Weitere belegte Dechiffrier-Erfolge belegen, dass die deutschen Code-Knacker damals sogar zu den besten der Welt zählten.

    Die Ausführungen von Otto Leiberich dienten auch dem Autor dieses Artikels als wichtige Informationsquelle, als er sein vor kurzem erschienenes Buch "Die Welt der geheimen Zeichen - Die faszinierende Geschichte der Verschlüsselung"2 verfasste. Ein Auszug dieses Buchs, der bei Telepolis vorab veröffentlicht wurde (Hitlers letzte Maschinen), führte zu einer kleinen Sensation: Beim Autor meldete sich ein 84-jährigen Mann aus Frankfurt, der berichtete, im Zweiten Weltkrieg am Knacken der besagten US-Verschlüsselungsmaschine M-209 beteiligt gewesen zu sein. Nachdem es bis dahin nur Berichte aus zweiter Hand über deutsche Entzifferer im Zweiten Weltkrieg gegeben hatte, war nun erstmals ein Augenzeugenbericht verfügbar, der zudem einige völlig neue Aspekte ans Licht brachte. Mit dem vorliegenden Artikel werden die Erinnerungen dieses Zeitzeugen erstmals veröffentlicht.
    Von der Russlandfront zur Dechiffrier-Schule

    Der Mann, der sich beim Autor meldete, heißt Reinold Weber und wurde 1920 in Österreich geboren. Sein Vater war ein Ingenieur, der sich in der Stahlbranche einen Namen gemacht hatte. Nachdem die Weltwirtschaftskrise Deutschland erfasst hatte, wanderte der Vater mit seinen beiden Kindern 1930 in die USA aus, um bei der A. O. Smith Corporation in Milwaukee (Bundesstaat Wisconsin) eine neue Stelle anzutreten. Die USA waren in den Dreißigern jedoch alles andere als ein Land der unbegrenzten Möglichkeiten und so zog es die kleine Familie nach über einem Jahr Arbeitslosendasein des Vaters Ende 1936 zurück nach Deutschland, wo dieser eine Anstellung in Düsseldorf gefunden hatte.

    Am 1. April 1941 - der Zweite Weltkrieg war längst im Gange - wurde Weber zur Wehrmacht eingezogen. Er nahm in einer Nachrichtenkompanie am Russlandfeldzug teil, hatte dabei jedoch Glück im Unglück: Seine ausgezeichneten Englischkenntnisse führten dazu, dass er im Dezember 1942 von der Russlandfront an die vergleichsweise ungefährliche Nachrichtendolmetscher-Schule in Meißen versetzt wurde, wo er als Dolmetscher ausgebildet werden sollte.

    An seinem neuen Einsatzort erschlich sich Weber schon bald die Teilnahme an einem Intelligenztest, der für den gerade einmal 22-jährigen Neuling noch gar nicht vorgesehen war. Mit derartigen Intelligenztests suchte die Wehrmacht damals nach Talenten, die man für das Entziffern von Verschlüsselungs-Codes der Kriegsgegner einsetzen konnte. Weber bestand als Drittbester und wurde daraufhin trotz seines noch jungen Alters im Januar 1943 nach Berlin geschickt, um eine sechsmonatige Ausbildung als Entzifferer anzutreten. Obwohl er beim Lösen der gestellten Aufgaben zu den Langsamsten gehörte und mehrfach kurz vor dem Rausschmiss stand, schloss er die Ausbildung im August 1943 schließlich erfolgreich ab.

    Im darauffolgenden Monat wurde Weber zusammen mit zwei Kameraden, die wie er im Mannschaftsgrad standen, über Paris zur Dechiffrier-Einheit FNAST 5 nach Louveciennes bei Paris versetzt. Dort wurden abgefangene Nachrichten der Alliierten entschlüsselt. Als die drei jungen Soldaten an einem Samstag in Paris ankamen, beschlossen sie, sich erst am darauffolgenden Montag bei ihrer Dienststelle zu melden, um zuvor noch etwas von Paris zu sehen. Anschließend erklommen sie den Eiffelturm, schauten sich eine Truppenparade des französischen Regierungschefs Petain auf den Champs Elysees an und besuchten eine Revue am Place Pigalle.

    Das verbummelte Wochenende in Paris kam den drei angehenden Dechiffrieren teuer zu stehen. Denn kaum waren sie bei ihrer neuen Dienststelle eingetroffen, wurden sie auch schon zum Kompanie-Chef zitiert. Dieser wertete das verspätete Eintreffen der Neulinge als unerlaubtes Entfernen von der Truppe und verdonnerte sie prompt zu einem dreitägigen „geschärften Arrest“ im berüchtigten Zuchthaus Frains bei Paris.

    Es kam sogar noch schlimmer. Wegen ihres Vergehens sollten die drei zu einer Einheit an der Kanalküste versetzt werden, wo die gefährlichste Aufgabe wartete, die es damals für Dechiffrierer gab: das Lauschen an feindlichen Telefonleitungen mit Hilfe einer Induktionsspule im Niemandsland an der Front. Schon in der Ausbildung hatten die angehenden Entzifferer Gedächtnisübungen absolvieren müssen, um sich bei einer solchen Aktion alle aufgenommenen Nachrichten merken zu können - für den Fall, dass sie ein solches Himmelfahrtskommando überhaupt überlebten.
    Der TELWA-Code

    Die beiden Kameraden Webers traf tatsächlich das Schicksal der Versetzung an die Front. Er hörte nie wieder von ihnen. Er selbst konnte sich jedoch durch sein Geschick beim Knacken feindlicher Codes aus seiner misslichen Lage retten. Um die Zeit bis zur geplanten Abschiebung zu überbrücken, übergab ihm sein vorgesetzter Unteroffizier alte, früher abgefangene US-Funksprüche, die im so genannten TELWA-Code verschlüsselt waren. Bis dahin hatte keiner der deutschen Dechiffrier-Experten diesen Code lösen können, und daher traute dies offensichtlich auch Weber niemand zu. So machte sich dieser ohne große Hoffnung an die Arbeit.

    Die im TELWA-Code verschlüsselten Nachrichten bestanden aus Buchstaben in Fünfergruppen, wobei die Funksprüche immer mit der Buchstabenkombination TELWA anfingen - daher auch der Name. Obwohl die Deutschen derartige Nachrichten schon seit Ende der dreißiger Jahre abgehört hatten, standen in der Pariser Einheit nur etwa 1.000 Fünfergruppen zur Verfügung. Die bereits von seinen Kollegen geäußerte Vermutung, dass es sich beim TELWA-Code um einen Ersetzungs-Code handelte, bei dem jeweils fünf Buchstaben eine gleichbleibende Bedeutung hatten, konnte Weber bestätigen. Um eine Lösung zustande zu bringen, hatte er die Idee, die einzelnen Buchstaben der Fünfergruppen getrennt vertikal auf schmalen Streifen untereinander aufzuschreiben. Damit konnte er innerhalb jeder Gruppe die Reihen der Buchstaben untereinander verschieben.

    Durch farbige Kennzeichnungen und Vergleiche machte Weber eine interessante Entdeckung: Die einzelnen Buchstaben in einer Fünfergruppe waren voneinander abhängig. Ihm gelang es sogar, eine mathematische Formel zu erstellen, mit der sich diese Abhängigkeit, die vermutlich zur Entdeckung von Übertragungsfehlern diente, ausdrücken ließ. Die Bedeutung der jeweiligen Buchstabengruppe war damit jedoch natürlich noch nicht bekannt. Doch auch hier kam Weber voran: Durch die Untersuchung von Wiederholungen, beispielsweise am Anfang und am Ende von Funksprüchen, konnten er erste Fünf-Buchstaben-Kombinationen identifizieren.

    Je mehr Weber herausfand, desto einfacher wurde es für ihn, weitere Buchstabengruppen ihrer Bedeutung zuzuordnen. So stand beispielsweise die Fünfergruppe RYKFI für eine öffnende Klammer, während UZUSP das Wort „signed“ bedeutete. Nachdem Weber bereits nach einer Woche erste Nachrichtenfragmente entziffern konnte, gelang es ihm mit einigen dazu abgestellten Kollegen, nach und nach etwa 75 Prozent des TELWA-Codes zu knacken. Mit seiner mathematischen Formel und angefertigten Tabellen ließen sich sogar falsch abgehörte Buchstaben korrigieren.

    Sein Erfolg bei der TELWA-Dechiffrierung bewahrte Weber vor dem Fronteinsatz. Außerdem brachte ihm seine Leistung großen Respekt bei den FNAST-Kollegen ein, die sich unter anderem aus Versicherungsmathematikern, Geschäftsleuten, Finanzexperten, Lehrern und Mathematik-Professoren rekrutierten. Weber war mit seinen 23 Jahren der Benjamin unter den meist 10 bis 15 Jahre älteren Kameraden. Im Gegensatz zu diesen empfand er sein Leben als Entzifferer fernab der Front als „Himmel auf Erden“.

    Diese unterschiedliche Wahrnehmung lag daran, dass viele der damaligen Dechiffrierer ursprünglich in Sondereinheiten gedient und im Rang eines Leutnants oder Majors gestanden hatten. Die hohen Dienstgrade hatten einige Privilegien mit sich gebracht. Solche Sondereinheiten waren jedoch für alliierte Spione vergleichsweise leicht auszumachen, weshalb sie nach Kriegsbeginn abgeschafft wurden. Die Entzifferer wurden daraufhin mit deutlich niedrigeren Dienstgraden versehen und zur Tarnung in andere Kompanien eingeschleust. So kam es, dass die FNAST-Dechiffrierer neben ihrer kriegswichtigen Analysearbeit zusätzlich in der Kompanie Kartoffeln schälen und Wache schieben mussten. Da sie trotzdem immer noch besser gestellt waren als die meisten ihrer Kameraden, denen sie natürlich nichts von ihren Spezialaufgaben verraten durften, hatten die Entzifferer obendrein unter zahlreichen Schikanen durch die Vorgesetzten zu leiden. Kein Wunder, dass die oftmals hochgebildeten und aus bürgerlichen Verhältnissen stammenden Dechiffrierer nicht besonders glücklich über ihre Lage waren.
    Reinold Weber ist heute 84 Jahre alt und lebt in Frankfurt. Über seine Arbeit als Dechiffrierer im Zweiten Weltkrieg hat er lange geschwiegen, da sein Wissen im Kalten Krieg sowohl für die USA als auch für die Sowjetunion hätte interessant sein können.

    Trotz aller Geheimhaltung, die auch zwischen den Abteilungen seiner Dechiffriereinheit praktiziert wurde, erfuhr Weber, dass es FNAST-Außenstellen außer bei Paris auch in Oslo, Warschau, Saloniki und Tunis gab. Nicht wissen konnte er dagegen, dass die FNAST nur eine von sieben deutschen Einrichtungen war, die im Zweiten Weltkrieg Codes der Kriegsgegner knackte. Einen Nachrichtenaustausch gab es lediglich per Kurier mit dem Oberkommando des Heeres (OKH) in Berlin. Zu den wenigen Informationen, die Weber dennoch erreichten, gehörte, dass einige Kollegen aus der FNAST-Einheit in Tunis beim Rückzug des Afrika-Korps unter General Rommel in Gefangenschaft gerieten. Offensichtlich waren die Alliierten derart über die deutschen Entschlüsselungserfolge beeindruckt, dass sie daraufhin einige ihrer Verschlüsselungsverfahren umstellten. Nach diesem Vorfall verfügte das OKH in Berlin mit Strafandrohung, dass Dechiffrier-Experten mindestens 50 Kilometer Abstand von der Front halten mussten.

    Ende 1943 wurde Weber von Paris nach Euskirchen bei Köln versetzt, um dort Entzifferer aus Marine, Heer und Luftwaffe für die weitere Entschlüsselung des TELWA-Codes auszubilden. Die Schikanen durch Vorgesetzte, die nichts diesen Arbeiten wussten, hielten auch dort an. So wurde es Weber beispielsweise verboten, eine Postkarte auf Englisch zu schreiben und seinen Lieblingssport Baseball zu betreiben.

    Da die deutschen Horchkompanien mit speziellen Empfängern Morsesignale aus der ganzen Welt abfangen konnten, gab es für die Dechiffrierer reichlich Material zu verarbeiten. Etwa 20 Prozent der entschlüsselten Nachrichten hatten taktische Bedeutung und wurden daher weitergeleitet. Dazu gehörten auch die meisten entschlüsselten TELWA Funksprüche. Wie sich herausstellte, enthielten die Funksprüche vor allem Personaldaten wie Ausbildungsstand, Registriernummer oder Dienststelle von US-Soldaten. Diese Informationen waren zwar nicht kriegsentscheidend, lieferten den Deutschen jedoch interessante Informationen, wenn ein Name aus den Funksprüchen mit dem eines amerikanischen Kriegsgefangenen übereinstimmte.
    Die Dechiffrierung der M-209

    Im April 1944 ging es für Weber wieder zurück zur FNAST 5, die sich inzwischen von Louveciennes ins nahe gelegene St. Germain umquartiert hatte. Er bemerkte, dass er inzwischen ein recht angesehener Dechiffrierer geworden war und dass in seiner Einheit auch Funksprüche geknackt wurden, die von den Alliierten mit Hilfe eines Verschlüsselungsgeräts erzeugt worden waren. Man bezeichnete diese auch als Maschinenschlüssel. Weber schaffte es, in den Kreis derer aufgenommen zu werden, die sich mit der Entzifferung von Maschinenschlüsseln befassten.

    Bei der besagten Verschlüsselungsmaschine handelte es sich um die beim US-Militär weit verbreitete M-209, deren Funktionsprinzip einige Jahre zuvor von dem schwedischen Unternehmer und Erfinder Boris Hagelin entwickelt worden war. Amerikanische Soldaten nannten die M-209 meist einfach „Hag“. Boris Hagelin, der später die heute noch existierende Firma Crypto AG in der Schweiz gründete, hatte die erste Maschine dieser Baureihe - sie trug den Namen C-36 - im Jahr 1936 an das französische Militär verkauft. Kurz nach Kriegsbeginn fand er in den US-Streitkräften einen weiteren Großabnehmer, der die Funktionsweise des Geräts leicht abänderte und es anschließend M-209 taufte. Die Produktion fand in Lizenz in den USA statt. Insgesamt 140.000 Exemplare der M-209 wurden während des Kriegs hergestellt, wodurch diese die meistgebaute unter den öffentlich bekannten Verschlüsselungsmaschinen wurde.
    Die M-209 im Einsatz. Insgesamt wurden etwa 140.000 Exemplare dieses Typs gebaut, wodurch es ein entsprechend hohes Aufkommen an damit verschlüsselten Funksprüchen gab.

    Die Funktionsweise der M-209 war den deutschen Dechiffrierern damals schon bekannt, da die Wehrmacht während der Badoglio-Revolte in Italien einige Exemplare erbeutet hatte. Um einen Funkspruch entschlüsseln zu können, benötigten die Code-Knacker jedoch die jeweilige Einstellung der Maschine (den Schlüssel), die nicht ohne Weiteres zu ermitteln war, da es immerhin 101.405.950 unterschiedliche Kombinationen gab. Ein Teil des Schlüssels (dieser wurde durch auf einen Stangenkorb steckbare Reiter eingegeben) wurde meist einen ganzen Tag lang beibehalten, während sich der restliche Teil mit jedem Funkspruch änderte.

    Als Weber zu den M-209-Dechiffrierern stieß, wussten diese bereits, wie sie schon bei Kenntnis einiger Teilinformationen über den Schlüssel (relative Einstellung) die jeweilige Nachricht entschlüsseln konnten. Konnten sie noch mehr über den Schlüssel herausfinden (absolute Einstellung), dann war es sogar möglich, alle Nachrichten mit gleicher Reiter-Konstellation - und damit meist alle Funksprüche eines gesamten Tages - ohne größere Mühe zu entschlüsseln.

    Mit etwa 80 weiteren, speziell geschulten Entzifferern bemühte sich Weber zunächst, die relative Einstellung der Maschinenschlüssel zu knacken. Dies gelang teilweise mehrmals pro Woche, manchmal aber auch nur einmal in 14 Tagen. Nur eine kleine Gruppe von fünf bis sechs Personen kümmerte sich währenddessen um die Lösung der absoluten Einstellung. Da Weber sich schon während seiner Berufsausbildung an der Fachhochschule und später im Beruf besonders für Mathematik interessiert hatte, wollte er unbedingt in diesen engeren Kreis von Mathematikern gelangen, was ihm nach einigem Bemühen auch gelang

    Im Team, das die absolute Einstellung knacken sollte, waren außer Weber ein Grazer Mathematik-Professor, ein Physiker und ein Versicherungsmathematiker aktiv. Über seine Aufgabe berichtet Weber: „Es war eine schweißtreibende Arbeit, wo höhere Mathematik mit Vektorenanteilen mit Richtungswerten alleine nicht ausreichten, sodass wir noch Farbelemente als weitere Ebene hinzunehmen mussten“. Es gelang ihm, das verwendete Dechiffrier-Verfahren zu vereinfachen, wobei er eine Schwachstelle der M-209 ausnutzte. Diese bestand darin, dass die Maschine nur das Verschlüsseln von Buchstaben vorsah, weshalb Zahlen immer in Wörtern ausgedrückt werden mussten. Da sehr viele Zahlen in den meist 1.000 bis 4.000 Buchstaben langen Nachrichten vorkamen, konnten die Entzifferer gezielt danach suchen und im Erfolgsfall nach einer bestimmten mathematischen Formel aus der relativen die absolute Einstellung berechnen.

    Die von Weber und seinen Kollegen entschlüsselten M-209-Nachrichten enthielten teilweise brisante Informationen. So fanden die Dechiffrierer immer wieder Hinweise auf bevorstehende Bombardierungen deutscher Städte, die meist etwa sechs bis acht Wochen vor der Durchführung in Funksprüchen angekündigt wurden. Welche Gegenmaßnahmen das deutsche Militär mit Hilfe dieser Informationen traf, erfuhr Weber jedoch nie. Dennoch waren diese offenkundig bedeutenden Ankündigungen für ihn und seine Kameraden Ansporn genug, die schwierige Entzifferungsarbeit mit entsprechender Motivation anzugehen, obwohl sie von ihren Vorgesetzten in der Kompanie nach wie vor nach Kräften schikaniert wurden.
    Die Dechiffrier-Maschine

    Im April 1944, etwa zwei Monate vor der Invasion der Alliierten in der Normandie, kam Weber auf die Idee, eine Maschine zu bauen, die einen Teil der mühsamen Entzifferungs-Berechnungen automatisieren sollte. Diese Maschine sollte zum einen aus vier mit Schlitzen versehenen Bakelitwalzen bestehen, in die gestanzte Blechschablonen eingesteckt werden konnten, um damit die relative Einstellung nachzubilden. Zum anderen war eine Relais-Schaltung mit einer darüber befindlichen Platte vorgesehen, auf der mit Buchstaben gekennzeichnete Taschenlampenbirnen eingesteckt werden konnten. Die mehrfach schaltbaren Relais sollten untereinander und mit den elektrischen Birnen innerhalb eines Kastens verlötet werden.

    Webers Vorgesetzte stuften diese Idee als sinnvoll ein und schickten ihn zum OKH nach Berlin, wo sich verschiedene Spezialisten seine Vorstellungen anhörten. Auch diese fällten ein positives Urteil und ließen Weber anschließend bei der Firma Hollerith, die später in IBM aufging, vorsprechen, da diese in der Lage schien, eine solche Maschine zu bauen. Weber durfte jedoch den genauen Zweck des geplanten Geräts nicht verraten, was sicherlich dazu beitrug, dass die Mitarbeiter von Hollerith die reichlich unmotivierte Aussage machten, der Bau einer solchen Maschine dauere etwa zwei Jahre. Enttäuscht kehrte Weber nach St. Germain zurück.

    Dort wurde es so langsam brenzlig, denn die Alliierten rückten in Richtung Paris vor. Als vermeldet wurde, dass die Invasoren die Stadt Chartres - etwa 130 Kilometer vor Paris - erreicht hatten, erhielten die Mitglieder der Dechiffrier-Einheit den Befehl, ihre Unterkunft aufzugeben und sich auf eigene Faust nach Graach an der Mosel durchzuschlagen. Weber tat sich daraufhin mit einem Kollegen, einem Wäschefabrikanten aus Chemnitz, zusammen, um gemeinsam den nicht ungefährlichen Weg in Angriff zu nehmen. In einem alten französischen Militärfahrzeug mit einen Küchen- LKW inklusive Anhänger im Schlepptau bewältigten sie die Strecke in 60 Stunden ohne Schlaf. Auch die meisten anderen Dechiffrierer schafften es nach Graach. Von dort ging es geordnet nach Krofdorf am Gleiberg bei Gießen, wo in einer ehemaligen Zigarrenfabrik an der Hauptstraße die neue Arbeitsstätte eingerichtet wurde. Die Horchposten stellten ihre Geräte auf dem Turm am Gleiberg auf. Nach etwa einer Woche war der Dienstbetrieb wieder hergestellt. Ihre Wohnstätten fanden die Dechiffrierer bei einigen Bewohnern des Dorfs.

    Weber konnte sich nun wieder um seine Dechiffrier-Arbeit kümmern, wobei ihm die Idee einer Entzifferungs-Maschine nicht aus dem Kopf ging. In Krofdorf gab es ein feinmechanisches Unternehmen namens Dönges, in dem es neben verschiedenen Bearbeitungsgeräten auch Vorräte an Silberstahl und Messing gab. Weber sah eine Chance, damit seine Maschine zu realisieren. Sein Vorgesetzter war einverstanden und erlaubte ihm, zusammen mit seinem Kollegen an drei Tagen pro Woche das gewünschte Entzifferungs-Gerät zu bauen. Obwohl beide mit der Verarbeitung von Metall keine Erfahrung hatten, gelang es ihnen in mühevoller Arbeit, die vier Walzen mit je 26 Schlitzen sowie gestanzte Blechplatten herzustellen. Außerdem mussten scheinbar endlos viele Kabelverbindungen verlötet werden.. Die erforderlichen Relais, die je von einer bis zu 256 Verbindungen aufbauen können mussten, konnten die beiden Dechiffrierer aus der Umgebung von Düsseldorf und Dresden beschaffen. So schufen sie schließlich eine Maschine, die aus zwei Kästen bestand: einem in der Größe eines Schreibtisches, der die Relais und die vier Drehwalzen enthielt, sowie einem weiteren Kasten mit 80, 80 und 40 cm Kantenlänge. Letzterer Kasten enthielt 26 mal 16 Birnenfassungen, mit denen sich mit Hilfe von Birnen die Buchstaben der relativen Einstellung nachbilden ließen.

    Ende August war es nach zahllosen Überstunden schließlich geschafft. Die Maschine war funktionsbereit. Aus heutiger Sicht schrieben Weber und sein Kollege damit ein interessantes Stück Technikgeschichte, denn ihre Konstruktion hatte mit ihrer Binärlogik bereits viele Gemeinsamkeiten mit einem Computer. Dabei war der Computer zu diesem Zeitpunkt noch gar nicht erfunden, wenn man von der ebenfalls zur Dechiffrierung entwickelten britischen Maschine Colossus absieht, die etwa zur gleichen Zeit entstand.

    Mitte September konnte Weber erstmals die Stärke seines Computer-Vorläufers unter Beweis stellen: Während eines Nachtdiensts ermittelte er mit seiner Maschine - ohne die Unterstützung seiner Kollegen - eine absolute Einstellung innerhalb von etwa sieben Stunden. Ohne Maschinenhilfe wäre ein Dreierteam mindestens eine Woche damit beschäftigt gewesen. Der entschlüsselte Funkspruch enthielt zahlreiche Details über einen geplanten Bombenangriff der Alliierten, der in etwa sechs Wochen stattfinden sollte, und war damit von höchster Brisanz. Welche Informationen die anderen Nachrichten dieses Tages enthielten, die mit der absoluten Einstellung nun ebenfalls zu entschlüsseln waren, erfuhr Weber nicht.
    Das Ende der Dechiffrier-Einheit

    Anfang 1945, als sich die US-Armee Krofdorf näherte, erhielt die Dechiffriereinheit erneut den Befehl zum Umquartieren. Nun ging es in das 600 Kilometer entfernte Bad Reichenhall in Bayern, wohin sich die Entzifferer ein weiteres Mal auf eigene Faust durchschlagen mussten. Während einige Kameraden nun desertierten, was natürlich bei Todesstrafe verboten war, entschloss sich Weber, den Fußmarsch nach Bad Reichenhall zusammen mit seinem Vorgesetzten, einem Versicherungsmathematiker aus München, in Angriff zu nehmen. Trotz eines gültigen Marschbefehls war dies ein gefährliches Unterfangen, denn in den letzten Kriegsmonaten wurden viele Soldaten, die sich nicht bei ihrer Truppe aufhielten, von anderen Einheiten zwangsverpflichtet oder gar von der SS als vermeintliche Deserteure erschossen.

    Die beiden Dechiffrierer schlugen sich bis München durch, wo der Versicherungsmathematiker schließlich ebenfalls desertierte und zu seiner dort lebenden Familie zurückkehrte. So ereichte Weber nach einem 27-tägigen Marsch schließlich alleine Bad Reichenhall. Doch dort verhielt er sich einen Moment lang unvorsichtig und wurde prompt von einer SS-Einheit verhaftet, die ihn in eine Kaserne nach Salzburg brachte. Zum Glück ergab eine Überprüfung seiner Personalien, dass Weber in einer legalen Mission unterwegs war und es daher keinen Grund gab, ihn weiter festzuhalten. Da die FNAST 5 inzwischen in Salzburg untergekommen war, konnte Weber noch am gleichen Tag zu seiner Einheit zurück, wo sich bereits etwa 30 Kollegen eingefunden hatten. Die etwa 180 Nachrichtenhelferinnen, die ebenfalls zur Einheit gehörten, verblieben währenddessen in der Jägerkaserne in Bad Reichenhall.

    Zu Webers großer Überraschung hatte auch seine Dechiffrier-Maschine den Weg nach Salzburg gefunden. Es fehlte jedoch die notwendige Funktechnik, um alliierte Funksprüche abzufangen, und so erwies sich das Gerät nun als nutzlos. Sein Vorgesetzter befahl daher, die Maschine zu vernichten. Mit Pickel, Beil, Hammer und Stahlsäge verschrottete Weber daraufhin das Gerät, dessen Konstruktion ihn mehrere Monate lang beschäftigt hatte. Damit verschwand ein historisch äußerst interessanter Computer-Vorläufer wieder von der Bildfläche. Bis heute wird dieses Gerät in keiner Literaturquelle zur Computer-Geschichte erwähnt.

    Im März 1945 gab die Dechiffrier-Einheit schließlich ihre Stellung in Salzburg auf, woraufhin sich Weber in die Berge absetzte. Dort verbrachte er einige Zeit bei einer Bauernfamilie. Ein falscher amerikanischer Entlassungsschein bewahrte ihn vor der Gefangenschaft, die für ihn hätte gefährlich werden können. Denn hätte ein Kriegsgegner herausbekommen, dass er als Dechiffrierer für Maschinenschlüssel aktiv gewesen war, wäre er möglicherweise zu Zwangsdiensten in die USA verpflichtet oder gar in die Sowjetunion verschleppt worden. Seine Kenntnisse hätten im Kalten Krieg vor allem für den sowjetischen Geheimdienst ausgesprochen interessant sein können. Ihre Vergangenheit als Entzifferer behielten offensichtlich auch alle anderen Mitglieder der FNAST-Einheiten für sich, und so gab es bis zur Veröffentlichung dieses Artikels in der gesamten Literatur zur Verschlüsselungsgeschichte keinen einzigen Augenzeugenbericht darüber.

    Mit einigen seiner Kollegen blieb Weber bis zu deren Tod in Kontakt. Fast alle haben nach dem Krieg in der Wirtschaft Karriere gemacht. Weber selbst ist auch im Alter von 84 Jahren heute noch in Frankfurt beruflich aktiv. Im Jahr 2000 schrieb er seine Erinnerungen an seine Zeit als Dechiffrierer auf, jedoch nur, um sie seinen Kindern und Enkeln zugänglich zu machen. Erst die Telepolis-Veröffentlichung eines Kapitels aus dem besagten Buch „Die Welt der geheimen Zeichen - Die faszinierende Geschichte der Verschlüsselung“ (Hitlers letzte Maschinen) brachte Weber dazu, sein bisheriges Schweigen zu beenden. Er gab seine Niederschrift aus dem Jahre 2000 an den Autor des Buchs weiter, der daraufhin diesen Artikel verfasste.

    Zweifellos ist mit dem Bericht Webers ein spannendes Stück Technikgeschichte für die Nachwelt erhalten worden, denn vieles aus den Erinnerungen Webers war Verschlüsselungs-Historikern bisher nicht bekannt. So taucht beispielsweise der TELWA-Code in der einschlägigen Literatur genauso wenig auf wie die Maschine zum Knacken von M-209-Nachrichten. Auch die Tatsache, dass mit der M-209 Informationen über Bombenangriffe einige Wochen vor deren Durchführung verschlüsselt wurden, war bisher nicht bekannt, denn für solche strategischen Funksprüche verwendeten die Amerikaner normalerweise ein anderes Gerät (die SIGABA).

    Obwohl Reinold Weber über interessante Erlebnisse berichten kann, ist er weit davon entfernt, das Geschehene zu verklären. Im Gegenteil: In seinen Lebenserinnerungen, die er für seine Kinder und Enkel verfasst hat, schreibt der ehemalige Entzifferungs-Experte: „Warum ich das in kurzen Abschnitten für Euch niederschreibe? Weil ihr einmal darüber nachdenken und vergleichen solltet, in welch himmlischer und sorgenfreier Geborgenheit ihr aufwachsen durftet.“

    Von Klaus Schmeh ist vor kurzem erschienen: Die Welt der geheimen Zeichen. Die faszinierende Geschichte der Verschlüsselung. Mit einem Geleitwort von Prof. Dr. C. Paar. Verlag W3L. 368 Seiten mit 64 Fotos, davon 10 Farbfotos. 29,90 Euro.

    Hitlers letzte Maschinen
    https://www.heise.de/tp/features/Hitlers-letzte-Maschinen-3435701.html

    #histoire #guerre #Allemagne #USA #cryptographie

  • Facebook plans to launch ’GlobalCoin’ currency in 2020
    https://www.bbc.com/news/business-48383460

    Facebook is finalising plans to launch its own crypto-currency next year. It is planning to set up a digital payments system in about a dozen countries by the first quarter of 2020. The social media giant wants to start testing its crypto-currency, which has been referred to internally as GlobalCoin, by the end of this year. Facebook is expected to outline plans in more detail this summer, and has already spoken to Bank of England governor Mark Carney. Founder Mark Zuckerberg met Mr (...)

    #cryptomonnaie #Facebook #domination

  • Facebook lancera sans doute sa propre cryptomonnaie, le GlobalCoin, en 2020
    https://www.numerama.com/tech/519624-facebook-lancera-sans-doute-sa-propre-cryptomonnaie-le-globalcoin-e

    Selon des informations obtenues par la BBC, Facebook devrait lancer sa cryptomonnaie en 2020. Elle s’appellerait le GlobalCoin. Quand Facebook lorgne sur le commerce en ligne, il ne fait pas les choses à moitié. D’ici 2020, le réseau social va lancer sa propre cryptomonnaie, dans une douzaine de pays. Elle s’appellera le GlobalCoin, selon des informations publiées par la BBC ce vendredi 24 mai.

    De premiers tests en 2019 ? L’objectif est d’effectuer les premiers tests de la cryptomonnaie fin 2019, (...)

    #Facebook #domination #cryptomonnaie

    //c0.lestechnophiles.com/www.numerama.com/content/uploads/2018/04/mark-zuckerberg-slider.jpg

  • RFC 8546 : The Wire Image of a Network Protocol

    Ce #RFC de l’#IAB décrit l’important concept de vue depuis le réseau (wire image), une abstraction servant à modéliser ce que voit une entité qui ne participe pas à un protocole, mais peut en observer les effets. Cela peut être un routeur, un boitier de surveillance, etc. Le concept n’était pas nécessaire autrefois, où tout le trafic était en clair. Maintenant qu’une grande partie est (heureusement) chiffrée, il est important d’étudier ce qui reste visible à ces entités extérieures.

    https://www.bortzmeyer.org/8546.html

    #neutralité_réseau #vie_privée #protocoles_de_communication

  • Towards More Programmable and Robust Security Tokens: Five Protocols that Should be Part of…
    https://hackernoon.com/towards-more-programmable-and-robust-security-tokens-five-protocols-that

    Towards More Programmable and Robust Security Tokens— Five Protocols that Should be Part of Security Token PlatformsThe market for security token platforms seems to be getting crowder every weeks. In a market with only a handful of actively traded security tokens, we already have over 50 platforms that are promising to be the future of crypto-securities. On paper, most of those platforms look incredibly similar which contributes to the noise in the market. To differentiate signal from noise, security token platforms must evolve their technical capabilities in order to support more sophisticated offerings. And we don’t need to start from scratch; the #ethereum ecosystem offers a rich set of protocols that can easily improve the feature-set of the next generation security token platforms. (...)

    #security-token #blockchain #cryptocurrency #invector-labs

  • #blockchain Week NYC 2019 Guide[Upcoming Event Highlights]
    https://hackernoon.com/blockchain-week-nyc-2019-guide-upcoming-event-highlights-96290e153ad3?so

    Blockchain Week NYC 2019 Guide [Upcoming Event Highlights]Welcome to the second NYC Blockchain Week! Last year we got tremendous positive feedback for compiling this guide, so here we are again helping you navigate 2019 NYC Blockchain Week.New York City Blockchain Week runs from May 10th to May 18th with hundreds of events drawing people from around the world to share in the exploration of new innovations. It is a rare opportunity to meet global blockchain leaders with dozens of events being held to this aim.With so many events happening at once, which ones are worth checking out? Where do you go? Who do you see? We’ve compiled the best events and sorted them by price.If you can’t swing 2k for the Consensus, there are many other great options. Or if you’re visiting for Consensus, but would (...)

    #cryptocurrency #new-york #blockchain-week #blockchain-week-nyc