• The Queen’s Platinum Jubilee 2022
    https://platinumjubilee.gov.uk

    In 2022, Her Majesty The Queen will become the first British Monarch to celebrate a Platinum Jubilee after 70 years of service.

    Get involved in celebrating Her Majesty’s historic reign in the run up to the Platinum Jubilee Central Weekend which takes place from 2nd to 5th June.

    https://www.youtube.com/watch?v=yqrAPOZxgzU


    un très beau gif posté par moi même pour les 68 ans de service de mémère
    https://seenthis.net/messages/856626
    https://www.youtube.com/watch?v=Qa1wdUkeuvE

  • La #Suisse sous couverture - Agents infiltrés (1/5)

    En 1955, les #services_de_renseignement américains et l’entreprise suisse #Crypto_AG concluent un accord confidentiel qui permettra l’#espionnage des communications de 130 pays. Durant des décennies, un pan de l’industrie helvétique sera impliqué dans ces activités, malgré la « #neutralité » du pays et avec la bénédiction du Conseil fédéral.

    https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-agents-infiltres-15?id=10868165

    #histoire #USA #guerre_froide #Crypto #William_Friedman #cryptographie #technologie #espions #renseignements #Boris_Hagelin #neutralité #espionnage #affaire_Buehler #Hans_Buehler #Nora_Makabee #BND #Siemens #Loèches #Valais

    ping @simplicissimus @etraces

    • La Suisse sous couverture - Les grandes oreilles de la Confédération (2/5)

      A #Loèche, #Swisscom, le Département fédéral de la défense et des entreprises privées proches de la #National_Security_Agency (#NSA) gèrent un parc d’antennes pour les communications satellitaires entre la Suisse et l’étranger. En l’an 2000, ce site stratégique devient la porte d’entrée privilégiée de Washington pour espionner les communications dans le monde entier.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-les-grandes-oreilles-de-la-confederation-25-?id=108681
      #neutralité #télécommunication #satellites #ONYX #services_de_renseignement #USA #Etats-Unis #Jean-Paul_Rouiller #signalhorn #Treasure_Map serveurs_clandestins #déni

    • La Suisse sous couverture - #Genève, nid d’espions (3/5)

      Des salons de l’#ONU truffés de micros, des antennes camouflées dans les missions diplomatiques et des agents russes ou américains infiltrés partout... A Genève, où Edward Snowden travaillait pour la #CIA, le petit monde du renseignement grenouille discrètement et les espions chassent en meute.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-geneve-nid-despions-35?id=10868210
      #Snowden #Nations_Unies #Special_collection_service (#SCS) #organisations_internationales #système_d'écoute #site_C #Wiesbaden #Fort_Meade #NSA #Russie

    • La Suisse sous couverture - Le secret bunker suisse (4/5)

      Nos données numériques personnelles sont une mine d’or d’informations qu’il faut protéger des regards indiscrets. En Suisse, une législation déficiente – elle date de 1992 – permet à des puissances étrangères d’accéder à ces données. Dans le dossier du « big data », c’est la souveraineté de la Confédération qui est en jeu.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-le-secret-bunker-suisse-45?id=10868236

      #big_data #données_numériques #coffre-fort_numérique #réduit_national_4.0 #stockage #RGPD #protection_des_données #cloud_act

    • La Suisse sous couverture - Crypto révolution (5/5)

      D’un côté, Google et consorts contrôlent les canaux et le stockage de l’information. De l’autre, une puissante mouvance de hackers tente de rendre cette information publique, en piratant des systèmes informatiques. L’enjeu de cette guerre ? La défense de libertés fondamentales, aussi bien sur internet que dans la société.

      https://www.rts.ch/play/tv/la-suisse-sous-couverture/video/la-suisse-sous-couverture-crypto-revolution-55?id=10868255

      #activisme #résistance #hackers #Digital_Gesellschaft #droits_humains #chaos_computer #club #surveillance #économie_de_la_surveillance

    • La CIA s’est servie d’une entreprise suisse pour espionner plus de 100 pays

      Une affaire d’espionnage secoue la Suisse : pendant des décennies, les services de renseignement américains et allemands ont secrètement utilisé une entreprise suisse et sa technologie pour espionner de nombreux États. Que savaient les autorités suisses à ce sujet ?

      Vue de l’extérieur, la firme zougoise Crypto AG était une entreprise suisse sérieuse, spécialisée dans la technologie de pointe. Elle fabriquait un produit peu utilisé par la plupart des gens : des appareils de chiffrement. Ses clients étaient des États ainsi que leurs armées et services secrets voulant rendre leurs communications secrètes illisibles, c’est-à-dire les crypter ou les chiffrer.

      Cependant, Crypto AG n’était une entreprise normale et respectant les valeurs ayant cours en Suisse que côté pile. Côté face, elle possédait une structure cryptique – au sens propre – car ses propriétaires agissant dans l’ombre étaient, à partir de 1970, l’agence centrale de renseignement américaine (CIA) et le service de renseignement allemand (BND). Les deux services secrets firent en sorte que la technologie de cryptage « swiss made », réputée infaillible, soit munie d’une porte dérobée.

      Grâce à ces manipulations ciblées, la CIA et le BND ont pu espionner 148 États – ennemis ou alliés – pendant des dizaines d’années. Tous ces pays avait investi des millions pour obtenir la technologie de ce pays neutre et digne de confiance qu’était la Suisse. Autrement dit, ils ont payé eux-mêmes les appareils qui les ont trahis.

      Les faits ont été dévoilés à la mi-février par la télévision suisse alémanique SRF, la chaîne allemande ZDF et le « Washington Post » à l’issue d’une enquête commune. L’équipe de recherche s’est appuyée sur des dossiers de la CIA qu’on lui a fait passer en douce, et sur des entretiens avec d’anciens employés de Crypto AG et leurs proches.

      L’ampleur du « coup du siècle des services secrets » – ce sont les termes de la CIA – paraît énorme. L’affaire met en lumière les tensions de l’époque de la guerre froide. La complicité de la CIA et du BND éclaire d’un nouveau jour bon nombre d’événements historiques de ces 50 dernières années. Jusqu’où faut-il réécrire l’histoire mondiale récente ? Seule une étude approfondie des CryptoLeaks le déterminera. L’histoire suisse doit-elle, elle aussi, être révisée ? C’est la question qui fait tant de vagues aussi en Suisse. On se demande ce que les autorités suisses savaient, et si l’État suisse était au courant des agissements des services de renseignement étrangers sur son sol et les a couverts.
      « Le programme a dépassé les espérances les plus folles »

      Dans quelle mesure les activités d’espionnage de la CIA et du BND, s’appuyant sur la technologie truquée de l’entreprise Crypto AG, ont-elles abouti ? Le succès des espions est toujours un échec pour ceux qui en sont victimes : la réponse dépend donc du point de vue adopté. Celui de la CIA, d’après les sources publiées, est le suivant : « Cela a été le projet d’espionnage à la fois le plus productif et le plus long depuis la Seconde Guerre mondiale. » Ainsi, entre 80 et 90 % des communications secrètes de l’Iran ont pu être déchiffrées. D’après la source de la CIA, « le programme a dépassé les espérances les plus folles de ses inventeurs. »

      Ces écoutes ont permis aux États-Unis d’influencer l’issue de tous les grands conflits ou presque à leur profit. Un exemple : selon l’état actuel des sources, le coup d’État militaire au Chili (1973) a été soutenu par les États-Unis sur la base des écoutes. En même temps, la CIA et le BND ont épié les conversations du régime militaire alors parvenu au pouvoir et n’ont donc jamais rien ignoré des méthodes de persécution et de torture qui coûtèrent la vie à 30 000 opposants au régime.
      Beaucoup de questions, premières réponses

      Les révélations sur Crypto AG font beaucoup de vagues, mais il n’est pas encore possible d’en tirer des conclusions définitives. Les grandes questions qu’elles posent esquissent cependant la portée de l’affaire pour la Suisse.

      Pourquoi la CIA et le BND ont-ils utilisé la couverture discrète d’une entreprise suisse ?

      Crypto AG a été fondée en 1952 par le cryptologue suédois Boris Hagelin. Il n’a pas implanté son entreprise en Suisse par hasard : « Lorsqu’on travaillait dans un domaine aussi sensible que la cryptographie, il valait mieux rechercher la protection d’un pays neutre mais faisant preuve de peu de scrupules moraux », indique la source de la CIA. Boris Hagelin a vendu son entreprise en 1970 à une société-écran de la CIA et du BND.

      Ce sont la CIA et le BND qui se sont livrés à ces activités d’espionnage. Pourquoi l’affaire est-elle perçue en Suisse comme un scandale « suisse » ?

      Du point de vue suisse, il est déterminant de savoir si les autorités du pays connaissaient les intentions, le modus operandi et la portée des activités d’espionnage, et si elles les ont tolérées, voire même favorisées.

      Des employés de Crypto AG soupçonnèrent que des puissances étrangères s’étaient immiscées dans les rouages de leur parfaite technique. Ils en ont informé la justice suisse. Que s’est-il passé ensuite ?

      Il est prouvé qu’au milieu des années 1970, un employé a informé des instances officielles que les appareils vendus étaient « dotés de générateurs de clés manipulés permettant aux services d’espionnage allemands et américains de déchiffrer les messages » : c’est ce que dit une fiche des Archives fédérales du 24 juillet 1977. Le problème est que les dossiers relatifs à cette fiche ont en partie disparu…

      La police fédérale suisse a enquêté sur la base de ces accusations, mais sans résultat. Des témoins de l’époque affirment aujourd’hui que les interrogatoires menés par la police ne l’ont été que « pour la forme »...

      Toute l’affaire ne sent-elle pas un peu le réchauffé de l’époque de la guerre froide ?

      Il est vrai que les premières accusations ont été lancées au milieu des années 1970. Et que Hans Bühler, ancien employé de Crypto, a accusé ouvertement son entreprise de collaborer avec des services secrets étrangers (Hans Bühler, soupçonné d’espionnage, a passé neuf mois dans une geôle iranienne, et a publié ses accusations dans un livre paru en 1994). Mais toute la portée de l’affaire n’éclate au grand jour que maintenant, car des preuves ont été fournies par des sources de la CIA. De plus, les activités d’espionnage ont perduré jusqu’en 2018, soit bien après la fin de la guerre froide. Le BND s’en est toutefois retiré en 1993 déjà, à la suite de la réunification de l’Allemagne.

      Dans l’état actuel des connaissances, que savait le Conseil fédéral de ces activités d’espionnage ?

      C’est une question clé. On ne sait pas encore dans quelle mesure des conseillers fédéraux étaient au courant de ces activités. Les documents de la CIA impliquent l’ancien conseiller fédéral Kaspar Villiger (PLR). Aujourd’hui âgé de 79 ans, ce dernier nie vigoureusement avoir été informé des détails.

      Pourquoi est-ce si important de savoir si le Conseil fédéral était au courant des activités d’espionnage ?

      S’il devait s’avérer que le Conseil fédéral, ou certains conseillers fédéraux, connaissaient ces activités d’espionnage, des questions sérieuses se posent : le gouvernement les a-t-il tolérées ? Ou les a-t-il couvertes ? A-t-il accepté que la neutralité suisse serve de leurre ? Et si la Suisse a été complice, a fermé les yeux ou couvert les faits : comment justifier l’espionnage contre des pays belligérants lorsqu’on affiche une politique de neutralité ?

      Comment le Conseil fédéral et le Parlement réagissent-ils à l’affaire ?

      La présidente de la Confédération, Simonetta Sommaruga, a dit très tôt que le gouvernement allait réunir tous les faits et était favorable à une enquête. La ministre de la Défense Viola Amherd a confirmé que son département abrite des documents laissant penser que son prédécesseur Kaspar Villiger était au courant. Désormais, l’affaire fait l’objet d’une enquête de la Délégation des Commissions de gestion des chambres fédérales. Cet organe de contrôle entend déterminer ce que la Suisse savait de ces activités d’espionnage, et si les renseignements suisses en ont même éventuellement même.

      L’affaire des CryptoLeaks met-elle en péril le rôle actuel de la Suisse ?

      La Suisse joue un rôle d’intermédiaire dans de nombreux conflits. Elle propose même ses « bons offices » dans les régions du monde sous tension. Ainsi, elle joue actuellement le « rôle du facteur » entre les États-Unis et l’Iran. La Suisse ne peut endosser ce rôle diplomatique que si sa crédibilité d’État neutre est intacte. C’est précisément cette crédibilité qui est en jeu maintenant. Ajoutons que l’Iran a été particulièrement touché par l’espionnage permis par la technologie « swiss made » truquée et vendue par le représentant de Crypto, Hans Bühler.

      Ce sont les États-Unis et l’Allemagne qui ont espionné d’autres pays. Pourquoi la réputation de la Suisse en souffrirait-elle ?

      L’avenir dira si la perception extérieure de la Suisse a subi des dommages. Mais la perception intérieure de la Suisse est de toute façon affectée : l’image de pays neutre à laquelle tiennent tant de Suisses est endommagée. L’affaire des CryptoLeaks pourrait jeter un discrédit total sur la neutralité suisse (voir aussi le commentaire de notre invité, p. 15).

      Crédibilité, confiance, image de soi : ce sont des facteurs subjectifs. L’affaire menace-t-elle aussi des intérêts économiques tangibles ?

      La Suisse possède une branche technologique en plein essor, qui dépend aussi de l’image de marque du pays. De plus, la Suisse souhaite se vendre comme une « place numérique propre », et promeut une initiative internationale dans le domaine de l’éthique. L’affaire des #CryptoLeaks tombe très mal.

      https://www.revue.ch/fr/editions/2020/03/detail/news/detail/News/la-cia-sest-servie-dune-entreprise-suisse-pour-espionner-plus-de-100-pays

  • Facebook’s Libra: Three things we don’t know about the digital currency - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/613801/facebooks-libra-three-things-we-dont-know-about-the-digital-curren

    If it’s not the most high-profile cryptocurrency-related event ever, Facebook’s launch of a test network for its new digital currency, called Libra coin, has been the most hyped. It is also polarizing among cryptocurrency enthusiasts. Some think it’s good for the crypto industry; others dislike the fact that a big tech company appears to be co-opting a technology that was supposed to help people avoid big tech companies. Still others say it’s not even a real cryptocurrency.

    Libra’s network won’t work that way. Instead, running a “validator node” requires permission. To begin with, Facebook has signed up dozens of firms—including Mastercard, Visa, PayPal, Uber, Lyft, Vodafone, Spotify, eBay, and popular Argentine e-commerce company MercadoLibre—to participate in the network that will validate transactions. Each of these “founding members” has invested around $10 million in the project.

    That obviously runs counter to the pro-decentralization ideology popular among cryptocurrency enthusiasts.

    Today’s public blockchains use too much energy and process transactions too slowly to elicit mainstream demand. This is probably the biggest obstacle to adoption of cryptocurrencies. It’s why Facebook chose not to use proof of work, the process that Bitcoin uses to reach agreement among the blockchain network’s nodes, citing its “poor performance and high energy (and environmental) costs.”

    If the high-powered roster of financial firms and technology companies beat Ethereum to the punch on proof of stake, it would be ironic: public blockchains are supposed to disrupt Big Tech, not the other way around.

    On top of all that, how serious is Facebook is about achieving decentralization and becoming a “real” cryptocurrency? Perhaps the fact it has made a big song and dance about being decentralized is simply a way of offsetting the firm’s appalling record on data privacy. But will users demand that the currency be more decentralized—or will many simply not care?

    #Crypto_monnaie #Monnaie_numérique #Libra #Facebook

  • Sex, drugs, and bitcoin:
    How much illegal activity is financed through cryptocurrencies?
    https://poseidon01.ssrn.com/delivery.php?ID=499084127102075115068066101107028028036054068006069

    Abstract
    Cryptocurrencies are among the largest unregulated markets in the world. We find that approximately one-quarter of bitcoin users and one-half of bitcoin transactions are associated with illegal activity. Around $72 billion of illegal activity per year involves bitcoin, which is close to the scale of the US and European markets for illegal drugs. The illegal share of bitcoin activity declines with mainstream interest in bitcoin and with the emergence of more opaque cryptocurrencies. The techniques developed in this paper have applications in cryptocurrency #surveillance. Our findings suggest that cryptocurrencies are transforming the way black markets operate by enabling “black e-commerce”.

    #crypto_monnaie

  • Bitcoin and Ethereum have a hidden power structure, and it’s just been revealed - MIT Technology Review
    https://www.technologyreview.com/s/610018/bitcoin-and-ethereum-have-a-hidden-power-structure-and-its-just-be

    Perhaps the most striking finding is that the process of verifying transactions and securing a blockchain ledger against attack, called mining, is not actually that decentralized in either system. Bitcoin and Ethereum are open blockchain systems, meaning that in principle anyone can be a miner (see “What Bitcoin Is, and Why It Matters”). But organizations have formed to pool mining resources. The researchers found that the top four Bitcoin-mining operations had more than 53 percent of the system’s average mining capacity, measured on a weekly basis. Mining for Ethereum was even more consolidated: three miners accounted for 61 percent of the system’s average weekly capacity.

    They also found that 56 percent of Bitcoin’s “nodes,” the computers around the world running its software (not all of them engage in mining), are located in data centers, versus 28 percent for Ethereum. That might indicate that Bitcoin is more corporatized, Gün Sirer says. Overall, the group concluded that neither network “has strictly better properties than the other.”

    Discussions of decentralization may seem esoteric, but anyone interested in the future of cryptocurrency should try to follow along. Part of the vision sold by the technology’s biggest promoters is that it can help solve problems of financial inequality created in part by traditional, centralized institutions. If digital currency allows wealth and power to pool in the hands of a few, that’s not so revolutionary.

    #Bitcoin #Etherum #Crypto_monnaies #Pouvoir #Monnaie_numérique

  • La France veut lancer une initiative internationale contre le chiffrement

    http://www.nextinpact.com/news/100969-la-france-veut-lancer-initiative-internationale-contre-chiffremen

    Au nom de la lutte contre le terrorisme, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé hier que la France souhaitait impulser une initiative européenne à l’encontre du chiffrement des communications. L’exécutif espère que ses propositions auront un écho mondial. Il mise pour cela sur le soutien de l’Allemagne.

    c’est la fête...

    • Limiter le chiffrement - Oui, et alors ?
      http://edgard.fdn.fr/blog/index.php?post/2016/08/12/Limiter-le-chiffrement

      J’ai pas envie de développer, vous savez sans doute déjà tout ça :

      le chiffrement est nécessaire, pour avoir un tout petit peu de vie privée, c’est un pilier des démocraties occidentales, c’est une caractéristique des régimes totalitaires que de nier aux gens le droit d’avoir une correspondance privée ;
      le chiffrement qui ne soit pas de bout en bout ne sert à rien, sauf à faire un peu de décoration (l’espionnage a lieu sur les serveurs, si ce n’est pas chiffré de bout en bout, alors c’est en clair sur les serveurs) ;
      interdire le chiffrement ne gênera pas les terroristes qui voudront s’en servir (ils font terrorisme comme crime, l’amende pour utilisation d’une application interdite, ils s’en branlent) ;
      ça donnera à quiconque sait installer une application de chiffrement de bout en bout un très haut taux de reconnaissance sociale dans les milieux qui rejettent la société actuelle, un peu comme le premier passage par la prison est valorisé chez les délinquants, dans l’idée ;
      la supposée interdiction sera donc simplement un accord avec les entreprises qui développent les applications les plus connues pour que ces applications stockent des copies accessibles aux policiers, du coup tous les espions du monde pourront tranquillement faire de l’espionnage économique[1].

      (...)

      Toute analyse qui s’appuie sur l’idée que nos ministres sont idiots est invalide. Toute analyse qui s’appuie sur le fait qu’ils soient incompétents, ou mal informés, cherche à leur trouver une excuse qui n’est pas la bonne.

    • http://arstechnica.co.uk/tech-policy/2016/08/encryption-france-global-call-messaging-apps

      If the French government does now want backdoors added, it will be against the advice of its own National Agency for Information System Security. In a letter published by French newspaper Libération, the agency’s director general Guillaume Poupard warned the government against demanding crypto backdoors. As Next Inpact reported, he said this would have a “disastrous effect” on computer security.

    • Ce qui montre l’incapacité et le manque de compréhension du cryptage, vouloir stocker et décrypter des infos qui seraient codées quand il n’y a pas la moindre politique pour que les sites français qui utilisent facebook google et consorts sans jamais en comprendre les conséquences, livrant à la NSA et à l’économie américaine des informations en continu sur leurs utilisateurs. Le chiffrement c’est aussi une nécessité économique mais ces crétins ne l’ont pas encore compris. Ça me rappelle quand les américains avaient un contrat de gestion des ordinateurs de la CEE, la blague.

    • Encryption under fire in Europe as France and Germany call for decrypt law

      https://techcrunch.com/2016/08/24/encryption-under-fire-in-europe-as-france-and-germany-call-for-decrypt-l

      While referencing the importance of encryption for lawful activity such as protecting financial transactions, Cazeneuve singled out certain comms apps that make use of end-to-end encryption as problematic for security services — name-checking the Telegram app specifically. (Although it’s worth noting that Telegram only uses e2e encryption for a ‘secret chats’ feature; other messaging apps, such as WhatsApp, have rolled out e2e encryption as the default for all comms.)

      “What we are saying, however, is that exchanges more systematic operated via some applications, such as Telegram, must be able, as part of court proceedings — and I stress this — to be identified and used as evidence by the investigation and magistrates services,” said Cazeneuve

      He noted that some Internet companies are co-operating with European security services that request access to their user data but flagged Telegram as a company where state security agencies have “no contact”.

      [...]

      Telcos are lobbying for the law to be expanded to encompass Internet companies. Even as security agencies are pushing for backdoors into encryption. Leaving data protection advocates to point out the folly of risking the security of all users…

      #crypto_war
      #encryption

  • Les Inrocks - Les artistes grecs demandent la démission du ministre de la Culture dans une lettre ouverte
    http://mobile.lesinrocks.com/2016/04/02/scenes/artistes-grecs-demandent-demission-ministre-de-culture-lettre-ouv

    La partie adressé à #Jan_Fabre, directeur de cette édition du festival :

    Monsieur Fabre,

    Lors de votre court passage dans notre pays, vous avez réussi à commettre une série de graves inconvenances, lesquelles constituent de profondes injures pour nous tous qui signons cette lettre mais pour de nombreuses autres personnes également. Plus spécifiquement :

    1. Vous avez participé à une conférence de presse de « style aristocratique » avec carton d’invitation, (du jamais vu dans les usages du Festival Hellénique), à laquelle vous avez choisi l’absence d’artistes grecs, ignorant que le Festival d’Athènes et Epidaure, comme tous les autres festivals, est pour l’essentiel, la création des artistes qui le nourrissent depuis des années de leur talent, de leur passion et de leurs idées d’avant-garde.

    2. Vous avez admis ne pas avoir la moindre idée de la création artistique grecque contemporaine, mais, malgré cela, vous vous considérez capable de prendre en charge (comme curateur !) la principale institution culturelle du pays, rabaissant ainsi les créateurs grecs à une masse imprécise et artistiquement discréditée, et qui vous devrait, de plus, de la reconnaissance.

    3. Vous nous avez présenté de but en blanc un état-major dispendieux de collaborateurs Belges (lesquels, il faut le souligner, ainsi que vous-même, seront payés par notre état en faillite) prouvant de la manière la plus claire que votre ignorance au sujet de la culture grecque contemporaine est destinée à rester ignorance.

    4. Vous avez essayé, avec un culot notable il est vrai, de nous tromper en prétendant rendre International un festival qui l’est déjà depuis sa naissance tout en annonçant un programme purement belgo-belge, dont vous emportez personnellement la part du lion.

    5. Vous nous avez exclu de (notre) festival, non seulement pour cette année mais encore pour les années à venir, nous, les créateurs grecs, nous considérant indignes de participer à l’ « installation » que vous-même organiserez, laissant insinuer que peut-être vous nous redonnerez la parole après qui nous ayons été « initiés » (à la manière d’une pure éducation) à votre univers esthétique personnel.

    Pour toutes ces raisons, pour l’arrogance et le franc totalitarisme artistique dont vous avez fait montre, vous vous êtes vous-même rendu, monsieur Fabre, persona non grata.

    Afin d’éviter les malentendus, par la présente lettre nous ne cherchons pas à négocier avec vous, non, nous ne sommes pas des syndicalistes, nous ne vous demandons pas de de nous accorder du temps ou un lieu dans votre « installation », nous ne nous abaisserons pas non plus au point humiliant de vous revendiquer ce qui nous appartient. Par la présente lettre nous vous faisons savoir que, premièrement nous ne vous reconnaissons pas comme directeur artistique du Festival d’Athènes et Epidaure et, deuxièmement, que vous nous devez réparation des insultes que vous avez commis à notre encontre en faisant ce qui tombe sous le sens : en retournant votre contrat d’engagement (pour vous et vos collaborateurs) au ministre qui vous l’a donné.

    Le corps des personnes présentes

    Théâtre SFENDONI 1 AVRIL 2016”

    #crypto_colonie

  • La Guerre de la Crypto n’aura pas lieu, mais ça risque de piquer quand même
    https://reflets.info/la-guerre-de-la-crypto-naura-pas-lieu-mais-ca-risque-de-piquer-quand-meme

    Vous revenez de trois semaines de congés dans la ceinture de Kuiper. Vacances bien méritées, cela va sans dire. Mais là-bas, outre le fait que vous avez du vous cailler fichtrement les meules, la troigé ne passe pas très bien. Niveau actualités, vous êtes donc en session de rattrapage. Et le moins que l’on puisse […]

    #Technos #Cryptographie #Attentats #Crypto_Wars #Loi_de_Confiance_sur_l'Économie_Numérique #Novenbre_2015

  • Snowden’s First Move Against the NSA Was a Party in Hawaii | Threat Level | WIRED Kevin Poulsen

    (Disclosure: I’m on the Freedom of the Press Foundation’s Technical Advisory Board with Sandvik, and both Snowden and Greenwald sit on the foundation’s board of directors.)

    http://www.wired.com/2014/05/snowden-cryptoparty

    In Melbourne, Wolf received an e-mail asking for advice on putting together the Oahu event. She offered some tips: Teach one tool at a time, keep it simple. “If I’d known it was someone from the NSA, I’d have gone and shot myself,” she says.

    Snowden used the Cincinnatus name to organize the event, which he announced on the Crypto Party wiki, and through the Hi Capacity hacker collective, which hosted the gathering. Hi Capacity is a small hacker club that holds workshops on everything from the basics of soldering to using a 3D printer.

    “I’ll start with a casual agenda, but slot in additional speakers as desired,” write Cincinnatus in the announcement. “If you’ve got something important to add to someone’s talk, please share it (politely). When we’re out of speakers, we’ll do ad-hoc tutorials on anything we can.”

    When the day came, Sandvik found her own way to the venue: an art space on Oahu in the back of a furniture store called Fishcake. It was filled to its tiny capacity with a mostly male audience of about 20 attendees. Snowden spotted her when she walked in and introduced himself and his then-girlfriend, Lindsay Mills, who was filming the event. “He was just very nice, and he came to the door and introduced himself and talked about how the event was going to run,” Sandvik says.

    They chatted for a bit. Sandvik asked Snowden where he worked, and after hemming and hawing, he finally said he worked for Dell.

    Last week Glenn Greenwald published his book on Snowden, No Place To Hide, which revealed the Cincinnatus nickname for the first time, leading me and others to the Oahu crypto party post. It turns out Snowden sent his first anonymous e-mail to Greenwald just 11 days before the party. At the time of the event, he was still waiting for Greenwald to reply.

    “I kind of hope, secretly, that the #crypto_party offered Snowden an outlet to think about what he was already beginning to plan to do,” Wolf says.

    “I’m kind of proud that he taught a group of people as well,” she says. “That’s huge. We relied on volunteers who often put themselves at risk to teach at places and situations that were uneasy for them. That was a huge risk for him to teach a crypto party while he was working for the #NSA. I’m glad he did. What a fucking legend.”