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    e-traces @etraces ART LIBRE 4/01/2021

    Géants du numérique : la fin du laisser-faire
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/030121/geants-du-numerique-la-fin-du-laisser-faire

    Pour la première fois, les géants du numérique font face à la résistance des États. Grands bénéficiaires de la pandémie, leur puissance commence à inquiéter. Chine, États-Unis, Europe veulent s’appuyer sur les lois antitrust, longtemps délaissées, pour reprendre le contrôle. Mais est-ce suffisant ?

    L’époque du laisser-faire absolu est révolue pour les géants du numérique. Après avoir été encensés pendant des années et avoir bénéficié d’une totale liberté, ils commencent à rencontrer une résistance des États bien plus forte qu’ils ne l’avaient prévu.

    Les quatre PDG des Gafa – Sundar Pichai (Google et Alphabet), Jeff Bezos (Amazon), Mark Zuckerberg (Facebook) et Tim Cook (Apple) – ont sans doute pris la mesure de ce changement lors de leur audition devant la commission d’enquête parlementaire le 29 juillet 2020, à laquelle ils participaient par vidéoconférence pour cause de Covid-19. Ils étaient jusque-là des héros auxquels on passait tout : l’évasion fiscale, l’écrasement des concurrents, la mise à sac des droits sociaux, la captation de la valeur grâce à leur position monopolistique. La capitalisation boursière de leur groupe, qui dépasse désormais le PIB de nombre de pays et assure le triomphe des indices boursiers américains, semblait les protéger de tout. Leur fortune était la rançon de leur réussite et semblait les rendre intouchables.

    Face aux questions des parlementaires, ils ont compris ce jour-là qu’ils étaient en train de devenir les nouveaux « Robber Barons », ces milliardaires qui avaient constitué des monopoles à partir des compagnies de chemin de fer à la fin du XIXe siècle, monopoles que le pouvoir américain avait cassés sans ménagement, inquiet de leur puissance.

    Puissants, trop puissants ? C’est l’analyse que semblent partager des élus américains, l’Union européenne et désormais le président chinois Xi Jinping. Tous commencent à s’inquiéter du pouvoir qu’est en train d’acquérir le capitalisme numérique transnational, symbolisé par quelques géants. Un pouvoir économique qui risque de se transformer en pouvoir politique incontrôlable, à un moment ou à un autre, si aucune mesure n’est prise, selon certains responsables politiques et économiques.

    Derrière l’image des start-ups abritées dans des garages, ces groupes ont constitué en moins de deux décennies des empires de plus en plus gigantesques à travers leurs plateformes numériques. Avec la pandémie, ils sont devenus les maîtres de l’économie. Maîtrisant de longue date l’e-commerce, le télétravail, les technologies de l’information, ils ont offert des solutions toutes trouvées dans cette crise sanitaire qui a imposé la distanciation sociale. Leur succès a été sans limites. Médecine, éducation à distance et même services bancaires… : ils se sentent en position d’avoir réponse à tout, de défier les usages et les règles existantes.

    C’est cette incursion dans le monde de la finance, de la création monétaire et des pouvoirs qu’elle confère qui, semble-t-il, a poussé le gouvernement chinois à frapper très fort le géant chinois Alibaba. Se sentant tout-puissant, le fondateur du groupe, le milliardaire Jack Ma, a osé critiquer en octobre le Parti communiste chinois. Quelques semaines plus tard, il devait être à l’abri de tout ; sa principale filiale, Ant Group, spécialisée dans les paiements en ligne, devait être introduite en bourse. Cela devait être la plus importante introduction en bourse dans le monde, 30 milliards de dollars, pronostiquait déjà la presse financière.

    Sur ordre de Xi Jinping en personne, selon le Wall Street Journal, les autorités ont interdit l’opération début novembre. Le 27 décembre, la Banque centrale de Chine a précisé ses griefs contre la société. Devenue la plateforme privilégiée des Chinois pour le paiement numérique – par le biais des smartphones –, Ant Group a poursuivi son expansion en commençant à proposer des crédits à ses clients, mais en s’exonérant de toutes les règles prudentielles : à elle les commissions et les marges. Les risques des crédits, eux, ont été transférés dans les bilans des banques traditionnelles.

    Ant Group a déjà promis de se soumettre à toutes les décisions des régulateurs chinois et de s’en tenir désormais à ses activités traditionnelles : le paiement en ligne. L’entité est appelée à passer sous strict contrôle des autorités de régulation chinoises et pourrait même échapper totalement au groupe.

    Mais le gouvernement a bien l’intention d’aller plus loin et de reprendre le contrôle d’Alibaba et de ses homologues, qui jusqu’alors avaient bénéficié d’une totale liberté. Le 24 décembre, les autorités de la concurrence ont ouvert une enquête contre Alibaba pour pratiques monopolistiques. Elles reprochent à la plateforme d’e-commerce d’imposer une exclusivité pour tous les produits vendus. Jack Ma, lui, est devenu un paria du régime chinois. Alors qu’il multipliait les déclarations dans la presse internationale, depuis octobre, il se tait et se terre.

    Sans aller jusqu’aux méthodes de coercition chinoises, les États-Unis et les pays européens ne diffèrent guère dans les moyens de riposte pour contenir la puissance grandissante des géants du numérique : les uns comme les autres envisagent de réactiver les lois antitrust.

    Alors qu’une commission d’enquête de la Chambre des représentants aux États-Unis a conclu à la nécessité de casser les monopoles des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft), le Département de la justice a ouvert une enquête fin octobre contre Google, soupçonné d’abus de position dominante. Le 9 décembre, c’est au tour de Facebook, qui lui aussi a affiché son intention de s’aventurer dans le monde monétaire avec la création de la cryptomonnaie Diem (ex-Libra) à partir de janvier 2021, d’être poursuivi pour pratiques anticoncurrentielles par la Commission de la concurrence américaine (FTC) et une coalition de 48 États et territoires américains. La menace d’un démantèlement plane sur le groupe. Le 16 décembre, des poursuites ont été engagées par le Texas et neuf autres États américains contre Google, à nouveau pour pratiques anticoncurrentielles sur le marché de la publicité.

    De son côté, la Commission européenne a dévoilé le 15 décembre le projet de deux directives pour « en finir avec le Far West » dans le numérique, selon les termes de Thierry Breton, commissaire européen chargé du marché intérieur. La première, le Digital Services Act (DSA), vise à imposer une régulation des contenus sur les réseaux sociaux, avec des pouvoirs d’intervention dans chaque État membre. La seconde directive, le Digital Markets Act (DMA), elle, entend empêcher les acteurs dits « systémiques » de menacer le libre jeu de la concurrence, c’est-à-dire d’être incontournables au point d’empêcher d’autres entreprises d’émerger.

    Cette volonté affichée un peu partout dans le monde de se réapproprier les lois antitrust marque un vrai tournant. Sous l’influence de l’école de Chicago, les lois anticoncurrentielles ont pendant ces 30 dernières années été réduites à la portion congrue : le marché, par nature infaillible, était censé apporter les remèdes à ses propres déséquilibres. À moins qu’il ne soit prouvé que certaines situations nuisent aux consommateurs, il n’y avait pas matière à intervenir.

    C’est à partir de ce seul critère que les autorités de la concurrence en Europe et aux États-Unis ont décidé d’intervenir et éventuellement de sanctionner. C’est à l’abri de ce critère que les géants du numérique ont prospéré. Mis en cause devant différentes juridictions, ceux-ci ne manquent pas d’arguments pour défendre leur position, en s’appuyant sur la seule défense des consommateurs. À les entendre, ils ne portent aucun préjudice aux consommateurs, au contraire. Tous font valoir qu’ils ont développé des technologies numériques de plus en plus performantes, mises au service des consommateurs gratuitement. Au moins en apparence.

    La réhabilitation des lois antitrust

    La réalité est venue mettre à mal cette approche. Même les plus orthodoxes des économistes sont obligés de convenir que la théorie de la concurrence, telle que défendue par les néolibéraux, se révèle inadaptée face aux modèles et aux méthodes des géants du numérique, en rupture avec toutes les règles conventionnelles de l’économie. « Le problème pour les régulateurs est que les cadres usuels anti-monopolistiques ne s’appliquent pas dans un monde où les coûts pour les consommateurs (souvent sous forme de données et confidentialité) sont totalement opaques. Mais c’est une pauvre excuse pour ne pas remettre en cause des opérations manifestement anti-concurrentielles, telles que le rachat d’Instagram (avec son réseau social en croissance rapide) par Facebook, et celui de Waze, qui a développé des cartes et des systèmes de géolocalisation, par son concurrent Google », écrivait dès 2018 le très traditionnel économiste Kenneth Rogoff. Pour lui, il y a urgence à remettre en vigueur les lois antitrust car les Big Tech sont devenus un problème pour l’économie américaine.

    En effet, loin de permettre une augmentation de la productivité, comme le supposent les théories économiques classiques, les innovations technologiques de ces dernières années se traduisent au contraire par une réduction des salaires, une dégradation de l’emploi et des droits sociaux, une montée des inégalités. Dominant tout l’univers du numérique, rachetant tous les concurrents qui pourraient leur faire de l’ombre, les géants du numérique ont organisé un modèle qui leur permet de leur assurer une captation de la valeur à leur seul profit et de leur constituer une rente mondiale à des niveaux sans précédent historique, aboutissant à la création d’un techno-féodalisme, comme le désigne l’économiste Cédric Durand.

    Les grandes références de l’application des lois contre les abus de position dominante, débouchant sur le démantèlement de l’empire sidérurgique américain d’Andrew Carnegie ou la mise en pièces de la Standard Oil des Rockefeller, affleurent dans tous les textes. Mais la remise en vigueur des lois antitrust appliquées dans le passé est-elle suffisante pour contrer la puissance des Big Tech et redonner un contrôle démocratique sur le développement de l’économie numérique ?

    Ces dernières années, la Commission européenne a sanctionné à plusieurs reprises les géants du numérique, sans que ces sanctions aient semblé avoir le moindre effet sur leurs pratiques. L’évasion fiscale, le non-respect des droits sociaux, les abus de position dominante restent au centre de leur modèle (lire ici, ici ou encore là). Elle a aussi tenté un début de régulation, ce que les autorités américaines se sont jusque-là refusées à faire, en imposant un règlement général sur la protection des données (RGPD). Cette réglementation a servi de référence un peu partout dans le monde. Mais là encore, les effets en paraissent limités.

    Dans le cadre de son projet de directive, la Commission européenne envisage d’aller plus loin et d’imposer, si nécessaire, le démantèlement d’un groupe, si sa position est jugée monopolistique sur le marché européen. Cette proposition, si jamais elle voit le jour (il faudra au moins deux ans de négociations pour aboutir à un texte qui fasse consensus), est jugée au mieux comme relevant de la dissuasion nucléaire – c’est-à-dire une menace censée de devoir jamais être mise en œuvre –, au pire comme une annonce démagogique de com’, selon les observateurs. Pour les uns comme pour les autres, jamais la Commission européenne ne pourra imposer le démantèlement d’un groupe américain. Car c’est aussi une des données du problème : l’Europe, par son aveuglement idéologique interdisant tout soutien public direct ou indirect, a été incapable en 20 ans de créer le moindre champion du numérique, et a plutôt contribué à étouffer tous les potentiels existants.

    Mais l’idée d’un démantèlement de certains géants du numérique, qui semblait impossible jusqu’alors, fait aussi son chemin aux États-Unis. Dans sa plainte contre Facebook, la Commission de la concurrence américaine (FTC) y fait explicitement référence. Le groupe de réseau social, devenu objet d’hostilité à la fois des républicains et des démocrates pour la diffusion de fake news et de propos extrémistes sur ses plateformes, pourrait être contraint de se séparer d’Instagram. Des projets analogues cheminent pour contrer la puissance de Google ou d’Amazon.

    Jusqu’alors, les géants du numérique ont toujours réussi à contrer toutes les attaques en opposant un argument de poids : contraindre leur développement, voire leur imposer un démantèlement, reviendrait à laisser le champ libre aux géants technologiques chinois, qui eux ne souffrent d’aucune entrave. La mise sous contrôle d’Alibaba par le gouvernement de Pékin les prive désormais de cet argument.

    Décidés à se battre pied à pied, à mobiliser des centaines de millions de dollars pour préserver leur rente, les Gafam travaillent déjà à d’autres moyens de défense. L’idée de soumettre ces géants à une régulation comparable à celle imposée au monde bancaire et financier commence à émerger. Ses défenseurs font valoir que les moyens de sanction, se chiffrant en milliards de dollars, sont des armes suffisamment puissantes pour obliger tout le monde à rentrer dans le rang. La perspective de pouvoir puiser dans des trésors de guerre estimés à 350 milliards de dollars pour renflouer les caisses de l’État américain a de quoi convaincre nombre d’élus.

    Le précédent de la crise financière de 2008 appelle cependant quelques réserves. On sait ce qu’il est advenu de la régulation bancaire. Wall Street a capturé ses régulateurs et fait sa loi jusqu’au conseil de la FED. Comment imaginer qu’il puisse en aller autrement avec les géants du numérique ?

    Pour reprendre le contrôle de l’économie numérique, il faut aller plus loin que les simples lois antitrust existantes, partiellement inefficaces face aux géants du numérique, et s’attaquer au cœur de leur modèle : la marchandisation des données privées. Depuis l’origine, ceux-ci prospèrent grâce à la collecte – gratuite et souvent à l’insu des consommateurs – des empreintes laissées partout par des internautes et qui sont exploitées et/ou revendues par la suite par les plateformes.

    Les États ne semblent pas avoir perçu la valeur de ce capital immatériel, à commencer par le gouvernement français. Il a fallu un rappel à l’ordre de la Cnil pour contraindre l’État à remettre en cause le contrat signé avec Microsoft sur les données de santé de tous les Français. Et dernièrement, c’est à Amazon que la Banque publique d’investissement (BPI) a confié le recueil des données de tous les bénéficiaires d’un prêt garanti par l’État.

    Les économistes Glen Weyl et Eric Posner, par ailleurs très libéraux, proposent dans leur livre Radical Markets de renverser le modèle : au lieu d’en bénéficier gratuitement, les Gafam devraient payer pour pouvoir utiliser les données recueillies auprès de tous les particuliers.

    Pour certains économistes, ces mesures, aussi spectaculaires soient-elles, ne permettent pas de reprendre en main le contrôle démocratique du numérique ; ce ne sont pas tant les données mais les technologies qui permettent de les exploiter qu’il convient de se réapproprier publiquement. Car même surveillés, régulés, ces géants du numérique continuent par leurs choix technologiques, les développements qu’ils conduisent, à imposer leur vision de l’avenir. Une technologie, font-ils valoir, peut produire le pire ou le meilleur : être l’instrument d’une liberté ou celui d’une société de surveillance de plus en plus étroite des populations. Ces orientations ne peuvent être laissées à la libre décision d’une poignée de monopoles mondiaux, argumentent-ils.

    Mais ce contrôle démocratique suppose que les États ne laissent plus les géants du numérique disposer par eux-mêmes des technologies à développer et de leur mise en œuvre, qu’ils acquièrent une expertise afin de pourvoir en discuter et en surveiller les choix. Mais en ont-ils vraiment envie ?

    #Alibaba #Alphabet #Apple #Microsoft #Waze #Amazon #AntGroup #Facebook #algorithme #payement #smartphone #domination #fiscalité #BigData #COVID-19 #GAFAM #santé #télétravail #FTC #cryptomonnaie (...)

    ##fiscalité ##santé ##BHATX

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    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 28/11/2020

    ‘Tokenized’ : Inside Black Workers’ Struggles at Coinbase
    ▻https://www.nytimes.com/2020/11/27/technology/coinbase-cryptocurrency-black-employees.html

    Coinbase, the most valuable U.S. cryptocurrency company, has faced many internal complaints about discriminatory treatment. SAN FRANCISCO — One by one, they left. Some quit. Others were fired. All were Black. The 15 people worked at Coinbase, the most valuable U.S. cryptocurrency start-up, where they represented roughly three-quarters of the Black employees at the 600-person company. Before leaving in late 2018 and early 2019, at least 11 of them informed the human resources department or (...)

    #cryptage #cryptomonnaie #racisme #discrimination #Coinbase

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    e-traces @etraces ART LIBRE 3/11/2020

    Cryptomonnaies : « La Chine menace le cœur de l’économie mondiale : l’Internet de l’argent »
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/11/02/cryptomonnaies-la-chine-menace-le-c-ur-de-l-economie-mondiale-l-internet-de-

    L’expert du numérique Vincent Lorphelin et l’économiste Christian Saint-Etienne expliquent, dans une tribune au « Monde », que la Chine convoque le combat pour la suprématie technologique sur le terrain des brevets. Tribune. La lutte pour la suprématie mondiale entre la Chine et les Etats-Unis se durcit encore. La Chine vient de déclarer la guerre des brevets des cryptomonnaies : « Le droit d’émettre et de contrôler une monnaie numérique deviendra un champ de bataille entre les Etats. » Elle ne cache (...)

    #Apple #Google #cryptomonnaie #cryptage #domination #copyright #domicile #lutte (...)

    ##brevet

    https://img.lemde.fr/2020/10/30/0/0/9682/4841/1440/720/60/0/00c0662_583582727-pns-6092002.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 22/07/2020

    Tous exposés après le “Grand Hack de Twitter”
    ▻https://www.courrierinternational.com/article/numerique-tous-exposes-apres-le-grand-hack-de-twitter

    Ce n’était qu’une petite arnaque au bitcoin. Mais le piratage de comptes de célébrités, hommes d’affaires et politiciens dans la soirée du 15 juillet a révélé notre immense vulnérabilité numérique, analyse le Financial Times. Ce n’est peut-être pas le piratage du siècle mais le détournement des comptes d’Elon Musk, Bill Gates, Barack Obama, Kanye West, Joe Biden ou Jeff Bezos mercredi 15 juillet est le signe de la vulnérabilité numérique globale. Sous le titre “Le Grand Hack de Twitter dévoile la précarité (...)

    #Twitter #cryptomonnaie #bitcoin #données #élections #hacking

    https://www.courrierinternational.com/sites/ci_master/files/styles/image_940/public/illustrations/thumbnails/rtxzuyc.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 19/07/2020

    Twitter : les hackeurs ont « manipulé » des employés pour accéder aux comptes de célébrités
    ▻https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/07/18/twitter-les-hackeurs-ont-manipule-des-employes-pour-acceder-aux-comptes-de-c

    Le réseau social, qui a présenté ses excuses, précise que les pirates informatiques ont réussi à pénétrer 45 comptes grâce « à l’utilisation d’outils uniquement accessibles aux équipes de soutien interne ». Les hackeurs qui ont orchestré la spectaculaire attaque sur des comptes Twitter de célébrités et de personnalités politiques ont « manipulé avec succès un petit nombre d’employés » de Twitter, affirme le réseau social, dans un blog, samedi 18 juillet. Twitter précise qu’au total, les pirates informatiques ont (...)

    #Twitter #cryptomonnaie #bitcoin #manipulation #hacking #SocialNetwork

    https://img.lemde.fr/2020/07/16/348/0/4200/2100/1440/720/60/0/7625fe1_a294eb3c3c1e4080825764a43252405b-a294eb3c3c1e4080825764a43252405b-0.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 16/07/2020

    Un employé de Twitter a aidé des hackers à pirater des comptes
    ▻https://www.vice.com/fr/article/jgxd3d/un-employe-de-twitter-a-aide-des-hackers-a-pirater-des-comptes

    Des comptes de célébrités et de grandes entreprises ont été détournés dans le but de relayer des escroqueries liées au bitcoin. Un employé de Twitter est à l’origine d’un piratage massif de comptes très médiatisés, selon des captures d’écran que nous avons obtenues et deux sources ayant participé à l’action. Mercredi dans l’après-midi, des comptes Twitter de premier plan, dont ceux de Joe Biden, Elon Musk, Bill Gates, Barack Obama, Uber et Apple, ont tweeté des escroqueries liées aux cryptomonnaies dans un (...)

    #Twitter #manipulation #cryptomonnaie #bitcoin #hacking

    https://video-images.vice.com/test-uploads/articles/5f0f7bb34c47e3009fbdee19/lede/1594851122706-twitter.jpeg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 16/07/2020

    Piratage massif au bitcoin de comptes Twitter aux Etats-Unis
    ▻https://www.liberation.fr/planete/2020/07/16/piratage-massif-au-bitcoin-de-comptes-twitter-aux-etats-unis_1794382?xtor

    Des personnalités, parmi les plus influentes au monde, ont été visées mercredi par un piratage massif et inédit aux cryptomonnaies de leurs comptes Twitter. Piratage massif au bitcoin de comptes Twitter aux Etats-Unis Le message est apparu en fin d’après-midi, mercredi, sur le compte Twitter de l’ancien vice-président Joe Biden, candidat démocrate à l’élection présidentielle américaine de novembre. « Je rends à la communauté. Tous les Bitcoins envoyés à l’adresse ci-dessous recevront le double ! Si (...)

    #Twitter #cryptomonnaie #bitcoin #manipulation #élections #hacking

    https://medias.liberation.fr/photo/1325300-000_19i3j0.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 16/07/2020

    Gates, Musk and Other Top Tech Figures Get Twitter Accounts Hacked
    ▻https://www.nytimes.com/2020/07/15/technology/twitter-hack-bill-gates-elon-musk.html?action=click&module=Top+Stories&pgty

    In a major show of force, hackers breached some of the site’s most prominent accounts, a Who’s Who of Americans in politics, entertainment and tech. It was about 4 in the afternoon on Wednesday on the East Coast when chaos struck online. Dozens of the biggest names in America — including Joseph R. Biden Jr., Barack Obama, Kanye West, Bill Gates and Elon Musk — posted similar messages on Twitter : Send Bitcoin and the famous people would send back double your money. It was all a scam, of (...)

    #Twitter #cryptomonnaie #bitcoin #manipulation #élections #hacking

    https://static01.nyt.com/images/2020/07/15/business/15twitter-musk/merlin_173211669_d34241d2-2334-4677-a144-4646c7925b40-facebookJumbo.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 5/07/2020
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    Sweden’s cashless society dream isn’t all it’s cracked up to be
    ▻https://www.wired.co.uk/article/sweden-cashless-society

    Just one per cent of Sweden’s GDP circulates as cash. As debates over the need for cash rage along lines of age, wealth and location, the country is looking to create a digital currency In Sweden’s collective memory, the 2009 Västberga helicopter robbery was a national assault ; an audacious heist better suited to the big screen than a grey industrial district in south-west Stockholm. It was just after 5am when a stolen helicopter landed on the roof of a fully-stocked cash depot belonging to (...)

    #cryptomonnaie #technologisme

    https://wi-images.condecdn.net/image/lpaPwN0NoWN/crop/1440/0.5235602094240838/f/wired-sweden-2.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 4/07/2020

    Avec la cryptomonnaie libra, Facebook aspire à « un rôle central dans le nouveau théâtre de la transition numérique »
    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/07/01/avec-la-libra-facebook-entend-prendre-un-role-central-dans-le-nouveau-theatr

    L’expert du numérique Vincent Lorphelin affirme que Mark Zuckerberg, loin d’abandonner sa monnaie numérique, entend en faire l’instrument de l’économie des microéchanges. Tribune. Avec la forte accélération du commerce électronique, des réseaux sociaux, des visioconférences et du télétravail, la crise sanitaire pourrait avoir fait gagner plusieurs années à la transition numérique. Elle pourrait aussi précipiter l’arrivée de « l’économie décentralisée » dont la libra, la monnaie numérique lancée par (...)

    #MasterCard #Visa #Facebook #WeChat #cryptage #cryptomonnaie #Alipay #bitcoin #e-yuan #Libra (...)

    ##domination

    https://img.lemde.fr/2019/09/23/181/0/2999/1497/1440/720/60/0/eb6e146_AQs2YWK6RahsSzej1exfZC-_.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 26/06/2020

    Batailles en cours et à venir autour des données de paiement
    ▻https://linc.cnil.fr/fr/batailles-en-cours-et-venir-autour-des-donnees-de-paiement

    Le secteur des moyens de paiement connaît d’importantes recompositions au travers desquelles la maîtrise des données de paiement est centrale. Si les services apportent des fonctionnalités aux consommateurs, ils soulèvent des enjeux en termes de protection des données personnelles. Les recompositions dans le secteur du paiement électronique sont majeures. Le développement du e-commerce a contribué à renouveler les solutions de paiement sur Internet. De nouveaux acteurs sont apparus, tels que Paypal (...)

    #Apple #Google #Samsung #Facebook #Paypal #WeChat #algorithme #cryptage #cryptomonnaie #Alipay #ApplePay #bitcoin #Libra #payement #WeChatPay #sexisme #discrimination #finance #CNIL #MasterCard #Visa #WesternUnion #carte #SociétéGénérale (...)

    ##BNP-Paribas ##géolocalisation ##BigData ##[fr]Règlement_Général_sur_la_Protection_des_Données__RGPD_[en]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_[nl]General_Data_Protection_Regulation__GDPR_

    https://linc.cnil.fr/sites/default/files/thumbnails/image/cashless_19627913138_7916242f7d_k.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 22/06/2020

    An elegy for cash : the technology we might never replace
    ▻https://www.technologyreview.com/2020/01/03/131029/an-elegy-for-cash-the-technology-we-might-never-replace

    Cash is gradually dying out. Will we ever have a digital alternative that offers the same mix of convenience and freedom ? Think about the last time you used cash. How much did you spend ? What did you buy, and from whom ? Was it a one-time thing, or was it something you buy regularly ? Was it legal ? If you’d rather keep all that to yourself, you’re in luck. The person in the store (or on the street corner) may remember your face, but as long as you didn’t reveal any identifying (...)

    #Alibaba #Apple #Facebook #WeChat #cryptage #cryptomonnaie #bitcoin #Libra #QRcode #WeChatPay #technologisme #BigData (...)

    ##discrimination

    https://wp.technologyreview.com/wp-content/uploads/2020/01/mitcashfinalrgb-2-1-8.jpg

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    e-traces @etraces ART LIBRE 22/06/2020

    Cash Less Society : comment préserver la vie privée dans une société sans argent liquide ?
    ▻https://linc.cnil.fr/cash-less-society-comment-preserver-la-vie-privee-dans-une-societe-sans-ar

    Les innovations dans le secteur des moyens de paiements contribuent à réduire inexorablement la part de l’argent liquide, au point que certains annoncent l’avènement d’une société « cashless » (c’est-à-dire sans argent liquide). La fin du cash soulève toutefois des questions majeures en termes de droits fondamentaux, de respect de la vie privée et d’inclusion sociale. La crise sanitaire du coronavirus accélère l’usage des paiements digitaux au détriment des pièces et des billets perçus comme un possible (...)

    #WeChat #cryptage #cryptomonnaie #Alipay #carte #payement #QRcode #smartphone #WeChatPay #technologisme #discrimination (...)

    ##CNIL

    https://linc.cnil.fr/sites/default/files/thumbnails/image/atm-cash-dispensers.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 4/06/2020

    Le yuan virtuel, nouvelle incarnation de la surveillance chinoise
    ▻https://korii.slate.fr/biz/chine-cryptomonnaie-etat-e-yuan-virtuel-surveillance-population-controle

    Si Pékin compte remplacer les espèces par une cryptomonnaie d’État, ce n’est pas pour faciliter les transactions. En Chine, les paiements réalisés via des applications mobiles privées, comme Alipay ou WeChat Pay, représentent 16% du PIB. Les cryptomonnaies, Bitcoin et Ethereum en tête, y ont rencontré un certain succès avant que leur usage ne soit restreint par les autorités. Dans les deux cas, les transactions échappent en partie au contrôle du gouvernement chinois –ce qui explique sa volonté de (...)

    #WeChat #cryptage #cryptomonnaie #Alipay #bitcoin #payement #Alibaba #surveillance #e-yuan (...)

    ##technologisme

    https://korii.slate.fr/sites/default/files/styles/1440x600/public/000_1no7vq.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 4/06/2020

    China Is Making Cryptocurrency to Challenge Bitcoin and Dollar
    ▻https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-06-01/china-is-making-cryptocurrency-to-challenge-bitcoin-and-dollar

    Authorities are testing a new kind of money in four cities. People in China are no strangers to digital payments—if anything, it’s easier to move around and shop in Shanghai or Beijing with an Alipay or WeChat Pay smartphone app than it is bearing a pocketbook filled with yuan notes. Now the Chinese government has begun a pilot program for an official digital version of its currency—with the likelihood of a bigger test at the Beijing Winter Olympics in 2022. Some observers think the virtual (...)

    #Alibaba #WeChat #cryptomonnaie #Alipay #bitcoin #e-yuan #WeChatPay #surveillance

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @fil
    Fil @fil 12/01/2020
    3
    @reka
    @mad_meg
    @02myseenthis01
    3

    The full XRP ledger, visualised​
    ▻https://xrpcommunity.blog/the-full-xrp-ledger-visualized

    https://xrpcommunity.blog/content/images/2018/11/Cover-1.png

    A network of 1.4 million wallets, connected by 2.6 million payment relationships—all connected visually in a complex network graph. This article is a small walkthrough of how information transforms into visuals

    https://xrpcommunity.blog/content/images/2018/11/No_edges_data.png

    #cartographie #réseaux (le sujet c’est les grands échanges de #cryptomonnaie, il me semble)

    Fil @fil
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 31/12/2019

    Facebook va-t-il devenir le WeChat occidental ?
    ▻https://korii.slate.fr/biz/facebook-tentation-domination-fusion-messageries-whatsapp-wechat

    Ne nous méprenons pas. Les récentes annonces de Facebook cachent la véritable volonté de son créateur : s’immiscer partout, à tout instant, dans tous les domaines de notre vie. Et sans instance de contrôle. Coup de tonnerre début mars : Mark Zuckerberg, patron de Facebook, annonçait un bouleversement de sa plateforme. Le Californien, la main sur le cœur, expliquait vouloir créer un véritable système de messagerie sécurisée prenant enfin au sérieux les questions de respect des données personnelles, et (...)

    #WeChat #Facebook #Instagram #Messenger #WhatsApp #cryptage #cryptomonnaie #domination

    https://korii.slate.fr/sites/default/files/styles/1440x600/public/000_12z3cg.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 14/11/2019

    « Les banques face au tsunami des GAFA »
    ▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/11/14/les-banques-face-au-tsunami-des-gafa_6019129_3234.html

    Après Apple et Facebook, Google souhaite se lancer dans les services bancaires. Le numérique est en train de déshabiller les banques de leurs métiers les plus essentiels, estime Philippe Escande, éditorialiste économique « au Monde ». Les banques peuvent-elles disparaître ? Elles semblent encore loin de ce scénario apocalyptique, mais elles sentent désormais dans leur cou le souffle des géants du numérique. Mercredi 13 novembre, le Wall Street Journal révélait que Google allait se lancer dans les (...)

    #Apple #Citigroup #GoldmanSachs #Google #Amazon #Facebook #cryptomonnaie #carte #Libra #domination #fiscalité #bénéfices #BigData #data #banque (...)

    ##fiscalité ##GAFAM

    https://img.lemde.fr/2019/11/14/323/0/3880/1940/1440/720/60/0/35c2992_4jhIapILBbkbFllJKOYp2Q3e.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @fred_
    Fred+ @fred_ CC BY-SA 22/10/2019

    Cryptomonnaies contre régulateurs : la guerre a commencé
    ▻https://usbeketrica.com/article/pourquoi-les-pouvoirs-publics-ne-veulent-pas-des-monnaies-de-facebook-e

    http://static.usbeketrica.com/images/thumb_840xh/5daed7d984126.jpg

    Avec Libra, il s’agit de proposer une devise et une infrastructure financière aux personnes éloignées du système bancaire mais équipées d’un smartphone. D’après la Banque Mondiale, 1,7 milliards d’individus sont aujourd’hui exclus du système financier, soit 31 % de la population mondiale. Parmi ces personnes non bancarisées, 1 milliard possèdent un téléphone mobile et 480 millions ont accès à Internet.

    Mais cette initiative a vite suscité l’opposition frontale des instances gouvernementales et des banques centrales, qui voient dans la cryptomonnaie de Facebook un concurrent redoutable pour leurs propres devises et pour l’industrie de la banque, grande pourvoyeuse d’emplois. Sans oublier les craintes de blanchiment d’argent via la monnaie virtuelle.

    #cryptomonnaies #libra #gram #facebook #telegram

    Fred+ @fred_ CC BY-SA
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 20/10/2019

    How the wheels came off Facebook’s Libra project
    ▻https://www.theguardian.com/technology/2019/oct/18/how-the-wheels-came-off-facebook-libra-project

    Support for Mark Zuckerberg’s mission to reshape global finance is slipping away slowly but surely When Facebook announced plans to launch a digital currency earlier this summer, it added a full-blown revolution in global finance to its typically vaulting Silicon Valley mission statement : to create a digital currency alongside its efforts to bring the world closer together through networks. Over the past month, that mission has gone badly awry. The Libra cryptocurrency project now faces (...)

    #Facebook #cryptage #Libra #cryptomonnaie

    ▻https://i.guim.co.uk/img/media/467898f2a9b4d32ae177dc8636ab4b35ccb8f2eb/27_0_3445_2068/master/3445.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 19/10/2019

    Les Européens veulent interdire le libra, la monnaie numérique de Facebook
    ▻https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/10/19/les-europeens-veulent-interdire-le-libra-la-monnaie-numerique-de-facebook_60

    Plusieurs pays européens, dont la France, se préparent à mettre leur veto au projet de monnaie virtuelle libra, dangereux pour l’économie mondiale, selon le ministre français de l’économie, Bruno Le Maire. Chaque jour, le libra subit les foudres de ses opposants les plus farouches, les Etats. Le G7, le groupe des sept pays les plus industrialisés (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Italie et Japon), était déjà convenu jeudi, à Washington, que la condition sine qua non pour lancer les (...)

    #Facebook #cryptage #Libra #cryptomonnaie

    https://img.lemde.fr/2019/09/23/181/0/2999/1497/1440/720/60/0/eb6e146_AQs2YWK6RahsSzej1exfZC-_.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 27/08/2019

    Libra : Facebook face à la raison d’Etat
    ▻https://www.alternatives-economiques.fr/libra-facebook-face-a-raison-detat/00090064

    Les régulateurs pourraient rendre caduques les promesses du projet de monnaie privée de Facebook. Mauvais temps pour Facebook. Après l’annonce fracassante le 18 juin dernier du lancement en 2020 d’une cryptomonnaie, la libra, les problèmes s’accumulent déjà pour l’entreprise. Réactions virulentes des régulateurs Les réactions immédiates des régulateurs montrent que le projet est pris très au sérieux. Le jour-même de l’annonce, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire déclarait à l’Assemblée nationale : « (...)

    #Facebook #cryptage #domination #cryptomonnaie #Libra

    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/for_social_networks/public/field/image/rea_277501_030.jpg

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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 11/07/2019
    2
    @biggrizzly
    @najort
    2

    Libra, la cryptomonnaie de Facebook : comme un air de fin du monde…
    ▻https://jcenglebert.weebly.com/blog

    Je soutiens ici que le lancement par Facebook de la cryptomonnaie Libra devrait faire dresser les cheveux sur la tête de n’importe quelle personne saine d’esprit. Je me base pour ma démonstration sur le travail que j’ai réalisé concernant les applications et implications environnementales de la technologie blockchain, technologie sous-jacente aux cryptomonnaies. Je vais tout d’abord revenir sur les caractéristiques majeures de Facebook et des blockchains. Ensuite, je vais donner un bref aperçu de la (...)

    #cryptomonnaie #domination #Facebook #Libra #profiling

    http://jcenglebert.weebly.com/uploads/2/5/5/9/25597221/1537874_orig.jpeg

    e-traces @etraces ART LIBRE
    • @najort
      Najort @najort 11/07/2019

      Le scandale Cambridge Analytica a permis de révéler que les données personnelles de 57 millions d’utilisateurs ont été vendues à l’équipe de campagne électorale de Trump. Les activités sous-jacentes à ce scandale sont moins connues. Il s’agissait de faire apparaître sur le « mur » de l’utilisateur des « posts » fantômes (ne correspondant à aucun utilisateur) qui correspondent à ses peurs les plus profondes en vue d’orienter son choix électoral.

      «En attendant les robots», Antonio Casili, Fev. 2019, Seuil
      ▻http://www.casilli.fr/tag/en-attendant-les-robots

      La blockchain est vue par l’économiste ultra-libéral Hernando de Soto comme une manière pour les pays du Tiers-Monde d’accrocher une valeur à leur patrimoine. Il s’est montré particulièrement enthousiaste concernant les utilisations de blockchain pour créer des cadastres inexistants. Cela permet, à partir de terres utilisées à des fins de subsistances, de créer des actifs immobiliers. Ces actifs peuvent être l’objet de transactions financières ou servir de gage à des crédits, hypothécaires par exemple.

      Business-as-usual - almost a tag.

      Najort @najort
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  • @alexis
    Alexis J. @alexis CC BY 5/07/2019
    1
    @etraces
    1

    Libra : les dangers du développement d’une monnaie privée - La Libre
    ▻https://www.lalibre.be/debats/opinions/libra-les-dangers-du-developpement-d-une-monnaie-privee-5d1df5109978e215c75b

    Une opinion de Tristan Dissaux, chercheur postdoctorant en économie, Université Libre de Bruxelles . — Permalink

    #cryptomonnaie #facebook

    Alexis J. @alexis CC BY
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 3/07/2019

    Ce que le Libra raconte du futur de Facebook en 5 scénarios
    ▻https://usbeketrica.com/article/libra-raconte-futur-facebook-en-5-scenarios

    Mark Zuckerberg l’a annoncé le 18 juin : Facebook lancera en 2020 sa cryptomonnaie Libra. Un changement de stratégie qui nous a donné envie de réfléchir à ce que pourrait devenir le géant Facebook à horizon 2050. La stratégie de Facebook peut sembler intrépide. Malgré les scandales à répétition sur l’utilisation des données personnelles qui ont visé la plateforme ces dernières années, Mark Zuckerberg rehausse encore ses ambitions. Cette fois-ci, c’est une monnaie qu’il lance avec ses partenaires Uber, eBay, (...)

    #Iliad #MasterCard #Visa #Vodafone #cryptomonnaie #booking.com #eBay #Facebook #Libra #Paypal #Spotify #Uber #domination #BigData #bénéfices (...)

    ##profiling

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    • #Facebook
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