• Wafaa, chef à domicile & traiteur de cuisine syrienne à Lille, Roubaix, Tourcoing et alentour en Hauts de France.

    Invitez votre famille, vos amis et découvrez la cuisine ensoleillée de Syrie
    préparée chez vous à domicile par Wafaa

    Pendant que Wafaa est aux fourneaux et cuisine pour vous les savoureuses spécialités syriennes , avec des produits sélectionnés pour leur qualité et leur fraîcheur, nous construisons son nouveau site internet. Le site Web arrive bientôt ! Il vous apportera beaucoup de nouvelles informations et fonctionnalités.

    https://cuisine-syrienne.com

    Inscrivez-vous maintenant et vous serez l’un des premiers à savoir quand le site sera prêt pour y découvrir les futurs rendez-vous gourmands

    Contactez Wafaa par courriel : contact@cuisine-syrienne.com
    pour savourer ses délicieuses recettes ensoleillées : Son mezze, une belle palette de saveurs et de couleurs - toute la richesse de la cuisine syrienne - houmous, caviar d’aubergines, salade fattouche et les kebbé viande hachée.

    Service de traiteur à domicile, alliant rencontres, plaisir et convivialité
    à Lille, Roubaix, Tourcoing, Croix, Wasquehal, Mouvaux, Marcq en Bareuil, Bondues, La Madeleine, Lambersart, Villeneuve d’Asq ...

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  • La bonne adresse pour un vrai repas syrien : Chez vous, à la maison ou tout autre lieu à votre concenance ! Invitez vos proches et découvrez à la maison, un repas divin, un festival de couleurs et de saveurs syriennes

    A Lille, Roubaix, Tourcoing, Marcq-en-Bareuil, Croix, Wasquehal, Mouvaux, Bondues, Linselles, La Madeleine, ... dans la Métropole Européenne :

    Je vous raconte. Invité chez des amis dans la métropole de Lille, j’y ai découvert leur savoureux voyage parmi les spécialités de Syrie.

    Le nectar de la gastronomie syrienne, préparé maison sous nos yeux par Wafaa, traiteure à domicile.

    Plutôt que de se faire livrer un menu gastronomique syrien, mes amis ont demandé à Wafaa de venir cuisiner ses mets magnifiques chez eux.

    Ce fut un dîner très copieux aux mille saveurs orientales. Un repas syro-libanais composé de recettes de Damas et d’Alep à base d’ingrédients naturels et frais.


    Mes enfants végétariens ont trouvé leur bonheur, avec ce plat très complet aux nombreuses textures et saveurs : les pâtes et les lentilles apportent de la douceur, la coriandre relève le goût, tandis que les oignons frits et le pain grillé viennent compléter chaque bouchée. Ne vous fiez pas à son apparence, ce plat est un vrai délice qui se sert chaud ou froid, selon les goûts et les saisons.

    Nous avons apprécié :
    Les entrées froides et chaudes ( mezze, Hommos, beaucoup de verdure, et le caviar d’aubergines grillées, Mouhamara, ...)
    Les plats exotiques , brochettes d’agneau, de poulet, des variétés de grillades
    Et les desserts ! Les crêpes syriennes garnies de crème et pistaches, à déguster avec un sirop à la fleur d’oranger. Un délice (pour gourmets et gourmands !)

    Nous avons vécu une fête ensoleillée très réussie !

    Traiteur syrien à domicile dans la métropole Européenne de Lille, Wafaa nous régale de sa cuisine syrienne.

    Pour commander les menus syriens de Wafaa , rendez-vous sur le site : https://anotherchef.com/menu?nationality=syrienne&locality=Lille

    Vous pourrez y découvrir les menus qu’elle propose et choisir la date à laquelle elle viendra les cuisiner chez vous. Offrez à vos invités une expérience qui sort de l’ordinaire, faites-leur découvrir une cuisine délicieuse et authentique et profitez d’une rencontre humaine enrichissante avec votre chef Wafaa.

    https://blog.anotherchef.com/2017/05/18/portrait-wafaa-chef-a-domicile-syrienne-et-traiteur-a-lille

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  • Au Liban, les bonnes se rebellent
    http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2015/02/17/au-liban-les-bonnes-se-rebellent_4574367_4497186.html

    Exploitées, sous-payées, parfois violentées, les #employées_de_maison ont créé leur syndicat. Le ministre du travail l’estime non conforme à la loi libanaise.

    C’est une première dans le monde arabe : les bonnes à tout faire du #Liban se sont syndiquées. Corvéables à merci pour un #salaire de misère, parfois #battues, voire #violées et poussées au suicide, les employées de maison, d’origine asiatique ou africaine, ont décidé de dire «  assez  ». Dimanche 25 janvier, dans une salle de mariage de la banlieue de Beyrouth, 200 d’entre elles, issues des communautés sri-lankaise, philippine, bangladeshie ou encore sénégalaise, ont participé au congrès fondateur de leur organisation.

    Dans une ambiance fiévreuse, où la fierté de redresser la tête se mêlait à la crainte d’être sanctionnée par les autorités, les toutes petites mains de la société libanaise ont élu leurs représentantes. «  Leur principale revendication, c’est d’obtenir une réforme de la loi du travail, dont elles sont scandaleusement exclues, explique Castro Abdallah, secrétaire générale de la Fédération nationale des #syndicats des ouvriers et des employés au Liban (Fenasol), qui parraine l’initiative. Leur #travail doit être mieux encadré, avec des horaires et un salaire décents. Nous autres Libanais, aimerions-nous que nos enfants, qui partent souvent travailler à l’étranger, soient traités comme ces femmes ? (...)

    La jeune femme trime depuis sept ans au Liban comme #nounou, #femme_de_ménage et #cuisinière à plus que plein temps. Avec un beau sourire las, elle évoque la chambre à peine plus grande qu’un placard dans laquelle elle dort, les caprices de ses #patrons, qui peuvent la réveiller à 3 heures du matin «  parce qu’ils découvrent, de retour de soirée, que le chien a uriné sur le tapis du salon  », et tous ses dimanches passés à nettoyer la maison de la grand-mère. «  Pendant mes trois premières années ici, je n’ai pas eu un seul jour de #congé  », soupire Sujana. Le tout pour 135 dollars (119 euros) par mois, quinze de moins que le montant promis à la signature du contrat, à Katmandou.
    Les 250 000 domestiques du Liban n’ont pas le droit de changer d’emploi à leur guise. C’est le système de la #kafala (tutelle), en vigueur également dans les monarchies du golfe Arabo-Persique, qui interdit aux immigrés de chercher un meilleur emploi sans l’agrément de leur kafil (tuteur) qui, la plupart du temps, est aussi leur patron. Dans les situations d’abus ou de violence, beaucoup choisissent donc de prendre la fuite et, dans le pire des cas, de mettre fin à leurs jours.

    En 2008, l’organisation Human Rights Watch avait comptabilisé un #suicide par semaine, la « technique » la plus fréquente consistant à enjamber le balcon. «  Bien sûr, la police n’enquête jamais sérieusement sur ces affaires, souligne Bernadette Daou, de l’ONG Kafa, qui lutte contre les #violences_faites_aux_femmes. Elle se contente de la version des familles qui, la plupart du temps, affirment que leurs employées étaient “dérangées”. Il n’y a jamais eu de condamnation.  »
    Sans surprise, le ministre du travail, Sejean Azzi, du parti de la droite chrétienne #Kataëb, a rejeté la création du syndicat, contraire selon lui à la loi libanaise. Mais la Fenasol et les associations de défense des #immigrés entendent continuer la bataille. «  Nous sommes unies, dit Sujana Rana. Nous ne changerons sûrement pas la loi tout de suite, mais peut-être au moins pourrons-nous changer les mentalités.  » Un pari qui, dans son cas, a fonctionné. Depuis qu’elle s’est engagée dans Nari, il y a deux ans, ses patrons ont accepté de lui rendre son dimanche. «  Ma madame est fière de moi, dit-elle avec un air espiègle. Elle montre nos brochures à ses amies. Et elle me laisse même partir à des conférences à l’étranger ! »

    #travailleuses_migrantes #domestiques #contrôle_de_la_mobilité_sur_le_marché_de_l'emploi

    Un papier destiné à flatter la bonne conscience des employeurs et employeuses de domestiques ici, avec happy end : le respect de Madame est possible, etc. , mais pas seulement...

  • La vraie vie des cuisiniers tamouls de Paris | StreetPress
    http://www.streetpress.com/sujet/1416216981-la-vraie-vie-des-cuisiniers-tamouls-de-paris

    Les #cuisiniers_tamouls « sont des photocopieurs » vantent les #patrons, bien contents de cette main d’œuvre pas chère. Les postes se refilent par la « connexion tamoule ». Enquête derrière les fourneaux.

    La tarte tatin sort du four et son auteur en est fier. « Il y a vingt-deux pommes dedans », nous dit-il en vérifiant qu’elle est nickel – et elle l’est. Sans doute qu’il n’en est pas à sa première. Le chef de cuisine du café Le Paris, boulevard Richard-Lenoir, vient de loin. Regan, 32 ans, un petit diamant dans l’oreille gauche, est sri-lankais, plus précisément Tamoul, comme des centaines de plongeurs et cuisiniers dans les restos de Paris.

    Difficile de leur faire évoquer leur vie. L’un d’eux a refusé car « ça pourrait faire parler dans la communauté », très soudée autour du quartier de la Chapelle. Ces quelques rues à deux pas de la gare du Nord sont l’épicentre culturel et économique de la diaspora. Mais prix de l’immobilier oblige, beaucoup vivent en banlieue.

    Anushan, second de cuisine dans un restaurant « bistronomique » (tarif du steack tartare : 18 €) du Marais, vit à Saint-Ouen avec sa femme et ses deux enfants. Même chose pour Regan et pour Christy, plongeur/cuisinier au Paris. Toute la journée au boulot, ils cuisinent français, mais chez eux, c’est leur femme qui fait les repas, et plutôt du sri-lankais. Anushan détaille le menu de la semaine :
    « En général on mange du curry-poulet avec du riz, et le mardi et le vendredi du curry de légumes, car je suis hindou, et ma religion interdit la viande ces jours-là. »
    PHOTOCOPIEURS
    Pourquoi autant de Tamouls dans les cuisines de Paris ? Un gérant, qui veut rester anonyme, répond d’abord que ce sont « essentiellement des Sri-Lankais et des Maliens » qui répondent lorsqu’il poste une offre d’emploi. « Souvent, ce sont eux qui viennent au resto pour proposer leurs services. » Mais le gérant leur trouve aussi des qualités propres :
    « Ce sont des photocopieurs. Il suffit de leur montrer ce que l’on veut, et ils le reproduisent avec exactitude. »
    Le boss du café Le Paris, lui-même d’origine sri-lankaise, ne dit pas autre chose. Sangarasivam Suthakaran, français depuis 2008, emploie presque exclusivement d’anciens compatriotes. « Beaucoup de restaurateurs cherchent des Sri-Lankais », explique-t-il, vantant leur motivation :
    « Ils demandent moins et travaillent mieux. Et une fois qu’ils ont fini leur boulot, ils n’attendent pas sans rien faire, ils aident les autres. »

    Lui aussi utilise le terme « photocopieur ». Dans les faits, c’est un type qui sait se servir d’un micro-ondes. Au café Le Paris, on vient de commander un rôti de porc. En deux minutes, Regan reproduit sous nos yeux ces gestes qu’il connaît par cœur : découper trois tranches de porc que l’on disposera dans l’assiette. Ajouter trois grosses cuillères d’un gratin de pommes de terre préalablement préparé et stocké dans un Tupperware orange. Placer l’assiette dans un four micro-ondes. Sous ce micro-ondes, un jumeau se charge de réchauffer la sauce au poivre. Une minute trente passée, c’est chaud. Verser la sauce, ajouter quelques feuilles de salade aspergées d’une vinaigrette en bouteille. Et histoire de donner une touche gastro : disperser de la poudre de paprika sur les contours de l’assiette. Déposer le plat près de l’ouverture donnant sur la salle et faire tinter la clochette.

    TAMOULE CONNEXION
    Comme les autres, Regan explique avoir appris « sur le tas ». La cuisine est rarement une vocation. A priori, le destin d’Anushan n’était pas de préparer des cochons de lait au romarin et aux olives à 27 € pour les hipsters du Marais :
    « Dans ma famille, on est menuisiers. »
    Seulement, pour être menuisier en France, il faut des diplômes. Et pour y vivre, il faut tout de suite gagner sa croûte. D’autant que la plupart envoient de l’argent au pays pour « aider la famille qui y est restée », explique Tharshan, de l’Organisation de Réhabilitation Tamoule (ORT), que nous avions déjà rencontré lors de l’organisation des JO tamouls . Et d’ajouter :
    « C’est très difficile de trouver un travail, même avec des papiers »
    Fuyant la guerre civile et ses suites, les Tamouls demandent l’asile, mais « le statut est souvent refusé », assure Tharshan, évoquant « des gens qui attendent depuis 13 ou 17 ans ».

    GUERRE CIVILE AU SRI LANKA

    Entre 1983 et 2009, une guerre civile au Sri Lanka a opposé les séparatistes tamouls des Tigres (LLTE) au gouvernement sri-lankais, soutenu par l’ethnie majoritaire cingalaise. Un conflit qui aurait entraîné la mort de plus de 80.000 personnes et des centaines de milliers de réfugiés.

    Les Tigres Tamouls ont reconnu leur défaite en 2009.

    Le plus simple est donc de trouver un poste en cuisine par le biais de la « connexion tamoule », pour reprendre l’expression d’Anushan. Arrivé en France il y a dix ans, à l’âge de 23 ans, il y a retrouvé un oncle. Après un boulot dans une boutique d’alimentation dans le quartier de La Chapelle, Anushan s’est trouvé un job de plongeur dans un restaurant à Luxembourg. Il a gravi les échelons et changé de boîte, pour se retrouver aujourd’hui second de cuisine.

    #sans_papiers #salariat #restauration #service_à_la_personne #précarité