• Thanks to Trump, we can better understand how Hitler was possible
    Chemi Shalev

    http://www.haaretz.com/world-news/u-s-election-2016/1.749153

    This is not to say that comparisons between the rise of Donald Trump and the ascent of Adolf Hitler are inappropriate. On the contrary: Such analogies may be light years from perfect, but they are hardly misplaced. It just seems to me that the emergence of the specifically German word Lügenpresse provided a convenient peg for some in the media to remake a connection that they have otherwise been shying away from in recent months, either because they are wary of the expected pushback or because, as Americans, they would prefer not to believe that America in 2016 bears any resemblance whatsoever to Germany of the 1920’s or 1930’s.
    Nonetheless, some of the elements of the Nazi ascent to power, as well as the emergence of other totalitarian regimes in Europe at the time, can provide clues and early warning signs to explain Trump’s success in the Republican primaries and his continuing popularity as we approach the presidential elections. Conversely – and this has been dealt with less in the media – Trump’s astonishing selection as the GOP candidate for the presidency, his continuing appeal to millions of Americans and the basic characteristics of his message have provided a new and valuable viewing angle on one of the last century’s most perplexing questions: how was Adolf Hitler possible? 
    And please spare me your “how dare you compare” indignation, if you are so inclined.

    • La stratégie électorale des libéraux hallucinés qui ont accès aux commandes partout dans le bloc occidental est très clairement depuis 30-40 ans de mettre en avant l’extrême droite afin de se présenter en sauveurs de la démocratie. Le traumatisme « hitlérien » devient hélas pour nous tous de plus en plus abstrait et leur stratégie est en train de se retourner contre nous tous.
      Il faut voir combien toutes les lois d’exception sont systématiquement un outil contre les mouvements progressistes (les vrais, pas ceux qui se contentent de faire des happenings photographiques sans conséquences). COP21+écolos mis au pas comme de terribles terroristes... Loi Travail... etc. Sans parler de ce qu’il se passe à l’étranger et dont nous n’avons pas trace dans nos contrées. Je pense aux syndicalistes et écologistes tués en Amérique Centrale et dont on n’entend pas un mot chez nous, depuis que les gvts progressistes y ont été destitué « légalement ». Et aux US aussi, les mouvements écologistes sont traités comme des mouvements criminels et terroristes.

  • Le Moine Bleu : Jean-Luc Mélenchon est un con
    http://lemoinebleu.blogspot.fr/2014/11/jean-luc-melenchon-est-un-con.html

    Le léopard meurt avec ses taches.
    M. Jean-luc #Mélenchon, lui, selon toute vraisemblance, ne cessera jamais d’être con.
    Il faut l’être, en effet, con, pour voir ainsi que lui : matin, midi et soir - comme le premier Alain Soral venu - dans ce brave maréchal Poutine autre chose qu’un fasciste libéral grand-russe à la solde du clergé orthodoxe, obsédé par l’invasion des pédés, des nègres et de la décadence occidentale. Il faut l’être, con, bien con, presque davantage (ce qui n’est pas rien) que Mme Clémentine Autain réclamant l’autre soir à la télévision la même chose que M. Mélenchon, quoique mezzo vocce (elle qui s’exprime tellement mal), savoir : la livraison immédiate par ce pauvre M. Hollande d’un imbécile navire de guerre à la glorieuse armée « antifasciste » du maréchal Poutine, dans le noble but d’éviter, entre autres catastrophes, que « la parole de la France ne se ridiculise à l’international » .
    Si la France est ridicule, nous ne le devons pas qu’un peu à M. Mélenchon et Mme Autain, sans oublier toutes celles et ceux qui leur ressemblent et qui, voilà quelques années, imposèrent à leurs ouailles masochistes, autant que malheureuses, d’élire dans l’enthousiasme ce pauvre M. Hollande qu’ils conspuent aujourd’hui, allant jusqu’à déchaîner leurs nervis dans les manifestations (nous y étions) contre toutes les Cassandre gauchistes leur promettant déjà, dans l’élection du susdit Hollande, bientôt président de la Ripoublique, une nouveauté étonnamment nulle vis-à-vis des merveilles de la Sarkozie trépassée.
    M. Mélenchon ne sait pas lire, voilà tout.
    Il n’a aucune mémoire politique, ce qui revient au même.
    Il est sans doute la personnalité la moins digne de confiance de ce pays , aux plans intellectuel et politique.
    Son nez de tribun bougon ne peut aujourd’hui s’honorer d’avoir senti - jamais ! - aucun parfum historique, quel qu’il soit, porteur d’intérêt notable. Son combat de nain contre Marine le Pen aura tourné pour lui, comme on le sait, au Waterloo picard. Tour à tour trotskiste, socialiste, stalinisant et #patriote va-de-la-gueule, M. Mélenchon fut aussi celui, plus anecdotiquement, qui crut fin de dénoncer, lors de la dernière - lointaine - contre-réforme des retraites, et des (trop rares) manifestations offensives ayant émaillé celle-ci (à l’honneur, d’ailleurs, de ceux qui y participèrent) les policiers déguisés en casseurs sabotant, inévitables, les grands mouvements populaires dont M. Mélenchon n’aime rien tant que rêver de prendre la tête, laquelle n’existe jamais, ni le corps, hélas ! Le bougre fit ainsi la preuve de son ineffable génie machiavélien , biberonné au complotisme de pointe, et à la stratégie de la tension journalistique-citoyenne-solidaire, auxquels seul, désormais, l’intuitionnisme d’un autre cador gauche-de-la-gauche, M. Besancenot, serait en mesure de donner la réplique dignement suffisante. Des flics déguisés en #casseurs. Bravo. Ou comment inventer l’eau tiède pour nous resservir aussitôt, en guise de banquet idéel, un plein baquet de puante lavasse militante #alter-étatique. Le résultat concret de cela, pour la petite histoire, on s’en souvient peut-être, c’est qu’un certain Ninja (ainsi que le baptisèrent les journaux), authentique anarcho-autonome anonyme ayant osé - devant toutes les caméras de l’univers - briser un soir par saine colère une ignoble vitrine de banque, fit rapidement les frais des épanchements complotistes (médiatiques) de M. Mélenchon. Les flics, échaudés par l’affaire et s’étant mis au travail, se firent ainsi un malin plaisir de déjuger notre Kissinger national, en allant serrer chez lui l’infortuné Ninja , un triste matin, avant de l’expédier en prison pour ses odieux forfaits, durant une année entière. Le gars n’était pas plus flic que vous ou moi, ou que M. Mélenchon, vous comprenez. Mais voilà ! allez expliquer ces subtilités à ce dernier, lui qui récidivait encore récemment, près du barrage socialiste-assassin de Sivens, lorsqu’une poignée de ces mêmes anarcho-autonomes déjà dénoncés par lui autrefois comme des flics déguisés lui ayant balancé dans la gueule quelques inoffensifs litres de yaourts périmés pour prix de leur haine politique à son endroit, M. Mélenchon eut, de contre-rage, envers la meute déchaînée, ces paroles historiques : « c’est l’extrême-droite qui est sous les cagoules »

    Il fallait y penser.
    Or, M. Mélenchon ne pense guère, ou mal.
    Nous pensons, nous, qu’à l’instar du barrage de #Sivens, il convient de tirer désormais la chasse, rapidement, sur les diverses opinions, intuitions ou lubies de M. Mélenchon, que celles-ci s’avèrent, au choix, grand-russes, antifascistes, démocrates, citoyennes-solidaires ou non.
    Nous pensons que M. Mélenchon peut bien aller se faire voir là où il le désire, avec sa sixième République, du moment que ce soit ailleurs dans ce monde, au point le plus éloigné de notre propre survivance quotidienne.

  • Pourquoi le #salaire minimum nuit à l’#économie
    http://www.cafebabel.fr/article/pourquoi-le-salaire-minimum-nuit-a-leconomie.html

    En nous rap­pe­lant une époque plus dif­fi­cile, les dé­fen­seurs du sa­laire mi­ni­mum nous res­sortent leurs vieilles anec­dotes sur les mi­neurs de char­bon, les do­ckers et les ate­liers clan­des­tins. Mais se faire ex­ploi­ter de la sorte était en­core la meilleure op­tion pour ces tra­vailleurs qui étaient sou­vent de pauvres ex­ploi­tants agri­coles ar­ri­vant tout juste à vivre de leurs ré­coltes.

    Bon, les gars, j’attends vos tags de la mort qui tue.
    #Ayn_Rand