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#désertification

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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 28/10/2022
    2
    @odilon
    @fonkisifou
    2

    Siccità e desertificazione: l’Italia rischia di prosciugarsi

    Più di un quinto del territorio italiano è a rischio desertificazione e la situazione idrica è peggiorata in seguito a un inverno secco che ha visto le precipitazioni ridursi di un terzo rispetto alla normale. In tutto il Paese, i segnali della scarsità idrica stanno alimentando i timori di siccità e desertificazione.

    https://i.imgur.com/sGNSQu1.png

    ▻https://www.nationalgeographic.it/ambiente/2022/10/contenuto-sponsorizzato-siccita-e-desertificazione-litalia-rischi
    #sécheresse #Italie #cartographie #visualisation #carte_interactive #désertification

    CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 11/05/2022
    5
    @kassem
    @biggrizzly
    @fonkisifou
    @ericw
    @stephane_m
    5

    Sécheresse : les scénarios de l’ONU pour les décennies à venir
    ▻https://www.actu-environnement.com/ae/news/secheresse-scenarios-ONU-decennies-a-venir-39619.php4

    « Les faits et les chiffres de cette publication pointent tous dans la même direction : une trajectoire ascendante de la durée des #sécheresses et de la gravité des impacts, affectant non seulement les sociétés humaines mais aussi les systèmes écologiques dont dépend la survie de toute vie, y compris celle de notre propre espèce », a déclaré Ibrahim Thiaw, secrétaire exécutif de la Convention cadre des Nations unies sur la #désertification (CCNUD), à l’occasion de la publication d’un nouveau rapport onusien, le 11 mai. La sécheresse en chiffres : restauration pour la préparation et la résilience entend accélérer les décisions de la COP 15 sur la désertification, qui a débuté à d’Abidjan (Côte d’Ivoire), le 9 mai.

    Et ces chiffres sont préoccupants. Depuis 2000, la fréquence et la durée des sécheresses ont augmenté de 29 %. En 2022, plus de 2,3 milliards de personnes sont confrontées au stress hydrique et près de 160 millions d’enfants sont exposés à des sécheresses graves et prolongées. L’Afrique est le continent le plus touché. Mais l’Europe est aussi concernée. Aujourd’hui, 15 % des terres et 17 % de la population de l’Union européenne sont atteintes par le manque d’eau. Quant à l’Asie, les 1,9 milliard de personnes alimentées par le bassin-versant de l’Hindu Kush sont désormais suspendues à l’évolution de la sécheresse de l’Himalaya.

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 11/05/2022

      #climat

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 17/12/2021
    1
    @odilon
    1

    Towards a just agricultural transition in North Africa

    https://longreads.tni.org/wp-content/uploads/2021/12/Agricultural-transition-in-North-Africa_01-scaled.jpg

    The bleak reality of global climate change becomes clearer with each new report issued by the Intergovernmental Panel on Climate Change.1 North Africa is extremely vulnerable in the face of climatic and environmental crises, which are a daily occurrence in the lives of the millions of people living in the arid, semi-arid and desert areas of the region. Over the last few decades, drought rates and temperatures have risen continuously, leading to increasing desertification. The region also suffers from severe water scarcity2, land degradation and livestock depletion.3 The accelerated environmental crises directly and indirectly affect agriculture (including grazing) and fishing activities. They also intensify poverty and erode food sovereignty.4 Approximately 52 per cent of the total population in North Africa live in rural areas5 and this population, which includes small-scale farmers and farm workers, is among the poorest and most impacted by the stark effects of agroecological crises.

    North Africa’s perilous situation in regard to climate change stands in contrast to the fact that the region accounts for a very small percentage of global greenhouse gas emissions. In 2017, the entire African continent produced approximately 4 per cent of global carbon dioxide emissions, while the average emissions per African person were the lowest in the world, at approximately 0.9 tonnes per annum.6 In the North Africa region, Egypt produced 0.6 per cent of global emissions, Algeria 0.5 per cent, Tunisia 0.1 per cent and Morocco 0.15 per cent.7 A recent study shows the global unevenness of greenhouse gas emissions: while the Global North’s rates stand at 90 per cent, the Global South produces only 10 per cent.8 However, countries in the Global South bear the brunt of the crises brought on by climate change, and are in dire need of a just transition – to help mitigate the harmful impacts of environmental change and to adapt to their long-term consequences.

    Agriculture is both negatively impacted by climate change and a significant contributor to it. Due to the dominance of global capitalist food systems and industrial agricultural production, land use and forest management accounted for a total of 23 per cent of greenhouse gas emissions between 2007 and 2016.9 North African countries are no exception to this pattern, dominated as they are by a high-emissions corporate food regime.10 Against this background it is vital to assess the possibilities for, and obstacles to, a just transition in the North African agricultural sector.

    (...)

    ▻https://longreads.tni.org/towards-a-just-agricultural-transition-in-north-africa
    #Afrique_du_Nord #transition_agricole #agriculture #climat #changement_climatique #désertification #eau #sécheresse #pêche #souveraineté_alimentaire #néolibéralisme #paysannerie #extractivisme #agriculture_régénérative #agro-écologie #agroécologie

    CDB_77 @cdb_77
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  • @sombre
    Sombre @sombre CC BY-NC-SA 9/04/2021
    2
    @ant1
    @monolecte
    2

    Des milliards d’arbres cartographiés dans le désert grâce à des satellites et des supercalculateurs
    ▻https://theconversation.com/des-milliards-darbres-cartographies-dans-le-desert-grace-a-des-sate

    Les zones arides et semi-arides sont à l’étude depuis longtemps, pour savoir si leur couvert végétal régresse. En effet, la théorie selon laquelle le Sahara s’étendait et la végétation ligneuse reculait a été émise pour la première fois dans les années 1930. Puis, la « grande sécheresse » des années 1970 au Sahel a mis l’accent sur la désertification causée par la surexploitation et par le changement climatique. Au cours des dernières décennies, c’est l’impact potentiel du changement climatique sur la végétation qui a été la principale préoccupation – et l’effet rétroactif de la végétation sur le climat, lié au rôle de la végétation dans le cycle global du carbone.

    #végétalisation #arbres #machine_learning #apprentissage_automatique #technologie #Afrique_sahélienne #désertification

    On espère seulement que ces technologies somme toute fort coûteuses ne serviront pas à spolier les habitant·es de la région de leurs terres cultivables au profit de quelques consortiums financiaro-industriels.

    Sombre @sombre CC BY-NC-SA
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 30/01/2021
    10
    @02myseenthis01
    @kassem
    @odilon
    @simplicissimus
    @lyco
    @7h36
    @reka
    @fsoulabaille
    @solitudemaisdishuits
    @lieuxcommuns
    10

    Les #steppes d’#Asie_centrale menacées par la #désertification | CNRS Le journal
    ▻https://lejournal.cnrs.fr/articles/les-steppes-dasie-centrale-menacees-par-la-desertification

    https://lejournal.cnrs.fr/sites/default/files/styles/visuel_principal/public/assets/images/adobestock_191024891_72dpi.jpg

    Des contreforts nord du plateau du Tibet au sud de la Sibérie, de l’ouest du Kazakhstan à l’est de la Mongolie, s’étend l’un des plus vastes #écosystèmes au monde : les steppes d’Asie centrale. À perte de vue, un océan herbacé accueille une riche #biodiversité : élans, gazelles, ours bruns, léopards ou tigres sibériens, entre autres espèces remarquables, y ont élu domicile.

    Pourtant, à cette vaste géographie il manquait l’histoire. L’#histoire_naturelle, s’entend. L’évolution de ces steppes au cours des âges géologiques restait mystérieuse car très peu étudiée. Une équipe franco-néerlandaise est venue pallier cette lacune. Elle vient de présenter, pour la première fois, une chronologie des grands événements climatiques et environnementaux (en anglais) survenus au cours des derniers 40 millions d’années. Cette histoire montre à quel point la steppe est fragile et vulnérable aux modifications du #climat [▻https://advances.sciencemag.org/content/6/41/eabb8227].

    Pour les chercheurs, ces steppes pourraient redevenir un désert hyper-aride. Déjà, la dégradation des écosystèmes est visible. Pour preuve, l’avancée du #désert de #Gobi a conduit les autorités chinoises à se lancer dans un vaste programme de reboisement appelé « grande muraille verte ». « L’un des scénarios possibles est que l’avancée du désert ne laisse que des îlots de fertilité. Puis, si les zones mortes continuent de s’étendre, alors ces zones fertiles pourraient à leur tour disparaître », anticipe le chercheur.

    Or, cette évolution pourrait être irréversible. « Ce que montrent nos travaux, c’est qu’il existe un seuil au-delà duquel on ne peut pas revenir en arrière. Une fois que l’environne
    ment désertique se met en place, il peut se maintenir sur des millions d’années. Ainsi, même si l’on parvenait à contrôler les niveaux de CO2 dans l’atmosphère, revenir à la situation antérieure serait impossible », prévient Guillaume Dupont-Nivet. Si ce scénario catastrophe venait à se réaliser, ce sont les moyens de vie de centaines de millions de personnes qui s’écrouleraient en quelques décennies. ♦

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 28/09/2020
    4
    @biggrizzly
    @kassem
    @ericw
    @reka
    4

    Vers une désertification scientifique et universitaire du territoire français ?

    https://i.imgur.com/ttCTUOB.png https://i.imgur.com/nfwIaFd.png

    ▻https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-02943730/document
    #France #inégalités_territoriales #université #facs #désertification #désertification_scientifique #désertification_universitaire #cartographie #visualisation #aménagement_du_territoire #investissement #répartition_des_moyens #villes_moyennes #financements

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 28/09/2020

      « Nous avons besoin d’établissements universitaires à taille humaine, structurés en petites entités autonomes »

      Pour répondre à l’augmentation du nombre d’étudiants et à la crise sanitaire, un collectif d’universitaires propose, dans une tribune au « Monde », un plan d’urgence pour 2021. Et recommande notamment l’ouverture de trois nouvelles universités dans des villes moyennes.

      A l’université, la rentrée prend des airs de cauchemar. Nous payons le fait qu’en dix ans, l’ensemble des instances locales de délibération et de décision, qui auraient été les plus à même d’anticiper les problèmes, ont été privées de leurs capacités d’action au profit de strates bureaucratiques.

      Le pouvoir centralisé de celles-ci n’a d’égal que leur incapacité à gérer même les choses les plus simples, comme l’approvisionnement en gel hydroalcoolique et en lingettes. Le succès instantané du concept de « démerdentiel » est un désaveu cinglant pour ces manageurs qui ne savent que produire des communiqués erratiques jonglant entre rentrée en « présentiel » et en « distanciel ».

      On sait pourtant à quelles conditions les universités, au lieu de devenir des foyers de contagion, auraient pu contribuer à endiguer la circulation du virus : des tests salivaires collectifs pour chaque groupe de travaux dirigés (TD), à l’instar de ce qui est mis en place à Urbana-Champaign, aux Etats-Unis ; la mise à disposition de thermomètres frontaux ; une amélioration des systèmes de ventilation de chaque salle et de chaque amphi, avec adjonction de filtres à air HEPA et de flashs UV [des rayons désinfectants] si nécessaire ; l’installation de capteurs de qualité de l’air dans chaque pièce, avec un seuil d’alerte ; la réquisition de locaux vacants et le recrutement de personnel pour dédoubler cours et TD, partout où cela est requis.

      Un budget insuffisant

      Les grandes villes ne manquent pas d’immeubles sous-exploités, souvent issus du patrimoine de l’Etat, qui auraient pu être très vite transformés en annexes universitaires. De brillants titulaires d’un doctorat capables d’enseigner immédiatement à temps plein attendent, par milliers, un poste depuis des années. Tout était possible en l’espace de ces huit derniers mois, rien n’a été fait.

      De prime abord, on serait tenté d’attribuer ce bilan au fait que la crise sanitaire, inédite, a pris de court les bureaucraties universitaires, très semblables à celles qui, depuis vingt ans, entendent piloter les hôpitaux avec le succès que l’on a vu.

      Mais une autre donnée vient éclairer cette rentrée : les universités accueillent 57 700 nouveaux étudiants, sans amphithéâtre ni salle supplémentaire, sans le moindre matériel, sans le plus petit recrutement d’universitaires et de personnel administratif et technique. Ces trois dernières années, le budget des universités a crû de 1,3 % par an, ce qui est inférieur à l’effet cumulé de l’inflation et de l’accroissement mécanique de la masse salariale.

      Certains se prévaudront sans doute de l’« effort sans commune mesure depuis 1945 » qu’est censée manifester la loi de programmation de la recherche en discussion au Parlement. Las : le projet de budget du gouvernement ne prévoit qu’un accroissement, pour les universités, de 1,1 % en 2021… Du reste, les 8,2 milliards d’euros d’abondement sur dix ans du budget de l’université proviennent des 11,6 milliards d’euros qui seront prélevés dans les salaires bruts des universitaires, en application de la réforme des retraites.

      Réquisitions et réaménagements

      Il y a quinze ans, les statistiques prévisionnelles de l’Etat annonçaient que la population étudiante allait croître de 30 % entre 2010 et 2025 (soit 400 000 étudiants en plus), pour des raisons démographiques et grâce à l’allongement de la durée des études. On aurait donc largement pu anticiper ces 57 700 nouveaux étudiants. Mais rien n’a été fait là non plus, hormis annoncer des « créations de places » jamais converties en moyens.

      Le pic démographique n’est pas derrière nous ; nos étudiants sont là pour plusieurs années, et les gestes barrières pourraient devoir être maintenus durablement. Le ministère ne peut pas persévérer comme si de rien n’était, voire arguer qu’il est déjà trop tard.

      Face à cette situation désastreuse, nous demandons une vaste campagne de recrutement de personnels titulaires dans tous les corps de métiers, tout en amorçant les réquisitions et réaménagements de locaux, afin d’aborder la rentrée 2021 dans des conditions acceptables.

      Parallèlement, si nous ne voulons pas être en permanence en retard d’une crise, un saut qualitatif est nécessaire. Nous demandons donc, outre un plan d’urgence pour 2021, la création rapide de trois universités expérimentales de taille moyenne (20 000 étudiants), correspondant à ce qui aurait dû être fait pour accueillir 57 700 étudiants dans de bonnes conditions. Cela requiert le recrutement sous statut de 4 200 universitaires et 3 400 personnels d’appui et de soutien supplémentaires, soit un budget de 500 millions d’euros par an.

      S’extraire du cauchemar

      Nous avons besoin d’établissements à taille humaine, structurés en petites entités autonomes, mises en réseau confédéral, si besoin grâce au numérique ; d’établissements qui offrent à notre jeunesse maltraitée des perspectives d’émancipation vis-à-vis du milieu d’origine et de la sclérose intellectuelle qui frappe le pays ; d’établissements qui permettent une recherche autonome, collégiale et favorisant le temps long, ce qui nous a manqué dans l’anticipation et la prévention de la pandémie.

      Pour cela, nous préconisons l’installation de ces trois universités dans des villes moyennes, hors des métropoles, en prenant appui sur le patrimoine bâti abandonné par l’Etat et sur les biens sous-utilisés des collectivités. En effet, celles-ci possèdent d’anciens tribunaux, des garnisons, voire des bâtiments ecclésiastiques qui tombent aujourd’hui en déshérence.

      Réinvesti par l’université, ce patrimoine retrouverait une utilité sociale. Sur la base des dépenses de l’« opération Campus » [un plan lancé en 2008 en faveur de l’immobilier universitaire], la construction de ces pôles dotés de résidences étudiantes en nombre suffisant nécessiterait un milliard d’euros d’investissement, à quoi il faudrait ajouter cent millions d’euros de frais de maintenance et d’entretien. C’est le prix pour s’extraire du cauchemar. Le virus se nourrit de nos renoncements. Pour sortir les campus de l’ornière, nous devons retrouver l’ambition d’une université forte, exigeante, libre et ouverte.

      Stéphane André, professeur en ingénierie à l’université de Lorraine ; Bruno Andreotti, professeur en physique à l’université de Paris ; Pascale Dubus, maîtresse de conférences en histoire de l’art à l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne ; Julien Gossa, maître de conférences en informatique à l’université de Strasbourg ; Jacques Haiech, professeur honoraire de biotechnologie à l’université de Strasbourg ; Pérola Milman, directrice de recherche en physique quantique au CNRS ; Pierre-Yves Modicom, maître de conférences en linguistique allemande à l’université Bordeaux-Montaigne ; Johanna Siméant-Germanos, professeure en sciences politiques à l’Ecole normale supérieure.

      ►https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/09/28/nous-avons-besoin-d-etablissements-universitaires-a-taille-humaine-structure

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 28/09/2020

      Une #vidéo de 3min50 de #Hugo_Harari-Kermadec, économiste, qui montre que la #concentration_des_moyens sur 20 universités, soi-disant pour la recherche, permet aussi de concentrer les moyens sur les universités où vont les étudiant.e.s de classes les plus aisées :

      ▻https://www.youtube.com/watch?v=akhwH4ARtYA&feature=youtu.be

      #classes_sociales #LPPR #compétition

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/10/2020

      Comment la loi de programmation de la recherche aggrave les inégalités entre territoires en France

      La loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPR) qui est actuellement en débat au Parlement et crispe le monde universitaire français s’inscrit dans le prolongement de réformes menées en France depuis 20 ans.

      Au-delà des alternances politiques, les lois successives ont eu pour point commun de se fonder sur ce que certains chercheurs ont appelé des croyances inspirées pour la plupart de modèles macro-économiques prônant la compétition et la destruction créatrice. Elles peuvent être résumées à l’aide d’un petit nombre d’axiomes, ces vérités admises sans démonstration.

      La recherche française est en déclin et n’arrive pas à faire face à la concurrence mondiale.

      Il découle de ce premier axiome la nécessité d’imposer des réformes au nom de l’intérêt national.

      La concentration des moyens de la recherche publique autour de quelques grands pôles est plus efficace que leur équipartition entre l’ensemble des établissements.

      Ce second axiome a justifié la mise en place successive d’une dizaine de conglomérats (PRES, COMUE ou IDEX) supposés répondre le mieux aux critères d’excellence et de taille.

      La compétition est le moteur principal de la performance, tant au niveau des individus que des établissements de recherche ou des territoires qui les accueillent.

      https://images.theconversation.com/files/358379/original/file-20200916-16-8a64kz.png?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=434&fit=crop&dpr=1#.jpg

      Ce dernier axiome justifie, d’une part, la mise en place d’avantages spécifiques pour les individus réputés les plus performants (accès au statut de membre de l’Institut Universitaire de France (IUF), obtention d’un poste de tenure tracks) et, d’autre part, un cumul de crédits au profit des établissements de recherche qui en ont obtenu antérieurement (notamment avec l’accroissement du préciput dans la LPR).

      Mais ces axiomes sont-ils démontrés ? Et quel est l’impact de leur application en matière d’aménagement du territoire ?
      La position de la recherche française dans les réseaux internationaux

      En 2016, d’après le dernier rapport de l’OST-HCERES, la France se situait au 8e rang mondial en production et au 5e rang en part de citations reçues par sa production. Malgré une augmentation continue du volume de ses publications internationales, la place relative de la France a baissé depuis le début des années 2000 ce qui contribue à alimenter l’idée d’un déclin… sauf que sur la même période, la Chine est passée du 8e au 2e rang mondial et l’Inde du 12e au 6e. Aussi, cette évolution traduit bien davantage la montée en puissance des pays émergents qu’une crise spécifique à la France.

      Le fait même de totaliser le volume de recherche par pays tend à masquer le fonctionnement réel de la recherche qui s’opère en réseau. L’examen détaillé des dynamiques de coopération scientifique montre d’ailleurs le rôle croissant joué par les petites villes universitaires françaises dans la production mondiale.

      https://images.theconversation.com/files/360912/original/file-20200930-20-ic778i.png?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=501&fit=crop&dpr=1#.jpg

      Cette évolution résulte du rôle croissant des établissements d’enseignement supérieur dans la recherche mondiale. Les universités s’étant multipliées et diffusées dans l’armature urbaine au cours du XXᵉ siècle, la recherche est devenue plus polycentrique et l’on peut sans exagérer affirmer qu’elle n’est plus exclusivement le fait de quelques savants concentrés dans quelques hauts lieux de la connaissance, et a fortiori pour le cas de la France, à Paris.

      Sur le plan international, la France est bien intégrée au réseau scientifique mondial du fait des nombreux liens de coopération plutôt que de compétition qu’elle a su tisser et qui bénéficient à la fois de proximités spatiales et linguistiques, en témoignent encore une fois les derniers rapports de l’OST-HCERES.
      Concentration et rendements décroissants

      La recherche s’opérant à travers un réseau de villes universitaires, est-il pertinent comme le propose la LPR de concentrer les moyens dans quelques établissements des grandes métropoles françaises ?

      Un ensemble de travaux repris dans un dossier de La Vie des Idées montrent le rôle contre-productif de la concentration des crédits de recherche sur une petite élite et suggèrent que la meilleure recherche ne se fait ni nécessairement dans les plus grosses équipes, ni dans les plus grandes villes.

      Comme l’écrivait déjà la géographe Madeleine Brocard en 1991 dont les propos n’ont pas été démentis depuis :

      « La notion de “pôle d’excellence scientifique” revient régulièrement dans les discours concernant la recherche publique, puisqu’il s’agit de répartir les moyens de l’État. Elle s’appuie sur l’idée qu’il existe des effets de seuil : au-delà d’un certain seuil quantitatif de chercheurs dans une discipline donnée, la concentration de matière grise et d’équipements déclencherait l’étincelle. Cela n’a jamais été prouvé. »

      Les politiques menées depuis le début des années 2000 se sont pourtant employées à créer de grands pôles universitaires au prétexte de remonter les universités françaises dans le classement de Shanghai.

      En observant les dynamiques de recherche françaises entre 1980 et 2017, on observe cependant que les villes ayant bénéficié des financements issus des politiques d’excellence n’ont pas, suite à l’application de ces politiques, participé davantage que les villes petites et moyennes à la production scientifique du pays. Depuis la fin des années 1970, on assiste au contraire à une déconcentration et à une diversification des espaces de production du savoir, quelle que soit l’échelle d’analyse.
      L’importance des petits centres et des réseaux de proximité

      Créative, de qualité, la recherche menée dans les petits sites est en mesure de se connecter aux réseaux de recherche internationaux comme aux tissus locaux par le biais de coopérations avec des entreprises, d’actions de médiations et de valorisation des savoirs.

      On peut prendre le cas de la Fédération de recherche en chimie durable connue sous le nom du réseau INCREASE, dont le siège se trouve à Poitiers, qui mobilise des industriels locaux et internationaux, ainsi que des équipes de recherche en pointe réparties dans plusieurs villes de l’arc atlantique, et qui organise tous les deux ans un grand colloque international dans la ville de La Rochelle.

      Priver des universités de taille modeste comme Poitiers ou La Rochelle de moyens pour faire de la recherche, c’est risquer de nuire à la capacité de production académique du pays dans son ensemble, à la vitalité des territoires, et de fragiliser les réseaux de recherche tel que le réseau INCREASE. Or, nous l’avons vu, la circulation des idées que ce réseau permet entre villes de différentes régions ainsi qu’entre scientifiques de différentes spécialités et nationalités alimente les avancées scientifiques.

      https://images.theconversation.com/files/361184/original/file-20201001-22-ttt18k.png?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=441&fit=crop&dpr=1#.jpg

      Analyse prospective des effets démographiques et économiques de la LPR

      L’aménagement du territoire, cette « ardente obligation » selon le mot du général de Gaulle, semble bien mis à mal par la concentration croissante des moyens publics de recherche et d’enseignement supérieur au profit d’un très petit nombre de campus et d’initiatives d’excellences.

      En concentrant les populations de jeunes diplômés dans quelques points du territoire, la LPR risque d’amplifier la décroissance démographique des espaces périphériques ou des villes petites et moyennes. Elle va également accentuer les inégalités entre les régions et à l’intérieur de celle-ci.

      Une étude réalisée pour le Parlement européen sur les régions en décroissance et ultérieurement complétée par un ouvrage de synthèse en français permet de situer les effets prévisibles de la LPR par rapport trois types de stratégies d’aménagement du territoire et de décentralisation.

      https://images.theconversation.com/files/360746/original/file-20200930-22-1cgckok.png?ixlib=rb-1.1.0&q=45&auto=format&w=600&h=851&fit=crop&dpr=1#.jpg

      La stratégie de métropolisation correspond à une politique de laissez-faire dénoncée en 2017 par un rapport du Sénat :

      « le développement économique se concentre essentiellement autour de quelques pôles métropolitains. Par contraste, de nombreux territoires connaissent un sentiment d’abandon et de « décrochage »).

      Or, notre analyse montre que les impacts négatifs de cette politique en termes de cohésion sociale et territoriale ne semblent nullement compensés par une efficacité économique supérieure.

      La stratégie de sacrifice territorial correspond davantage à la stratégie d’université d’excellence développée en Allemagne où le réseau urbain est moins polarisé par la capitale nationale. Mais il permet d’anticiper en France les effets de la LPR dans les nouvelles régions fusionnées issues des réformes territoriales de 2014-2015.

      Les anciennes régions affaiblies par la perte de leur capitale régionale (Champagne-Ardennes, Lorraine, Auvergne, Limousin, Poitou-Charentes, Picardie…) risquent de voir leur tissu scientifique et économique destructurés au profit d’une nouvelle métropole éloignée concentrant les crédits de recherche.

      La stratégie du polycentrisme en réseau supposerait au contraire la mise en place de réseaux scientifiques à la fois territoriaux et thématiques visant à maximiser les synergies locales et les connexions nationales et internationales. Leur objectif consisterait tout d’abord à développer d’authentiques politiques régionales de mise en réseau des acteurs de la recherche et de l’innovation. Mais également à mettre en place des fédérations de recherche d’échelle nationale et internationale autour de domaines scientifiques ou d’enjeux industriels précis, à l’exemple de la chimie.

      Une politique aveugle au fonctionnement des territoires et des réseaux

      En l’absence d’une concertation suffisante avec les représentants légitimes des territoires et de toute consultation des citoyens, la Loi de programmation pluriannuelle de la recherche tourne résolument le dos à plus d’un demi-siècle de politique d’aménagement du territoire en France.

      Aveugle à l’espace, cette politique remet en cause la politique de décentralisation et risque par là même de renforcer le mécontentement des citoyens face aux nouvelles régions ou métropoles issues de la loi MAPTAM. À l’intérieur des grandes métropoles, elle va pourrait également contribuer au renforcement de la ségrégation sociale en opposant les étudiants des établissements universitaires sélectifs à des universités périphériques ouvertes à tous mais paupérisées.

      Rejoignant les conclusions du rapport sénatorial de 2017 nous constatons que la conséquence de la « passivité » de l’État est un accroissement sans précédent des inégalités entre les territoires et le sentiment pour une partie de la population d’être « oubliée de la République ».

      Et par ailleurs que :

      « La seule issue serait d’engager une nouvelle politique d’aménagement du territoire forte et volontariste impliquant des évolutions institutionnelles et l’ensemble des parties prenantes (élus, administrations locales et centrales, acteurs privés, etc.). »

      A contrario de la LPR, le plan « Université 2000 » (1990-1995) puis le plan « Université du 3ᵉ millénaire » (1999-2000) avaient permis d’assurer un rééquilibrage qualitatif et quantitatif de l’offre de formation à tous les niveaux urbains. Face à des décisions qui vont engager l’avenir des territoires français, il apparaît nécessaire d’examiner plus précisément les conséquences prévisibles de la LPR en matière d’aménagement du territoire et de décentralisation. Et d’explorer la possibilité de mettre en place d’autres stratégies n’impliquant pas la destruction supposée « créatrice » des réseaux scientifiques et territoriaux.

      ▻https://theconversation.com/comment-la-loi-de-programmation-de-la-recherche-aggrave-les-inegali

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 23/09/2020
    3
    @jacotte
    @02myseenthis01
    @kaparia
    3

    Désertification en Roumanie - Regarder le documentaire complet | ARTE
    ▻https://www.arte.tv/fr/videos/090637-044-A/arte-regards-desertification-en-roumanie

    https://api-cdn.arte.tv/api/mami/v1/program/fr/090637-044-A/940x530#.jpg

    L’#Olténie, une région du sud-ouest de la #Roumanie, est de plus en plus touchée par la #désertification. La chaleur et la #sècheresse y augmentent chaque année, de même que les #tempêtes_de_sables qui se propagent jusqu’à Bucarest. Un groupe d’#écologistes tente d’empêcher le pire grâce au reboisement, tandis que les agriculteurs se tournent vers de nouvelles cultures fruitières.

    #ensablement #agro-industrie #pac #déforestation #climat et #bravo à Octavian

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @pguilli
    pguilli @pguilli 9/02/2020
    4
    @odilon
    @simplicissimus
    @marielle
    @sinehebdo
    4

    « On va avoir un paysage lunaire ! » L’Espagne affronte la désertification
    ▻https://reporterre.net/On-va-avoir-un-paysage-lunaire-L-Espagne-affronte-la-desertification

    https://reporterre.net/local/cache-gd2/ee/645db5a9de9922afd9344c46cb2e42.jpg?1581071272

    Une promenade au-dessus d’Almería, en Andalousie, permet de lire dans le paysage la transformation qu’a connue l’agriculture espagnole dans les dernières décennies : à flanc de montagne, les terrasses qui supportaient autrefois une agriculture à petite échelle s’effondrent lentement. En contrebas, le long de la Méditerranée, la célèbre « mer de plastique » — 30.000 hectares de cultures sous serre — épuise les aquifères, touchés par des intrusions d’eau saline. En haut comme en bas, les sols sont fortement dégradés. Et cela devient un problème encombrant en Espagne, pays dont 74 % du territoire est soumis à un risque de désertification — selon les critères de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification — car composé de zones arides, semi-arides ou subtropicales sèches.

    #écologie #désertification

    pguilli @pguilli
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 26/02/2020

      On l’ajoute à la quatrième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/818991

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 24/10/2019
    3
    @odilon
    @sinehebdo
    @massivesci
    3

    How to Halt Global Warming for $300 Billion | Time
    ▻https://time.com/5709100/halt-climate-change-300-billion
    ▻https://timedotcom.files.wordpress.com/2019/10/global-warming-desertification.jpg?quality=85&w=1024&h=6

    $300 billion. That’s the money needed to stop the rise in greenhouse gases and buy up to 20 years of time to fix global warming, according to United Nations climate scientists. It’s the gross domestic product of Chile, or the world’s military spending every 60 days.

    The sum is not to fund green technologies or finance a moonshot solution to emissions, but to use simple, age-old practices to lock millions of tons of carbon back into an overlooked and over-exploited resource: the soil.

    “We have lost the biological function of soils. We have got to reverse that,” said Barron J. Orr, lead scientist for the UN Convention to Combat Desertification. “If we do it, we are turning the land into the big part of the solution for climate change.”

    Rene Castro Salazar, an assistant director general at the UN Food and Agriculture Organization, said that of the 2 billion hectares (almost 5 billion acres) of land around the world that has been degraded by misuse, overgrazing, deforestation and other largely human factors, 900 million hectares could be restored.

    #climat #sols #onu #désertification

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 24/10/2019

      Climat : 300 milliards $ pour stocker le #carbone dans le #sol et ralentir le réchauffement climatique pendant 20 ans
      ▻https://www.agenceecofin.com/gouvernance/2410-70427-climat-300-milliards-pour-stocker-le-carbone-dans-le-sol-et

      https://www.agenceecofin.com/media/k2/items/cache/40a9b59a210b7e5e9199910dd4191712_M.jpg

      Le financement requis est l’équivalent de [...] ce que dépense le monde pour les opérations militaires en deux mois.

      #co2

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 26/10/2019

      On l’ajoute à la troisième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/680147

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 25/08/2019

    #Africa_Rising documentary

    From Clover films and film maker #Jamie_Doran, comes a documentary examining the failure of western policies towards Africa and rethinking the role of western aid workers on the continent.

    Narrated by Tilda Swinton, Africa Rising takes a look at the benefits of ’Self Help’ in Ethiopia, a country potentially rich in resources, looking to find its own way out of poverty.

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=kYS7T9UMrsA


    #film #documentaire #Afrique #développement #aide_au_développement #coopération_au_développement #Ethiopie #self-help #pauvreté #Afrique #famine #sécheresse #monoculture #agriculture #seasonal_hunger #malnutrition #cash_crops #semences #femmes #genre #micro-crédit #Sodo_region #syndrome_de_la_dépendance #dépendance_de_l'aide_internationale #santé #self-aid #désertification #self-help_Sodo #coopérative #coopérative_agricole #éducation

    CDB_77 @cdb_77
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 15/12/2018
    2
    @recriweb
    @bce_106_6
    2
    @monolecte

    Gauvain Sers - Les oubliés
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=r_PW-HZPIj8

    #campagne #désertification :(
    @monolecte

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 29/11/2018
    5
    @pierre5
    @mondes
    @vanderling
    @recriweb
    @odilon
    5

    Après plusieurs décennies de #désertification, certaines zones #rurales sont réinvesties par des populations #urbaines. Mais parfois, le partage d’un territoire par ses #habitants ne suffit plus à construire une #identité commune. Qu’en pensez-vous ?

    ►https://sms.hypotheses.org/6685

    https://f-origin.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1243/files/2016/03/8405336429_a70a6a9173_z-300x249.jpg

    #désert, #désertification, #village, #rural, #urbain, #habitant, #identité, #territoire, #vie, #quotidien, #vivre

    Mondes Sociaux @mondes
    • @mondes
      Mondes Sociaux @mondes 29/11/2018

      #documentaire, #film, #film-recherche

      Mondes Sociaux @mondes
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/11/2018

      #géographie_rurale

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 9/10/2018
    7
    @unagi
    @simplicissimus
    @monolecte
    @sombre
    @7h36
    @sinehebdo
    @rastapopoulos
    7
    @albertocampiphoto

    “If the water finishes, we will leave”: Drought is forcing hundreds of thousands of Afghans from their homes

    Afghanistan is besieged by decades of conflict, but more people this year have been displaced by drought than war.

    The severe drought has dried up riverbeds and water sources, withered crops, and forced 250,000 people from their homes.

    Journalist Stefanie Glinski spent a week between Herat and Badghis – two of the hardest-hit provinces in western Afghanistan. As these images show, she found parched fields, abandoned homes, and families struggling to cope.

    In the barren hills of Badghis, a gravel road winds through a dusty landscape, where wells and rivers have dried up completely.

    As desperation rises, some families have turned to selling off their daughters, through child marriage, in order to pay off swelling debt.

    Tens of thousands have fled to urban centres, living under simple tents. Available water, food, and healthcare fall far short of what’s needed. Aid groups have stepped in with limited emergency aid, but they acknowledge it hasn’t been enough to reach all the estimated 1.4 million people who require help.

    The Famine Early Warning Systems Network, which tracks food security around the world, is warning of more difficulties ahead: it predicts that the combination of a stumbling economy, instability, and failing crops will increase the need for food aid into next year.

    In remote Qapchiq, a village in Badghis’ Abkamari district, community leader Saskidad says his family has already lost their entire harvest.

    This year’s drought, he says, is “the worst I’ve ever seen”.

    https://assets.irinnews.org/s3fs-public/afghanistan-droughtphotos-2.jpg?iRWIBHTed_F3wtG3mlt8CPA.hcMB31DY#.jpg https://assets.irinnews.org/s3fs-public/afghanistan-droughtphotos-3.jpg?o.qKhJ1pFg2S3faJiIV8hWGjwhGpdi5N#.jpg https://assets.irinnews.org/s3fs-public/afghanistan-droughtphotos-5.jpg?UAnzPqofPEh3H3r_n1hqPyKEcq0TK7AF#.jpg https://assets.irinnews.org/s3fs-public/afghanistan-droughtphotos-6.jpg?igthB8aEmgRvZTPM.tR5A8CxSEIpILG0#.jpg https://assets.irinnews.org/s3fs-public/afghanistan-droughtphotos-10.jpg?zOCN5811Yxc2PsnqNDQz7NZNH7o5ovlT#.jpg

    ▻https://www.irinnews.org/photo-feature/2018/10/04/if-water-finishes-we-will-leave-drought-forcing-hundreds-thousands-afghans
    #sécheresse #Afghanistan #eau #migrations #réfugiés #asile #réfugiés_environnementaux #désertification

    #photographie
    cc @albertocampiphoto

    CDB_77 @cdb_77
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 9/10/2018
      @sinehebdo

      @sinehebdo

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 9/10/2018

      On l’ajoute à la troisième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/680147

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 3/10/2018

    Why land degradation in India has increased and how to deal with it
    ▻https://india.mongabay.com/2018/10/03/why-land-degradation-in-india-has-increased-and-how-to-deal-with-it

    https://imgs.mongabay.com/wp-content/uploads/sites/30/2018/10/01154744/Desert-Anantapur-district-AP-1200x800.jpg

    India’s land is undergoing degradation or desertification. In 2011-2013, it stood at 29.3 percent of the total land, representing an increase of 0.57 percent (which is 1.87 million hectares in area) compared with 2003-2005, according to a report-cum-atlas by ISRO’s Space Applications Centre.
    Soil erosion due to water and wind, and degradation of vegetation cover were the main processes that has led to land degradation.
    Almost 90 percent of the states experienced a rise – notably Delhi and the northeastern states – in land degradation in 2011-2013 compared with 2003-2005 while four states showed slight decreases in land degradation.
    Reclaiming degraded lands will require a strict land-use policy and better watershed management initiatives, say experts.

    #sols #dégradation_des_sols #désertification #Inde

    • #India
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 3/10/2018

      Desertification and Land Degradation
      Atlas of India
      (Based on IRS AWiFS data of 2011-13 and 2003-05)
      ▻http://sac.gov.in/SACSITE/Desertification_Atlas_2016_SAC_ISRO.pdf

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @bce_106_6
    bce_106_6 @bce_106_6 18/09/2018

    #pognon_de_dingue #éolien  Incroyable scandale d’état du tarif de rachat de l’électricité produite par les six centrales éoliennes en mer actuellement en projet ne s’arrêtera pas pour le Président Macron et son ministre de l’Écologie François de Rugy.
    ▻http://www.economiematin.fr/news-eoliennes-en-mer-macron-rugy-gaspiller-argent-pognon-dingue

    Le tarif de rachat de ces six projets avait été dévoilé par le Figaro et dans ces colonnes au montant gigantesque de 220 euros le mégawattheure (raccordement compris).

    Cette question avait fini par éclater au grand jour après la Tribune du 3 février dans les Échos de Benjamin Frémaux – ancien collaborateur de Christine Lagarde – intitulée « Le coût exorbitant de l’éolien offshore français » et la question écrite du 6 février sur le sujet du député Julien Aubert à l’Assemblée nationale au ministre de l’économie et des finances (question écrite n° 5074).

    L’ensemble de ces interrogations légitimes avait contraint le gouvernement à lancer en mars une vaste renégociation du tarif de rachat de l’électricité d’origine éolienne maritime tant le prix établi à quatre fois le tarif du brut habituel semblait démesuré.
    La commission de régulation de l’énergie (CRE) avait en juillet 2017 évoqué une subvention aux promoteurs égale à 40 milliards d’euros et, de son côté, la cour des comptes devait dénoncer dans un rapport rendu public en février 2018 un prix de rachat de l’éolien en mer exorbitant et une politique inefficace en la matière.

    http://www.economiematin.fr/img/france-eolienne-marine-inauguration-gouvernement.jpg

    C’est donc par un amendement à l’article 34 de la loi pour une « société de confiance » que le gouvernement a obligé les promoteurs éoliens en mer à renégocier ce tarif de rachat démesuré – on pourrait même dire bizarrement élevé.
    La charge a été sévère pour les promoteurs qui ne s’attendaient pas à une telle volte-face du gouvernement qui les avait habitués à une certaine servilité en la matière. Désormais, ils allaient devoir négocier avec des hauts fonctionnaires de Bercy sensibles aux deniers publics et non plus avec les représentants du ministère de l’Écologie totalement inféodés aux lobbies éoliens.

    Les échos au sein du gouvernement et des médias étaient très durs et la négociation s’annonçait particulièrement serrée. Les négociateurs s’étaient donné comme objectif légitime un prix situé entre 80 et 100 euros le mégawattheure (tarif plus élevé que le tarif obtenu dans les appels d’offre actuels environ 60 euros le mégawattheure). À défaut les six centrales éoliennes en mer pourraient être purement et simplement annulées.

    À cet égard on retiendra que la dernière version de l’amendement du gouvernement consacrait un vaste développement sur la méthodologie d’annulation de ces centrales éoliennes qui représentait presque un tiers de l’amendement.
    Finalement, le Président Macron, en dépit de tout le travail réalisé par les fonctionnaires chargés de la renégociation et outrepassant le travail en cours de l’assemblée nationale, devait annoncer discrétionnairement et avec précipitation le 20 juin dernier la confirmation des six centrales et un prix de rachat de l’électricité en mer fixé au prix gigantesque de 150 euros le mégawattheure pour les promoteurs qui n’avaient plus la charge du raccordement.

    Hasard du calendrier, le Président de la République annonçait cette nouvelle le jour même où dix députés UDI (2), LR(4) et LREM(4) demandaient dans une Tribune dans le Figaro un moratoire de l’éolien en France au profit de la mise en œuvre d’éoliennes flottantes en mer à 50 km des côtes.

    Le Président devait maquiller cette nouvelle en se gaussant d’une prétendue économie de 15 milliards d’euros représentant la différence entre le prix prévu – 220 euros le mégawattheure ( soit 4 fois le prix habituel) – et le prix désormais proposé 150 euros le mégawattheure (soit 3 fois le prix habituel), là où il engageait en réalité la France dans un gaspillage de 25 milliards d’euros sur 20 ans et une explosion de la facture d’électricité des Français.

    La vérité est qu’en refusant de négocier conformément aux études réalisées par les fonctionnaires de Bercy et en voulant céder aux caprices de Nicolas Hulot pour éviter sa démission, le Président de la république a contribué à une dilapidation potentielle considérable de l’argent des français de l’ordre de 50 milliards d’euros sur 40 ans puisque les six centrales sont envisagées sur quatre décennies et ceci sans tenir compte des milliards de subventions pour raccorder les centrales éoliennes, pour créer des usines ou adapter les infrastructures nécessaires.
    Ce gâchis financier, ce gaspillage d’un « pognon de dingue », le Président Macron et le ministre Rugy vont devoir l’assumer s’ils n’envisagent pas les choses autrement après la démission de Nicolas Hulot qui avait d’ailleurs prétexté sur FranceInter de la résistance à l’éolien de cet été comme une des raisons de sa démission.

    Aujourd’hui la révolte gronde en France concernant l’implantation d’éoliennes que ce soit sur terre ou en mer. L’acceptabilité sociale est au plus faible. Lors de l’enquête publique des éoliennes prévues entre Yeu et Noirmoutier, c’est plus de 80 % d’opposition qui s’est exprimée alors que la propagande du lobby éolien tente en vain de faire croire le contraire.

    Macron et Rugy, en installant ces six centrales éoliennes en mer au bord de nos côtes assumeront-ils d’avoir détruit le littoral français source d’une économie du tourisme dynamique, d’avoir détruit les métiers de la pêche qui souffrent déjà des quelques essais réalisés actuellement par les promoteurs éoliens dans les zones prévues, d’avoir détruit les paysages marins et naturels, richesses de notre patrimoine sauvage commun tout en ayant enrichi avec l’argent des contribuables et des consommateurs à hauteur de 50 milliards d’euros les actionnaires des consortiums éoliens qui par l’effet des différentes OPA ne seront bientôt plus français ?

    #environnement #énergie #éolien #électricité #france #éoliennes #écologie #énergie_éolienne #résistance #énergies #politique #pognon-dingue #Dieppe #Le_Tréport #poisson #désertification #peche #pognon_de_dingue #corruption #escrologie

    • #EUR
    • #François de Rugy
    bce_106_6 @bce_106_6
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  • @bce_106_6
    bce_106_6 @bce_106_6 18/09/2018

    #éolien_en-mer Les pêcheurs encerclent la barge Excalibur au large du Tréport 3 Septembre 2018 -Paris Normandie
    ▻https://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/environnement/ils-rejettent-le-parc-eolien--les-pecheurs-encerclent-la-barge-excal

    Manifestation. Une vingtaine de bateaux de pêche ont encerclé hier matin la barge Excalibur au large du Tréport, pour protester contre le projet de parc éolien.

    Les pêcheurs se sont mobilisés, à leur façon, pour marquer leur colère face aux impacts sur le milieu marin et par extension sur leur profession, de la présence de la barge de forage Excalibur. La barge est présente depuis le début de l’été dans la zone du futur parc éolien marin Dieppe-Le Tréport pour effectuer des travaux de carottage. Dès 8 h, hier matin, une douzaine de bateaux sont partis du Tréport. « Nous avons été rejoints...

    https://www.paris-normandie.fr/binrepository/900x675/0c122/900d506/none/10904/UTRS/image_content_24123730_20180903194625.jpg

    #environnement #énergie #éolien #électricité #france #éoliennes #écologie #énergie_éolienne #résistance #énergies #politique #pognon-dingue #Dieppe #Le_Tréport #poisson #désertification #peche #pognon_de_dingue

    • #Excalibur
    bce_106_6 @bce_106_6
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  • @bce_106_6
    bce_106_6 @bce_106_6 18/09/2018

    #éolien_en-mer En Normandie, la barge Excalibur fait trembler le Tréport Isabelle Boidanghein - 06 août 2018 - Le Parisien
    ▻http://www.leparisien.fr/environnement/en-normandie-la-barge-excalibur-fait-trembler-le-treport-06-08-2018-78448

    La barge de forage destinée à valider un projet de parc éolien en mer est bien visible depuis le port de Seine-Maritime. Elle aurait déjà fait fuir plusieurs espèces de poissons.
    Excalibur est là, et bien là, appuyé sur ses huit jambes au fond de la mer. Depuis la mi-juillet, ce mastodonte de 60 x 32 m, pesant 1 000 t et équipé d’une flèche de 62 m, est installé au large du Tréport (Seine-Maritime). Jusqu’en octobre, la barge de forage de la société Fugro France, dotée d’un moteur hydraulique de 300 chevaux, va sonder les sols marins sur 110 km2 pour tester la viabilité du projet de parc éolien en mer entre Dieppe et Le Tréport.

    http://s1.lprs1.fr/images/2018/08/06/7844871_6e37ced8-9957-11e8-9c1d-c7783cbb2a93-1_1000x625.jpg

    Et justement, depuis la plage du Tréport, Excalibur et les navires qui l’accompagnent se distinguent bien. De quoi raviver la colère et l’inquiétude des pêcheurs, qui ont jeté des œufs et du poisson sur le trottoir lors de l’inauguration du point d’information sur les éoliennes, près du funiculaire, le 11 juillet.
    Selon eux, certaines espèces comme le rouget barbet auraient déjà déserté la zone de pêche à cause des carottages : « Ce n’est plus un projet, estime Olivier Becquet, gérant de la Coopérative des artisans pêcheurs associés (CAPA) du Tréport. Ils disent qu’ils font des études, mais c’est le chantier qui commence. Le matériel est impressionnant. Les pêcheurs ne peuvent se rendre à moins de 500 m de la barge. Toutes les espèces vont déserter ! » La zone d’implantation testée est très nourricière pour les poissons. Malgré des contre-propositions des pêcheurs, elle n’a pas été modifiée.

    Le maire du Tréport « écœuré »
    Selon la profession, 900 emplois directs et indirects seraient menacés, sans compter les répercussions sur le tourisme : « Les habitants ont vraiment l’impression qu’on leur a menti, assure Laurent Jacques, le maire du Tréport. Il a été assuré que les éoliennes ne se verraient pas. Or, la barge Excalibur se voit déjà bien. Imaginez 62 éoliennes sept fois plus hautes ! Je suis écœuré. »

    Le parc éolien offshore représente deux milliards d’euros d’investissements. Porté, après un appel d’offres de l’État, par la société Éoliennes en mer Dieppe-Le Tréport (EMDT, filiale d’Engie), il permettrait d’alimenter annuellement en électricité 850 000 personnes. Il se situerait à 17 km de Dieppe et 15,5 km du Tréport.

      #environnement #énergie #éolien #électricité #france #éoliennes #écologie #énergie_éolienne #résistance #énergies #politique #pognon-dingue #Dieppe #Le_Tréport #poisson #désertification #peche

    • #Tréport
    bce_106_6 @bce_106_6
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 25/08/2018
    1
    @02myseenthis01
    1

    Comment les #moutons ont mangé l’#Espagne au #Moyen_Âge | Slate.fr
    ▻http://www.slate.fr/story/166253/histoire-espagne-secheresse-elevage-moutons-moyen-age

    http://www.slate.fr/sites/default/files/styles/1200x680/public/moutons_secheresse_espagne.jpg

    De nombreuses études récentes tirent la sonnette d’alarme au sujet de la #désertification de l’Espagne : un tiers du pays est touché et un autre tiers va l’être dans les prochaines années.

    En cause, évidemment, le réchauffement climatique. Mais aussi la mauvaise utilisation des sols. Et tout commence au XIIe siècle

    #histoire #élevage

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 25/08/2018

      #sols #agriculture #écosystèmes #climat

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
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  • @fil
    Fil @fil 6/08/2018
    6
    @simplicissimus
    @enuncombatdouteux
    @odilon
    @reka
    @02myseenthis01
    @7h36
    6

    Australia’s Drought - The cancer eating away at farms
    ▻https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/rngs/AUSTRALIA-DROUGHT/010071MC33G/index.html

    https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/rngs/AUSTRALIA-DROUGHT/010071MC33G/images/share-card.png

    While the weather has improved in parts of Western Australia, winter rain has gone missing across much of the country’s east, leaving farmers praying for rain after planting seed in dry soil or culling cattle and sheep they can no longer afford to feed.

    https://fingfx.thomsonreuters.com/gfx/rngs/AUSTRALIA-DROUGHT/010071MC33G/images/graphics/rainfall-lg.png

    (l’analogie avec le cancer est un peu dommage, mais à part ça) #reportage #carto et #drone très réussi

    Fil @fil
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 7/08/2018

      #désertification #élevage #climat #sécheresse

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 7/07/2018
    4
    @af_sobocinski
    @mad_meg
    @02myseenthis01
    @sinehebdo
    4

    Download the Atlas | WORLD ATLAS OF #DESERTIFICATION

    ▻https://wad.jrc.ec.europa.eu/download

    https://wad.jrc.ec.europa.eu/sites/default/files/atlas_pdf/atlas_cover.jpg

    JOINT RESEARCH CENTRE

    WORLD ATLAS OF #DESERTIFICATION

    #atlas #cartographie #géographie

    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @sandburg
      Sandburg @sandburg CC BY-SA 7/07/2018

      Terrible cette couv... Vous voyez le personnage ? #rorschach

      Sandburg @sandburg CC BY-SA
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 1/10/2018

      On l’ajoute à la troisième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/680147

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 3/07/2018
    4
    @vazi
    @kassem
    @af_sobocinski
    @sinehebdo
    4

    Dégradation massive des terres à l’échelle planétaire
    ▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/07/03/degradation-des-terres-massive-a-l-echelle-planetaire_5324877_3244.html

    « Au cours des vingt dernières années, les pressions sur les terres et les sols ont considérablement augmenté. Pour préserver notre planète pour les générations futures, nous devons de toute urgence changer la façon dont nous traitons ces précieuses ressources. » Tibor Navracsics, responsable du Centre commun de recherche (JRC), le service scientifique de la Commission européenne, a tiré le signal d’alarme lors de la présentation, le 21 juin, du travail coordonnée par les experts de l’Union européenne.

    #sols #désertification #paywall

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 4/07/2018

      l’atlas de la désertification
      ►https://seenthis.net/messages/703610

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 6/07/2018

      On l’ajoute à la troisième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/680147

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 21/06/2018
    1
    @sinehebdo
    1

    WAD | World Atlas of Desertification
    ▻https://wad.jrc.ec.europa.eu

    Twenty years have passed since the last atlas of desertification was published. Within that short period enormous global changes have taken place in terms of human expansion and the impact that had on the environment. Equally significant progress has been made in understanding the fundamentals of human-environment interactions.This has been made possible, in part, by the massive increase >and growth in the accessibility of global and...

    #désert #désertification #atlas

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/06/2018

      #cartographie #visualisation #monde

      CDB_77 @cdb_77
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 6/07/2018

      On l’ajoute à la troisième compilation :
      ►https://seenthis.net/messages/680147

      #effondrement #collapsologie #catastrophe #fin_du_monde #it_has_begun #Anthropocène #capitalocène

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 3/06/2018
    3
    @colporteur
    @mondes
    @02myseenthis01
    3

    Après plusieurs décennies de #désertification, certaines zones #rurales sont réinvesties par des populations #urbaines. Ainsi, à Gigouzac (Lot), 55% des maisons sont occupées par des personnes qui ne sont pas originaires de la #commune. Le film montre que le partage d’un territoire par ses #habitants ne suffit plus à construire une #identité commune.

    ►https://sms.hypotheses.org/6685

    https://sms.hypotheses.org/files/2016/03/8405336429_a70a6a9173_z-300x249.jpg

    #habitat, #habiter, #habitant, #population, #ville, #village, #urbain, #rural, #vivre-ensemble, #pratique, #territoire, #paysage, #Gigouzac, #lot, #social, #sociologie, #représentation, #commune

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 30/03/2018
    7
    @simplicissimus
    @fil
    @gillesm
    @7h36
    @reka
    @02myseenthis01
    @kassem
    7

    Le désert du Sahara est en train de s’étendre
    ▻https://actualite.housseniawriting.com/science/environnement-ecologie/2018/03/30/le-desert-du-sahara-est-en-train-de-setendre/26285

    Le désert du Sahara a augmenté d’environ 10 % depuis 1920 selon une nouvelle étude réalisée par des scientifiques de l’Université du Maryland. La recherche est la première à évaluer les changements à l’échelle du siècle des limites du plus grand désert du monde et suggère que d’autres déserts pourraient également être en expansion. L’étude a été publiée dans le Journal of Climate.

    ...

    Le Sahara est le plus grand désert du monde par temps chaud à peu près de la même taille que les États-Unis. Le bassin de l’Arctique et le continent antarctique, qui sont environ deux fois plus grands que le Sahara, sont également considérés comme des déserts en raison de leur faible taux de précipitation. Comme tous les déserts, les limites du Sahara fluctuent selon les saisons en s’étendant dans un hiver sec et en se contractant pendant un été plus humide.

    La bordure sud du #Sahara jouxte le Sahel qui est la zone de transition semi-aride qui s’étend entre le Sahara et les savanes fertiles plus au sud. Le Sahara s’étend à mesure que le #Sahel recule en perturbant les écosystèmes fragiles des prairies et les sociétés humaines de la région. Le lac Tchad, situé au centre de cette zone de transition conflictuelle sur le plan climatologique, sert de référence pour l’évolution des conditions au Sahel.

    https://s3-eu-west-1.amazonaws.com/s3.housseniawriting.com/wp-content/uploads/2018/03/28090812/desert-sahara-augmentation-1.jpg

    #désert #climat #hadley #cartographie
    ▻https://journals.ametsoc.org/doi/full/10.1175/JCLI-D-17-0187.1

    • #Sahara
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/03/2018

      #désertification #désert_du_sahara #visualisation

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 24/01/2018

    Nigeria : les conflits pour la terre, principal problème sécuritaire — La Libre Afrique
    ▻https://afrique.lalibre.be/14063/nigeria-les-conflits-pour-la-terre-principal-probleme-securitaire

    https://afrique.lalibre.be/app/uploads/2018/01/6736269_4d2b1c3fdb8188009f6f4725f5ad18084e8ac87b.jpg

    Le conflit séculaire pour l’#appropriation des #terres entre #éleveurs nomades et #agriculteurs sédentaires s’est mué en une lutte âpre pour les ressources, provoquée par la #sécheresse et la #désertification dans le nord du #Nigeria et plus largement au #Sahel, qui obligent les pasteurs à migrer vers le Sud. La rapide croissance démographique du pays, qui compte déjà 180 millions d’habitants et devrait devenir le troisième pays le plus peuplé au monde d’ici à 2050, selon l’ONU, aggrave la situation face à des pouvoirs publics inertes depuis des décennies.

    « L’appareil sécuritaire nigérian a échoué lamentablement, créant un environnement qui encourage les éleveurs à utiliser la violence pour accéder à la propriété privée pour le #pâturage pendant que les fermiers recourent à l’#auto-défense pour protéger leurs terres », analyse SBM Intelligence. Les tensions sont particulièrement vives dans le centre du Nigeria, vaste région fertile où les éleveurs et leurs troupeaux – le pays compte près de 135 millions de têtes de #bétail – sont accusés de faire incursion dans les fermes et de saccager les cultures.

    • #Nigeria
    odilon @odilon CC BY-NC-ND
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