Rue Jean Poulmarch (Paris, 10ème arrondissement)
Précédemment, cette rue faisait partie de la rue des Vinaigriers. Un arrêté du 8 juin 1946 lui donna le nom du syndicaliste Jean Poulmarc’h (Paris, le 9 décembre 1910 - Châteaubriant, le 22 octobre 1941), otage fusillé par les Allemands.
▻http://www.parisrues.com/rues10/paris-10-rue-jean-poulmarch.html
Pour les danseuses, la maternité sur la pointe des pieds - Culture / Next
▻http://next.liberation.fr/theatre/2017/10/16/pour-les-danseuses-la-maternite-sur-la-pointe-des-pieds_1602700
Le directeur du ballet de l’Opéra de Lyon doit passer en justice en novembre pour discrimination envers une de ses anciennes danseuses qui était enceinte. Une affaire qui rappelle la difficulté de combiner carrière et maternité dans un milieu où l’âge de la retraite sonne à 42 ans.
Le 9 octobre, le site d’investigation Médiacités révélait que le directeur du ballet de l’Opéra de Lyon, Yorgos Loukos, était poursuivi par l’une de ses anciennes danseuses, Karline Marion, pour discrimination et harcèlement. La danseuse, âgée de 35 ans à l’époque, l’accuse de l’avoir écartée dès l’annonce de sa grossesse et d’avoir mis fin à sa collaboration de six ans après son accouchement, en 2014. Une de leur discussion avait été enregistrée par Karline Marion, où il justifiait ainsi son comportement : « Je t’aime beaucoup comme fille, je trouve que t’es gentille, que t’es jolie, que t’as un joli corps, etc. […]. Je pense que si entre 29 et 34 [ans] tu as fait pas mal mais pas beaucoup, c’est pas entre 35 et 40 que tu vas faire plus, en plus avec un enfant […] parce que tu es plus occupée, tu as des choses à faire. » Le tribunal correctionnel étudiera la question le 9 novembre. Pour ce genre de délit, la peine maximale encourue est de deux ans de prison et 30 000 euros d’amende.
Du côté de cette prestigieuse et ancienne compagnie, où les danseurs bénéficient d’un CDI, les ballerines sont conscientes d’avoir une situation privilégiée et ont constaté une évolution des mœurs à propos de la maternité. « C’est assez récent que les danseuses puissent avoir des enfants sans que cela ne pose de problèmes. Nos prédécesseures ont eu des enfants, elles nous ont ouvert la voie. Il y a douze ans, elles étaient très peu à en avoir et il y a vingt ans c’était même commun de ne pas être mère », raconte Dorothée Gilbert, danseuse étoile et maman d’une petite fille. Cette tolérance à propos de la maternité a notamment été impulsée par l’ancienne directrice Brigitte Lefèvre, restée vingt ans à la tête du ballet. Un flambeau repris par Aurélie Dupont, ancienne danseuse étoile, elle-même mère de deux enfants.
Mais hors de l’écrin protecteur et doré du Palais Garnier, trouver le moment idéal n’est qu’une des nombreuses barrières qui se posent sur le chemin de la maternité. Dans la plupart des compagnies, les danseuses ne jouissent pas de contrats stables et enchaînent les engagements en intermittence. Brigitte (1), 40 ans, ancienne danseuse contemporaine désormais chorégraphe, a connu cette problématique et n’a pour l’heure pas eu d’enfants. « Ça m’a traversé l’esprit quand j’avais 25 ans, mais tous les trois mois je changeais de lieux, je partais en tournées, c’était trop compliqué. J’étais en plein boom, j’avais un contrat à Londres, à New York. J’ai fait passer mon métier avant car, si j’étais absente, on allait m’oublier. » Au courant de l’affaire de l’Opéra de Lyon, la chorégraphe n’est nullement étonnée : « Les scandales comme celui-ci sont très fréquents. J’ai pu constater des abus avec mes collègues. On leur dit "pas maintenant, l’année prochaine", "on fait une nouvelle création, je ne te prendrai pas si tu décides de faire un bébé". Des amies se sont mises à culpabiliser, à se dire que ce n’était pas le moment, que ce n’est pas un métier fait pour devenir maman. »
Les changements du corps impliqués par une grossesse et leurs répercussions sont également une forte source d’inquiétude : « On a peur de ce qu’on va devenir après, d’avoir le ventre relâché. On peut nous virer parce que physiquement ça ne marche plus. J’acceptais bien d’être ronde au début, mais c’était plus dur à la fin de ma grossesse, je me demandais si j’allais redevenir comme avant. Retrouver la même forme et le même physique qu’auparavant a d’ailleurs été compliqué. Je me suis enfermée dans une vie complètement différente et me suis laissé aller au niveau du poids, puis j’ai reperdu. Je faisais mon deuil », se remémore Annabel Dubois. Pourtant, comme chez les sportifs de haut niveau, les modifications corporelles et la prise de poids ne sont pas une fatalité : « Pendant la grossesse, j’ai fait un peu attention, je ne mangeais pas des cochonneries tout le temps. Je n’avais que trois kilos à perdre et j’ai été étonnée de voir à quel point mon corps se souvenait de comment il était avant. La reprise n’a pas été si difficile que ça », raconte Dorothée Gilbert.
Cependant, une fois les étapes de la grossesse et du retour sur scène surmontées, les danseuses se confrontent au problème de la garde lors des tournées ou la nuit au moment des représentations. Véronique Munoz, 39 ans, professeure au conservatoire de Bayonne, a pu compter sur un soutien sans faille de sa compagnie lorsqu’elle était danseuse : « Mon fils avait deux ans quand j’ai été prise au Malandain Ballet Biarritz, je l’emmenais partout lors de mes voyages. J’avais de la chance que le staff s’en occupe pendant les spectacles et quand j’étais sur scène. » Mais pour la plupart des danseuses, peu de choses sont mises en place pour faciliter la garde des enfants. Lors de son intervention au Monde Festival, Aurélie Dupont a évoqué, « sur le ton de la boutade », la possibilité d’ouvrir une crèche à l’Opéra de Paris. Un service tout sauf anodin, qui pourrait soulager d’un poids ces femmes tiraillées entre amour de leur art et désir de maternité.
Quand le séga faisait danser Paris... et Jeanne Moreau
▻http://7lameslamer.net/quand-le-sega-faisait-danser-paris-1471.html
#Mambo, #cha-cha-cha, #rumba, #samba, #calypso, #salsa... et #séga ! L’après-guerre connaît en France une vague de musiques et de « danses exotiques ». De l’#exotisme, à travers lequel percent des accents érotiques sublimés par les fantasmes qu’inspirent « les îles » et le #doudouïsme. Le séga y trouve brièvement sa place : en 1959, on danse le séga à #Paris et à Saint-Tropez !
Les déchirements du #spectacle_vivant
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/010817/les-dechirements-du-spectacle-vivant
Pour la première fois depuis des décennies, la France voit des théâtres fermer et des festivals jeter l’éponge, victimes des restrictions budgétaires et de l’indifférence politique de nouveaux élus pour qui spectacle vivant ne rime plus qu’avec divertissement. Face à cela, la plupart des acteurs installés du spectacle vivant font le dos rond et naviguent entre clientélisme et renoncement. Une enquête parue dans le dernier numéro de la Revue du Crieur disponible en librairie et Relay.
#Culture-Idées #arts_de_la_rue #cirque #danse #musique #théâtre
Une jeune fille de 90 ans
▻http://www.tv-replay.fr/redirection/07-06-17/une-jeune-fille-de-90-ans-arte-12429605.html
« Les deux réalisateurs filment l’intervention d’un chorégraphe, Thierry Thieû Niang, au sein du service gériatrique de l’hôpital Charles-Foix d’Ivry-sur-Seine. Rapidement, le téléfilm se recentre sur une patiente, Blanche Moreau, qui semble tomber amoureuse du danseur. »
#émouvant #danse #vieillesse #amour
Les blousons noirs : Les rebelles sans cause sur France 3 - tous les replay sur france.tv
▻https://www.france.tv/documentaires/societe/13937-les-blousons-noirs-les-rebelles-sans-cause.html
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Au cours des années 50 et 60, en France, un phénomène nouveau inquiète la population. Des hordes de jeunes, vêtus de vestes en cuir, amateurs de rock’n’roll et de grosses cylindrées, sèment le désordre et se révoltent contre l’ordre établi. Les faits divers de la presse relatent les actions de ces « blousons noirs » qui semblent avoir perdu tous leurs repères moraux, se moquent de tout et ne croient en rien. Patrick, Jean-Pierre et Gérard ont fait partie de ces jeunes voyous. Ils reviennent sur leur jeunesse, passée à flirter avec la délinquance juvénile et racontent pourquoi ils ont adopté cette attitude de révolte.
dispo 4 jours. J’ose #masculinité même si je ne suis pas tout à fait sûr de mon coup, et plus sûrement #violence...
(Pour des raisons de droits concédés à France Télévisions, cette vidéo n’est pas disponible depuis votre position géographique.)
me disent ça après mon inscription rah... Mais j’ai mentis sur mon âge et mon département, #ruse
Panique morale depuis des territoires étranges, disent-ils.
par ses marges, la naissance de « la jeunesse » . #télé
néocapitalisme, école, ennui, l’usine, c’est le devenir papa, apprenti à mi-SMIG d’ici là
blouson et chaine à vélo dans ton fordisme
plutôt le commissariat, n’obéirais pas, groupe puissance contre ton omniprésent pouvoir, jusqu’à imiter, en voyous et en vrai les icônes qui nous sont offertes, choisissant le négatif
j’en veux à des gens, Moustique, de loin, contraste l’Apache à Bastille
Casser sièges et barrières des patrons de nos soirées, du grand art
Danse le monde, sans la norme du chronomaître, fracture le silence des pantoufles.
Ferveur du swing
intelligence étatique, divers éléments dans ce bobino et Papon, préfet de Paris qui fait son gaullostalinien, ’"des pervertis par l’industrie américaine"
ah tiens to vrika sans frontière : ▻https://www.youtube.com/watch?v=wTeqVHQZpjE
Mon anglais ne me permet pas de profité des parôles de tous mais rien que pour Moustique le tag #machisme peu servir.
Pour le tags #masculinité ca me semble juste @tintin et il peu y avoir #virilité et #domination_masculine car le culte du #mauvais_garçon est bien pratique pour dominer les femmes.
#Bad_guy #rock #bande_de_jeunes #blousons_noirs
et #nihilisme peut être pour plutot #misarchie maintenant que le mot existe c’est pas vraiment une rébellion sans objet, c’est une révolte contre « toute forme d’autorité » disent t’ils dans le film.
Les pères et autres croulants, premières cibles de cette critique en acte (querelle dans le patriarcat contre le #paternalisme, si on veut) ; le temps rythmé par l’école, la clé du fric qu’on a pas, le destin ouvrier tout tracé, alors la provoc, la #baston, la #danse corps soustraits à la production, délivrés de l’ennui
une jeunesse livrée à la #publicité, Moustique dans Les idoles chez elles (Ina)
▻http://www.ina.fr/video/CPF86603760
MOUSTIQUE, (...) parle de la pluie d’oeufs qu’il a reçue lors de son récital à Vichy. Il parle de ses études, arrêtées à 14 ans, car il faisait l’#école_buissonnière. Puis, évoque ses débuts de chanteur, ses camarades, les avantages que l’argent lui a procuré, ce qu’il aime le plus dans la vie :" ma mère et chanter ". JOJO, son batteur, se souvient des premières répétitions. Sa mère intervient également à propos de ses amies qui pensent, à tort, qu’elle est riche.
▻http://www.senioractu.com/Moustique-40-ans-de-rock-n-roll-et-la-passion-reste-intacte_a7323.html
Dans quelles circonstances êtes-vous tombé dans la “marmite” du rock’n roll ?
Moustique : C’est une histoire assez délicate. J’ai appris que mon père n’était pas mon père, j’avais 12 ans. J’ai fait une #fugue, puis j’ai découvert le rock’n roll dans une #fête foraine de la Bastille et je suis tombé amoureux de Gene Vincent et Little Richard. J’avais l’impression que l’on m’avait volé quelque chose avec mon beau-père et je me suis refait deux pères tout de suite.
...la presse s’est mise dessus et c’est pour ça que je suis au bout du rouleau, parce qu’ils m’ont tout fait faux depuis 40 ans. Même Papon s’en est mêlé pour m’interdire de chanter à Paris.
...Salut les Copains fête son premier anniversaire et invite tous les jeunes branchés à se retrouver Place de la Nation à Paris. Quelle est la véritable raison de votre absence à ce concert mythique ?
Moutisque : Mais je n’étais pas absent, j’étais là, moi !
C’est Lucien Morisse qui, au dernier moment, m’a dit : « Non, non, on n’a pas assez de service d’ordre, ils sont 300 000, avec ton numéro de #rock’n_roll trop agressif, on a peur qu’il y ait de la #casse » . Et je n’ai pas chanté. Ce qui n’a pas évité les deux morts, les bagarres et tout le reste. Tout ça parce que je n’ai pas chanté.
Car il faut savoir qu’à l’époque, j’étais l’idole des « blousons noirs » des bas quartiers . Ils savaient que j’étais là, ils n’ont pas compris. On m’a annoncé pendant six mois tous les jours à l’antenne. J’ai appris par des gens qui ont trahi le #show-business, qu’on m’avait mis chez #Barclay pour me contrôler et pour m’empêcher de faire des choses très importantes et que je n’aille pas plus loin. J’étais dans le car de CRS avec Sylvie Vartan et Johnny Hallyday. J’ai attendu comme un con et on m’a dupé.
D’après vous, qu’est-ce qui a fait que votre carrière n’a pas été celle escomptée, malgré votre grande popularité dans les années 60 ?
Moustique : J’étais condamné d’avance. Il n’y a jamais eu une personne du show-business qui est devenue une star en vingt quatre heures sans avoir fait un disque, un film ou quelque chose d’autre. Dans toute l’histoire de la chanson française, il n’y a que moi à qui c’est arrivé, un coup comme ça. Un coup de presse monumental qui valait un million… moi je n’ai pas compris ce qui c’est passé. Bon, je chantais, mais je vous jure, je chantais comme un con et pas bien.
... une fois avec les Beatles au Palais des Sports quand toute la salle a crié « Moustique ! », j’ai été électrocuté sur place. Je me suis enfermé dans les chiottes et je n’ai plus voulu sortir. C’est au bout de vingt minutes que je suis revenu sur scène. Je ne pouvais pas, je ne pouvais pas, c’est tout, j’étais bloqué.
Après. Un autre macho à blouson noir qui décuple les forces, parfois bon faiseur
▻https://www.youtube.com/watch?v=gWlmkRSUfYs
Danser à Bangalore, par Aurélia Chalono
►https://blog.mondediplo.net/2017-06-15-Danser-a-Bangalore #st
La floraison des biennales et festivals internationaux témoigne d’une aspiration à un art de la #danse qui transcenderait les frontières pour briser les limites créées par la différenciation des genres, des styles et des pays. Mais la sous-représentation d’artistes originaires des pays dits en voie de développement contredit souvent cet élan. Ces contradictions, la biennale de Bangalore entend bien les réduire. Comment la jeune génération d’artistes redéfinit les identités sud-asiatiques et notamment indiennes ? Quelle esthétique produit-elle, qui dépasse les fractures et traumatismes tout en faisant droit à la la puissance d’un héritage encore vivant ?
▻http://zinc.mondediplo.net/messages/70323 via Le Monde diplomatique
Une jeune fille de 90 ans | ARTE+7
▻http://www.arte.tv/fr/videos/069055-000-A/une-jeune-fille-de-90-ans
Quelques pas de danse pour se mettre en forme dès le matin ?
▻https://youtu.be/omq-BzMF2HY
Jon DeBande [5x5x5x5]
▻https://vimeo.com/216393393
Danser seul 5h d’affilées pendant 5 jours dans un carré de 5 sur 5, dans différentes villes.
Bailarín: Jon Debande - Plaza Jacinto Venabente [Madrid]
Jon DeBande realizando parte de su proyecto personal: Bailar 5 horas durante 5 días en un cuadrado pintado en el suelo de 5x5 en plazas de diferentes ciudades.
C’est un ancien élève du cursus pro de l’école de cirque où je vais
#shameless_potopromo le nouveau tag à utiliser quand on fait la promo d’un⋅e pote :p
Sinon il y avait le #copinage_éhonté de @cqfd
Faire danser l’agriculture et l’industrie au temps de l’Union soviétique
Dance of Agricultural Mechanisation by the Folk Dance Ensemble of the USSR 1976 - YouTube
▻https://www.youtube.com/watch?v=4apmBmFigMI
Dance of the factory machines. Folk Dance Ensemble of the USSR. 1976. from Soviet Visuals
▻http://video.genfb.com/1386379224761651
▻http://s1.genfb.com/scontent-ams3-1.xx.fbcdn.net/v/t15.0-10/16403543_1386379601428280_3857175459838033920_n.jpg?oh=576d0643dc4a5b69668
#urss #ex-urss #soviétisme #ballet #danse
红色娘子军 (Red Detachment of Women)
▻https://www.youtube.com/watch?v=ZHTPcs3lQPU
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Red_Detachment_of_Women_(ballet)
Despite its political overtones and the historical background when it was created, it remains a favorite of music and ballet lovers nearly 30 years after the Cultural Revolution in China. Many numbers were based on the folk songs of Hainan Island, a place that, with its coconut trees rustling in tropical wind, evokes much romantic ethos. Though there are unmistakable elements of Chinese music, the music of this ballet was performed with basically a Western symphony orchestra.
Tiens, je pensais qu’on avait déjà eu des billets un peu développés sur le Détachement féminin rouge … Mais non, il a juste été cité en passant à quelques occasions, dont
– La prise de la montagne du Tigre par stratégie, ►https://seenthis.net/messages/398537
Série de vieux liens en vrac.
– Beauté #transgenre
▻https://usbeketrica.com/article/tendance-transgenre-ou-la-beaute-sans-frontieres
– #Sadin / Figaro / #Siliconisation
▻http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/01/06/31001-20170106ARTFIG00338-eric-sadin-la-silicolonisation-du-monde-nous-mene
– Hooked on our #smartphones
▻https://www.nytimes.com/2017/01/09/well/live/hooked-on-our-smartphones.html
#santé
– Theaster Gates - #Chicago #Arts
▻https://www.theguardian.com/artanddesign/2017/jan/12/theaster-gates-interview-poor-race-regen-projects-review
– Top 10 #books about wild #women
From a 17th-century sci-fi utopia to an autobiographical vampire novel, all these great books were written by women who busted boundaries social, personal and literary
▻https://www.theguardian.com/books/2017/jan/11/top-10-books-about-wild-women
– Trouble dans les études de #genre
▻http://www.liberation.fr/debats/2017/01/15/trouble-dans-les-etudes-de-genre_1541586
– France : n’être ni fille ni garçon
▻http://info.arte.tv/fr/france-netre-ni-fille-ni-garcon
– A la découverte des #danses « post-internet »
– Le Black Mountain College, il était une fois une #utopie culturelle
▻http://www.slate.fr/tribune/86537/histoire-black-mountain-college
« Nous avons eu tort de vous faire croire que la #maternité est un lieu de délices »
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20170126.OBS4404/nous-avons-eu-tort-de-vous-faire-croire-que-la-maternite-est-un
par alix de morantEt si on dansait en #ville ?
▻http://www.nectart-revue.fr/nectart-4-alix-de-morant
Débordant le contexte festivalier et les grands défilés si populaires auprès du public de la Biennale de Lyon, la #danse investit le cœur des villes au fil des saisons et des jours. Ce nouvel engouement n’est pas seulement la résultante du développement des arts dans l’espace public. Il vaut mieux imputer ce phénomène au renouveau du #bal, « lifté » par le Bal moderne ou érotisé sauce milonga, comme à la recrudescence des pratiques amateurs. De l’extrême diversité des #danses_urbaines, qui du krump au passinho ont été rendues virales grâce aux tutoriels diffusés sur YouTube, aux grands spectacles participatifs, la danse comme art et comme activité semble à la portée de chacun, si on veut bien entrer dans la ronde. Il suffit parfois d’un geste emblématique, comme celui de Nadia Vadori-Gauthier (Une minute de danse (...)
#Nectart_#1 #Nectart_#4 #Transformations_artistiques #corps_social #espace_public #mouvement
Samedi et dimanche, à Paris au musée des arts et métiers, Nina Negri et Kahena Sanaâ ont fait danser une carte. Ou ont transformé une carte en mouvement dansé. Ou ont dansé avec la carte. Enfin bref, elles ont donnée vie à la carte.
Photographies de Aicha Snoussi
Rosa Luna, Uruguayenne danseuse de #candombe.
Rosa se définissait simplement « comme une noire, danseuse de candombe », mais aussi comme « une femme qui aime les gens ». Expressions qui pour elle étaient synonymes.
Journée nationale du candombe en Uruguay — Hernando CALVO OSPINA
▻https://www.legrandsoir.info/journee-nationale-du-candombe-en-uruguay.html
Elle pensait que parce qu’elle était jeune, noire, pauvre, putain et qu’elle avait assassiné un homme, elle deviendrait « un oiseau de la pire des espèces ». Non. Elle raconta dans son autobiographie Sin tanga y sin tongo (1) : « Ce fut ma conscience pure qui m’aida à aller de l’avant, en évitant les obstacles sur mon chemin ».
Elle continua à fréquenter les bars, mais en dansant. Le monde s’arrêtait de tourner pour ceux qui la regardaient bouger son corps. Il paraissait s’enflammer de la tête aux pieds. Mais à présent, même l’homme le plus macho devait se contenter de la regarder, mais ne la touchait pas, si elle ne le voulait pas.
Elle était née le 20 juin 1939 dans le quartier Palermo, dans la banlieue de Montevideo, dans une chambre du conventillo (immeuble) appelé le Mediomundo. « Mediomundo » (la moitié du monde) signifiait qu’ici vivait la moitié de l’humanité. Comme les autres conventillos, c’était un immeuble de location, où chaque pièce était louée à une personne ou à une famille. Il y avait 40 logements au Mediomundo, répartis sur deux étages, entourant un grand patio avec 32 petits éviers et une citerne pour récupérer l’eau. Les deux toilettes, les douches et le réfectoire étaient collectifs.
Les conventillos commencèrent à se remplir de noirs libres au milieu du XIXème siècle, dans cette région nommée Rio de La Plata, à cheval sur l’Uruguay et l’Argentine.
Un documentaire de TNU Canal Cinco, chaîne Youtube de la télévision nationale uruguayenne
Betty Acquah
▻http://www.kuaba.com/Betty%20Acquah.html
Betty Acquah, one of Accra’s foremost female painters, investigates her beliefs regarding the true nature of Ghanaian women. The trials, ambitions, celebrations and successes of ordinary but inspirational woman form the central theme of her rich and florid canvasses.
quelques autres reproductions (basse def), et une interview de l’artiste ici ▻http://www.mtls.ca/issue17/art
Une dance de salon qui brise les codes de genre
▻https://www.youtube.com/watch?v=_mq-HqRnngc
Une parade dansante pour vivre « ensemble » (Libération)
▻http://www.wereport.fr/articles/une-parade-dansante-pour-vivre-ensemble-liberation
Mixité sociale, culturelle et géographique… Le défilé de la #biennale dimanche 18 septembre dans la métropole lyonnaise était en phase avec l’esprit du festival. Visite de ses coulisses. Ils sont assis en cercle pour un dernier brief avant l’entrée en piste. Tenue de rigueur : un jean et un tee-shirt noir sur lesquels sera enfilée, ôtée et retournée...
Oh, celui-ci est magnifique aussi, qui me rappelle mon dernier voyage :
▻https://youtu.be/QAD0BtEv6-Q
@tetue Il était dans un drôle d’endroit, ce voyage :-) Mais, oui, c’est magnifique aussi.
« PH », de Mié Coquempot – Dansercanalhistorique
▻https://dansercanalhistorique.com/2014/02/15/3445
En terme d’impact spectaculaire, un moment très délicat se joue dans la pièce PH de Mié Coquempot. Tout d’abord sur la pièce musicale Envol, de #Pierre_Henry, quatre danseurs évoluent longuement en suspension, au bout de câbles. Le regard du spectateur ne manque pas de s’en trouver tout autant transporté. Or, il va falloir redescendre au sol, pour aborder le second tableau de PH, lui sur Empreintes, deuxième pièce musicale que le compositeur a confiée à la chorégraphe (un dernier tableau suivra enfin, sur une troisième pièce, Grande Toccata).
Kampala State Of Mind
Je suis rentré en mai 2016 de mon second voyage à #Kampala, #Ouganda. La dernière fois, en 2013, je crois que j’étais trop submergé par mon expérience pour être capable de coucher sur papier mes impressions. Mais à présent, trois ans plus tard, je comprends mieux ce que j’ai ressenti durant ces six semaines.
J’ai entrepris mon premier voyage en 2013 avec mon ami Johannes Küng, avec qui je compose et écris des chansons de rap depuis 2010. Ce dernier entretient une relation particulière avec l’Ouganda : après y avoir travaillé comme volontaire dans un orphelinat en 2011, il a rencontré les membres du #Breakdance Project Uganda en 2012 lors d’un second voyage.
Quand un livre pour adolescent(e) banalise le culte de la maigreur - S’éveiller et s’épanouir de manière raisonnée
▻http://www.seveilleretsepanouirdemaniereraisonnee.com/2016/09/quand-un-livre-pour-adolescent-e-banalise-le-culte-de-la-maigreur.html
Attention faites une séance de relaxation avant de lire les extraits de texte ...
#sexisme #maigreur #grossophobie #TCA #livres #alimentation
Vu ailleurs, les autres titres de la série :
autres titres de la série :
–A toi de devenir Top Model
–A toi de devenir Baby-Sitter
–A toi de devenir Aventurière
–A toi de devenir Pop Star
–A toi de devenir Danseuse
–A toi de devenir Cavalière
–A toi de devenir Styliste
–A toi de devenir Star de cinéma
A la fin de l’article :
Une amie (Céline, merci à elle) a joint la maison d’édition pour dénoncer tout cela. Voici la réponse :
"Cet ouvrage date de plusieurs années, notre ligne éditoriale a évolué depuis et nous sommes conscients que les propos tenus dans ce livre se révèlent choquants et nous n’imprimons d’ailleurs plus ce livre. Bien à vous"
Ok... donc on fait quoi maintenant ? On laisse les derniers ouvrages de ce livre se vendre et répandre une vision de la femme tronquée aux yeux des adolescentes en construction ?
Bon j’avais pas tout lu, je rajoute #torture #dégueulasserie #crétins_abyssaux #enfance_en_danger
Dernière photo :
Tu as une grande force de caractère (et ta mère aussi). Au fil des mois, tes minuscules réserves graisseuses sont dépensées par la danse intensive et les pommes croquées à la place des repas.
– Maintenant, arrête de grandir ! décrète ta mère. Tu es au maximum autorisé pour la sélection.
– C’est horrible ! Qu’est-ce qu’on peut faire pour ralentir la pousse des os ?
– Rien..., répond ta mère, catastrophéé. Marche pendant ces heures avec un dictionnaire sur la tête. De toute façon, c’est bon pour le maintien. Ça t’empêchera peut-être de prendre le centimètre fatidique.
Va, avec le dictionnaire sur la tête, jusqu’au chapitre 4