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  • @la_voie_du
    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA 8/07/2020
    4
    @colporteur
    @02myseenthis01
    @rastapopoulos
    @tout_va_tres
    4

    Les situationnistes et l’économie cannibale

    François Bott

    ▻https://lavoiedujaguar.net/Les-situationnistes-et-l-economie-cannibale

    Au début de l’année 1968, un critique, traitant de la théorie situationniste, évoquait, en se moquant, une « petite lueur qui se promène vaguement de Copenhague à New York ». Hélas, la petite lueur est devenue, la même année, un incendie, qui a surgi dans toutes les citadelles du vieux monde. À Paris, à Prague, à Rome, à Mexico et ailleurs, la flambée a ressuscité la poésie, la passion de la vie dans un monde de fantômes. Et beaucoup de ceux qui, alors, ont refusé le sort qui leur était fait, la mort sournoise qui leur était infligée tous les matins de la vie, beaucoup de ceux-là — jeunes ouvriers, jeunes délinquants, étudiants, intellectuels — étaient situationnistes sans le savoir ou le sachant à peine.

    Une fois le feu apparemment éteint, les sociologues et autres futurologues d’État se sont efforcés, comme on exorcise une grande peur, de rechercher les origines du printemps 1968. Ils n’ont récolté que des miettes de vérité, autrement dit des parcelles de mensonge. N’importe quel blouson noir rebelle en savait beaucoup plus sur la révolution de mai. Les distingués penseurs n’ont pas songé à se référer aux écrits de l’Internationale situationniste, que ce soit la revue ainsi intitulée — dont le premier numéro date de 1958 — ou les essais de Debord et Vaneigem. (...)

    #situationnistes #économie #Mai68 #Debord #Vaneigem #spectacle #réification #capitalisme #urbanisme #Lautréamont #Fourier #Marx #poésie

    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA
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  • @davduf
    Davduf @davduf CC BY-NC-SA 4/05/2020
    2
    @jacotte
    @marielle
    2

    Corona Chroniques, #Jour49 - davduf.net
    ▻http://www.davduf.net/corona-chroniques-jour49

    http://www.davduf.net/local/cache-gd2/bc/53c57f66aefd3b76972aa63429a47a.jpg?1588589126

    Ailleurs, un autre front se dessine : celui de qui parle, et de qui nomme. Après quatre jours sans trop rien dire, les sociétés de rédacteurs des principaux journaux réagissent enfin à la drôle d’idée du gouvernement, surgie en milieu de semaine : la labellisation des « sources d’informations sûres et vérifiées » en cette période de #Covid19 qui « favorise la propagation de #fakenews » (selon l’annonce de #Sibeth_Ndaye, grande pourvoyeuse en la matière, porte-parole du gouvernement, et auteure de l’inoubliable « J’assume de mentir pour protéger le président de la République »). Drôle, délétère et désespérée compilation de bons points sur le site officiel de #Matignon : qu’un gouvernement soit à ce point acculé pour appeler à la rescousse les services de fact checking de la presse en dit long. Sur lui, en premier lieu — mais aussi sur le monde des médias. Durant des décennies, l’essentiel exercice de fact checking consistait, dans les grandes rédactions anglo-saxonnes, à faire vérifier par d’autres leurs propres informations, avant de glisser en terrain de chasse aux rumeurs réseaux-sociales, vérificateurs-vitrines d’un journalisme de neutralité apparente, de moins en moins enclin à descendre dans l’arène, et se contenant d’en relater une partie des aventures, au point que certains, comme le philosophe #Alain_Cambier, parlent d’expédient efficace mais insuffisant.

    Au Figaro, #Arnaud_Benedetti déclare : « L’escalade de l’engagement, [c’est quand] une structure ne parvient plus à enrayer la mécanique de déni qu’elle a enclenché. Sa survie est alors indexée sur la perpétuation de ce déni. Ce n’est là plus l’État légal-rationnel mais une forme pathologique d’État. L’administration fédérale aux États-Unis savait dès 1965 qu’elle avait perdu la guerre au Vietnam, mais elle a préféré mentir à son opinion. C’est un peu la même chose avec la pénurie des masques qui n’a pas fini de fragmenter la réputation de l’exécutif et de démonétiser sa parole. »

    Demain, Après demain, ce terrain de la parole prise — comme on on prend position (tireur couché, ou franc tireur ; reporter ou copiste ; narrateur ou falsificateur) — sera probablement plus dévastateur que jamais, et #Debord plus spectaculaire qu’Avant (« Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. »). Et c’est Pendant que chacun fourbit ses armes — d’où la voracité à tout lire, tout le temps, dans nos dimanches de confinement et de tous les jours — c’est maintenant que se constitue notre arsenal d’Après, à coups de banderoles vers la rue, de carnets vers les siens ; à grands renforts de comités informels et de graffitis fugaces (aujourd’hui, sublime, vu sur Twitter : drone d’ambiance, cet État d’urgence).

    Davduf @davduf CC BY-NC-SA
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 23/05/2019
    9
    @reka
    @monolecte
    @mad_meg
    @philippe_de_jonckheere
    @7h36
    @simplicissimus
    @sombre
    @vanderling
    @jeanmarie
    9
    @supergeante

    Procrastination nocturne 2. Quand tu t’endors crevé super tôt sans même l’avoir voulu, toute lumière allumée et que tu te réveilles à 1h35 la lampe dans la gueule…
    Après : ▻https://seenthis.net/messages/753114

    Je me lève pour tout éteindre et me changer, j’envoie un message à mon amoureuse pour dire que je n’avais pas vu son mot vu que je m’étais endormi et…

    Du coup, devant l’ordi, je tombe sur l’onglet ouvert pour plus tard avec la préface par Robert Kurz au Debord d’Anselm Jappe
    ▻https://seenthis.net/messages/782666
    ►http://www.palim-psao.fr/2019/05/la-societe-du-spectacle-trente-ans-plus-tard.par-robert-kurz-preface-a-l-

    Ce n’est pas très long, donc je me mets à la lire. Puis je suis un lien vers un article de Jappe de l’année dernière que j’avais déjà lu et épinglé :
    ▻https://seenthis.net/messages/690117
    ►http://www.palim-psao.fr/2018/04/guy-debord.plus-que-jamais-en-situation-par-anselm-jappe-paru-dans-le-nou

    À partir de là, c’est foutu.

    Je me mets à relire sa fiche WP, pour lire des choses sur son suicide :
    ►https://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Debord
    ▻https://www.independent.co.uk/arts-entertainment/from-being-to-nothingness-1524917.html

    Je retombe sur cet article sur le livre à charge d’Apostolidès :
    ►https://next.liberation.fr/livres/2015/12/23/guy-debord-satiete-du-spectacle_1422654
    que @supergeante avait épinglé à l’époque :
    ▻https://seenthis.net/messages/442991

    Du coup ça m’amène à lire sur Alice Becker-Ho et « l’affaire Riesel »
    ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Becker-Ho
    ▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Riesel

    Là je cherche des photos d’eux tous, et je retombe sur… le journal pro-situ américain Not Bored qui contient de nombreuses correspondances de Debord traduites en anglais et disponibles sur le web. Comme je n’ai pas les livres, pour résumer, je me plonge dedans et je passe plus de 3h à lire des lettres de Debord en pleine nuit.
    ▻http://notbored.org/debord.html

    Je ne me rappelle plus trop dans quel ordre ça s’est passé : est-ce que j’ai d’abord cherché les mots de Debord sur Jappe, puis je suis retombé sur le conflit avec René Riesel, ou bien était-ce l’inverse ?…

    Le dernier mot de Debord sur Jappe est dans une lettre pour Makoto Kinoshita :
    ▻http://notbored.org/debord-5April1994.html

    Dis moi si un de tes amis sait lire italien. Dans ce cas, je t’enverrais un livre d’Anselm Jappe (Debord, Edizioni Tracce, Pescara). C’est sans aucun doute le livre le mieux informé sur moi, écrit par un Allemand qui assume explicitement un point de vue Hegeliano-Marxiste.

    Mais on trouve donc aussi des choses sur « l’affaire Riesel ». À commencer par sa lettre de rupture définitive à Riesel, où en goujat sans pincettes, il traite sa femme de misérable conne et de vache :
    ▻http://notbored.org/debord-7September1971.html

    À l’inverse dans une autre lettre il s’explique très en détail sur une autre relation libertine de son couple avec Eve et Jean-Marc :
    ▻http://notbored.org/debord-2October1971.html
    Le point commun étant qu’il haïssait absolument le mensonge (Apostolidès dit qu’il mentait et manipulait lui-même mais je n’ai pas lu de témoignage ailleurs, qu’il était excluant, violent, etc oui, mais pas menteur et Sanguinetti dit le contraire alors qu’Apostolidès est censé s’être basé sur ses sources justement). Et que donc toute relation amoureuse et/ou sexuelle doit toujours se faire sans jamais mentir à personne (y compris pendant l’acte, ce qui est le point qui a énervé Alice avec la femme de Riesel).

    Toujours autour des mêmes gens, je tombe aussi sur un article de Bourseiller, qui au milieu de notes sur Debord et le libertinage, détaille la vie de l’écrivain et pornographe Alexander Trocchi plus que sa fiche Wikipédia. À n’en pas douter c’était un aventurier… et une grosse merde qui a prostitué sa femme enceinte (et pas qu’un peu) pour se payer de l’héroine, et moult autre.
    ▻http://christophebourseiller.fr/blog/2017/03/transgresser-ou-disparaitre-les-situationnistes-a-lepreuve-de-

    Bon, ça a dérivé (haha) et j’avoue sans mal qu’il doit y avoir du voyeurisme à être parti dans tout ça. Je préfère généralement rester sur le contenu lui-même, comme le fait très bien le livre de Jappe justement. Mais je garde toujours en tête que les idées doivent être pratiquées au quotidien, donc il y a quand même un intérêt à savoir la vie réelle des gens (et c’était très exactement le crédo principal de Debord et tous les situs, et justement lui pensait être assez en accord avec ce qu’il disait).

    Et là, il était 5h45. Et le réveil à 7h.

    #procrastination #sérendipité #Debord #Guy_Debord #Alice_Becker-Ho #René_Riesel #situationniste #internationale_situationniste #nuit #sommeil #Robert_Kurz #Anselm_Jappe #théorie_critique #libertinage #Alexander_Trocchi #Christophe_Bourseiller #Jean-Marie_Apostolidès et #dérive !!

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 23/05/2019

      #merci #seenthis d’avoir foutu ta journée de travail en l’air (ça arrive souvent)

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @val_k
      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 23/05/2019

      #Bonne_nuit !

      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 23/05/2019
      @val_k

      @val_k haha, ouais je crois que je vais bien dormir cette nuit…

      @aude_v et pendant ce temps, je me désespère des 12 livres plein de papiers sur ma table de chevet… (dont La convivialité commencé ya des mois et qui n’est pourtant pas très long, mais avec une page par semaine…)

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-SA 24/05/2019

      Il faut un certain sens de l’abnégation pour se sortir les doigts du Net (ou des livres).

      Sombre @sombre CC BY-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 24/05/2019

      Des situs et du papier, ta procrastination nocturne me fais penser que je n’ai toujours pas lu Les considérations de Guy Debord sur l’assassinat de Gérard Lebovici . Je sais pourtant dans quelle médiathèque trouver ce livre. A partir de Debord, j’suis parti à bâbord toutes avec l’encyclopédie des nuisances, Allia, Raoul Vaneigem, Gérard Guégan, Gérard Berréby... ça fait beaucoup de Gérard d’un coup et Le sang dans la tête sur ma tête de gondole, acheté il y a plus d’un an et dont je n’ai lu que la préface du toujours impeccable Jérôme Leroy. N’en jeter plus, ma barque est pleine.

      https://www.culturopoing.com/wp-content/uploads/2018/03/Le-sang-dans-la-tete.jpg https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c4/Consid%C3%A9rations_sur_l%27assassinat_de_G._Lebovici.jpg/220px-Consid%C3%A9rations_sur_l%27assassinat_de_G._Lebovici.jpg

      Vanderling @vanderling
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 23/05/2019
    2
    @reka
    @monolecte
    2

    La société du Spectacle trente ans plus tard..., par Robert Kurz (préface à l’édition brésilienne du Guy Debord d’Anselm Jappe)
    ►http://www.palim-psao.fr/2019/05/la-societe-du-spectacle-trente-ans-plus-tard.par-robert-kurz-preface-a-l-

    https://img.over-blog-kiwi.com/1/48/88/48/20190522/ob_680e04_ob-e2ad01-1cce4ff1376416fd8e90f29d6239.jpg

    Le mérite du livre de Jappe est de souligner l’importance décisive de la critique radicale de l’économie moderne dans la pensée de Debord. Cette critique est encore en déshérence, malgré tous les appels lancés aux situationnistes par l’esprit du temps actuel. Quel adepte des « discours » désarmés de la critique économique contemporaine voudrait rappeler que l’intervention situationniste de 1968 a abouti à la revendication de l’extinction de l’argent et de l’Etat ? C’est cette critique radicale de la valeur de l’échange, qui vient du Marx ésotérique, qui va devenir la critique de la « société du Spectacle ». La réduction de la réalité à la fin en soi de la valorisation capitaliste de la valeur - l’inversion interne entre l’abstrait et le concret, entre le moyen et la fin - transforme les potentialités sociales en une puissance étrangère et hostile qui s’oppose aux individus. Les relations entre les êtres humains semblent des relations entre des choses mortes. Debord veut ainsi montrer comment la relation fétichiste mise en place par le capital a atteint un degré d’abstraction encore plus grand dans l’après-guerre, dans la mesure où les choses produites sous forme de marchandises étaient couvertes par des images produites aussi sous forme de marchandises. Ces images médient, depuis, les relations sociales comme réalité compensatoire apparente ; elles sont devant les individus en tant que forme d’isolement des forces sociales qu’elles ont intégrées. Il ne s’agit pas d’une « théorie des médias », mais d’une critique irrécupérable par le capitalisme de l’ère des médias - le spectacle n’est autre que « l’économie folle ».

    #Debord #Guy_Debord #Anselm_Jappe #Robert_Kurz #critique #théorie_critique #Marx #situationniste #société_du_spectacle

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 23/05/2019
      @klaus

      #yes !!!!! et merci @klaus

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @la_voie_du
    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA 7/02/2019

    Anarchistes d’Espagne : les années Paname

    Nedjib Sidi Moussa

    ▻https://lavoiedujaguar.net/Anars-d-Espagne-les-annees-Paname

    Dans Dédicaces. Un exil libertaire espagnol (1939-1975), Freddy Gomez raconte les années parisiennes d’anarcho-syndicalistes ayant fui la victoire des troupes franquistes.

    Dès l’incipit, Freddy Gomez souligne le caractère fictionnel de ces Dédicaces tout en indiquant que son récit se déploie « au croisement de la mémoire et de l’imaginaire ». L’auteur — à qui l’on doit le « bulletin de critique bibliographique » en ligne À contretemps, fondé avec sa compagne Monica Gruszka (1948-2016) — raconte, à mots couverts, les circonstances dans lesquelles il a été amené à entreprendre son récit.

    Si les premières pages s’ouvrent avec gravité sur le deuil et la défaite, le thème du roman demeure l’exil, celui des libertaires espagnols entamé après la guerre civile et cette « révolution sociale trahie, poignardée, empêchée ». Son protagoniste principal, Cristobal Barcena, relève de la fiction même si l’écrivain précise qu’il « emprunte parfois à des personnages qui ont réellement existé ». (...)

    #mémoire #exil #libertaire #Espagne #Paris #CNT #Camus #André_Breton #Sartre #Debord

    la voie du jaguar @la_voie_du CC BY-NC-SA
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 5/01/2019
    5
    @pierre5
    @sombre
    @fadixu
    @reka
    @vanderling
    5

    Ce film, diffusé en coopération avec le CHS du XXe siècle, retrace l’histoire, la mémoire et la légende d’un mouvement subversif… qui a fini par être patrimonialisé par la société qu’il voulait renverser :

    ►https://sms.hypotheses.org/13472

    https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1243/files/2018/10/2613500280_a207c3880b_o-768x516.jpg

    #film, #documentaire, #histoire, #situationnisme, #internationale_situationniste, #IS, #debord, #Vaneigem, #révolution, #révolutionnaire, #patrimoine, #patrimonial, #mai_1968, #étudiant, #subversif, #subversion

    Mondes Sociaux @mondes
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/01/2019

      L’#Internationale_Situationniste
      ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=16&v=kMZ7NexbXpI

      CDB_77 @cdb_77
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 5/01/2019

      #récupération

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @simplicissimus
    Simplicissimus @simplicissimus 6/10/2018
    3
    @kassem
    @marielle
    @monolecte
    3

    Les faisandeurs d’opinion : Eric, Thierry, Stéphane et les autres... - ehko
    ▻https://ehko.info/les-faisandeurs-dopinion-eric-thierry-stephane-et-les-autres

    https://ehko.info/wp-content/uploads/2018/09/edvard-munch-1332621_1920.jpg

    Certains médias, penseurs, écrivains ne disent pas comment penser. C’est beaucoup plus pernicieux : ils disent à quoi penser. L’ordre du jour est créé quotidiennement par l’actualité telle qu’elle est hiérarchisée. Car l’information n’est pas un deus ex machina qui tomberait du ciel ; elle est pensée et façonnée. Et cet ordre du jour fait l’ordre du monde tout simplement.

    #Debord #Société_du_spectacle
    #Décret_Crémieux

    Simplicissimus @simplicissimus
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  • @mondes
    Mondes Sociaux @mondes 6/10/2018
    7
    @monolecte
    @sombre
    @reka
    @pierre5
    @mondes
    @7h36
    @colporteur
    7

    Ce film, diffusé en coopération avec le CHS du XXe siècle, retrace l’histoire, la mémoire et la légende d’un mouvement subversif… qui a fini par être patrimonialisé par la société qu’il voulait renverser

    ►https://sms.hypotheses.org/13472

    https://sms.hypotheses.org/files/2018/10/a-bas-ConvertImage-1-371x500.jpg

    #film, #situationnisme, #debord, #spectacle, #marchandisation, #patrimoine, #évolution, #histoire, #mémoire, #subversion, #subvertir, #symbole, #1968, #mai, #IS, #internationale_situationniste, #postérité, #légitimation

    Mondes Sociaux @mondes
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 4/10/2018
    3
    @gastlag
    @vanderling
    @simplicissimus
    3

    Les #situationnistes, ou l’esprit de #mai_1968

    L’#Internationale_Situationniste (IS) a la force d’un mythe. Il s’agit dans le #film L’Internationale Situationniste – de l’Histoire au #mythe de l’histoire d’une organisation et d’un homme, #Guy_Debord, qui prennent a posteriori l’aspect de pères spirituels de mai-juin 1968. Il s’agit de l’histoire de la construction d’un mouvement subversif, ainsi que de l’édification de son histoire, de sa #mémoire, de sa #légende. Il s’agit enfin de l’histoire de l’embaumement de contestataires par une société qu’ils étaient censés vouloir renverser.

    https://sms.hypotheses.org/files/2018/10/a-bas-ConvertImage-1.jpg

    ►https://sms.hypotheses.org/13472

    #situationnistes #mai_68 #Debord

    L’Internationale Situationniste - de l’#Histoire au mythe
    ▻https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=kMZ7NexbXpI

    #Livre :
    L’Internationale situationniste

    https://www.puf.com/sites/default/files/styles/ouvrage_couverture/public/1538617113_9782130619703_v100.jpg?itok=-tsdxrEf#.jpg

    ▻https://www.puf.com/content/LInternationale_situationniste

    CDB_77 @cdb_77
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 30/08/2018
    3
    @alimielle
    @vanderling
    @riff_raff
    3

    #Néo-situationnisme : vers un nouvel « art des territoires » – Carnet des études urbaines

    ▻https://urbs.hypotheses.org/397

    http://cathygarcia.hautetfort.com/media/02/02/1983261939.jpg

    Par Luc Gwiazdzinski, Géographe, Directeur du Master Innovation et Territoire, Université Grenoble Alpes

    « La formule pour changer le monde, nous ne l’avons pas cherchée dans les livres mais en errant ». A plus d’un demi siècle de distance, cette formule de Guy Debord entre en résonnance avec de nouvelles pratiques artistiques et citoyennes dans la ville contemporaine, mais également avec les attentes des politiques, urbanistes et aménageurs, en quête de sens et de sensible, à la recherche d’autres clés de compréhension, d’organisation et de production urbaine.
    Hors les murs

    Hors des institutions, des salles de spectacle ou des musées, une partie de la création artistique contemporaine met en scène le vivant dans l’espace public et dessine de nouveaux rapports à l’art et à l’espace. Des « artivistes » font bouger les lignes et ouvrent les champs des possibles d’une société déboussolée et nostalgique, inquiète pour son avenir et condamnée à hurler dans le présent. Dans ce contexte mouvant, entre « métropoles liquides » (Bauman, 2000) et « art à l’état gazeux » (Michaud, 2004), de nouvelles pratiques hybrides (Gwiazdzinski, 2016) associant art et espace, création artistique et production urbaine émergent et dépassent la seule mise en scène de la « société du spectacle » (Debord, 1967).

    #situationnistes #territoires #lieux #mémoire_des_lieux

    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 30/08/2018

      Il faut le dire ici de manière simple et définitive. #Debord avait tout prévu : la médiatisation systématique des rapports entre les personnes, la domination du secret et le secret de la domination dans les métamorphoses de l’économie marchande, les catastrophes écologiques, la disparition de la figure du monde. Il avait même prévu la récupération/neutralisation dont il serait l’objet à travers une surexposition posthume le réduisant pour les uns à un critique de la télévision et pour les autres à beau moment d’histoire littéraire.

      Debord, il faut le lire, le lire et s’en régaler

      Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 22/08/2018

    Débordements sur Papier - Ulule

    ▻https://fr.ulule.com/debordements-revue

    https://img.ulule.com/display/f6fb06d2f38bdd345fda7154d123431da4619fc8/thumbnail/640x360/presales/3/8/3/73383/the-wire-orange-couch_article_story_large.1XN07u2aFmzf.jpg?upscale=1

    Ce premier numéro papier de la revue Débordements sera en grande partie consacré au travail de David Simon. Ancien journaliste pour le Baltimore Sun, auteur de deux enquêtes magistrales consacrées à l’Amérique urbaine (Homicide : A Year in the Killing Streets et The Corner : A Year in the Life of an Inncer-City Neighborhood, co-écrit avec Ed Burns), il a été le showrunner de The Wire, série généralement considérée une des meilleures de l’histoire de la télévision.

    –-----

    L’édito :

    Edito #4 - Débordements
    ▻http://www.debordements.fr/tigres-de-papier

    u commencement, il y avait quelques ami.e.s autour d’une table de salon – ainsi que toutes sortes de choses à boire et à grignoter.

    Au commencement, il y avait le projet, vague, de créer une « revue en ligne ». Une de plus ? Oui, mais nous étions suffisamment ignorants de ce qui existait pour ne pas nous en soucier. Débordements, puisque ce serait son nom, croiserait des pratiques d’écriture, des rapports au cinéma, des temporalités ; et, aussi bien, les juxtaposerait, les opposerait peut-être. De l’université à la critique, de la critique à l’université – ces champs auxquels nous appartenions à peine étaient autant des points d’arrivée que de départ. Quelques rubriques, aux noms élémentaires : « critique », « recherche », « traduction », « entretien »,... Sur la page d’accueil, une mosaïque permettrait d’avoir un aperçu des dernières publications – composant ainsi une image en mouvement de notre travail.

    Nous n’avions qu’une certitude : il fallait aller voir ailleurs. Sortir de la fac pour se risquer à l’exercice de la critique. Sortir de France pour voir ce qui s’écrivait dans d’autres langues. Sortir du cinéma pour aller voir comment il entrelaçait ses puissances avec la vidéo, la bande dessinée, Internet, la photographie... Certains chantiers sont restés en plan. D’autres se sont développés tant bien que mal – avec les moyens du bord.

    A travers les six textes qui le constitue, écrits par des critiques de cinéma (Gabriel Bortzmeyer, Jean-Marie Samocki, Raphaël Nieuwjaer), des historiens (Sophie Wahnich), des autrices-traductrices (Emilie Notéris) ou des universitaires (Dork Zabunyan, sous réserve), ce dossier permettra de ressaisir le cheminement et les modulations d’une oeuvre d’une grande cohérence et d’une ampleur exceptionnelle. Avec une attention égale portée aux mini-séries (The Corner, Generation Kill, Show Me a Hero) et aux séries (The Wire, Treme, The Deuce), il constituera à notre connaissance la seule monographie consacrée à un auteur de télévision.❞

    #revue #nouvelle_publications #débordements

    Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @rebellyon
    Rebellyon @rebellyon CC BY 25/05/2018
    2
    @vanderling
    @colporteur
    2

    « Apprendre à riper une voiture, à toujours la renverser du coté du réservoir » Conseils en manif... du 24 mai 1968
    ▻https://rebellyon.info/Apprendre-a-riper-une-voiture-a-toujours-19267

    Le 24 mai 1968, Lyon s’embrasse et des barricades se forment un peut partout. Rapidement, des tracts de conseils en manif sont tirés et diffusés. Les archives de Lyon ont exumé ce bout d’histoire qui rappelle, par certains aspects, les conseils actuels et, par d’autres, montre ce qu’était la violence dans les manifs à l’époque.

    #Mémoire

    / #Répression_-_prisons, Une

    Rebellyon @rebellyon CC BY
    • @colporteur
      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 26/05/2018

      #68 #Lyon #débordement_prémédité

      colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
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  • @riff_raff
    riff-raff @riff_raff PUBLIC DOMAIN 17/05/2018

    Mai 1968-2018 : prendre la parole, encore et toujours
    ►http://jefklak.org/mai-1968-2018-prendre-la-parole-encore-et-toujours

    http://jefklak.org/wordpress/wp-content/uploads/2018/05/VignetteMai68.jpg

    Avant de partir aux États-Unis rejoindre le penseur écologiste libertaire Murray Bookchin, Daniel Blanchard s’engagea pleinement dans le mouvement du 22-Mars, puis dans les comités d’action durant le bouillonnant printemps français de 1968. Proche un moment de Guy Debord, avec qui il rédige en 1960 les Préliminaires pour une définition de l’unité du programme révolutionnaire, Blanchard est aussi un membre actif de Socialisme ou Barbarie (1949-1967), organisation révolutionnaire et revue héteromarxiste, anti-stalinienne avant l’heure, fondée par Cornelius Castoriadis et Claude Lefort. Cinquante ans après Mai-68, loin des commémorations ronflantes et matraquantes des « évènements », Daniel Blanchard livre dans Jef Klak son regard singulier sur ce moment radical de réappropriation de la parole. Un texte qui éclaire le mouvement social en cours, plus que jamais en proie à l’autoritarisme du pouvoir étatique.

    #Mai68 #mouvement #Socialisme_ou_barbarie #Debord #Murray_Bookchin

    • #Murray Bookchin
    riff-raff @riff_raff PUBLIC DOMAIN
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 27/04/2018

    « Plus que jamais en situation », par Anselm Jappe
    ►http://www.palim-psao.fr/2018/04/guy-debord.plus-que-jamais-en-situation-par-anselm-jappe-paru-dans-le-nou

    https://img.over-blog-kiwi.com/1/48/88/48/20180426/ob_4c629e_debord.jpg

    D’abord, il faut toujours rappeler que le spectacle dont il parle ne se limite pas aux médias. Il concerne toute forme de vie où intervient une séparation structurelle entre acteurs et spectateurs, organisateurs et organisés. Le spectacle consiste dans la passivité de la majorité des gens qui se borne à contempler les images , au sens large, de la vie que le système économique les empêche de vivre réellement. C’est le cas non seulement au cinéma mais dans la politique, où nous laissons d’autres agir à notre place. Nous consommons les marchandises non pas pour leur valeur d’usage, mais pour le bonheur qu’elles promettent illusoirement. Et même l’art et la culture ne font que nous montrer des passions et des « situations » que nous ne vivons pas directement - cela non pas parce que ce serait impossible, mais parce que l’économie capitaliste nous oblige à passer notre vie à travailler et à nous adapter à ses exigences. Le spectacle est une « aliénation » au sens marxiste : une projection inconsciente des forces collectives humaines sur un facteur externe qui gouverne les hommes qui l’ont créé. Et, de ce côté-ci, la société actuelle est sans doute encore plus « spectaculaire » que celle de 1967.

    […]

    Debord s’est surtout montré novateur en replaçant au centre de ses analyses les catégories marxiennes de la marchandise, de la valeur d’échange, de l’argent et du travail que le marxisme traditionnel avait presque complètement négligées. Alors que les marxistes orthodoxes pensaient en termes de distribution des fruits du travail, lui est revenu à la base productive où ceux-ci s’élaborent. Et, à partir d’elle, il déroule une critique sans concession de la « société de consommation » occidentale où l’abondance de marchandises, qu’elles soient matérielles ou qu’elles empruntent la forme d’images, remplace la vie directement vécue (le « spectaculaire diffus »). Avec une perspicacité rare à son époque, il a pu ainsi en déduire que les régimes totalitaires, parmi lesquels il comptait aussi la Chine de Mao, n’étaient que des versions plus pauvres du spectacle mondial, et non radicalement différents du monde « démocratique » (le « spectaculaire concentré »).

    #Debord #Guy_Debord #Anselm_Jappe #situationniste

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @rezo
    Rezo @rezo 20/03/2018
    6
    @marielle
    @bce_106_6
    @biggrizzly
    @philippe_de_jonckheere
    @fredlm
    @lescrises
    6

    Ordonnances SNCF : l’occasion | Frédéric Lordon
    ►https://blog.mondediplo.net/2018-03-20-Ordonnances-SNCF-l-occasion

    Rezo @rezo
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 20/03/2018

      https://blog.mondediplo.net/local/cache-vignettes/L890xH557/mur-a1b09.jpg

      Si ceux qui ont quelque responsabilité dans la « conduite » des mobilisations qui s’annoncent ne comprennent pas que le mouvement ne doit pas être « le mouvement des cheminots » ou le « mouvement contre les ordonnances SNCF », alors le mouvement échouera – une fois de plus. Que le mouvement doive aussi être cela – mouvement des et pour les cheminots –, la chose est tellement évidente qu’elle devrait aller sans dire. Mais si le mouvement n’est que cela, il est perdu d’avance.

      #ordonnances #SNCF #offensive_générale #débordement_général

      marielle 🐢 @marielle
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 20/03/2018

      Pour un syndicalisme politique

      Mais à force de ne vouloir sauvegarder que les tickets-restaurants, en se refusant à parler de quoi que ce soit d’autre, les confédérations arriveront par nous faire perdre jusqu’aux tickets-restaurants.

      Or, « quoi que ce soit d’autre », c’est la politique. Et nous y sommes. L’affaire de la SNCF est une affaire de politique : il y est question des principes d’un ordre entier. La racaille éditorialiste, qui n’a pas désarmé depuis 1995, est déjà sur les dents. Le tir de barrage va être immonde, phénoménal. Auprès de la population, il mettra dans le mille à chaque fois qu’on tentera de tenir la crête « des cheminots », si entièrement légitime soit-elle. Il est assez évident que nous ne réussirons qu’à la condition de faire entrer les non-cheminots dans le conflit des cheminots. C’est-à-dire qu’à la condition de lier les cheminots à tout ce à quoi ils doivent être liés, et de les lier politiquement. En produisant les preuves : ce qui agresse les cheminots et ce qui pousse des agriculteurs au désespoir et ce qui transforme des petits chefs en tortionnaires et ce qui suicide des salariés et ce qui réduit l’université à la misère et ce qui brise le cœur de soignants se voyant mal soigner, est la même chose : le même monde. Or : des agriculteurs sont désespérés, des petits chefs sont dans un devenir tortionnaire, des salariés passent par les fenêtres, de l’eau de pluie coule dans les salles de classe, des soignants ont le cœur brisé, etc. Beaucoup de gens souffrent, terriblement même. Beaucoup trouvent ce monde haïssable et en passe d’être déserté par toute signification humaine. Ils le sentent. Là est la ressource du combat. Une ressource politique. Mais qui ne jouera qu’à la condition de rencontrer un discours politique.

      « Faire de la politique, c’est défaire la solitude : L’occasion de ne plus être seuls ! »

      marielle 🐢 @marielle
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 21/03/2018

      Situation sociale : naissance de notre force ! par Jacques Chastaing
      ▻https://blogs.mediapart.fr/jean-marc-b/blog/200318/situation-sociale-naissance-de-notre-force-par-jacques-chastaing

      Ainsi ce mouvement des Ehpad très soutenu par l’opinion et du coup très médiatisé a en quelque sorte fait sortir de l’ombre les autres mouvements qu’on remarquait moins parce que moins appréciés comme celui des gardiens de prison, ou des paysans ou motards et moins forts comme celui des étudiants et lycéens. Dans un espèce de « halo », il les a "centralisés" de fait.

      Et plus encore, alors que beaucoup croyaient que tout était perdu, que le mouvement social était battu, qu’il n’y avait pas de lutte et plus de possibilités de luttes après les deux dernières défaites, ce mouvement montrait que la révolte surgissait de l’exploitation la plus invisible et des luttes les plus invisibles. D’un coup on les remarquait. A partir de là, le constat s’imposait que la lutte contre les ordonnances n’avait concerné que la partie la plus organisée des salariés, la plus proche des appareils syndicaux et qu’au fond la classe ouvrière n’était pas battue.

      D’ailleurs les combats actuels ne se font pas sur des dispositions législatives mais sur des revendications plus proches de la vie quotidienne.

      Cela révélait donc qu’il y avait un décalage très important entre les directions syndicales ou politiques, voire entre le combat des militants contre les ordonnances, et les salariés eux-mêmes. Cela disait qu’au fond, ce n’étaient pas les travailleurs qui avaient été battu par Macron mais les directions syndicales et leur tactique...

      marielle 🐢 @marielle
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 21/03/2018

      ▻https://seenthis.net/messages/678351

      marielle 🐢 @marielle
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 21/03/2018

      Nous vivons dans un monde où ceux qui gagnent 100.000€ par mois persuadent ceux qui en gagnent 1.800 que tout va mal à cause de ceux qui vivent avec 535€. Et ça marche…

      Vanderling @vanderling
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 21/03/2018

      Pour un savoir engagé
      ►https://www.monde-diplomatique.fr/2002/02/BOURDIEU/8602

      https://www.monde-diplomatique.fr/local/cache-vignettes/L600xH315/essence-5876a.jpg

      Depuis les grèves de novembre et décembre 1995 en France, les interventions de Pierre Bourdieu ont été l’objet de critiques, souvent violentes, notamment de la part des journalistes et des intellectuels médiatiques dont il avait analysé le rôle social. Ce qui semble les avoir choqués avant tout, c’est qu’un « savant » intervienne aussi activement dans le domaine « politique ». L’implication du sociologue dans l’espace public remonte néanmoins au début des années 1960, à propos de la guerre d’Algérie.

      Désireux de « penser la politique sans penser politiquement », Pierre Bourdieu a cherché à démontrer que, loin de s’opposer, les sciences sociales et le militantisme peuvent constituer les deux faces d’un même travail, qu’analyser et critiquer la réalité sociale permettent de contribuer à sa transformation. Ce texte a été lu par son auteur lors d’une rencontre à Athènes, en mai 2001, avec des chercheurs et des syndicalistes sur des thèmes tels que l’Europe, la culture et le journalisme et figurera dans un livre à paraître au printemps, Interventions (1961-2001). Sciences sociales et action politique (Agone, Marseille).

      marielle 🐢 @marielle
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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 31/01/2018
    2
    @vanderling
    @02myseenthis01
    2

    LesInrocks - Aux origines de l’esprit de #Mai_68 : l’histoire tumultueuse de l’#Internationale_lettriste
    ▻https://www.lesinrocks.com/2018/01/30/idees/aux-origines-de-lesprit-de-mai-68-lhistoire-tumultueuse-de-linternationa
    #debord #Internationale_situationniste

    En pleine commémoration des cinquante ans de Mai 68, cet ouvrage rappelle que le véritable terreau du mouvement des enragés était là. Maurice Rajsfus le consignait a posteriori dans Une enfance laïque et républicaine (1992) : “Un petit groupe en rupture avec Isidore Isou prit l’appellation d’Internationale lettriste. Comment imaginer alors que certaines de leurs réflexions annonçaient l’esprit de Mai 68, ainsi ce graffiti figurant sur un mur de la rue Mazarine, en 1953 : ‘Ne travaillez jamais’.”

    Répondant à “un impératif besoin de liberté”, ils échafaudent les bases d’une contre-culture à l’usage d’une génération qui ne se reconnaît ni dans le stalinisme, ni dans la bourgeoisie. Elle resurgira, moins marginale qu’on le croyait, en mars 1968 à Nanterre. “Oui. ‘Ne travaillez jamais’, c’était un mot d’ordre qui faisait absolument l’unanimité, et c’est l’un des premiers qui a réapparu à Nanterre en 68, remarque Jean-Michel Mension. Je me souviens d’un copain, René Leibé, [qui] avait des ongles de dix centimètres de long, pour bien prouver qu’il ne travaillait jamais. Guy aussi a réussi effectivement - je crois - à très peu travailler, et à maintenir toujours cette vie d’alcoolique permanent, de penseur alcoolisé, sans faille.”

    “On a effectivement renversé le monde de fond en comble en buvant parfois un litre, parfois deux”, “Guy a toujours bu d’une façon incroyable, il buvait du matin au soir par petits coups. Mais, tant que ça ne s’est pas vu, c’était très difficile de dire qu’il était alcoolique. Il était imbibé”. La ligne de crête est ténue.

    https://statics.lesinrocks.com/content/thumbs/uploads/2018/01/width-715/affichette-de-linternationale-lettriste2.jpg

    Un texte inédit rédigé par Serge Berna en 1950, dans la foulée du scandale de Notre-Dame, et reproduit dans La Tribu, éclaire peut-être de la manière la plus limpide l’esprit de mai en gestation : “C’est un besoin fou de vivre à pleines mains, à pleines dents, à plein sexe, qui nous a jetés à cette première attaque contre l’ensemble d’obsessions abrutissant l’homme actuel [...]. Le geste était nécessaire, si ce n’est que pour ce fait : tant y avaient rêvé sans jamais oser !”. Le plan de bataille n’était pas encore prêt. Mais, comme écrivait Marx, la révolution, cette vieille taupe besogneuse, “sait si bien travailler sous terre pour apparaître brusquement”...

    • #Isidore Isou
    ant1 @ant1 CC BY-NC
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 31/01/2018

      http://www.editions-allia.com/files/book_316_image_cover.jpg

      ►http://www.editions-allia.com/fr/livre/316/la-tribu
      #Editions_Alia #Jean-Michel_Mension #Isidore_Isou

      Vanderling @vanderling
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 15/11/2017

    « Secret », « scandaleux », « révolutionnaire »... quand #Debord pitchait « La Société du spectacle »

    ▻https://www.franceculture.fr/philosophie/debord-expliquait-soci%C3%A9t%C3%A9-du-spectacle

    Le truc le mieux aujourd’hui. Guy Debord rules.

    https://cdn.radiofrance.fr/s3/cruiser-production/2017/11/122835d6-505b-43f4-b4d5-7d55afcf002f/738_debord.jpg

    « La #Société_du_spectacle » de #Guy_Debord paraissait en 1967. Dans un silence religieux des médias et des intellectuels, même si le bréviaire situationniste a très vite circulé dans la gauche radicale. Ce n’est que 20 ans plus tard qu’il deviendra pratiquement une icône glamour. Retour sur sa sortie.

    Reka @reka CC BY-NC-SA
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 25/06/2017
    13
    @mad_meg
    @philippe_de_jonckheere
    @touti
    @vanderling
    @7h36
    @tetue
    @biggrizzly
    @rastapopoulos
    @kassem
    @colporteur
    @baroug
    @l_l_de_mars
    @odilon
    13

    Cette artiste laisse le public lui faire ce qu’il veut pendant 6 heures.
    ▻http://www.feroce.co/marina-abramovic/?ref=fb

    http://files.ferocecdn.com/wp-content/uploads/2017/06/be6a686ba6a5ea45087cad530f017284.jpeg

    Démonstration du principe d’#impunité

    « Ce travail révèle ce qu’il y a de plus horrible chez les gens. Cela montre à quelle vitesse quelqu’un peut se décider à te blesser lorsqu’il y est autorisé. Cela montre à quel point il est facile de déshumaniser quelqu’un qui ne se défend pas. Cela montre que la majorité des gens ’normaux’ peuvent devenir très violents en public si on leur en donne la possibilité. »

    • #Chris Burden
    • #Marina Abramovic
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 25/06/2017

      Chris Burden à côté de Marina Abramović, c’est vraiment de la petite bière ! (Pourtant)

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @touti
      vide @touti 25/06/2017
      @philippe_de_jonckheere

      Ah wéé, elle a des couilles @philippe_de_jonckheere c’est ça ?
      En fait, c’est bien le mot, PerformancE. Au top d’on ne sait quelle horreur, être prêts à tout pour dépasser leur statut de mortels au nom de l’art, l’art immortel, l’art objet, l’art de la gloire, être tout cela à la fois et le prouver dans le dépassement de soi.
      Et comme quoi d’avoir l’épitaphe Art ou Science permet de faire n’importe quoi. Et je le dis avec toute mon admiration/répulsion pour Marina Abramović, car il faut d’abord la nécessité de s’ancrer dans une certaine idée de l’art pour y survivre.
      Et il faut ceux qui regardent et qui applaudissent aussi.
      Ce genre de performance tient de l’expérience scientifique.
      Les photographies de nus se prétendaient artistiques ou scientifiques pour passer la censure.
      Comment sinon survivre et prendre de la distance, au moins l’art te protègera ? j’y crois pas. #croyance
      Et aussi ce genre de performance me révolte, parce que ce courant de « dépassement de soi » a mené de jeunes artistes au suicide, performance ultime si inutile. Et oui, je suis exaspérée par l’ART, sors ta liste des artistes qui traversent la méditerranée à la nage en échappant aux tarés d’identitaires qui veulent les noyer.
      #debord #spectacle

      vide @touti
    • @touti
      vide @touti 25/06/2017

      @dudh48 va polluer ailleurs

      vide @touti
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 25/06/2017
      @touti @philippe_de_jonckheere

      @touti :

      Ah wéé, elle a des couilles @philippe_de_jonckheere c’est ça ?

      Franchement ce serait bien de ne pas me faire dire ce genre de choses, de me prêter ce genre de raisonnements. Ce n’est certainement pas ce que j’ai dit, encore moins ce que je peux penser. En revanche, pour bien connaître l’oeuvre de Chris Burden, un peu moins celle de Marina Abramović, c’est vrai, je pense qu’effectivement les deux oeuvres sont comparables, toutes les deux plaçant le danger au centre même de leur travail, Marina Abramović prenant des risques supérieurs si une telle chose était possible. Par ailleurs ce sont des oeuvres mitoyennes dans le temps (et par ailleurs, cela on s’en fout un peu, j’ai été exposé à ces deux oeuvres au même moment, milieu des années 80).

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @touti
      vide @touti 25/06/2017
      @philippe_de_jonckheere

      @philippe_de_jonckheere excuse moi de t’avoir blessé, d’autant qu’aujourd’hui ça fuse sur seenthis.
      Je me suis permise d’interpréter vulgairement ton

      Chris Burden à côté de Marina Abramović, c’est vraiment de la petite bière ! (Pourtant)

      dans le sens ou il y a comparaison des horreurs dont se rendent capables les performers. Je rappelle juste que Chris Burden s’était fait tirer dans le bras à balle réelle.
      Et ce n’est pas toi qui est visé mais bien l’idée que pour ce genre d’exhibition on recherche évidemment celui qui en fera le plus comme à la fête foraine des plus grosses couilles. Tu auras compris aussi qu’autant j’aime les expériences sensorielles de Marina Abramovic, autant la course aux couilles qu’elle (s’)impose avec ce genre de dépassement du pire me rendent triste.

      vide @touti
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 26/06/2017
      @touti

      @touti Excuses acceptées (tu penses bien)

      Je ne pense pas que les oeuvres de Chris Burden et de Marina Abramović ne soient que cette course au risque, une simple provocation. Ce sont deux oeuvres au contraire qui agrandissent singulièrement le champ même de l’art. Par ailleurs ce ne sont pas non plus des oeuvres monosémiques, elles ne sont pas que cette prise de risque. Par exemple il y a quantité d’oeuvres de Chris Burden des années 80 qui sont une réponse radicale à la crise des Homeless aux Etats-Unis. Dans le cas de cette oeuvre tellement dérangeante de Marina Abramović, il est troublant de constater le côté moutonnier de ces tortionnaires par le seul fait de leur déresponsabilisation par Marina Abramović elle-même, ce qui n’est pas sans rappeler les expériences de Stanley Milgram (qui à mon sens sont elles-mêmes un performance aussi, une oeuvre d’art même).

      Certes c’est moins tranquille à regarder que Cy Twombly !

      Quant à l’atmosphère délétère de seenthis depuis l’arrivée de l’ado en crise, oui, quelle fatigue !

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @l_l_de_mars
      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE 29/06/2017
      @philippe_de_jonckheere

      @philippe_de_jonckheere
      on avait les peintres du dimanche, voilà les performers du dimanche :

      ▻http://www.bfmtv.com/international/son-petit-ami-lui-demande-de-lui-tirer-dessus-pour-filmer-une-video-virale-el

      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 29/06/2017
      @l_l_de_mars

      @l_l_de_mars
      ►https://seenthis.net/messages/611210

      http://artsfactory.net/images/imagesexpo/joancornella/5_joancornella_untitled.JPG

      ▻http://artsfactory.net/index.php/joan-cornella

      Vanderling @vanderling
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 29/06/2017
      @l_l_de_mars

      @l_l_de_mars Oui, ►https://seenthis.net/messages/611210, et de fait je me suis dit que Burden avait été une influence mal digérée par ce petit couple prometteur et talentueux.

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @l_l_de_mars
      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE 30/06/2017

      amerde, j’ai encore un train de retard, moi ...

      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 30/06/2017
      @l_l_de_mars

      @l_l_de_mars en fait il y a un petit truc assez bien foutu dans seenthis qui indique, lors de la rédaction d’un message, si une url qu’on copie-colle a déjà été citée ou pas, cette url s’orne alors d’une petite flèche ascendante à sa fin. Rien de grave. Et c’est une fonctionnalité que j’ai découerte moi-même il y a peu, ce qui m’a évité redites et passer pour un retardataire

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @l_l_de_mars
      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE 30/06/2017

      je la vois pas sur mon lien, la petit flêche ... ça marche sur tous les navigateurs ? (j’utilise K-Meleon)

      L.L. de Mars @l_l_de_mars ART LIBRE
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 30/06/2017
      @l_l_de_mars

      @l_l_de_mars C’est quand on écrit un nouveau message, au moment où on colle l’adresse dans le champ, celle-ci s’orne d’un epetite flèche qui indique donc que le lien en question a déjà été cité.

      Si malgré tout, ce n’est pas interdit, vous postez quand même cette adresse elle apapraîtra précédée d’une flèche noire, si c’est un premier signalement la flèche sera blanche.

      C’est assez pratique, il faut bien le dire. Cela permet notamment d’évitger les discussions croisées sur deux ou plus de posts

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 30/06/2017
      @philippe_de_jonckheere @l_l_de_mars

      Voilà, j’viens de remettre la main dessus @philippe_de_jonckheere ►https://seenthis.net/messages/192444 ce billet de @intempestive qui date de 2013 #seenthis_outils qui m’a bien dépatouillé il y a quelques temps et éviter les redites.

      @l_l_de_mars en voilà un qui, s’il n’a pas un train d’avance, aura un train spécial exclusivement pour son auguste personne. Arrivé demain en gare de #Rennes ( _depuis le temps qu’ils nous gave avec leur #LGV_ )

      Une fois arrivé à Rennes, le dispositif de sécurité sera le même qu’à chacun de ses déplacements. Depuis le début de la semaine, des équipes spécialisées, dont celles de protection des hautes personnalités, sont sur le pied de guerre pour « étudier le terrain » et repérer les éventuelles vulnérabilités et y remédier.

      #Emmanuel_Macron est attendu vers 18 h en gare de Rennes. Après la visite de la nouvelle Passerelle, accompagné de Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, le président de la République doit se rendre au Liberté, esplanade De Gaulle, en voiture, pour des questions de sécurité. Plus de 1 000 invités, triés sur le volet, sont attendus. Il est prévu deux manifestations sur le parvis de l’Esplanade de Gaulle : une de l’association citoyenne « Châteaubriant-Rennes en train » qui va inaugurer symboliquement le Ligne à Petite Vitesse et une autre manifestation sociale du syndicat Sud.

      Pour celleux qui ne connaissent pas le quartier, le Liberté et la gare sont distant de 5 mn à pied, à peine. Pas de doute, la capitale BZH sera #bleu_marine ce samedi.
      ►https://www.solidaires.org/Marche-unitaire-contre-l-etat-d-urgence-permanent

      Vanderling @vanderling
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 31/08/2016
    2
    @kassem
    @tonyfortin
    2

    Debord(er) la carte
    ▻http://strabic.fr/Guy-Debord-er-la-carte-derive-psychogeographie-internationale-situationniste

    http://strabic.fr/IMG/jpg/image1.jpg

    « Une carte du monde ne faisant pas mention du royaume d’Utopie ne mérite même pas un coup d’œil, car elle laisse à l’écart le seul pays où l’humanité finit toujours par aborder. » Oscar Wilde, L’Âme humaine et le socialisme, 1891.

    Fondateur de l’Internationale Situationniste (I.S.), mouvement d’avant-garde fondé en 1957 et dissous en 1972, Guy Debord aimait les cartes et les plans. Plans de Paris, plans de bataille, carte du Tendre et cartes d’état major. Poète, cinéaste, théoricien marxiste et stratège révolutionnaire, Guy Debord était aussi un grand marcheur et un excellent buveur, deux qualités essentielles pour prétendre à la dérive. Enfant terrible de la promenade baudelairienne, des vagabondages de Thomas de Quincey à Londres et des surréalistes à Paris, la dérive consiste à marcher sans but dans la ville, à s’y laisser aller aux sollicitations du milieu. Ça a l’air fastoche comme ça, mais il y faut beaucoup d’application. « Les difficultés de la dérive sont celles de la liberté » [1]. Tout concourt en effet à diriger les pas urbains. Il ne s’agit pas pour autant de marcher au hasard, mais de suivre le « relief psychogéographique », d’explorer les « unités d’ambiances » ou « plaques tournantes » et d’en rendre éventuellement compte par la fabrication de plans plus ou moins élaborés, les fameuses cartes psychogéographiques.

    #cartographie #psychogéographie #guy_debord

    • #Guy Debord
    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 1/09/2016

      #Internationale_Situationniste #situationnisme #Debord #cartes_psychogéographiques #cartographie_psychogéographique

      CDB_77 @cdb_77
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 20/08/2016
    3
    @monolecte
    @sebrobeet
    @vanderling
    3

    La Société du spectacle (1973) - Guy Debord [MultiSub] - YouTube

    Oui, je sais, c’est un grand classique de chez classique, mais ça fait du bien de le revoir et de le resignaler de temps en temps, surtout en ce moment.

    ►https://www.youtube.com/watch?v=IaHMgToJIjA

    La Société du spectacle (1973) - #Guy_Debord

    • #YouTube
    • #Guy Debord
    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 21/08/2016

      Cette vidéo inclut du contenu de lgl_films_sans_frontieres, qui l’a bloqué dans votre pays pour des raisons de droits d’auteur.

      :D

      (Té… ça veut vraiment rien dire, à l’heure d’internet et des connexions depuis n’importe où, de bloquer un contenu dans un pays mais le laisser accessible dans d’autres… c’est tellement débile, à chaque fois que je vois cette phrase)

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 22/08/2016

      L’Internationale situationniste produit ses travaux théoriques dans sa revue #Internationale_situationniste. La revue fut également rédigée par Guy Debord, Mohamed Dahou, Giuseppe Pinot-Gallizio, Maurice Wyckaert, Constant, Asger Jorn, Helmut Sturm, Attila Kotanyi, Jørgen Nash, Uwe Lausen, Raoul Vaneigem, Michèle Bernstein, Jeppesen Victor Martin, Jan Stijbosch, Alexander Trocchi, Théo Frey, Mustapha Khayati, Donald Nicholson-Smith, René Riesel, René Viénet, etc. 12 numéros furent publiés entre 1958 et 1969. Cette revue était un terrain d’expérimentation discursif et également un moyen de propagande.

      Bulletin central édité par les sections de l’internationale situationniste
      Directeur : G.-E. Debord
      Rédaction : Paris

      ▻http://www.larevuedesressources.org/internationale-situationniste-integrale-des-12-numeros-de-la-r

      Vanderling @vanderling
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 22/08/2016

      Par ici
      ▻https://www.youtube.com/watch?v=eE_nu1n7-jI

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 23/08/2016

      DEBORD CONTRE DEBORD
      #Toulouse_La_Rose

      « C’est à partir de 1974 que j’ai commencé à me passionner pour l’agitation situationniste. De 1982 à sa mort en 1994, Guy #Debord a vécu avec moi, sans jamais m’avoir rencontré. C’est lui qui m’a appris que le pouvoir n’était pas au bout du fusil et que la peinture était au bout du rouleau. Depuis, mes positions sur ces thèmes ont beaucoup évolué ; sauf celles de la peinture, bien sûr... »

      http://www.librairie-quilombo.org/local/cache-gd2/16/e7ad9ce5d5970618b80689cfe82a8f.jpg?1464659850

      Debord contre Debord réunit trois textes, qui dans un style décapant et souvent hilarant s’attaquent au « mythe Debord »

      En explorant épisodes et trajectoires, en relevant contradictions et affirmations diverses et variés, Toulouse La Rose parvient à redonner au fondateur de l’Internationale situationniste une dimension humaine et politique bien au-delà de l’image figée de penseur intouchable qui est colportée aujourd’hui.

      éditions #Nautilus
      ▻http://www.la-petroleuse.com/situationnisme/3990-debord-contre-debord-9782846030304.html

      Vanderling @vanderling
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  • @kassem
    Kassem @kassem CC BY-NC-SA 15/08/2016
    2
    @reka
    @hassan_nya
    2

    An Illustrated Guide to Guy Debord’s ‘The Society of the #Spectacle’
    ▻http://hyperallergic.com/313435/an-illustrated-guide-to-guy-debords-the-society-of-the-spectacle

    http://hyperallergic.com/wp-content/uploads/2016/07/The-Society-of-the-Spectacle_Times-Square_Lauren-Purje.jpg

    In his 1988 follow-up text, Comments on the Society of the Spectacle, #Debord introduces a third form: the integrated. As its name suggests, the integrated spectacle is a combination of diffuse and concentrated elements. Debord bleakly concludes that the integrated spectacle now permeates all reality. “There remains nothing, in culture or nature, which has not been transformed, and polluted according to the means and interests of modern industry,” he writes. Today, the integrated spectacle continues to provide abundant commodities while defending itself with the use of misinformation and misdirection. According to Debord, it does this primarily through the specter of terrorism:

    “_Such a perfect democracy constructs its own inconceivable foe, terrorism. Its wish is to be judged by its enemies rather than by its results . The story of terrorism is written by the state and it is therefore highly instructive. The spectating populations must certainly never know everything about terrorism, but they must always know enough to convince them that, compared with terrorism, everything else seems rather acceptable, in any case more rational and democratic._”

    Debord’s observation appears particularly prescient today when one compares the amount of media coverage that terrorism receives in comparison to climate change (the latter being the direct consequence of our relentless consumerism).

    #démocraties #terrorisme #consumérisme

    Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @kassem
      Kassem @kassem CC BY-NC-SA 15/08/2016

      ▻https://seenthis.net/messages/332584

      Kassem @kassem CC BY-NC-SA
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 16/08/2016

      #guy_debord

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/08/2016

      #démocratie

      CDB_77 @cdb_77
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  • @supergeante
    Supergéante @supergeante 24/12/2015
    3
    @reka
    @baroug
    @rastapopoulos
    3

    Guy Debord, satiété du spectacle
    ►http://next.liberation.fr/livres/2015/12/23/guy-debord-satiete-du-spectacle_1422654
    « Guy Debord n’a pas été capable d’appliquer dans sa vie les principes qu’il revendiquait en théorie »

    http://files.newsnetz.ch/story/1/4/8/14809551/6/topelement.jpg

    ▻http://next.liberation.fr/livres/2015/12/23/guy-debord-n-a-pas-ete-capable-d-appliquer-dans-sa-vie-les-principes
    Un nouveau tombeau pour Guy Debord, patron pas si saint du situationnisme
    ▻http://www.24heures.ch/culture/nouveau-tombeau-guy-debord-patron-saint-situationnisme/story/14809551
    http://www.fabula.org/actualites/documents/71868.gif

    • #Guy Debord
    Supergéante @supergeante
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 24/12/2015

      #debord #société_du_spectacle

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 24/12/2015

      Pour la sortie de ce livre j’ai vu des phrases fort peu élogieuses sur cet Apostolides, mais je n’arrive plus à retrouver où c’était. Sur un site ou blog anar-situ ou un truc comme ça je crois.

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 24/12/2015

      Vu l’entreprise échaffaudée par le monsieur, et ses sources, ce n’est pas très étonnant que quelques idolâtres de Debord ne soient pas ravis. Perso, je classe le livre dans les #to_read et on verra plus tard.

      Supergéante @supergeante
    • @philippe_de_jonckheere
      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY 25/12/2015

      L’autre partie du jeu, prolongation du découpage, consiste à s’approprier des personnages « qu’il intègre à son noyau psychique intime afin de créer ce qu’il appellera plus tard un moi mythologique ». Ainsi s’est-il bâti, avance Apostolidès, un « moi mythologique », fait d’absorptions, de récupération, d’emprunts à des personnalités comme Lautréamont, Fu Manchu, Saint-Just… Leur origine ne compte pas. « Debord ne lit jamais un livre pour lui-même, il ne voit jamais un film pour comprendre l’univers fictif d’un artiste. Chaque œuvre est appréciée en fonction de sa capacité d’enrichir le moi mythologique. » Ce qui compte, c’est ce qui est produit, à travers les détournements, les sédimentations et qui édifie une image pour les autres et une œuvre originale. C’est aussi une façon de ne pas prendre la société au sérieux et d’avoir prise sur elle.

      Cette façon de faire présentée comme une tare, m’apparaît au contraire comme une façon très saine de faire et de vivre. Mais j’ai bine compris que ce n’était pas le seul reproche qu’Apostolidès faisait à Debord, mais j’y vois quand même beaucoup une histoire de point de vue, le bien d el’un pouvant devenir le mal de l’autre.

      Philippe De Jonckheere @philippe_de_jonckheere CC BY
    • @ktche
      ktche @ktche CC BY-NC-SA 20/01/2016

      Le point de vue de Sanguinetti

      ▻https://blogs.mediapart.fr/lechatetlasouris/blog/150116/argent-sexe-et-pouvoir-propos-d-une-fausse-biographie-de-guy-debord

      ktche @ktche CC BY-NC-SA
    • @martin5
      Nouvel auteur @martin5 20/01/2016

      Entre le propos radicalement non-comprenant d’un auteur charognard comme Apostolidès, et celui d’un authentique révolutionnaire défendant son passé et son héritage, (qui, au détour d’un jubilatoire démontage du premier, ne manque pas de donner à voir, comme tant d’autres, combien un vrai révolutionnaire de ce temps là se doit aujourd’hui de trébucher lourdement sur la « gender theory » et de ne pas comprendre que les mœurs de son temps, y compris les siens, ou d’autres plus anciens soient critiquables et critiqués :

      C’est bien anti historique que de juger à la lumière sinistre du « #politically_correct » ou de la « #gender_theory » le siècle précédent, ou la position radicalement conflictuelle qui nous animait. Si Apostolidès lisait la riche correspondance de Machiavel, où il est lourdement question de femmes et de pédérastes, de pédophiles et de prostituées, etc., de la vie telle quelle en fait, il serait bien scandalisé, et il écrirait un gros tome pour nous avertir que Machiavel n’était pas « un grand homme ». On le laisse volontiers à ses opinions adipeuses et poisseuses, mais elles ne nous instruisent que sur lui-même.

      )... il me semble heureusement y avoir largement la place pour une critique actuelle .
      Ne serait-ce que parce que la vie du temps de Machiavel, comme lui-même la raconte (pour ma part, avoir lu la correspondance de Machiavel ne m’a pas fait mépriser l’homme, quoi que j’ai pu penser de ce qu’il relatait), pas plus que la vie de quelque autre temps n’a jamais été cette étonnante fiction idéale d’une « vie telle quelle » à propos de quoi il n’y aurait rien à dire : sinon regretter sa disparition et conspuer, en son nom, quiconque y ose porter le fer.

      Il faut donner à César ce qui est à César, et à Brutus ce qui est à Brutus : il faut reconnaître que sans la théorie du spectacle élaborée par Debord ce monde resterait parfaitement incompréhensible et incertain, comme ceux qui le dominent voudraient qu’il soit, et comme il le reste effectivement pour Apostolidès.

      Le passage qui suit immédiatement la pauvre sortie de Sanguinetti contre la « théorie du gender » et le « politiquement correct » (sans s’apercevoir de combien il s’abaisse ainsi) peut aussi bien se détourner : il faut reconnaître que sans le mouvement féministe et la théorie du genre qui en est issue, le monde de Machiavel, avec ses pédérastes, ses pédophiles et ses prostituées, comme celui des situationnistes resterait parfaitement incompréhensible et incertain : comme les hommes qui le dominaient et le dominent encore voudraient qu’il le soit, et comme il le reste effectivement pour Sanguinetti. A qui, dans l’affaire, la balourdise d’un Apostolidès s’avère ici bien opportun.
      Ajoutons à cela que, dans le discours de ces dominants, l’existence du genre et l’espèce d’ incertitude (en quel terme ces choses-là sont elles dites !) qui en résulte pour la part non-masculine de l’humanité se nomme benoîtement « la vie telle qu’elle est ».

      Avoir été de leur temps particulier n’enlève pourtant rien ni à Machiavel, ni à Debord, ni à Sanguinetti, ni à Bernstein ni aucun révolutionnaire vieillissant.
      Mais personne ne peut être meilleur que le sien, ni même se croire à l’abri d’une critique postérieure, qu’ellil ne saura comprendre.

      #theorie_du_gender
      #révolutionnaire_vieillissant

      Nouvel auteur @martin5
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  • @line_d_
    line d. @line_d_ PUBLIC DOMAIN 17/06/2015

    L’administration se simplifie pour vous
    ▻http://simplification.modernisation.gouv.fr

    Démarches, normes, formulaires, accessibilité, l’administration simplifie ses procédures.

    Découvrez l’ensemble des mesures de simplification en cours et leur avancement.

    Ben c’est pas simple… D’abord, sur leur site aucune petite case « rechercher ». Si tu cherches à tout savoir sur la simplification concernant l’urbanisme ou l’environnement, il faut lire l’ensemble des mesures… Pffff.
    Il est quasiment impossible d’avoir une vue d’ensemble des mesures, sauf à refaire soi-même un beau tableau. Bref, pour noyer le poisson, ça le fait.

    Au total, environ 380 mesures sont réparties par public et par thème.
    3 types de public : entreprise pour 67% des mesures ; particulier pour 28% et l’administration pour 5%.

    25 thèmes ! À part le thème « ouverture des données » (9 mesures) dont certaines mesures sont communes aux particuliers et à l’administration, tous les autres ne concernent qu’un seul public.

    Petit détail amusant concernant les thèmes : les 10 thèmes liés aux entreprises sont tous nommés par des verbes d’action : créer, développer, transmettre, exercer, etc. ; par contre les 12 thèmes concernant les particuliers sont tous nommés par des noms génériques : famille, emploi, scolarité, etc. ; il faut lire le sous-titre pour trouver un verbe.

    #simplification, #débordement de données

    line d. @line_d_ PUBLIC DOMAIN
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  • @periode
    Revue période @periode 2/03/2015
    7
    @colporteur
    @cie813
    @thibnton
    @moderne
    @lyco
    @7h36
    @gblin
    7

    Brûler, habiter, penser. À propos de « À nos amis », du Comité Invisible
    ►http://revueperiode.net/bruler-habiter-penser-a-propos-de-a-nos-amis-du-comite-invisible

    Dans À nos amis, le Comité invisible a tenté de produire un diagnostic global sur les traits marquants de « l’époque », c’est-à-dire sur les formes inédites de pouvoir qui structurent notre monde, les impasses des mouvements sociaux contemporains, la nécessité de briser la machine sociale. Pour Alberto Toscano, ce diagnostic souffre d’une faiblesse majeure : il repose sur une métaphysique de la "vie" qui enferme la réflexion du Comité invisible dans une éthique et empêche d’examiner à fond les perspectives ouvertes par le texte.

    #Uncategorized #Adorno #aliénation #autonomie #Debord #insurrection #réification #stratégie #Tiqqun #vitalisme

    • #Comité invisible
    Revue période @periode
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  • @liotier
    liotier @liotier CC BY-SA 18/01/2015
    2
    @fil
    @kassem
    2

    « La #démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi, le terrorisme. Elle veut, en effet, être jugée sur ses ennemis plutôt que sur ses résultats. L’histoire du #terrorisme est écrite par l’État, elle est donc éducative. Les populations spectatrices ne peuvent certes pas tout savoir du terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique » - Guy #Debord, Commentaires sur la société du spectacle, 1988.

    • #Guy Debord
    liotier @liotier CC BY-SA
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