• La représentation politique locale japonaise en question
    https://metropolitiques.eu/La-representation-politique-locale-japonaise-en-question.html

    Les #élus_locaux japonais sont-ils représentatifs de la population ? À partir d’une enquête sociologique inédite sur la préfecture d’Okayama au #Japon, Yasushi Iwabuchi et Michel Koebel présentent des pistes de réflexion sur les biais de la représentation politique. La plupart des recherches consacrées au personnel politique japonais portent sur l’élite politique de l’archipel. À l’exception de quelques études qualitatives localisées (Osawa et Yoon 2019), les élus locaux n’ont fait l’objet d’aucune étude #Terrains

    / Japon, #démocratie_locale, élus locaux, #mode_de_scrutin, représentativité

    #représentativité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_koebel-iwabuchi.pdf

  • Démocratiser le #travail, écologiser la démocratie
    https://laviedesidees.fr/Democratiser-le-travail-ecologiser-la-democratie

    Peut-on penser une #démocratie du travail sans penser aux conditions mêmes de son existence ? Toute critique sociale qui ignore la crise écologique risque de renforcer un modèle productiviste déjà à bout de souffle.

    #Philosophie
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20250714_abdoulaye_honneth.pdf

  • La représentation politique locale japonaise en question
    https://metropolitiques.eu/Portrait-sociologique-des-elus-locaux-japonais.html

    Les #élus_locaux japonais sont-ils représentatifs de la population ? À partir d’une enquête sociologique inédite sur la préfecture d’Okayama au #Japon, Yasushi Iwabuchi et Michel Koebel présentent des pistes de réflexion sur les biais de la représentation politique. La plupart des recherches consacrées au personnel politique japonais portent sur l’élite politique de l’archipel. À l’exception de quelques études qualitatives localisées (Osawa et Yoon 2019), les élus locaux n’ont fait l’objet d’aucune étude #Terrains

    / Japon, #démocratie_locale, élus locaux, #mode_de_scrutin, représentativité

    #représentativité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_koebel-iwabuchi.pdf

    • ❝Lundi 7 juillet 2025

      Nous n’avons jamais autant pris la parole, mais sait-on encore se parler ? À l’heure des réseaux, du bruit, des bulles et des certitudes, le dialogue vacille. Comment redonner souffle à une parole vivante, habitée, réellement partagée ?

      Avec

      Gérald Garutti , dramaturge et metteur en scène, fondateur du Centre des Arts de la Parole
      Clément Viktorovitch , docteur en science politique, maître de conférences en rhétorique à Sciences Po et streamer sur Twitch

      Dans un monde saturé de mots, quelque chose se tait. Ce n’est pas l’opinion qui manque, ni la parole, omniprésente, continue, souvent bruyante. Ce qui vacille, c’est la capacité à faire de cette parole un lien, un lieu d’échange plutôt que d’affrontement. Le débat public s’épuise en duels stériles ; les conversations cèdent la place aux invectives ; l’écoute, rare, devient presque subversive. On parle à tort et à travers, mais on ne s’adresse plus vraiment à personne.

      Dans cette cacophonie, les conditions mêmes du dialogue semblent avoir été oubliées : le silence qui permet d’entendre, le cadre qui rend possible la confiance, le temps qu’il faut pour formuler, chercher, répondre. Trop souvent, il ne s’agit plus de comprendre, mais de vaincre. Et cette perte n’est pas seulement culturelle, elle est aussi politique. Car une société qui ne sait plus se parler est une société qui cesse peu à peu de faire corps.

      Comment reconstruire des espaces, où la parole soit à nouveau partagée, habitée, entendue ? Le dramaturge et metteur en scène, Gérald Garutti, fondateur du Centre des arts de la parole, et Clément Viktorovitch, docteur en science politique enseignant la rhétorique à Sciences Po, apportent leur éclairage.

      Une parole dégradée à l’ère de la post-vérité

      Le constat est sans appel, pour Clément Viktorovitch : « Je crois qu’il ne fait pas de doute que la parole politique a saccagé les mots, et ce, depuis maintenant une dizaine d’années. » L’année 2016 marque un tournant, pour le docteur en science politique, avec la première élection de Donald Trump aux États-Unis et le référendum du Brexit en Grande-Bretagne. « Ces deux campagnes ont été marquées par une démultiplication du mensonge. » Certes, le personnel politique a de tout temps usé de ce subterfuge, mais ce qui change, pour Clément Viktorovitch, c’est que la parole mensongère s’énonce droit dans les yeux, comme une « commodité ».

      Gérald Garutti constate que la parole est réduite à sa force d’impact, « pour frapper, pour cogner ». « C’est bien le sens des punchlines, des vannes, des machines à clash qui font du cash sur Internet », remarque le dramaturge, qui a le sens de la formule. Il en déplore le corollaire, à savoir que la parole ne fasse plus lien. « Or, je pense que la parole est moins une expression, qu’une relation. »

      Pour une éducation populaire de la parole

      À l’heure où la parole est saccagée dans les discours politiques et sur les réseaux sociaux, à l’heure où les mots ont perdu leur sens, Clément Viktorovitch et Gérald Garutti entrevoient des solutions. Toux deux défendent l’idée d’une éducation populaire de la parole.

      Pour Clément Viktorovitch, auteur du Pouvoir rhétorique. Apprendre à convaincre et à décrypter les discours (Seuil, 2021), enseigner l’art de la rhétorique est un enjeu d’égalité, pour que chacune et chacun ait les moyens de faire entendre sa voix. Il défend également une éthique de la discussion, qui devrait gouverner toute argumentation : "Tout en ayant des convictions, on accepte l’éventualité, fut-elle infime, de pouvoir être convaincu par l’autre, fut-ce partiellement."

      Quant à Gérald Garutti, il propose d’apprendre dès le plus jeune âge les « arts de la parole », c’est-à-dire la création (le théâtre, le récit et la poésie), la transmission (l’éloquence et la conférence), et l’interaction (le dialogue et le débat), afin que les possibilités humaines se déploient. Il plaide aussi pour une véritable écoute entre les individus :"Dans ce qu’on appelle la prise de parole en public, on ne parle jamais d’écoute. Or, on sait qu’au théâtre, la première qualité de l’acteur, c’est l’écoute." Dès lors, pour le fondateur et directeur du Centre de l’Art de la Parole, la parole doit être un lieu de rencontre.

      Pour aller plus loin :

      – L’ouvrage Il faut voir comme on se parle. Manifeste pour les arts de la parole de Gérald Garutti, Actes Sud, 2023
      http://actes-sud.fr/il-faut-voir-comme-se-parle

      - Le Centre des arts de la parole fondé par Gérald Garutti
      https://centredesartsdelaparole.fr

      – Le seul en scène de Clément Viktorovitch, L’art de ne pas dire, en tournée dans toute la France à partir de septembre (date parisienne au Dôme de Paris le 24 mars 2026)

      – L’ouvrage L’art de ne pas dire de Clément Viktorovitch et Ferdinand Barbet, Seuil, 2024
      https://www.seuil.com/ouvrage/l-art-de-ne-pas-dire-clement-viktorovitch/9782021566000

      – L’ouvrage Le Pouvoir rhétorique. Apprendre à convaincre et à décrypter les discours de Clément Viktorovitch, Seuil, 2021

      Extraits sonores de l’émission :

      – La philosophe Cynthia Fleury lors du lancement des États généraux de la parole à la Gaîté Lyrique le 17 octobre 2024
      – La philosophe et philologue Barbara Cassin à propos du logos

      À lire aussi
      - La post-vérité : un phénomène irréversible ?
      https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/france-culture-va-plus-loin-le-samedi/la-post-verite-un-phenomene-irreversible-9951394

  • Avis obligatoire, subventions locales... Le gouvernement dévoile son plan pour renforcer le statut du préfet et en faire « le chef d’orchestre de l’action territoriale »
    https://www.franceinfo.fr/politique/gouvernement-de-francois-bayrou/avis-obligatoire-subventions-locales-le-gouvernement-devoile-son-plan-pou

    Le gouvernement présente mardi une vaste réforme destinée à renforcer le statut des préfets et refonder l’action territoriale. Les préfets pourront notamment participer à la nomination de tous les chefs de services de l’Etat.

    Comme ça vote mal en local, on contraint le pouvoir des élus.

  • Stéphane Foucart : « Nous sommes dans une forme d’ignorance volontaire vis-à-vis de la dangerosité des polluants et de la chimie » [2 January 2024, écrivent-ils]
    https://www.socialter.fr/article/stephane-foucart-pesticides-polluants-chimie-lobbies

    Il faut toujours un peu d’ironie pour survivre à tout cela. J’essaie de trouver des motifs de ne pas être furieux en permanence et c’est compliqué. Donc il reste l’ironie. L’autre sorte de réconfort que je trouve, c’est de me dire « finalement, les gens votent pour ce qui est en train de leur arriver ». J’essaie de participer au débat démocratique en mettant des informations sur la place publique, et les gens votent ensuite en conscience. Bien sûr, l’information n’est pas parfaite pour employer une litote ; il y a toute une diversité de mécanismes par lesquels les pouvoirs économiques pèsent sur l’accès et la hiérarchie de l’information, mais je me raccroche à cette idée que nous avons ce que nous méritons, en quelque sorte. C’est un raisonnement cynique et politiquement très faible mais, par moments, j’ai besoin de me raccrocher à ça.

    [...]

    Je n’aime pas jouer les futurologues, mais je ne pense pas qu’il y aura un retournement de la majorité de l’opinion. Il me semble que cette dernière est très légitimiste, avec un attachement à ce que les gens perçoivent comme le fonctionnement de la démocratie locale : une autoroute ou un aéroport sont voulus par les élus et doivent pouvoir être menés à bien. En revanche, je crois que de plus en plus de nos concitoyens prennent conscience du fait que notre débat public ne fonctionne pas correctement. On ne peut pas continuer à mettre en chantier ces grands projets sans être dans une forme de déni sur ce qui se passe. Le hiatus entre les bénéfices et les inconvénients de projets comme l’A69 se niche dans une forme de déni de la réalité et de la gravité des dommages environnementaux que nous produisons, et de l’effet boomerang que cela aura sur la génération de nos enfants.

    Idem sur la criminalisation des militants écologistes, c’est une pente très inquiétante. L’Adversaire avec une majuscule, c’est le mouvement écologiste. L’exemple de la cellule Déméter5 est lourd de sens : on voit le ministère de l’Intérieur signer des conventions avec des syndicats agricoles. C’est une forme de privatisation des forces de l’ordre très inquiétante pour l’avenir car il y a un un poid, deux mesures dans ce que l’État accepte d’un côté et refuse de l’autre.

    #écologie #sciences #climat #déni #démocratie #Demeter #media

    • Cette histoire [de la vallée de la Seille, en Moselle] m’a été racontée par l’archéologue qui a fouillé ce site, que j’ai visité à une époque où l’on suivait beaucoup moins les questions environnementales. Ce que montre l’histoire de cette vallée, c’est que l’exploitation des sources salées aux âges du bronze et du fer a engendré des dégâts tels que, dans les cahiers de doléances de la Révolution française, les habitants de ce territoire se plaignent de leur situation sanitaire dégradée sans en comprendre l’origine.

      Au XIXe siècle, une enquête menée par un médecin révèle que la population de cette vallée meurt dix ans plus tôt que ses voisins, sans qu’il ne puisse établir les liens de causes à effets. On sait aujourd’hui que tout cela était lié à l’incroyable intensité de l’exploitation des salines, plusieurs millénaires auparavant.

      Avant la fusion avec La recherche, il était, il me semble, journaliste à Sciences et avenir.

      L’histoire écologique de la vallée de la Seill s’origine dans l’antédiluvien. La nôtre relève d’une échelle bien plus vaste parce qu’elle relève de mondialisations capitalistes successives.

      #capitalocène #naturalisation_de_la_technique #histoire #mithridatisation #ignorance_volontaire #sientifiques #DDT #pesticides #bisphénol_A #PFAS #glyphosate #seuils #chimie_de_synthèse #épidémiologie #5G #nucléaire #OGM_non_traçables #économie

  • #Valence, samedi 28 juin, et si on essayait la démocratie ?
    https://ricochets.cc/Valence-samedi-28-juin-et-si-on-essayait-la-democratie-8502.html

    Parce que la vie à Valence ça pourrait être tellement plus chouette si le pouvoir n’était pas dans les mains d’une poignée de personnes (essentiellement hommes cis aisés blancs + 50 ans) qui décident à peu près seuls une fois élus - Parce que dans un monde où 7 limites planétaires sur 9 sont dépassées, ça va tanguer ferme, et qu’on sera bien plus robuste si on arrive à décider ensemble et utiliser efficacement la force de l’intelligence collective - Parce qu’il y a pleins de communes (...) #Les_Articles

    / #Démocratie_locale, Valence

    • (...)

      Max Milo Éditions :

      Quels sont les faits qui permettent d’affirmer que l’État islamique cherche à créer une guerre civile en France ; que le président syrien Bachar al-Assad a utilisé des armes chimiques ; que Vladimir #Poutine tente de déstabiliser nos #démocraties ; que le #terrorisme a frappé la #France, non pas pour ce qu’elle fait, mais pour ce qu’elle est ; que le #génocide au Darfour a fait 400 000 victimes ?… Littéralement aucun, mais ces affirmations suffisent à asseoir la politique étrangère des pays occidentaux. L’auteur, ex-agent du service de renseignement stratégique suisse, passe ainsi en revue les principaux conflits contemporains, que les pays occidentaux ont géré à coups de #fake_news, ces trente dernières années.

  • Israeli censor updates restrictions on reporting impact sites | The Jerusalem Post
    https://www.jpost.com/israel-news/defense-news/article-858194

    The IDF censor head, Brig.-Gen. Kobi Mandelblit issued updated IDF censor guidelines regarding reporting on missile and drone impact sites in a statement published by the Government Press Office on Wednesday afternoon.

    The order requires “any person who prints or publishes printed matter or a publication regarding the location of a strike or hit by enemy war materiel, including missiles of any kind and UAVs, in the media or online (including social media, blogs and chats, etc.)” to submit it to the military censor for approval before it is published.

    This includes both media published in Israel and abroad, Mandelblit clarified.

    Mandelblit also updated that he is prohibiting the “printing or publishing of any publication that has not been submitted to the Censor, or which has been submitted to him and his instructions have yet to be received or have been received and not adhered to.”

    Violating this order is “liable to severely harm the security of the state,” he added, stating that any violators will be charged.

    This is a developing story.

  • Vitré communauté a subventionné la société #Idemia, alors poursuivie par le #Parquet_national_financier
    https://splann.org/idemia-vitre-communaute-pnf

    Une collectivité locale, attribuant 1,2 million d’euros « d’aides Covid » à une multinationale, poursuivie par le Parquet national financier. C’est l’histoire peu banale d’Idemia et de Vitré communauté. L’article Vitré communauté a subventionné la société Idemia, alors poursuivie par le Parquet national financier est apparu en premier sur Splann ! | ONG d’enquêtes journalistiques en Bretagne.

    #Démocratie_locale #subvention #Vitré_Communauté

  • Mieux s’alimenter pour moins cher, l’objectif des supermarchés et réseaux d’achat coopératifs

    #Supermarchés_coopératifs et #groupements_d'achat proposent aux consommateurs une meilleure alimentation à des #prix plus accessibles. Ils cherchent maintenant à toucher un public plus large et plus mixte socialement.

    A la #Louve, les caissiers et les caissières sont aussi des clients. Ils font partie des 4 000 coopérateurs du supermarché coopératif et participatif qui a ouvert ses portes en 2016 dans un quartier populaire du nord de la capitale. Toutes les quatre semaines, chaque coopérateur vient assurer un service bénévole. Les tâches sont variées : mise en rayon, nettoyage, travail administratif…

    Pour devenir membre de la #coopérative, ils ont versé cent euros, et en ont acheté dix parts sociales à10 euros. #La_Louve a fait des émules, à Toulon, Toulouse, Lille, Bruxelles, d’autres supermarchés coopératifs et participatifs ont ouvert leurs portes même s’ils sont de taille plus modeste.

    C’est en visitant #Brooklyn en 2009 que #Tom_Boothe, l’un des cofondateurs du projet, découvre la #Park_Slope_Food_Coop (#PSFC), fondée en 1973. « Pendant les années 1970, dans le sillage du mouvement hippie, de nombreux magasins participatifs, inspirés des #épiceries_coopératives, ont vu le jour. Mais presque tous ont disparu dans les années 1980. Seul PSFC a survécu », raconte-t-il. PSFC a aidé à la naissance de la Louve.

    L’histoire des coopératives de consommateurs est bien plus ancienne et remonte la première moitié du XIXe siècle. En 1844, à #Rochdale en Angleterre, des tisserands se sont rassemblés pour fonder les #Equitables pionniers de Rochdale. Constatant que leur niveau de vie dépendait des marchands qui fixaient les prix des marchandises qu’ils achetaient, ils ont créé un magasin coopératif.

    Leur but était non seulement de garantir aux clients des prix raisonnables, mais aussi une bonne qualité des produits à une époque où les fraudes étaient légion. Rapidement, la taille de la coopérative s’est accrue au point de compter plus de 10 000 membres en 1880.

    Une large gamme de produits

    La Louve propose une palette étendue de produits alimentaires et d’hygiène. Dans un même rayon voisinent grandes marques, produits bio et produits « gourmets », mais tous sont de 20 % à 50 % moins chers que dans la grande distribution. Les produits vendus sont choisis par les adhérents via un classeur de suggestions.

    « Notre but n’est pas d’être un complément, mais de permettre d’acheter l’ensemble des produits : nous ne nous en interdisons aucun. Nous ne sommes pas un club, mais un #magasin où des adultes font leurs choix en conscience », explique Tom Boothe.

    Tous les produits ne sont donc pas biologiques. « On peut acheter à la Louve des tomates en hiver, mais dans les faits, nous en vendons très peu », précise toutefois Tom Boothe.

    Si la Louve a vocation à toucher le public le plus large, dans les faits, cela reste compliqué : 10 % des membres ne souscrivent qu’une part sociale car ils sont bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), étudiants boursiers ou en service civique. 16 % payent leur souscription en plusieurs chèques.

    « Ceux qui fréquentent la Louve sont sans doute plus "blancs" et ont des revenus plus élevés que la moyenne de la population. Malgré une action volontariste, dont des portes ouvertes tous les premiers samedis du mois, les gens du quartier présument que comme nous sommes un supermarché alternatif, cela va être plus cher », regrette-t-il.

    Un chèque-déjeuner avec bonus alimentation durable

    Elargir l’accès à une alimentation de qualité, c’est la démarche d’une autre coopérative, #Up_Coop, la société coopérative et participative (Scop) qui a popularisé le #chèque-déjeuner. « Le titre-restaurant s’étant largement démocratisé auprès des salariés, nous nous sommes demandé comment ramener ces ressources vers l’économie locale », explique Yassir Fichtali, directeur général secteur public chez Up Coop.

    En 2023, la Scop s’est donc associée à la ville de #Creil pour lancer le programme #Up+. La municipalité a proposé de bonifier sur une cagnotte la somme versée à ses agents s’ils l’utilisent sur la ville de Creil, et encore davantage en centre-ville. La carte #Up_Déjeuner devient ainsi un outil pour soutenir le commerce de centre-ville.

    « Nous allons tirer maintenant ce fil vers l’alimentation durable, inciter les gens à passer de la junk food à des achats dans des magasins bio, du vrac… », poursuit-il.

    Plusieurs villes se sont ensuite engagées dans le programme Up+ : Bourg-en-Bresse, Valenciennes, Haguenau, Nancy, Halluin, Mulhouse, Bagnolet et Angers. En Seine-Saint-Denis et dans le Gers, Up Coop participe à des expérimentations visant à orienter vers une #alimentation_durable la consommation de populations en difficulté.

    Le département du 93 a ainsi mis en place sur quatre territoires un #chèque_alimentation sous forme de carte, #Vital’im, en ciblant à chaque fois un public spécifique : à Montreuil, les personnes accompagnées par le CCAS, à Villetaneuse, un public étudiant, à Clichy-sous-Bois et Sevran, des familles. Son montant est bonifié de 50 % si les achats sont effectués chez un commerçant durable (Biocoop, primeurs locaux, les commerces et producteurs locaux).

    « On ne peut pas demander à des personnes en difficulté de payer le juste prix du durable. Cette politique publique permet à des publics de ne plus avoir à arbitrer entre le #pouvoir_d’achat et le #pouvoir_d’agir », commente Yassir Fichtali.

    Les CCAS, la Fondation Armée du salut, Action contre la faim sont associés à cette initiative. « Certains bénéficiaires n’osaient pas entrer dans un Biocoop, ils avaient l’impression que ce n’était pas pour eux. Des #freins que l’on peut déconstruire », souligne-t-il. Encore faut-il que cette offre alimentaire durable existe sur le territoire : à Clichy-sous-Bois, ce n’est par exemple pas le cas.

    Cette difficulté n’existe pas dans le département rural du Gers, où Up Coop participe au programme public #Mieux_manger, lancé en 2024. La mission a d’abord consisté à affilier les producteurs bio. Un groupement d’intérêt public rassemblant des collectivités et des associations a ensuite identifié plusieurs centaines de personnes destinataires d’une bonification en cas d’achat alimentaire durable et cette bonification évolue au fil des usages.

    « L’idée de cette expérimentation est de vérifier que le changement des pratiques va perdurer même si la bonification baisse », indique Yassir Fichtali.

    #Vrac, un groupement d’achat agroécologique

    #Vers_un_réseau_d’achat_en_commun (Vrac) mobilise aussi le soutien des pouvoirs publics dans une démarche résolument démocratique, en proposant des achats alimentaires sans emballages issus de l’agroécologie. Depuis 2013, il permet ainsi aux plus modestes – mais pas seulement – de se réapproprier leur #consommation_alimentaire.

    Au départ, son initiateur, #Boris_Tavernier, qui avait monté à Lyon un bar restaurant coopératif cuisinant des produits paysans, a été sollicité par un bailleur social lyonnais et la Fondation Abbé-Pierre (désormais Fondation pour le logement des défavorisés) pour monter un projet d’achat en commun afin d’améliorer le pouvoir d’achat des locataires. C’est ainsi qu’est né le premier #groupement_d’achat sous forme d’association.

    « Pas question toutefois de chercher les prix les plus bas, mais plutôt d’orienter les achats vers une alimentation durable et de qualité rémunératrice pour les producteurs », explique Lorana Vincent, déléguée générale de Vrac France, l’association nationale qui rassemble désormais 22 structures locales.

    Douze ans après, le réseau emploie une centaine de salariés. Une épicerie éphémère ouvre une fois par mois dans un local de chacun des quartiers où le réseau est implanté (association, maison des jeunes et de la culture, centre social…). Des bénévoles pèsent les produits, et chaque adhérent apporte ses contenants.

    En 2013, le projet a été lancé dans le quartier lyonnais de la #Duchère, à #Villeurbanne et #Vaux-en-Velin. L’initiative s’est tout d’abord heurtée à l’absence d’offre de qualité dans ces territoires emblématiques de la politique de la ville où le hard discount est très présent, et aux réticences de leurs habitants. Pour vaincre celles-ci, Vrac s’est appuyé sur des personnes-ressources, en très grande majorité des femmes.

    « Nous leur avons fait goûter les produits sans les présenter comme bio. Nous avons construit avec elles le catalogue en partant de leurs besoins. L’#huile_d’olive a été un formidable levier. Elles se sont emparées du projet », poursuit Lorana Vincent.

    Cette démarche de #démocratie_alimentaire s’est inscrite dans le temps. Sur chaque territoire, un « club produits » associant bénéficiaires et bénévoles est régulièrement réuni pour faire évoluer le catalogue. Les produits sont vendus sans marge, à un prix rémunérateur pour le producteur.

    « Vrac est un espace collectif où les habitantes et les habitantes ont accès à l’information sur l’origine des produits, la rémunération des producteurs. Cela permet de prendre ses décisions de manière éclairée et participe à faire de l’alimentation un sujet politique. »

    Le soutien crucial des pouvoirs publics

    Cette absence de marge est rendue possible par des #financements_publics. Depuis 2023, Vrac est notamment soutenu par la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS), via le fonds #Mieux_manger_pour_tous. Les habitants des #quartiers_populaires peuvent acheter les produits 10 % moins cher que les prix coûtants, et même 50 % pour les personnes bénéficiant des minima sociaux.

    Si l’aventure Vrac a commencé dans ces quartiers populaires et continue à s’y développer, le réseau souhaite s’adresser à tous et toutes. Certes, les personnes non issues de ces quartiers payent, elles, 10 % de plus par rapport au prix coûtant. Mais « c’est un prix d’équilibre, cela permet que leurs achats ne coûtent rien au réseau », souligne Lorana Vincent. Et cela reste inférieur à ce qui se pratique dans le commerce traditionnel.

    Cette volonté de favoriser la mixité sociale est au cœur de la démarche de Vrac. « ATD Quart-monde a pour habitude de rappeler qu’une politique pour les pauvres, c’est une pauvre politique », conclut sa déléguée générale.

    https://www.alternatives-economiques.fr/mieux-salimenter-cher-lobjectif-supermarches-reseaux-d/00114404
    #alimentation #qualité #réseaux #supermarché_participatif #bénévolat #mixité_sociale

  • Vitré Communauté a subventionné une entreprise poursuivie par le #Parquet_national_financier
    https://splann.org/vitre-communaute-a-subventionne-une-entreprise-poursuivie-par-le-parquet-nat

    Une collectivité locale, attribuant 1,2 million d’euros « d’aides Covid » à une multinationale, poursuivie par le Parquet national financier. C’est l’histoire peu banale d’Idemia et de Vitré Communauté. L’article Vitré Communauté a subventionné une entreprise poursuivie par le Parquet national financier est apparu en premier sur Splann ! | ONG d’enquêtes journalistiques en Bretagne.

    #Démocratie_locale #Sans_catégorie #Idemia #subvention #Vitré_Communauté

  • « Un peuple n’a qu’un ennemi dangereux, c’est son #Gouvernement » – #Saint-Just
    https://lvsl.fr/peuple-ennemi-dangereux-gouvernement-saint-just

    Le 26 mars 2025, le député Jocelyn Dessigny (RN) croyait donner une leçon d’histoire à ses collègues parlementaires en déclarant que Saint-Just avait été décapité par #Robespierre. En réalité, cette figure éminente de la #révolution française fut arrêtée et guillotinée en même temps que l’Incorruptible, précisément car il en était resté, jusqu’à la fin, l’un des plus proches compagnons. Tournée en dérision sur les réseaux sociaux, cette sortie illustre la méconnaissance qui entoure la vie et l’œuvre de celui que l’on surnomma « l’archange de la Révolution ».

    #Histoire #Démocratie #marc_belissa #tyran #yannick_Bosc

  • « #Vote » – #Abécédaire de l’Écologie Sociale
    https://ecologiesocialeetcommunalisme.org/2025/06/11/vote-abecedaire-de-lecologie-sociale

    Le vote n’exprime pas la #Démocratie. Il est tout au contraire l’expression de son échec, de son incapacité à établir un champ du commun où tout un chacun puisse se retrouver. Sans même parler de la facilité pour des oligarchies établies, l’establishment, disposant du pouvoir de l’argent et de la force des armes, d’en orienter […] L’article « VOTE » – Abécédaire de l’Écologie Sociale est apparu en premier sur Atelier d’Écologie Sociale et Communalisme.

    #Fabrique_du_consentement

  • Coupes sombres dans le budget de l’Université d’Angers : les personnels sonnent l’alerte
    https://academia.hypotheses.org/62527

    Communiqué de presse de l’Assemblée Générale des personnels de l’université d’Angers réunie le 2 juin 2025 Face à l’austérité et au budget rectificatif de l’université d’Angers (UA) proposé en commission du budget le 27 mai 2025, qui impose des dizaines … Continuer la lecture →

    ##ResistESR #Actualités_/_News #Démocratie_universitaire #État_de_droit #Gouvernance_de_l'ESR #Serivces_publics #budets_universitaires #Université_d'Angers

  • Le #peuple qui compte
    https://laviedesidees.fr/Le-peuple-qui-compte

    Quelle forme de rationalité singulière identifier derrière la réforme de Clisthène qui marque pour beaucoup l’acte de naissance de la #démocratie grecque ? Quels dispositifs sociaux, quelles expériences citoyennes, quels savoirs vernaculaires ont permis cette nouvelle organisation politique ?

    #Philosophie #Histoire #Grèce_antique
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20250529_peuplequicompte-2.pdf

  • 20 ans après le #référendum de 2005 : le « non » fait la force !
    https://lvsl.fr/20-ans-apres-le-referendum-de-2005-le-non-fait-la-force

    Pour le député LFI Matthias Tavel, le « non » massif des Français à la construction européenne néolibérale au référendum du 2005 dessine les contours d’une majorité sociale pour la gauche. Une victoire face à la propagande médiatique qui rappelle l’importance de la souveraineté populaire pour contrer la mondialisation et l’oligarchie.

    #Politique #austérité #Démocratie #Europe #gilets_jaunes #néolibéralisme #PS #souveraineté #trahison #UMP #Union_Européenne #vote

  • Quand des assos écologistes sont punies ...pour avoir fait leur travail
    https://ricochets.cc/Quand-des-assos-ecologistes-sont-punies-pour-avoir-fait-leur-travail-8389.

    Les trop rares associations qui défendent les écosystèmes et leurs habitants sont souvent décriées, voir attaquées, par certains élus quand elles dérangent leurs projets. En réalité ces élus ne veulent pas que des associations indépendantes fassent vraiment leur travail et risquent de déranger leurs plans, ils veulent qu’elles se contentent de leur lécher les bottes sans faire de vagues. Pourtant ces associations n’ont rien de révolutionnaire, elles s’inscrivent malgré tout dans les cadres (...) #Les_Articles

    / #Démocratie_locale, Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.lepostillon.org/Les-dernieres-magouilles-de.html
    https://www.placegrenet.fr/2014/11/25/center-parcs-frapna-isere-se-dit-menacee-suite-ses-actions/525117
    https://france3-regions.franceinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/ain/environnement-la-frapna-redoute-des-suppressions-d-emploi
    https://reporterre.net/Privee-de-subvention-FNE-Rhone-placee-en-redressement-judiciaire
    https://www.helloasso.com/associations/fne-rhone/collectes/fne-rhone-ne-se-laissera-pas-museler

  • Pourquoi “taxer les riches” ne doit pas être notre réponse à tout
    https://frustrationmagazine.fr/pourquoi-taxer-les-riches-ne-doit-pas-etre-notre-reponse-a-tout

    La gauche serait bien inspirée de défendre le financement des retraites par les cotisations sociales, bien davantage qu’aujourd’hui où il est en partie fiscalisé, à cause notamment des exonérations de cotisations sociales compensées par le budget de l’État. L’un des grands intérêts des cotisations sociales, c’est qu’elles sont versées chaque mois par les entreprises, sans possibilité pour elles d’y échapper par des niches fiscales ou des manœuvres comptables, car elles sont calculées en proportion des salaires versés. Il n’est donc pas possible légalement de baisser fictivement l’assiette de calcul des cotisations, alors qu’il est très facile de le faire pour les profits sur lesquels l’impôt sur les sociétés est calculé. Les grands groupes multinationaux qui arrivent pour nombre d’entre eux à ne pas payer d’impôts sur les sociétés en France, payent en revanche toutes les cotisations qu’ils doivent verser, car il n’y a pas de moyen légal d’y échapper. C’est notamment pour cette raison que le patronat se bat avec succès depuis des années pour que la part des cotisations patronales dans le financement de la protection sociale chute : elle est passée de 72% en 1980 à 36,5% en 2021.

    • J’ai encore aujourd’hui des gens que je considère proches, et qui pensent rentrer en empathie avec moi en m’évoquant le poids des charges sociales. Je me vois obligé de les reprendre savamment, en évoquant à mon tour les cotisations sociales, et le fait que bon gré mal gré, la vie, c’est de recommencer les mêmes âneries (le travail) jour après jour, mais avec talent et conviction, et que les cotisations ne sont là que pour éviter que l’on s’entre-tue, à la façon dont parfois j’explique les assurances ou les mutuelles.

    • Le plus affligeant, ce sont les immenses quantités de gens de gauche qui pensent « taxes » et ne savent pas distinguer les « cotisations sociales » des « impôts sur le revenu ».

      Là, j’ai payé des taxes (la TVA : cela dit, je ne la paye pas vraiment, je ne fais que restituer le solde positif de la collecte de cette taxe que je fais à la place de l’État), mes cotisations sociales (via l’URSSAF qui est collecteur) et pas mes impôts, puisque pas assez riche par rapport au ratio entre les revenus et la composition du foyer.

      La TVA, c’est de l’argent que je caisse et décaisse mais ne m’appartient pas, ne fait que passer à travers moi, les cotisations sociales, c’est du revenu socialisé, mutualisé et redistribué (en théorie) quand j’en ai besoin, donc ce n’est pas de l’argent perdu.
      Les impôts, c’est ce qui fait tourner tous les services publics.

      La poutre dans l’œil, c’est que ces collectes sont dans le collimateur des plus riches : ils veulent en être exemptés tout en en détournant les fruits vers leur escarcelles via les niches fiscales, crédits d’impôts et subventions diverses.
      Ce qui est un détournement de ces fonds avec la complicité de politiques complètement corrompus.

    • Balayage non exhaustif et condensé de tous les cadeaux aux possédants depuis un quart de siècle :

      https://www.revolutionpermanente.fr/Impots-des-riches-et-des-entreprises-Les-cadeaux-qui-ont-cree-l

      Cette grande évasion d’argent public est une opération de longue haleine étalée sur des années. Il serait impossible de lister ici tous les cadeaux faits par les différents gouvernements de gauche et de droite au patronat au nom de la création d’emplois, au nom de la croissance.

      Sous le gouvernement de de Villepin, devenu depuis le meilleur copain de la gauche du régime, un « bouclier fiscal » est mis en œuvre, pour protéger les riches qui risqueraient (malheur) de payer trop d’impôts. Avec cette mesure, aucun contribuable ne peut payer plus de 60% de ses revenus en impôts directs. Bouclier que Sarkozy rend encore plus protecteur puisque ce taux est réduit à 50% ! Sarkozy crée des exonérations pour les droits de succession, supprime la taxe professionnelle (impôt local que l’Etat compense auprès des collectivités), réduit les cotisations sociales sur les heures supplémentaires – une mesure d’incitation pour ne pas embaucher et exploiter davantage ses salariés sans augmenter le salaire horaire. Coût de la seule politique fiscale de Sarkozy entre 2007 et 2012 ? 30 milliards d’euros ! La situation d’endettement après avoir sauvé les banques en 2008-2009 justifiera la privatisation de GDF et la hausse de l’âge de départ à la retraite à 62 ans, mise en œuvre par Éric Woerth (reconverti depuis au macronisme), et des attaques massives contre la fonction publique : entre 2007 et 2011, 100.000 postes de fonctionnaires sont supprimés.

      Si François Hollande revient sur quelques mesures fiscales de Sarkozy, c’est pour mieux déployer des dispositifs de subventions massifs aux entreprises. Le Crédit Impôt Compétitivité Emploi (CICE) permet des remises d’impôts sur les sociétés sur un pourcentage de leur masse salariale : ce sont chaque année 20 milliards d’euros d’impôts qui disparaissent ! Il a été calculé par la suite que ce dispositif a permis de maintenir ou de créer 100 000 emplois par an, soit 200 000 € donnés au patronat pour… un emploi ! En 2019, le dispositif a été pérennisé par Macron sous la forme de baisses de cotisations sociales, qui manquent désormais pour financer les caisses de prévoyance santé, retraite et chômage. Sous Hollande, le transfert d’argent public avec le CICE a été complété par le « pacte de responsabilité » : 10 milliards de baisse des recettes fiscales et 10 milliards de baisse des cotisations sociales.
      Mais le quinquennat Hollande est également émaillé d’attaques contre les droits des travailleurs pour baisser le « coût du travail », licencier plus facilement et nous faire travailler plus longtemps : augmentation du nombre d’annuités pour toucher la retraite à taux plein avec la réforme Touraine, destruction du Code du travail avec les lois Macron puis El Khomri.

      Avec les mandats de Macron c’est l’apothéose : abandon de l’ISF (2018), impôt à taux fixe sur les revenus du capital peu importe leur montant (« flat tax », 2018), baisses de cotisations en tout genre, baisse de 10 milliards d’euros sur les impôts de production (2020), baisse de l’impôt sur les sociétés de 33,3% à 25% (2022). Les dispositifs défiscalisés d’incitation à la stagnation des salaires, comme la prime d’activité ou la prime Macron ont également largement contribué à assécher les caisses publiques, tandis que le million d’emplois créés par l’apprentissage consistent en des emplois précaires payés directement par l’Etat.

      Ce tableau ne saurait être complet sans évoquer toutes les subventions, les zones franches, les exonérations appliquées au niveau local par les communes et les régions pour attirer des entreprises sur leur territoire. Des sommes qui sont mises sur le devant de la scène, lorsque ces entreprises ferment et délocalisent, parfois ailleurs en France, en ayant empoché au passage un beau pactole d’argent public.

    • A toulouse, les amendes de stationnement pleuvent. Plus possible d’inviter des amis qui viennent de loin avec un véhicule. C’est 30€ la prune. Quand tu plafonnes à 1500€/mois c’est 2% de ton budget, si tu es indépendant·e, après l’urssaf et les frais divers obligatoires il te reste 700€/mois, une prune revient à 4% de tes revenus.
      #démocratie_mon_cul

  • Déviation & amiante à St Péray : Jacques Dubay en flagrant délit de mensonge et de mise en danger volontaire d’autrui
    https://ricochets.cc/Deviation-amiante-a-St-Peray-Jacques-Dubay-en-flagrant-delit-de-mensonge-e

    Dans la lutte contre le projet de déviation et d’immobilier destructeurs de terres agricoles et de biodiversité, citons le maire : Jacques Dubay. L’ex maire de St Péray et président de la com com CCRC s’est à nouveau négativement illustré : en refusant de fournir un document administratif malgré l’obligation légale évidente de le faire. Un document qui met en évidence sa responsabilité et son mensonge concernant la mise en danger d’employés par rapport aux dangers de bâtiments amiantés. (...) #Les_Articles

    / #Démocratie_locale, #Ecologie, #Saint_Peray

    https://www.alterre-asso.org/index.php/2025/05/19/attention-presence-damiante-ce-que-des-elus-de-la-communaute-de-commun
    https://reporterre.net/Ouvriers-exposes-a-l-amiante-en-Ardeche-le-maire-a-menti

  • Medienkolumne : Grußwort zum Ende der https://www.berliner-zeitung.de/kultur-vergnuegen/tv-medien/grusswort-zum-ende-der-meinungsfreiheit-li.2326058Meinungsfreiheit

    Lorsqu’on constate un déclin de la liberté d’expression en Allemagne ce n’est pas une opinion mais une conclusion des faits et développements. Cet article cite des exemples et fournit des source.

    19.5.2025 21 von Ole Skambraks - Jeder dritte Deutsche hat schon mal die eigene Meinung nicht gesagt, aus Angst vor den Folgen. Das gilt auch für Redakteure im öffentlich-rechtlichen Rundfunk.

    Im Mai wird in Deutschland die Meinungsfreiheit mit einer besonderen Woche zelebriert. Rund um den Tag der Pressefreiheit und dem Gedenken an die NS-Bücherverbrennungen feiern der Börsenverein des Deutschen Buchhandels und die Stiftung Freedom of Expression die Freiheit des Wortes bundesweit.

    Haben Sie etwas bemerkt?

    Je ferner die Praxis, desto größer der moralische Anspruch.

    76 Prozent der Befragten einer aktuellen Insa-Umfrage sind überzeugt, dass „manche Personen“ in Deutschland ihre politische Meinung nicht sagen, weil sie Angst vor den Konsequenzen haben.

    Jeder Dritte hat selbst schon einmal die eigene Meinung nicht gesagt, aus Angst vor den Folgen. In einer Allensbach-Studie vom letzten Jahr sind es sogar 41 Prozent, die angeben, sie seien eher vorsichtig, die eigene Meinung mitzuteilen.

    Die Grenzen des Sagbaren sind heutzutage fein säuberlich abgesteckt. Bibliotheken versehen unliebsame Bücher neuerdings mit einem Warnhinweis: „Dies ist ein Werk mit umstrittenem Inhalt. Der Inhalt dieses Werks ist unter Umständen nicht mit den Grundsätzen einer demokratischen Gesellschaft vereinbar. Dieses Exemplar wird aufgrund der Zensur-, Meinungs- und Informationsfreiheit zur Verfügung gestellt.“
    Staatlich gefördertes Denunziantentum

    Ist doch alles in Ordnung, argumentieren die Fans der Cancel Culture, ähnlich wie Dunja Hayali: „Man kann in Deutschland eigentlich alles sagen. Man muss dann halt manchmal mit Konsequenzen rechnen.“ (ZDF Morgenmagazin, 29.01.2021)

    Nein, hält Journalist und Blogger Norbert Häring entgegen, der die Praxis deutscher Bibliothekare publik gemacht hat. Wir seien nur noch ein paar Schritte entfernt von der Liste verbotener Werke der Katholischen Kirche oder den verfemten Büchern der Klassenfeinde in der DDR.

    Wer unsere Regierenden als Schwachköpfe bezeichnet, kann in Konsequenz mit einer Hausdurchsuchung rechnen. Ein Faeser-Meme bringt sieben Monate Haft auf Bewährung inklusive Anordnung einer schriftlichen Entschuldigung bei der Ministerin.

    Beim „Antifeminismus“-Meldeportal der Amadeu-Antonio-Stiftung, beim „Berliner Register“ oder bei „MIRa.NRW“ können Sie Vorfälle unterhalb der Strafbarkeitsgrenze melden: zum Beispiel, dass Ihr Nachbar queerfeindlich ist, wo Sie einen israelkritischen, antisemitischen Aufkleber entdeckt haben oder wer verschwörungsideologisches Gedankengut verbreitet. Das Ganze soll anonymisiert dabei helfen, „Dunkelfelder auszuleuchten“, so NRW-Integrationsministerin Josefine Paul (Grünen).
    Man kann das alles gutheißen im Sinne eines achtsameren Miteinanders. Doch ist auch hier der Schritt zum staatlich geförderten Denunziantentum klein.

    So schreibt der damalige Präsident des Bundesamts für Verfassungsschutz, Thomas Haldenwang, 2024 in einem Gastbeitrag für die FAZ: „Auch die Meinungsfreiheit hat Grenzen (…) auch unterhalb der strafrechtlichen Grenzen und unbeschadet ihrer Legalität können Meinungsäußerungen verfassungsschutzrechtlich von Belang sein.“

    Die Politik ist dünnhäutig geworden. Sie spürt die Erosion der bestehenden Verhältnisse. Daher wird nun mehr Zensur ausprobiert. Wie bei zahlreichen modernen Phänomenen sind die Vereinigten Staaten von Amerika hierbei die Pioniere. Der Direktor der Foundation For Freedom Online, Mike Benz, beschreibt dies in einem vielsagenden Interview mit dem Podcaster Joe Rogan.

    Demnach sind es US-Sicherheitsbehörden, die seit den 1980er-Jahren Schritt für Schritt einen modernen Zensurapparat aufgebaut haben. Ab 2016, dem Jahr, das die Wahl von Donald Trump, den Brexit und das Erstarken rechtspopulistischer Parteien in Europa sah, wurde dieser Apparat hochgefahren. Ziel laut Benz: die Wahrung des Status quo, nicht der Schutz des demokratischen Prozesses, der den Wählerwillen respektiert. Die Wahl von Trump sei für das Establishment auf demokratischer sowie republikanischer Seite ein No-Go gewesen – ein Fehler, den man ein zweites Mal unbedingt verhindern wollte.

    Der Regulierungsbereich zur Bekämpfung von Desinformation, Hass und Hetze hat in den vergangenen Jahren ein einzigartiges Wachstum erlebt. Mit dem Netzwerkdurchsetzungsgesetz (NetzDG) war Deutschland dabei nach den USA in einer Führungsrolle.

    Abweichende Meinungen zensiert

    Das Unternehmensfeld für digitale Zensur ist kolossal groß. Es umfasst zahlreiche neue Gesetze, Organisationen aus der Zivilgesellschaft (NGOs), private Akteure, Medien und die Wissenschaft. Am Ende dieses Artikels finden Sie eine unvollständige Auflistung.

    Auch die neue Bundesregierung plant, den Kampf gegen das allzu freie Wort in Deutschland weiterzuführen. Eine Medienaufsicht soll „die bewusste Verbreitung falscher Tatsachenbehauptungen“ unterbinden.

    Das Orwell’sche Wahrheitsministerium lässt grüßen. Die Corona-Pandemie hat gezeigt, wie weitreichend Zensurmaßnahmen gehen können. Bis vor kurzem wurde die Laborthese zum Virusursprung noch als Verschwörung abgetan. Mittlerweile ist sie das plausibelste Szenario, bekräftigt von zahlreichen Geheimdiensten. Genauso verhielt es sich mit möglichen Nebenwirkungen der „Corona-Schutzimpfungen“, die Faktenchecker als falsche Tatsachenbehauptung dargestellt haben. Indes sind diese leider zahlreich dokumentiert.

    Millionenfach wurden während der Pandemie kritische Inhalte zu Corona-Themen gelöscht, hat die Journalistin Laurie Clarke im British Medical Journal gezeigt.

    Wie das Corona-Narrativ geformt, geframt und abweichende Meinungen zensiert wurden, ist auch in einer Studie des Springer-Fachmagazins Minerva ersichtlich: „Unsere Ergebnisse weisen auf die zentrale Rolle hin, die Medienorganisationen und insbesondere Technologieunternehmen gespielt haben, beim Versuch, die Debatte über Covid-19-Politik und -Maßnahmen zu unterdrücken.“

    Für den öffentlich-rechtlichen Rundfunk (ÖRR) stellt die Corona-Berichterstattung die größte journalistische Verfehlung seit seiner Gründung dar. Dies dokumentieren unter anderem zahlreiche anonyme Stellungnahmen von Mitarbeiterinnen und Mitarbeitern auf der Website „Meinungsvielfalt.jetzt“. Ein Statement aus dieser Zeit liest sich so:

    „Tatsachen und Indizien, die den offiziellen Erzählungen widersprechen, werden vielmehr nach dem Motto ‚Das kann doch nicht wahr sein!‛ ausgeblendet. In der Konsequenz habe ich seit vielen Monaten den Eindruck, an einer Dauerwerbe­sendung für die Impfstoffindustrie mitzuwirken, in die sich die Mehrheit meiner Kollegen mit großem persönlichen Eifer einbringt. Diese Kollegen sind – glaube ich – tatsächlich felsenfest davon überzeugt, das Richtige zu tun. Dabei versäumen sie allerdings nach meiner Auffassung ihre journalistischen Aufgaben – Widersprüchen auf den Grund zu gehen und Skandale aufzudecken – und verwechseln scheinbar neutrale Bericht­erstattung mit der Missionierung und Erziehung der Bevölkerung in eine bestimmte Richtung, die sie persön­lich für die einzig Richtige halten.“

    Lust und Zeit, die Fehler von damals aufzuarbeiten, gibt es nicht beim ÖRR. Die Kollegen befinden sich schon in ihren nächsten Missionen.

    Ole Skambraks war insgesamt zwölf Jahre als Redakteur und redaktioneller Mitarbeiter für den MDR, WDR und SWR tätig. In einem Offenen Brief kritisierte er 2021 die Corona-Berichterstattung des öffentlich-rechtlichen Rundfunks. Daraufhin wurde ihm vom SWR fristlos gekündigt. Er ist Mitgründer der Initiative „Meinungsvielfalt.jetzt“ und setzt sich für eine Renaissance des Journalismus ein.

    Redaktionsleiter und Chefredakteure betonen gerne, wie vielseitig und kontrovers Themen und Standpunkte in den Häusern diskutiert würden. Doch eine interne Umfrage des SWR zeigt ein anderes Bild. Programminhalte werden zum Großteil von freien Mitarbeitern ohne festen Vertrag produziert. Jeder dritte Mitarbeiter hat erklärt: „Ich habe meine Meinung innerhalb der Redaktion nicht vertreten, aus Sorge, es könnte sich negativ auf die Vertragsverlängerung auswirken.“

    Gar 62 Prozent erklärten: „Ich habe das Gefühl, innerhalb meiner Redaktion vertreten andere nicht ihre Meinung, aus Sorge, es könne sich negativ auf die Vertragsverlängerung auswirken.“

    Die prekären Zustände von freien, programmgestaltenden Mitarbeitern sind in anderen Sendern ähnlich wie beim SWR. Vielleicht helfen diese Zahlen, das journalistische Trauerspiel, das uns seit einigen Jahren vom ÖRR geboten wird, teilweise zu erklären. Rechtfertigen können sie es nicht. Denn gerade Journalisten sollten sich nicht anbiedern, offizielle Narrative kritisch hinterfragen und sich trauen, gegen den Strom zu schwimmen.

    „Das erste Opfer des Krieges ist die Wahrheit.“ Leider trifft die alte Journalistenweisheit auch auf unsere Zeit zu – im Krieg gegen ein Virus, im Krieg gegen den ewigen Feind Russland und im Kulturkampf für „unsere Demokratie“.
    Meinungsfreiheit – „Grundlage jeder Freiheit“

    Übrigens: Der europäische Digital Services Act (Gesetz über digitale Dienste) beinhaltet auch einen „Krisenreaktionsmechanismus“: Im Falle einer Pandemie oder eines Krieges, kann die EU direkt eingreifen und von den Digitalkonzernen sofortige Maßnahmen verlangen, um Beiträge, die eine schwerwiegende Bedrohung darstellen „zu verhindern, zu beseitigen oder zu begrenzen“ (Artikel 36).

    Das Schwinden der Meinungsfreiheit scheint kein drängendes Thema zu sein. Doch „es hilft der offenen Gesellschaft nicht, wenn man sie abschafft“, erklärt die Schriftstellerin Eva Menasse in einem Gespräch, das die Fliehkräfte aufzeigt, die in diesem Prozess wirken. Meinungsfreiheit ist das Gut, das laut Bundesverfassungsgericht „die Grundlage jeder Freiheit überhaupt“ darstellt.

    Beleben wir es, dann beleben wir die Demokratie.

    Voici un liste de règlements, associations et conventions contenant aux éléments liberticides et de censure.

    Hier, wie versprochen, ein stichpunktartiger, unvollständiger Überblick zum Regulierungsbereich von Informationsvielfalt, Meinungsfreiheit und freier Rede:

    Netzwerkdurchsetzungsgesetz (Deutschland, 2017)
    https://www.bundesjustizamt.de/SharedDocs/Downloads/DE/Hasskriminalitaet/20220721_NetzDG.pdf?__blob=publicationFile&v=2
    Meldestelle für Hassrede Respect! (Deutschland, 2017)
    Verhaltenskodex zur Desinformation (EU, 2018)
    https://digital-strategy.ec.europa.eu/en/library/2018-code-practice-disinformation
    Agentur „Hate Aid“ (2018)
    https://hateaid.org
    Partnerschaft gegen Desinformation von Facebook & Atlantic Council (2018)
    https://www.atlanticcouncil.org/news/press-releases/atlantic-councils-digital-forensic-research-lab-partners-with-faceb
    Sonderausschuss zur Einflussnahme aus dem Ausland auf alle demokratischen Prozesse in der Europäischen Union (EU, 2020)
    https://www.europarl.europa.eu/committees/de/disinformation-and-conspiracy-theories-v/product-details/20211111CHE09681
    Staatsvertrag zur Modernisierung der Medienordnung in Deutschland (2020)
    https://www.ard-media.de/mediaperspektiven-themenwelten/medienrecht-politik/1-1-2
    Aktionsplan für Demokratie (EU, 2020)
    https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/new-push-european-democracy/protecting-democracy_de
    Novelle NetzDG (Deutschland, 2021)
    https://www.bmjv.de/SharedDocs/Artikel/DE/2020/040120_NetzDG.html
    Ausweitung Straftatbestand § 188 StGB, Ehrschutzdelikte gegen Personen des politischen Lebens (Deutschland, 2021)
    https://dejure.org/gesetze/StGB/188.html
    Programm „Bürgerinnen und Bürger, Gleichstellung, Rechte, Werte“ (EU, 2021)
    https://ec.europa.eu/info/funding-tenders/opportunities/portal/screen/programmes/cerv
    Gesetz über digitale Dienste (EU, 2022)
    https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/europe-fit-digital-age/digital-services-act_de
    Gesetz über digitale Märkte (EU, 2022)
    https://digital-markets-act.ec.europa.eu/index_en?prefLang=de
    Verstärkter Verhaltenskodex zur Desinformation (EU, 2022)
    https://digital-strategy.ec.europa.eu/en/library/2022-strengthened-code-practice-disinformation
    Neuer Straftatbestand Verhetzende Beleidigung, StGB § 192a (Deutschland, 2022)
    https://dejure.org/gesetze/StGB/192a.html
    Ausweitung von § 130 StGB, Volksverhetzung, um einen neuen Absatz zu Äußerungen bezüglich Konflikte der Gegenwart
    https://www.lto.de/recht/hintergruende/h/volksverhetzung-voelkermord-kriegsverbechen-groeblich-verharmlosen-billigen-leug
    „So Done“ GmbH (2022)
    https://www.sodone.de
    Europäische Beobachtungsstelle für digitale Medien (EU, 2020)
    https://germany.representation.ec.europa.eu/news/gemeinsam-gegen-desinformation-europaische-beobacht
    Paket zur Verteidigung der Demokratie (EU, 2023)
    https://commission.europa.eu/strategy-and-policy/priorities-2019-2024/new-push-european-democracy/protecting-democracy_de
    EU-Instrumentarium zur Bekämpfung ausländischer Informationsmanipulation und Einflussnahme (EU, 2023)
    https://www.disinfo.eu/publications/fimi-towards-a-european-redefinition-of-foreign-interference
    Medienfreiheitsgesetz (EU, 2024)
    https://eur-lex.europa.eu/legal-content/DE/TXT/?uri=CELEX:32024R1083
    Einsatz von Trusted Flagger für die Löschung von „unzulässigen Inhalten“ (Deutschland, 2024)
    https://www.dsc.bund.de/DSC/DE/4TrustedF/leitfaden.pdf?__blob=publicationFile&v=3
    Forschungsprojekt „Hatedemics“ (EU, 2024)
    https://hatedemics.eu
    Außergerichtliches Beschwerdezentrum „Appeals Center Europe“ (EU, 2024)
    https://www.oversightboard.com/news/statements-from-the-oversight-board-trust-and-oversight-board-member

    #liberté_d_expression #Allemagne #censure #démocratie_illibérale

  • Aux machines, citoyens !
    https://laviedesidees.fr/Adeline-Barbin-La-democratie-des-techniques

    Contre la tendance des experts à vouloir garder le contrôle exclusif du développement technologique – au nom de l’incompétence du grand public –, Adeline Barbin suggère de confier davantage de pouvoir aux citoyens, afin que les techniques et les sciences soient conformes aux valeurs démocratiques.

    #Politique #démocratie #expertise #technique
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20250515_deprez.pdf