• A propos des dangers de la macronie ou ce que la France peut apprendre de l"histoire allemande.


    La macronie présente trop de similitudes pour ne pas se rappeller du sort de l"Allemagne en 1933 .


    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Paul_von_Hindenburg

    Nachdem Hindenburg Adolf Hitler mehrmals als Regierungschef abgelehnt hatte, ernannte er ihn am 30. Januar 1933 zum Reichskanzler. In der Folge ermöglichte er der NSDAP, eine Diktatur zu errichten. Am 1. Februar 1933 löste er den Reichstag auf und unterzeichnete die Notverordnungen, mit denen die Presse- und Meinungsfreiheit (4. Februar) eingeschränkt und die Grundrechte (28. Februar) aufgehoben wurden.

    L’élu du peuple ...

    Am 26. April 1925 wurde Hindenburg als Vertreter des antirepublikanischen „Reichsblocks“, dem Wilhelm Marx vom republikanischen „Volksblock“ gegenüberstand, im zweiten Wahlgang im Alter von 77 Jahren als Nachfolger Friedrich Eberts zum Reichspräsidenten gewählt und am 12. Mai vereidigt. Damit ist er bis heute das einzige deutsche Staatsoberhaupt, das je vom Volk direkt gewählt wurde.

    ... agit contre le gouvernement démocratique .

    Hindenburg beschloss, die derzeit regierende Große Koalition unter Kanzler Hermann Müller (SPD) durch eine „antimarxistische und antiparlamentarische“ Regierung zu ersetzen.

    Et paf ...

    Am 29. März 1930 berief er Heinrich Brüning (Zentrum) zum Reichskanzler eines Minderheitskabinetts, ohne das Parlament zu konsultieren. Damit begann die Zeit der Präsidialkabinette, in denen der jeweilige Kanzler hauptsächlich vom Vertrauen des Präsidenten abhängig sein sollte.

    ... je me rends indispensable ...

    Am 14. Februar 1932 willigte Hindenburg in eine erneute Kandidatur ein, um die ihn der Kyffhäuserbund, ein weiterer rechtsstehender Veteranenverband, gebeten hatte. Deutschnationale und Nationalsozialisten konnten sich auf keinen gemeinsamen Kandidaten einigen und traten mit dem frisch eingebürgerten Hitler und Theodor Duesterberg, dem Vorsitzenden des Stahlhelm, gegeneinander an. Alle demokratischen Parteien, einschließlich der Sozialdemokraten und des Zentrums, stellten sich nun hinter den überzeugten Monarchisten Hindenburg, um Hitler als Reichspräsidenten zu verhindern. Erst im zweiten Wahlgang erhielt Hindenburg am 10. April 1932 die nötige Mehrheit und wurde für weitere sieben Jahre in seinem Amt bestätigt.

    ... je suis les conseils de mes amis de droite ...

    Hindenburg geriet noch stärker als zuvor unter den Einfluss der Kamarilla, eines Kreises von politisch rechten Freunden und Weggefährten, die eine Einbindung der Massenpartei NSDAP in ein autoritäres Regime wünschten. Zu diesen gehörten unter anderen Oskar, der „in der Verfassung nicht vorgesehene Sohn des Reichspräsidenten“ (so ein viel zitiertes Bonmot Kurt Tucholskys), Otto Meissner, der Leiter seines Präsidialbüros, ferner sein Nachbar auf Neudeck Elard von Oldenburg-Januschau sowie Generalleutnant Schleicher und schließlich Franz von Papen. Diese überredeten Hindenburg, Brüning zu entlassen und stattdessen von Papen zum Reichskanzler zu ernennen, der „mehr nach rechts“ regieren sollte.

    ... qui insistent que je nomme le fasciste comme chancelier du Reich ...

    Am 19. November 1932 erhielt Hindenburg eine gegenläufige Eingabe von zwanzig Industriellen, mittelständischen Unternehmern, Bankiers und Agrariern mit der Aufforderung, Adolf Hitler zum Reichskanzler zu ernennen.

    ... et je m"exécute ...

    Bei einem zweiten Treffen am 21. November bot Hindenburg Hitler doch die Kanzlerschaft an: Er solle sich bis zum 24. November Koalitionspartner suchen, mit denen er eine stabile Mehrheit im Reichstag hätte, und ein Regierungsprogramm vorlegen.

    ... c’est trop compliqué alors j’opte pour un autre général réactionnaire ...

    Statt seiner berief Hindenburg am 2. Dezember 1932 Kurt von Schleicher zum Reichskanzler. Der versuchte noch, Teile der NSDAP um Gregor Strasser von Hitler weg in eine Querfront zu bringen

    ... qui ne fonctionne pas comme prévu ...

    Als Schleicher dann seinerseits vorschlug, den Reichstag aufzulösen und unter Bruch der Reichsverfassung bis auf Weiteres keinen neuen wählen zu lassen, entzog ihm Hindenburg seine Unterstützung.

    ... alors c’est le tour au fasciste.

    Am 30. Januar 1933 berief Hindenburg Adolf Hitler zum Reichskanzler (sog. Machtergreifung), der in sein Kabinett mit Hermann Göring als Minister ohne Geschäftsbereich und Wilhelm Frick als Innenminister nur zwei Nationalsozialisten aufnahm und Papen zum Vizekanzler bestimmte.

    Après cette date les terroristes du nouveau chancelier prennent.le devant de la scène.


    Incendie du Reichstag le 27.2.1933

    Ensuite je lègue mes pouvoirs à la majoritè désormais fasciste au parlement.

    Das am 23. März 1933 mit Zweidrittelmehrheit vom Reichstag verabschiedete Ermächtigungsgesetz hob das in der Weimarer Verfassung festgelegte alleinige Gesetzgebungsrecht des Reichstags auf. Nun konnte die Regierung selbst Gesetze erlassen und war nicht mehr wie bisher auf das Notverordnungsrecht des Reichspräsidenten angewiesen, wobei auf Forderung der bürgerlichen Parteien, allen voran des Zentrums, als Bedingung für ihre Zustimmung zum Ermächtigungsgesetz das Notverordnungsrecht des Reichspräsidenten unangetastet blieb.

    A la fin de ma carrière j’accepte une somme à l’hauteur de ma contribution au destin du peuple allemand.

    Von der Reichsregierung und der Preußischen Regierung erhielt Hindenburg 1933 Dotationen von insgesamt einer Million Reichsmark.

    Tout est bien qui finit bien.

    Am Morgen des 2. August 1934 um 9 Uhr starb Hindenburg im Alter von 86 Jahren auf Gut Neudeck. Dort sollte er eigentlich begraben werden, jedoch organisierte Hitler eine Beisetzung im Denkmal der Schlacht bei Tannenberg.

    #histoire #Allemagne #nazis #fascisme #démocratie

  • Urbanité et civilité : la vie sociale des espaces publics
    https://metropolitiques.eu/Urbanite-et-civilite-la-vie-sociale-des-espaces-publics.html

    Une enquête ethnographique au long cours a nourri la réflexion de la sociologue Carole Gayet-Viaud sur la civilité urbaine. Son observation fine des espaces publics décrit les scènes ordinaires où se joue la vie sociale, aidant à penser les conditions de la coexistence démocratique. Comment faisons-nous « société » ? Nous qui sommes des individus, plus ou moins isolés, plus ou moins aptes à nous lier, à nous relier et à nous délier, comme l’écrivait le philosophe allemand Georg Simmel (1858-1918) ? « #Commentaires

    / #ethnographie, urbanité, #démocratie, #espace_public, #conflit, civilité

    #urbanité #civilité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-paquot-2.pdf

  • La corruption, problème majeur des jeunes en Afrique et motif d’émigration, selon une étude
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/09/03/la-corruption-probleme-majeur-des-jeunes-en-afrique-et-motif-d-emigration-se

    La corruption, problème majeur des jeunes en Afrique et motif d’émigration, selon une étude
    Le Monde avec AFP
    Les jeunes en Afrique jugent que la corruption menace leur avenir et pourrait, pour 60 % d’entre eux, les pousser à émigrer, selon un sondage mené auprès de 5 600 d’entre eux dans 16 pays du continent et publié mardi 3 septembre. La corruption est « au cœur des préoccupations de la jeunesse » et est considérée comme le plus grand obstacle à leur développement personnel et à une vie meilleure, souligne la Ichikowitz Family Foundation, basée à Johannesburg, qui a commandé ce sondage auprès de 5 604 jeunes âgés de 18 à 24 ans. Selon les résultats de cette étude, à l’ampleur sans précédent en termes de personnes interrogées et de zones géographiques ciblées selon la fondation, la plupart des jeunes « ne croient pas que leurs gouvernements fassent suffisamment pour endiguer ce fléau ».« Par conséquent, près de 60 % d’entre eux envisagent d’émigrer au cours des cinq prochaines années », selon cette étude publiée à l’issue d’entretiens en vis-à-vis menés par le groupe PSB Insights en janvier et février dans des pays allant de l’Afrique du Sud à l’Ethiopie.
    L’Amérique du Nord figure parmi les pays les plus cités pour émigrer, suivi par les pays d’Europe occidentale, comme le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne ou l’Espagne. « Ils veulent des sanctions plus lourdes contre les hommes politiques corrompus, notamment une interdiction d’assumer des fonctions politiques, et une autre forme de gouvernement », selon l’étude intitulée « Etude sur la jeunesse africaine en 2024 ».Même si près des deux tiers des personnes interrogées croient en la démocratie, près de 60 % d’entre elles se disent en faveur d’une forme de gouvernement « d’inspiration africaine ». Près d’une personne sur trois pense que des systèmes non démocratiques, issus d’un régime militaire ou d’un parti unique, pourraient être préférables dans certaines circonstances.La plupart des jeunes interrogés (72 %) estiment que l’influence étrangère est un problème. « Ils sont inquiets que leurs pays soient exploités par des entreprises étrangères, en particulier concernant les richesses minérales naturelles exportées sans aucun bénéfice pour les habitants », selon l’enquête. Quatre-vingt-deux pour cent d’entre eux considèrent l’influence de la Chine comme étant positive ; 79 % disent la même chose pour les Etats-Unis.
     »Les perceptions de l’influence de la Russie se sont accrues, notamment au Malawi et en Afrique du Sud avec plus de la moitié d’avis positifs concernant l’approvisionnement russe en engrais et céréales. Cette étude, menée pour la première fois en 2020, vise « à donner la parole à la jeunesse africaine de manière scientifique », a déclaré à l’AFP le directeur de la communication de la fondation, Nico De Klerk. Il fournit également des données utiles aux gouvernements, aux ONG et aux investisseurs. Près de 420 millions de jeunes âgés de 15 à 35 ans, dont un tiers sont au chômage, vivent en Afrique et ils devraient être plus de 830 millions à l’horizon 2050, selon la Banque africaine de développement.

    #Covid-19#migration#migrant#afrique#emigration#jeunesse#corruption#democratie

  • Désobéissance civile : citoyens hors la loi

    LSD explore les aspirations de la désobéissance civile. #Blocages, #sabotages, actions coup de poing : quelle place pour la possibilité de désobéir en #démocratie ?

    Du chantier de l’autoroute A69 aux assemblées générales de Total, pour soutenir les personnes exilées ou les femmes victimes de violences, des #luttes ont aujourd’hui en commun d’assumer publiquement d’enfreindre le cadre. De désobéir pour se faire entendre.

    La désobéissance civile n’est pas un phénomène nouveau. Ses aînés s’appellent #Act_Up, #Jeudi_noir, #Faucheurs_volontaires. Ses ancêtres #Gandhi, #Martin_Luther_King, #Hubertine_Auclert. Elle est le fruit d’une histoire longue, faite de multiples #combats. Elle connaît aujourd’hui un essor particulier, dans des luttes environnementales, sociales, féministes, qui ont toutes leurs spécificités, mais qui partagent une arme, celle de l’action illégale, politique, publique et non violente dans le but de changer la loi : la désobéissance civile.

    Avec cette série, c’est ce mode de lutte que nous avons voulu comprendre : questionner son essor, sa pratique, son efficacité, et sa place en démocratie. Pour ses partisans la désobéissance est un dernier recours, illégal, mais légitime. Pour ses opposants, elle est l’ennemie de l’Etat de droit, car comment vivre en société si l’on accepte que la règle commune soit niée, en conscience ?

    Cette tension entre #illégalité et légitimité, entre #interdiction et #nécessité, se manifeste avec force dans la #répression policière et judiciaire à laquelle les personnes désobéissantes s’exposent. Répression qui faisait dire en février dernier à Michel Forst, rapporteur des Nations unies sur les défenseurs de l’environnement, qu’elle constitue “une #menace majeure pour la démocratie et les droits humains”.

    Elle s’est aussi incarnée à l’été 2023 dans les déclarations bien différentes de deux des plus hautes autorités françaises en matière de justice. D’un côté le Conseil d’Etat, lorsqu’il a suspendu la dissolution des Soulèvements de la terre, a estimé que les actions du mouvement s’inscrivaient “en faveur d’initiatives de désobéissance civile”. De l’autre le ministre de la Justice Eric Dupont-Moretti, auditionné par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale, disait en avoir “ras le bol de la petite musique de la désobéissance civile”, et poursuivait : “On a le droit, selon certains, quand on est porteur d’une cause que l’on estime légitime, de ne plus obéir à la loi. Rien n’est plus liberticide que cela.”

    Alors comment démêler les fils de la désobéissance ? Est-elle une remise en cause de l’#Etat_de_droit, ou une composante essentielle de la démocratie, comme l’affirmait son premier théoricien #Henry_David_Thoreau ?

    En partant sur la montagne de #Lure, auprès d’#Utopia_56 ou des #Robin_des_bois_de_l’énergie à la rencontre de celles et ceux qui vivent la désobéissance civile dans leurs luttes, en suivant avec ses spécialistes les chemins d’une pensée désobéissante sans cesse réinventée, en explorant avec #José_Bové, #Cédric_Herrou et les #Soulèvements_de_la_terre ce qui se joue lors des #procès, nous comprenons à quel point la tension est le cœur battant de la désobéissance civile. “Je reconnais tout de suite que le mot tension ne m’effraie pas”, écrivait Martin Luther King dans sa célèbre lettre de la prison de Birmingham, assumant que son combat voulait “engendrer une #tension telle que la communauté soit forcée de regarder la situation en face”.

    Aujourd’hui encore, il s’agit pour les actrices et acteurs de la désobéissance civile de révéler au grand jour les tensions déjà existantes. De sentir avec force qu’il serait possible d’agir ensemble. Leurs actions se préparent, se pensent, s’organisent en s’inspirant d’expériences passées, en utilisant les médias, les tribunaux et la puissance du collectif. La désobéissance civile dénonce l’illégitimité ou l’insuffisance des lois. Écouter ses battements, d’hier et d’aujourd’hui, nous raconte comment penser au-delà du cadre pourrait peut-être, parfois, parvenir à le faire changer.

    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-desobeissance-civile-citoyens-hors-la-loi

    #désobéissance_civile #loi #légalité #légitimité #désobéissance #violence #non-violence #femmes #dissidence
    #audio #podcast
    ping @karine4

  • China’s « Rote Linien » des Wasserschutzes : Ein Gemeinschaftswerk
    https://www.asienhaus.de/aktuelles/wasserinnovation-in-china-ein-gemeinschaftswerk


    La Chine pratique l’engamenet et la participation citoyenne dans la gestion de l’eau.

    4.6.20240von Melissa Johanna Rademacher - Am 22. März 2024 fand zum 32. Mal der Weltwassertag statt. Dieser Tag soll genutzt werden, um über das Thema Wassersicherheit aufzuklären. Obwohl es sich bei Wasser um eine, wenn nicht sogar um die wichtigste Ressource handelt, erhält keineswegs jede:r gleichberechtigten Zugang dazu. Auch in China ist sauberes Wasser in einigen Regionen, gerade in Nord- und Nordwestchina keine Selbstverständlichkeit, jedoch gab es in den letzten Jahren bedeutende Fortschritte in der langfristigen Absicherung des Zuganges zu nutzbarem Wasser.

    Wasserversorgung in der Volksrepublik China

    Das starke Wirtschaftswachstum, begleitet von einem raschen Ausbau der Industrie, eine stetig zunehmende Urbanisierung und letztendlich auch der Klimawandel sind Risiken für die Wassersicherheit der Volksrepublik China. Im Jahr 2020 verfügte China mit 1,99 Kubikmetern Süßwasserressourcen pro Kopf zwar über weniger Wasser als der weltweite Durchschnitt, trotzdem gilt es nach der UN-Definition noch nicht als Land mit Wasserknappheit. Allerdings, zeigt sich auch hier, ähnlich wie in anderen Ländern, ein Abwärtstrend in Richtung Wasserknappheit.
    Ein wesentlicher Faktor bei der Bewertung der Wasserressourcen ist deren Verteilung innerhalb des Landes, da hier erhebliche Unterschiede bestehen können, so der Fall in China. Aufgrund des Monsuns gibt es im Süden und Osten Chinas deutlich mehr Niederschläge, während die nördlichen und westlichen Gebiete mit Perioden teils extremer Dürre zu kämpfen haben. Da jedoch die Hälfte der Bevölkerung im Norden lebt, sowie wasserintensive Industriezweige sich zum Beispiel in eben diesen Provinzen, z.B. Hebei angesiedelt haben, hat sich die Wasserknappheit in dieser Region zusätzlich verschärft.

    Die Urbanisierung trägt ebenso zu einer Verknappung der Wasserressourcen in den Großstädten bei, die sich mehrheitlich an der Ostküste befinden. Die Menschen in den Städten sind auf eine zentrale Wasserversorgung angewiesen und verbrauchen deutlich mehr Wasser als die Bevölkerung in ländlichen Gebieten. In der Studie zur globalen Landabsenkung eines Forschungsteams der Peking Universität, konnte das Absinken von Millionenstädten ebenfalls auf die starke Bebauung und die Grundwasserentnahme zurückgeführt werden. Wohngebiete und die Infrastruktur „versinken“ im Grundwasser.

    Während Chinas wachsende Wirtschaft und Bevölkerung einen höheren Wasserbedarf entwickelt haben, werden zeitgleich vermehrt wichtige Wasserquellen verschmutzt. Die Landwirtschaft gilt hierbei als Hauptverursacher und gleichzeitig als größter Verbraucher der Wasserressourcen. Auch wenn seit Beginn der Reform- und Öffnungspolitik die Zahlen rückläufig sind, machte der landwirtschaftliche Sektor 2020 noch 62% des Wasserverbrauchs aus; gefolgt von Industrie und Privathaushalten. Es sind Dünger und Pestizide, die über den Boden in das Grundwasser gelangen und parallel ihren Weg über das direkte Abladen in die Oberflächengewässer finden.
    Der Weg des Staates zu mehr Wassersicherheit

    Die Problematik des Nord-Süd-Gefälles bei der Wasserversorgung ist bereits lange bekannt. Die Kontrolle über die Flüsse und damit das Wasser bedeutet Macht über China. Das historische Dujiangyan-Bewässerungssystem (都江堰), das älteste seiner Art weltweit, unterstreicht die lange Geschichte und die zentrale Rolle der Wasserregulierung.
    Mit der Umsetzung des Süd-Nord-Wassertransferprojektes, eines der größten und kostspieligsten Wasserinfrastrukturprojekte die je umgesetzt wurden, versucht die chinesische Regierung der Wasserknappheit entgegenzuwirken. Über mehrere tausend Kilometer wird das angesammelte Wasser aus dem Süden in die nördlichen Provinzen geleitet. Die Umsiedlung von über 300.000 Menschen wurde hierfür in Kauf genommen.

    Die chinesische Regierung führte eine weitere Maßnahme ein: Den erstmals 2022 verabschiedeten fünfjährigen nationalen Wassersicherheitsplan. Obwohl Umweltschutz und damit auch die Sicherheit der Wasserressourcen bereits im 12. Fünf-Jahres-Plan an Bedeutung gewonnen hatten, verdeutlicht die Verabschiedung eines separaten Fünf-Jahres-Wassersicherheitsplans die Bedeutung des Schutzes der Wasserressourcen. Der Plan umfasst unter anderem den Schutz vor Überschwemmungen durch einen Ausbau der Warnsysteme und das Miteinbeziehen des Wasserschutzes in die Stadtplanung. Außerdem, soll die Wasserentnahme verstärkt kontrolliert und schonender gestaltet werden. Es zeigt sich, dass die chinesische Regierung verstärkt auf den Einsatz und die Weiterentwicklung von Technologien setzt.

    Vor dem nationalen Wassersicherheitsplan existierte bereits eine Palette an Gesetzen, die den Schutz der Wasserressourcen garantieren sollte, es zeigten sich hier aber zahlreiche Probleme bei der Umsetzung. Beim Gewässerschutz sind in der Regel Lösungen erforderlich, die politischen Akteure mit einbeziehen. Besonders bei Flüssen, die sich über mehrere Provinzen erstrecken, kann dieser Prozess stark verzögert werden und im schlimmsten Fall zu keinerlei Ergebnissen führen.

    Trotz der Hindernisse in der Umsetzung konnte die Chinesische Regierung in den letzten Jahren einige Erfolge verbuchen. Maßnahmen wie beispielsweise die Wassermanagementrichtlinien („Drei rote Linien“ - „三条红线“) aus dem Jahr 2011 und der 2015 veröffentlichte Aktionsplan zur Kontrolle der Wasserverschmutzung trugen zu einer bedeutenden Verbesserung der Oberflächenwasserqualität in den vergangenen Jahren bei. 2001 galten 44 % der Oberflächengewässer aufgrund von Verschmutzung als unbrauchbar, wohingegen 2018 der Wert nur noch bei 6,9 Prozent lag. Bei der Qualität des Grundwassers hingegen ist ein stagnierender, tendenziell eher negativer Trend zu beobachten.
    Zivilgesellschaftliches Engagement im Kampf gegen die Wasserverschmutzung

    In China zeichnet sich ein Bild von einer vom Top-down-Prinzip geprägten Umweltpolitik und den meist regierungszentrierten Maßnahmen ab. In Anbetracht dieser Umstände spielen jedoch Umwelt-NGOs eine besonders wichtige Rolle. Sie schaffen einen Raum für zivilgesellschaftliche Beteiligung, bringen neue und kritische Perspektiven in Umweltdebatten ein und fungieren vereinzelt als Mediator zwischen lokalen Regierungen und der Zivilbevölkerung.

    Eine der ältesten und bekanntesten dieser Organisationen ist „Friends of Nature“. Die Organisations brachte bereits mehrere Unternehmen, die gegen Umweltvorschriften verstießen vor Gericht. Eine weiterer bedeutender Akteur ist das „Institute of Public and Environmental Affairs“ (IPE), welches es sich seit 2006 zur Aufgabe machte, den Zugang zu Daten im Bereich der Luft- aber auch Wasserverschmutzung zu erleichtern und für mehr Transparenz zu sorgen. In den Anfangsjahren war die Organisation einigem Druck durch Firmen, aber auch lokale Politiker:innen ausgesetzt. Hinzu kam, dass bis 2013 ein regelmäßiges Sammeln von Luft- und Wasserdaten durch Messstationen für lokale Regierungen nicht verpflichtend waren. 2013 wurde auf Druck der Bevölkerung ein entsprechendes Gesetz von der Regierung verabschiedet. Eine Verordnung zur vollständigen Offenlegung der Daten folgte im Jahre darauf.

    Gegründet wurde das IPE von Ma Jun, der auch eine App namens „Blue Map“ entwickelte, die 2023 3,8 Millionen User:innen zählte. Die „BlueMap“ App und auch die Plattform „MyH20“ sammeln die Daten verschiedener Messstationen und machen sie für die Bevölkerung zugänglich. Nutzer:innen haben nicht nur die Möglichkeit auf einer Karte die Wasserqualität nachzuvollziehen, sondern verfügen darüber hinaus über eine Meldefunktion, womit einzelne Unternehmen, die die Vorschriften nicht einhalten mithilfe von Fotos gemeldet werden können. Korrupte Strukturen können so umgangen werden und Bürger:innen werden Teil der Lösung eines großen Problemes.
    Zivilgesellschaftliches Engagement ist ein Teil der Lösung – digitale Technologien ebenfalls?

    Mit Verbreitung Sozialer Medien und der Entwicklung des Smartphones zu einem Alleskönner im Alltag, stellt sich die Frage, inwiefern Informations- und Kommunikationstechnik (engl.=ICT) als Vehikel für zivilgesellschaftlicher Beteiligung, in diesem Fall beim Umweltschutz dienen können. „MyH20“ und „BlueMap“ sind zwei mögliche Beispiele für den Einsatz beim Wasserschutz in China. Das Nutzen von digitalen Technologien für Umweltschutz und zivilgesellschaftliches Engagement in China ist derweil noch ein recht junges Forschungsgebiet. Einige Studien zur bürgerlichen Partizipation haben bereits darauf hingewiesen, dass Informations- und Kommunikationstechnologien die umweltpolitische Beteiligung der Bevölkerung fördern können. Die Ergebnisse variieren jedoch hinsichtlich der Stärke dieses Effekts.

    Ein allein technikorientierter Lösungsansatz für die Wasserversorgung ist nicht ausreichend, da viele Maßnahmen ökologische und soziale Auswirkungen haben, die von der Zivilgesellschaft eingeordnet und bewertet werden müssen. Lokale Gruppen, besonders vulnerable Minderheiten müssen inkludiert werden. Es braucht das Zusammenwirken aller Akteure um Wassersicherheit für alle zu schaffen.

    #Chine #eau #démocratie

  • Ermächtigungsgesetze
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz

    Les lois d’exception ou comment préparer la dictature et comment y résister.

    La France de la Cinquième République se trouve à travers l’énorme pouvoir de son président dans un état prédictatorial permanent à l’opposé de la RFA où la constitution ne connaît qu’un seul état d’exeception comparable lors ce que le parlement national Bundestag est matériellement empêché de se réunir. On appelle cette situation Gesetzgebungsnotstand . Dans cette situation le gouvernement ne peut introduire de nouvelles lois qu’avec l’accord de l’assemblée représentant les Länder Bundesrat et du président de la répubique, le Bundespräsident .

    Grundgesetz für die Bundesrepublik Deutschland - Art 79
    https://www.gesetze-im-internet.de/gg/art_79.html
    Ce paragraphe a été inscrit dans le Grundgesetz de 1949 afin d’empêcher le gouvernement de publier des décrets qui changent la législation en place. Il y est surtout exclu qu’un décret modifie la constitution. C’est le droit exclusif de l’assemblée nationale Bundestag et dépend du consensus avec le Bundesrat .

    Vu d’une perspective allemande la France se trouve actuellement dans un état de quasi dictature comparable à celle de la République de Weimar dans la phase avant de basculer en dictature respectivement le 31 janvier ou le 28 février 1933, le jour du coup d’état après l’incendie du bâtiment du Reichstag.

    Besonderheit der Ermächtigungsgesetze
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz

    Grundsätzlich sind Ermächtigungen im Recht, auch im Öffentlichen Recht, ein gängiges Phänomen. Die wichtigsten Rechtsnormen werden in Gesetzen festgehalten. Gesetze können nur durch den Gesetzgeber beschlossen werden, in der Regel also durch das Parlament. Ebenso kann nur das Parlament ein Gesetz abändern oder aufheben. Die Verfassung schreibt zuweilen vor, dass die Rechtsmaterie nur durch Gesetz geregelt werden darf (und nicht durch bloße Rechtsverordnung). In der Normenhierarchie stehen unterhalb der Verfassung und den Gesetzen die Verordnungen. Verordnungen werden von der Regierung erlassen, abgeändert oder aufgehoben. Eine Verordnung darf den Gesetzen nicht widersprechen, sonst ist sie unwirksam.

    Die Arbeit an einem Gesetz dauert oft lange, vielleicht mehrere Jahre. Eine Verordnung hingegen kann von der Regierung vergleichsweise zügig abgeändert werden. Darum regeln viele Gesetze die Angelegenheiten nicht bis ins kleinste Detail, sondern geben der Regierung die Aufgabe, eine Verordnung zu Detailfragen zu erlassen. Die Regierung kann dann künftig Details rasch einer aktuellen Entwicklung anpassen. Das Gesetz bleibt der Rahmen, an dem sich die Verordnung orientiert. Das Parlament ermächtigt über das Gesetz die Regierung, eine solche Verordnung zu erlassen (Verordnungsermächtigung).

    Wenn man in der deutschen Geschichte von Ermächtigungsgesetzen spricht, dann sind dabei besondere Ermächtigungen gemeint, oder genauer gesagt: die Ermächtigungen zu besonderen Verordnungen. In der Zeit von 1914 bis 1933 bzw. 1945 gab es Ermächtigungsgesetze, die es der Regierung erlaubten, Verordnungen mit Gesetzeskraft zu erlassen. Diese gesetzesvertretenden Verordnungen standen in der Normenhierarchie genauso weit oben wie Gesetze, sie konnten also nur abgeändert oder aufgehoben werden, wenn es im Parlament eine Mehrheit dazu gab. Hinzu kam, dass einige Ermächtigungsgesetze es erlaubten, dass die Verordnungen von der Verfassung abwichen.

    Dank einer solchen Ermächtigung konnte eine Regierung eine Rechtsmaterie neu regeln, auch wenn sie schon von einem Gesetz behandelt wurde. Die gesetzesvertretende Verordnung ersetzte als späteres Recht jenes Gesetz. Die Regierung musste sich nicht bemühen, im Parlament eine Mehrheit für die Neuregelung zu organisieren. Ebenso konnte die Regierung eine Rechtsmaterie überhaupt regeln, selbst wenn die Verfassung in der Angelegenheit ein Gesetz verlangte.

    Die Bismarcksche Reichsverfassung, die Weimarer Verfassung und das Grundgesetz sehen an sich keine gesetzesvertretenden Verordnungen oder ein Abweichen von der Verfassung vor. Das Grundgesetz unterscheidet sich von seinen Vorgängern dadurch, dass es letzteres ausdrücklich untersagt (Artikel 79 Absatz 1). Außerdem (Absatz 3) darf das ändernde Gesetz nicht die Gliederung des Bundes in Länder, die grundsätzliche Mitwirkung der Länder bei der Gesetzgebung des Bundes oder die in den Artikeln 1 und 20 des Grundgesetzes niedergelegten Grundsätze wie Rechtsstaatlichkeit, Demokratie, föderale Gliederung, Achtung der Menschenwürde u. a. m. berühren (Ewigkeitsklausel).

    Das Grundgesetz kennt einen Gesetzgebungsnotstand. Nach dieser Regelung kann ein Gesetz unter Umständen auch ohne Zustimmung des Bundestages zustande kommen, wenn die Bundesregierung die Zustimmung des Bundespräsidenten und des Bundesrates dazu erlangt. Funktional lässt sich diese Regelung entfernt mit einigen Ermächtigungsgesetzen vergleichen, da eine Regierung ohne Parlament eine allgemeine Rechtsnorm mit Gesetzeskraft einführen kann (z. B. ein Haushaltsgesetz).

    Man hat 1949 eine solche Regelung für den Fall eingeführt, dass das Parlament unfähig sein sollte, sich auf Gesetze zu einigen bzw. mit der Regierung zusammenzuarbeiten. Allerdings handelt es sich beim Gesetzgebungsnotstand nicht um eine „Ermächtigung“, da das Parlament der Regierung keine Ermächtigung erteilt.

    Grundgesetz für die Bundesrepublik Deutschland - Art 81 (Gesetzgebungsnotstand)
    https://www.gesetze-im-internet.de/gg/art_81.html

    (1) Wird im Falle des Artikels 68 der Bundestag nicht aufgelöst, so kann der Bundespräsident auf Antrag der Bundesregierung mit Zustimmung des Bundesrates für eine Gesetzesvorlage den Gesetzgebungsnotstand erklären, wenn der Bundestag sie ablehnt, obwohl die Bundesregierung sie als dringlich bezeichnet hat. Das gleiche gilt, wenn eine Gesetzesvorlage abgelehnt worden ist, obwohl der Bundeskanzler mit ihr den Antrag des Artikels 68 verbunden hatte.
    (2) Lehnt der Bundestag die Gesetzesvorlage nach Erklärung des Gesetzgebungsnotstandes erneut ab oder nimmt er sie in einer für die Bundesregierung als unannehmbar bezeichneten Fassung an, so gilt das Gesetz als zustande gekommen, soweit der Bundesrat ihm zustimmt. Das gleiche gilt, wenn die Vorlage vom Bundestage nicht innerhalb von vier Wochen nach der erneuten Einbringung verabschiedet wird.
    (3) Während der Amtszeit eines Bundeskanzlers kann auch jede andere vom Bundestage abgelehnte Gesetzesvorlage innerhalb einer Frist von sechs Monaten nach der ersten Erklärung des Gesetzgebungsnotstandes gemäß Absatz 1 und 2 verabschiedet werden. Nach Ablauf der Frist ist während der Amtszeit des gleichen Bundeskanzlers eine weitere Erklärung des Gesetzgebungsnotstandes unzulässig.
    (4) Das Grundgesetz darf durch ein Gesetz, das nach Absatz 2 zustande kommt, weder geändert, noch ganz oder teilweise außer Kraft oder außer Anwendung gesetzt werden.

    Grundgesetz für die Bundesrepublik Deutschland - Art 79 (Grundgesetzänderung)
    https://www.gesetze-im-internet.de/gg/art_79.html

    (1) Das Grundgesetz kann nur durch ein Gesetz geändert werden, das den Wortlaut des Grundgesetzes ausdrücklich ändert oder ergänzt. Bei völkerrechtlichen Verträgen, die eine Friedensregelung, die Vorbereitung einer Friedensregelung oder den Abbau einer besatzungsrechtlichen Ordnung zum Gegenstand haben oder der Verteidigung der Bundesrepublik zu dienen bestimmt sind, genügt zur Klarstellung, daß die Bestimmungen des Grundgesetzes dem Abschluß und dem Inkraftsetzen der Verträge nicht entgegenstehen, eine Ergänzung des Wortlautes des Grundgesetzes, die sich auf diese Klarstellung beschränkt.
    (2) Ein solches Gesetz bedarf der Zustimmung von zwei Dritteln der Mitglieder des Bundestages und zwei Dritteln der Stimmen des Bundesrates.
    (3) Eine Änderung dieses Grundgesetzes, durch welche die Gliederung des Bundes in Länder, die grundsätzliche Mitwirkung der Länder bei der Gesetzgebung oder die in den Artikeln 1 und 20 niedergelegten Grundsätze berührt werden, ist unzulässig.

    Les lois d’exception allemandes historiques

    Kriegsermächtigungsgesetz von 1914
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz#Kriegserm%C3%A4chtigungsgesetz_von_1914

    Ermächtigungsgesetze 1919–1927
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz#Erm%C3%A4chtigungsgesetze_1919%E2%80%931927

    Name - beschlossen - Gültigkeit bis
    1. Notgesetz für elsaß-lothringische Angelegenheiten 1. März 1919 unbefristet
    2. Gesetz zur Durchführung der Waffenstillstandsbedingungen 6. März 1919 bis Ende der Nationalversammlung
    3. (Erstes) Gesetz über eine vereinfachte Form der Gesetzgebung für die Zwecke der Übergangswirtschaft 17. April 1919 bis Ende der Nationalversammlung
    4. (Zweites) Gesetz über die vereinfachte Form der Gesetzgebung für die Zwecke der Übergangswirtschaft 3. August 1920 bis 1. November 1920[13]
    5. (Drittes) Gesetz über den Erlaß von Verordnungen für die Zwecke der Übergangswirtschaft 6. Februar 1921 bis 6. April 1921
    6. Art. VI des Reichs-Notgesetzes 24. Februar 1923 bis 1. Juni 1923
    7. (Erstes) Reichs-Ermächtigungsgesetz 13. Oktober 1923 bis 2. November 1923
    8. (Zweites) Reichs-Ermächtigungsgesetz 8. Dezember 1923 bis 15. Februar 1924
    9. (Erstes) Reichs-Ermächtigungsgesetz über die vorläufige Anwendung von Wirtschaftsabkommen 10. Juli 1926 bis 3. November 1926
    10 (Zweites) Reichs-Ermächtigungsgesetz über die vorläufige Anwendung von Wirtschaftsabkommen 14. Juli 1927 bis 18. Oktober 1927

    Ermächtigungsgesetz vom 24. März 1933
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz#Erm%C3%A4chtigungsgesetz_vom_24._M%C3%A4rz_19
    Article exclusivement dédié à cette loi
    https://de.wikipedia.org/wiki/Erm%C3%A4chtigungsgesetz_vom_24._M%C3%A4rz_1933
    Avec cette loi le parlement allemand entérina la dictature nazie et institua les pleins pourvoirs du Führer Adof Hitler.

    Son équivalent en France est la loi constitutionnelle du 10 juillet 1940 qui confie les pleins pouvoirs au gouvernement sous l’autorité du général Pétain.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_constitutionnelle_du_10_juillet_1940

    La constitution allemande Grundgesetz rend très difficile l’introduction légale d’un état dictatorial mais ne peut pas l’empêcher matériellement. La conséquence de cette logique est le droit à la résistance contre la dictature qui est explicitement exprimée dans l’article 20 de la constitution.

    Grundgesetz für die Bundesrepublik Deutschland - Art 20 (Recht zum Widerstand)
    https://www.gesetze-im-internet.de/gg/art_20.html

    (1) Die Bundesrepublik Deutschland ist ein demokratischer und sozialer Bundesstaat.
    (2) Alle Staatsgewalt geht vom Volke aus. Sie wird vom Volke in Wahlen und Abstimmungen und durch besondere Organe der Gesetzgebung, der vollziehenden Gewalt und der Rechtsprechung ausgeübt.
    (3) Die Gesetzgebung ist an die verfassungsmäßige Ordnung, die vollziehende Gewalt und die Rechtsprechung sind an Gesetz und Recht gebunden.
    (4) Gegen jeden, der es unternimmt, diese Ordnung zu beseitigen, haben alle Deutschen das Recht zum Widerstand, wenn andere Abhilfe nicht möglich ist.

    Il faut noter que le droit à la résistance n’entre en vigueur que lors de l’épuisement de tous les recours en juridiques. Les multiples revendication de ce droit par exemple dans le contexte de l’opposition contre les mesure anti-covid sont systématiqement erronnées car les conditions prévues dans la constitution n’ont jamais été remplies jusqu’à ce jour. Le texte de la constitution dit explicitement qu’on n’a le droit que de s’opposer aux atteintes à l’ordre constitutionnel (verfassungsmäßige Ordnung) , au pouvoir exécutif (vollziehende Gewalt) et à la justice (Rechtsprechung) En pratique le droit constititionnel à la résistance s’est montré très restrictif et ne justifie pas la défense extra-judiciaire des libertés citoyennes.

    Reichstagsbrand
    https://de.m.wikipedia.org/wiki/Reichstagsbrand

    #démocratie #parlamentarisme #dictature #constititions #lois_d_exception

  • Dé-domestiquons-nous, ou l’art de ne pas être gouvernés
    https://ricochets.cc/De-domestiquons-nous-ou-l-art-de-ne-pas-etre-gouvernes-7747.html

    La forme-Etat autoritaire, les piteuses présidentielles à venir le prouvent, nous domine et ruine la démocratie. Est-ce une fatalité ? Non. Et des anthropologues comme James Scott l’ont montré. Alors, faisons revivre en nous les nomades, les cueilleurs, les pirates, en sollicitant le déjà-là des sociabilités quotidiennes, associatives, et de l’infinité de façons qu’il y a de ne pas être gouvernés. « Un rapport universitaire pointe une nouvelle année de recul de la démocratie libérale », (...) #Les_Articles

    / Démocratie directe, communes libres..., Autoritarisme, régime policier, démocrature...

    #Démocratie_directe,_communes_libres... #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...

  • La Dictature, une antithèse de la démocratie ? - Mon blog sur l’écologie politique
    https://blog.ecologie-politique.eu/post/La-Dictature-une-antithese-de-la-democratie

    À lire ce petit livre sur les dictatures, il est difficile de comprendre pourquoi les régimes autoritaires ne sont pas mieux étudiés, vu la complexité de ce qui fait tenir un régime autoritaire, vu les jeux de pouvoir qui peuvent s’y déployer et que l’autrice fait toucher du doigt, et vu ce que ce tour d’horizon nous apprend des régimes plus libéraux sous lesquels vit 5 % de la population mondiale, et de comment ceux-ci peuvent glisser vers des régimes moins libéraux. L’ouvrage se clôt d’ailleurs sur la principale inspiration de la constitution russe mise en place par Vladimir Poutine, une certaine Ve République française très propice au pouvoir personnel. De quoi récuser l’usage que fait l’autrice du mot « démocratie » pour les régimes les plus libéraux, que la science politique appelle plutôt des « aristocraties électives » ou des « régimes mixtes ».

    #livre #recension #démocratie #dictature #politique #Eugénie_Mérieau #Aude_Vidal

  • Les ministres députés ont-ils le droit de voter à l’Assemblée nationale ?
    https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2024/07/18/les-ministres-deputes-ont-ils-le-droit-de-voter-a-l-assemblee-nationale_6252

    La XVIIᵉ législature devrait s’ouvrir, jeudi, par les élections aux postes-clés de l’Assemblée nationale. Les dix-sept ministres élus députés sont conviés à prendre part aux votes, mais leur participation pourrait être jugée inconstitutionnelle.

  • Nous ne manquons pas de Premier ministre, mais de majorité - AOC media
    https://aoc.media/opinion/2024/07/10/nous-ne-manquons-pas-de-premier-ministre-mais-de-majorite


    Par Jean-François Collin, haut fonctionnaire

    Dépourvu de majorité et ayant obtenu moins de voix que le RN, le Nouveau Front Populaire ne devrait pas promettre la lune, mais renforcer la démocratie de façon à nous prémunir contre toute embardée et redonner la parole aux citoyens. Plusieurs choix s’offrent à ses responsables.

    • C’est bien une analyse de haut fonctionnaire. Sur le plan institutionnel rien à dire. Seulement il y a comme un angle mort : la sociologie électorale et les causes du vote RN. Un grosse partie de ce vote émane d’une classe ouvrière déclassée et écrasée par la politique macroniste. En ce sens, je trouve, à rebours de l’auteur, que les déclarations des dirigeants de gauche depuis dimanche, qui, bon an mal an, arrivent à dire que l’important c’est : retraite, pouvoir d’achat, amortir les effets de l’inflation sur les classes les plus défavorisées, vont dans le bon sens et que par ailleurs on avait pas entendu un tel discours dans la bouche de dirigeants de gauche depuis un paquet de temps.

      Ok ça ne résout pas le problème de la formation d’un gouvernement qui tienne, bien qu’on puisse en discuter mais en sortant du cadre du « sommet de l’état » et en y adjoignant les corps intermédiaires (les syndicats entre autre qui ont à mon avis un sacré coup à jouer aujourd’hui) mais, en revanche, je pense que si on se fie aux solutions distillées dans cet article, donc en gros la constitution d’un « arc républicain » (déjà c’est mal barré puisque ça s’appuie sur un lexique macroniste) la conséquence immédiate sera de conforter la partie de la classe ouvrière qui vote facho dans ses choix, sur le mode « c’est tous les mêmes la preuve ils s’entendent entre eux ».

      Bref, les choix proposés sont des choix techniques d’un techno de l’état.

  • Appel des scientifiques du Comité national de la recherche scientifique à faire barrage à l’extrême droite aux élections législatives
    https://academia.hypotheses.org/56999

    MOTION Coordination des responsables des instances du #CoNRS (C3N) Version .pdf Objet : Appel des scientifiques du Comité national de la recherche scientifique à faire barrage à l’extrême droite aux élections législatives À l’approche des élections législatives des 30 juin … Continuer la lecture →

    #Démocratie_universitaire #État_de_droit #Gouvernance_de_l'ESR #législatives_2024

  • ALERTE FS-SSCT du CSA MESR – Lettre ouverte FERC CGT à la ministre
    https://academia.hypotheses.org/56915

    Les représentant·es des personnels CGT en FSSSCT MESR À : Mme la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche S/C de M. Boris Melmoux-Eude, directeur général des Ressources Humaines M. Guillaume Aujaleu, chef du service des personnels ingénieurs, administratifs, techniques, … Continuer la lecture →

    #Démocratie_universitaire #En_partage #Gouvernance_de_l'ESR #Santé_au_travail #EHESS #INP_Toulouse #INRAE

  • Front Populaire (phase 2) : renverser la table du banquet des patrons, des politicards et des technocrates ?
    https://ricochets.cc/Front-Populaire-phase-2-renverser-la-table-du-banquet-des-patrons-des-poli

    Des actus, analyses, réflexions... Pour aider à garder le sang froid et à s’extraire du déferlement merdiatique des extrêmes droites et de leurs alliés objectifs. Pour résister vraiment au capitalisme punitif et à l’autoritarisme au carré. Pour une écologie sociale qui « punit » le train de vie des riches et qui met au piquet le techno-capitalisme et les médias toxiques des milliardaires. Pour l’exclusion des puissants déconnectés, et pour le pouvoir partagé des anonymes. Quelques (...) #Les_Articles

    / Révoltes, insurrections, débordements..., Démocratie directe, communes libres..., #Luttes_sociales

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Démocratie_directe,_communes_libres...
    https://paris-luttes.info/pour-un-antifascisme-desirable-18414
    https://paris-luttes.info/contre-la-politique-revolution-18407
    https://reporterre.net/Face-a-la-montee-de-l-extreme-droite-les-jeunes-prets-a-monter-au-front
    https://bonpote.com/lextreme-droite-et-lextreme-gauche-est-ce-vraiment-la-meme-chose
    https://reporterre.net/En-terres-RN-la-gauche-veut-rallier-les-abstentionnistes
    https://paris-luttes.info/licenciement-de-guillaume-meurice-18404
    https://reporterre.net/Le-difficile-travail-de-porte-a-porte-pour-rallier-les-abstentionnistes
    https://iaata.info/Contre-le-Front-populaire-l-extreme-droite-le-systeme-electoral-et-la-politi
    https://lundi.am/Tous-et-toutes-en-Belgique
    https://lundi.am/Points-d-etape-sur-une-sequence-suspendue

  • Le #capitalisme d’enclaves et la fin de la démocratie
    https://laviedesidees.fr/Le-capitalisme-d-enclaves-et-la-fin-de-la-democratie

    À bas bruit, le capitalisme a construit son utopie : un monde débarrassé de la #démocratie, de la citoyenneté et de l’État, disséminé sur une multitude de petits territoires reliés par la mobilité du capital et des élites.

    #Politique #paradis_fiscaux
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240617_slobodian.pdf

  • 75 Jahre Grundgesetz : Wer die Demokratie verteidigen will, muss anders wirtschaften
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/75-jahre-grundgesetz-wer-die-demokratie-verteidigen-will-muss-ander

    Voici une proposition raisonnable pour rétablir la démocratie pour tous. Malheureusement la lutte de classe menée par les riches au pouvoir bloquera la moindre tentative d’une véritable démocratisation de la société. Le capital est arrivé au pouvoir il y a deux cents cinquante ans par le terrorisme contre le peuple et n’hésitera pas si nécessaire lui semble à nous plonger dans de nouvelles guerres.

    La classe dominante nous guide de nouveau vers l’abîme avant d’échouer dans la catastrophe totale. A ce moment seulement le peuple ressortira des cendres de la catastrophe comme l’oiseau phénix légendaire. A ce moment seulement naîtra une nouvelle démocratie.

    29.5.2024 von Uwe Foullong - Mit der deutschen Einheit wurde gleichzeitig der Sozialstaat demontiert. Die gefährliche Lücke zwischen Verfassungsinhalt und Wirklichkeit ließe sich schließen.

    Vor wenigen Tagen feierten wir den 75. Geburtstag unseres Grundgesetzes, das vielfach als eines der fortschrittlichsten und sozialsten Verfassungen einer Demokratie bezeichnet wird. Allerdings klafft unter dem Aspekt der Entwicklung des Allgemeinwohls zwischen Verfassungsinhalten und Verfassungswirklichkeit seit den letzten 30 Jahren eine immer größer gewordene Lücke – eine Gefahr für den sozialen Frieden.

    Das Grundgesetz wird allgemein mit dem Begriff der „sozialen Marktwirtschaft“ und des „Sozialstaates“ in Verbindung gebracht, ohne dass diese Begriffe ausdrücklich im Grundgesetz enthalten sind. Im Grundgesetz ist keine Wirtschaftsordnung explizit bestimmt. Es legt unwiderruflich Grundrechte fest wie die Gewährleistung des Eigentums (Art. 14, Abs. 1). Gleichzeitig manifestiert es die Sozialpflichtigkeit des Eigentums (Art. 14, Abs. 2), regelt Enteignungen zum Wohle der Allgemeinheit (Art. 14, Abs. 3) sowie Vergesellschaftung von Grund und Boden, Naturschätzen und Produktionsmitteln (Art. 15).

    Der Begriff der „sozialen Marktwirtschaft“ gilt seit Gründung der Bundesrepublik Deutschland (BRD) am 23. Mai 1949 als positive Bezeichnung für das kapitalistische Wirtschaftssystem, das sich in der Systemkonkurrenz gegen das sozialistische System profilieren musste. Das aus öffentlichen und privaten Unternehmen gemischte Wirtschaftssystem produzierte jährlich einen immer höheren Wohlstand. Mit einer aktiven Wirtschafts- und Sozialpolitik sorgten die Regierungen lange Zeit für die Verteilung des wachsenden Wohlstandes auf alle - im Prinzip bis 1990.

    Deutsche Einheit: Grundgesetz auf Ostdeutschland ausgedehnt, Sozialstaat demontiert

    Die Systemkonkurrenz zwischen Kapitalismus und real existierendem Sozialismus wurde in den 90er Jahren abgelöst durch eine zunehmende Globalisierung, immer radikalere renditeorientierte Unternehmenspolitik sowie wachsende spekulativ ausgerichtete Finanzmärkte.

    Die Kräfte des Marktes wurden mit dem „Sieg“ des Kapitalismus über den Sozialismus ideologisch gefeiert. „Mehr Markt – weniger Staat“ und die „Selbstheilungskräfte des Marktes“ wurden zu Kampfbegriffen gegen den „Sozialstaat“ verwendet. Dabei wurden Gewerkschaften als Dinosaurier tituliert und eine aktive, auf Nachfragestärkung ausgerichtete Wirtschaftspolitik als nicht marktkonform diskreditiert.
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    Auf diese Weise führte die vorherrschende Politik seit der Jahrtausendwende bis heute zu einer gesellschaftlichen Spaltung:

    Auf der einen Seite steigt die Armut und immer mehr Menschen wissen nicht, wie sie über die Runden kommen sollen, auf der anderen Seite explodieren Gewinne und Kapitalrenditen.

    Auf der einen Seite schnellen Vorstandsbezüge und Boni in unangemessene Höhen, auf der anderen Seite werden Stellen gestrichen und ausgelagert, Gehälter unter Druck gesetzt und Tarifbindungen drastisch abgebaut.

    Auf der einen Seite kann der Staat mit seinen Steuereinnahmen Infrastruktur, Erziehung und Bildung, Gesundheit und bezahlbares Wohnen nicht mehr angemessen finanzieren, auf der anderen Seite steigt das private Vermögen jährlich und konzentriert sich in nur wenigen Familien.

    Auf der einen Seite äußern sich zwar immer noch sehr viele Menschen in Umfragen grundsätzlich zufrieden, auf der anderen Seite fühlen sich immer mehr Menschen ungerecht behandelt und abgehängt, obwohl der Reichtum der Volkswirtschaft jedes Jahr weiterwächst. Und die Abstiegsängste nehmen zu.

    Diese Politik hat zum Erstarken des Rechtspopulismus beigetragen

    Es mag makaber klingen: Aber mit der deutschen Einheit und der Ausdehnung des Grundgesetzes auf die ostdeutschen Bundesländer (dort besteht das Grundgesetz nun seit gut 33 Jahren) begann eine wirtschaftliche und soziale Entwicklung, die nicht mehr primär das Allgemeinwohl beinhaltet, sondern bei der im Gegenteil die radikalen Marktkräfte immer mehr zur Geltung gebracht wurden. Diese Politik der letzten 30 Jahre hat ganz wesentlich zur Entwicklung der „Zwei-Drittel-Gesellschaft“ sowie dem Erstarken des Rechtspopulismus und Rechtsextremismus beigetragen.

    Für die Wirtschafts- und Sozialpolitik lässt das Grundgesetz viele verschiedene Möglichkeiten zu. Bei der Fortsetzung der bisherigen Wirtschafts- und Sozialpolitik mit sturer Schuldenbremse und einseitiger angebotsorientierter Wirtschaftspolitik droht die Vertiefung der Spaltung der Gesellschaft in einerseits arm und abgehängt bzw. mäßig verdienend und andererseits reich bzw. superreich. Der Mittelstand würde dabei weiter zerbröseln - eine äußerst bedrohliche Entwicklung. Aber das Grundgesetz lässt auch eine gänzlich andere Wirtschafts- und Sozialpolitik zu – eine Politik, bei der die Steigerung des Allgemeinwohls im Mittelpunkt steht.

    Das Prinzip der Sozialpflichtigkeit des Eigentums beschreibt die soziale Verantwortung der Kapitaleigner gegenüber ihren Beschäftigten und der Gesellschaft. Das bedeutet, dass Kapitaleigner nicht das machen können, was sie allein für richtig halten, sondern dass auch soziale Aspekte immer zu beachten sind. Schließlich würden Unternehmer keine Rentabilität, keine Vermehrung ihres Kapitals erleben, wenn Beschäftigte nicht dafür arbeiten.

    Kapital ohne Arbeit ist tot. Deshalb ist die Übermacht der Unternehmer bei den wirtschaftlichen und sozialen Entscheidungen nicht legitimiert. Das Grundgesetz gibt mit der Sozialpflichtigkeit des Eigentums geradezu den Auftrag für eine möglichst weitgehende Existenzsicherung der Beschäftigten sowie wirklich gleichberechtigte Teilhabe an Entscheidungen im Betrieb und Unternehmen bzw. Konzern. Konkret kann das bedeuten:

    Sozialpflichtigkeit des Eigentums

    Ein gesetzliches Verbot betriebsbedingter Kündigungen, wenn Unternehmen Gewinne machen. Es ist grundgesetzlich nicht vertretbar, dass Kapitaleigner Beschäftigte entlassen oder mit Entlassung drohen, wenn ihre Investitionen zu Gewinnen führen. Das Verbot betriebsbedingter Kündigungen bei Gewinnen kann ganz einfach im Kündigungsschutz- und Betriebsverfassungsgesetz geregelt werden.

    Die Mitbestimmungsrechte von Beschäftigten, Betriebs- und Personalräten sowie Gewerkschaften sollten erweitert werden, um sicher zu stellen, dass Eigentümer keine Entscheidung gegen die Beschäftigten treffen können. Mindestens ist eine echte Parität in Betrieben und Unternehmen für alle Entscheidungen einzurichten mit einem fairen Lösungsmechanismus im Falle der Parität.

    Über die Ausweitung der Mitbestimmungsrechte auf betrieblicher und Unternehmensebene hinausgehend ist ein System der Wirtschaftsdemokratie zu generieren, in dem Wirtschafts- und Sozialräte die entsprechende Entwicklung in ihrer Region analysieren und Rahmenbedingungen für eine gute Zukunftsentwicklung entwickeln. Die Räte sind demokratisch aus allen Beteiligten der Region von Wirtschaft und Gesellschaft zusammengesetzt, sodass auf diese Weise das Allgemeinwohl zum Zuge kommen kann.

    Zur Entwicklung einer wirtschaftsdemokratischen Ordnung gehört auch die Förderung und Unterstützung von Genossenschaften bzw. dem gesamten gemeinwohlorientierten Wirtschaftsbereich. Hier gibt es viele Unternehmen, die unter Beachtung von Zielen zur Steigerung des Allgemeinwohls wirtschaften.

    Der Staat als handlungsfähiger Akteur zur Entfaltung des Allgemeinwohls

    Das Allgemeinwohl als Grundlage insbesondere der Wirtschafts- und Sozialpolitik erfordert, dass der Staat auch handlungsfähig ist. Bund, Länder und Kommunen benötigen ausreichend Einnahmen, um das Allgemeinwohl sicher zu stellen. Und wenn es seit geraumer Zeit erhebliche Probleme gibt mit fehlendem bezahlbaren Wohnraum, mangelhafter Infrastruktur, Missstände im Erziehungs- und Bildungs- sowie Gesundheitsbereich und die Transformation von Wirtschaft und Gesellschaft angesichts des Klimawandels sozial gestaltet werden soll, dann ist es ganz offensichtlich, dass die derzeitigen Steuereinnahmen in Höhe von mehr als 900 Mrd. Euro bei weitem nicht ausreichen, um auch nur ein angemessenes Fundament für die Entwicklung des Allgemeinwohls zu schaffen.

    Die Schuldenbremse wirkt als Zukunftsbremse und die öffentliche Armut ist angesichts des enormen privaten Reichtums, der bei nur wenigen Familien hochkonzentriert angesiedelt ist, ein Skandal. Die Abschaffung der Schuldenbremse und eine gerechte Besteuerung insbesondere der hohen Einkommen sowie der Millionen- und Milliardenvermögen liegt im Allgemeinwohl, weil es nicht nur der sozialen Gerechtigkeit dient, sondern auch den Staat im Interesse der Allgemeinheit handlungsfähig macht.

    Neben einer gerechten Steuerpolitik sollte der Staat bei der Erteilung von Subventionen nach dem Prinzip „Fördern und fordern“ vorgehen. Subventionen für bestimmte Wirtschaftsbereiche können durchaus sinnvoll sein. Wenn eine Regierung sich dafür entscheidet, dann sollte sie auch den Rückfluss regeln. Subventionen werden schließlich erteilt, damit Unternehmen Gewinne erwirtschaften. Und wenn das gelingt, dann kann das Unternehmen aus diesen Gewinnen den Subventionsbetrag ratenweise zurückerstatten. Es ist nicht nachvollziehbar, wenn die Risiken eines Unternehmens in einer schwierigen Wirtschaftslage sozialisiert werden, aber die späteren Gewinne privatisiert bleiben.

    Auch Vergesellschaftung dient grundsätzlich dem Allgemeinwohl. Wenn man hier das Prinzip zugrunde legt, dass elementare Bereiche der Daseinsvorsorge, der Existenzsicherung der Menschen, nicht dem Prinzip der Gewinnmaximierung unterliegen sollten, dann gehören Wohnungen und Energieerzeugung nicht in die Hand von Konzernen, dann dürfen mit Krankheit und Alter keine Gewinne erzielt werden.

    Die Lücke zwischen Verfassungsinhalt und Verfassungswirklichkeit zu schließen, bleibt eine große Herausforderung. Das sollten wir nicht vergessen, gerade vor dem Hintergrund, dass derzeit immer wieder von einer „Verteidigung der Demokratie“ die Rede ist.

    Uwe Foullong ist ver.di-Gewerkschafter und war Mitglied des Bundesvorstandes von 2004 bis 2011

    #Allemagne #constitution #démocratie #guerre #catastrophe_climatique #lutte_de_classes

  • Autoroute A69 : la manifestation prévue ce week-end dans le Tarn est interdite annonce Gérald Darmanin - ladepeche.fr
    https://www.ladepeche.fr/2024/06/04/autoroute-a69-la-manifestation-prevue-ce-week-end-dans-le-tarn-est-interdi


    Des nouvelles de la #démocratie.

    « Voici une nouvelle manifestation qui s’annonce extrême », a poursuivi Gérald Darmanin qui anticipe la venue dans le département de « 5 000 personnes dont 600 black blocs » entre vendredi et dimanche et rappelle que les précédentes mobilisations ont donné lieu « nombreux policiers et gendarmes blessés » et à la saisie d’armes par destination. « Douze unités de forces mobiles sont en route vers le département et les contrôles de zone ont déjà commencé », a affirmé le ministre.

  • Intersyndicale de l’ESR – Augmentation des frais d’inscription pour tou·tes, Macron fait payer la facture aux étudiant·es
    https://academia.hypotheses.org/56652

    Lundi 3 juin 2024 Depuis des années, le sujet de la hausse des frais d’inscription universitaires revient comme un serpent de mer dans le débat public. Après avoir augmenté les frais d’inscription pour les étudiant·es étranger·es – en les multipliant … Continuer la lecture →

    #Démocratie_universitaire #Gouvernance_de_l'ESR #Libertés_académiques_:_pour_une_université_émancipatrice #Opinions,_motions,_propositions,_expression_syndicale

  • Atelier d’Écologie Sociale et Communalisme
    https://ricochets.cc/Atelier-d-Ecologie-Sociale-et-Communalisme-7569.html

    Voici une association, un réseau, qui se base sur les travaux de Murray Bookchin (dont se sont inspirés les kurdes du Rojava). Des réflexions et actions très inspirantes pour chercher et construire des alternatives radicales crédibles, vivables et désirables au monde froid et dévastateur de l’Economie, de l’Etat et du capitalisme. Ce groupe est situé dans le Tarn. Il serait intéressant que des initiatives similaires essaiment dans d’autres régions. en guise de présentation : (...) #Les_Articles

    / #Ecologie, Démocratie directe, communes libres..., #Autonomie_et_autogestion

    #Démocratie_directe,_communes_libres...
    https://ecologiesocialeetcommunalisme.org
    https://ecologiesocialeetcommunalisme.org/feuille-de-route-du-reseau-ecologie-sociale-communali

  • Un petit métier du journalisme
    https://www.politis.fr/articles/2024/05/palestine-gaza-canard-enchaine-un-petit-metier-du-journalisme

    Et l’on croyait avoir entendu et lu, pendant ces sept mois, tellement d’horreurs – et de parfaites saloperies – que plus rien, pensait-on, ne pourrait encore nous scandaliser. Mais ça, c’était avant.

    Avant que Le Canard enchaîné ne publie, dans son numéro daté du mercredi 22 mai, un éditorial dans lequel son patron, Érik Emptaz, sermonnant vertement le procureur de la CPI, lui fait grief d’avoir « appliqué les mêmes chefs d’accusation » contre les dirigeants du Hamas, d’une part, et contre le Premier ministre israélien et son ministre de la Défense, d’autre part.

    Car selon maître Emptaz, qui gagne là des galons d’inoubliable moraliste : « Toutes les vies humaines se valent, mais toutes les façons d’entraîner la mort ne se valent pas. Il y a une différence fondamentale entre un acte clairement terroriste où des civils sont, en connaissance de cause, pris en otages, violés, massacrés, et un acte de guerre, fût-il meurtrier, mené par des militaires et qui vient en légitime défense des actes précédents. »

    Après avoir lu cela, vomissons un bon coup, et remémorons-nous qu’à chaque fois qu’un haut penseur ajoute un « mais » après l’affirmation que « toutes les vies humaines se valent », on peut s’attendre à le voir produire une monumentale dégueulasserie : ainsi fait Emptaz, qui nous rappelle aussi que l’obscénité peut des fois être un – tout – petit métier du journalisme.