• Emmanuel Macron : « Il faut aller plus loin que la loi El Khomri », Industrie lourde
    http://www.lesechos.fr/industrie-services/industrie-lourde/021958533853-macron-pour-relancer-lindustrie-il-faut-privilegier-linvestiss
    Notons, au passage, que le titre initial était
    Macron : « pour relancer l’industrie, il faut privilégier l’investissement plutôt que les salaires et les dividendes »
    Le nouveau est nettement plus vendeur.

    Je passe outre le message principal : après des années d’incurie, l’action du ministre commence à porter ses fruits, il faut la poursuivre
    #C'est_Macron_qu'il_nous_faut

    Je relève surtout ce passage totalement anti-européen

    Sur quels autres leviers peut-on agir pour relancer l’industrie française ?
    Le premier pilier, c’est d’assumer une politique de souveraineté dans les secteurs dans lesquels la place de l’Etat comme actionnaire se justifie, comme la défense ou l’énergie . Nous devons de même avoir une politique volontariste et défensive pour les filières indispensables à notre économie comme l’acier.

    Et son souhait de #dérèglementation_du_métier_de_politicien typique d’un #homo_novus

    Que répondez-vous à tous ceux qui, y compris dans la majorité, vous reprochent de consacrer beaucoup de temps à la politique, au détriment - disent-ils - de votre activité de ministre ?
    Ceux qui me reprochent cela n’ont pas compris que depuis ma nomination comme ministre, j’ai un rôle politique. Il n’y a pas, d’un côté, les ministres techniciens et, de l’autre, les grands politiques. La politique est la transformation du réel et j’attends, moi, que tous ceux qui, en réalité, font surtout de la politique politicienne disent comment ils proposent de transformer le pays ! J’assume totalement d’avoir créé un mouvement politique parce que je pense que c’est le seul moyen de restructurer l’offre politique française. Mon mouvement, En Marche !, me prend-il du temps sur mon temps de ministre ? Non, regardez mon agenda ! Tous ces reproches ne m’ébranlent pas. Au contraire, ils montrent que la politique est effectivement considérée par beaucoup de ceux qui en vivent comme une profession réglementée. C’est cela aussi que nous devons changer.