L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale
▻http://lewebpedagogique.com/grandtour/lhistorien-et-les-memoires-de-la-seconde-guerre-mondiale
#mémoire #WWII #deuxième_guerre_mondiale #seconde_guerre_mondiale #histoire
via @ville_en
L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale
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#mémoire #WWII #deuxième_guerre_mondiale #seconde_guerre_mondiale #histoire
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Un excellent blog pédagogique proposé par Laurent Gayme ! #ressources_pédagogiques
DVD « La dernière femme du premier train » de Daniel Friedmann - Communiqué de presse - Editions Montparnasse - La Culture en DVD, Blu-ray et VOD
▻http://www.editionsmontparnasse.fr/presse/communiques/la_derniere_femme_du_premier_train
Le portrait bouleversant, réalisé sur une quinzaine d’années, d’Hilda Hrabovecka, dernière survivante du premier train arrivé à Auschwitz le 26 mars 1942. Un film essentiel, digne et touchant pour comprendre la vie à l’intérieur des camps de concentration, mais aussi mettre en avant les rapports troubles entre le régime nazi et la Slovaquie (seul pays à avoir payé le Troisième Reich afin de déporter sa population juive).
Un documentaire à découvrir à l’occasion du 70e anniversaire de la libération des camps et de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
When a refugee fled in the other direction
As Europe balks at the influx of refugees from the Middle East, one woman recalls fleeing from the horrors of Stalin.
Livre | « Rosette, pour l’exemple »
▻http://asile.ch/2016/07/11/livre-rosette-lexemple
Rosette avait moins de 16 ans. En raison de son âge, elle n’aurait pas dû être expulsée selon les directives fédérales en vigueur. Directives à l’appui desquelles ses parents, qui se cachaient en France occupée, l’ont envoyée en Suisse, en septembre 1943. Accusée d’avoir eu une relation avec un autre réfugié au camp dans lequel […]
#livre #Suisse #Deuxième_guerre_mondiale #WWII #Seconde_guerre_mondiale #Rosette #frontières #histoire #Suisse #Genève #expulsion #renvoi #France #Juifs
@simplicissimus : un petit livre intéressant...
Années 40 : des écoles ont servi à trier les réfugiés
Genève a inauguré mercredi une plaque commémorative à l’école des #Cropettes. En 1943, l’armée y décidait du sort des réfugiés.
Mémoires de la frontière
Une frontière. Le destin, parfois tragique, de ceux qui tentaient de trouver refuge en #Suisse. Des hommes, des femmes et des enfants, dont plusieurs ont été retrouvés par les auteurs de ce film et dont l’histoire individuelle est révélatrice de ce que fut la politique d’asile de la Suisse pendant les années sombres de la guerre.
#film #documentaire
#frontières #refoulement #push-back #WWII #seconde_guerre_mondiale #deuxième_guerre_mondiale #asile #réfugiés #Juifs #réfugiés_juifs #migrations #Genève #fermeture_des_frontières #barbelés #migrerrance #xénophobie #Überfremdung #politique_d'asile #passeurs #histoire #push-back #no_man's_land #tri #camps_de_réfugiés
L’historienne Ruth Fivaz-Siblermann donne des #chiffres :
24’000 personnes ont franchi la frontière genevoise pendant cette période.
Parmi celle-là, 9800 Juifs.
2200 personnes ont été refoulées, dont nous avons les noms.
Parmi ces refoulés, 996 étaient Juifs.
118 Juifs ont été déportés ou fusillés.
Effet dissuasif de l’introduction de #visas : plus de 15’000 personnes ont demandé un visa pour entrer en Suisse pendant la guerre. Les visas leur ont été refusés.
Un long et très intéressant article (en russe) sur la participation des soviétiques (ici les kazakhs en particulier) durant la Seconde Guerre mondiale dans les rangs des combattants de la Résistance.
Казахские партизаны во Франции : Как казахи воевали в европейском движении Сопротивления
▻http://www.voxpopuli.kz/history/kazahskie-partizany-vo-francii-kak-kazahi-voevali-v-evropeyskom-dvizhenii-
Казахские партизаны во Франции: Как казахи воевали в европейском движении Сопротивления
#seconde_guerre_mondiale #kazakhstan #union_soviétique #résistance
Quando la Siria ospitava i rifugiati europei
Nei primi anni ’40, Aleppo (così come Nuseirat in Palestina e diverse località in Egitto) ha accolto migliaia di europei in fuga dagli orrori e dalle tragedie della seconda guerra mondiale.
#Syrie #réfugiés_européens #réfugiés #histoire #migrations #asile #WWII #Deuxième_guerre_mondiale
FMR | Migrants, réfugiés, histoire et précédents
▻http://asile.ch/2016/03/10/fmr-migrants-refugies-histoire-et-precedents
Les crises migratoires antérieures présentes de nombreuses caractéristiques dont les responsables politiques européens d’aujourd’hui pourraient tirer des enseignements utiles.
En cherchant plus d’infos sur le film signalé par @diekuh ici : ▻http://seenthis.net/messages/447921#message456215... Je suis tombée sur cette longue liste de #films, décrite comme :
Inter/transnational “B/black” Migration Clips and Film Recommendations (Language: English and/or Subtitled in English)
12/20/12
C’est une mine de suggestions...
▻http://h-net.msu.edu/cgi-bin/logbrowse.pl?trx=vx&list=h-afro-am&month=1212&week=c&msg=utCmle4gQyeFpRYI/EHlcg&user=&pw=
Il y a des films et des #documentaires en général sur les #Noirs, sur les #discriminations, sur les #migrations, sur l’#intégration, quelques-uns sur l’#Allemagne, sur l’#Afrique en général, sur les #Noirs de #Russie, sur l’#holocauste, sur la #Deuxième_guerre_mondiale (#WWII), sur #Haïti, sur l’#Italie...
cc @albertocampiphoto
Il y a ce film notamment :
Black Russians
BLACK RUSSIANS is a feature length documentary that investigates the lives of contemporary Afro-Russians aged 10 to 65, born and raised in Soviet Russia. Their experiences chronicle two ideological currents that have shaped major international events in the twentieth century: race and communism. Intimate interviews with a poet, a film producer, a reggae artist, a businessman and others, all Black and all Russian, guide us through this story of promise and non-discrimination. Archive images reveal rarely seen footage of Black political leaders in the Soviet Union, like Paul Robeson, Kwame Nkruma and Angela Davis. More than a decade after the ’fall of communism’ a new Russia struggles to steady itself in the wave of nationalism from within and the pressures of global capitalism from without. “Black Russians” constructs a deeply personal account of the effects of political issues such as migration, identity and loss on a minority community in the vast remains of the Soviet Union.
▻http://www.twn.org/catalog/pages/cpage.aspx?rec=725&card=price
#union_soviétique #URSS
#Mémoires_tsiganes, l’autre
Mémoires tsiganes, l’autre génocide, le documentaire d’Henriette Asséo, Idit Bloch et Juliette Jourdan raconte et explique méthodiquement le drame vécu par les populations tsiganes au XXe siècle, entre #marginalisation, #persécution et #extermination.
Avec ce film et le livret pédagogique, l’enseignant dispose d’un outil exceptionnel révélant enfin des mémoires tsiganes restées longtemps refoulées, occultées par la geste résistante et le génocide juif.
Inauguration d’une plaque commémorant un camp de réfugiés à Genève
Une #plaque commémorant l’utilisation d’un #camp_de_triage de l’armée pendant la #Deuxième_Guerre_mondiale a été inaugurée mercredi à Genève. Il s’agit d’une première en Suisse.
▻http://www.rts.ch/2016/01/27/20/32/7449927.image?w=1500&h=843
#Suisse #camp_de_réfugiés #mémoire #mémoriel #monument #Genève #histoire #Seconde_guerre_mondiale #Cropettes
cc @albertocampiphoto
« J’ai aidé des juifs à passer en Suisse »
A 89 ans, l’Italienne Antonietta Chiovini, de Verbania au bord du lac Majeur, témoigne pour la première fois de ses activités de résistante à la frontière suisse pendant la Seconde Guerre mondiale. Interview.
Le journal d’Anne Frank est entré dans le domaine public (malgré les menaces des avocats) et est publié : ▻http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2016/01/anne-frank.html ►http://isabelleattard.fr/blog/2015/12/vive-anne-frank-vive-le-domaine-public
Voir aussi ▻http://seenthis.net/messages/444431 ▻http://seenthis.net/messages/444144 ▻http://seenthis.net/messages/416339
Et, en français, l’article de Libération ►http://www.liberation.fr/futurs/2016/01/01/le-journal-d-anne-frank-librement-disponible-en-ligne_1423838
Plein d’autres blogueurs publient ce journal, pour rendre plus difficile la répression. C’est le cas par exemple de ►http://scinfolex.com/2016/01/01/liberer-anne-frank-pour-le-jour-du-domaine-public Je ne sais pas si quelqu’un tient une liste de ces sites alternatifs.
Ce que dit la fondation suisse « Anne Frank Fonds », érigée par son père Otto Frank en 1963.
▻http://www.annefrank.ch/234/items/dutch-court-confirms-that-manuscripts-diary-anne-frank-remain-protected-in
Cette fondation dit que Otto Frank est co-auteur parce qu’il aurait eu une influence sur le texte tel il a été publié. Du coup, vu qu’Otto est décédé en 1980, la fondation estime avoir les droits jusque 2050.
En même temps, une autre association « Anne Frank Stichting » basée à Amsterdam, explique contrairement qu’Otto Frank n’est pas co-auteur du journal original (les deux versions). Mais quelques passages seraient protégés un peu plus longtemps parce qu’ils ne sont apparus qu’en 1985.
L’association « Anne Frank Stichting » elle-même est aussi en conflit avec le « Anne Frank Fonds », parce que la première ne respecterait pas les droits d’auteur dans le cadre de ses recherches scientifiques.
▻http://www.annefrank.org/nl/Nieuws/Nieuwsberichten/2015/December/Verklaring
Otto Frank is niet de coauteur van de originele dagboekgeschriften van Anne Frank. Anne Frank is de enige auteur. Het verlopen van de auteursrechten op de dagboekgeschriften van Anne Frank verschilt van land tot land.
@Erratic La meilleure preuve de l’inanité des prétentions du Fonds des avocats est que les éditions imprimées du livre ne citent pas Otto (qui n’est d’ailleurs plus là pour confirmer les affirmations du Fonds).
Le journal d’Anne Frank joue un rôle important dans la lutte contre le racisme, en partie parce que c’est un témoignage direct d’Anne. En prétendant qu’Otto avait le copyright, le Fonds des Avocats, pour des raisons purement égoïstes, affaiblit l’inpact de cette œuvre :-(
’Diary of Anne Frank’ Published Online as #Copyright Expires
Famous Holocaust story now free for academic research after courts repeal Anne Frank Fonds foundation’s attempts to extend copyright to give royalties to charity.
@cdb_77 Non, pas seulement « for academic research ». Domaine public donc tous usages.
Par contre, aux USA, paradis des ayant-tous-les-droits, c’est pas gagné ▻https://blog.wikimedia.org/2016/02/10/anne-frank-diary-removal
What Americans thought of Jewish refugees on the eve of World War II
The results of the poll illustrated above by the useful Twitter account @HistOpinion were published in the pages of Fortune magazine in July 1938. Fewer than 5 percent of Americans surveyed at the time believed that the United States should raise its immigration quotas or encourage political refugees fleeing fascist states in Europe — the vast majority of whom were Jewish — to voyage across the Atlantic. Two-thirds of the respondents agreed with the proposition that “we should try to keep them out.”
La #Justice laisse fermé le dossier du massacre de tirailleurs sénagalais en 1944
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/151215/la-justice-laisse-ferme-le-dossier-du-massacre-de-tirailleurs-senagalais-e
La Commission d’instruction de la Cour de révision de la #Cour_de_cassation a rejeté la demande de révision du procès d’Antoine Abibou, condamné le 5 mars 1945 à dix ans de prison pour rébellion commise par des militaires armés. En fait de rébellion, l’histoire d’Antoine Abibou est celle d’un rescapé, survivant du massacre de #Thiaroye (Sénégal).
Citations tirées du très bon livre « Le miel » de Slobodan Despot :
« En arrivant à la hauteur de la sortie #Jasenovac, il éprouva un frisson. Jasenovac, c’était le célèbre camp de concentration croate où les oustachis, durant la #Seconde_Guerre_mondiale, avaient massacré à l’arme blanche des populations entières de Serbes de la Kranjina et de Bosnie. Chaque famille, dans la région de ses racines, avait vu quelqu’un des siens finir à Jasenovac. Les néomartyrs. C’était le nom que donnaient à ces malheureux les prêtres orthodoxes, évoquant une ville entière engloutie dans les fosses et le limon de la Save. Un afflux de chrétiens suppliciés comme le ciel n’en avait, soulignaient-ils, jamais vu depuis deux mille ans. D’après l’Eglise, le Jasenovac souterrain aurait été, peut-être, la deuxième ville serbe par son nombre d’habitants.
Ces visions pathétiques et macabres lui faisaient horreur. Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de les imaginer, ces milliers d’égorgés et d’assommés, entassés depuis un demi-siècle dans le sol, sous les fermes, sous la route, sous ses roues. Il se mit à trembler. Il était de leur sang, de leur tribu : raison suffisante pour finir comme eux sous ce régime grotesque qui s’obstinait à rejouer son passé dans una mascarada sanglante sur laquelle le monde entier fermait les yeux »
Slobodan DESPOT, Le miel, Gallimard, 2014, p.71.
« Lynyrd Skynyrd. Sweet Home Alabama. Un morceau qui avait bercé son adolescence, et qu’il n’avait plus entendu depuis. En un instant, comme à l’heure dernière, il revécut toutes ces vacances d’été vagabondes, sous les tentes et dans le spins. On sautait avec trois sous en poche et le sac au dos dans des trains bondés pour n’importe quelle destination côtière, on se rassemblait au coin du feu autour de mauvaises grattes, on chantait faux des chants dj’ici et d’Amérique. On était en Yougoslavie, un pays sûr, décontracté, prestigieux. On était non aligné, ouvert au monde entier. On allait partout, et sans visa. La jeunesse y faisait ce qu’elle voulait… Cocagne ! Et lui, maintenant, il roulait sur cette autouroute déserte avec ce chien de garde qui allait peut-être le fusiller tout à l’heure, juste à cause de son origine.
Une origine à laquelle, du temps de cette musique, il ne songeait même pas ! Si on lui avait dit, alors, que ses camarades de camping n’étaient pas de la même ethnie que lui ! Quelle rigolade ! Même les Macédoniens et les Slovènes étaient de ’nôtres’ ; du reste, ils parlaient tous serbo-croate… »
Slobodan DESPOT, Le miel, Gallimard, 2014, p.75.
#Yougoslavie #Deuxième_guerre_mondiale #Seconde_guerre_mondiale #spomeniks
cc @albertocampiphoto
A Jasenovac il y a maintenant un #spomenik :
v. également la recension de Sylvain Thévoz :
Le Miel est un roman intense et sensuel, doté d’une langue riche qui raconte les pérégrinations d’une famille serbe déplacée de sa région de la Krajina durant la guerre d’ex-Yougoslavie. La famille fuit devant les combats, mais le père Nikola reste à l’arrière refusant de quitter ses ruches et sa terre. Les fils ne s’aperçoivent que tardivement de l’absence du paternel ; un des fils, Vesko, décide alors, dans un road-récit haletant d’aller le rechercher derrière les lignes croates, utilisant pour cela l’appui d’un russe. Plongés dans ces pages dans la guerre, avec la peur, la violence, sa dimension ethnique, voyant le conflit à travers les yeux du fils Vesko, on y découvre de l’intérieur un paysage changé, trouble, aux frontières mouvantes. Le Miel est un roman habité d’une dimension spirituelle, mystique presque mais très... politique aussi.
▻http://commecacestdit.blog.tdg.ch/archive/2014/01/21/le-miel-252105.html
Croatie : boycott généralisé des commémorations de Jasenovac
Une semaine avant les commémorations officielles de la libération du camp oustachi de Jasenovac, le 22 avril, les défections se multiplient : après les associations juives et le Conseil populaire serbe, certaines rumeurs évoquent à présent l’ancien Premier ministre Milanović, qui pourrait bien lui aussi préférer se rendre à une cérémonie alternative.
Croatie : le gouvernement bien seul aux commémorations de l’insurrection du camp de Jasenovac
Le gouvernement croate était là, au quasi-grand complet, mais bien seul. Le Conseil national serbe, les représentants de la communauté juive de Croatie et les organisations antifascistes ont en effet boycotté les commémorations officielles de l’insurrection du camp de concentration de Jasenovac.
▻http://www.courrierdesbalkans.fr/le-fil-de-l-info/croatie-le-gouvernement-bien-seul-aux-70-ans-de-la-liberation-de-
Seconde Guerre mondiale : deux rescapés rroms du camp de concentration de Jasenovac témoignent
Ils sont peu nombreux à avoir échappé à l’enfer du camp de concentration oustachi de Jasenovac et à être encore en vie aujourd’hui pour pouvoir témoigner. Nadir et Fatima Dedić, deux Rroms originaires de Bosanska Gradiška, en Bosnie, étaient encore des enfants quand ils ont été déportés. Ils ont pourtant survécu. Rencontre avec deux rescapés.
Legendary photographer Ansel Adams visited a Japanese internment camp in 1943, here’s what he saw
In 1943, Ansel Adams set out to document life inside the Japanese-American internment camp at the Manzanar War Relocation Center in California. It was a departure for Adams, who at the time was known as a landscape photographer and not for social-documentary work. When Adams offered this collection of images to the Library of Congress, he said, “The purpose of my work was to show how these people, suffering under a great injustice, and loss of property, businesses and professions, had overcome the sense of defeat and dispair [sic] by building for themselves a vital community in an arid (but magnificent) environment….All in all, I think this Manzanar Collection is an important historical document, and I trust it can be put to good use.”
#Japon #histoire #camp_d'internement #photographie #WWII #Deuxième_guerre_mondiale #Seconde_guerre_mondiale
cc @albertocampiphoto
Une rareté : la photo de Vidkun Quisling, le Pétain norvégien, quelques minutes avant son exécution. Afteposten proposeun grand reportage sur celui qui a dirigé la Norvège pour le compte des Nazis entre 1940 et 1945. Dommage que ce soit en Norsk, c’est historiquement passionnant.
Dette ukjente bildet viser Quisling kort tid før henrettelsen - Aftenposten
▻http://www.aftenposten.no/amagasinet/Dette-ukjente-bildet-viser-Quisling-kort-tid-for-henrettelsen-8215067.ht
13. oktober 1945. Høyesterettsdommer Sigurd Fougner leser opp kjennelsen. Den er enstemmig. Anken fra lagmannsretten avvises blankt. Tiltalte Vidkun Abraham Laurits Quisling dømmes til døden for å ha samarbeidet med tyskerne da Norge ble overfalt 9. april 1940. Han utnevnte seg selv som regjeringssjef, foretok et statskupp over radio og tilbakekalte mobiliseringsordre. Han oppfordret til krigsinnsats for tyskerne og dannet en nasjonal regjering 1. februar 1942. Han medvirket til deportasjon av norske jøder til Auschwitz og var medansvarlig for henrettelser av nordmenn.
Cette photographie, comme toutes celles de ce genre, est glaçante. Cela renvoie toujours au chapitre sur les temps d’une photographie dans la Chambre claire de Roland Barthes, celui qui prend racine avec la photographie de Stuart Alexander.
En 1865, le jeune Lewis Payne tenta d’assassiner le Secrétaire d’Etat américain W.H. Seward. Alexander Gardner l’a photographié dans sa cellule ; il attend sa pendaison. La photo est belle, le garçon aussi : c’est le studium . Mais le punctum , c’est : il va mourir. Je lis en même temps : cela sera et cela a été ; j’observe avec horreur un futur antérieur dont la mort est l’enjeu. En me donnant le passé absolu de la pose ( aoriste ), la photographie me dit la mort au futur. Ce qui me point c’est la découverte de cette équivalence. Devant la photo de ma mère enfant, je me dis : elle va mourir : je frémis, tel le psychotique de Winnicot, d’une catastrophe qui a déjà eu lieu. Que le sujet en soit la mort ou non, toute photographie est cette catastrophe.
Dans le cas de Vidkun Quisling, cela n’adoucit rien de se dire qu’il ne l’avait sans doute pas volé. J’étais tombé une fois sur une photographie de la pendaison de Rudolf Höss depuis la potence même à laquelle il avait fait pendre tant et tant de personnes, à quelques mètres de la première des chambres à gaz d’Auschwitz, il y a chaque fois dans de telles images une atmosphère effroyable, due en grand epartie parce que l’on sait, on le sait au delà même du contexte, que la personne photographiée n’est plus.
Et c’est évidemment insoutenable, par exemple, dans le cas des photographies de S21
Et finalement, l’effet lointain de la silhouette de Vidkun Quisling n’atténue rien. Une silhouette reste la représentation, même minimale, d’un être humain. Et de celui-là plutôt qu’un autre. Ce qui dans le cas présent renvoie aux quatre photographies des Sonderkommandos
Les images de personnes qui vont mourir mais dont on sait que justement elles sont mortes au moment où on les voit sont effectivement extrêmement troublantes. Et c’est comme si on le savait, en dehors de tout contexte.
J’imagine que le palier suivant c’est le snuff movie .
RTS, Forum | Retour sur l’accueil suisse des enfants français durant la 2ème guerre mondiale
▻http://www.asile.ch/vivre-ensemble/2015/09/23/rts-forum-retour-sur-laccueil-suisse-des-enfants-francais-durant-la-2eme-guerr
Focus sur la 2e guerre mondiale avec une page d’histoire peu connue : quand la Suisse a ouvert très largement ses frontières, non pas aux réfugiés juifs qui fuyaient les persécutions nazies, mais aux enfants français. Jusqu’à 15’000 ont été accueillis par des familles suisses d’abord pour fuir les privations de la guerre et ensuite pour échapper aux combats de la libération en 1944.
Wartime ‘people smugglers’ finally feted as heroes
A small group of young men and women in Switzerland and occupied France defied the Nazis by smuggling weapons, microfilm and Jews across a vast forest separating the two countries. More than 70 years later, a memorial has been unveiled in their honour.
Accueil des réfugiés : quand l’ombre de « la conférence de la honte » de 1938 plane sur l’Europe de 2015
►http://www.bastamag.net/Accueil-des-refugies-quand-l-ombre-de-la-conference-de-la-honte-de-1938-pl
L’Europe a-t-elle réellement avancé en soixante-dix ans ? Sur sa capacité à accueillir des réfugiés fuyant guerres et persécutions, on peut décemment se poser la question tant les tergiversations d’aujourd’hui rappellent celles d’avant-guerre. Il s’agissait alors d’accueillir des dizaine de milliers d’Allemands et d’Autrichiens fuyant le nazisme. Si les situations ne sont pas superposables, la question des réfugiés, omniprésente depuis les naufrages du printemps 2015, les réticences de certains, et la (...)
/ A la une, #Europe, #Mémoires, #Migrations, #Droits_fondamentaux
Comme c’est confortable de commémorer sans cesse avec effusions publicitaires le génocide des juifs, en grande amitié avec ceux, parmi les juifs, qui ont du pouvoir, de l’argent et des réseaux, et avec l’état d’Israël puissant et armé jusqu’au dents.
Cela permet de faire oublier qu’aujourd’hui on collabore très activement avec les fabricants d’armes, et avec les pays les plus guerriers sur la planète, tout en stigmatisant et en harcelant les nouveaux parias des temps modernes : les Rom et les Migrants.
Réfugiés
Aurel, Le Monde, le 10 septembre 2015
▻http://aurel.blog.lemonde.fr/2015/09/10/refugies
L’Europe et les Migrants
Chappatte, Yahoo News, le 27 août 2015
#Aurel #Josep_Bartoli #Chappatte #Migrants #Europe #Espagne #dessins
@sinehebdo... c’est #Chappatte, avec deux « t »
:-)
#dessin_de_presse #barbelé #migrations #asile #réfugiés #Forteresse_Europe #EU #Europe
Our treatment of today’s refugees harks back to Europe’s darkest hour
We mustn’t forget the lessons of the Second World War in the face of today’s refugee crisis, says Molly Scott Cato.
▻http://www.newstatesman.com/politics/staggers/2015/08/our-treatment-todays-refugees-harks-back-europes-darkest-hour
#réfugiés #asile #migrations #histoires #WWII #deuxième_guerre_mondiale #seconde_guerre_mondiale
Porajmos, l’olocausto dei rom
2 agosto. 71 anni fa, il 2 agosto 1944, tutti i 2.897 rom dello Zigeunerlager di Auschwitz-Birkenau furono inghiottiti nei forni crematori. Il 15 aprile del 2015, il Parlamento Europeo ha votato una risoluzione, che ricordando i 500.000 rom sterminati dai nazisti e da altri regimi» adotta il 2 agosto come «giornata europea della commemorazione dell’olocausto dei rom».
Il 15 aprile del 2015, il Parlamento Europeo ha votato una risoluzione per adottare il 2 agosto come «giornata europea della commemorazione dell’olocausto dei rom». La risoluzione ricorda: «I 500.000 rom sterminati dai nazisti e da altri regimi (…) e che nelle camere a gas nello Zigeunerlager (campo degli zingari) di Auschwitz-Birkenau in una notte, tra il 2 e il 3 agosto 1944, 2.897 rom, principalmente donne, bambini e anziani, sono stati uccisi».
Si ricorda altresì che in alcuni paesi fu eliminata oltre l’80% della popolazione rom. Secondo le stime di Grattan Pruxon, morirono 15.000 dei 20.000 zingari tedeschi, in Croazia ne sono uccisi 28.000 (ne sopravvivono solo in 500), in Belgio 500 su 600, ed in Lituania, Lussemburgo, Olanda e Belgio lo sterminio è totale, il 100% dei rom.
La studiosa Mirella Karpati riporta che la maggior parte dei rom polacchi fu trucidata sul posto dalla Gestapo e dalle milizie fasciste ucraine, le quali, in molti casi, uccidevano i bambini fracassando le loro teste contro gli alberi. Le testimonianze raccolte dalla Karpati sui crimini dei fascisti croati (gli ustascia) sono altrettanto aggancianti: donne incinta sventrate o a cui venivano tagliati i seni, neonati infilzati con le baionette, decapitazioni, ed altri orrori ancora. Per tali motivi i rom sloveni e croati oltrepassavano clandestinamente il confine con l’Italia, ma finivano in uno dei 23 campi di prigionia loro riservati e sparpagliati sull’intera penisola.
La risoluzione del Parlamento europeo prima citata considera l’«antiziganismo» come «un’ideologia basata sulla superiorità razziale, una forma di disumanizzazione e razzismo istituzionale nutrita da discriminazioni storiche». Il rom funge da sempre il capro espiatorio, a cui negare il suo carattere europeo, per farne una sorta di straniero interno (nonostante le loro comunità, e gli stessi termini rom e zingaro, si siano formati in Europa tra il 1300 ed il 1400).
I nazisti-fascisti hanno perfezionato le politiche europee anti-rom dei secoli XVI e XIX. Come ricorda l’antropologo Leonardo Piasere, il maggior numero degli editti anti-rom dell’epoca moderna furono emanati dagli stati preunitari tedeschi ed italiani. Forse non è un caso, ma saranno proprio Germania ed Italia, secoli dopo, a pianificare l’olocausto rom, oltre che quello ebraico. Secondo Stefania Pontrandolfo, in Italia, tra il 500 e il 700, ad applicare con più zelo tali editti furono gli Stati del Nord, contro una certa tolleranza del Meridione.
«Puri o impuri, comunque asociali»
I nazisti, ossessionati com’erano dalla presunta razza ariana, si erano interessati ai rom a causa della loro origine indiana. Li classificarono in quattro categorie, secondo il loro grado di «purezza» o «incrocio» con i non rom. Alla fine ritennero che tutti rom, puri o impuri che fossero, erano «asociali». Da qui la decisione della loro eliminazione. I bimbi rom (ed ebrei) deportati nei campi di sterminio erano vittime di esperimenti sadici: iniezione d’inchiostro negli occhi; fratture delle ginocchia, per poi iniettare nelle ferite ancora fresche i virus della malaria, del vaiolo e d’altro ancora.
Anche in Italia, come riporta Giovanna Boursier, con “il manifesto della razza” del 1940, l’antropologo fascista Guido Landra, inveiva contro «il pericolo dell’incrocio con gli zingari» che definiva randagi e anti-sociali. Ma già nel 1927 il Ministero dell’interno, ricorda sempre la Boursier, emanava direttive ai prefetti per «epurare il territorio nazionale» dagli zingari e «colpire nel suo fulcro l’organismo zingaresco».
Gli studiosi Luca Bravi, Matteo Bassoli e Rosa Corbelletto, suddividono in quattro fasi le politiche fasciste anti-rom e sinti (popolazioni di origine rom, ma che si autodefiniscono sinti e che vivono tra sud della Francia, nord Italia, Austria e Germania): tra il 1922 e il 1938 vengono respinti ed espulsi rom e sinti stranieri, o anche italiani ma privi di documenti; dal 1938 al 1940 si ordina la pulizia etnica di tutti i sinti e rom (anche italiani con regolari documenti), presenti nelle regioni di frontiera ed il loro confino a Perdasdefogu in Sardegna; dal 1940 al 1943 i rom e sinti, anche italiani sono rinchiusi in 23 campi di concentramento; dal 1943 al 1945 vengono rom e sinti sono deportati nei campi di sterminio nazisti.
La prima fase è segnata da una politica al tempo stesso xenofoba e rom-fobica, per cui si colpiscono quei rom, colpevoli di essere sia zingari che stranieri. In seguito si passa a reprime anche i rom italiani. Inoltre, dalla prigioniera nel campo si passa all’eliminazione fisica.
Grazie alle ricerche della Karpati, sappiamo che nei 23 campi in Italia le condizioni di vita erano molto dure. Racconta una donna: «Eravamo in un campo di concentramento a Perdasdefogu. Un giorno, non so come, una gallina si è infiltrata nel campo. Mi sono gettata sopra come una volpe, l’ho ammazzata e mangiata dalla fame che avevo. Mi hanno picchiata e mi son presa sei mesi di galera per furto».
Giuseppe Goman a 14 anni fu rinchiuso nel campo nei pressi di Agnone e i fascisti lo vollero fucilare per aver rubato del cibo in cucina, ma all’ultimo momento la pena fu commutata in «bastonature e segregazione». Nel campo di Teramo invece, un tenente dei carabinieri ebbe cosi pietà di quei «rom chiusi in condizioni miserevoli, che dormivano per terra con mangiare poco e razionato (…) che permise alle donne di andare ad elemosinare in paese. Nel campo di Campobasso, Zlato Levak ricorda: «Cosa davano da mangiare? Quasi niente. Il mio figlio più grande è morto nel campo. Era un bravo pittore e molto intelligente».
Per i rom italiani, l’essere rinchiusi nei campi di prigionia, non per aver commesso un reato, ma per la loro identità, fu uno shock. E pensare, che a causa della leva obbligatoria, gli uomini avevano servito nell’esercito durante la grande guerra o nelle colonie. Sarà forse per questo trauma, che molti di loro hanno una certa reticenza ad affermare in pubblico la propria identità, ed infatti l’opinione pubblica italiana ignora che dei circa 150.000 rom e sinti presenti in Italia, ben il 60–70% sono italiani da secoli e sono per lo più sedentari. Ignoriamo anche le vicende di molti rom, che fuggiti dai campi, si unirono alle formazioni partigiane e che alcuni di essi furono fucilati dai fascisti.
Luca Bravi e Matteo Bassoli fanno notare che il Parlamento italiano ha approvato nel 1999 la legge sulle minoranze storiche linguistiche (riconoscendone 12) «solo dopo aver stralciato l’inserimento delle comunità rom e sinti» (tra le più antiche d’Italia, dove sono presenti dal XIV secolo).
La nostra rimozione
La rimozione del nostro contributo ideologico e pratico all’olocausto dei rom, s’inserisce in un’operazione di oblio ben più ampia, che tocca anche i nostri crimini di guerra sotto il fascismo in Africa ed ex Jugoslavia. Come ben spiegato nel documentario Fascist Legacy della BBC, tali crimini non furono compiuti non solo dalle camicie nere, ma anche da soldati e carabinieri, tanto che lo stesso Badoglio era nella lista dei primi 10 criminali di guerra italiani da processare. Il processo non si è mai svolto, grazie al cambio di alleanza nel 1943 e al nostro contributo di sangue alla lotta nazi-fascista.
Ma il paradosso resta: #Badoglio il primo capo di governo dell’Italia anti-fascista era stato un criminale di guerra agli ordini di Mussolini. La Legge 20 luglio 2000 sulla «memoria», parla si di olocausto ma non di rom. Su iniziativa dell’on. Maria Letizia De Torre le persecuzioni fasciste contro i rom sono finalmente ricordate dalla Camera dei Deputati in un ordine del giorno nel 2009. E pensare che il parlamento tedesco aveva riconosciuto l’olocausto rom già nel 1979, e nel 2013 una poesia del rom italiano Santino Spinelli (il cui padre fu internato dai fascisti) è incisa sul monumento eretto a Berlino.
Molti studiosi ed associazioni, per definire l’Olocausto rom, hanno adottato il termine porajmos, che in romanes significa «divoramento». Fu introdotto nel 1993 dal professore rom Ian Hancock dell’università del Texas, che lo sentì da un sopravvissuto ai campi di stermino. Il linguista Marcel Courthiade, esperto di romanes, ha proposto in alternativa samudaripen (tutti morti). Per amore del vero, va precisato, che il rom comune, che spesso non s’identifica nelle tante associazioni nazionali o internazionali rom e di non rom, e che resta lontano dai dibattitti accademici, non utilizza alcuno di questi termini.
Il ricordo di Pietro Terracina
Eppure quando pensiamo al 2 agosto 1944, quando tutti i 2.897 rom dello #Zigeunerlager di Auschwitz-Birkenau furono inghiottiti nei forni crematori, ecco che sia «divoramento» che «tutti morti», ci appaiono così adatti ed evocativi. Ma perché ucciderli tutti in una sola notte? Forse si trattò di una punizione, poiché pochi mesi primi, armati di mazze e pietre, i rom si ribellarono, mettendo in fuga i nazisti.
Testimone oculare della notte del 2 agosto fu l’ebreo italiano Pietro Terracina, che ha raccontato a Roberto Olia : «Con i rom eravamo separati solo dal filo spinato. C’erano tante famiglie e bambini, di cui molti nati lì. Certo soffrivano anche loro, ma mi sembrava gente felice. Sono sicuro che pensavano che un giorno quei cancelli si sarebbero riaperti e che avrebbero ripreso i loro carri per ritornare liberi. Ma quella notte sentii all’improvviso l’arrivo e le urla delle SS e l’abbaiare dei loro cani. I rom avevano capito che si prepara qualcosa di terribile.
Sentii una confusione tremenda: il pianto dei bambini svegliati in piena notte, la gente che si perdeva ed i parenti che si cercavano chiamandosi a gran voce. Poi all’improvviso silenzio. La mattina dopo, appena sveglio alle 4 e mezza, il mio primo pensiero fu quello di andare a vedere dall’altra parte del filo spinato. Non c’era più nessuno.
Solo qualche porta che sbatteva, perché a #Birkenau c’era sempre tanto vento. C’era un silenzio innaturale, paragonabile ai rumori ed ai suoni dei giorni precedenti, perché i rom avevano conservato i loro strumenti e facevano musica, che noi dall’altra parte del filo spinato sentivamo. Quel silenzio era una cosa terribile che non si può dimenticare. Ci bastò dare un’occhiata alle ciminiere dei forni crematori, che andavano al massimo della potenza, per capire che tutti i prigionieri dello Zigeunerlager furono mandati a morire. Dobbiamo ricordare questa giornata del 2 agosto 1944».