• Les intox de Manuel Valls sur Clémentine Autain et les Frères musulmans
    http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/12/16/les-intox-de-manuel-valls-sur-clementine-autain-et-les-freres-musulmans_5050

    Ce n’est pas nouveau, Manuel Valls n’apprécie guère Clémentine Autain. L’élue régionale et figure de la gauche de la gauche est souvent accusée par le PS d’être « islamo-gauchiste », un terme visant une gauche accusée de se compromettre avec les islamistes.

    Mais M. Valls a franchi un nouveau pallier, jeudi 15 décembre sur France Inter, en accusant Mme Autain de « passer des accords avec les Frères musulmans », groupe islamiste actif notamment en Egypte, mais aussi très prosélyte, duquel est proche le théologien Tariq Ramadan, et qui est également lié, en France, à l’Union des organisations islamistes (UOIF).

    Attaquée à nouveau sur le même thème des compromissions avec l’islam radical, mais cette fois par Jean-Marie Le Guen, alors secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, Mme Autain publiera une nouvelle tribune en avril, dans Le Monde, pour démentir ces accusations une nouvelle fois :

    « Que signifie “islamo-gauchiste” ? Jamais je n’ai défendu le “différentialisme culturel”, je suis profondément universaliste et laïque mais je défends la mixité culturelle, comme une richesse. »

    Le 22 mai, Manuel Valls revient à la charge, évoquant sur Radio J « ces ambiguïtés, avec Les Indigènes de la République, les discussions avec Madame Clémentine Autain et Tariq Ramadan, ambiguïtés entretenues qui forment le terreau de la violence et de la radicalisation ».

    Mme Autain se défend une nouvelle fois devant ces accusations, assurant sur France Info : « Je n’ai jamais de ma vie rencontré Tariq Ramadan, je ne le connais pas ».

    Je trouve assez révélateur que ces machos de la gauche dyslexique s’en prennent à Clémentine Autain.
    #sexisme #femonationalisme #gauche_dyslexique #islamo_gauchsime #racisme #féminisme #calomnie #diffamation #domination_masculine

  • Accaparement des Terres : Bolloré nie Toujours - LaTeleLibre.fr
    http://latelelibre.fr/reportages/accaparement-terres-bollore-nie-toujours

    « Selon moi, l’objectif du groupe est d’intimider quiconque parle de ce que fait Bolloré en Afrique et en Asie », explique le journaliste et rédacteur en chef Yvan du Roy. Et ça marche, puisque « les rédactions avec les chefs les plus frileux n’en parlent pas, parce que tout le monde sait ce qui les attend… ». De l’argent (10 000 euros pour Bastamag sur un budget total de 350 000), et du temps. En plus d’une pression lorsque les médias (nombreux) appartiennent en partie à Bolloré (dont Bastamag ne fait bien sûr pas partie…)

    #censure #intimidation #judiciarisation #diffamation #média #démocratie

    • En France, on ne présente plus Vincent Bolloré. Les activités de son groupe sont variées : du transport aux infrastructures portuaires en passant par la logistique, la société s’est également récemment diversifiée dans la communication (Havas, Direct Matin…). Le groupe Bolloré détient également des participations importantes au sein de Vivendi, dont les activités incluent par exemple Universal Music Group ou le Groupe Canal+. A la tête d’une des plus grandes fortunes françaises, Vincent Bolloré s’est bâti une réputation d’homme d’affaires « sans scrupules ».

      Mais depuis quelques années, il tente parallèlement de se construire une image plus positive notamment en affirmant sa volonté de « concilier performance économique et engagements sociaux, sociétaux et environnementaux » : production de véhicules électriques, réduction de l’empreinte environnementale du groupe, adoption de chartes et de codes environnementaux… Il s’efforce également de cultiver des liens avec des personnalités impliquées dans le débat sur l’environnement, en parrainant par exemple la fondation de Maud Fontenoy ou en s’affichant aux côtés de la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme. L’entreprise Blue Solutions du groupe Bolloré faisait ainsi partie des partenaires officiels de la COP21 à Paris.

      Lire l’article intégral :
      https://blogs.mediapart.fr/joel-didier-engo/blog/100616/accaparement-des-terres-la-reponse-de-complement-denquete-vincent-bo

      ou aussi :
      http://forets.greenpeace.fr/bollore-zero-deforestation

  • L’assassinat du juge #Borrel, un scandale judiciaire sans fin
    https://www.mediapart.fr/journal/france/241116/l-assassinat-du-juge-borrel-un-scandale-judiciaire-sans-fin

    La #Cour_de_cassation rouvre ce vendredi 25 novembre le dossier Bernard Borrel, l’un des plus sombres de notre #Justice. Une plainte pour faux en écriture publique vient par ailleurs d’être déposée après la destruction inexplicable de scellés criminels.

    #France #affaire_Borrel #Assassinat #CEDH #Diffamation #Djibouti #Guelleh #Le_Loire #magistrature #Moracchini #Morice

  • #Niger : polémique sur un projet de mise en bail de terres agricoles
    http://www.voaafrique.com/a/niger-polemique-sur-un-projet-de-mise-en-bail-de-terres-agricoles/3490883.html

    Les élus de la région de Diffa ont donné leur aval au projet d’une société saoudienne, alors que le gouvernement temporise et que des organisations de la société civile crient à l’accaparement des espaces de culture.

    C’est à travers une de ses succursales dénommée Niger Rivers...

    Tant qu’à faire, des terres proches du Lac Tchad. Par ailleurs, j’ai remarqué que certaines sociétés étrangères qui accaparent des #terres portent des noms locaux, histoire de noyer le poisson, enfin d’essayer.

  • Niger’s forgotten war: Fleeing from violence with nowhere to go

    “I must leave everything in God’s hands now.”

    That was the final sentence of a conversation I had with Chief Ibrahim, from a town in the south of Niger on the border with Nigeria. A month ago, he was forced to uproot his town of 3,000 people and move them north, further into Niger and away from the border. Increased attacks by militants from the Nigerian side of the border have spiraled the region of #Diffa into a state of emergency, with the Niger government forcibly relocating towns judged to be at high risk because of their proximity to the border.

    http://reliefweb.int/report/niger/niger-s-forgotten-war-fleeing-violence-nowhere-go
    #Niger #asile #migrations #réfugiés #conflit #guerre

  • Mais qui est ce Mexicain qui meurt dans tous les attentats ?
    http://observers.france24.com/fr/20160629-mexicain-mort-tous-attentats-hoax-cyber-harcelement-ist

    Vous avez peut-être vu cette #photo circuler sur Internet récemment : cet homme a été présenté comme l’une des personnes ayant été tuée dans l’attentat survenu mardi soir à l’aéroport Atatürk d’Istanbul. Mais il a aussi été présenté comme une victime du crash Egypt Air le mois dernier. Et de beaucoup d’autres drames récents. Or il est bien vivant, et derrière ce visage se cache une histoire rocambolesque venue du Mexique, qui pose la question des limites de la diffamation sur #Internet.

    #image #diffamation

  • Dénoncer Baupin est une oeuvre de salubrité publique - Authueil
    http://authueil.org/?2016/05/09/2328-denoncer-baupin-est-une-oeuvre-de-salubrite-publique

    En cela, l’affaire Baupin est salutaire, car elle met tout le monde devant la réalité, avec des faits clairs, explicites, et malheureusement, dans la « normalité » de ce qui se pratique chez un certain nombre d’hommes politiques. Ces faits restent cachés, car les victimes se taisent, avec malheureusement de très bonnes raisons de le faire (garder son job, pouvoir continuer à faire carrière...) et quand des poursuites sont engagées, elles s’enlisent dans les méandres de la procédures judiciaires, qui est trop souvent favorable aux harceleurs. C’est à la victime de faire la preuve et les temps de la #justice sont très longs, et la prescription si courte. Ce n’est malheureusement pas de ce coté que les victimes peuvent trouver du secours. Il va sans dire que tout témoignage en dehors d’une procédure judiciaire fait l’objet d’un procès en #diffamation, menace dissuasive pour une victime isolée.

    #harcèlement #domination

  • Nantes Révoltée - Exclusif : notre #enquête sur le #journalisme...
    https://www.facebook.com/Nantes.Revoltee/photos/a.336512019718311.70910.294803323889181/1011968875505952/?type=3

    Exclusif : notre enquête sur le journalisme policier

    Tu as peut-être vu passer dans Ouest France, quotidien local de référence, un article sur Nantes Révoltée. Ta page préférée y était accusée – sans rire ! – d’être un groupuscule paramilitaire composé de « lieutenants » appartenant au « bras armé de l’ultra gauche qui tire les ficelles » des manifestations. Rien que ça ! Dans le registre des flatteries, la page est également présentée comme donnant « le ton » des jolies #manifestations qui secouent la ville depuis deux mois.

    Ne te méprends pas, il ne s’agit pas d’une #interview naïvement accordée à la presse dominante mais un test. Une #expérience sociale et politique menée par les petits filous de l’équipe de Nantes Révoltée. En effet, Ouest France est régulièrement accusé d’être un journal au service de la #police. N’écoutant que notre courage, nous avons voulu obtenir une (nouvelle) confirmation. Voici notre enquête.

    Pendant deux semaines, Laura Jarry, journaliste chez Ouest France encombre la messagerie de Nantes Révoltée en ces termes : « je souhaite réaliser un papier sur les pages nantaises en ligne de lutte et #résistance », elle ne reçoit pour seule réponse qu’un silence gêné.
    Presque quotidiennement, alors qu’elle n’obtient aucun retour, la journaliste harcèle notre équipe avec des messages mielleux de ce type : « Nous tenons véritablement à avoir une discussion avec vous : votre présence en ligne est plus qu’importante aux yeux des Nantais, notamment de la jeune génération ». Après une série d’échecs, la même journaliste joue la carte de la pluralité : « Je me permets d’insister. Souhaitant donner la parole à tous, je me suis adressée à un certain nombre de groupes actifs sur Nantes » et insiste sur son « #éthique et [sa] volonté de donner la parole à chacun. »

    En guise de test, nous réclamons un droit de regard sur ce qui sera publié, et l’anonymat des témoignages. Malgré ses promesses, la journaliste piétinera immédiatement ces conditions en tentant lourdement et sans succès d’obtenir des noms (pourquoi ?), et en refusant toute relecture de son article. « Justice et vérité », tel est la devise figurant quotidiennement en « une » du journal.

    Le rendu final est donc édifiant. Au delà des attentes. Nantes Révoltée, qui rappelons le n’est qu’un média relayant les luttes locales, est transformé artificiellement en secte armée « attisant les tensions », manipulant les lycéens et « organisant » les émeutes. Comme si la jeunesse de Nantes n’était pas capable de se révolter toute seule !

    Bien entendu, à aucun moment la question des #violences policières (toujours mises entre guillemets) ou de l’#injustice sociale – à l’origine de toutes les confrontations – n’est posée. Nous sommes plus proches de la farce que de « l’investigation ». La journaliste, prise dans on ne sait quel délire malsain, va jusqu’à accuser les rédacteurs de Nantes Révoltée de rester « trois rangs derrière » dans les cortèges et de « contrôler l’ensemble » des manifestants ! Un tel niveau de #mythomanie est vertigineux ! On ne sait s’il faut rire ou pleurer. Faut-il expliquer aux journalistes qu’une manifestation ne fonctionnera jamais comme les escadrons hiérarchisés et casqués de leurs amis policiers ?

    Dans cet article d’une insondable médiocrité, rien ou presque ne reste de la longue interview gracieusement offerte à cette journaliste à la #déontologie impeccable. Toutes les citations, ou presque, sont tronquées. Pire, la majorité de l’article relaie, sans aucun recul, la parole d’un policier anonyme qui peut déballer ses fantasmes délirants, à base de « lieutenants » qui enverraient des lycéens « en première ligne face aux forces de l’ordre ». L’affaire est entendue, il ne s’agit donc pas d’un article sur les « pages de lutte et de résistance » mais bien d’un dossier à charge, dicté par la police de Nantes.

    Pire encore, sur la même page, un groupuscule néo-nazi – Défend Naoned – composé d’une dizaine de vendéens et de supporters racistes se voit offrir une tribune complète sans aucun recul critique. Ainsi, la page d’extrême droite se voit attribuer un article rien qu’à lui : plus de 925 caractères de citations – contre 576 caractères pour Nantes Révoltée – , sans aucune contradiction apportée à son discours. Complaisance totale. Salir celles et ceux qui luttent, privilégier l’extrême droite : la ligne éditoriale du journal est on ne peut plus claire.

    Cette expérimentation politique et sociale sur le journalisme nantais s’est donc révélée concluante, et confirme une vieille leçon : ne jamais répondre à la presse policière. Merci quand même à Laura Jarry : on a bien rigolé !

    Heureusement, la vraie vie est loin des colonnes de Ouest-France. Développons nos propres #médias, construisons des luttes autonomes !

    –—

    Juste pour rire, l’article complet ici : http://www.nantes.maville.com/actu/actudet_-comment-nantes-revoltee-donne-le-ton-des-manifs_fil-2972256

    #mensonge #manipulation #Les_Affabulateurs #propagande #diffamation

  • RAPHAËL LIOGIER RÉPOND À CAROLINE FOUREST ! - Là-bas si j’y suis

    http://la-bas.org/les-emissions-258/les-emissions/2015-16/raphael-liogier-repond-a-caroline-fourest

    https://vimeo.com/162123674

    Le chercheur Raphaël LIOGIER n’en revient pas. Caroline FOUREST l’a carrément démoli en direct dans la séquence de l’émission C À VOUS, interviewée par Patrick COHEN (France 5, 06 avril 2016).

    Sauf que LIOGIER n’était pas invité sur le plateau ! Caroline a pu sans risque taper à bras raccourcis sur cet affreux partisan du port du voile islamique, ce « complice » de nos ennemis dans « la bataille culturelle que nous sommes en train de perdre » et autres amabilités.

    Oui, vous avez bien lu, le voile, revoilà le voile !

    C’est Manuel VALLS qui l’a ressorti pas plus tard que ce lundi 04 avril. Alors que toute la place de la République vibre de la NUIT DEBOUT qui est en train de gagner le pays, au coin même de la place, discrètement, au théâtre Déjazet, lors d’un colloque sur l’islamisme et le populisme en Europe, Manuel VALLS ressortait l’épouvantail du voile, « asservissement de la femme », et contre lequel « il faut agir ». Alors que la jeunesse est dans la rue, alors que la révolte sociale gronde un peu partout, le Premier ministre tente de faire diversion. « Bien sûr, il y a l’économie et le chômage, mais l’essentiel, c’est la bataille culturelle et identitaire. » Au moins c’est clair.

    Incapable de faire face au chômage, à la précarité, aux inégalités, tout comme à l’évasion fiscale des grosses fortunes, Valls tente de dissimuler la bombe sociale sous le voile et les vieux amalgames chers au FN et aux partisans de la « guerre des civilisations ».

    En cela il peut compter sur le fidèle soutien de Caroline FOUREST. Si Laurent RUQUIER a décidé de ne plus jamais l’inviter dans son émission suite à de trop gros mensonges, Caroline est toujours présente dans les médias quand il s’agit de protéger la France du péril islamiste.

    Tout comme la philosophe Elisabeth BADINTER qui appelle au boycott des marques faisant dans la « mode islamique ». Malheureusement, on apprenait au même moment qu’Élisabeth BADINTER, 47ème fortune française, est la principale actionnaire de PUBLICIS qui assure avec zèle la communication de… l’Arabie Saoudite !

    http://www.metronews.fr/info/lutter-contre-le-voile-et-etre-chargee-de-la-com-de-l-arabie-saoudite-le-troublant-melange-des-genres-d-elisabeth-badinter/mpde!vpd3bjn54L5uA

  • La #soudure démarre précocement en zone pastorale et le #conflit persiste à #Diffa

    La bonne disponibilité alimentaire favorisée par une production céréalière supérieure à la moyenne et les récoltes en cours de contre saison assure une consommation alimentaire suffisante pour la plupart des ménages agricoles. Les revenus saisonniers de ces ménages sont constitués surtout des ventes des produits de contre saison qui favorisent un accès normal aux denrées de base. Cela va permettre à la majorité des ménages de se maintenir au moins jusqu’en septembre 2016, en insécurité alimentaire aiguë Minimale (Phase 1 de l’IPC).

    L’offre de céréales est stable ou en hausse sur certains marchés de gros par rapport aux mois précédents et à la tendance saisonnière à la faveur de la dépréciation récente du naira nigérien incitant le commerce des denrées alimentaires du Nigéria vers le Niger. Sur la plupart des marchés, les prix sont en baisse légère à significative par rapport à février 2016 et à la moyenne.

    L’insécurité alimentaire aiguë de Stress (Phase 2 de l’IPC), observée dans les zones pastorales, va persister jusqu’au moins juillet 2016 suite à une baisse de la production fourragère qui conduit les éleveurs à faire une pression supplémentaire sur leurs revenus pour satisfaire les besoins vitaux. Toutefois, la situation va évoluer en situation Minimale (Phase 1 de l’IPC) à partir d’août grâce à la régénération du pâturage et au remplissage des cours d’eau en période hivernale.

    Une insécurité alimentaire aiguë en Stress (Phase 2 de l’IPC) et en Crise (Phase 3 de l’IPC) prévaut encore dans la région de Diffa et va persister au moins jusqu’en septembre 2016, particulièrement dans les zones situées au bord du Lac Tchad et de la rivière Komadougou, en raison des effets du conflit de Boko Haram qui continue d’engendrer de nouveaux déplacements et des perturbations des sources de revenus et de nourriture ainsi que des marchés.


    http://www.fews.net/west-africa/niger
    #Niger #alimentation #agriculture #cartographie #visualisation

  • Si vous voulez courir pour elles, pourrir pour elles, allez donc mourir pour Sophie Moreau
    http://fuckmycancer.fr/seriously/si-vous-voulez-mourir-pour-elles-pourrir-pour-elles-allez-donc-courir-p

    Je ne pourrais être mise en examen et jugée à titre posthume, la Cour jugera cela un peu fort de café. La Cour jugera-t-elle votre action abusive ? Je l’espère. Un journaliste un jour s’occupera de votre cas et de ceux de vos semblables qui prennent les femmes pour des gogos dancers. N’avez vous pas crée aussi danser pour elles ?

    Tout ce bruit pour des propos que vous me reprochez et qui ne sont que vérités. Chère Sophie Moreau, la date de la course arrive. Du fond de mon cercueil ou de mon urne j’espère que quelqu’un vous transmettra tout le mépris que j’ai pour votre action. Affichez vos buts réels, c’est une #association qui n’en a que le nom, vous utilisez de la main d’oeuvre gratuite, vous surfez sur la peur des femmes , vous ponctionnez des finances publiques qui pourraient êtres dévolues à des actions sanitaires et sociales sans transiter par vos comptes et faire vivre votre petit business de rose habillé.

    #profitation #bizness #cancer #charité #censure #diffamation

  • Sa photo affichée à tort sur un « mur des voleurs »
    http://www.lequotidien.lu/grande-region/sa-photo-affichee-a-tort-sur-un-mur-des-voleurs

    Un client du supermarché Carrefour contact de Metzervisse, près de Thionville, a découvert sa photo affichée à l’entrée du magasin et le présentant comme un voleur. Une pratique illégale, surtout qu’il n’a rien à se reprocher. Une affaire de « mur des voleurs » a éclaté au supermarché Carrefour contact de Metzervisse. Ce genre d’initiative, prise pour dissuader des voleurs de se servir dans les rayons, n’est pas une première. Dès 2008, un super U de Tarascon s’y était risqué, imité ensuite par un magasin de (...) #surveillance_des_consommateurs #CCTV #vidéo-surveillance #contrôle_social #diffamation

    • Le fondateur du groupe suédois Ikea, Ingvar Kamprad toujours aussi jeune : Ses cabanes pour migrants inflammables, comme dans les camps

      Les autorités zurichoises et argoviennes (#Suisse) ont renoncé vendredi à utiliser ces installations d’urgence pour les requérants d’asile.
      La #Fondation_Ikea a défendu samedi la sécurité de ses cabanes pour #migrants après la décision de la ville de Zurich d’y renoncer en affirmant qu’elles sont inflammables.

      Zurich a dévoilé vendredi des tests montrant que ces cabanes conçues par le géant suédois de l’ameublement prêt-à-monter étaient « facilement inflammables ».
      Les autorités ont donc décidé d’annuler l’accueil de migrants dans 62 de ces petites maisons à partir de janvier. Le canton d’Argovie, qui envisageait lui aussi d’acquérir ces maisonnettes pour accueillir 300 demandeurs d’asile, a annoncé qu’il recherchait d’autres solutions.

      Niveau de sécurité supérieur

      « Nous ne pouvons faire aucun commentaire avant d’avoir reçu la traduction du rapport sur les résultats et la méthode utilisée pour conduire ces tests d’incendie », a indiqué la responsable de la communication du projet « Better Shelter », fruit d’une collaboration entre la Fondation Ikea et le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (#HCR).

      Les cabanes Ikea, dont la réaction au feu a été testée selon les normes européennes, présentent un niveau de sécurité supérieur à ce qui se fait ailleurs en matière d’hébergement d’urgence, a souligné la responsable, Märta Terne. « Les tests réalisés sur les murs et les panneaux de
      couverture ont montré que le matériau dépasse les niveaux requis de sécurité pour ces logements provisoires ».

      http://www.lematin.ch/suisse/ikea-defend-cabanes-face-critiques-suisses/story/13419837

    • Dans le même temps que se développent des habitats-containers dont se félicitent certains designers et urbanistes, ces logements précaires pour les migrants d’aujourd’hui seront le standard de tous les pauvres de demain. Pour ce faire on insistera bien sur l’aspect bon marché et recyclage de la chose, et on fera des reportages cool et fun montrant des étudiants, pour mieux masquer la #paupérisation généralisée et la baisse des standards de vie que cette évolution entraîne.
      Bientôt on n’en sera plus à exiger un logement digne pour tous, on en sera à se satisfaire de caissons en tôle avec 3 gadgets marketing, pendant que la bourgeoisie rira dans ses villas.
      Comme le dit un type que je n’aime pas mais qui sur ce point a raison :

      Rien de ce que décident les capitalistes n’est bon pour toi. Même si de prime abord ça a l’air sympa.
      Surtout si ça a l’air sympa.

    • Dans le #film / #documentaire « Bienvenue au #Réfugistan », une critique de l’#innovation en matière de #réfugiés :
      http://www.arte.tv/guide/fr/060822-000-A/bienvenue-au-refugistan

      Citation tirée du film :
      Alexander BETTS : « Ce qui inquiète dans le débat actuel autour de l’innovation c’est qu’il renforce avant tout les logiques d’une réponse humanitaire imposée par le haut. Il y a de la part des unités chargées de l’innovation une réticence à aborder frontalement ces questions, à poser les vrais problèmes, à confronter les gouvernements des pays hôtes, les gouvernement des pays donateurs et à remettre en question le cadre légal. Il faudrait remettre en cause ces logiques de #gouvernance_totalitaire imposée par le haut que vous trouvez dans les camps. Il faudrait se battre contre cette culture de la #surveillance et apporter des solutions qui transformeraient beaucoup plus en profondeur la manière dont nous concevons les défis des réfugiés aujourd’hui ».

    • IKEA Foundation and UNHCR put ‘Better Shelters’ to the test in the #Diffa region

      In the region of Diffa, UNHCR have been providing emergency shelter assistance to vulnerable refugees and displaced persons since the first refugees crossed the border fleeing Boko Haram violence in Northern Nigeria in 2013. In 2016 alone, over 65,000 people in the Diffa region benefitted from UNHCR emergency shelters.

      http://unhcrniger.tumblr.com/post/157015341304/ikea-foundation-and-unhcr-put-better-shelters-to

    • Ikea donerà mobili per arredare la #Casa_Valdese di Vittoria e due casa di #Lampedusa

      Ikea Italia arrederà la Casa Valdese di Vittoria, il centro destinato alla prima accoglienza di donne migranti minorenni, non accompagnate, che formalizzeranno richiesta d’asilo. C’è il patrocinio della Prefettura di Ragusa. Si tratta di un’iniziativa di solidarietà Ikea con tre progetti in collaborazione con Unicef, a sostegno dei bambini migranti in fuga dalle guerre e dalla povertà. Interessato anche il Comune di Lampedusa dove saranno arredati due appartamenti di proprietà dell’ente civico che ospiteranno i minori non accompagnati.

      http://www.radiortm.it/2017/03/16/ikea-donera-mobili-per-arredare-la-casa-valdese-di-vittoria-e-due-casa-di-l
      #Italie

    • Why IKEA’s Award-Winning Refugee Shelters Need A Redesign

      Fire safety concerns halted the rollout of Better Shelter and the IKEA Foundation’s portable, flat-pack refugee shelters to camps. The Swedish social enterprise is working on a redesign to launch later this year. We speak to their director about the lessons learned.


      https://www.newsdeeply.com/refugees/community/2017/05/19/why-ikeas-award-winning-refugee-shelters-need-a-redesign

    • Dossier : un monde de camps — Les réfugiés, une bonne affaire, par Nicolas Autheman (@mdiplo, mai 2017) https://www.monde-diplomatique.fr/2017/05/AUTHEMAN/57444

      Pour faire des économies, l’agence a créé en 2012 une branche intitulée « Laboratoire Innovation », destinée à lancer de nouveaux partenariats : Ikea pour l’habitat, la société de livraison américaine United Parcel Service (UPS) pour la logistique d’urgence, et bientôt Google pour l’apprentissage scolaire. Interrogé sur le risque de voir ces sociétés prendre une place croissante dans les processus de décision, le HCR répond invariablement que leur participation financière reste encore marginale comparée à celle des États. Pour autant, les partenariats conçus à l’origine comme de simples donations prennent de nouvelles formes. Selon M. Parker, l’agence a mis le doigt dans un engrenage dont il devient difficile de sortir : « La Fondation Ikea a promis des dizaines de millions de dollars au HCR. Et, maintenant, elle a envoyé quelqu’un en Suisse pour voir ce qu’il advient de son argent. Au début, je crois que le HCR imaginait pouvoir simplement recevoir du personnel bénévole et des dons. Il est en train d’apprendre que ce n’est pas vraiment comme cela que fonctionne le secteur privé. (...) Les entreprises ne viendront pas sans contreparties. Que dire si Ikea, par exemple, décide de tester du matériel dans les camps de réfugiés ? » Et comment réagir lorsque des parlementaires européens révèlent, comme cela s’est produit en février 2016, qu’Ikea est impliqué dans un vaste scandale d’évasion fiscale, échappant à l’impôt dans des États qui financent le HCR (La Tribune, 13 février 2016) ? L’agence de l’ONU n’en a jamais entendu parler...

    • A Slightly Better Shelter?

      The Shelter

      On January 26, 2017, the IKEA refugee shelter was declared the worldwide Design of the Year in a unanimous decision.[1] When I interviewed one of the jurors about the process I was told that they’d chosen the “obvious winner”: the IKEA shelter was high profile, it had featured widely in the media, it was a positive story with a clear social purpose, and it offered a practical solution to the so-called “refugee crisis,” one of the most significant issues of the previous twelve months.[2] The London Design Museum has been awarding the “Design of the Year” for a decade now, celebrating examples that “promote or deliver change, enable access, extend design practice, or capture the spirit of the year” (Beazley 2017). The IKEA refugee shelter seemed to match all of these aims, claiming to be modular, sustainable, long lasting, recyclable, easily assembled, affordable, and scalable. It was installed on the Greek islands to shelter newly arrived refugees in 2015, and it came with the backing of the United Nations (UN) Refugee Agency, who purchased 15,000 units for distribution around the world.

      The juror I spoke to explained that the shelter won because it “tackles one of the defining issues of the moment: providing shelter in an exceptional situation whether caused by violence and disaster…. [It] provides not only a design but secure manufacture as well as distribution.” A statement described the project as “relevant and even optimistic,” concluding, “it shows the power of design to respond to the conditions we are in and transform them” (Beazley 2017; personal interview, April 25, 2017, Design Museum, London).

      It is easy to understand why this shelter has generated so much interest since it was first announced in 2013. It has received funding from IKEA, a company that has shaped so much of everyday life in the Global North and whose minimalist modernism has populated so many domestic environments. As Keith Murphy points out, there is a social democratic spirit underpinning so much of Swedish design, a combination of simplicity, affordability, and universality that both reflects and promotes a more egalitarian social order (Murphy 2015; see also Garvey 2017). When applied to refugee housing, this has all the makings of positive story. The media are given something their readers can relate to—the experience of unpacking and constructing IKEA flat-pack furniture—and can connect it to a problem that concerns us all: how to house the millions of refugees we see on the news. The IKEA refugee shelter, the story goes, can be assembled in four to six hours with a basic manual and no specialist tools. Everything comes in two compact boxes, much like those that contain your new bed and table from the IKEA store. More attractively, the design arrives with a number of innovative little tricks, including a photovoltaic panel that provides sufficient electricity to power a small light and mobile phone charger. It seems like a heartwarming example of philanthro-capitalism, good design, and humanitarian innovation (Scott-Smith 2016). What’s not to like?

      For anyone who has actually seen the shelter up close, it looks rather mundane after this hyperbolic description. It has a rectangular floor plan, vertical walls, and a pitched roof. The shelter is fairly small, covering an area of 17.5 square meters, and it is designed to house a family of up to five people. When inside, you can look up and see the entire structure laid bare: a standalone steel frame with imposing horizontal beams, onto which foam panels are clipped. These panels are made from polyolefin, a light, flexible plastic, and they have the feeling and texture of swimming floats. They have been attached to the frame with hand-tightened bolts and brackets, and the shelter has four small ‘window’ openings, ventilation slots, and a lockable door. The main designer described its chunky, basic appearance as the kind of house “a 5-year-old would draw” (personal interview, May 18, 2017, Stockholm). It is, indeed, visually uninspiring, but this is because it is meant to be basic. Like much of IKEA’s product line, it is mass-produced, economical modernism. It is meant to offer a shelter that is immediate, quick, affordable, and easily transportable, staying as close as possible to the price and weight of the main alternative: the tent.

      Tents have been the go-to shelter for humanitarian organizations for more than 50 years. The UN Refugee Agency distributes tens of thousands of them annually, and they are still valued for their lightweight, inexpensive simplicity. To be taken seriously as a humanitarian product, therefore, the IKEA shelter needs to be comparable to the tent in terms of price and weight while making some crucial improvements. There are four, in particular, that can be found in this design. First, the IKEA shelter provides increased security through a lockable door. Second, it provides greater privacy through firmer and more opaque walls. Third, it provides improved communication with a mobile phone-charging station. And fourth, it lasts considerably longer: up to four years rather than just one. These improvements encapsulate the basic requirements for dignified living according to the designers, combining security, privacy, durability, and connection to the outside world. These features, the narrative goes, are particularly important given the protracted nature of so many contemporary refugee situations and the likelihood of a lengthy exile.[3]

      When I spoke to the designers about dignity, they came back again and again to the same material expressions, which were fascinating in their tangibility and their conception of refugee social worlds. Dignity meant being able to stand up in the IKEA shelter, which is impossible in a tent. Dignity meant having walls that were “knocky”: firmer, more secure, more resonant when tapped, which distinguished the materials from tarpaulin. Dignity meant privacy: whereas silhouettes can cause a problem in tents, the IKEA shelter does not reveal activity inside when the lights are on at night; its material is more opaque and disperses the shadows. Such improvements, however small, allow the design team to mobilize a more expansive, idealistic rhetoric. In its publicity materials, the shelter has become a “safer, more dignified home away from home for millions of displaced people across the world.” It has channeled “smart design, innovation and modern technology” to offer “a sense of peace, identity and dignity.” It is “universally welcoming”, a “home away from home” that balances “the needs of millions of people living in different cultures, climates and regions with a rational production—a single solution” (Better Shelter 2015; personal interview, May 19, 2017, Stockholm, Sweden). Far from being a better tent, this shelter has some revolutionary ambitions. But is it a better tent? Does it live up to its aims of producing a compact, cheap, lightweight product for meeting a basic human need?
      The Reaction

      The day after the announcement of the prize I sensed a collective sigh of despair among my colleagues working on refugee issues, which was tangible in personal conversations, snarky asides, and exasperated emails. The failures of the shelter were, for many of them, far too obvious. It was meager, limited, with no proper floor, no insulation, no natural light, and with a structure that let in drafts and dust. It had been oversold, under-ordered, and was described as sustainable when in fact it involved flying piles of metal and plastic around the world. It ignored established practice in the humanitarian shelter sector, which advocates the use of local materials and abundant local labor, and, above all, it was accompanied by an insistent triumphalism, with media reports pushing the narrative that an intractable problem had been solved. It had not. Managing refugee arrivals is a complex political issue that requires sustained political engagement, legal reform, and advocacy in host states to ensure investment in welfare and protection. Although these were not the aims of the IKEA refugee shelter, such lavish praise and attention, my informants felt, were a distraction. Many such “innovative designs” have become a fetish, creating a mistaken reassurance that circumstances can be controlled while obscuring a series of more serious, structural issues that remain unaddressed (Scott-Smith 2013).
      The most tangible criticisms of the IKEA shelter, I soon realized, came from two opposing directions. On the one hand, there were those who argued the shelter did too little. It was a mean little space, they suggested, that looked like a garden shed or, due to its plastic panels, a chemical toilet. This line of critique usually came from architects, who filed the object contemptuously under “product design” and declared that it involved no architectural thinking at all. Architecture, they pointed out, should respond to the site and local environment, not mass-produce a universal design with no adaptability or control. Architecture should create sensitive and carefully planned responses to specific problems, not ignore basic elements such as insulation, proper flooring, and natural light. Architecture should also be pleasing to the eye. If you took the Vitruvian triad of architectural virtues, the IKEA shelter seemed to fail on every count. Firmitas, utilitas, and venustas was the aim, but the shelter was flimsy rather than firm, flawed rather than useful, ugly rather than beautiful.[4] It was particularly galling for this group of critics that the shelter won not just Design of the Year, but that it won the architectural category as well.

      The other type of criticism came from humanitarians. They argued not that the shelter did too little, but that it did too much. It provided a fully integrated, flat-pack solution when this was rarely required or appropriate. It flew in a prefabricated house when there were better opportunities to work from the bottom up. It lionized designers when design was rarely a priority. Unlike architects, humanitarians were working in a context of limited time and limited resources. They worked with the mantra that “shelter is a process not a product,” a slogan that derives from the work of Ian Davis (1978), one of the founding thinkers of the humanitarian shelter sector, who argued that humanitarians needed to focus on the way people shelter themselves. Davis said that disaster-affected communities had their own techniques for finding and building shelter, suggesting that humanitarian shelter should mean discouraging designers and other outside “experts.” The priority should be to provide materials such as wood, nails, tarpaulin, and tape that help people build their own homes. These could be used and reused as people expanded their accommodation. The crucial task, in other words, was not to provide finished shelters, but to support people in their own process of sheltering.[5]
      The Tension

      In the middle of May 2017, I took a trip to Stockholm to meet the IKEA shelter’s design team and see how they navigated these two very different criticisms. I arrived at their headquarters on the 11th floor of the old Ericsson building in a southern suburb of the city, and spent some days learning about their brief, their aims, and their ways of thinking. The first thing that became clear was that this was not, in fact, an “IKEA shelter.” It was a designed by a group of independent Swedish industrial designers who had met at college and developed the basic idea in discussion with humanitarians in Geneva. They later received substantial financial support from the IKEA Foundation, which allowed them to refine, test, and iterate the idea, eventually leading to a commitment from the UN Refugee Agency to purchase a large number of units.

      As I learned more about the project, it soon became clear that the story of the shelter seemed to be constantly swinging like a pendulum. It was caught between the expansive utopian idealism that so often underpins the announcement of new humanitarian designs and the restricted, mundane implications of their actual implementation. Both types of criticism, in other words, were basically correct: the IKEA shelter is both ‘too much’ and ‘too little’. It is clearly a product rather than a process, so it ends up being overwrought, top-down, and “too much” for aid workers who are skeptical of universal solutions. At the same time, it has been designed to be cheap and lightweight, so it will always be “too little” for those with bigger ideas about what design can achieve (especially as it lacks many of the basic elements that are crucial to architecture, such as proper flooring, insulation, light, strength, and beauty). The formal name for the shelter seems to encapsulate this tension. It is properly called the “Better Shelter”, and I was reprimanded in Stockholm for using the name “IKEA shelter,” which remains in common parlance but has never been formally adopted.[6] This name emphasizes the restricted horizon of improvement. The product aspires to be better, but it is no more than shelter. It idealistically attempts to improve the world, but pursues this by providing basic shelter rather than engaging with a more expansive terrain of housing.

      The problem of doing too much and too little was powerfully illustrated in December 2015, when the Swiss city of Zurich conducted a fire safety test on the IKEA shelter. The video of the test was screened on the news and subsequently circulated online: it featured a series of terrifying images in which a small fire, illuminating first the translucent sides of the shelter, suddenly engulfed the scene in an explosion of flames and molten plastic. The media picked up on the story, Zurich cancelled its intended use of the shelters for new migrant arrivals, and distribution of the shelter began to slow. This was perhaps the biggest challenge the design had faced since its inception, and the fire test led to more than a year of additional work as the team made changes to the shelter’s design – mostly adjustments to the panel material. During this process, however, the design team found no clear code to work. Fire retardancy standards and testing procedures could not be found in the usual humanitarian handbooks, and so the team felt hostage to unrealistic criteria. The Swiss tests had compared the shelter with a permanent residential building, which seemed unfair (as a tent, which was the closest equivalent, would fare no better), yet it seemed impossible to object when the Swiss fire tests were released. The shelter was meant to be “better,” and the whiff of double standards would drift over the scene very quickly if they argued this was a shelter for a different population. The idea that refugee accommodation should be held to lower standards would not be good publicity for a product so concerned with the promoting dignity.

      The fire tests raised a number of questions. Is this a “slightly” Better Shelter? Or is it “sometimes” a better shelter, depending on location and context? And when, exactly, is it a better shelter – in which times and places? One thing is clear: most people would not choose to live in one of these structures because of its obvious limitations. It has no floor or insulation, barely any natural light, and a tiny living space, even if its three or four tangible improvements certainly make it better than a tent. But then again, it should be better, as it costs a good deal more than a tent: currently twice the price of a UN High Commissioner for Refugees (UNHCR) standard family model. Is this a problem? Don’t we expect a better shelter to be a more expensive shelter? Yet how much is too much? What if twice the price means aiding half as many people? Is this a “better” result?

      As the IKEA shelter becomes more widely used in different locations, a clear lesson has begun to emerge: that the whole product is deeply dependent on context. It is only “better” in some times and places. It may be “better” when compared with a tent, but not when compared with a Swiss apartment building. It may be “better” in a Middle Eastern refugee camp, but not in a Western European reception facility. It may be “better” when funds are plentiful and refugee numbers limited, but not when refugees are plentiful and funds limited. It might be “better” when there is an urgent need for emergency shelters, but not when there is scope for people to build a home of their own.

      The Lagom Shelter

      Perhaps this, in the end, defines the wider world of little development devices and humanitarian goods: they are simultaneously too much and too little. They are vulnerable to the charge of being too limited as well as the charge of being too expansive. They fail to tackle fundamental global injustices, but they still make numerous ideological assumptions about human life and human dignity beneath their search for modest improvements. The little development device oscillates between its grand visions of human improvement and its modest engineering in a tiny frame. The humanitarian good balances a philanthro-capitalist utopia with the minimalist aim of saving lives. All of this is encapsulated in the slightly Better Shelter. When I discussed these thoughts with the team in Stockholm, they basically agreed, and reached for the Swedish word lagom to describe their aims. It is tricky to translate, but means something like “the right amount,” “neither too little nor too much.” The Better Shelter is lagom because it has to be viable as well as adding value. It has to negotiate with the critics who claim it is “too much” as well as those who say it does “too little.” The shelter could never please architectural critics because it was only designed as a cheap, short-term home, and it would never please bottom-up humanitarian practitioners because it was too top-down and complete. Lagom captures the search for balance while reflecting a wider ethos of democratic Swedish design.[7]

      Yet aspiring to be lagom does not make the central tension disappear. Just like being “better,” being lagom depends on context. What counts as “just enough” depends on where you are, who you are, and what you are doing. Something lagom in Sweden may not be lagom elsewhere. This became apparent just before the Better Shelter was launched, when a handful of units were shipped to Lebanon for a practical test with refugees. On their arrival in the Bekaa Valley, a group of armed and angry Lebanese neighbors appeared. The shelters, in their view, were too permanent. It did not matter that they had no foundations. It did not matter that they could be removed in less than a day. It did not matter that the walls and roof would degrade in just a few years. The structures were too solid, and the authorities agreed.[8] The Better Shelter had become “too much” for the Lebanese political context, just as in Switzerland it had become “too little.” The same features that made it insufficient in one country made it extravagant in another.

      So although the Better Shelter tries to be better everywhere, it can never hope to adapt to the infinite complexity of refugee crises and its scales became disrupted when butting up against hard political realities. Since 2013, the designers have been working assiduously in Stockholm to optimize every component: changing the clips and panel material, redesigning the bolts and vents, refining the door and frame. They think an improved product can overcome both the Swiss fire tests and the Lebanese resistance. But what is “better” will always change with context. The Lagom Shelter can only be truly Lagom on the 11th floor of the old Ericcson building in Stockholm. As soon as it moves, the balance changes. Lagom cannot be built into any universal form.

      https://limn.it/articles/a-slightly-better-shelter

      Avec cette bibliographie :

      Bibliography

      Beazley. 2017. “Flat-packed refugee shelter named best design of 2016”. Beazley Design of the Year Press Release, 26.01.2017. Available at link: https://www.beazley.com/news/2017/winners_beazley_designs_of_the_year.html

      Better Shelter. 2015. Better Shelter: A Home Away From Home. Better Shelter Promotional Leaflet. Available at link: http://www.bettershelter.org/wp-content/uploads/2015/12/About_Better-Shelter.pdf

      Davis, I. 1978. Shelter After Disaster. Oxford, UK: Oxford Polytechnic Press.

      Garvey, P. 2017. Unpacking Ikea Cultures: Swedish Design for the Purchasing Masses. London, UK: Routledge.

      Murphy, K. 2015. Swedish Design: An Ethnography. Ithaca, NY: Cornell University Press.

      Scott-Smith, T. 2013. “The Fetishism of Humanitarian Objects and the Management of Malnutrition in Emergencies.” Third World Quarterly 34(5): 913-28.

      ———. 2016. “Humanitarian Neophilia: The Innovation Turn and Its Implications.” Third World Quarterly 37(12): 2229–2251.

      ———. 2017. “The Humanitarian-Architect Divide.” Forced Migration Review 55:67-8.

      Sewell, Abby, and Charlotte Alfred. 2017. “Evicted Refugees in Lebanon Have Nowhere Left to Run.” Refugees Deeply, September 28. Available at link: https://www.newsdeeply.com/refugees/articles/2017/09/28/nowhere-left-to-run-refugee-evictions-in-lebanon-in-shadow-of-return

  • #Devedjian-Trierweiler : pas de #Diffamation, estime la #Cour_de_cassation
    https://www.mediapart.fr/journal/france/050116/devedjian-trierweiler-pas-de-diffamation-estime-la-cour-de-cassation

    L’évolution des mœurs ne permet plus de considérer l’adultère comme contraire à la morale, considère la Cour de cassation dans un arrêt rendu le 17 décembre. Patrick Devedjian a ainsi perdu le procès en diffamation qu’il avait intenté à un journal ayant fait état d’une relation qu’il aurait eue avec Valérie #Trierweiler.

    #France #adultère #Justice

  • Tribune anti-migrants du « Sun » : une #propagande_génocidaire selon l’ONU - Libération
    http://www.liberation.fr/monde/2015/04/26/la-tribune-anti-migrants-de-the-sun-ressemble-a-de-la-propagande-genocida

    L’éditorial violemment anti-migrants publié mi-avril dans le tabloïd britannique The Sun a tout de la propagande génocidaire, selon le Haut-Commissariat aux droits de l’Homme des Nations unies, qui a exhorté vendredi Londres de tout faire pour « juguler l’incitation à la haine par les tabloïds britanniques ».

    « Dans un langage très similaire à celui employé par le journal Kangura et la Radio des Mille Collines au Rwanda au cours de la période précédant le génocide de 1994, l’éditorialiste du Sun, déclare : "Ne vous trompez pas. Ces migrants sont comme des cafards" », a dénoncé à l’ONU à Genève le Haut-Commissariat. Il a également demandé à tous les pays européens d’adopter « une ligne plus ferme sur le #racisme et la #xénophobie » qui selon lui « sont autorisés, sous le couvert de la #liberté_d’expression, à alimenter un cercle vicieux de #diffamation, d’#intolérance et de #politisation des migrants et des #minorités européennes marginalisées tels que les #Roms ».

  • #Relaxe pour le député UMP Guy Teissier, poursuivi pour #diffamation raciale - Lagazette.fr
    http://www.lagazettedescommunes.com/330174/relaxe-pour-le-depute-ump-guy-teissier-poursuivi-pour-diffamat

    En visite le 17 avril 2014 au centre de collecte des ordures ménagères d’Arenc, fraîchement élu à la tête de la communauté d’agglomération, M. Teissier avait fustigé « certains compatriotes qui doivent changer leurs gestes et ne plus jeter les déchets par terre ». « Il faut trouver ensemble des moyens pédagogiques pour éviter que certains comportements ne s’africanisent », avait-il ajouté.

    #racisme #impunité #justice

  • France : Après Ahmed 8 ans, un enfant de 9 ans entendu pour « apologie du terrorisme » - Nouvel obs

    http://tempsreel.nouvelobs.com/charlie-hebdo/20150130.OBS1338/entendu-pour-apologie-du-terrorisme-a-9-ans-son-pere-porte-plai

    Un homme a porté plainte pour diffamation après l’audition le 15 janvier de son fils de neuf ans par la gendarmerie de Villers-Cotterêts (Aisne) parce qu’il aurait crié « Allah akbar » pendant une minute de silence en hommage à « Charlie Hebdo », a-t-on appris vendredi 30 janvier auprès du procureur de Soissons.

    Les soupçons pesant sur l’enfant « sont sur le plan de la matérialité des faits totalement infondés », affirme à l’AFP le procureur de Soissons, Jean-Baptiste Bladier.

    L’enfant avait été entendu le 15 janvier par la gendarmerie de Villers-Cotterêts, en présence de son père, dans le cadre d’une enquête pour apologie du terrorisme, selon la même source.

  • BARAKACITY : SES BENEVOLES ET SES DONATEURS DIFFAMÉS sur RTL ce matin ( le 6 décembre 2014 ) :

    http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/jihad-business-des-associations-caritatives-surveillees-de-pres-en-france-777576

    Droit de réponse de Barakacity :

    Ce matin, nous avons reçu l’email d’un donateur choqué par les propos tenus et la violence des accusations du journaliste Damien Delseny, qu’il a pu entendre sur RTL lors d’une chronique diffusée après le journal de 8h.
    Le sujet ? « Le Jihad Business » : une dissertation sur les associations caritatives françaises qui seraient suivies de près.

    Ce donateur solidaire de Barakacity, comme beaucoup de musulmans et de non musulmans en France, est comme nous : fatigué d’entendre cette même rengaine inlassable propagée par les médias au sujet des accusations de " soutien au jihad" en prétextant notre appartenance religieuse et parce que nous venons en aide aux civils syriens. Il nous demande donc de réagir en nous assurant qu’il continuera de nous soutenir, ce dont nous le remercions sincèrement.

    Nous voilà donc confronté à un journaliste (Damien Delseny) armé de son titre « choc » qui développe et explique que :

    1 - Notre Président est fiché à la DGSI, ce à quoi nous lui répondons : première nouvelle !
    et nous lui demandons donc d’où il tire ses sources. En effet, nous attestons que celui-ci possède un casier judiciaire vierge et que jusqu’à ce jour aucune convocation ni aucun de ses comptes personnels n’est et n’a jamais été clôturé.
    Une première affirmation parmi celles qui suivent et qui n’est dite que pour susciter le mauvais soupçon et générer de la confusion, car pour qui connait le système, on peut tout mettre dans cette expression « être fiché », y compris de simples personnes lambda, actives dans n’importe quelle association ou pour n’importe quelle cause.

    2 - Que nous employons des techniques « de marketing commercial » agressives, car :
    nous organisons des évènements (quelle association ou structure n’en organise pas ?), faisons appel à des collectes de dons à la sortie des mosquées (La Croix Rouge a ses stands tout au long de l’année à la sortie des Supermarchés), et que des notes des renseignements indiqueraient que BarakaCity, nous citons : " joint habillement, techniques commerciales et foi religieuse, avec un merchandising moderne, visant un public jeune et connecté".

    En somme, on nous reproche de faire ce pourquoi nous existons :
    collecter des dons pour des pauvres (bon à savoir : nous sommes loin d’être l’ONG qui récolte le plus d’argent ),
    de mettre en avant notre foi dans nos appels à l’aide de façon affichée, alors que nous n’avons jamais investi dans l’affichage public (métro, panneaux publicitaires etc...)
    ainsi que de faire participer la jeunesse et d’en faire notre cible privilégiée, ce qui ne sont encore que des suppositions manipulatoires pour mieux faire passer le message du titre racoleur, et stigmatise, caricature encore une fois de plus la jeunesse musulmane (et ses ainés) qui commence à ne plus supporter les amalgames médiatiques subliminaux, alors qu’elle est une grande source dynamique et économique de ce pays qui ne cherche qu’à être active et à se rendre utile à son échelle, en répondant présente par son soutien sur les réseaux sociaux, à travers des dons caritatifs et des collectes d’étudiants investis pour de bonnes causes. Une jeunesse et une communauté que l’on provoque sur sa bonne foi à rendre la vie meilleure pour les plus démunis de France (maraudes à travers la France), du Togo et d’ailleurs.

    Le plus surprenant, c’est ce qui nous intéresse ici, c’est que nous apprenons que ces notes des renseignements seraient la cause de la fermeture de nos deux comptes, ceux de la Société générale et CIC.
    Nous affirmons et continuerons d’affirmer afin de fermer la porte aux suggestions non fondées que tous nos comptes sont bien en règle, qu’ils sont examinés par un commissaire aux comptes qui a validé leurs transparence et leurs conformité aux lois de notre pays, la bonne tenue de nos comptes sur le plan légal, mais surtout qui confirme sans contestation possible de leurs VÉRACITÉ.

    Seulement, lorsque l’on a décidé de s’acharner à jeter le discrédit et faire planer la suspicion, pour des raisons qui nous échappent, sur certaines associations et sur de nombreux musulmans, la seule méthode que l’on applique concernant notre association est d’user de mots en rendant nous "coupable" bien qu’innocent, avec pour seul argument que nous sommes un peu trop efficaces et trop actifs (??). Cela n’a évidemment aucun sens.

    Toutes ces attaques sont bien sûr émises dans un contexte d’actualité dramatique concernant la Syrie. Ce qu’il fallait plutôt dire puisque c’est notre réalité, c’est que nous sommes une association qui se doit d’être professionnelle et transparente et qu’en conséquence nous mettons tout en oeuvre pour assurer la sécurité de nos humanitaires en toute légalité et avec tout les risques que cela comporte.

    C’est dans cette perspective et dans un état d’esprit conscient des enjeux que nos aides humanitaires en Syrie ont débuté il y a 1 an :
    Nous avons dès le départ informé la Direction Générale de la Sécurité Intérieure ( DCRI), par RECOMMANDE, de la décision de notre voyage, indiquant avec précision l’objet de notre mission accompagné d’un dossier complet contenant notre feuille de route et la photocopie des passeports des humanitaires (documents que nous n’hésiterons pas à exposer si nécessaire).
    Nous avons ainsi, la preuve de nos démarches, des reçus et des traces écrites qui stipulent que nous avons prévenu les autorités dès le début de nos actions sur le sol Syrien, de nos déplacements afin d’assurer la transparence et la sécurité de nos actions auprès des civils syriens. Qu’en conséquence il ne peut y avoir de soupçons.

    EN conclusion, notre ONG est tout simplement victime de son succès (collecte de dons) de son caractère musulman, de son engagement pour la justice et les droits humains, et de l’influence positive et fédératrice autour de l’aide humanitaire qu’elle s’efforce d’entretenir avec les internautes toutes cultures confondues.

    Le journaliste Damien Delseny, n’hésite pas pour cela à user de mensonges :
    ventes de tee-shirt, soirées spéciale convertis, soirées entres femmes, qui n’ont jamais été de l’initiative de BarakaCity mais de celle de ceux qui nous suivent, motivés par l’élan solidaire pour améliorer ce monde.

    Ainsi, cette chronique diffamatoire se termine par la question fatale, stratégiquement provocatrice afin de susciter l’ excitation et la jubilation auprès des islamophobes et adeptes du scandale, un pseudo scoop RTL :
    D’ou viennent réellement les fonds ? où vont-ils " vraiment" ?
    Encore une fois, il suffisait de nous le demander. Nous ne cessons de mettre en avant notre transparence depuis notre création, mais nul n’est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.
    Si nous étions si suspects, nous aurions au moins été convoqués, auditionnés, afin de rendre des comptes.
    Nous sommes assez conscients de la situation inconfortable et des clichés que vivent les musulmans de part le monde, mais nos objectifs humains sont importants et nous faisons en sorte d’être prudents tout en restant authentiques.

    Aujourd’hui il n’est plus question de BarakaCity, mais bien de l’ensemble des musulmans qu’ils soient de simples citoyens, des actifs impliqués ou des victimes de la pauvreté et des conflits :
    Sommes-nous voués à être soupçonnés de tout et n’importe quoi à cause de notre appartenance à l’Islam ?
    Pour nos réussites ? Pour l’intérêt que nous portons à tous les opprimés dans le monde ? Êtes vous les prochains sur la liste ?

    Nous ne pouvons nous taire devant ces élucubrations de journaliste, et nous comptons bien lancer des investigations afin de rétablir les faits et la vérité face à ces attaques qui entravent notre travail d’humanitaires.

    Nous vous encourageons à ne pas hésiter à interpeler RTL, à leur demander des réponses et signifier votre mécontentement, en mentionnant le nom du journaliste à l’origine de cette chronique diffamatoire : Damien Delseny,
    qui n’a pu diffuser son pamphlet sans l’aide de Bernard Poirette, l’animateur de l’émission sur la station RTL.

    1 - Par courrier :
    Adressez votre courrier à la personne que vous souhaitez contacter à l’adresse suivante :
    RTL
    22 rue Bayard
    75008 Paris

    2 - Par téléphone :
    Vous souhaitez participer à une émission par téléphone ?
    Appelez RTL au 32 10 (0,34€/min)
    Pour nous appeler de l’étranger, composez le numéro international : 00 33 1 41 86 21 49

    3 – Par email :
    Votre question concerne l’antenne ? Envoyez votre email à l’adresse : contact.antenne@rtl.fr
    Votre question concerne le site internet rtl.fr ? Envoyez votre email à l’adresse : contact.web@rtl.fr

    #jexigedesexcuses

    #RTLislamophobe #diffamation #barakacity #Syrie

  • Paris : Compte-rendu du #procès d’Amal Bentounsi – 7 avril 2014
    http://lahorde.samizdat.net/2014/04/16/paris-compte-rendu-du-proces-damal-bentounsi-7-avril-2014

    Vu sur Paris-Luttes.info le 9 avril : Le 20 février 2013, Amal Bentounsi, soeur d’Amine, tué d’une balle dans le dos par un policier le 21 avril 2012 à Noisy-le-Sec, était convoquée par la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) du 13ème arrondissement de Paris. Elle venait en effet d’apprendre qu’une [&hellip

    #Actualités #Agressions_&_violences #Non_classé #diffamation_publique #Manuel_Valls

  • PlanetHoster responsable du piratage de l’hébergeur MavenHosting ? | UnderNews
    https://www.undernews.fr/hacking-hacktivisme/planethoster-responsable-du-piratage-de-lhebergeur-mavenhosting.html

    n octobre 2013, l’hébergeur québecois MavenHosting à subit une attaque importante sur ses serveurs. Des centaines de sites Web ont été touchés. Pour beaucoup de webmasters la durée de la coupure liée à cette attaque à duré plus d’un mois. Aujourd’hui, l’heure est à l’enquête et le coupable a peut être été découvert.

  • Des liens pour les médias libres épisode 5
    http://atelier.mediaslibres.org/Des-liens-pour-les-medias-libres-5.html

    Quelques liens sur les médias alternatifs, des bidouilles, des infos, des nouveautés, etc. pour nous lier, nous rencontrer et échanger. A propos cette fois-ci d’un nouveau site d’info, de surveillance, d’histoire de la radio, d’aspects juridiques, d’islamophobie, et plein d’autres choses.

    Merci aux personnes qui nous ont fait passer des infos !
    Pour nous aider :
    – un pad pour noter des liens qui vous paraitraient intéressants pour cette sélection d’infos est disponible : ▻https://pad.riseup.net/p/Lienspourmediaslibres ;
    – ou sur Seenthis, vous pouvez utiliser le tag #lml ;
    – si vous avez trouvé intéressante cette page, ou certains des articles cités, merci de faire tourner !

    #lml

  • Une candidate #FN rend sa carte en dénonçant le #racisme de son parti
    http://www.lemonde.fr/politique/article/2013/11/05/une-candidate-fn-rend-sa-carte-en-denoncant-le-racisme-de-son-parti_3508629_

    Nadia Portheault et son mari, Thierry, ont également décidé de rendre leur carte d’adhérent. Le couple a constaté « un décalage entre le discours de Marine [Le Pen] et celui de la base militante, explique la jeune femme. Cette ambiguïté permanente, entre la vitrine et une arrière-boutique spécialisée dans les blagues vaseuses sur les Arabes et les homos, n’était plus supportable ».

    #homophobie

    • http://seenthis.net/messages/192522

      mais aussi :

      http://www.europe1.fr/Politique/Racisme-une-candidate-FN-demissionne-le-parti-l-attaque-1698295

      Une affaire qui ira devant les tribunaux. Surtout, le FN ne compte pas en rester là. « Ils ont jugé bon de tenir des discours diffamatoires à l’encontre du Front national. Le FN va donc porter plainte pour diffamation. La plainte est déposée ou en cours, c’est la direction parisienne qui gère cette affaire », explique Julien Léonardelli. « Ils essayent de faire ce que l’UMP essaye de faire au niveau national, c’est-à-dire rediaboliser le FN. Les propos concernés sont inadmissibles, inacceptables. Si une personne tient des propos comme cela, elle est exclue dans l’heure qui suit. C’est hallucinant des propos comme ça. Mais les époux devront apporter la preuve à la justice qu’ils ont été tenus », assène le jeune homme. « Ce qui me chagrine, c’est le buzz que les méfias font de cette affaire sur des propos que personne ne peut confirmer », complète Steeve Briois, candidat FN à Hénin-Beaumont.

      On reste très procédurier chez les Le Pen.

      #diabolisation #diffamation