• Audition de Dominique de Villepin sur la situation internationale à l’Assemblée nationale- 9/04/2025
    https://www.youtube.com/watch?v=vwYT3RNMiPw

    Mercredi 9 avril, la commission des Affaires étrangères a auditionné Monsieur Dominique de Villepin, ancien premier ministre, ancien ministre des affaires étrangères, ancien secrétaire général de l’Élysée, sur la situation internationale.
    Les auditions de l’Assemblée nationale permettent notamment l’information et le contrôle de l’action du Gouvernement par les députés et elles peuvent aussi avoir pour objet de préparer un projet de loi.
    Elles consistent à entendre une personne devant une commission afin d’avoir un éclairage, un point de vue sur un sujet précis. Ces personnes auditionnées peuvent être des membres du Gouvernement, des commissaires européens, des chercheurs, des représentants des milieux socioprofessionnels…

    À 1:38:00 Caroline Yadan vomit sa question, Dominique de Villepin lui répond à 1:45:12
    #Diplomate

  • AMD Radeon™ GPU Profiler 2.4 adds support for AMD Radeon™ RX 9000 Series, pure-compute applications, #DirectML applications (and more!)
    https://gpuopen.com/learn/radeon_gpu_profiler_2-4_support_rx9000_series_pure-compute_applications

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources Discover the latest Radeon GPU Profiler v2.4, now supporting Radeon RX 9000 Series GPUs and profiling for pure #compute and DirectML applications. Enhance your optimization with improved ISA views and Work Graphs support.

    #News #Product_blogs #Release #RGP #Single_Blog #Tools #WorkGraphs #rdna_4 #workgraphs

  • New #DirectX® + #video_encoding features with AgilitySDK Preview Release 1.716.0
    https://gpuopen.com/new-directx-video-encoding-features-with-agilitysdk-preview-release-1-716-0

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources We now support new Microsoft® DirectX® and video encoding features, with the latest release of the AgilitySDK Preview Release 1.716.0.

    #Agility_SDK #Announcement #DirectX® #Drivers #agility_SDK #DX12

  • Exclusif : la #Commission_européenne s’apprête à proposer des « #centres_de_retour » pour les migrants

    La Commission européenne réfléchit à une nouvelle législation européenne sur le #retour des migrants, alors que de nombreux pays insistent sur la nécessité d’adopter une ligne dure.

    La Commission européenne est désormais prête à inclure les « centres de retour » situés en dehors des frontières de l’Union et à partir desquels les migrants peuvent être renvoyés dans leur pays d’origine dans une prochaine proposition législative visant à accélérer le retour des demandeurs d’asile déboutés. Cette information émane des « minutes » d’une réunion informelle des ministres de l’Intérieur de l’UE qui s’est tenue la semaine dernière et qu’euronews a pu consulter.

    Lors du Conseil informel qui s’est tenu à Varsovie le 30 janvier, le nouveau commissaire autrichien à l’immigration, Magnus Brunner, a discuté de propositions « innovantes » pour la gestion de l’immigration avec des représentants des Etats membres de l’espace Schengen et des institutions de l’UE (https://fr.euronews.com/my-europe/2024/10/15/delocalisation-des-migrants-hors-de-lue-la-commission-europeenne-favora). A ce stade, il a surtout été question de la #législation sur les #retours, d’après le compte-rendu.

    Les réunions informelles du Conseil sont des rassemblements réguliers des États membres et des institutions de l’UE, organisés par la présidence tournante du Conseil de l’UE, cette fois-ci dirigée par la Pologne, qui a accueilli l’événement dans sa capitale.

    Interrogé par euronews, un porte-parole de la Commission a refusé de commenter les informations divulguées.

    La proposition de l’UE visant à accélérer le retour des migrants devrait être publiée par la Commission dès la fin de ce mois, donnant ainsi le coup d’envoi du processus législatif.

    Le commissaire Brunner a proposé des « règles plus strictes en matière de #détention » et la « possibilité de développer des centres de retour » au cours de la réunion, selon le document.

    Les centres de retour sont des lieux proposés en dehors de l’UE, où les personnes dont la demande d’asile a été rejetée au sein de l’Union pourraient être envoyées avant d’être renvoyées dans leur pays d’origine. C’est le genre de solution que l’Italie a déjà mis en place après un accord avec l’Albanie, mais qui soulève beaucoup de questions juridiques.

    L’#Autriche, la #Bulgarie, la #République_tchèque, le #Danemark, l’#Allemagne, la #Grèce, l’#Italie, la #Lettonie et #Malte ont accueilli favorablement la proposition de centres de retour et l’ont décrite comme « un moyen de #dissuasion possible de l’#immigration_irrégulière ».

    Les décisions en matière d’immigration sont prises à la majorité qualifiée, ce qui signifie qu’au moins 15 des 27 États membres représentant au moins 65 % de la population de l’Union européenne doivent approuver la proposition.

    Lisbonne et Madrid ont émis des doutes

    D’autres Etats membres, tels que le Portugal et l’Espagne, ont émis des « #doutes » d’un point de vue juridique et opérationnel, tandis que d’autres, tels que l’Irlande et la Belgique, ont « souligné la nécessité de mesures réalistes et réalisables, dans le respect des #droits_fondamentaux », selon le compte-rendu.

    Lors de son audition de confirmation au Parlement européen à l’automne dernier, M. Brunner avait déclaré que l’Union européenne devait rester « ouverte » à l’exploration de « nouvelles idées » pour freiner l’immigration irrégulière.

    L’établissement de ces centres pourrait se faire d’une manière « humaine et juridiquement saine », avait-il déclaré à l’époque, ajoutant qu’une réflexion plus approfondie était nécessaire pour « découvrir à quoi ce type de concept pourrait ressembler » dans la pratique.

    Les organisations humanitaires ont déjà rejeté cette initiative, affirmant que ces centres conduiraient à des détentions sans fin et à des souffrances endémiques. La législation européenne actuelle interdit aux autorités d’envoyer des migrants contre leur gré dans des pays avec lesquels ils n’ont pas de lien.

    Mais la pression politique exercée pour améliorer le #taux_d'expulsion a eu raison de ces avertissements, favorisant une approche plus stricte dans de nombreux États membres.

    La présidente de la Commission, #Ursula_von_der_Leyen, a également soutenu fermement les « centres de retour » dans une lettre adressée aux dirigeants de l’UE avant un sommet de deux jours à Bruxelles dominé par les discussions sur l’immigration en octobre dernier. Dans cette lettre, Mme Von der Leyen estimait qu’un protocole de migration conclu entre l’Italie et l’Albanie - qui a fait l’objet d’une contestation juridique - pourrait déterminer les prochaines étapes de la politique migratoire de l’UE.

    Autres détails de la future #loi

    Mme Brunner a également proposé d’introduire une obligation pour les personnes renvoyées de « coopérer et d’énoncer des conséquences claires » en cas de non-respect des règles, de renforcer les règles pour les « personnes renvoyées qui représentent une #menace_pour_la_sécurité » et de faciliter la reconnaissance mutuelle des décisions de retour au sein de l’Union.

    Les ministres du Danemark, de l’Islande, du Liechtenstein, de la Lituanie, de Malte, de la Norvège, de la Roumanie, de la Slovénie et de la Suède ont salué les « obligations claires des rapatriés et les sanctions » pour ceux qui refusent de coopérer.

    Plusieurs pays ont accepté l’idée d’une #reconnaissance_mutuelle des décisions de retour entre les Etats membres, la France étant la seule à s’y opposer totalement, selon le compte-rendu.

    L’Espagne, soutenue par le Portugal, la Roumanie, la Slovaquie et l’Islande, a demandé un renforcement du rôle de #Frontex, l’agence européenne des frontières, pour les retours. L’agence « a accepté la proposition [...] et a souligné la nécessité d’avoir des ressources adéquates pour cela », selon le compte-rendu.

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé dans son discours de réélection l’été dernier qu’elle avait l’intention de tripler le personnel de Frontex.

    Enfin, le document indique que la plupart des Etats membres considèrent qu’il est préférable de rédiger la loi sous la forme d’une #directive plutôt que d’un #règlement, afin de donner aux Etats membres plus de #flexibilité dans son #application.

    Suspension du #droit_d'asile

    Le procès-verbal fait également état d’une discussion sur le trafic de migrants aux frontières de la Russie et du Bélarus, sous le titre « #armement_des_migrants ».

    M. Brunner a rappelé aux États membres qu’ils peuvent prendre les « mesures nécessaires pour s’opposer aux acteurs hostiles » qui envoient des migrants aux frontières de l’UE. Cependant, toute action contre ces #acteurs_hostiles pouvant avoir un impact sur les demandeurs d’asile doit être considérée comme une « mesure exceptionnelle » et doit être conforme au droit international, a-t-il déclaré.

    À cet égard, la Suède a présenté la #suspension des régimes d’asile « dans des circonstances exceptionnelles » comme une réponse possible à ces « acteurs hostiles ».

    Cette idée reflète des initiatives similaires prises récemment par la Finlande et la Pologne.

    Prochaines étapes

    Après la publication de la proposition sur le retour des demandeurs d’asile, la Commission européenne entamera son processus législatif, qui dure généralement deux ans.

    Le commissaire Brunner sera chargé de mettre en œuvre le nouveau #pacte_pour_l'immigration_et_l'asile, la réforme de grande envergure que l’#Union_européenne a achevée en mai après près de quatre ans de négociations acharnées. Le Parlement considère le nouveau pacte comme une réussite historique et souhaite que tous les États membres se conforment aux nouvelles règles.

    Cependant, la Pologne et la Hongrie ont ouvertement déclaré qu’elles ne le feraient pas, ce qui alimente les craintes que la réforme complexe ne s’effondre avant d’avoir eu la chance de produire des résultats.

    Le nouveau commissaire s’est engagé à poursuivre en justice ceux qui ne respectent pas les règles. « Si cela s’avère nécessaire et justifié, des procédures d’infraction pourraient être engagées », a-t-il déclaré.

    https://fr.euronews.com/my-europe/2025/02/04/exclusif-la-commission-europeenne-sapprete-a-proposer-des-centres-de-re
    #migrations #asile #réfugiés #expulsions #innovation #renvois #guerre_hybride #externalisation

    via @karine4

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’#accord entre #Italie et #Albanie pour la construction de #centres d’accueil (sic) et identification des migrants/#réfugiés sur le territoire albanais...

    https://seenthis.net/messages/1043873

  • PFAS : l’eau potable en France est massivement contaminée par les « polluants éternels », notamment à Paris


    A Paris, en 2020. FRANCK FIFE / AFP

    Deux campagnes distinctes menées par le laboratoire Eurofins et les associations UFC-Que choisir et Générations futures révèlent des concentrations élevées en acide trifluoroacétique (TFA).
    Par Raphaëlle Aubert, Stéphane Foucart, Stéphane Horel et Stéphane Mandard

    En France, la #contamination de l’#eau_potable par les « polluants éternels » (#PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées) atteint des niveaux insoupçonnés. Deux campagnes de mesures, rendues publiques jeudi 23 janvier, et conduites séparément par l’association de consommateurs UFC-Que choisir et l’ONG environnementale Générations futures d’une part, et par le laboratoire d’analyse Eurofins d’autre part, suggèrent que la quasi-totalité des Français sont exposés à ces substances toxiques par le biais de l’eau de boisson, et dans la grande majorité des cas à des taux excédant le seuil théorique de qualité.

    Au total, une centaine d’échantillons d’eau du robinet ont été prélevés dans les principales agglomérations de métropole et des zones rurales proches, ou non, de sites industriels.

    Dans les deux enquêtes, l’acide trifluoroacétique (#TFA) présente les concentrations les plus élevées en plus d’être ubiquitaire, une caractéristique due à la chaîne ultracourte de carbone-fluor qui le constitue et fait de lui le plus petit des PFAS. Le TFA présente des indices de toxicité pour le foie ; l’Allemagne a proposé son classement comme toxique pour la reproduction et une demande est à l’étude à l’Agence européenne des produits chimiques.

    Fortes concentrations à Paris

    L’UFC-Que choisir et Générations futures ont effectué des prélèvements dans trente communes entre juin et novembre 2024. Confiées au laboratoire indépendant Ianesco, les analyses révèlent des niveaux parfois très élevés. Le record est détenu par Moussac (Gard), avec 13 000 nanogrammes par litre (ng/L) de TFA dans l’eau distribuée. Rien de très surprenant, la commune étant proche de Salindres, où une usine du groupe Solvay a produit du TFA jusqu’en septembre 2024.

    Plus étonnant, en revanche, les fortes concentrations mises en évidence à #Paris : 6 200 ng/L mesurés dans un échantillon prélevé en novembre 2024 dans le 10e arrondissement, soit une concentration 62 fois supérieure au seuil de qualité en vigueur pour les métabolites de pesticides pertinents (100 ng/L), auquel le TFA devrait être soumis. Le TFA est issu de la dégradation de multiples polluants éternels utilisés par de nombreux secteurs industriels, mais il est aussi un métabolite de plusieurs pesticides comme le flufénacet ou le fluopyram, annuellement épandus par dizaines de tonnes dans les zones agricoles.

    Or, pour les métabolites de pesticides potentiellement toxiques (dits « pertinents »), la limite de qualité dans l’eau potable est fixée par la réglementation à une concentration de 100 ng/L. Mais dans le cas du TFA, alors même que la Commission européenne le considère comme « un métabolite pertinent » en raison de sa « toxicité préoccupante » pour le développement, en France, la #direction_générale_de_la_santé a discrètement choisi de déroger à cette #norme.
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2025/01/23/pfas-l-eau-potable-des-francais-massivement-contaminee-par-les-polluants-ete

    #pollution #santé

    • Dans une note publiée le 23 décembre 2024, la direction générale de la santé annonce s’aligner sur les valeurs provisoires de l’Allemagne, soit une valeur sanitaire de 60 000 ng/L (au-dessous de laquelle le risque est présumé nul), et « une trajectoire de réduction vers une concentration inférieure à 10 microgrammes par litre [soit 10 000 ng/L] ». C’est cent fois plus que le seuil de 100 ng/L, qui s’applique en théorie à tous les métabolites de #pesticides problématiques, et qui doit s’appliquer à partir de 2026 aux vingt PFAS jugés « prioritaires » dans l’Union européenne, dont le TFA ne fait pour l’instant pas partie. Pour l’heure, les pays européens avancent en ordre dispersé. Par exemple, les Pays-Bas ont établi une valeur-guide sanitaire de 2 200 ng/L pour le TFA dans l’eau potable.

      « L’interdiction pure et simple »

      Au total, le TFA a été détecté dans 24 des 30 prélèvements réalisés par l’UFC-Que choisir et Générations futures, et au-dessus de 100 ng/L dans 66 % des échantillons. Hormis Paris, d’autres agglomérations sont concernées mais à des niveaux moindres : Fleury-les-Aubrais (Loiret), près d’Orléans (1 600 ng/L), Lille (290 ng/L), Rouen (250 ng/L), Metz (230 ng/L), Mulhouse (140 ng/L)…
      « Nous suivons de très près le sujet des PFAS, qu’on retrouve partout en France dans l’eau, les aliments, les produits de consommation. La présence de traces de TFA dans les eaux distribuées à Paris est identifiée, même s’il n’est pas réglementé et que nous ne connaissons pas sa toxicité, réagit Dan Lert, président de la régie Eau de Paris. Il faut sans délai réaffirmer la priorité à donner à la prévention à la source de ces pollutions. Elles contaminent non seulement la ressource en eau, mais de façon plus générale et dans des proportions sans doute très supérieures, l’alimentation et l’environnement. L’urgence pour réduire l’exposition globale aux polluants, c’est l’interdiction pure et simple de ces PFAS. »

      Les résultats d’Eurofins sont encore plus alarmants. Dans 61 des 63 échantillons prélevés par le laboratoire dans autant de communes en novembre 2024, le TFA est mesuré à des concentrations supérieures au seuil de 100 ng/L. Jusqu’à 35 fois plus, à Marange-Silvange, près de Metz, en Moselle. L’ordre de grandeur de la contamination est comparable à celui de Nantes (2 700 ng/L), La Rochelle (2 500 ng/L) ou Palaiseau (2 500 ng/L) en Essonne. Dans le milieu du classement, Rennes (1 100 ng/L), Lyon (920 ng/L), Nancy (830 ng/L) ou Marseille (760 ng/L) se situent sous la valeur sanitaire néerlandaise, mais encore largement au-dessus du seuil des 100 ng/L.

      « D’autres études réalisées en Europe ont montré des concentrations élevées en TFA dans les eaux de consommation, il était donc cohérent de mener une étude comparable en France, dit Coralie Sassolat, directrice générale des laboratoires Eurofins Hydrologie France. Cependant, nous avons été surpris par les niveaux de concentration mesurés. Nous voulions savoir si les PFAS à chaînes courtes et ultracourtes sont présents dans les eaux de consommation, parce qu’il n’y avait pas, à notre connaissance, d’étude sur le sujet en France, alors que nous en possédons déjà la capacité d’analyse. »
      Augmentation de TFA dans le sang

      Déjà problématique, la situation s’aggrave à un rythme soutenu. « La concentration de TFA augmente rapidement dans l’eau, le sol, les plantes, les jus de fruits, le vin, et donc dans le sang également, explique Hans Peter Arp, chimiste environnemental à l’université norvégienne de sciences et technologies. Cette augmentation est plus rapide depuis 2010, en raison de l’utilisation croissante de certains gaz réfrigérants, pesticides et produits pharmaceutiques dont le TFA est un sous-produit. »

      Ce spécialiste des polluants éternels estime que, sur la base des tendances actuelles, « il ne serait pas surprenant que dans les cinq prochaines années, la concentration moyenne dans l’eau potable en France dépasse le seuil de 2 200 ng/L fixé par les Pays-Bas ». « Le TFA étant très persistant et difficile à éliminer de l’environnement, seules des restrictions de ces substances peuvent empêcher cette augmentation », ajoute le chercheur.

      C’est également l’avis de l’UFC-Que choisir et de Générations futures. Les associations demandent au gouvernement d’appliquer le « principe de précaution » en adoptant « des normes plus strictes et protectrices », en renforçant les contrôles sur les rejets des industriels et en interdisant tous les pesticides classés comme PFAS (37 molécules autorisées en Europe). Les ONG exhortent par ailleurs les parlementaires à voter définitivement la proposition de loi, adoptée en première lecture, visant à protéger la population des risques liés à aux PFAS en restreignant leur usage. Elle sera à l’ordre du jour de la niche parlementaire du groupe Ecologiste et social le 20 février.

      (heureusement, on nous vend aussi des alicaments)

      #alimentation #DGS ... #polluants_éternels

    • https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_trifluoroac%C3%A9tique

      L’acide trifluoroacétique (TFA) est considéré comme le plus petit des polluants éternels (PFAS)14. Sa présence est identifiée15 dans les résultats d’analyse publiés le 10 juillet 2024 par les associations du Réseau d’action contre les pesticides (PAN Europe) concernant l’eau du robinet (34 prélèvements sur 36 dans onze pays) et les eaux minérales (12 sur 19) consommées par les Européens16. Issu de la dégradation de pesticides, l’acide trifluoroacétique est considéré par les scientifiques comme une « menace planétaire » en raison de son extrême persistance17.

  • #meshlet_compression#Mesh_shaders on AMD #RDNA™ graphics cards
    https://gpuopen.com/learn/mesh_shaders/mesh_shaders-meshlet_compression

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources We show how to diminish the memory footprint of meshlet geometry, thus both the index buffer and the vertex attributes. Decompression then happens on the fly on every frame in the mesh shader.

    #Article #DirectX #DirectX_12 #GPU #mesh_shaders_on_amd_rdna™_graphics_cards

  • #Michel_Barnier :

    Avec les ministres @Antonio_Tajani et @Piantedosim, nous avons acté la création d’une brigade commune d’investigation contre le trafic de migrants à la frontière franco-italienne. La coopération bilatérale entre nos pays, au sein de l’Union européenne, est essentielle. L’Italie est en première ligne dans la lutte contre l’immigration irrégulière en Europe. La France et l’Italie soutiennent la révision de la directive Retour, nécessaire au renforcement de l’efficacité de nos procédures d’éloignement. Nous appelons avec @Antonio_Tajani
    à en faire une priorité du mandat de la nouvelle Commission européenne.

    https://x.com/MichelBarnier/status/1847334082507588054
    #frontière_sud-alpine #migrations #frontières #coopération #Italie #France #directive_Retour #éloignement #brigade_commune #patrouilles_mixtes #réfugiés #asile #Vintimille #Menton #Alpes_Maritimes

    • Donc, je regarde la série Warrior qui raconte le choc raciste contre les Chinois dans le San Francisco du XIXe siècle.

      Et ce qui y est raconté, c’est la manière dont les politique excitent la population contre les immigrés pour pouvoir leur écraser la gueule et rendre leur travail très bon marché pour les patrons tout en s’en foutant plein les poches.

  • Expulsions de migrants : la Commission européenne souhaite « explorer la possibilité de centres de retour hors UE » - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/60590/expulsions-de-migrants--la-commission-europeenne-souhaite-explorer-la-

    Expulsions de migrants : la Commission européenne souhaite « explorer la possibilité de centres de retour hors UE »
    Par La rédaction Publié le : 16/10/2024
    Dans une lettre adressée lundi aux vingt-sept États membres, la présidente de la Commission européenne a appelé à tirer les « leçons » d’un accord scellé par Rome et Tirana, pour envoyer hors de l’UE - en Albanie - les migrants interceptés en mer par les autorités italiennes. Sur ce même modèle, Ursula von der Leyen propose de transférer les exilés non éligibles à l’asile dans des centres en dehors de l’UE.
    La présidente de la Commission européenne cèderait-elle aux sirènes de l’extrême droite ? Lundi 14 octobre, Ursula von der Leyen a envoyé une lettre aux vingt-sept États membres de l’Union européenne (UE) pour faire part de son intention de proposer une nouvelle loi facilitant l’expulsion de migrants en situation irrégulière.
    Parmi les mesures évoquées, la responsable européenne mentionne une proposition inflammable : celle de transférer les migrants dans des centres d’accueil de pays tiers. Ce qu’Ursula von der Leyen appelle des « hubs de retour ». Elle ouvre ainsi la porte à la création de centres de rétention et d’expulsion des demandeurs d’asile dans des pays extérieurs à l’UE.
    « Nous devrions (...) explorer les possibilités de développer des centres de retour en dehors de l’UE, en particulier dans la perspective d’une nouvelle proposition législative sur les retours », écrit-elle dans sa lettre. La présidente de la Commission s’inspire directement du modèle italien, en appelant à « tirer les leçons » d’un accord scellé entre la Première ministre d’extrême droite italienne Giorgia Meloni et son homologue albanais, Edi Rama.
    Signé en novembre 2023, ce texte inédit prévoit le transfert vers l’Albanie des migrants interceptés en mer par les autorités italiennes – hors personnes vulnérables. Un premier groupe de 16 exilés est arrivé mercredi en Albanie après avoir été récupéré dimanche dans les eaux internationales par les gardes-côtes italiens. Au total, Rome prévoit l’accueil de 36 000 personnes chaque année dans ces structures.
    Cette proposition d’Ursula von der Leyen est soutenue par 15 États membres, notamment l’Italie et la Hongrie du conservateur Viktor Orban. De telles discussions étaient « impossibles » au sein de l’Union il y a quelques années, souligne à l’AFP un responsable européen. Mais « le débat a évolué », « vers la droite » de l’échiquier politique, relève-t-il. Cette mesure ne fait pas l’unanimité et provoque déjà la polémique. Pour l’eurodéputée française du parti Renew, Fabienne Keller, elle est « contraire aux valeurs de l’Union européenne » et « inadmissible ». « L’acceptation du concept italien d’externalisation des demandes d’asile » est « extrêmement choquante », juge-t-elle au micro de France info.
    Ursula von der Leyen souhaite également revoir la « directive retour » de 2008, après que plusieurs pays européens ont réclamé sa révision. Âprement négocié à l’époque, ce texte harmonise les règles au sein de l’UE pour expulser des migrants en situation irrégulière dans des pays tiers, tout en leur garantissant des voies de recours devant la justice. Par exemple, avant un éloignement forcé, une décision de reconduite doit laisser à l’étranger concerné « un délai approprié », allant de 7 à 30 jours pour un départ « volontaire », sauf en cas de risque de fuite ou de danger pour l’ordre public.
    Et les « mesures coercitives » comme le placement en rétention (CRA) avant une expulsion ne peuvent intervenir qu’en « dernier ressort ».
    Cette loi autorise au sein de l’UE un maximum de 18 mois de rétention pour les personnes en situation irrégulière. Après l’expulsion, elle permet un bannissement de cinq ans du territoire des Vingt-Sept.
    En 2008, ces mesures avaient déjà hérissé les défenseurs des droits humains qui fustigeaient une « directive de la honte ». Dix ans plus tard, une première tentative de révision de ce texte avait échoué.
    Alors que le Parlement européen penche de plus en plus à droite, Ursula von der Leyen va aujourd’hui dans le sens de 15 États membres, dont la France et l’Allemagne, qui ont récemment signé une note de travail initiée par l’Autriche et les Pays-Bas pour durcir les règles de cette directive. La Commission veut « rationaliser efficacement le processus de retour ». Actuellement, moins de 20% des décisions d’expulsion de migrants en situation irrégulière sont suivies d’effet dans l’UE.
    En France, le nouveau ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui affiche sa fermeté en matière migratoire, en a fait son cheval de bataille. Ce tenant de la droite conservatrice accuse la directive de 2008 de rendre « quasiment impossibles les retours » et pointe du doigt la jurisprudence de la Cour de justice de l’Union européenne, qu’il juge trop laxiste. Ces propositions d’Ursula von der Leyen interviennent alors que l’Union européenne vient d’adopter le Pacte asile et migration en mai dernier. Ce Pacte, qui doit entrer en vigueur mi-2026, durcit déjà les contrôles et établit un mécanisme de solidarité entre les Vingt-Sept dans la prise en charge des demandeurs d’asile. Dans sa lettre aux dirigeants européens, la présidente de la Commission européenne propose d’accélérer la mise en œuvre de ce Pacte afin d’aider les gouvernements à mieux gérer leur accueil et les procédures de traitement des demandes d’asile, ainsi que de combler les lacunes entre les processus d’asile et de retour.
    Des eurodéputés appellent à mettre en place ce Pacte avant de voter une nouvelle loi sur l’immigration. « Ce n’est pas en produisant beaucoup de nouvelles lois qu’on va résoudre des problèmes », estime la députée européenne Fabienne Keller. « La priorité n’est pas de rouvrir un débat inflammable, pour contenter l’extrême droite, mais de concentrer notre énergie sur l’application du Pacte Asile et migration, qui prévoit une nouvelle procédure à la frontière pour maîtriser l’immigration irrégulière », affirme-t-elle sur sa page X.

    #Covid-19#migrant#migration#UE#politiquemigratoire#pactemigratoire#asile#retour#droit#expulsion#directiveretour#hubretour#sante

  • La garrigue ardéchoise dévorée par le photovoltaïque
    https://reporterre.net/La-garrigue-ardechoise-devoree-par-le-photovoltaique

    Derrière l’entreprise Soleil du Varlet, on trouve deux entrepreneurs locaux et la société Verso Energy, capable d’investir 1 milliard de dollars dans l’hydrogène. Cette dernière appartient à Xavier Caïtucoli, cofondateur de l’entreprise Direct Énergie, rachetée par TotalEnergies en 2018.

    #agrivoltaïsme

  • ABC Australia tente d’évaluer l’ampleur prise par l’application de la directive Hannibal le 7 octobre.

    Israeli forces accused of killing their own citizens under the ’Hannibal Directive’ during October 7 chaos
    https://www.abc.net.au/news/2024-09-07/israel-hannibal-directive-kidnap-hamas-gaza-hostages-idf/104224430

    In July, the Israeli newspaper Haaretz revealed commanders in the IDF gave the order to fire on troops who had been captured by Hamas at three separate locations, explicitly referencing the Hannibal Directive.

    One former Israeli officer, Air Force Colonel Nof Erez, told a Haaretz podcast the directive was not specifically ordered but was “apparently applied” by responding aircrews.

    Panicked, operating without their normal command structure and unable to coordinate with ground forces, they fired on vehicles returning to Gaza, knowing they were likely carrying hostages.

    “This was a mass Hannibal. It was tons and tons of openings in the fence, and thousands of people in every type of vehicle, some with hostages and some without,” Colonel Erez said.

    Air force pilots described to Yedioth Ahronot newspaper the firing of “tremendous” amounts of ammunition on October 7 at people attempting to cross the border between Gaza and Israel.

    “Twenty-eight fighter helicopters shot over the course of the day all of the ammunition in their bellies, in renewed runs to rearm. We are talking about hundreds of 30-millimetre cannon mortars and Hellfire missiles,” reporter Yoav Zeitoun said.

    “The frequency of fire at the thousands of terrorists was enormous at the start, and only at a certain point did the pilots begin to slow their attacks and carefully choose the targets.”

    An Israeli Apache helicopter loaded with missiles flies through clear blue sky.
    Israel reportedly enacted the Hannibal Directive at midnight on October 7. (Reuters: Ammar Awad)

    Tank officers have also confirmed they applied their own interpretation of the directive when firing on vehicles returning to Gaza, potentially with Israelis on board.

    “My gut feeling told me that they [soldiers from another tank] could be on them,” tank captain Bar Zonshein told Israel’s Channel 13.

    Captain Zonshein is asked: “So you might be killing them with that action? They are your soldiers.”

  • Acqua potabile gratuita: un miraggio?
    https://www.balcanicaucaso.org/aree/Europa/Acqua-potabile-gratuita-un-miraggio-232819

    Una direttiva europea invita bar e ristoranti a offrire gratuitamente acqua del rubinetto ai loro clienti, e i comuni a realizzare fontanelle potabili. Non mancano però i ritardi e le resistenze: uno sguardo alla situazione in Grecia e Bulgaria

  • Alla ricerca di litio nei pozzi della #valle_di_Baccano

    I vecchi siti geotermici individuati da #Enel nel #Lazio potrebbero contenere importanti quantità del materiale critico fondamentale per la transizione. Due aziende australiane hanno già ottenuto i permessi di ricerca nonostante lo status di area protetta della zona. Promettendo un’estrazione a zero emissioni e impatti. Ma i dubbi sulla sostenibilità ambientale ed economica del progetto rimangono

    “Ecco, qui siamo al centro della valle. L’acqua non è presente, ma se facciamo una buca a neanche due metri troviamo la prima falda”, racconta Alessandro Mecali, geologo consulente del Parco di Bracciano-Martignano nel Lazio, facendo strada a piedi tra la vegetazione della valle di Baccano, chiusa a cerchio dalle colline.

    Siamo nel punto più basso di una conca che nasconde una potenziale miniera, un vecchio cratere vulcanico che fino al XIX secolo ospitava un lago, prosciugato dalla famiglia Chigi nel 1838. L’area è compresa nel Comune di Campagnano, 20 chilometri a Nord dal Grande Raccordo Anulare. L’intera valle è soggetta a vincolo paesaggistico ed è compresa tra due parchi regionali protetti: il Parco di Veio e quello di Bracciano-Martignano, appunto.

    Avanziamo tra le sterpaglie alla ricerca di qualche vecchio pozzo geotermico. Dopo un’ora di cammino, riusciamo a individuare quello che il ministero dell’Ambiente e sicurezza energetica denomina “Pozzo Cesano 8″. Mecali è raggiante: “Non avevo mai visto questi pozzi perché, quando sono stati realizzati, ero piccolissimo”. Un quadrato in cemento, quattro metri per quattro, immerso tra canne e arbusti secchi. Un pozzo anonimo, ma che potrebbe nascondere un tesoro.

    Negli anni Settanta del Novecento, l’Enel qui era impegnata con ricerche sull’energia geotermica. Gli studi rivelarono una forte concentrazione di litio in serbatoi d’acqua ad alte temperature sepolti nelle viscere della valle. Il progetto fu abbandonato, il litio geotermico ritenuto non troppo degno di nota e i vecchi pozzi furono cementati in attesa del domani. Quel domani è arrivato.

    Oggi il litio è chiamato “oro bianco”. È elencato tra le 34 materie critiche fondamentali alla transizione ed è uno dei materiali più ricercati al mondo poiché serve, tra altre cose, a immagazzinare energia nelle batterie delle auto elettriche. Basti pensare che nel 2022 è stato venduto per oltre 80mila dollari alla tonnellata.

    Proprio nel 2022 uno studio dell’Istituto di geoscienze e georisorse di Pisa (Igg) ha elencato le aree più promettenti per il litio geotermico in Italia. “Questo argomento è diventato molto attuale -spiega Andrea Dini, primo ricercatore dell’Igg-. Il nostro è un inventario. Non di miniere, perché quelle vengono aperte quando si sa che c’è un giacimento, ma delle zone più promettenti per il litio”.

    Il luogo che stiamo visitando, la caldera di Baccano, è appunto tra queste. “Siamo usciti con questo studio che ha smosso un po’ le acque. Ma l’argomento era già nell’aria”, commenta Dini. Tanto che questa valle ha attirato attenzione su di sé persino da oltreoceano.

    Due gruppi estrattivi australiani, la Vulcan Energy e l’Altamin, hanno ottenuto tra il 2021 e il 2022 permessi di ricerca di litio geotermico nella valle di Baccano. In particolare, la Vulcan ha già siglato contratti di fornitura con gruppi automobilistici e avviato una collaborazione con Enel green power, che detiene i dati delle vecchie ricerche ed è leader globale nella geotermia. Le società richiedenti stanno valutando i dati d’archivio senza esplorazioni geofisiche.

    Nel Lazio sono state approvate licenze di ricerca anche in altre località. “Nella richiesta presentata all’Ente parco, c’era una planimetria con una vasta area che andava da Sutri, Monterosi, Nepi, Campagnano, Formello e arrivava fino a Cesano”, racconta Marsilio Gregori, geometra del Parco di Veio. Lo incontriamo nella sede di Sacrofano, uno dei luoghi per i quali è stato chiesto un permesso di ricerca.

    Permessi che a volte suscitano dubbi. Nella valle di Baccano, in particolare, la Regione Lazio ha concesso due licenze contigue, stabilendo che non comportano interferenze con l’ambiente. Eppure, sono in molti a non fidarsi. “Non siamo per niente contenti di questa storia”. “Siamo contrari. Dovranno pur fare un sondaggio tra la popolazione”. “Da quanto ho capito, se vogliono espropriano”. “Io abito qui dietro. Non possiamo nemmeno collegarci alla rete del gas, perché siamo in area vincolata, e quelli pensano alla miniera di litio”. Sono gli umori raccolti tra i residenti della valle mentre, seduti al bar “Il Baccanale”, prendiamo un caffè prima di incamminarci. Ma il timore è fondato?

    Il sindaco di Campagnano, Alessio Nisi, dice che “per come viene descritto il modello di estrazione del litio in Italia e Germania, si tratta di una tecnica sostenibile che non impatta sull’ambiente”. Il progetto Zero carbon lithium si basa su una metodologia sperimentale, la Direct lithium extraction, e cioè la produzione di litio da acque geotermiche. Rispetto ai metodi tradizionali, ha un basso impatto ambientale e non produce emissioni. Quando si parla di estrazione di litio, viene in mente l’estensione delle cave australiane o le distese desertiche cilene. Un impatto inaccettabile in una zona come questa, con ampie aree protette.

    Per Dini, il ricercatore dell’Igg, non è così: “È un metodo molto meno impattante rispetto a quanto si vede nel deserto di Atacama, in Cile. Lì, l’impatto è enorme. Basta andare su Google Earth e ci si rende conto”. Qui si tratterebbe invece di individuare il giacimento in profondità e portare l’acqua ricca di litio in superficie con pozzi profondi a circuito chiuso. “L’acqua calda si fa passare attraverso un impianto industriale dove si estrae il litio in maniera selettiva. Rimane un fluido esausto che non viene rilasciato nell’ambiente, ma reimmesso in profondità nel giacimento per ricaricare il sistema”, conclude Dini.

    Il geologo Alessandro Mecali aggiunge una considerazione: “Quando si fa sperimentazione è fondamentale il monitoraggio continuo e verificare se ci sono abbassamenti del terreno. Altro discorso è l’impianto. Devono essere adottate tecniche innovative anche lì, visto che siamo dentro a un parco”. In teoria, la ricerca scientifica sembra escludere effetti negativi nell’uso di questa tecnica. Ma resta ancora tutto da vedere.

    “A oggi, si parla solo di ricerca, non di nuovi fori -riprende il geometra del Parco di Veio durante la nostra visita a Sacrofano-, c’è un vincolo di interesse paesistico nella valle di Baccano, ma con parere speciale delle autorità è aggirabile. In più, siamo tra due parchi. Secondo l’articolo 8, legge regionale 29/97, nelle aree protette è vietata l’estrazione”. Cerchiamo di capire che cosa potrebbe succedere se si dovesse passare a una fase estrattiva in zone protette. Per ragioni di pubblica utilità, la giunta regionale può autorizzare deroghe alle misure di salvaguardia, prescrivendo le modalità per tutelare i luoghi. La giunta potrebbe, cioè, approvare, a condizione che vengano rispettati limitazioni e controlli a spese del proponente. Ma il decreto legge sulle materie prime critiche del 25 giugno 2024, che adegua la normativa nazionale alle disposizioni europee, supera queste considerazioni: dalla data in cui la Commissione europea li riconosce come strategici, i progetti assumono la qualità di pubblico interesse nazionale e gli interventi necessari alla realizzazione sono “indifferibili e urgenti”.

    Il sindaco di Campagnano propone di individuare soluzioni a lungo termine, in un quadro di partenariato pubblico-privato, così da coinvolgere i Comuni interessati. “Che impatti positivi si vogliono immaginare per Campagnano? Se un’area ha una data risorsa, facciamo in modo di utilizzarla coinvolgendo il territorio in un percorso virtuoso”. Già perché la domanda latente sulla bocca di tutti è sempre la stessa: chi beneficerà di questa risorsa? Sarà equo il corrispettivo previsto a favore delle comunità locali? O forse le società minerarie dovranno ricorrere a incentivi pubblici per far fronte alla concorrenza globale? Ma, soprattutto, quanto litio si può estrarre da qui? Su questo risponde Alessandro Mecali di ritorno dall’escursione: “Dipende dalle dimensioni del serbatoio. Ci sono stratigrafie, i dati dell’Enel, si può calcolare”. Quindi occorre considerare costi-benefici e la durata operativa dell’impianto. “È quanto stanno valutando queste società”, conclude.

    Restano ancora molti nodi da sciogliere prima di vedere se l’oro della valle luccicherà davvero. Non ultima la questione del prezzo. Il formidabile crollo dei prezzi nel 2023 (circa -80%), e il protrarsi del ribasso nel 2024, è forse indicativo di una tendenza? L’offerta del minerale è stata così alta da aver superato la domanda. Si parlerà ancora di oro bianco?

    https://altreconomia.it/alla-ricerca-di-litio-nei-pozzi-della-valle-di-baccano
    #lithium #matières_premières #extractivisme #Italie #Baccano #Critical_raw_material_act (#Crma) #terres_rares #Latium #transition_énergétique #Parco_di_Veio #Parco_di_Bracciano-Martignano #Pozzo_Cesano_8 #caldera_di_Baccano #Vulcan_Energy #Altamin #Enel_green_power #licences #Alessio_Nisi #Campagnano #Direct_lithium_extraction #Zero_carbon_lithium #environnement #géothermie

  • Combinaziones (12)

    Un naufrage démocratique

    Bourrage des urnes.

    Deux députées LFI élues vice-présidentes de l’Assemblée nationale avec les voix du RN.

    Ils ont l’air malins les héraults du « barrage » et du désistement…

    Source AFP et Le Parisien, samedi 20 juillet 2024.

    « Bourrage d’urnes, « scandale démocratique », magouilles politiciennes… L’élection du bureau de l’Assemblée nationale a donné lieu aux premières passes d’armes de la XVIIe législature, ce vendredi, après l’annulation d’un vote, en raison d’un trop grand nombre de bulletins par rapport aux votants. Mais à l’issue des deux tours, ce sont finalement six vice-présidents qui ont été élus, dont deux de la France insoumise, mais aucun du Rassemblement national.

    Dans l’ordre d’élection, voici donc les six vice-présidents de l’Assemblée nationale, qui seront chargés de suppléer Yaël Braun-Pivet en cas d’indisponibilité : Naïma Moutchou (Horizons), Clémence Guetté (LFI), Xavier Breton (LR), Nadège Abomangoli (LFI), élus au premier tour. Puis Annie Genevard (LR) et Roland Lescure (EPR), élus au second. Le premier vice-président étant traditionnellement un membre de l’opposition, c’est à l’Insoumise Clémence Guetté, et non Naïma Moutchou, qu’incombera ce rôle.

    Les deux anciens vice-présidents du RN, Hélène Laporte et Sébastien Chenu, candidats à leur succession, sont donc restés sur le carreau, au grand dam du parti à la flamme. Dans un communiqué publié sur X, la troisième force politique du pays a dénoncé « un scandale démocratique fruit d’accords passés entre la Macronie et Les Républicains et la volonté de l’extrême gauche d’empêcher une juste représentation de 11 millions de Français ».

    Coup de théâtre dans l’hémicycle

    Deux heures et demie après le lancement des opérations de vote, un autre coup de théâtre a mis le feu à l’hémicycle. « À l’issue du dépouillement, il est apparu que dix enveloppes en trop avaient été déposées dans les urnes (…) Nous allons devoir refaire le scrutin dans la mesure où les résultats aboutissaient à de trop faibles écarts », a déclaré la présidente Yaël Braun-Pivet (Renaissance), réélue la veille au perchoir.

    Une source parlementaire a confié à l’AFP n’avoir « aucun précédent en tête » d’une telle situation. « Honte à ceux qui ont pratiqué cette fraude », a tonné dans l’hémicycle le député PS Jérôme Guedj (PS), demandant une enquête et la révision des modalités de vote.
    Salle des Quatre Colonnes, où les députés rencontrent la presse, les élus se montraient désabusés. « Je suis un peu triste du spectacle qu’on donne », a réagi Jean-René Cazeneuve (Ensemble pour la République, ex-Renaissance) au micro de LCP. « Le soupçon par rapport au bourrage d’urnes existe », a relevé le porte-parole de la Droite républicaine, Vincent Jeanbrun.

    Chantre d’une représentation équilibrée de chaque force politique dans les instances de l’Assemblée, le groupe de Marine Le Pen avait annoncé qu’il voterait pour Nadège Abomangoli, Clémence Guetté, Naïma Moutchou, Hélène Laporte, Xavier Breton et Sébastien Chenu.

    Auprès de la presse, les députés de gauche se sont efforcés de décrypter « le coup tactique » du RN, selon les termes de Benjamin Lucas (groupe Écologiste et Social). « Le RN avait perdu. Ce qu’il a cherché à faire là avec son pseudo-coup d’éclat », c’est « masquer le fait qu’ils sont perdants d’office, laisser entendre qu’il pourrait y avoir des retours d’ascenseur etc. », a commenté la députée LFI Sarah Legrain.

    La Macronie fait le choix de s’entendre avec LR

    Dans l’hémicycle, la macronie n’a pas manqué de relever ce soutien inattendu du RN à La France insoumise. « LFI étant élue avec les voix du Rassemblement national, ils pourraient au moins leur serrer la main », a lancé le ministre de l’Intérieur démissionnaire Gérald Darmanin.

    « Vous n’avez, vous les macronistes, aucune leçon à donner à la France insoumise et au Nouveau Front Populaire. C’est vous qui aviez voté en 2022 pour élire des vice-présidents de l’Assemblée nationale » RN, a répliqué la présidente du groupe LFI Mathilde Panot, dans une ambiance tendue, des députés s’échangeant des invectives dans l’hémicycle.

    La macronie, qui avait en 2022 concédé deux vice-présidences au RN, dans le souci d’une représentation équitable des groupes, a cette fois-ci fait le choix de s’entendre avec la droite pour permettre l’élection de Yaël Braun-Pivet.

    Les deux camps briguant au passage un nombre de postes disproportionnés par rapport à leurs poids à l’Assemblée. Le risque pour le camp présidentiel est de se mettre à dos l’ensemble des oppositions, en échange d’une alliance avec LR loin de lui assurer une majorité absolue, l’ensemble pesant 213 députés (contre 289 nécessaires).

    Samedi, ce sont les membres des commissions permanentes qui seront désignés. Ces dernières, séparées par thématiques (lois, finances, éducation…) ont un rôle essentiel dans le travail législatif et le contrôle de l’exécutif. Ses membres sont désignés par les groupes politiques, qui ont droit à un nombre de sièges proportionnel à leur importance numérique dans l’hémicycle. Les présidents des commissions sont élus lors de leur première réunion par leurs membres.

    Selon des sources concordantes, la droite demande la commission des Finances. Mais pour que ce poste lui revienne, il faudra une nouvelle fois que la majorité sortante prenne part au vote, ce qui est contraire aux usages. « Une honte », a dénoncé Manuel Bompard (LFI). »

  • IDF Ordered Hannibal Directive on October 7 to Prevent Hamas Taking Soldiers Captive - Israel News - Haaretz.com
    https://www.haaretz.com/israel-news/2024-07-07/ty-article/.premium/idf-ordered-hannibal-directive-on-october-7-to-prevent-hamas-taking-soldiers-captive/00000190-89a2-d776-a3b1-fdbe45520000

    There was crazy hysteria, and decisions started being made without verified information’: Documents and testimonies obtained by Haaretz reveal the Hannibal operational order, which directs the use of force to prevent soldiers being taken into captivity, was employed at three army facilities infiltrated by Hamas, potentially endangering civilians as well

    #directive_hannibal

  • IDF Report Found Multiple Cases of Friendly Fire Deaths on Oct 7 | News From Antiwar.com
    https://news.antiwar.com/2024/06/20/idf-report-found-multiple-cases-of-friendly-fire-deaths-on-oct-7

    review by the Israel Defense Forces (IDF) set to be released this summer will conclude that Israeli soldiers killed many of their own people on October 7, Israeli media reported. The inquiry is expected to identify multiple failures of the IDF during the Hamas rampage in southern Israel.

    According to Israel’s Channel 12 News*, the IDF report due to be released in mid-July found “many casualties due to our forces firing on our forces.” Tel Aviv has been accused of ordering its soldiers to kill hostages rather than allow Hamas to use them in negotiations, a policy long known as the ‘Hannibal Directive.’

    The IDF’s October 7 review appears to point to incompetence rather than the intentional killing of its own civilians. However, Israeli outlet Ynet’s investigation** of the IDF’s conduct found Tel Aviv had ordered troops to follow the Hannibal policy.

    Still, the conclusions from the forthcoming report will amount to an official admission that scores, if not more, of Israelis were killed by IDF soldiers, not Hamas.

    On October 7, Hamas launched a large-scale assault on southern Israel that left hundreds of attackers, 767 Israeli civilians, and 376 members of the Israeli security forces dead. The Jerusalem Post recently reported that many of the Israeli deaths were caused by IDF overreaction or inaction.

    “According to the report, the probe will find numerous cases of friendly fire errors leading to tragic deaths, groups of IDF soldiers who were too hesitant to confront Hamas invaders (as still others rushed to fight without being formally summoned),” the outlet noted, adding that “higher-up commanders ordering some groups of soldiers to remain in a reserve second-line capacity – when they should have headed into the front, and not knowing how to handle complex battlefield questions involving a hostage.”

    While Tel Aviv has denied that the Hannibal Directive was put into effect and insists it is no longer used, evidence has emerged of Israeli forces firing on homes knowing civilians were inside. One incident in Kibbutz Be’eri left 12 Israeli civilians dead.

    There are multiple probes investigating the IDF’s actions on October 7, though one Israeli government-led inquiry was shut down by the country’s top court this week amid objections from the IDF and a number of senior officials.

    N12 - גילויים חדשים : המסקנות מקרבות 7 באוקטובר
    https://www.mako.co.il/news-military/2024_q2/Article-dce77e424313091026.htm

    * ההוראה : למנוע ממחבלים לחזור לעזה « בכל מחיר », גם אם יש איתם חטופים
    https://www.ynet.co.il/news/article/yokra13754368

    #directive_hannibal

  • L’armée israélienne annonce la mort de quatre otages dans la bande de Gaza
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/06/04/l-armee-israelienne-annonce-la-mort-de-quatre-otages-dans-la-bande-de-gaza_6

    « Nous estimons que les quatre [otages] ont été tués alors qu’ils étaient ensemble dans une zone de Khan Younès [dans le sud de Gaza], lors de notre opération là-bas contre le Hamas », a précisé le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l’armée.

  • Who Is Barak Hiram, the IDF General Who Ordered Tank Fire on a Kibbutz Home With 13 Hostages Inside? https://archive.ph/atX13

    #directive_hannibal

    Did Hiram carry out an “augmented Hannibal procedure,” as a senior officer in Southern Command said (referring to a directive, revoked a few years ago, that allowed for extreme and sometimes fatal measures to be taken to prevent soldiers from being taken hostage)? Or did he act sensibly with the intention of creating a new equation vis-à-vis the entrenched terrorists and prepare the ground for the rescue of the hostages in the house?

    Hiram’s own account is closer to the first analysis. In an interview with The New York Times last December, Hiram related that he had ordered a shell to be fired at the house in an attempt to resolve the situation by nightfall, “even at the cost of civilian casualties.”

    No less disturbing is what Hiram had said a few weeks earlier in an interview on the investigative Channel 12 television program “Fact” on the eve of the ground incursion into the Gaza Strip, when he framed the event as a relative “success” and exaggerated the number of hostages who were rescued alive. Hiram estimated that the force under his command had rescued four hostages from the house, although in practice only two women survived – one of whom had actually been released earlier by the terrorists themselves. Since those two interviews, which thrust him into the heart of the storm, Hiram has kept silent in public. People who spoke with him recently formed the impression that he regrets giving the interviews.

  • #DirectX®12 single shader compilation with Radeon™ GPU Analyzer (RGA) v2.9.1
    https://gpuopen.com/learn/rga-2-9-1-single-d3d12-shader-compilation

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources Radeon™ GPU Analyzer v2.9.1 now supports D3D12 shader compilation without requiring a completely defined pipeline state. #RGA v2.9.1 is available now.

    #Article #Documentation #Single_Blog #DirectX_12 #Radeon_GPU_Analyzer #tools

  • Efrat Katz, tuée le 7 octobre, a probablement été touchée par un tir de Tsahal lors de son enlèvement par le Hamas - The Times of Israël
    https://fr.timesofisrael.com/efrat-katz-tuee-le-7-octobre-a-probablement-ete-touchee-par-un-tir

    Le chef de l’armée de l’air, le général de division Tomer Bar, a déclaré qu’il « n’a trouvé aucune faute dans les opérations de l’équipage de l’hélicoptère, qui a agi conformément aux ordres dans une réalité de guerre complexe ».

    Quels ordres précisément, on ne le saura pas.

    #directive_hannibal