• Compteurs Linky : la Cnil épingle Direct Energie - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2018/03/27/compteurs-linky-la-cnil-epingle-direct-energie_1639237

    Le gendarme des données personnelles a rendu publique une mise en demeure à l’encontre du fournisseur d’électricité. En cause, le recueil de la consommation détaillée de ses clients sans leur consentement « libre, éclairé et spécifique » .

    Tour de vis contre Direct Energie, beaucoup trop gourmande en données issues des compteurs électriques connectés Linky. Ce mardi, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) a rendu publique une mise en demeure adressée le 5 mars au fournisseur d’électricité. En cause : la collecte des données de consommation quotidienne de ses clients sans leur accord préalable, et l’absence de consentement « libre, éclairé et spécifique » au relevé de leur consommation à la demi-heure près.

    Risque pour la vie privée

    Déployés depuis 2015 par Enedis (ex-ERDF), les compteurs d’électricité dits « intelligents » équipent aujourd’hui plus de 8 millions de foyers – ils devraient être 35 millions d’ici 2021. La généralisation des compteurs connectés, prévue par une directive européenne, est d’ailleurs tout sauf consensuelle : plusieurs centaines de communes ont déjà tenté de s’opposer à l’installation de Linky sur leur territoire. Les opposants font notamment valoir les risques sanitaires liés aux ondes électromagnétiques – non avérés à ce jour – et les enjeux de protection de la vie privée : Linky relève en effet la consommation électrique journalière, mais aussi, potentiellement, la consommation heure par heure, et même par demi-heure. Des données « fines » qui, estime la Cnil, peuvent en dire long sur ce qui se passe dans les foyers : « heures de lever et de coucher, périodes d’absence ou nombre d’occupants du logement », par exemple.

    En 2012, la Cnil avait donc publié une recommandation pour encadrer la collecte de ces données. Par défaut, seule la consommation journalière est transmise en continu au gestionnaire du réseau d’électricité, Enedis. Le relevé horaire ou à la demi-heure, lui, nécessite l’accord préalable de l’usager. Et dans tous les cas, le consentement de ce dernier est nécessaire pour toute transmission de ces informations à un autre acteur qu’Enedis, qu’il s’agisse du fournisseur d’électricité – qui ne disposait avant Linky que de la consommation mensuelle des foyers, nécessaire à la facturation – ou d’un acteur commercial.

    « Plusieurs centaines de milliers » de clients concernés

    Or en la matière, Direct Energie a pris plus que ses aises. L’entreprise informe certes ses clients qu’elle recueille via Enedis leur consommation journalière… mais sans leur demander leur accord. Et si elle le fait pour le recueil des données de consommation « détaillées » – sans d’ailleurs préciser que c’est par demi-heure – c’est d’une manière telle que, pour la Cnil, le consentement obtenu « ne peut être considéré comme libre, éclairé et spécifique ». Les clients donnent en effet, via le même formulaire, leur accord à la pose du compteur Linky par Enedis et à la transmission de leur consommation détaillée à Direct Energie : la collecte de données « fines », juge la commission, est ainsi présentée par le fournisseur d’électricité « comme le corollaire de l’activation du compteur », alors qu’il n’en est rien – elle est facultative, quand la pose de Linky est, elle, obligatoire, et ne dépend pas du même acteur. En prime, Direct Energie présente ce recueil de données comme nécessaire pour « assurer une facturation au plus juste ». Sauf que l’entreprise « ne propose pas d’offres basées sur la consommation horaire », relève le gendarme des données personnelles… Autrement dit, la collecte est à la fois clairement hors des clous de la loi informatique et libertés, et injustifiée.

    Au vu du nombre de clients concernés – « plusieurs centaines de milliers » en février – la Cnil a décidé de rendre publique sa mise en demeure pour « sensibiliser les personnes quant à leurs droits et leur capacité de maîtrise sur leurs données de consommation énergétique ». Le fournisseur d’électricité a trois mois pour corriger le tir, mais en tout état de cause, l’épisode a de quoi donner du grain à moudre aux contempteurs des très bavards compteurs « intelligents ».
    Amaelle Guiton

    Allez ! Ça commence déjà ! Ils se servent, c’est trop alléchant tant de données à proximité de clic. Dans un an tout le monde fera pareil et la clic aura beau faire des recommandations et leur tirer les oreilles, ça changera rien. Trop d’intérêt en jeu.
    Résistez au changement de votre compteur, c’est possible. S’il est chez vous il suffit de refuser l’entrée au technicien.
    #linky #big_data #cnil #enedis #compteur_électrique #direct_énergie

  • The roots of the current crisis in #South_Africa
    http://africasacountry.com/2017/03/the-roots-of-the-current-crisis-in-south-africa

    Over the last few weeks it has come to light that South Africa’s Social Security Agency (SASSA) has no idea how it will pay 17 million social (welfare) grants to around 17 million South Africans on April 1. This has understandably caused some concern, with the media, civil society organizations and trade unions accusing the…

    #IT'S_THE_ECONOMY #direct_cash_transfers #SASSA

  • Le prêtre traditionaliste qui soigne l’âme de Vincent Bolloré Les Inrocks d’aprés le Canard Enchaîné
    http://www.lesinrocks.com/2016/12/news/pretre-traditionaliste-soigne-lame-de-vincent-bollore

    Vincent Bolloré appartient à la caste des cathos tradis, qui l’eût cru ? Un investissement religieux étonnant de la part d’un homme qui a défendu bec et ongle Jean-Marc Morandini, mis en examen notamment pour corruption de mineur aggravée. D’après le Canard enchaîné, le milliardaire breton est extrêmement proche de l’abbé Gabriel Grimaud, un prêtre traditionaliste décrit par certains de ses confrères comme “un électron libre dans le monde ecclésiastique”.

    D’après l’hebdomadaire satirique, Vincent Bolloré se rend deux fois par semaine dans le confessionnal d’une petite chapelle afin que l’abbé Grimaud entende ses péchés. Un rôle d’oreille bienveillante et absolutrice qui lui a valu d’être installé par l’industriel dans un domaine d’un hectare situé non loin du Parc des princes, acheté 70 millions d’euros, qui “abrite désormais, outre la fondation de la 2e chance, présidée par le patron d’Havas et de Vivendi, un foyer pour étudiants” explique le Canard enchaîné. En plus de cela, l’homme dispose aussi d’un appartement “avec vue sur Notre-Dame“.

    _ “Dieu merci !” _


    #intégristes #Bolloré #Bastamag #Canal+ #Itélé #Direct_matin #Havas #Vivendi_Universal #Master_Amoris #Direct8 #Guillaume_Zeller #Direct_Soir

  • Bruxelles ouvre une procédure contre la centrale à gaz de #Landivisiau
    https://www.mediapart.fr/journal/france/270116/bruxelles-ouvre-une-procedure-contre-la-centrale-gaz-de-landivisiau

    La Commission met en doute les conditions de l’appel d’offres remporté par un consortium Poweo-Direct Energie et #Siemens, au prix d’une subvention pouvant atteindre 40 millions d’euros par an pendant 20 ans.

    #France #Climat #Direct_Energie #énergie #Energies #union_européenne

    • #Direct_Provision

      Direct Provision is a controversial system of dealing with asylum seekers in the Republic of Ireland.[1] Direct Provision is how the State meets its obligations with regards to the accommodation of Asylum Seekers. It is designed to be a cashless system, with residents in receipt of full board accommodation, with their food, utilities etc. fully paid for by the State, while unlike most other EU states, those in Direct Provision have full mainstreamed access to the health system (and education system for children). Asylum seekers in Direct Provision are automatically entitled to full medical cards. The length of time people spend in Direct Provision has been criticised by human rights watchdogs, with the Irish Human Rights and Equality Commission calling the delays faced by asylum applicants as “systemic and pernicious”.[2]

      The system of Direct Provision was originally introduced as an “emergency measure” in 1999, before the scale of the asylum crisis became clear.[3] In 2002 there were almost 12,000 applications for asylum. At the start of 2014, there were 4,360 people in direct provision, with more than 3,000 people have been in the system for two or more years. At the same time, there were more than 1,600 people who have spent five or more years in direct provision.[4]

      Direct Provision has been labeled “inhuman and degrading” in a court case being taken against Justice Minister Frances Fitzgerald, Minister for Social Protection Joan Burton and the Attorney General Maire Whelan, asserting that the system is illegal under both the Irish Constitution and the European Convention on Human Rights, and all other international human rights conventions that Ireland has subscribed to, .[5] This case is being vigorously defended by the State on all grounds, including on the basis that it fulfills Ireland’s obligations, that is broadly in line (and in many cases better) than the situation in other EU states, and that at a time of competing calls for finite resources, it is not feasible for the State to grant the right to work, access to full social welfare and access to the public housing and/or rent supplement to asylum seekers. The Irish Government’s Special Rapporteur on Child Protection, Dr Geoffrey Shannon, has called it “institutionalised poverty”, although in addition to having all of their expenses met, adults in Direct Provision centres are given €19.10 weekly, while children are given €9.60 per week. Many child asylum seekers have been sent here alone while some are born into the direct provision life and that is all they have ever known.[6] In June 2014, there were more than 1,000 asylum cases waiting to be heard in the High Court.[7] The Irish Refugee Council has reported that young people living in Direct Provision centres are more prone to depression and suicide, and in the case of three young people in particular, aged between 11 and 17, stated "for different reasons, these three young people have all expressed the view that they can’t see the purpose of living’,[8]


      https://en.wikipedia.org/wiki/Direct_Provision

  • #MUSIC Revue, No.2 : #Dookoom Rises Up
    http://africasacountry.com/aiac-music-revue-dookoom-rises-up

    Finally South African #hip_hop is spurring national debate, and it’s not Die Antwoord. No it is Dookoom, the new Cape Town hip hop outfit fronted by local legend Isaac Mutant, which has caused a huge stir with its #VIDEO “Larney Jou Poes” (roughly translated: Boss, your cunt.) Much has been written about the video, from […]

    #UNCATEGORIZED #Capetown #Direct_Action #farm_workers #rap #South_Africa

  • R5 Turbo 2 : Direct download...Tango down ?
    http://r5turbo2.blogspot.com/2012/01/direct-downloadtango-down.html

    Voici aujourd’hui où on en est sur les “host” disponibles...

    MegaUpload - Closed.
    MediaFire - Called to testify in the next 90 days and it will open doors. Pro FBI
    FileServe - Closing, does not sell premium.
    FileJungle - Deleting files. Locked in the U.S..
    UploadStation - Locked in the U.S..
    FileSonic - the news is arbitrary (under FBI investigation).
    VideoBB - Closed! Will disappear soon.
    Uploaded - Banned in the U.S. and the FBI went after the owners who are gone.
    FilePost - Deleting all material (will leave executables, pdfs, txts)
    Videoz - Closed and locked in the countries affiliated with the USA.
    4shared - Deleting files with copyright and waits in line at the FBI.
    Org Torrent - Could vanish with everything within 30 days “he is under criminal investigation”
    Network Share mIRC - Awaiting the decision of the case to continue or terminate Torrente everything.
    Koshiki - Operating 100% Japan will not join the SOPA / PIPA
    Shienko Box - 100% working China / Korea will not join the SOPA / PIPA

    #direct_download #téléchargement

  • #Universaleak : un leak de 430 Mo de documents financiers chez Universal | Reflets
    http://reflets.info/universaleak-un-leak-de-430-mo-de-documents-financiers-chez-universal

    Ce qui me fait doucement rigoler c’est la discussion : pour le #torrent il y a pas de seeders, les gars y arrivent pas etc.

    Alors, ils le mettent en #direct_download ...
    (y compris un lien inopérant désormais chez fileserve qui a jeté l’éponge)

  • #ddlDig : cherchez et trouvez n’importe quel fichier | bluetouff
    http://reflets.info/ddldig-cherchez-et-trouvez-nimporte-quel-fichier

    ddlDig est une extension pour Chromium (préféré) et Chrome visant à faciliter vos recherches de fichiers sur les sites de direct download. Il s’agit d’un petit outil très simple de recherche, réalisé par Reflets.info et il est avec l’extension PastedLeaks l’un des petits utilitaires composant le monkey toolkit de notre équipe. Si un fichier existe et est en ligne, à priori, avec ce petit plugin, vous devriez le trouver. ddlDig est distribué sous licence BSD ddlDig effectue une recherche « sale » dans la version chiffrée de Google et extrait ses résultats de recherches sur les sites suivants : depositfiles.com dl.free.fr duckload.com easy-share.com filefactory.com fileshut.com filetube.com fileserve.com filesonic.fr hotfile.com megaupload.com megashares.com megavideo.com multiupload.com netload.com netload.in uploading.com wupload.fr Télécharger ddlDig (.zip 27 ko) Télécharger les sources Installation : Vous devez avoir le Navigateur Chromium o

    #A_la_Une #Monkey_Tools #Rainbow_Hat #DDL #Direct_Download #MonkeyTools #Recherche

  • Le Direct Download : le cancer du pirate | ReadWriteWeb French edition
    http://fr.readwriteweb.com/2010/06/04/a-la-une/direct-download-cancer-du-pirate

    Le modèle économique de tout cela touche au génie, tout comme la construction juridique qui consiste à crowdsourcer l’essentiel des risques vers des blogs et des forums « warez », proposant des liens vers les fichiers copyrightés, ainsi que vers un troupeau d’esclaves qui y hébergent des fichiers copyrighté trouvés dans les réseaux P2P ou sur les newsgroups, pour être payés au final en monnaie de singe. Ils se feront un plaisir d’aller publier leurs liens, devenus leurs source de revenus, sur les blogs et les forums « warez », à qui revient la charge d’exploiter les esclaves ou de leur proposer une forme de contrat social alternatif, tout est possible, les sites de DDL s’en lavent les mains. « Anachy in the IP », en quelque sorte, mais certainement pas « no future ».

    #direct_download #distribution #culture #mafia_2.0