G.Skill : de la RAM DDR4-4266 Trident Z Royal CL18 en 8 x 8 Go pour CPU Intel HEDT
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/25/g-skill-lance-de-la-ram-ddr4-4266-cl18-en-8-x-8-go-pour-cpu-intel-hedt
A la fois gros et rapide.
G.Skill : de la RAM DDR4-4266 Trident Z Royal CL18 en 8 x 8 Go pour CPU Intel HEDT
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/25/g-skill-lance-de-la-ram-ddr4-4266-cl18-en-8-x-8-go-pour-cpu-intel-hedt
A la fois gros et rapide.
Un Threadripper avec 256 Go de RAM sur une carte mère #asus
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/23/threadripper-256-go-ram-asus-x399
Un record relativement inutile, mais à battre !
#amd #dram #memoires #processeurs
Les carte mère #gigabyte Z390 et C246 gèrent désormais 128 Go de RAM
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/21/les-carte-mere-gigabyte-z390-et-c246-gerent-desormais-128-go-de-ram
De 16 à 32 Go par DIMM.
#Test : #dram G.Skill Trident Royal DDR4-3200 CL14, bling, luxe et performances
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/21/test-gskill-trident-royal-ddr4-3200-cl14
Royal ou bling-bling ou les deux ? G.Skill propose des barrettes mises en valeur par une finition dorée et des diffuseurs originaux pour ses LED RGB.
Prix de la #dram : la chute continue !
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/15/prix-dram-baisse-2019
Jusqu’à -20% au premier trimestre 2019.
Record : de la #dram overclockée en DDR4-5608 avec un 9900K
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/15/record-dram-overclock-ddr4-5608-9900k
Record symbolique, mais record quand même.
CES 2019 : #thermaltake lance un premier kit de RAM avec watercooling full RGB
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/09/thermaltake-dram-kit-watercoole-full-rgb
La marque met à profit ses spécialités.
#akasa lance des radiateurs #rgb pour #dram
▻https://www.tomshardware.fr/2019/01/03/radiateur-rgb-barrettes-ram-akasa
Toujours plus de couleurs dans nos PC.
XPOWER Turbine : Silicon Power lance ses premières barrettes #ddr4 #rgb
▻https://www.tomshardware.fr/2018/12/17/xpower-turbine-silicon-power-barrettes-rgb-ddr4
Le géant du stockage lorgne du côté des joueurs grâce à ses barrettes RGB.
Vos sticks de #dram ne sont pas #rgb ? Thermaltake propose une solution…
▻https://www.tomshardware.fr/2018/12/09/dram-rgb-thermaltake-pacific-r1
Pour monter un PC arc-en-ciel, tous les moyens sont bons !
Nouvelle RAM Viper Steel : #patriot passe en #ddr4-4400, et sans RGB !
▻https://www.tomshardware.fr/2018/11/30/ram-viper-steel-patriot-ddr4-4400
Un dissipateur classe et sobre, comme quoi le RGB n’et pas forcément obligatoire !
La RAM GeIL SUPER LUCE passe à la vitesse supérieure, jusqu’en #ddr4-4133
▻https://www.tomshardware.fr/2018/11/29/ram-geil-super-luce-ddr4-4133-rgb
GeIL lance trois nouvelles variantes plus rapides pour ses barrettes de RAM DDR4 Super Luce #rgb SYNC
#métaliste (qui va être un grand chantier, car il y a plein d’information sur seenthis, qu’il faudrait réorganiser) sur :
#externalisation #contrôles_frontaliers #frontières #migrations #réfugiés
Des liens vers des articles généraux sur l’externalisation des frontières de la part de l’ #UE (#EU) :
▻https://seenthis.net/messages/569305
▻https://seenthis.net/messages/390549
►https://seenthis.net/messages/320101
Ici une tentative (très mal réussie, car évidement, la divergence entre pratiques et les discours à un moment donné, ça se voit !) de l’UE de faire une brochure pour déconstruire les mythes autour de la migration...
La question de l’externalisation y est abordée dans différentes parties de la brochure :
▻https://seenthis.net/messages/765967
Petit chapitre/encadré sur l’externalisation des frontières dans l’ouvrage "(Dé)passer la frontière" :
▻https://seenthis.net/messages/769367
Les origines de l’externalisation des contrôles frontaliers (maritimes) : accord #USA-#Haïti de #1981 :
▻https://seenthis.net/messages/768694
L’externalisation des politiques européennes en matière de migration
▻https://seenthis.net/messages/787450
"#Sous-traitance" de la #politique_migratoire en Afrique : l’Europe a-t-elle les mains propres ?
▻https://seenthis.net/messages/789048
Partners in crime ? The impacts of Europe’s outsourced migration controls on peace, stability and rights :
▻https://seenthis.net/messages/794636
#paix #stabilité #droits #Libye #Niger #Turquie
Proceedings of the conference “Externalisation of borders : detention practices and denial of the right to asylum”
▻https://seenthis.net/messages/880193
Brochure sur l’externalisation des frontières (passamontagna)
▻https://seenthis.net/messages/952016
Deux articles sur les affaires de l’Italie (notamment via l’entreprise #Cantieri_navali_Vittoria ) avec #Egypte , Niger, Tunisie et Libye :
▻https://seenthis.net/messages/759608
#business
Le rapport « Expanding the fortress » et des liens associés à la sortie de ce rapport :
Dans le rapport sont abordées à la fois les conséquences de l’externalisation (notamment en termes de #droits_humains) et les profiteurs (#complexe_militaro-industriel).
Cas d’étude : #Libye #Turquie #Niger #Egypte #Soudan #Mauritanie #Mali
►https://seenthis.net/messages/694887
–-
Le rapport « #Financement des frontières : #fonds et stratégies pour arrêter l’immigration » (2020) :
▻https://seenthis.net/messages/893191
#Mali #Soudan
–—
Le droit d’asile à l’épreuve de l’externalisation des politiques migratoires
▻https://seenthis.net/messages/893452
Le lien entre #fonds_fiduciaire_pour_l'Afrique et externalisation :
▻https://seenthis.net/messages/707133
Avril 2019 : enveloppe de 115,5 millions pour le Fonds fiduciaire :
▻https://seenthis.net/messages/773289
#fonds_fiduciaire
v. aussi plus de détail sur la métaliste migrations et développement :
►https://seenthis.net/messages/733358
Dans le cadre du fonds fiduciaire pour l’Afrique —> privatisation du business des cartes d’identité biométriques :
▻https://seenthis.net/messages/764850
#biométrique
v. aussi le communiqué de presse de la commission européenne, mars 2019 :
Grâce au #fonds_fiduciaire d’urgence de l’UE pour l’Afrique, plus de 5,3 millions de personnes vulnérables bénéficient actuellement d’une aide de première nécessité et plus de 60 000 personnes ont reçu une aide à la réintégration après leur retour dans leur pays d’origine.
►https://seenthis.net/messages/765959
–—
Plainte déposée à la #cour_des_comptes_européenne contre l’Europe complice des horreurs perpétrées en #Libye :
L’UE a alloué, en juillet 2017, 91,3 millions d’euros au programme « #Gestion_intégrée_des_frontières_et_des_migrations_en_Libye » (#GIF) qui doit durer jusqu’à la fin de 2021. Ce programme a pour objectif « d’améliorer la capacité de la Libye à contrôler ses frontières et à assurer le sauvetage en mer, d’une manière pleinement conforme aux obligations et aux normes internationales en matière de droits de l’homme. » Ces #fonds ont été engagés par le biais du #Fonds_fiduciaire_d’urgence_de_l’Union_européenne_pour_la stabilité_et_la_lutte_contre_les_causes_profondes_des-migrations_irrégulières_et_des personnes_déplacées_en_Afrique (#EUTFA), lui-même principalement financé par le #Fonds_européen_de_développement.
►https://seenthis.net/messages/848481
Budget européen pour la migration : plus de contrôles aux frontières, moins de respect pour les droits humains :
►https://seenthis.net/messages/867813
Report to the EU Parliament on #Frontex cooperation with third countries in 2017 :
▻https://seenthis.net/messages/760914
#Frontex_plus :
►https://seenthis.net/tag/frontex_plus
Frontex, version 2019 : + d’hommes, + de pouvoirs opérationnels + de coopérations avec des pays non-EU, + de retours, + de matériel + + + +
▻https://seenthis.net/messages/771558
Autour de #EUROSUR et du #complexe_militaro-industriel
Rôle du #Portugal et de la #European_Maritime_Safety_Agency (#EMSA) :
▻https://seenthis.net/messages/764491
Plus en général avec le tag Eurosur :
▻https://seenthis.net/tag/eurosur
Et avec le tag complexe militaro-industriel :
▻https://seenthis.net/tag/complexe_militaro-industriel
Voir notamment le livre de #Claire_Rodier, #Xénophobie_business :
▻https://seenthis.net/messages/305703
▻https://seenthis.net/messages/187137
▻https://seenthis.net/messages/135750
►https://seenthis.net/messages/115086
Externalisation des contrôles frontaliers en #Libye :
►https://seenthis.net/messages/705401
(lien avec #droits_humains)
►https://seenthis.net/messages/623809
Commissaire aux droits humains Conseil Europe :
EU member states to show urgently that the support to the Libyan Coast Guard is not contributing to human rights violations, and to suspend this support if they cannot do so.
▻https://seenthis.net/messages/770463#message770466
–----
"Dossier Libia" —> un site d’information et dénonciation de ce qui se passe en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/742662
–-----
Reportage en allemand :
Das Geschäft mit den Flüchtlingen - Endstation Libyen
►https://seenthis.net/messages/744384
–----
#Statistiques et #chiffres du nombre de personnes migrantes présentes en Libye (chiffres OIM) :
▻https://seenthis.net/messages/751596
Et de celles rapatriées par l’#OIM :
▻https://seenthis.net/messages/763151
#organisation_contre_la_migration
–------
Sur les #centres_de_détention en Libye, voulus, soutenus et financés par l’UE ou des pays de l’UE :
►https://seenthis.net/messages/772984
►https://seenthis.net/messages/621902
►https://seenthis.net/messages/615857
#torture #viols #abus_sexuels #détention
Marché aux esclaves en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/598508
#esclavage #néo-esclavage
–-------
Rapport sur les viols contre hommes et garçons en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/771994
–-> et ce chiffres de 90% qui apparaît 2 fois :
Il 90% dei migranti visitati nelle cliniche del Medu ha parlato di violenza estrema e torture
►https://seenthis.net/messages/598508#message599359
A UN officer estimated that 90% of male refugees and migrants being hosted in the Italian reception system had experienced sexual violence during their journey.
►https://seenthis.net/messages/615857#message770193
–--------
Les migrants présents dans les camps enrôlés dans les #milices du général Haftar pour combattre à Tripoli (avril 2019) :
►https://seenthis.net/messages/773233
–-----------
Février 2019 : #retours_volontaires de "migrants" (c’est le mot employé) érythréens vers l’#Erythrée, avec l’aide de l’#OIM (#IOM) :
▻https://seenthis.net/messages/763088
#retour_volontaire
–--------
Le rôle de l’#HCR (un piège) dans un dessin :
▻https://seenthis.net/messages/770785
#UNHCR
–--------
Un analyse intéressante des centres de détention en Libye, avec #chronologie (et #cartographie) depuis les années 1980 :
▻https://seenthis.net/messages/752742
Ici en #dessins :
▻https://seenthis.net/messages/747869
#dessin
►https://seenthis.net/messages/612089
Et des mesures-sparadrap en lien avec l’#OMS cette fois-ci —> projet “Enhancing Diagnosis and Treatment for Migrants in detention centers in Libya” :
▻https://seenthis.net/messages/737102
D’autres liens où l’on parle aussi des centres de détention en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/689187
►https://seenthis.net/messages/612089
Des #témoignages audio depuis la Libye, un projet audio-documentaire de #Michelangelo_Severgnini :
▻https://seenthis.net/messages/772503
Michelangelo Severgnini est aussi le réalisateur du #film "Schiavi di riserva"
–-------
#Poursuites_judiciaires —> "Un demandeur d’asile va poursuivre le Royaume-Uni pour le financement de centres de détention libyens"
▻https://seenthis.net/messages/746025
–---------
Et l’excellent film de #Andrea_Segre "L’ordine delle cose" , qui montre les manoeuvres de l’Italie pour créer ces centres en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/677462
–--------
Autour des #gardes-côtes_libyens et les #refoulements (#push-back, #pull-back) en Libye :
►https://seenthis.net/messages/719759
Migrants : des #enregistrements attestent de la #collaboration entre #UE et #gardes-côtes_libyens :
▻https://seenthis.net/messages/830340
–---------
Les pull-back vers la Libye :
▻https://seenthis.net/messages/730613
–-> et centres de détention
▻https://seenthis.net/messages/651505
Le reconstruction d’un naufrage et d’un pull-back vers la Libye effectué par les gardes-côtes libyen. Reconstruction #vidéo par #Charles_Heller et #Lorenzo_Pezzani :
►https://seenthis.net/messages/747918
11.04.2019 : #Minniti déclare que laisser les gardes-côtes libyen coordonner les sauvetages en mer a été une #dramatique_erreur :
▻https://seenthis.net/messages/774010
Avril 2019 : les gardes-côtes libyens ont arrêtés de faire des secours :
▻https://seenthis.net/messages/776098
–-> #Operation_Sophia et... "L’UE sait que certaines de ses politiques ont rendu la traversée plus dangereuse pour les migrants, toutefois, elle a décidé de continuer cette stratégie" :
▻https://seenthis.net/messages/763871
D’ailleurs, depuis juillet 2018, aucune personne n’a été sauvée par l’#opération_Sophia :
▻https://seenthis.net/messages/770463#message770472
–----------
Résistance de migrants sauvetés en Méditerranée, qui refusent d’être ramenés en Libye en refusant de descendre du navire ( #Nivin ) qui les a secourus :
►https://seenthis.net/messages/735627
–--------
#évacuation de migrants/réfugiés depuis la Libye vers le #Niger :
►https://seenthis.net/messages/737065
#réinstallation
Un #rapport sur les #returnees #returning_migrants :
►https://seenthis.net/messages/765311
–-> attention, il y a peut-être d’autres articles sur ce sujet dans les longs fils de discussions sur le Niger et/ou la Libye (à contrôler)
... et évacuation vers le #Rwanda :
►https://seenthis.net/messages/796723
–-----------
L’aide de la #Suisse aux gardes-côtes libyens :
▻https://seenthis.net/messages/623935
Et la #France...
►https://seenthis.net/messages/760908
Et de l’UE à travers le #Trust_Fund :
►https://seenthis.net/messages/763529
Et l’#Italie :
Italy strengthens Libya accord, another four patrol boats :
▻https://seenthis.net/messages/763660
Aerei da pattugliamento e #radar. Ecco il piano segreto anti-sbarchi :
►https://seenthis.net/messages/794614
(attention : ce n’est pas la première "livraison" italienne, il y en a eu par le passé, il faudrait voir dans les autres listes)
#Trust_Fund #Trust_Fund_for_Africa
En 2013 :
Italia-Libia, al via accordo di cooperazione su controllo frontiere :
▻https://seenthis.net/messages/201853
Le 2 novembre 2019, l’#accord de #2017 entre #Italie et #Libye se renouvellera automatiquement :
►https://seenthis.net/messages/808872
–----------
Et quelques lignes sur le #traité_de_Benghazi , le fameux #pacte_d'amitié entre l’#Italie et la #Libye (2009)
▻https://seenthis.net/messages/717799
J’en parle aussi dans ce billet que j’ai écrit pour Visionscarto sur les films #Mare_chiuso et #Mare_deserto :
Vaincre une mer déserte et fermée
►https://visionscarto.net/vaincre-une-mer-deserte-et-fermee
–-> il y a certainement plus sur seenthis, mais je ne trouve pas pour l’instant... j’ajouterai au fur et à mesure
–---------------
Communiqué de presse Commission européenne, mars 2019 :
améliorer les conditions d’accueil déplorables en #Libye : les efforts déployés par l’intermédiaire du groupe de travail trilatéral UA-UE-NU doivent se poursuivre pour contribuer à libérer les migrants se trouvant en #rétention, faciliter le #retour_volontaire (37 000 retours jusqu’à présent) et évacuer les personnes les plus vulnérables (près de 2 500 personnes évacuées).
►https://seenthis.net/messages/765959
–----------
Plainte contre le gouvernement anglais pour participation au #Trust_Fund_for_Africa par lequel l’UE finance des centres de détention en Libye :
▻https://seenthis.net/messages/768134
–--------
Des #timbres produits par la poste libyenne :
▻https://seenthis.net/messages/745453
–--------
Rapport Arci 2019 :
►https://seenthis.net/messages/783060
–----------
Accord / pacte entre la Libye et #Malte :
►https://seenthis.net/messages/827362
►https://seenthis.net/messages/810329
Externalisation des contrôles frontaliers au #Niger (+ implication de l’#OIM (#IOM) et #Agadez ) :
Mission #Eucap_Sahel et financement et création de #Compagnies_mobiles_de_contrôle_des_frontières (#CMCF), financé par #Pays-Bas et Allemagne financés par l’Allemagne :
▻https://seenthis.net/messages/733601
Financement de la #police_locale au Niger :
▻https://seenthis.net/messages/763890
Le Niger, #nouvelle frontière de l’Europe et #laboratoire de l’asile :
►https://seenthis.net/messages/801799
Et des #camps_militaires :
▻https://seenthis.net/messages/736433
Autres liens sur le Niger :
►https://seenthis.net/messages/696283
–-> plein de choses, il faudra un jour faire un meilleur archivage !
▻https://seenthis.net/messages/586729
–-> rapport de #Frontex sur les #routes_migratoires empruntées par les migrants dans le #désert (avec #images_satellitaires)
▻https://seenthis.net/messages/370536
–-> sujet inclus dans ce fil de discussion : #loi anti-passeurs au Niger ; création de #camps (appelé #centres)... but : convaincre les migrants de ne pas partir... faire un premier #tri...
Le Niger et l’Italie se félicitent de la chute des flux migratoires... (sic)
▻https://seenthis.net/messages/752551
–-> v. aussi : « Baisse des demandes d’asile. Pas de quoi se réjouir » :
►https://seenthis.net/messages/693203
L’impact de la diminution des flux migratoires via Agadez, dans ce rapport :
▻https://seenthis.net/messages/853585
Conséquences de l’externalisation des politiques migratoires sur le #Niger, mais aussi le #Soudan et le #Tchad :
▻https://asile.ch/wp/wp-content/uploads/2018/12/multilateral-damage.pdf
signalé ici :
▻https://seenthis.net/messages/741956
v. aussi le communiqué de presse de la commission européenne, mars 2019 :
La lutte contre les réseaux de passeurs et de trafiquants a encore été renforcée. En 2018, le centre européen chargé de lutter contre le trafic de migrants, établi au sein d’#Europol, a joué un rôle majeur dans plus d’une centaine de cas de trafic prioritaires et des équipes communes d’enquête participent activement à la lutte contre ce trafic dans des pays comme le #Niger.
►https://seenthis.net/messages/765959
Note de Migreurop sur l’#OIM :
L’#OIM, une organisation au service des #frontières… fermées.
►https://seenthis.net/messages/779989
Rapport Arci 2019 sur le Niger :
►https://seenthis.net/messages/783060
Juin 2019 : #Italie et #OIM financent le renforcement des frontières à #Assamaka (à la frontière entre le Niger et l’#Algérie) et à la frontière avec le #Nigeria :
▻https://seenthis.net/messages/788517
... et en octobre 2019, l’OIM organise des « charters humanitaires » de l’Algérie au Niger. Programme financé par l’#Italie et le #UK (#Angleterre) :
►https://seenthis.net/messages/806477
v. aussi ce rapport sur l’externalisation des frontières au Niger, mais aussi Soudan et Tchad :
Multilateral DamageThe impact of EU migration policies on central Saharan routes
►https://seenthis.net/messages/804173
Une belle synthèse de Alizée Dauchy en 3 pages de la situation au Niger :
–-> « Des trajectoires immobilisées : #protection et #criminalisation des migrations au #Niger » :
►https://seenthis.net/messages/844250
2021 :
Deux décisions qui donnent pouvoir à #Frontex pour négocier des #accords_de_travail avec le #Niger (parmi d’autres pays hors UE) et avec #Eucap_Sahel au Niger (ainsi qu’en Libye)
▻https://seenthis.net/messages/927299
Et implication de l’#OIM dans le contrôle des frontières en #Guinée (#campagne de #dissuasion financée par l’UE) :
►https://seenthis.net/messages/757474
Il y a d’autres campagnes qui ont été mise en place notamment par la #Suisse pour convaincre les migrants à rentrer au pays :
►https://seenthis.net/messages/385940
#retour_au_pays #Nigeria #Cameroun #Balkans #Afrique_de_l'Ouest #Kosovo #Serbie #Macédoine, #Albanie #Monténégro #Bosnie-Herzégovine
Et le #Danemark, même politique :
►https://seenthis.net/messages/385940#message397757
Evidemment l’#Australie aussi :
►https://seenthis.net/messages/474986
►https://seenthis.net/messages/305573
▻https://seenthis.net/messages/302153
Et l’#Allemagne :
►https://seenthis.net/messages/432534
Autres types de dissuasion... un projet de formation à la #photographie en #Côte_d'Ivoire :
The aim of this pilot project was to offer returned migrants an opportunity to become visual storytellers of their daily life back home and help local journalists change the narrative on migration in the country.
This training is the first of a series that will be organized by IOM across West Africa in 2020. It was organized in the frame of an EU-IOM Joint Initiative for Migrant Protection and Reintegration in the Sahel and Lake Chad regions.
Externalisation des frontières au #Sénégal et en #Mauritanie :
Chronique Monde | #Mauritanie. Un partenariat européen au goût amer
►https://seenthis.net/messages/858930
▻https://seenthis.net/messages/740468
▻https://seenthis.net/messages/668973
►https://seenthis.net/messages/608653
►https://seenthis.net/messages/320101
Status agreement with Senegal : #Frontex might operate in Africa for the first time :
▻https://seenthis.net/messages/948918
Italie, Allemagne, France, Espagne
Les efforts de l’ #Italie d’externaliser les contrôles frontaliers :
►https://seenthis.net/messages/600874
▻https://seenthis.net/messages/595057
L’Italie avec l’ #Allemagne :
►https://seenthis.net/messages/566194
The big wall. An ActionAid investigation into how Italy tried to stop migration from Africa, using EU funds, and how much money it spent.
►https://seenthis.net/messages/905345
–-------------
#France et ses tentatives d’externalisation les frontières (proposition de Macron notamment de créer des #hub, de faire du #tri et de la #catégorisation de migrants) :
►https://seenthis.net/messages/704970
►https://seenthis.net/messages/618133
▻https://seenthis.net/messages/677172
La #France et « sa » #CIVIPOL (programmes de coopération technique et de contrôles migratoires au #Soudan, et en #Erythrée) :
►https://seenthis.net/messages/795208
Plus sur CIVIPOL : ▻https://seenthis.net/tag/civipol
–-------------
L’#Espagne :
▻https://seenthis.net/messages/737099
#modèle_espagnol
▻https://seenthis.net/messages/737095
v. aussi plus bas la partie consacrée au Maroc...
L’externalisation des politiques migratoires espagnoles : cadre légal (Migreurop, 2019) :
▻http://www.migreurop.org/IMG/pdf/fiche_3_fr-def.pdf
L’externalisation en #Tunisie (accords avec l’Italie notamment) :
▻https://seenthis.net/messages/511895
▻https://seenthis.net/messages/573526
Livraison d’avions et radar à la Tunisie de la part de l’Italie (juillet 2019) :
►https://seenthis.net/messages/794614
Et avec l’UE :
▻https://seenthis.net/messages/737477
Comment l’Europe contrôle ses frontières en #Tunisie ?
►https://seenthis.net/messages/833041
The new installation is entitled „#Integrated_System_for_Maritime_Surveillance“ (#ISMariS), an EU projet for Gulf of Tunis’ surveillance :
►https://seenthis.net/messages/866952
Les #accords_de_réadmission , autre panel de l’externalisation des contrôles frontaliers :
▻https://seenthis.net/tag/accords_de_r%C3%A9admission
Cet inventaire des accords en lien avec les réadmissions (2015) avec visualisation :
▻https://seenthis.net/messages/413779
Et cette carte de Reka pour Vivre Ensemble concernant les accords signés par les pays européens :
▻https://seenthis.net/messages/443738
Voir aussi cette liste « de travail » autour de la question :
►https://seenthis.net/messages/736091
Europe et #Afghanistan :
►https://seenthis.net/messages/528689
Négociations #France-#Mali :
▻https://seenthis.net/messages/765027
Et l’Europe avec le Mali :
▻https://seenthis.net/messages/550612
Les accords de réadmissions signés par la #Suisse :
▻https://seenthis.net/messages/444316
Et les tentatives de la Suisse de signer des accords de réadmission avec l’#Erythrée (sic) :
▻https://seenthis.net/messages/685650
►https://seenthis.net/messages/538851
Et la Suisse avec la #Turquie :
▻https://seenthis.net/messages/567121
▻https://seenthis.net/messages/563101
L’#Italie et le #Soudan :
►https://seenthis.net/messages/518543
Accord de l’Europe avec l’#Ethiopie :
▻https://seenthis.net/messages/684082
Accord entre #Allemagne et #Algérie :
▻https://seenthis.net/messages/723089
Accord signé entre le #Kenya et la #Somalie :
▻https://seenthis.net/messages/194871
European Commission Publishes Findings of the First Annual Assessment of Third Countries’ Cooperation on Readmission (February 2021)
▻https://seenthis.net/messages/901672
Ci-dessous, le fameux accord UE-Turquie.
L’ #accord_UE-Turquie :
▻https://seenthis.net/tag/accord_ue-turquie
Et plus en général sur l’externalisation vers la #Tuquie :
▻https://seenthis.net/messages/427270
▻https://seenthis.net/messages/419432
▻https://seenthis.net/messages/679603
EU concludes €6 billion contract for refugees in Turkey :
▻https://seenthis.net/messages/892499
Erdogan accuse les Européens de ne pas tenir leurs promesses d’aide financière...
►https://seenthis.net/messages/512196
Et le #monitoring de l’accord (#observatoire) :
▻https://seenthis.net/messages/478621
Sur la « #facilité » en faveur des réfugiés en Turquie, le rapport de la Cour des comptes européenne :
▻https://seenthis.net/messages/737085
#aide_financière
Un lien sur comment l’aide a été utilisée en faveur des #réfugiés_syriens à #Gaziantep :
▻https://seenthis.net/messages/667241
Accord de réadmission signé par la Turquie avec l’#Irak et l’#Iran :
▻https://seenthis.net/messages/483667
Tag #réintégration dans les pays d’origine après #renvois (#expulsions) :
▻https://seenthis.net/tag/r%C3%A9int%C3%A9gration
La question des #regional_disembarkation_platforms :
►https://seenthis.net/messages/703288
#plateformes_de_désembarquement #disembarkation_paltforms #plateformes_de_débarquement
Février 2019, Le sauvetage maritime espagnol, le #Salvamento_Marítimo, est désormais autorisé à débarquer une partie des migrants sauvés dans la Méditerranée au Maroc :
▻https://seenthis.net/messages/761993
–-> info démentie par le gouvernement marocain : ▻https://seenthis.net/messages/761993#message761998
En 2004, on parlait plutôt de #centres_off-shore en #Afrique_du_Nord ...
▻https://seenthis.net/messages/607615
Au #Sénégal ...
#Frontex wants to disembark refugees in Senegal :
▻https://seenthis.net/messages/828755
Au Niger :
▻https://seenthis.net/messages/749456
#externalisation_de_l'asile #délocalisation
Et avec le projet #Emergency_Transit_Mechanism (#ETM), évacuation des réfugiés de #Libye via le #Niger... où l’on fait une sélection entre réfugiés et migrants... c’est déjà externaliser une partie de la procédure... (c’est HCR et OIM qui décide qui est réfugié et qui pas) :
▻https://seenthis.net/messages/799353
Les efforts d’externalisation au #Maroc :
Une nouvelle aide européenne de 101,7 millions d’euros pour lutter contre l’immigration clandestine
▻https://seenthis.net/messages/815925
L’Espagne appelle l’UE à récompenser les efforts du Maroc
▻https://seenthis.net/messages/696321
Fabrice Leggeri : Le #Maroc, un partenaire de premier plan de #Frontex
▻https://seenthis.net/messages/643905
#Espagne et #Maroc : les exemples polémiques de #Frontex pour illustrer comment stopper les flux d’immigrés
▻https://seenthis.net/messages/458929
Au #Maroc, la #chasse aux #étrangers tue et pendant ce temps, l’UE négocie et se tait
▻https://seenthis.net/messages/162299
#Fonds_fiduciaire de l’#UE à utiliser pour les décisions du comité de gestion au Maroc :
►https://seenthis.net/messages/763541
Communiqué de presse Commission européenne, mars 2019 :
L’aide au #Maroc doit encore être intensifiée, compte tenu de l’augmentation importante des arrivées par la route de la Méditerranée occidentale. Elle doit comprendre la poursuite de la mise en œuvre du programme de 140 millions d’euros visant à soutenir la gestion des frontières ainsi que la reprise des négociations avec le Maroc sur la réadmission et l’assouplissement du régime de délivrance des visas.
Lien #coopération_au_développement, #aide_au_développement et #contrôles_migratoires :
►https://seenthis.net/messages/660235
Pour la Suisse :
►https://seenthis.net/messages/564720
►https://seenthis.net/messages/719752
▻https://seenthis.net/messages/721921
–-> il y a certainement plus de liens sur seenthis, mais il faudrait faire une recherche plus approfondie...
#développement #conditionnalité
Sur cette question, il y a aussi des rapports, dont notamment celui-ci :
Aid and Migration : externalisation of Europe’s responsibilities
▻https://concordeurope.org/wp-content/uploads/2018/03/CONCORD_AidWatchPaper_Aid_Migration_2018_online.pdf?1dcbb3&1dcbb3
La rhétorique sur la #nouvelle_frontière_européenne , qui serait le #désert du #Sahara (et petit amusement cartographique de ma part) :
►https://seenthis.net/messages/604039
#cartographie #visualisation
►https://seenthis.net/messages/548137
–-> dans ce lien il y a aussi des articles qui parlent de l’externalisation des frontières au #Soudan
Plus spécifiquement #Soudan :
▻https://seenthis.net/messages/519269
Les liens avec le tag #processus_de_Khartoum :
▻https://seenthis.net/tag/processus_de_khartoum
Les efforts d’externalisation des contrôles frontaliers en #Erythrée et #Ethiopie :
Conte in Etiopia, Unione Africana ci aiuti coi rimpatri
▻https://seenthis.net/messages/729629
#Italie
Sudan and Eritrea crackdown on migrants amid reports of EU incentives :
▻https://seenthis.net/messages/493279
Eritrea, l’Ue finanzia il regime. È questa la via del “aiutarli a casa loro” ?
▻https://seenthis.net/messages/387744
#UE #EU #Union_européenne
–--------------
Et le financement de l’Erythrée via des fonds d’aide au développement :
Outrage over reports EU-funding linked to forced labour in Eritrea :
►https://seenthis.net/messages/821967
Gli attivisti eritrei denunciano la Ue : “Finanzia il lavoro forzato” :
►https://seenthis.net/messages/772509
#Trust_Fund_for_Africa #Trust_Fund
Eritrea, l’UE finanzia il regime di Afewerki mentre ogni giorno fuggono migliaia di persone :
►https://seenthis.net/messages/405308
Quand l’#UE finance la dictature de l’#Érythrée pour stopper les migrants :
▻https://seenthis.net/messages/366439
–-------------
L’Erythrée, après la levée des sanctions de l’ONU, devient un Etat avec lequel il est désormais possible de traiter (sic) :
►https://seenthis.net/messages/721926
–-----------
... Et autres #dictateurs
Migranti, Italia e Ue dialogano con l’Africa delle dittature
►https://seenthis.net/messages/318425
#Italie
Dessin de presse de Herji :
Dictators as
Gatekeepers for Europe :
Outsourcing EU border
controls to Africa
►https://seenthis.net/messages/805117
La question des #carrier_sanctions infligées aux #compagnies_aériennes :
▻https://seenthis.net/tag/carrier_sanctions
Des choses sur la #pacific_solution de l’#Australie :
▻https://seenthis.net/recherche?recherche=%23pacific_solution
L’atlas de Migreurop, qui traite de la question de l’externalisation :
▻https://seenthis.net/messages/690134
Externalisation en #Egypte
L’Egypte un des pays envisagés pour les centres de déportation envisagés par l’Autriche et le Danemark :
►https://seenthis.net/messages/728056
L’UE veut intensifier la coopération avec l’Egypte (et autres pays d’Afrique du Nord) :
▻https://seenthis.net/messages/724148
Minniti s’envole en Egypte :
▻https://seenthis.net/messages/653351
▻https://seenthis.net/messages/641297#message677901
#Allemagne et Egypte signe un accord sur les migrations :
▻https://seenthis.net/messages/629922
▻https://seenthis.net/messages/569305#message578455
▻https://seenthis.net/messages/569305#message735629
▻https://seenthis.net/messages/511895#message572698
#Push-back, #refoulements vers l’Egypte :
▻https://seenthis.net/messages/393877
–-> et des push-back de l’Egypte vers le #Soudan :
▻https://seenthis.net/messages/391708
Rapport Arci 2019 sur l’Egypte :
►https://seenthis.net/messages/783060
Rapport EuroMed 2019 :
EU-Egypt migration cooperation : where are human rights ?
▻https://seenthis.net/messages/793069
Rapport Migreurop 2021 :
▻https://seenthis.net/messages/939104
The fortified gates of the Balkans. How non-EU member states are incorporated into fortress Europe.
►https://seenthis.net/messages/907907
Chantage dans les Balkans : comment l’UE externalise ses politiques d’asile (rapport Migreurop 2021) :
▻https://seenthis.net/messages/918125
Externalisation des contrôles migratoires en #Europe_de_l'Est et #Balkans —> une proposition de l’#axe Autriche / Allemagne / Italie / Danemark („#Achse_der_Willigen“) :
–---
Et voilà, la première "joint operation" de la nouvelle agence #Frontex sur son non européen... en #Albanie :
►https://seenthis.net/messages/782260
Mais aussi
#Bosnie-Herzégovine #Bosnie #Macédoine_du_Nord #Monténégro #Serbie :
–—
Et au #Kosovo...
Le #Kosovo va-t-il rejoindre les normes européennes ?
▻https://seenthis.net/messages/909829
Et en #Bulgarie (ça date de 2016) :
▻https://seenthis.net/messages/529415
#Serbie, toujours en 2016 :
▻https://seenthis.net/messages/462817
#Bosnie :
▻https://seenthis.net/messages/798862
▻https://seenthis.net/messages/743581
Où l’#OIM est aussi impliquée
Aussi sur la Bosnie : "Rückführung illegaler MigrantenNGOs üben scharfe Kritik an Nehammers Balkan-Plänen" :
▻https://seenthis.net/messages/913347
#Croatie :
▻https://seenthis.net/messages/781830
La Germania finanzia il controllo delle frontiere croate :
▻https://seenthis.net/messages/984417
#Allemagne
Les pressions de #Trump (#USA, #Etats-Unis) pour que le #Mexique expulse les migrants de son territoire :
▻https://seenthis.net/messages/516675
#Mexique
Ou alors... vers le #Guatemala :
►https://seenthis.net/messages/793063
Externalisation des contrôles frontaliers au #Soudan :
▻https://seenthis.net/messages/804166
–-> lien avec le financement des #milices #Janjawid et le financement de l’#armée_soudanaise
v. aussi ce rapport sur l’externalisation des frontières au Soudan, mais aussi Niger et Tchad :
Multilateral DamageThe impact of EU migration policies on central Saharan routes
►https://seenthis.net/messages/804173
Externalisation des frontières au #Tchad :
v. rapport sur l’externalisation des frontières au Tchad, mais aussi Soudan et Niger :
Multilateral DamageThe impact of EU migration policies on central Saharan routes
►https://seenthis.net/messages/804173
Externalisation des frontières au #Nigeria :
La #France propose d’aider la #Grèce à reconduire des #déboutés de l’asile
... en s’appuyant sur ces rapports privilégiés avec des pays africains...
▻https://seenthis.net/messages/821637
#continuité_coloniale #colonialisme
#Mer_Méditerranée (donc #Italie et #Libye) —> rapport #ASGI 2020 :
▻https://seenthis.net/messages/847086
#Méditerranée #Méditerranée_centrale
Mais aussi lien avec le #Trust_Fund #Trust_Fund_for_Africa #fonds_fiduciaire_d’urgence
#métaliste sur les différentes tentatives de différentes pays européens d’#externalisation non seulement des contrôles frontaliers (►https://seenthis.net/messages/731749), mais aussi de la #procédure_d'asile dans des #pays_tiers
►https://seenthis.net/messages/900122
#procédure_d'asile #externalisation_de_la_procédure #modèle_australien
Migration and asylum: updates to the EU-Africa ’#Joint_Valletta_Action_Plan' on the way
▻https://seenthis.net/messages/901310
#update #mise_à_jour #Valletta #sommet_de_La_Vallette #La_Vallette #Vallette #2015 #2021 #JVAP #Global_Approach_on_Migration_and_Mobility (#GAMM)
Migrants : l’irrationnel au pouvoir ?
Les dispositifs répressifs perpétuent le « problème migratoire » qu’ils prétendent pourtant résoudre : ils créent des migrants précaires et vulnérables contraints de renoncer à leur projet de retour au pays.
Très loin du renouveau proclamé depuis l’élection du président Macron, la politique migratoire du gouvernement Philippe se place dans une triste #continuité avec celles qui l’ont précédée tout en franchissant de nouvelles lignes rouges qui auraient relevé de l’inimaginable il y a encore quelques années. Si, en 1996, la France s’émouvait de l’irruption de policiers dans une église pour déloger les grévistes migrant.e.s, que de pas franchis depuis : accès à l’#eau et distributions de #nourriture empêchés, tentes tailladées, familles traquées jusque dans les centres d’hébergement d’urgence en violation du principe fondamental de l’#inconditionnalité_du_secours.
La #loi_sur_l’immigration que le gouvernement prépare marque l’emballement de ce processus répressif en proposant d’allonger les délais de #rétention administrative, de généraliser les #assignations_à_résidence, d’augmenter les #expulsions et de durcir l’application du règlement de #Dublin, de restreindre les conditions d’accès à certains titres de séjour, ou de supprimer la garantie d’un recours suspensif pour certain.e.s demandeur.e.s d’asile. Au-delà de leur apparente diversité, ces mesures reposent sur une seule et même idée de la migration comme « #problème ».
Cela fait pourtant plusieurs décennies que les chercheurs spécialisés sur les migrations, toutes disciplines scientifiques confondues, montrent que cette vision est largement erronée. Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas eu d’augmentation drastique des migrations durant les dernières décennies. Les flux en valeur absolue ont augmenté mais le nombre relatif de migrant.e.s par rapport à la population mondiale stagne à 3 % et est le même qu’au début du XXe siècle. Dans l’Union européenne, après le pic de 2015, qui n’a par ailleurs pas concerné la France, le nombre des arrivées à déjà chuté. Sans compter les « sorties » jamais intégrées aux analyses statistiques et pourtant loin d’être négligeables. Et si la demande d’asile a connu, en France, une augmentation récente, elle est loin d’être démesurée au regard d’autres périodes historiques. Au final, la mal nommée « #crise_migratoire » européenne est bien plus une crise institutionnelle, une crise de la solidarité et de l’hospitalité, qu’une crise des flux. Car ce qui est inédit dans la période actuelle c’est bien plus l’accentuation des dispositifs répressifs que l’augmentation de la proportion des arrivées.
La menace que représenteraient les migrant.e.s pour le #marché_du_travail est tout autant exagérée. Une abondance de travaux montre depuis longtemps que la migration constitue un apport à la fois économique et démographique dans le contexte des sociétés européennes vieillissantes, où de nombreux emplois sont délaissés par les nationaux. Les économistes répètent qu’il n’y a pas de corrélation avérée entre #immigration et #chômage car le marché du travail n’est pas un gâteau à taille fixe et indépendante du nombre de convives. En Europe, les migrant.e.s ne coûtent pas plus qu’ils/elles ne contribuent aux finances publiques, auxquelles ils/elles participent davantage que les nationaux, du fait de la structure par âge de leur population.
Imaginons un instant une France sans migrant.e.s. L’image est vertigineuse tant leur place est importante dans nos existences et les secteurs vitaux de nos économies : auprès de nos familles, dans les domaines de la santé, de la recherche, de l’industrie, de la construction, des services aux personnes, etc. Et parce qu’en fait, les migrant.e.s, c’est nous : un.e Français.e sur quatre a au moins un.e parent.e ou un.e grand-parent immigré.e.
En tant que chercheur.e.s, nous sommes stupéfait.e.s de voir les responsables politiques successifs asséner des contre-vérités, puis jeter de l’huile sur le feu. Car loin de résoudre des problèmes fantasmés, les mesures, que chaque nouvelle majorité s’est empressée de prendre, n’ont cessé d’en fabriquer de plus aigus. Les situations d’irrégularité et de #précarité qui feraient des migrant.e.s des « fardeaux » sont précisément produites par nos politiques migratoires : la quasi-absence de canaux légaux de migration (pourtant préconisés par les organismes internationaux les plus consensuels) oblige les migrant.e.s à dépenser des sommes considérables pour emprunter des voies illégales. La #vulnérabilité financière mais aussi physique et psychique produite par notre choix de verrouiller les frontières est ensuite redoublée par d’autres pièces de nos réglementations : en obligeant les migrant.e.s à demeurer dans le premier pays d’entrée de l’UE, le règlement de Dublin les prive de leurs réseaux familiaux et communautaires, souvent situés dans d’autres pays européens et si précieux à leur insertion. A l’arrivée, nos lois sur l’accès au séjour et au travail les maintiennent, ou les font basculer, dans des situations de clandestinité et de dépendance. Enfin, ces lois contribuent paradoxalement à rendre les migrations irréversibles : la précarité administrative des migrant.e.s les pousse souvent à renoncer à leurs projets de retour au pays par peur qu’ils ne soient définitifs. Les enquêtes montrent que c’est l’absence de « papiers » qui empêche ces retours. Nos politiques migratoires fabriquent bien ce contre quoi elles prétendent lutter.
Les migrant.e.s ne sont pas « la #misère_du_monde ». Comme ses prédécesseurs, le gouvernement signe aujourd’hui les conditions d’un échec programmé, autant en termes de pertes sociales, économiques et humaines, que d’inefficacité au regard de ses propres objectifs.
Imaginons une autre politique migratoire. Une politique migratoire enfin réaliste. Elle est possible, même sans les millions utilisés pour la rétention et l’expulsion des migrant.e.s, le verrouillage hautement technologique des frontières, le financement de patrouilles de police et de CRS, les sommes versées aux régimes autoritaires de tous bords pour qu’ils retiennent, reprennent ou enferment leurs migrant.e.s. Une politique d’#accueil digne de ce nom, fondée sur l’enrichissement mutuel et le respect de la #dignité de l’autre, coûterait certainement moins cher que la politique restrictive et destructrice que le gouvernement a choisi de renforcer encore un peu plus aujourd’hui. Quelle est donc sa rationalité : ignorance ou électoralisme ?
►http://www.liberation.fr/debats/2018/01/18/migrants-l-irrationnel-au-pouvoir_1623475
Une tribune de #Karen_Akoka #Camille_Schmoll (18.01.2018)
#irrationalité #rationalité #asile #migrations #réfugiés #préjugés #invasion #afflux #répression #précarisation #vulnérabilité #France #économie #coût
–—
ajouté à la métaliste sur le lien entre #économie (et surtout l’#Etat_providence) et la #migration... des arguments pour détruire l’#idée_reçue : « Les migrants profitent (voire : viennent POUR profiter) du système social des pays européens »... :
Karine et Camille reviennent sur l’idée de l’économie qui ne serait pas un gâteau...
#Johan_Rochel a très bien expliqué cela dans son livre
Repenser l’immigration. Une boussole éthique
►http://www.ppur.org/produit/810/9782889151769
Il a appelé cela le #piège_du_gâteau (#gâteau -vs- #repas_canadien) :
« La discussion sur les bienfaits économiques de l’immigration est souvent tronquée par le piège du gâteau. Si vous invitez plus de gens à votre anniversaire, la part moyenne du gâteau va rétrécir. De même, on a tendance à penser que si plus de participants accèdent au marché du travail, il en découlera forcément une baisse des salaires et une réduction du nombre d’emplois disponible.
Cette vision repose sur une erreur fondamentale quant au type de gâteau que représente l’économie, puisque, loin d’être de taille fixe, celui-ci augmente en fonction du nombre de participants. Les immigrants trouvant un travail ne osnt en effet pas seulement des travailleurs, ils sont également des consommateurs. Ils doivent se loger, manger, consommer et, à ce titre, leur présence stimule la croissance et crée de nouvelles opportunités économiques. Dans le même temps, cette prospérité économique provoque de nouvelles demandes en termes de logement, mobilité et infrastructure.
L’immigration n’est donc pas comparable à une fête d’anniversaire où la part de gâteau diminuerait sans cesse. La bonne image serait plutôt celle d’un repas canadien : chacun apporte sa contribution personnelle, avant de se lancer à la découverte de divers plats et d’échanger avec les autres convives. Assis à cette table, nous sommes à la fois contributeurs et consommateurs.
Cette analogie du repas canadien nous permet d’expliquer pourquoi un petit pays comme la Suisse n’a pas sombré dans la pauvreté la plus totale suite à l’arrivée de milliers d’Européens. Ces immigrants n’ont pas fait diminuer la taille du gâteau, ils ont contribué à la prospérité et au festin commun. L’augmentation du nombre de personnes actives sur le marché du travail a ainsi conduit à une forte augmentation du nombre d’emplois à disposition, tout en conservant des salaires élevés et un taux de chômage faible.
Collectivement, la Suisse ressort clairement gagnante de cette mobilité internationale. Ce bénéfice collectif ’national’ ne doit cependant pas faire oublier les situations difficiles. Les changements induits par l’immigration profitent en effet à certains, tandis que d’autres se retrouvent sous pression. C’est notamment le cas des travailleurs résidents dont l’activité ou les compétences sont directement en compétition avec les nouveaux immigrés. Cela concerne tout aussi bien des secteurs peu qualifiés (par exemple les anciens migrants actifs dans l’hôtellerie) que dans les domaines hautement qualifiés (comme le management ou la recherche).
Sur le plan éthique, ce constat est essentiel car il fait clairement apparaître deux questions distinctes. D’une part, si l’immigration profite au pays en général, l’exigence d’une répartition équitable des effets positifs et négatifs de cette immigration se pose de manière aiguë. Au final, la question ne relève plus de la politique migratoire, mais de la redistribution des richesses produites. Le douanier imaginaire ne peut donc se justifier sous couvert d’une ’protection’ générale de l’économie.
D’autre part, si l’immigration met sous pression certains travailleurs résidents, la question de leur éventuelle protection doit être posée. Dans le débat public, cette question est souvent présentée comme un choix entre la défense de ’nos pauvres’ ou de ’nos chômeurs’ face aux ’immigrés’. Même si l’immigration est positive pour la collectivité, certains estiment que la protection de certains résidents justifierait la mise en œuvre de politiques migratoires restrictives » (Rochel 2016 : 31-33)
People on the move : migration and mobility in the European Union
Migration is one of the most divisive policy topics in today’s Europe. In this publication, the authors assess the immigration challenge that the EU faces, analyse public perceptions, map migration patterns in the EU and review the literature on the economic impact of immigration to reflect on immigration policies and the role of private institutions in fostering integration.
▻http://bruegel.org/wp-content/uploads/2018/01/People_on_the_move_ONLINE.pdf
#travail #économie #éducation #intégration #EU #UE #asile #invasion #afflux #préjugés #statistiques #chiffres
Je copie-colle ici deux graphiques.
Un sur le nombre de #immigrants comparé au nombre de #émigrants, où l’on voit que le #solde_migratoire (en pourcentage de la population) est souvent négatif... notamment en #France et en #Italie :
Et un graphique sur les demandes d’asile :
The progressive case for immigration
Whatever politicians say, the world needs more immigration, not less.
“WE CAN’T restore our civilisation with somebody else’s babies.” Steve King, a Republican congressman from Iowa, could hardly have been clearer in his meaning in a tweet this week supporting Geert Wilders, a Dutch politician with anti-immigrant views. Across the rich world, those of a similar mind have been emboldened by a nativist turn in politics. Some do push back: plenty of Americans rallied against Donald Trump’s plans to block refugees and migrants. Yet few rich-world politicians are willing to make the case for immigration that it deserves: it is a good thing and there should be much more of it.
Defenders of immigration often fight on nativist turf, citing data to respond to claims about migrants’ damaging effects on wages or public services. Those data are indeed on migrants’ side. Though some research suggests that native workers with skill levels similar to those of arriving migrants take a hit to their wages because of increased migration, most analyses find that they are not harmed, and that many eventually earn more as competition nudges them to specialise in more demanding occupations. But as a slogan, “The data say you’re wrong” lacks punch. More important, this narrow focus misses immigration’s biggest effects.
Appeal to self-interest is a more effective strategy. In countries with acute demographic challenges, migration is a solution to the challenges posed by ageing: immigrants’ tax payments help fund native pensions; they can help ease a shortage of care workers. In Britain, for example, voters worry that foreigners compete with natives for the care of the National Health Service, but pay less attention to the migrants helping to staff the NHS. Recent research suggests that information campaigns in Japan which focused on these issues managed to raise public support for migration (albeit from very low levels).
Natives enjoy other benefits, too. As migrants to rich countries prosper and have children, they become better able to contribute to science, the arts and entrepreneurial activity. This is the Steve Jobs case for immigration: the child of a Muslim man from Syria might create a world-changing company in his new home.
Yet even this argument tiptoes around the most profound case for immigration. Among economists, there is near-universal acceptance that immigration generates huge benefits. Inconveniently, from a rhetorical perspective, most go to the migrants themselves. Workers who migrate from poor countries to rich ones typically earn vastly more than they could have in their country of origin. In a paper published in 2009, economists estimated the “place premium” a foreign worker could earn in America relative to the income of an identical worker in his native country. The figures are eye-popping. A Mexican worker can expect to earn more than 2.5 times her Mexican wage, in PPP-adjusted dollars, in America. The multiple for Haitian workers is over 10; for Yemenis it is 15 (see chart).
No matter how hard a Haitian worker labours, he cannot create around him the institutions, infrastructure and skilled population within which American workers do their jobs. By moving, he gains access to all that at a stroke, which massively boosts the value of his work, whether he is a software engineer or a plumber. Defenders of open borders reckon that restrictions on migration represent a “trillion dollar bills left on the pavement”: a missed opportunity to raise the output of hundreds of millions of people, and, in so doing, to boost their quality of life.
We shall come over; they shall be moved
On what grounds do immigration opponents justify obstructing this happy outcome? Some suppose it would be better for poor countries to become rich themselves. Perhaps so. But achieving rich-world incomes is the exception rather than the rule. The unusual rapid expansion of emerging economies over the past two decades is unlikely to be repeated. Growth in China and in global supply chains—the engines of the emerging-world miracle—is decelerating; so, too, is catch-up to American income levels (see chart). The falling cost of automating manufacturing work is also undermining the role of industry in development. The result is “premature deindustrialisation”, a phenomenon identified by Dani Rodrik, an economist, in which the role of industry in emerging markets peaks at progressively lower levels of income over time. However desirable economic development is, insisting upon it as the way forward traps billions in poverty.
An argument sometimes cited by critics of immigration is that migrants might taint their new homes with a residue of the culture of their countries of origin. If they come in great enough numbers, this argument runs, the accumulated toxins could undermine the institutions that make high incomes possible, leaving everyone worse off. Michael Anton, a national-security adviser to Donald Trump, for example, has warned that the culture of “third-world foreigners” is antithetical to the liberal, Western values that support high incomes and a high quality of life.
This argument, too, fails to convince. At times in history Catholics and Jews faced similar slurs, which in hindsight look simply absurd. Research published last year by Michael Clemens and Lant Pritchett of the Centre for Global Development, a think-tank, found that migration rules tend to be far more restrictive than is justified by worries about the “contagion” of low productivity.
So the theory amounts to an attempt to provide an economic basis for a cultural prejudice: what may be a natural human proclivity to feel more comfortable surrounded by people who look and talk the same, and to be disconcerted by rapid change and the unfamiliar. But like other human tendencies, this is vulnerable to principled campaigns for change. Americans and Europeans are not more deserving of high incomes than Ethiopians or Haitians. And the discomfort some feel at the strange dress or speech of a passer-by does not remotely justify trillions in economic losses foisted on the world’s poorest people. No one should be timid about saying so, loud and clear.
▻https://www.economist.com/finance-and-economics/2017/03/18/the-progressive-case-for-immigration?fsrc=scn/fb/te/bl/ed/theprogressivecaseforimmigrationfreeexchange?fsrc=scn/tw/te/bl/ed/theprogressivecaseforimmigrationfreeexchange
Emigration et immigration... #solde_migratoire en Italie.
source : ▻https://twitter.com/TeresaTalo/status/1034469558793498625
#Riace, l’economia e la rivincita degli zero
Premessa
Intendiamoci, il ministro Salvini può fare tutto quello che vuole. Criminalizzando le ONG può infangare l’operato di tanti volontari che hanno salvato migliaia di persone dall’annegamento; può chiudere i porti ai migranti, sequestrarli per giorni in una nave, chiudere gli Sprar, ridurre i finanziamenti per la loro minima necessaria accoglienza; può togliere il diritto ai migranti di chiedere lo stato di rifugiato, può cancellare modelli di integrazione funzionanti come Riace, può istigare all’odio razziale tramite migliaia di post su facebook in una continua e ansiosa ricerca del criminale (ma solo se ha la pelle scura). Al ministro Salvini è permesso tutto: lavorare sulle paure delle persone per incanalare la loro frustrazione contro un nemico inventato, può persino impedire a dei pullman di raggiungere Roma affinché le persone non possano manifestare contro di lui. Può prendersela con tutti coloro che lo criticano, sdoganare frasi del cupo ventennio fascista, minacciare sgomberi a tutti (tranne che a casapound) e rimanendo in tema, può chiedere il censimento dei ROM per poterli cacciare. Può fare tutto questo a torso nudo, tramite una diretta facebook, chiosando i suoi messaggi ai suoi nemici giurati con baci e abbracci aggressivo-passivi, o mostrandosi sorridente nei suoi selfie durante le tragedie che affliggono il nostro paese. Al ministro Salvini è permesso di tutto, non c’è magistratura o carta costituzionale che tenga.
Ma una cosa è certa: il ministro Salvini non può vietare alle persone di provare empatia, di fare ed essere rete, di non avere paura, di non essere solidale. E soprattutto, il ministro Salvini, non può impedirci di ragionare, di analizzare lo stato dell’arte tramite studi e ricerche scientifiche, capire la storia, smascherare il presente, per provare a proporre valide alternative, per un futuro più aperto ed inclusivo per la pace e il benessere delle persone.
Tutto questo è lo scopo del presente articolo, che dedico a mio padre. Buona lettura.
I migranti ci aiutano a casa nostra
In un mio precedente post, sempre qui su Econopoly, ho spiegato -studi alla mano- come fosse conveniente, anche e soprattutto dal punto di vista economico, avere una politica basata sull’accoglienza: la diversità e la relativa inclusione conviene a tutti. Molti dei commenti critici che ho avuto modo di leggere sui social, oltre alle consuete offese degli instancabili haters possono riassumersi in un solo concetto: “gli altri paesi selezionano i migranti e fanno entrare solo quelli qualificati, mentre in Italia accogliamo tutti”. Premesso che non è così, che l’Italia non è l’unico paese ad offrire ospitalità a questo tipo di migranti, e che non tutte le persone disperate che raggiungono le nostre coste sono poco istruite, non voglio sottrarmi alla critica e voglio rispondere punto su punto nel campo di gioco melmoso e maleodorante da loro scelto. Permettetemi quindi di rivolgermi direttamente a loro, in prima persona.
Prima di tutto mi chiedo come si possa sperare di attirare migranti “qualificati” se non riusciamo neanche a tenerci le nostre migliori menti. Il nostro problema principale è infatti l’emigrazione, non l’immigrazione: più di 250mila italiani emigrano all’estero, perché l’Italia non è più capace di offrire loro un futuro dignitoso. Ma tutto questo evidentemente non rientra tra le priorità del governo del cambiamento.
Tolti i migranti “qualificati”, ci rimangono quindi quelli che gli anglosassoni definiscono “low skilled migrants”, e le obiezioni che i nostri amici rancorosi ci pongono sono sempre le stesse: “per noi sono solo un costo”, “prima gli italiani che non arrivano alla fine del mese”, “ospitateli a casa vostra”, e così via vanverando. Proviamo a rispondere con i numeri, con i dati, sempre che i dati possano avere ancora un valore in questo paese in perenne campagna elettorale, sempre alla ricerca del facile consenso. Correva l’anno 2016, un numero record di sbarchi raggiungeva le nostre coste e lo stato spendeva per loro ben 17,5 miliardi di spesa pubblica. Bene, prima che possiate affogare nella vostra stessa bava, senza che nessuna ONG possa venirvi a salvare, sappiate che gli introiti dello Stato grazie ai contributi da loro versati, nelle varie forme, è stato di 19,2 miliardi: in pratica con i contributi dei migranti lo stato ha guadagnato 1,7 miliardi di euro. Potete prendervela con me che ve lo riporto, o magari con il centro studi e ricerche Idos e con il centro Unar (del dipartimento delle pari opportunità) che questo report lo hanno prodotto, ma la realtà non cambia. Forse fate prima a cambiare voi la vostra percezione, perché dovremmo ringraziarli quei “low skilled migrants”, visto che con quel miliardo e sette di euro ci hanno aiutato a casa nostra, pagando -in parte- la nostra pensione, il nostro ospedale, la nostra scuola.
Studi confermano che i migranti contribuiscono al benessere del paese ospitante
Prima di andare avanti in questo discorso, vale la pena di menzionare un importante e imponente studio di Giovanni Peri e Mette Foged del 2016: i due autori hanno esaminato i salari di ogni singola persona in Danimarca per un periodo di ben 12 anni, nei quali vi era stato un forte afflusso di migranti. Il governo danese distribuì i rifugiati per tutto il territorio, fornendo agli economisti tutti i dati necessari per permettere a loro di analizzarli. Da questi dati emerse che i danesi che avevano i rifugiati nelle vicinanze, avevano visto i propri salari crescere molto più velocemente, rispetto ai connazionali senza rifugiati. Questo si spiega perché i low skilled migrants essendo poco istruiti, generalmente vanno a coprire quei lavori che non richiedono particolari competenze, permettendo -per contrasto- ai locali di specializzarsi nei lavori che invece sono meglio pagati, perché più produttivi.
Quando i migranti non convengono e sono solo un costo
Tuttavia i migranti, per poter versare i propri contributi allo stato, devono -ovviamente- essere messi in grado di lavorare. Non sto dicendo che si debba trovare loro un lavoro, perché sono capaci di farlo da soli, ma semplicemente di dare a loro i necessari permessi burocratici per poter vivere, lavorare, consumare, spendere. Questo alimenterebbe un mercato del lavoro -che molti italiani ormai disdegnano- e aumenterebbe l’indotto delle vendite di beni di consumo ai “nostri” piccoli commercianti italiani e non.
“Potrebbe sembrare controintuitivo, ma i paesi che hanno politiche più severe e restrittive nei confronti dei rifugiati, finiscono per avere un costo maggiore per il mantenimento dei migranti”, afferma Erik Jones, professore alla Johns Hopkins University School. Quindi paradossalmente (ma neanche tanto), più rinchiudiamo i migranti nei centri di accoglienza senza permettere a loro di avere una vita e un lavoro, più sale il loro costo a spese dei cittadini italiani.
Le conseguenze del decreto sicurezza
Stranamente è proprio questa la direzione che il ministro Salvini ha deciso di intraprendere con il suo “decreto sicurezza”: togliendo lo SPRAR ai migranti e rendendo più difficoltosa la possibilità di richiedere asilo, verrà impedito a loro di integrarsi nel tessuto sociale del nostro paese, di lavorare, di produrre ricchezza. Insomma questo decreto finiranno per pagarlo caramente gli italiani, che per il ministro Salvini, sarebbero dovuti “venire prima” (forse intendeva alla cassa).
Non è un caso se al momento in cui scrivo città come Torino, Bergamo, Bologna e Padova hanno espresso forti preoccupazioni nel far attuare il cosiddetto “decreto sicurezza” firmato da Salvini. Il fatto che a Torino governi il m5s che siede nei banchi di governo insieme al ministro degli interni, ha provocato non pochi mal di pancia dentro la maggioranza e conferma quanto questo decreto sia in realtà molto pericoloso per gli italiani stessi. «Io capisco che siamo in campagna elettorale permanente – ha concluso Sergio Giordani ma non si possono prendere decisioni sulla pelle delle persone. Che si scordino di farlo su quella dei padovani», ha affermato il sindaco di Padova. Non è un lapsus, ha proprio detto “sulla pelle dei padovani”, non dei migranti.
Perché il modello Riace ha funzionato
Un interessante studio, diretto dal Prof. Edward Taylor, per la Harvard Business Review, ci spiega quali sono le giuste modalità che permettano ai migranti di sostenere l’economia del paese ospitante, e lo fa spiegandoci due importanti lezioni che ha imparato dopo aver studiato attentamente i costi economici e i benefici di tre campi in Rwanda gestiti dall’UNCHR:
1. Give cash, not food. La prima lezione imparata è quella di fornire direttamente i soldi ai migranti per comprarsi il cibo e di non dare a loro direttamente il cibo. Questo serve ad alimentare il mercato locale, aiutando in un’ottica win-win i contadini locali e i piccoli commercianti del posto
2. Promote long-term integration. La seconda lezione imparata che ci spiega il prof. Edward Taylor, riguarda il necessario tempo di integrazione che si deve concedere ai migranti, al fine di permettere un importante ritorno economico al paese ospitante: in poche parole i migranti devono avere il tempo di sistemarsi, di creare una forza lavoro locale, di integrarsi nel tessuto sociale del luogo ospitante
Quando ho letto questo studio non ho potuto fare altro che pensare all’esperienza di Riace, considerata giustamente un modello vincente di integrazione, diventato famoso in tutto il mondo: infatti quello che consiglia il Prof Taylor è esattamente ciò che ha fatto il sindaco Domenico Lucano nel suo paese! La ricetta è talmente la stessa, che ad un certo punto ho pensato di aver letto male e che il Prof. Taylor si riferisse, in realtà, all’esperienza del paesino calabrese, non a quella del Rwanda.
Per quanto riguarda il primo punto, il sindaco Lucano si è dovuto inventare una moneta locale per permettere ai migranti di essere indipendenti e di spenderli nel territorio ospitante, promuovendo ed aiutando l’economia dell’intero paese; per quanto riguarda il secondo punto, Lucano ha trasformato la natura dei fondi dello SPRAR, che in realtà prevedono una sistemazione del migrante in soli sei mesi, in una integrazione a medio e lungo termine. Per permettere ai migranti di ritornare un valore (anche economico), è necessario del tempo, ed è obiettivamente impossibile immaginarlo fattibile nel limite temporale dei sei mesi. E’ importante sottolineare come le accuse che gli vengono mosse dalla magistratura, che gli sta attualmente impedendo di tornare nella sua Riace, nascano proprio da questo suo approccio ben descritto nelle due lezioni del Prof. Taylor. Altro concetto importante da ribadire è che all’inizio, il sindaco Lucano, si è mosso in questa direzione principalmente per aiutare i suoi compaesani italiani, visto che il paese si stava spopolando. Ad esempio, l’asilo era destinato a chiudere, ma grazie ai figli dei migranti questo non è accaduto.
Tutto questo mi ha fatto pensare al sindaco di Riace, come ad un vero e proprio manager illuminato, oltre che ad una persona di una generosità smisurata, non certamente ad un criminale da punire ed umiliare in questo modo.
Lunga vita a Riace (grazie alla rete)
Dovremmo essere tutti riconoscenti al sindaco Riace, ma non solo esprimendogli solidarietà con le parole. Ho pertanto deciso di concludere questo articolo con delle proposte concrete che possano aiutare Lucano, i riacesi e i migranti che vi abitano. Ognuno può dare il proprio “give-back” al Sindaco Lucano, in base al proprio vissuto, ai propri interessi, alle proprie competenze. Ad esempio, per il lavoro che faccio, a me viene facile pensare che la Digital Transformation che propongo alle aziende possa aiutare in modo decisivo Riace e tutte le “Riaci del mondo” che vogliano provare ad integrare e non a respingere i migranti. Penso ad esempio che Riace meriti una piattaforma web che implementi almeno tre funzioni principali:
1. Funzione divulgativa, culturale. E’ necessario far conoscere le storie delle persone, perché si è stranieri solo fino a quando non ci si conosce l’un l’altro. Per questo penso, ad esempio, ad una web radio, magari ispirata all’esperienza di Radio Aut di Peppino Impastato, visto che Mimmo lo considera, giustamente, una figura vicina alle sue istanze. Contestualmente, sempre attraverso la piattaforma web farei conoscere, tramite dei video molto brevi, le storie e le testimonianze dei singoli migranti
2. Funzione di sostentamento economico. Ogni migrante infatti potrebbe avere un profilo pubblico che potrebbe permettere a tutti noi non solo di conoscere la sua storia ma anche di aiutarlo economicamente, comprando i suoi prodotti, che possano essere di artigianato o di beni di consumo come l’olio locale di Riace. Insomma, una piattaforma che funzionerebbe da e-commerce, seppur con una forte valenza etica. Infatti il “made in Riace”, potrebbe diventare un brand, la garanzia che un commercio equo e solidale possa essere veramente possibile, anche in questo mondo
3. Funzione di offerta lavoro. La piattaforma potrebbe ospitare un sistema che metta in comunicazione la domanda con l’offerta di lavoro. Penso ai tanti lavori e lavoretti di cui la popolazione locale potrebbe avere bisogno, attratta magari dai costi più bassi: il muratore, l’elettricista, l’idraulico, etc. Per non parlare di professioni più qualificanti, perché spesso ad imbarcarsi nei viaggi della speranza ci sono anche molti dottori e professionisti
Ed infine, sempre grazie alla rete, i migranti di un paesino sperduto come Riace, potrebbero tenere lezioni di inglese e francese, tramite skype, a milioni di italiani (che ne hanno veramente bisogno). Credo infine che -rimanendo in tema- potrebbero nascere a Riace, come in tanti altri paesi del nostro belpaese, anche dei laboratori di informatica visto che attualmente moltissime società per trovare un programmatore disponibile sono costrette a cercarlo fuori Italia, data la spropositata differenza tra la domanda e l’offerta in questo settore in continua evoluzione.
Se al sindaco Lucano interessa, il mio personale give-back è tutto e solo per lui.
Conclusioni
Il ministro Salvini, che può tutto, ha definito il sindaco di Riace “uno zero”, pensando di offenderlo ma è evidente che non lo conosce affatto. Come non conosce affatto le dinamiche della rete, nonostante il suo entourage social si vanti di aver creato il profilo pubblico su facebook con più followers. Ma é proprio questo lo sbaglio di fondo, il grande fraintendimento: la rete non è mai stata pensata in ottica di “followers e following”, questa è una aberrazione dei social network che nulla ha a che fare con la rete e le sue origini. La rete è nata per condividere, collaborare, comunicare, contaminare. Ricordiamoci che grazie alla rete, in pochissimi giorni, si sono trovati i fondi per permettere ai figli dei migranti di usufruire della mensa scolastica dei propri bambini, che leghista di Lodi gli aveva tolto. Siamo tutti degli zero, ministro Salvini, non solo il sindaco Riace. Ma lei, sig. ministro, non ha minimamente idea di cosa siano capace di fare gli zero, quando si uniscono con gli uni, se lo faccia dire da un informatico. La rete è solidale by design.
▻https://www.econopoly.ilsole24ore.com/2018/11/11/riace-economia-rivincita-degli-zero/?refresh_ce=1
L’immigration rapporte 3 500 euros par individu chaque année
D’après un rapport de l’OCDE dévoilé par La Libre Belgique, l’immigration « rapporterait » en moyenne près de 3.500 euros de rentrées fiscales par individu par an . Toutefois, l’insertion d’une partie d’entre eux ferait toujours l’objet de discrimination : un véritable gâchis pour les économistes et les observateurs.
▻https://www.levif.be/actualite/belgique/l-immigration-rapporte-3-500-euros-par-individu-chaque-annee/article-normal-17431.html?cookie_check=1545235756
signalé par @kassem :
▻https://seenthis.net/messages/745460
The progressive case for immigration. Whatever politicians say, the world needs more immigration, not less
“WE CAN’T restore our civilisation with somebody else’s babies.” Steve King, a Republican congressman from Iowa, could hardly have been clearer in his meaning in a tweet this week supporting Geert Wilders, a Dutch politician with anti-immigrant views. Across the rich world, those of a similar mind have been emboldened by a nativist turn in politics. Some do push back: plenty of Americans rallied against Donald Trump’s plans to block refugees and migrants. Yet few rich-world politicians are willing to make the case for immigration that it deserves: it is a good thing and there should be much more of it.
Defenders of immigration often fight on nativist turf, citing data to respond to claims about migrants’ damaging effects on wages or public services. Those data are indeed on migrants’ side. Though some research suggests that native workers with skill levels similar to those of arriving migrants take a hit to their wages because of increased migration, most analyses find that they are not harmed, and that many eventually earn more as competition nudges them to specialise in more demanding occupations. But as a slogan, “The data say you’re wrong” lacks punch. More important, this narrow focus misses immigration’s biggest effects.
Appeal to self-interest is a more effective strategy. In countries with acute demographic challenges, migration is a solution to the challenges posed by ageing: immigrants’ tax payments help fund native pensions; they can help ease a shortage of care workers. In Britain, for example, voters worry that foreigners compete with natives for the care of the National Health Service, but pay less attention to the migrants helping to staff the NHS. Recent research suggests that information campaigns in Japan which focused on these issues managed to raise public support for migration (albeit from very low levels).
Natives enjoy other benefits, too. As migrants to rich countries prosper and have children, they become better able to contribute to science, the arts and entrepreneurial activity. This is the Steve Jobs case for immigration: the child of a Muslim man from Syria might create a world-changing company in his new home.
Yet even this argument tiptoes around the most profound case for immigration. Among economists, there is near-universal acceptance that immigration generates huge benefits. Inconveniently, from a rhetorical perspective, most go to the migrants themselves. Workers who migrate from poor countries to rich ones typically earn vastly more than they could have in their country of origin. In a paper published in 2009, economists estimated the “place premium” a foreign worker could earn in America relative to the income of an identical worker in his native country. The figures are eye-popping. A Mexican worker can expect to earn more than 2.5 times her Mexican wage, in PPP-adjusted dollars, in America. The multiple for Haitian workers is over 10; for Yemenis it is 15 (see chart).
No matter how hard a Haitian worker labours, he cannot create around him the institutions, infrastructure and skilled population within which American workers do their jobs. By moving, he gains access to all that at a stroke, which massively boosts the value of his work, whether he is a software engineer or a plumber. Defenders of open borders reckon that restrictions on migration represent a “trillion dollar bills left on the pavement”: a missed opportunity to raise the output of hundreds of millions of people, and, in so doing, to boost their quality of life.
We shall come over; they shall be moved
On what grounds do immigration opponents justify obstructing this happy outcome? Some suppose it would be better for poor countries to become rich themselves. Perhaps so. But achieving rich-world incomes is the exception rather than the rule. The unusual rapid expansion of emerging economies over the past two decades is unlikely to be repeated. Growth in China and in global supply chains—the engines of the emerging-world miracle—is decelerating; so, too, is catch-up to American income levels (see chart). The falling cost of automating manufacturing work is also undermining the role of industry in development. The result is “premature deindustrialisation”, a phenomenon identified by Dani Rodrik, an economist, in which the role of industry in emerging markets peaks at progressively lower levels of income over time. However desirable economic development is, insisting upon it as the way forward traps billions in poverty.
An argument sometimes cited by critics of immigration is that migrants might taint their new homes with a residue of the culture of their countries of origin. If they come in great enough numbers, this argument runs, the accumulated toxins could undermine the institutions that make high incomes possible, leaving everyone worse off. Michael Anton, a national-security adviser to Donald Trump, for example, has warned that the culture of “third-world foreigners” is antithetical to the liberal, Western values that support high incomes and a high quality of life.
This argument, too, fails to convince. At times in history Catholics and Jews faced similar slurs, which in hindsight look simply absurd. Research published last year by Michael Clemens and Lant Pritchett of the Centre for Global Development, a think-tank, found that migration rules tend to be far more restrictive than is justified by worries about the “contagion” of low productivity.
So the theory amounts to an attempt to provide an economic basis for a cultural prejudice: what may be a natural human proclivity to feel more comfortable surrounded by people who look and talk the same, and to be disconcerted by rapid change and the unfamiliar. But like other human tendencies, this is vulnerable to principled campaigns for change. Americans and Europeans are not more deserving of high incomes than Ethiopians or Haitians. And the discomfort some feel at the strange dress or speech of a passer-by does not remotely justify trillions in economic losses foisted on the world’s poorest people. No one should be timid about saying so, loud and clear.
▻https://www.economist.com/finance-and-economics/2017/03/18/the-progressive-case-for-immigration?fsrc=scn/tw/te/bl/ed
#USA #Etats-Unis
Migrants contribute more to Britain than they take, and will carry on doing so. Reducing immigration will hurt now, and in the future
BRITAIN’S Conservative Party has put reducing immigration at the core of its policies. Stopping “uncontrolled immigration from the EU”, as Theresa May, the prime minister, put it in a speech on September 20th, appears to be the reddest of her red lines in the negotiations over Brexit. Any deal that maintains free movement of people, she says, would fail to respect the result of the Brexit referendum.
In her “Chequers” proposal, Mrs May outlined her vision of Britain’s future relationship with the block, which would have placed restrictions on immigration from the EU. But the block rejected it as unworkable, and the stalemate makes the spectre of a chaotic Brexit next March without any agreement far more likely.
Even if she were to manage to reduce migration significantly, however, Mrs May’s successors might come to regret it. According to the government’s latest review on immigration, by the Migration Advisory Committee (MAC), immigrants contribute more to the public purse on average than native-born Britons do. Moreover, European newcomers are the most lucrative group among them. The MAC reckons that each additional migrant from the European Economic Area (EEA) will make a total contribution to the public purse of approximately £78,000 over his or her lifetime (in 2017 prices). Last year, the average adult migrant from the EEA yielded £2,370 ($3,000) more for the Treasury than the average British-born adult did. Even so, the MAC recommended refining the current immigration system to remove the cap on high-skilled migrants and also said that no special treatment should be given to EU citizens.
With Britain’s population ageing, the country could do with an influx of younger members to its labour force. If net migration were reduced to the Tories’ target of fewer than 100,000 people per year by 2030, every 1,000 people of prime working age (20-64) in Britain would have to support 405 people over the age of 65. At the present level of net migration, however, those 1,000 people would have to support only 389. This gap of 16 more pension-aged people rises to 44 by 2050. The middle-aged voters who tend to support the Conservatives today are the exact cohort whose pensions are at risk of shrinking if their desired immigration policies were put into practice.
▻https://www.economist.com/graphic-detail/2018/09/26/migrants-contribute-more-to-britain-than-they-take-and-will-carry-on-doing-so?fsrc=scn/tw/te/bl/ed/migrantscontributemoretobritainthantheytakeandwillcarryondoingsodailychar
#UK #Angleterre
Étude sur l’impact économique des migrants en Europe : « Les flux migratoires sont une opportunité et non une charge »
Pour #Ekrame_Boubtane, la co-auteure de l’étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne (▻https://seenthis.net/messages/703437), « les flux migratoires ont contribué à améliorer le niveau de vie moyen ».
Selon une étude du CNRS, les migrants ne sont pas une charge économique pour l’Europe. L’augmentation du flux de migrants permanent produit même des effets positifs. C’est ce que démontre Ekrame Boubtane, économiste, maître de conférence à l’Université Clermont Auvergne, co-auteure de l’étude sur l’impact positif de la migration sur l’économie européenne.
Cette étude intervient alors que la Hongrie, dirigée par Viktor Orban, met en place une nouvelle loi travail qui autorise les employeurs à demander à leurs salariés 400 heures supplémentaires par an, payées trois ans plus tard. Cette disposition, adoptée dans un contexte de manque de main d’oeuvre, est dénoncée par ses opposants comme un « droit à l’esclavage » dans un pays aux salaires parmi les plus bas de l’UE
500 000 Hongrois sont partis travailler à l’Ouest ces dernières années, là où les salaires sont deux à trois fois plus élevés. La nouvelle loi travail portée par le gouvernement hongrois est-elle une solution au manque de main d’oeuvre dans le pays selon vous ?
Ekrame Boubtane : C’est un peu curieux de répondre à un besoin de main d’oeuvre en remettant en cause les droits des travailleurs qui restent en Hongrie. Je pense que c’est un mauvais signal qu’on envoie sur le marché du travail hongrois en disant que les conditions de travail dans le pays vont se détériorer encore plus, incitant peut-être même davantage de travailleurs hongrois à partir dans d’autres pays.
Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que le gouvernement hongrois a surfé politiquement sur une idéologie anti-immigration [avec cette barrière à la frontière serbe notamment où sont placés des barbelés, des miradors...] et aujourd’hui il n’a pas une position rationnelle par rapport au marché du travail en Hongrie. Proposer ce genre de mesure ne semble pas très pertinent du point de vue de l’ajustement sur le marché du travail.
En Hongrie, six entreprises sur dix sont aujourd’hui en situation de fragilité. La pénurie de main d’oeuvre dans certains secteurs en tension pourrait-elle être compensée par l’immigration aujourd’hui ?
Je suppose que la législation hongroise en matière de travail est très restrictive pour l’emploi de personnes étrangères, mais ce qu’il faut aussi préciser c’est que les Hongrois qui sont partis travailler dans les autres pays européens n’ont pas forcément les qualifications ou les compétences nécessaires dans ces secteurs en tension. Ce sont des secteurs (bâtiment, agroalimentaire) qui ont besoin de main d’oeuvre. Ce sont des emplois relativement pénibles, payés généralement au niveau minimum et qui ne sont pas très attractifs pour les nationaux.
Les flux migratoires sont une source de main d’oeuvre flexible et mobile. L’Allemagne comme la France ont toujours eu un discours plutôt rationnel et un peu dépassionné de la question migratoire. Je pense à une initiative intéressante en Bretagne où le secteur agroalimentaire avait des difficultés pour pourvoir une centaine de postes. Le pôle emploi local n’a pas trouvé les travailleurs compétents pour ces tâches-là. Le Conseil régional Bretagne et Pôle Emploi ont donc investi dans la formation de migrants, principalement des Afghans qui venaient d’avoir la protection de l’Ofpra [Office français de protection des réfugiés et apatrides]. Ils les ont formés, et notamment à la maîtrise de la langue, pour pourvoir ces postes.
Les flux migratoires peuvent donc être une chance pour les économies européennes ?
C’est ce que démontrent tous les travaux de recherches scientifiques. Lorsque l’on va parler de connaissances ou de savoir plutôt que d’opinions ou de croyances, les flux migratoires dans les pays européens sont une opportunité économique et non pas une charge. Lorsqu’on travaille sur ces questions-là, on voit clairement que les flux migratoires ont contribué à améliorer le niveau de vie moyen ou encore le solde des finances publiques.
On oublie souvent que les migrants - en proportion de la population - permettent de réduire les dépenses de retraite donc ils permettent de les financer. Généralement on se focalise sur les dépenses et on ne regarde pas ce qui se passe du côté des recettes, alors que du côté des recettes on établit clairement que les migrants contribuent aussi aux recettes des administrations publiques et donc, finalement, on a une implication des flux migratoires sur le solde budgétaire des administrations publiques qui est positif et clairement identifié dans les données.
▻https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/etude-sur-l-impact-economique-des-migrants-en-europe-les-flux-migratoir
Une étude démontre que les migrants ne sont pas un fardeau pour les économies européennes
Le travail réalisé par des économistes français démontre qu’une augmentation du flux de migrants permanents à une date donnée produit des effets positifs jusqu’à quatre ans après.
Une étude réalisée par des économistes français et publiée dans le magazine Sciences advences, mercredi 20 juin, démontre que les migrants ne sont pas un fardeau pour les économies européennes. Les trois chercheurs du CNRS, de l’université de Clermont-Auvergne et de Paris-Nanterre se sont appuyés sur les données statistiques de quinze pays de l’Europe de l’Ouest, dont la France. Les chercheurs ont distingué les migrants permanents des demandeurs d’asile, en situation légale le temps de l’instruction de leur demande et considérés comme résidents une fois leur demande acceptée.
Pendant la période étudiée entre 1985 et 2015, l’Europe de l’Ouest a connu une augmentation importante des flux de demandeurs d’asile à la suite des guerres dans les Balkans et à partir de 2011, en lien avec les Printemps arabes et le conflit syrien. Les flux de migrants, notamment intracommunautaires, ont eux augmenté après l’élargissement de l’Union européenne vers l’Est en 2004.
Une hausse du flux de migrants produits des effets positifs
L’étude démontre qu’une augmentation du flux de migrants permanents à une date donnée produit des effets positifs jusqu’à quatre ans après : le PIB par habitant augmente, le taux de chômage diminue et les dépenses publiques supplémentaires sont plus que compensées par l’augmentation des recettes fiscales. Dans le cas des demandeurs d’asile, les économistes n’observent aucun effet négatif. L’impact positif se fait sentir au bout de trois à cinq ans, lorsqu’une partie des demandeurs obtient l’asile et rejoint la catégorie des migrants permanents.
« Il n’y a pas d’impacts négatifs. Les demandeurs d’asile ne font pas augmenter le chômage, ne réduisent pas le PIB par tête et ils ne dégradent pas le solde des finances publiques. Il y a des effets positifs sur les migrations qui sont un petit peu polémiques parce que tout le monde n’y croit pas. Ce qui est intéressant, c’est de voir que cela ne dégrade pas la situation des finances publiques européennes » a expliqué, jeudi 21 juin sur franceinfo, Hippolyte d’Albis, directeur de recherche au CNRS, professeur à l’École d’économie de Paris et co-auteur de l’étude sur l’impact des demandeurs d’asile sur l’économie.
Investir pour rapidement intégrer le marché du travail
« Trente ans d’accueil de demandeurs d’asile dans les quinze principaux pays d’Europe nous révèlent qu’il n’y a pas eu d’effets négatifs, explique Hippolyte d’Albis. Evidemment il y a un coût, ces personnes vont être logées, parfois recevoir une allocation, mais cet argent va être redistribué dans l’économie. Il ne faut pas voir qu’un côté, nous on a vu le côté des impôts et on a vu que ça se compensait. L’entrée sur le marché du travail, donc la contribution à l’économie va prendre du temps et ce n’est pas efficace. Il vaut mieux investir pour qu’il puisse rapidement intégrer le marché du travail. »
En 2015, un million de personnes ont demandé l’asile dans l’un des pays de l’Union européenne selon le Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés, ce qui est un record. Les chercheurs estiment donc qu’il est peu probable que la crise migratoire en cours soit une charge économique pour les économies européennes. Elle pourrait être au contraire une opportunité.
▻https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/une-etude-demontre-que-les-migrants-ne-sont-pas-un-fardeau-pour-les-eco
L’impact économique positif des réfugiés sur les économies européennes
En cette journée mondiale des réfugiés, la Bulle Economique s’intéresse à leur impact économique dans les pays d’Europe. Une étude récente montre qu’ils sont loin d’être un « fardeau ». Au contraire.
Dans un récent tweet, la présidente du Rassemblement National se scandalisait de lire que les comptes de la Sécurité sociale allaient être sérieusement grevés par les mesures destinées aux gilets jaunes. « Incroyable de lire ça, écrit Marine Le Pen, et l’AME ça ne creuse pas le trou de la Sécu ? »
L’AME, c’est l’Aide Médicale d’Etat, proposée aux étrangers en situation irrégulière pour leur permettre d’accéder aux soins, et abondé non pas par le budget de la sécurité sociale, mais par celui de l’Etat. Une erreur rapidement pointée du doigt par des députés, qui ont ironiquement proposé à Marine Le Pen de s’intéresser de plus près à ces deux budgets discutés tous les ans au Parlement.
Mais au delà de cette question démagogique proposée au détour d’un tweet, la présidente du parti d’extrême droite réutilise l’argument de l’impact économique soi disant trop lourd qu’auraient les réfugiés sur les finances publiques de la France. Argument remis en cause par trois économistes du CNRS dont les travaux ont été publiés il y a un an tout juste dans la revue Sciences. Une étude à retrouver en cliquant ici.
Un regard macro-économique
Hippolyte d’Albis, Ekrame Boubtane et Dramane Coulibaly ont appliqué aux flux migratoires des réfugiés, les méthodes traditionnellement utilisées pour mesurer l’impact macro-économique des politiques structurelles. Ils l’ont fait pour 15 pays européens depuis 1985 jusqu’en 2015, des données statistiques qui permettent de mesurer l’effet de ces flux sur les finances publiques, le PIB par habitant et le taux de chômage. On parle ici de personnes ayant fait une demande d’asile, et présentes sur le territoire le temps de l’instruction de cette demande. Période pendant laquelle ils n’ont pas le droit de travailler. Soit, pour la France une moyenne de 20 000 entrées sur le territoire par an environ, contre 200 000 migrations de travail légales.
Au total ces 30 ans de données statistiques font apparaître que les dépenses publiques causées par ces réfugiées sont plus que compensées par les gains économiques induits par ces mêmes réfugiés. Les auteurs font ainsi valoir que les chocs d’immigration comme a pu en connaitre l’Europe au moment de ce qu’on a appelé la crise des réfugiés, dont le pic a été atteint en 2015, ces chocs ont eu des effets positifs : ils ont augmenté le PIB par habitant, ont réduit le taux de chômage, et amélioré les finances publiques.
S’il est vrai qu’ils induisent des dépenses publiques supplémentaires pour les accueillir, les accompagner ou les soigner le cas échéant, ce qu’ils rapportent en revenus supplémentaires, notamment fiscaux, compensent, parfois largement, leur coût. Cet impact globalement positif dure longtemps : parfois 3 à 7 années après leur arrivée, selon les auteurs de l’étude.
Les auteurs, mais aussi d’autres chercheurs dans d’autres études qui vont dans le même sens (notamment cette étude de Clemens, Huang et Graham qui montre que les réfugiés peuvent être d’une immense contribution économique dans les pays dans lesquels ils s’installent) font remarquer que plus les états investissent tôt dans l’accueil, la formation et l’accompagnement des réfugiés, meilleure sera leur intégration et leur bénéfice économique final.
L’Europe de mauvaise volonté
Ce qui ressort de cette étude, c’est que l’Europe peut tout à fait se permettre d’accueillir ces demandeurs d’asile, car leur flux est quoiqu’on en dise très limité, comparé par exemple aux afflux de populations réfugiées qu’ont à supporter des pays comme le Jordanie ou le Liban.
Le Liban dont les 4 millions d’habitants ont vu affluer un million et demi de réfugiés syriens. Les conséquences de ce « choc d’immigration » ( et dans ce cas l’expression est juste) pour un petit Etat comme le Liban, sont très différentes : le taux de chômage a augmenté, la pauvreté s’est répandue, notamment à cause d’une plus grande concurrence sur le marché du travail selon le FMI, la croissance a ralenti, quand la dette du Liban s’est alourdie à 141 % du PIB. A tel point que la communauté internationale s’est engagée à soutenir l’économie libanaise, qui a supporté, à elle seule, la plus grande partie du flux de réfugiés syriens.
Rien que pour cela, constate l’un des auteurs de l’étude du CNRS, l’Europe, qui fournit un quart du PIB mondial, devrait modérer ses discours parfois alarmistes. En parlant de « crise des réfugiés », elle accrédite le fait que leur afflux serait un danger économique, s’exonérant par là d’autres impératifs, humanitaires et moraux.*
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-bulle-economique/limpact-economique-positif-des-refugies-sur-les-economies-europeennes
v. aussi ce fil initié en juin 2017 :
►https://seenthis.net/messages/603794
Comparaison de la courbe du #chômage en #Allemagne et l’arrivée de demandeurs d’asile/réfugiés :
La « crise migratoire », une opportunité économique pour les pays européens
S’il est une question qui divise nombre d’Etats européens depuis plusieurs années, c’est bien celle de l’accueil des migrants, à l’aune de l’impact économique des flux migratoires, objet de nombreux désaccords, voire de fantasmes. Alors, qu’en est-il réellement ? Une récente étude orchestrée notamment par le CNRS vient tordre le cou aux clichés, montrant qu’une augmentation de flux de migrants permanents est synonyme d’augmentation de PIB par habitant et de diminution du taux de chômage.
L’accueil des migrants et leur intégration constitue-t-il une charge pour les économies européennes ? La réponse est non, selon une étude réalisée notamment par #Hippolyte_d’Albis, directeur de recherches au CNRS (centre national de la recherche scientifique). Dans cette étude effectuée avec ses collègues #Ekrame_Boubtane, enseignant-chercheur à l’Université de Clermont-Auvergne et #Dramane_Coulibaly, enseignant-chercheur à l’Université de Paris-Nanterre, l’accent est mis sur les impacts macro-économiques de l’immigration en Europe et en France de 1985 à 2015.
« L’essentiel de l’économie repose sur l’interaction entre les gens »
Leur travail suggère que l’immigration non européenne a un effet positif sur la #croissance_économique, et cela se vérifie plus particulièrement encore dans le cas de la migration familiale et féminine.
En 2015, plus d’un million de personnes ont demandé l’asile dans l’un des pays de l’Union européenne, ce qui en fait une année record. Des arrivées qui ont provoqué nombre d’interprétations et de fantasmes.
Pour y répondre, des études s’étaient déjà penchées sur la question. Mais, avec celle qui nous intéresse, le modus operandi est nouveau. Il diffère en effet des approches classiques : ces dernières comparent les #impôts payés par les immigrés aux transferts publics qui leur sont versés, mais ne tiennent pas compte des interactions économiques. « Pour évaluer l’immigration, les méthodes sont souvent d’ordre comptable. Mais l’essentiel de l’économie est fait d’interactions entre les gens. Nous souhaitions intégrer cette approche dans l’évaluation », explique Hippolyte d’Albis.
Quid du mode opératoire ?
Les chercheurs ont eu recours à un modèle statistique introduit par Christopher Sims, lauréat en 2011 du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel. Très utilisé pour évaluer les effets des politiques économiques, il laisse parler les données statistiques en imposant très peu d’a priori et permet d’évaluer les effets économiques sans imposer d’importantes restrictions théoriques.
Les données macroéconomiques et les données de flux migratoires utilisées proviennent d’Eurostat et de l’OCDE, pour concerner quinze pays d’Europe de l’Ouest, dont l’Allemagne, l’Autriche, l’Espagne, la France, l’Italie et le Royaume-Uni.
Les chercheurs ont distingué les flux des demandeurs d’asile de ceux des autres migrants. Ils ont évalué les flux de ces derniers par le solde migratoire, qui ne prend pas en compte les demandeurs d’asile.
Les flux de demandeurs d’asile concernent des personnes en situation légale le temps de l’instruction de leur demande dans le pays d’accueil, qui ne les considérera comme résidents que si leur demande d’asile est acceptée.
Augmentation du PIB par habitant, diminution du taux de chômage…
L’étude montre qu’un accroissement de flux de migrants permanents (hors demandeurs d’asile) à une date donnée produit des #effets_positifs jusqu’à quatre ans après cette date : le #PIB par habitant augmente, le taux de #chômage diminue.
Ainsi, en Europe de l’Ouest, avec un migrant pour 1.000 habitants, le PIB augmente immédiatement de 0,17 % par citoyen. Un pourcentage qui monte jusqu’à 0,32 % en année 2. Le #taux_de_chômage, lui, baisse de 0,14 points avec un effet significatif jusqu’à trois ans après.
En résumé, les #dépenses_publiques supplémentaires entraînées par l’augmentation du flux de migrants permanents s’avèrent au final bénéfiques. Les dépenses augmentent, mais elles sont plus que compensées par l’augmentation des #recettes_fiscales. Dans le cas des demandeurs d’asile, aucun effet négatif n’est observé et l’effet devient positif au bout de trois à cinq ans, lorsqu’une partie des demandeurs obtient l’asile et rejoint la catégorie des migrants permanents.
Comment expliquer cela ? Les demandeurs d’asile rentrent plus tardivement sur le #marché_du_travail, car ils n’y sont généralement pas autorisés lorsque leur demande d’asile est en cours d’instruction. Leur impact semble positif lorsqu’ils obtiennent le statut de résident permanent.
Et Hippolyte d’Albis d’insister : « les résultats indiquent que les flux migratoires ne sont pas une charge économique sur la période étudiée. En moyenne, pour les quinze pays européens considérés, nous identifions des effets positifs des flux migratoires ».
De l’urgence de réorienter le débat
Evidemment, l’#accueil a un #coût, rappelle le chercheur. Mais, l’accueil des demandeurs d’asile n’a pas dégradé la situation financière des Etats. Cela corrobore une intuition de l’Histoire, pour Hippolyte d’Albis. « Les économies ont toujours été fortement impactées par des guerres, des crises financières ou autres… Mais historiquement, les migrations n’ont jamais détruit les économies des pays riches. C’est une fausse idée de croire cela. Certes, il y a beaucoup d’enjeux autour des migrations. Mais nous avons envie de dire aux gouvernements de se concentrer sur les questions diplomatiques et territoriales, sans s’inquiéter d’hypothétiques effets négatifs sur l’économie ».
En résumé, « la crise migratoire en cours pourrait être une opportunité économique pour les pays européens ». Y compris dans l’Hexagone où les effets bénéficient aux revenus moyens, et ce, bien que l’immigration en France ait une caractéristique particulière : 50 % du flux migratoire est d’ordre familial. 25 % de personnes viennent pour étudier et 10 % pour le travail.
▻https://guitinews.fr/data/2019/10/29/la-crise-migratoire-une-opportunite-economique-pour-les-pays-europeens
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L’étude dont on parle dans cet article :
Macroeconomic evidence suggests that asylum seekers are not a “burden” for Western European countries
This paper aims to evaluate the economic and fiscal effects of inflows of asylum seekers into Western Europe from 1985 to 2015. It relies on an empirical methodology that is widely used to estimate the macroeconomic effects of structural shocks and policies. It shows that inflows of asylum seekers do not deteriorate host countries’ economic performance or fiscal balance because the increase in public spending induced by asylum seekers is more than compensated for by an increase in tax revenues net of transfers. As asylum seekers become permanent residents, their macroeconomic impacts become positive.
LEVEL BEST: Diversity, Cohesion and the Drive to Level Up
In our new report, #Level_Best, we show that areas that have seen the biggest rises in prosperity over the last decade also tend to have also seen the biggest increases in diversity.
The Death of Asylum and the Search for Alternatives
Une réflexion à partir du livre de Hansen: "A Modern Migration Theory. An Alternative Economic Approach to Failed EU Policy"
Hansen documents what happened next in Sweden. First, the Swedish state ended austerity in an emergency response to the challenge of hosting so many refugees. As part of this, and as a country that produces its own currency, the Swedish state distributed funds across the local authorities of the country to help them in receiving the refugees. And third, this money was spent not just on refugees, but on the infrastructure needed to support an increased population in a given area – on schools, hospitals, and housing. This is in the context of Sweden also having a welfare system which is extremely generous compared to Britain’s stripped back welfare regime.
Les demandeurs d’asile ne sont pas un « fardeau » pour les économies européennes
L’arrivée de demandeurs d’asile entraîne-t-elle une dégradation des performances économiques et des finances publiques des pays européens qui les accueillent ? La réponse est non, selon des économistes du CNRS, de l’Université Clermont-Auvergne et de l’Université Paris-Nanterre 1, qui estiment un modèle statistique dynamique à partir de 30 ans de données de 15 pays d’Europe de l’Ouest. Au contraire, l’impact économique tend à être positif lorsqu’une partie d’entre eux deviennent résidents permanents. Cette étude est publiée dans Science Advances le 20 juin 2018.
Plus d’un million de personnes ont demandé l’asile dans l’un des pays de l’Union européenne en 2015, ce qui en fait une année record. Quel est l’impact économique et fiscal des flux migratoires ? Cette étude n’est pas la première à se pencher sur la question 2, mais la méthode utilisée est nouvelle. En effet, les approches traditionnelles sont principalement comptables : elles comparent les impôts payés par les immigrés aux transferts publics qui leur sont versés mais ne tiennent pas compte des interactions économiques 3.
Les chercheurs ont eu recours à un modèle statistique introduit par Christopher Sims, lauréat en 2011 du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d’Alfred Nobel. Très utilisé pour évaluer les effets des politiques économiques, il laisse parler les données statistiques en imposant très peu d’a priori. Les données macroéconomiques et les données de flux migratoires utilisées proviennent d’Eurostat et de l’OCDE et concernent 15 pays d’Europe de l’Ouest : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Irlande, Islande, Italie, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni et Suède.
Les chercheurs ont distingué les flux de demandeurs d’asile de ceux des autres migrants. Ils ont évalué les flux de ces derniers par le solde migratoire, qui ne prend pas en compte les demandeurs d’asile. Les flux de demandeurs d’asile concernent des personnes en situation légale le temps de l’instruction de leur demande dans le pays d’accueil, qui ne les considèrera comme résident que si leur demande d’asile est acceptée.
Au cours de la période étudiée (1985-2015), l’Europe de l’Ouest a connu une augmentation importante des flux de demandeurs d’asile suite aux guerres dans les Balkans entre 1991 et 1999 et à partir de 2011 à la suite des Printemps arabes et du conflit syrien. D’autre part, les flux de migrants, notamment intracommunautaires, ont augmenté après l’élargissement de l’UE vers l’est en 2004. Autant d’occasions de tester les conséquences d’une augmentation non anticipée des flux migratoires sur le PIB par habitant, le taux de chômage et les finances publiques.
Les chercheurs montrent qu’une augmentation de flux de migrants permanents (c’est-à-dire hors demandeurs d’asile) à une date donnée produit des effets positifs jusqu’à quatre ans après cette date : le PIB par habitant augmente, le taux de chômage diminue et les dépenses publiques supplémentaires sont plus que compensées par l’augmentation des recettes fiscales. Dans le cas des demandeurs d’asile, aucun effet négatif n’est observé et l’effet devient positif au bout de trois à cinq ans, lorsqu’une partie des demandeurs obtient l’asile et rejoint la catégorie des migrants permanents.
Selon ces résultats, il est peu probable que la crise migratoire en cours soit une charge pour les économies européennes : au contraire, elle pourrait être une opportunité économique.
▻https://www.cnrs.fr/fr/les-demandeurs-dasile-ne-sont-pas-un-fardeau-pour-les-economies-europeennes
« Certains médias parlent de l’école sans la connaître » (Danièle Manesse, VousNousIls)
▻http://www.vousnousils.fr/2018/04/25/certains-medias-parlent-de-lecole-sans-la-connaitre-613817
Professeure travaillant sur les questions liées à l’école, Danièle Manesse a vu le traitement médiatique de l’actualité éducative se dégrader au cours de sa carrière.
[…]
« [Les médias] jouent un rôle très important, qui n’a fait que s’accroître, car l’école est devenue de plus en plus un lieu conflictuel, en partie à cause de la montée du chômage. L’école est embarquée dans des évolutions sociales qui la dépassent et donnent lieu à différentes analyses, évidemment. Il y a des manières différentes de parler de l’école, avec notamment une dramatisation considérable de la part de certains médias ! J’ai travaillé pendant 40 ans en banlieue populaire et ce qui me frappe, c’est la désinformation, la manière dont certains médias parlent de l’école sans la connaître.
[…]
On est également stupéfait du désordre dans l’information sur certains thèmes. Par exemple, concernant la langue et son enseignement, il y a eu trois moments de passion médiatique sur l’enseignement du français l’année dernière où il s’est dit parfois n’importe quoi : l’une contre des rectifications orthographiques mineures vieilles de 25 ans, l’autre sur le mot “prédicat” dans les programmes et une campagne sur l’écriture inclusive…Dans chacune, l’école est impliquée voire mise en cause.
[…]
La dramatisation résulte de l’ignorance de ce métier. Je trouve très important, pour parler de l’école, de prendre le temps de le connaître et d’aller sur place à la rencontre des profs. Il ne suffit pas de poser quelques questions par téléphone à un proviseur pour comprendre le fonctionnement d’un établissement.
Il y a de moins en moins de reportages sur le terrain, et aujourd’hui, il y a trop de hâte dans l’information. »
« De toutes mes forces » - vidéo Dailymotion
J’ai juste regardé et écouté ce cours extrait, et ça m’a bouleversé, je ne sais pas pourquoi. Je partage.
▻http://www.dailymotion.com/video/x5egx8r
Extraits de de l’enregistrement de « De toutes mes forces » de Christine Paillard et Chad Chenouga
Grand prix du meilleur scénariste 2015 Sopadin
Diffusion sur France Culture
Les prochains #nanards sur ma liste, pour les longues soirée d’hiver.
Andron (SF)
Celui-là ayant l’air particulièrement nul : Nerve. (mais va falloir attendre un peu quel dommage)
▻https://www.youtube.com/watch?v=AX1BTiHzq-I
The wave est bien daubesque (et avec son lot d’incohérences même pas drôles), film catastrophe de tsunami à fuir, où l’on survit grâce aux liens familiaux qui sont plus forts que tout. L’histoire est basée sur la situation de la ville de #Geiranger en , ville donnant sur une baie magnifique mais vivant sous la menace de la rupture de la crevasse #Åkernes qui lorsqu’elle arrivera (c’est inévitable) provoquera un tsunami d’au minimum 30m de haut.
Andron : prototype du film avec quelques idées, qui aurait pu être bien, et qui retombe comme un soufflé à la fin.
Into the forest : simple drame familial regardable si pas de trop grandes exigences pour la soirée.
Dans le genre pas super mais pas mal, bref pas un chef-d’œuvre, Into the Forest est un faux-film post-apocalyptique. Ce n’est ni un thriller ni rien, juste un film sur une relation entre deux sœurs, sur fond d’adversité, avec Ellen Page. Disons #drame_relationnel
Deux sœurs se retrouvent seules dans leur maison isolée, après qu’il se soit passé quelque chose qui les oblige - ainsi que le reste du monde - à vivre sans électricité ni essence, ni approvisionnement industriel.
▻https://pmcvariety.files.wordpress.com/2015/09/into-the-forest.jpg?w=670&h=377&crop=1
Devant l’hôpital Necker à Paris #Dévastation #DrameNationalpic.twitter.com/ia5AmbYGa2
▻https://twitter.com/akraland/status/743515154382524416
Devant l’hôpital Necker à Paris #Dévastation #DrameNationalpic.twitter.com/ia5AmbYGa2
Journal de Kafka (III, 71) : Anna !
▻http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article3297
troisième cahier, nouvelle traduction
Troisième cahier (1911)
/ #théâtre_yiddish, #drame, #théâtre
#Troisième_cahier_1911_
« ▻http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article3294 »
« ►http://oeuvresouvertes.net/spip.php?article2695 »
du coup j’ai jeté un œil sur le film #Dior_et_moi , où l’on voit bien le travail de dingue qu’accomplissent les « petites mains », ainsi qu’un aperçu des milliers d’allers-retours entre la conception et la fabrication... #luxe #high_level ▻https://www.youtube.com/watch?v=Cv0th0Lv3l0&list=PL30OPo7rVYw7uZlDlG2xE3IgPyK1hNkGa
Crime passionnel ...
France info nous apprend donc que son petit ami s’est présenté au poste, parce qu’il a étranglé et poignardé cette fille, parce qu’elle ne voulait plus qu’il soit son petit ami, et qu’il ne voulait pas. Il a donc eu ce qu’il voulait, il sera son petit ami pour toujours.
Jeune fille égorgée à Perpignan : le petit ami avoue un crime passionnel - Le Point
▻http://www.lepoint.fr/societe/jeune-fille-egorgee-a-perpignan-le-petit-ami-en-garde-a-vue-26-08-2015-19592
Le petit ami de la jeune fille retrouvée morte égorgée mardi dans un parc de Perpignan a avoué l’avoir tuée à coups de couteau emporté par la passion, a expliqué mercredi son avocat.
« Il a tout reconnu, quatre coups de couteau, et l’avoir égorgée », a dit à l’AFP Me Fabien Large, ajoutant que l’adolescente, encore mineure, voulait quitter le jeune homme.
Plus qu’à attendre le livre que le « petit ami » va écrire en préventive, afin de découvrir combien cette « jeune fille » était en fait une « provocatrice adepte de relations saphiques » et qu’elle ne voulait pas le quitter tant que ça... même qu’elle portait des lunettes de soleil et des sucettes à sa bouche... (un peu comme l’histoire d’un adulte et une enfant quand ils enclenchent un roadmovie de plusieurs mois... forcément, l’enfant fait cela de gaieté de cœur (cf. le fil Lolita de ces derniers jours...)).
Ce que veut une femme/fille peut la tuer, mais personne prendra la peine de respecter ce qui est devenu sa dernière volonté ...
Franchement à entendre toute la journée « petit ami » et « migrant » j’enrage de voir à quel point les journalistes sont les chiens de garde du pouvoir et des traditions.
▻http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/adolescente-egorgee-a-perpignan-le-temoignage-poignant-de-la-8648992.html
Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un crime passionnel. « Mon fils était follement amoureux d’elle », a confié la mère du meurtrier présumé au micro de RTL. Selon ses propos, ils se disputaient violemment et la jeune fille lui aurait même volé sa voiture. « Même moi je lui ai demandé de laisser tomber. Que quand ça commençait comme ça, ça finirait mal », continue la mère très émue.
C’est pas la honte qui les étouffe
analyse vue sur twitter
▻https://twitter.com/feeskellepeut/status/636825176714387456
imagine t’es un gamin de 15 ans et partout tu vois qu’on associe « amoureux » avec des violences /le meurtre sur les femmes. VRILLE, le gosse.
c’est quand même super. on vit dans un monde qui répète partout depuis les faits divers à la culture que l’amour rend FOU VIOLENT.
et après tu lis des fois des féministes (!) toutes fières de brailler MAIS HEY LES MECS VIOLENTS QUE VOUS ONT APPRIS VOS MERES ??
vraisemblablement une mère ne pèse pas super lourd face à un ensemble culturello-médiatique, JDCJDR.
(et je ne reparlerai même pas des exemples de relations « amoureuses » des histoires qu’on vend comme « belles » de type 50shades, hein)
franchement va falloir finir par élever les garçons dans un caisson d’isolation sensorielle pour que ça devienne pas des connards.
▻https://twitter.com/feeskellepeut/status/636829828575068160
(imagine la mère du mec qu’a fini dans le journal, tueur de femme. mh ? tu crois qu’elle se demande pas ce qu’elle a pu merder ?)
(alors mersea infiniment à toi qui te dit féministe et qui appuie encore sur ce couteau culpabilisant planté dans le coeur d’autres femmes)
(jte garantis que c’est la première chose qu’on se demande quand un de nos ptits mâles fait dla merde. c’est bien ancré, la faute aux mères)
▻https://twitter.com/feeskellepeut/status/636832835756814336
belle relation abusive et violente et ils parlent de « couple fusionnel »
▻http://www.midilibre.fr/2015/08/26/une-marche-pour-erika-a-perpignan-elle-ne-meritait-pas-cela,1206023.php
et anéfé c’est des mioches et anéfé ils ont intégré complètement le truc admire.
« parfois, Kader pouvait avoir des gestes violents. Mais il était très amoureux d’elle » leurs potes, 16 ou 17 ans aussi. CQFD
comment veux tu. entends, regarde, ça pète à la gueule, merde ! comment veux tu. c’est un travail de titan de contrer ça.
et tu voudrais que la mère, toute seule, avec ses ptits bras, y arrive à coup sûr ? tu fous la pression, féminisme.
c’est quand même gratiné comme cas de violence ’conjugale’. on parle d’un quasi mioche, un ado. c’est parlant je trouve.
mais du coup on a tout le spectre. les copains qui parlent, les familles...et tous parlent d’amour dans cette histoire de...meurtre.
et tous parlent d’amour dans l’histoire de la relation qui n’est qu’une longue série d’abus et de violences, aussi. gra-ti-né, le cas.
ils sont dedans tous adultes enfants journaleux (j’ose espérer pas les flics au moins), à fond : violence non, HISTOIRE D AMOUR oui.
« elle portait plainte pour violences on portait plainte parce qu’elle avait vendu son scooter » ô la belle histoire de luv
jvois juste du conflit direct ou financier mais jdois avoir un problème de vue je suppose, puisque tout lmonde s’accorde à appeler ça aimer.
et ô surprise ça finit en meurtre. oui. étonnant. alors vraiment étonnant. houla. je suis étonnée. (autoconviction en cours)
c’est aussi étonnant que si tu me récitais l’histoire d’une guerre, tsé. ha bon ya eu des morts à la fin jcomprends pas ils s’aimaient.
écoute au moins maintenant c’est établi on a un 1er cas visible : les gamins sont vrillés dès 15 piges et prennent la violence pour du luv.
accuse leurs mères stu veux m’enfin amha tu tapes à côté de la cible, tu tapes même la victime. Bisettes.
(jvoulais voir si on avait matière sur ce cas, bah j’ai été servie la vache)
(dans les cas adultes tu n’auras jamais les témoignages des « amis » du couple. ou ils se policeront ils diront qu’yavait rien eu avant)
(pour pas avoir l’air de coupables par procuration qui savaient et n’ont pas bougé, tsé) (c’est raisonnable un adulte. Hinhin)
(et dans les cas adultes tu n’auras jamais tout cet entourage informé des coups, engueulades, plaintes, vols, abus...bah non. à 15 ans tu racontes à tes copains et même tu t’engueules devant eux, pas de souci, à 30 non)
(bref jpensais bien que ce serait un cas intéressant et qu’on pourrait démontrer easy que même quand ils savent les gens appellent ça amour)
(ça n’a pas loupé. et c’est que le début après va y avoir encore beaucoup de matière au procès. bien entendu ne vous y intéressez pas)
(ce cas est tellement parlant tellement un flag social que je mets mes 10 euros que pas une féministe ne va aller y mettre les mains)
toutes ces convictions acquises à grands renforts de branlette intellectuelle qui se cassent la gueule tavu.
1 cas un seul et pan t’as tout qui te pète à la gueule, l’influence du social, l’inertie de l’entourage même informé, les merdes matérielles qui ont conditionné la relation « elle était en foyer il l’a beaucoup aidée »...la totale. bonne chance pour psychiatriser cette fois.
(je vais maintenant admirer avec quelle application tout le monde va faire un pas de côté de l’affaire perpignan pour surtout ne pas voir)
(et rire très fort quand je lirai que ce n’est pas signifiant car ce sont des mineurs donc...ou argumentaire raciste qui se dira culturel... ou argumentaire mépris de classe qui nous expliquera que c’est des pauvres c’est comme ça les pauvres c’est des sauvages...)
(je crois d’ailleurs que cette dernière non-explication gagnera la partie, c’est bien trop pratique)
Rowhammer : a remote, javascript-induced DDR3 (DRAM) memory fault attack
Google researchers demonstrated in March that a bug affecting some dynamic random-access memory (DRAM) chips can be exploited to gain kernel privileges on Linux and other systems.
However, the exploits created by Google experts have been written in native code, they rely on special instructions, and they require physical access to the targeted machine.
Researchers have now demonstrated that such hardware fault attacks can be carried out remotely using JavaScript, and sandboxing and Data Execution Prevention (DEP) does not protect you.
▻http://www.slate.com/articles/technology/bitwise/2015/07/rowhammer_security_exploit_why_a_new_security_attack_is_truly_terrifying.html
Why is Rowhammer so scary? Because it doesn’t afflict your software but finds a weakness in your hardware, a physical problem with how current memory chips are constructed. So it doesn’t matter whether you’re using Linux, Windows, or iOS: If an Intel chip (or an AMD one, or possibly others) is inside, so is Rowhammer. Incredibly, [a French & Austrian] paper reveals how to exploit it from a simple webpage.
▻http://motherboard.vice.com/read/rowhammerjs-is-the-most-ingenious-hack-ive-ever-seen
They’ve called it Rowhammer.js, and it’s a piece of JavaScript code that can escape a web browser’s security sandbox and gain access to the physical memory of your computer.
The bad news is that if your computer is vulnerable, it’s a hardware issue, and there’s very little you personally can do about it. No software patches are coming to the rescue any time soon. The good news is that this hack is so complicated to pull off, you’re probably safe just from its level of difficulty alone.
[...]
A row hammer is when a program floods a particular row of bits with data, over and over again. This interrupts a memory controller’s refresh process, causing electrical charges to leak to neighboring rows of bits on purpose, manipulating data that an executable program wouldn’t normally have access to.
▻http://www.computerworld.com/article/2895898/google-researchers-hack-computers-using-dram-electrical-leaks.html
There are some mitigations for bit flipping in the latest DDR4 DRAM chips, which have succeeded DDR3 in many laptops and servers.
ECC memory is also not affected.
Some technical information:
▻http://www.ddrdetective.com/row-hammer
Very simply the problem occurs when the memory controller under command of the software causes an ACTIVATE command to a single row address repetitively. If the physically adjacent rows have not been ACTIVATED or Refreshed recently the charge from the over ACTIVATED row leaks into the dormant adjacent rows and causes a bit to flip. This failure mechanism has been coined ‘Row Hammer’ as a row of memory cells are being ‘hammered’ with ACTIVATE commands.
En français:
▻http://macbidouille.com/news/2015/07/31/le-rowhammer-bug-rend-la-dram-vulnerable-a-des-attaques
#exploit
#hack
#Rowhammer
#DDR3 #DRAM
The research paper:
« Un drame familial, aboutissant à la mort d’une personne, s’est produit en pleine rue à Grenoble vers 10 h 15, mercredi 26 novembre. »
Quant la presse est complice des pires machos et se refuse encore et toujours a nommer la violence sexiste par son nom.
▻http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/11/26/fusillade-mortelle-en-pleine-rue-a-grenoble_4529571_3224.html
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►http://www.crepegeorgette.com/2014/06/26/il-na-pas-supporte-quelle-quitte
18/11/2014
Tarn : deux morts dans un drame familial à Graulhet
Une mère de 2 enfants aurait été abattue par son beau-père
▻http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/11/18/tarn-deux-morts-dans-un-drame-familial-graulhet-594262.
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15/11/2014
Drame familial dans les Pyrénées-Orientales : deux enfants et leur mère retrouvés morts
▻http://www.sudouest.fr/2014/11/15/drame-familial-dans-les-pyrenees-orientales-deux-enfants-et-leur-mere-retro
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11/11/2014
Une adolescente tuée et son jumeau blessé dans un probable drame familial
Le beau-père des jumeaux, qui était séparé de leur mère depuis quelques jours
▻http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/11/11/une-adolescente-tuee-et-son-jumeau-blesse-dans-un-probable-drame-familia
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04/11/2014
Drame familial dans le canton de Berne : trois morts sur un parking
Un homme aurait abattu son ex-femme, qui s’était remariée il y a deux mois, ainsi que son nouveau mari, avant de mettre fin à ses jours.
▻http://www.lalsace.fr/actualite/2014/11/04/drame-familial-dans-le-canton-de-berne-trois-morts-sur-un-parking
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Drame familial = meurtre machiste.
Ah oui c’est assez horrible effectivement ce vocabulaire de « drame familial » pour des crimes qui sont presque toujours dans le même sens.
Annik Houel, Patricia Mercader et Helga Sobota. Psychosociologie du crime passionnel. À la vie, à la mort. PUF, Paris, 2008, 234 pages - Cairn.info
▻http://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2010-1-page-213.htm
Le chapitre III, intitulé « Une politique sexuale du genre », part de l’idée que pour rendre compte du crime dit passionnel, c’est la notion d’appropriation des femmes telle qu’elle a été théorisée par Colette Guillaumin qui est la plus pertinente (p. 62). D’un point de vue social, les hommes qui tuent dans la sphère privée sont des hommes « sociologiquement ordinaires ». Mais, sous couvert de normalité, ces couples se caractérisent par un durcissement assez net de l’asymétrie qui régit les relations privées entre homme et femme (p. 64). On peut ainsi, à travers l’étude des mobiles, montrer leur dissymétrie « selon une vectorisation de genre » (p. 64). Les hommes tuent une femme qui les quitte ou menace de le faire ou encore une femme qui les trompe, alors que, chez les femmes, dominent comme mobiles la mésentente ou les violences conjugales ; en somme, les hommes tuent pour garder leur femme et les femmes pour se débarrasser de leur conjoint (p. 66). Mais, par-delà leur sexe, ces criminel-le-s partagent, d’une part, une problématique de dépendance et, d’autre part, la pauvreté de la symbolisation (p. 67). Les femmes, comme les hommes, ont vécu leur enfance dans un environnement autoritariste et inégalitaire, avec des mères « maternalistes », uniquement centrées sur leur rôle maternel exercé selon un mélange d’emprise et de négligences, et des pères autoritaires, violents, à qui on ne peut pas parler. Ce système sociétal, dans lequel ils ont grandi, a eu une influence considérable sur leur évolution subjective. Il a entraîné, pour les femmes, un véritable interdit de s’appartenir et d’investir la sphère culturelle et sociale et, pour les hommes, une contrainte d’obéir aux canons de la virilité, avec son « idéologie du travailleur » (p. 143) et une adhésion rigide à des valeurs traditionalistes dans lesquelles la violence masculine est finalement légitime (p. 72). Ces criminel-le-s n’ont d’autre choix que d’être comme leur père ou comme leur mère, ils sont « malades de la politique duale du genre » (p. 79).
Idem pour les « violences domestiques », je remplace le terme par les « violences conjugales »
#Glissement_sémantique, #novlang, pour masquer cette #culture_du_viol et cette propension à toujours considérer comme immuable la soit-disante faiblesse des femmes et la violence des hommes en les faisant surgir d’un ordre naturel abscons (d’où la sacralité de cet ordre ou sa religiosité originelle pour poser des lois et trier en hiérarchisant le chaos mental qui découle du non ordre de la nature, dans tous les cas, non conscientiser ce processus aboutie à ces névroses sectaires de défenseurs de non-dits religieux que l’on voit en marche dans le fond de la scène politique, tenants de valeurs pourries mais aux croyances naturelles) mais un ordre des choses qui sied aux tenants du pouvoir mais aussi à ceux dont les neurones se mettent au pas du genre masculin (et ce quelque que soient leurs sexes) pour qui il vaut mieux que rien ne bouge ni ne soit réinterroger. D’où les dérives possibles et misérablement actuelles qui tiennent la nature biologique comme le plus beau des ordres en refusant de voir que nous sommes d’abord des constructions sociales dans des rapports de force et de domination ayant d’abord peur de faire crouler l’édifice des certitudes. Mais comment les dominants pourraient-ils s’interroger sur un ordre qui ne les questionnent pas ? Un rempart pour éviter de s’interroger sur nos modes de société. J’ai bien entendu aussi sexisme ordinaire pour remplacer maltraitance sexuelle , et ce de la bouche d’une jeune femme qui ne pouvait que refuser qu’on évoque la violence latente qui prédomine dans les rapports hommes femmes pour balayer devant les pas de son maître présent. Ce qui en dit long sur l’incapacité devenue obligation à accepter une réalité de violence telle qu’il faut même se soumettre et émettre un vocabulaire cousu de mensonges, ce qui revient à se faire disparaitre en tant qu’être, en tant que femme.
Alors la compréhension donne assez de force pour refuser que cet ordre tacite et masculin des mots érigé en négation de l’autre continue d’être employé.
Merci @touti pour l’extrait de « Psychosociologie du crime passionnel. À la vie, à la mort. »
les hommes tuent pour garder leur femme et les femmes pour se débarrasser de leur conjoint
Elles (les femmes) sont notamment à l’origine des trois quarts (70%) des divorces contentieux et personne ne s’est penché sur ce phénomène de société
►http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/07/01016-20111107ARTFIG00732-quand-les-femmes-decident-le-divorce.php
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« disparaitre en tant qu’être, en tant que femme. »
J’ai l’impression que c’est un des principe de base de la féminité en patriarcat. S’habituer à l’effacement de soi. De la fillette qu’on écoute pas, à la veille qui se doit d’être invisible avec sa petit pension et son petit chat. Si une femme doit être visible, c’est dans sa période de fécondité et en relation avec l’agrément masculin(1), comme le harcelement de rue le montre bien.
Dans mes préoccupation actuel sur l’historicité des femmes, hier j’avais mis un truc à ce sujet sur mon blog des Atheniennes ►http://ecole-athena.blogspot.fr/2014/11/la-legende-noire.html
Ca se croise avec l’idée que les femmes sont des marmites(2), que s’échangent les hommes pour qu’elles leur fassent des fils(3). Les femmes n’ont pas de noms, passant de celui du père à celui du mari. Là dans les crimes misogynes que j’ai trouvé du mois de novembre en cherchant juste 5 minutes, combien de ces femmes portaient le nom de leur bourreau ?
Je ressort au passage le tag #droit_aquis_lésé
►http://seenthis.net/messages/104808
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(1) La dessus j’avais été très troublé par cette phrase entendu dans plusieurs conférences féministes : « les lesbiennes ne sont pas des femmes » ca viens de Monique Wittig que je ne connais pas mais ca me semble être cette idée que les femmes sont une valeur sur le marché hétérosexuel et quant elles n’ont pas cette valeur elles ne sont pas des femmes, mais des filles, des vieilles, des lesbiennes, des moches, des grosses...
(2) Voire ici sur le #principe_de_la_marmite
►http://seenthis.net/messages/132696
(3) Une belle illustration de la préciosité des fils pour les machos AOC, sur l’article de Libé sur les 40 ans de l’IVG :
Jean Foyer, député de la majorité de droite, monte à la tribune. « Le temps n’est pas loin où nous connaîtrons en France ces "avortoirs", ces abattoirs où s’entassent des cadavres de petits hommes et que certains de mes collègues ont eu l’occasion de visiter à l’étranger. »
La beauté de la grammaire française je m’y ferais jamais.
▻http://www.liberation.fr/societe/2014/11/26/la-bataille-de-simone-veil-pour-le-droit-a-l-avortement_1149560
les hommes tuent pour garder leur femme et les femmes pour se débarrasser de leur conjoint
Ah oui @mad_meg, ça te saute aux yeux aussi cette phrase ?
J’ai fait une recherche et l’actualité corrobore cruellement cette phrase : plusieurs femmes ont dernièrement tué leur conjoint pour se défendre. Cela n’empêche pas la justice française de leur coller de plus lourdes peines que pour les hommes, comme si à cet endroit aussi il fallait obliger les femmes à encore subir.
Elles (les femmes) sont notamment à l’origine des trois quarts (70%) des divorces contentieux et personne ne s’est penché sur ce phénomène de société
Je viens d’écouter la vidéo d’Eliane Viennot que tu as mis sur ton blog, et entre autres choses passionnantes qu’elle raconte, son long parcours pour accéder à l’université, donc oui… les phénomènes de société liés aux femmes sont des sujets de recherche oubliés, tout comme les études historiques. Cf Patronnes et mécènes en France à la Renaissance ▻http://genrehistoire.revues.org/384
« disparaitre en tant qu’être, en tant que femme. »
…
Dans mes préoccupation actuel sur l’historicité des femmes, hier j’avais mis un truc à ce sujet sur mon blog des Atheniennes ▻►http://ecole-athena.blogspot.fr/2014/11/la-legende-noire.html
Oui, ça recroise complètement le sujet !
D’autant que le mode de disparition des femmes dans l’histoire de france est tout à fait méconnue et tabou, comme le raconte E. Viennot dans la vidéo ▻http://www.elianeviennot.fr/FFP-livres.html avec cette invention de la Loi salique.
►http://seenthis.net/messages/301058
J’ignorais que les français se vantaient de n’avoir pas de femmes au pouvoir en politique et avaient étendu ces lois à la famille et au privé !
Je trouve très intéressant de voir le traitement de ces féminicides actuels et des violences faites aux femmes sous l’éclairage de l’histoire de la disparition consciente et programmée des femmes et des filles de la vie publique. D’ailleurs la langue française définit une femme publique comme prostituée, ce qui témoigne encore de la difficulté à choisir son devenir.
Les femmes n’ont pas de noms, passant de celui du père à celui du mari.
Et méfiance car l’anonymat est lié à la folie me soufflait il y a peu une copine psychanalyste. Est-ce la raison qui permet de traiter celles qui tentent de s’émanciper d’hystériques ?
Et le vocabulaire employé comme le nom à effacer comme toute ces représentations symboliques racontent encore la disparition voulue et annoncée de la femme en tant que personne. Voire également la mythologie autour de la femme construit de mystères et d’inconnu autour d’un sexe qui ne se voit pas, ou ne veut pas se voir. À ce propos, la première échographie de clitoris date de … 2008 !
▻http://www.liberation.fr/societe/2013/03/29/odile-buisson-le-point-gyneco_892403
Et quant au corps, celui-ci n’existe souvent qu’en tant que trace du masculin…
C’est pas tout à fait le même problème, mais il faudrait faire une charte plus étendue qui prennent aussi en compte les violences conjugales et aider ces journalistes à ne plus confondre accident domestique, drame famillial et crimes contre les femmes, féminicides, violences misogyne.
Comment les journalistes peuvent-ils parler des violences sexuelles : proposition de charte
▻http://www.crepegeorgette.com/2014/11/19/charte-journalisme-viol
Drame familial présumé dans l’Oise : trois personnes, dont une adolescente, décédée
▻http://www.liberation.fr/societe/2014/12/23/drame-familial-presume-dans-l-oise-trois-personnes-dont-une-adolescente-d
Un homme a tué sa compagne et la fille de celle-ci avant de se suicider dans leur pavillon de Trumilly (Oise), petite commune au sud de Compiègne, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
Les premières constatations privilégient l’hypothèse d’un drame familial, sous réserve de vérifications, a expliqué le parquet de Senlis, confirmant des informations de la presse locale.
L’habitant, un quadragénaire, selon la presse, aurait tué sa compagne et à l’adolescente de 16 ans dans la nuit par arme à feu puis appelé les gendarmes en fin de matinée lundi pour prévenir de son geste et annoncer qu’il allait se donner la mort. Il s’est suicidé avant l’arrivée des gendarmes.
On n’arrête pas le progrès dans la presse française : Aujourd’hui le « Drame Passionnel »
C’est visiblement un « drame passionnel ». Ce jeudi matin, un homme est entré en trombe vers 10 heures dans une supérette de Nice (Alpes-Maritimes) et a ouvert le feu avec un fusil de chasse. La caissière, une femme de 45 ans, est décédée, rapporte Nice-Matin.
▻http://www.leparisien.fr/faits-divers/nice-il-tue-la-caissiere-d-une-superette-et-se-suicide-29-01-2015-4489111
Drame familial près de Pau : un père tue sa fillette avant de se donner la mort
▻http://www.liberation.fr/societe/2015/10/04/drame-familial-pres-de-pau-un-pere-tue-sa-fillette-avant-de-se-donner-la-
Un homme de 33 ans a tué sa fillette de 3 ans avant de se donner la mort, samedi à Billère, près de Pau, selon le vraisemblable scénario d’un drame familial aux raisons encore inconnues, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
C’est la mère, absente du domicile au moment des faits, qui a donné l’alerte samedi vers 18H30, en trouvant la porte de l’appartement familial verrouillée de l’intérieur. Après avoir forcé l’entrée, les pompiers ont découvert les corps du père et de la fillette.
« Vie sauvage » : à la marge
▻http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/plaisirs-articles-section/cinema/3992-vie-sauvage-a-la-marge
Le vrai sujet de Vie sauvage n’est pas la bataille entre deux parents pour la garde des enfants, mais la concrétisation d’un choix extrémiste d’éducation. La mère ne souhaitait plus vivre en immersion dans la nature, que leurs enfants n’aillent pas à l’école. Le père est resté sur son choix de mode de vie loin de la société de consommation, sur le mode : « Nos enfants ne nous appartiennent pas, ce sont les enfants de la terre mère ».
Une interview des deux vrais garçons en bas :
▻http://culturebox.francetvinfo.fr/cinema/sorties/vie-sauvage-de-cedric-kahn-lhistoire-dun-fait-divers-hors-no
@rastapopoulos : j’en ai vu un extrait au JT de France2 hier soir. Merci pour le lien ; j’en aurai une version « durable ».
Bizarre, car dans l’interview, un des deux prétend qu’à 7 ou 8 ans, on sait où on se sent bien. Par contre dans l’extrait du film, l’un des garçons devenu adulte met en doute le libre arbitre dans un choix qu’on leur impose à cet âge justement. Pas si bizarre finalement si on considère l’évolution et la construction de la personnalité. Au final, même si la séparation d’avec leur mère a généré une grande souffrance, aucun des deux ne semble regretter l’expérience vécue. Et cela, c’est quand même le côté positif pour ces deux garçons devenus grands.
Dommage que le film ne prenne pas vraiment en compte le point de vue de la mère qui n’apparaît qu’au début et à la fin du film.
C’est d’ailleurs un point noté en commentaire sous l’article des nouvelles news :
Le réalisateur ne prend pas parti ?
Pourtant d’après ce que vous dites la mère n’apparait presque jamais, c’est donc bien que le réalisateur n’a pas choisi de s’intéresser à son point de vue ou son vécu.
Lorsque tout un film invisibilise l’un des protagoniste au cœur d’un conflit qu’il prétend traiter, je ne crois pas que l’on puisse qualifier le film de « sans parti pris ».
Et l’analyse féministe du film sinon elle est où ?
Detained immigrants launch hunger strike in northern Greece
Some 100 undocumented immigrants on Tuesday launched a hunger strike at a reception center in #Paranesti, in the northern regional unit of #Drama, demanding to be released after having been issued with documents suspending their deportation.
According to the Athens-Macedonian News Agency, the detainees were recently transferred to the center from the eastern Aegean island of Samos.
Most hail from Iraq, Iran, Syria and Afghanistan and are keen to be reunited with their families, whose welfare they have expressed concerns about, sources said.
According to the United Nations refugee agency (UNHCR), some of the migrants claim to have fallen victim to discriminatory tactics by staff at the center who are alleged to have released other migrants with similar appeals.
#grève_de_la_faim #détention_administrative #rétention #migration #asile #réfugiés