#Take-aways #seminar on ’#Textile_Dependencies : #Power_Relations in #Clothing Production and #Consumption'
#dress #fashion #shopping #second-hand #fair_trade #human_rights #environment #fast_fashion #Rana_Plaza #companies #Global_South #asymmetrical_dependencies #inequalities #consumer #transparency #fairness #colonialism #globalization
]]>Fantasmâlgories : « La loi des mâles » (entretien avec Klaus Theweleit) - Critique de la valeur-dissociation. Repenser une théorie critique du capitalisme
►http://www.palim-psao.fr/2017/06/fantasmalgories-la-loi-des-males-entretien-avec-klaus-theweleit.html
L’angoisse éprouvée par les jeunes mâles face à la décomposition de leur patrie et à la dislocation des corps exposés aux shrapnels (obus à balles) de la première guerre mondiale semblait à ses yeux une mise en condition psychique pour le nazisme
(...)
sur près de 600 pages, #Klaus_Theweleit nous fait découvrir une littérature ultranationaliste jusque-là inconnue, dont il propose le bilan clinique plus que la critique littéraire, tant elle est symptomatique pour lui de la relation entre la domination masculine et l’émergence de l’idéologie fasciste.
(...)
Ernst von Salomon (1902-1972), le romancier qui fut la figure par excellence des corps francs et de la « révolution conservatrice », remarque ainsi, avec joie, comme les autres, le durcissement de son corps transformé en cuirasse.
(...)
Le système mental d’un Breivik ressemble en effet à s’y méprendre à celui des terroristes islamiques. Tous se coulent dans le moule d’une vision patriarcale de la société, où les femmes doivent être soumises, écartées des études, de l’armée, de la police. Ce que les seconds disent au nom de l’islam, le premier le proclame au nom du christianisme. Les idéologies sont interchangeables. Les tueurs indonésiens des années 1960, qui ont mis à mort des centaines de milliers d’opposants communistes, n’ignoraient-ils pas tout du communisme ? L’angoisse provoquée par le corps féminin, elle, n’est pas interchangeable.
(...)
Les corps des garçons sont soumis au #sport, à l’#entraînement, au #dressage (#Drill) . #Breivik s’impose aussi des séances de musculation avec pour objectif de gagner cinq kilos, avant d’aller exécuter ses victimes.
(pas hyper clair l’entretien, je trouve)
via @mad_meg
cc @rastapopoulos (ça semble avoir un rapport avec la critique de la valeur (me demande pas pourquoi)).
Une journée avec les volontaires du SNU (Aimée Thirion, Reportage photo, Libération)
▻https://www.liberation.fr/france/2019/06/26/une-journee-avec-les-volontaires-du-snu_1736270
Dans un centre scout du Nord, 120 ados volontaires testent le Service national universel. Entre ambiance de colonie de vacances et rituels copiés sur l’armée, cette première session cherche son équilibre. Et laisse un doute : qu’en sera-t-il face à des ados forcés d’être là et moins friands d’activités patriotiques ?
Développement durable patriotique entre self-défense et djembé et puis ça :
Il est interdit de mettre les mains dans les poches de son pantalon. Un jeune a été surpris les mains dans les poches : punition pour tout le groupe.
Une belle illustration en photos de l’analyse développée ici : ▻https://seenthis.net/messages/788954
#éducation #dressage #patriotisme #ÇaPueDuSNU
Voir aussi : ►https://seenthis.net/messages/788452
]]>Service national universel : « On ne pourra pas être réformé », annonce Gabriel Attal - Le Parisien
►http://www.leparisien.fr/societe/service-national-universel-on-ne-pourra-pas-etre-reforme-annonce-gabriel-
Au-delà du cadre, de la participation des armées à l’encadrement, les jeunes bénéficieront d’un bilan de santé complet, avec tests auditifs, visuels et cardiovasculaires. Il y aura aussi un test d’illettrisme et d’#illectronisme (manque ou une absence totale de connaissances informatiques), ainsi que des modules sur la Défense et la sécurité.
Pour le nouveau mot-dièse.
Sinon, ça a l’air d’une punition collective imaginée par un vieux cacochyme nostalgique de Pétain…
En passant par les Émirats (à l’occasion des « sabotages » à Fujairah…) je découvre le tout nouveau Ministère des possibilités et ses quatre départements, dont celui du Prix comportemental, avec un système permettant de gagner des #bons_points monnayables.
Saif Bin Zayed chairs Ministry of Possibilities’ first meeting
▻https://gulfnews.com/uae/government/saif-bin-zayed-chairs-ministry-of-possibilities-first-meeting-1.63957800
Dubai: Lieutenant General Shaikh Saif Bin Zayed Al Nahyan, Deputy Prime Minister and Minister of Interior, yesterday chaired the first meeting for the Department of Behavioural Award of the Ministry of Possibilities, which was launched to bring about a radical change in the current government work systems.
During the meeting, Shaikh Saif approved the department’s action plans for the next phase, which includes setting a list of behaviours affecting society, and identifying incentives to stimulate good behaviour, in addition to developing a smart application to reach out to all segments of society.
Shaikh Saif stressed that the UAE is pressing ahead with enhancing its success to improve the quality of life under the leadership of President His Highness Shaikh Khalifa Bin Zayed Al Nahyan and the creative initiatives of His Highness Shaikh Mohammad Bin Rashid Al Maktoum, Vice-President and Prime Minister of the UAE and Ruler of Dubai, and His Highness Shaikh Mohammad Bin Zayed Al Nahyan, Abu Dhabi Crown Prince and Deputy Supreme Commander of the UAE Armed Forces.
He stressed the ministry’s department of behavioural rewards is a pioneering initiative launched to promote positive behaviour among all members of the society, its institutions and to invest the positive potential of the UAE society within an institutional framework.
[…]
Last April, Shaikh Mohammad Bin Rashid launched the Ministry of Possibilities as the world’s first virtual ministry to apply design-thinking and experimentation to develop proactive and disruptive solutions to tackle critical issues, bringing together federal and local government teams and the private sector.
The first phase of the ministry’s work will include several national programmes in the form of four departments which are:
• Department of Anticipatory Services — it aims to redefine customer experience in all areas and provides anticipatory services to the public,
• Department of Behavioural Rewards — it aims to develop an approach for incentivising positive behaviour through a point-based rewards system that can be used in payments for government services,
• Department of UAE Talent — it aims to create a nurturing environment to empower Emiratis to be part of the country’s development and future design,
• Department of Government Procurement — it aims to make government procurement faster and more accessible, especially for Small and Medium Enterprises (SMEs).
]]>Loi sur l’école : les débats se déportent un peu plus sur la droite | Mediapart
►https://www.mediapart.fr/journal/france/120219/loi-sur-l-ecole-les-debats-se-deportent-un-peu-plus-sur-la-droite?onglet=f
L’examen du projet de loi « pour une école de la confiance », porté par le ministre de l’éducation nationale, a débuté le 11 février. La tonalité conservatrice des débats sur l’uniforme, le drapeau ou la restriction de la liberté d’expression des enseignants est manifeste.
Il existe une constante dans les débats sur l’école. Quel qu’en soit l’objet initial, des thématiques finissent toujours par s’imposer. L’uniforme, le drapeau ou l’hymne national surgissent souvent. Le projet de loi « pour une école de la confiance », dont l’examen en séance publique à l’Assemblée nationale a débuté le 11 février pour toute la semaine, n’y a pas dérogé.
À l’origine, cette loi vise à abaisser l’âge obligatoire de l’instruction à trois ans, contre six à l’heure actuelle. Même si, comme l’ont souligné plusieurs observateurs, dans les faits seuls 27 000 enfants seront concernés à la rentrée prochaine, selon une étude du ministère, car 98,9 % de cette classe d’âge font déjà l’objet d’une instruction.
De fait, cette obligation entraîne dans son sillage une conséquence concrète. Les communes vont devoir financer les maternelles privées sous contrat. L’opposition dénonce un cadeau fait au privé, puisque les collectivités vont devoir endosser un surcoût de 100 millions d’euros. Les syndicats parlent d’une somme plus proche des 150 millions d’euros.
Pourtant, Jean-Michel Blanquer avait juré à Mediapart en septembre 2017 qu’il n’utiliserait pas l’arsenal législatif pour tout changer : « Je ne veux pas opérer de destruction. Je ne ferai pas de loi, je ne vais pas bouleverser les programmes, ni lancer de refondation. »
Jean-Michel Blanquer. © Reuters Jean-Michel Blanquer. © Reuters
Fourre-tout, cette loi – parfois technique – n’a aucune ligne directrice et ne semble servir qu’à mettre en musique les chevaux de bataille d’un ministre très sûr du bien-fondé de ses idées et qui souffre peu la contradiction. D’autres articles visent à réformer la formation des enseignants, à encadrer l’expression des enseignants ou à supprimer le Conseil national de l’évaluation scolaire pour le remplacer par un conseil d’évaluation de l’école chargé, comme son nom l’indique, d’évaluer les établissements scolaires. Le Cnesco perdurera sous la forme d’une chaire universitaire au sein du Conservatoire des arts et métiers (Cnam).
Dans l’Hémicycle, le ministre a défendu l’esprit de sa loi. Et impossible de ne pas noter le glissement à droite du débat. Ce n’est pas la première fois que LREM partage des opinions avec l’opposition, LR notamment. Les lois asile et immigration, contre les manifestations et sur le renseignement ont déjà montré une porosité avec les idées du parti dont est issu le premier ministre. Et dénote d’un certain autoritarisme. La loi sur l’école ne fait pas exception, comme en témoignent les thématiques discutées en fin de soirée le 11 février et l’après-midi du 12.
Onze amendements déposés par Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN) ont porté sur l’instauration d’un uniforme pour les élèves. La droite a tellement hâte d’imposer ses thématiques qu’en plein débat sur l’absentéisme scolaire, dans la soirée de lundi, Maxime Minot, des Républicains, commence par défendre son amendement sur l’uniforme avant de se rendre compte de sa bévue. Le même a déposé un autre amendement encore plus maximaliste. Il propose que le « chef d’établissement veille à ce que le corps enseignant porte une tenue conforme à l’autorité que doit inspirer un enseignant ».
Jean-Michel Blanquer ne s’oppose pas, sur le principe, au fait que les élèves soient vêtus selon un code précis. Dans l’Hémicycle, un argument est récurrent. Instaurer un uniforme permettrait de gommer les inégalités et les différences sociales. D’autres, dont le ministre, citent l’outre-mer pour appuyer leurs propos. Une députée prend la parole pour s’agacer de cette idée reçue : « Ceux qui disent qu’en outre-mer on porte l’uniforme n’y ont jamais mis les pieds. » Sabine Rubin, de La France insoumise, peste contre le fait qu’on « parle chiffons » au lieu d’éducation.
Sans succès. Le ministre de l’éducation nationale s’explique et puise dans son expérience de recteur en Guyane : « J’ai vu les bienfaits de l’uniforme. Je suis conscient de ça, je continue à l’encourager. Il serait peu adapté de vouloir l’imposer, mais il faut en ouvrir la possibilité. » Il a aussi rappelé qu’il préférait que chaque établissement décide au cas par cas. D’où le rejet des amendements.
Dans la même veine, de longs échanges ont porté sur l’enseignement de la Marseillaise et l’affichage de ses paroles dans les salles de classe. Là encore, les oppositions ont été franches. La rapporteure Anne-Christine Lang a expliqué qu’il ne fallait pas l’imposer aux enseignants.
Le ministre a expliqué que le débat autour de la Marseillaise et de son apprentissage était « important ». Et de déplorer que, dans tous les autres pays du monde, cela soit un sujet totalement consensuel, là où la France traîne encore les pieds. Et d’y aller de sa petite anecdote, où il explique que des élèves de 4e d’un collège REP +, donc défavorisé, à Montpellier ont discuté avec lui et, avant de prendre congé, lui ont chanté l’hymne national. Ce qui l’a ému, dit-il.
Son récit n’a pas eu le même effet sur l’opposition de gauche. Un député s’agace d’une « confusion entre le dressage et l’éducation ».
Michel Larive, de La France insoumise, est aussi virulent et fustige une inquiétante « dérive nationaliste ». Il explique que le lever de drapeau « doit rester dans les casernes ». « Un drapeau qui se lève, des uniformes, un hymne qui se chante, ça ne me dit rien qui vaille pour la démocratie. » Et la députée LR Annie Genevard de rétorquer qu’elle n’a pas « la nation honteuse ».
L’amendement est rejeté ; mais à chaque fois, la majorité a du mal à s’opposer frontalement à ces propositions, qui insufflent une coloration réactionnaire à l’école.
Elle y adhère parfois franchement. Lundi soir, aux alentours de 23 h 30, une discussion s’engage à l’initiative du député LR Éric Ciotti, connu pour ses obsessions vis-à-vis des questions identitaires. Un peu plus tôt, il avait félicité le ministre de l’éducation nationale sur ses prises de position contre l’absentéisme et la violence scolaire (« Nous approuvons souvent – pour ma part, en tout cas – le diagnostic que vous livrez et les paroles justes que vous prononcez, mais nous attendons des réponses et des actes tout aussi justes et forts »).
Celui-ci a proposé un amendement mettant en place l’obligation de la présence d’un drapeau tricolore et européen, ainsi que celle des paroles de l’hymne national dans les salles de classe des établissements du premier et du second degré, publics ou privés sous contrat.
Jean-Michel Blanquer a considéré que l’amendement concernant « l’apprentissage effectif de l’hymne national » était « un progrès par rapport aux objectifs pédagogiques », ajoutant qu’il était à ses yeux « important de montrer que l’enseignement des éléments de l’éducation morale et civique (EMC) est présent ». Il a promis que la mesure serait très facilement mise en œuvre, « à des coûts tout à fait assumables par le ministère ».
« Un débat sur l’identité plutôt que l’égalité »
Les députés de gauche ont vu rouge. Car ils n’ont pas pu s’exprimer sur une mesure qui va à l’encontre de leur vision de l’école et des débats de société. La socialiste George Pau-Langevin a dénoncé une mesure « pour se faire plaisir ». L’Insoumis Michel Larive a jugé « suffisante » la présence des drapeaux au fronton des établissements, invoquant « le respect de la patrie sans aller vers le nationalisme ». Elsa Faucillon (PCF) a déploré que le débat se focalise « sur l’identité » plutôt que sur « l’égalité ». Au bout du compte, pour permettre à l’opposition de s’exprimer, il a été décidé que cet amendement bénéficierait d’une seconde délibération à la fin de l’examen du texte, vendredi 15 février.
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La défiance du corps enseignant s’est aussi cristallisée sur l’article 1 du projet de loi, avant même son examen en séance. Celui-ci rappelle le devoir « d’exemplarité » des enseignants et le respect que doivent leur manifester en retour élèves et familles. « Par leur engagement et leur exemplarité, les personnels de la communauté éducative contribuent à l’établissement du lien de confiance qui doit unir les élèves et leur famille au service public de l’éducation. »
Une injonction législative qui fait tousser dans les rangs enseignants, à l’heure où ceux-ci choisissent l’expression numérique pour s’exprimer à travers les réseaux sociaux qui ont porté le mot-dièse #PasDeVagues, sur le silence de la hiérarchie face aux violences scolaires exercées par les élèves, ou le groupe des Stylos rouges qui dénoncent les conditions d’exercice de leur métier. D’autres s’inquiètent des moyens qui manquent. Las de le raconter, ils se démènent et organisent grèves ou nuits des lycées. Ils se battent aussi pour des hausses de salaire, l’arrêt des suppressions de poste et le retrait des réformes du baccalauréat, du lycée et de Parcoursup.
Ce durcissement du devoir de réserve des enseignants ne passe pas. Certains s’inquiètent d’une mise au pas et d’une restriction de leur liberté d’expression. Même si le Conseil d’État a estimé, en décembre, que cette demande d’exemplarité n’avait « aucun effet de droit » dans un avis consultatif, Jean-Michel Blanquer n’a pas voulu retirer cet article ou le réécrire.
Cette insistance interpelle d’autant plus qu’il existe déjà une loi d’avril 2016 relative à la déontologie des fonctionnaires, qui rappelle que ceux-ci sont tenus à une obligation de dignité, d’impartialité et de probité « dans l’exercice de leurs fonctions ». Sans compter que la loi du 13 juillet 1983 garantit la liberté d’opinion aux fonctionnaires.
La députée communiste Elsa Faucillon y est allée franchement lors de son adresse au ministre de l’éducation nationale : « Vous êtes passé maître dans la communication orwellienne, tant les mots pour promouvoir la loi sont à la distance des faits. Vous parlez de justice sociale quand on trouve des pressions sur l’expression des professeurs. » Des enseignants ont écrit des tribunes de protestation (ici ou là).
Les députés LREM n’y voient aucune restriction, au contraire, et s’engagent, comme Anne-Christine Lang, la rapporteure, dans une défense au raisonnement difficilement compréhensible : « Je comprends naturellement l’attachement des enseignants à leur liberté d’expression, et je la partage. Mais... quand le ministre s’engage, devant les députés, à ce qu’il ne serve pas à sanctionner les personnels, quand nous-mêmes votons en commission un amendement visant à préciser qu’il n’instaure aucune obligation nouvelle, pourquoi persévérer dans cette défiance ? » Si cet amendement n’engage aucun changement, pourquoi le maintenir ?
Une autre députée LREM, Danielle Brulebois, enchaîne : « Les enseignants devraient se montrer exemplaires dans le respect des institutions de la République. Ce qu’on lit sur les réseaux sociaux montre que l’article 1 est nécessaire », même si cet article n’a aucun pouvoir coercitif, à les entendre. La socialiste Sylvie Tolmont s’étonne de cette « étrange application de votre promesse d’entendre le malaise que la profession exprime sur les réseaux sociaux ! ».
Michel Larive, de La France insoumise, explique encore que cet article risque d’encourager la censure et de servir à prononcer des sanctions disciplinaires à l’encontre des enseignants qui s’expriment, comme le font les Stylos rouges notamment. « C’est une notion suffisamment floue pour servir je ne sais quelle dérive autoritaire. »
L’exemple de Sophie Carrouge, professeure au lycée Le Castel à Dijon (Côte-d’Or) qui a été convoquée par son rectorat, le 20 décembre, est dans toutes les têtes. Elle avait publié, une semaine plus tôt, une tribune sur le site dijoncter.info. La professeure de lettres y ironisait sur la forme du discours présidentiel.
Mais peu importe, Jean-Michel Blanquer ne transige pas. « Nous nous sommes autorisé un article de principe... Si on me dit que les professeurs doivent être exemplaires, je suis fier d’être professeur. »
Le seul amendement adopté réécrit à la marge est le texte de l’article 1 – adopté à 52 voix contre 14 avec 18 abstentions – en y ajoutant l’adjectif « mutuel » à « respect ».
Jean-Michel Blanquer ne s’en est jamais caché, il cultive une vision « traditionnelle » de l’école. Dans son propos liminaire, lors de la discussion générale, le ministre s’est lancé dans une envolée lyrique : « Avec ce projet de loi, je ne vous propose pas de larguer les amarres et de rompre avec cette tradition. Je ne vous propose ni de refonder ni de reconstruire. Je vous propose une nouvelle étape de cette épopée glorieuse, comme un arbre sait relancer un puissant rameau de son vénérable et robuste tronc. » Promesse tenue.
]]>Serena Williams scores new rules for the tennis court
▻https://www.pri.org/stories/2018-12-19/finally-more-love-serena-williams-tennis-star-inspires-new-rules
The Women’s Tennis Association put out a statement this week saying that wearing leggings and compression shorts without shorts or a skirt over them is totally acceptable. It turns out there was never a rule against it. And Myles says forget the fashion statement. It just makes sense.
The Women’s Tennis Association updated another rule this week. And Myles says it’s about something more important than dress code. It has to do with players keeping their rankings after maternity leave.
“So, now what they’ve done is they’ve just given the players a longer period of time in which they can use that ranking to get themselves back to where they were,” said Myles. In other words, they don’t have to start at the bottom.
This change was also inspired by Williams. She was ranked No. 1 when she went on maternity leave. When she came back eight months later, she’d lost her ranking. And that affects when, where and who you play in tournaments.
Myles says the old rules basically punished women for having children.
]]>Onques ne vit si misérable engeance qui prohiba, interdit, défendit, cloua au pilori ! | Culture numérique
▻https://www.culture-numerique.fr/?p=7653
L’Assemblée nationale vient de voter, en deuxième lecture (62 voix pour, une seule contre !) , l’article additionnel au Code de l’éducation qui, de fait, interdit, sauf disposition dérogatoire au règlement intérieur, l’usage des téléphones mobiles et autres moyens de communication (tablettes, objets connectés…) dans les écoles et collèges de France. Rappelons que d’éventuelles dispositions dérogatoires au principe général d’interdiction sur les circonstances et lieux peuvent êtres votées par le Conseil d’administration, que le règlement intérieur dans sa globalité doit être validé par les proviseurs vie scolaire des directions académiques et que ces gens-là ont la réputation d’avoir l’œil sourcilleux…
« Sur les conseils de mes élèves, j’allais à l’épicerie Chez Abdallah »
Entretien long format avec Laurence De Cock sur l’éducation, l’histoire et le postcolonialisme
Propos recueillis par Céline Picard et Ferdinand Cazalis
À lire et écouter ici :
À la fin du XIXe siècle, un programme commun à l’ensemble du territoire français est décidé. Cela a trois finalités : 1. identitaire, car il faut fabriquer « du Français » dans un pays qui est fragmenté au niveau linguistique et culturel, et qui est par ailleurs éclaté en colonies ; 2. civique, il faut fabriquer des citoyen·nes républicain·nes au moment où la République est instable ; 3. intellectuelle, c’est-à-dire avec l’objectif de transmettre des connaissances (mais ce dernier niveau de lecture est secondaire). D’où l’idée de structurer l’école autour de programmes et de disciplines, qui, en France, ont parfois une rigidité que l’on ne retrouve pas dans tous les pays ; le terme de « programme » est quant à lui spécifiquement français : ailleurs on parle de « curriculum » ou de « plan d’étude ». Or ces mots – « disciplines » et « programmes » – sont à eux-seuls tout un programme, si j’ose dire : c’est un carcan idéologique servant quasiment des objectifs de dressage. L’enjeu est donc immense et touche à ce qui définit la nation et la patrie, au point que toute modification dans les programmes peut devenir un enjeu de société.
L’histoire scolaire est écrite par les dirigeant·es selon deux objectifs. Le premier est politique : un programme d’histoire reflète à un instant « t » ce que le politique souhaite laisser comme trace du passé. Le deuxième est social : le programme cible le devenir de générations de jeunes ; c’est une projection à long terme de ce que le politique souhaite que la jeunesse devienne. On suppose qu’avec tel programme, les élèves vont développer tels types de comportements civiques et politiques. Par conséquent, pour un·e praticien·ne – un·e prof –, il est très compliqué de travailler avec ce matériau qui est surveillé en permanence. On essaie tant qu’on peut d’insister sur la dimension critique de l’histoire, mais ce n’est pas évident avec de tels enjeux qui nous dépassent. Car ce que nous souhaitons réellement enseigner relève d’une autre problématique que celle des gouvernements : quelle utilité peut avoir la connaissance et le raisonnement historiques pour une meilleure compréhension du monde ?
]]>Suisse : On pourra désormais obtenir un master en #yodel - Suisse - tdg.ch
//www.tdg.ch/suisse/pourra-desormais-obtenir-master-yodel/story/31996181
Faire un master en yodel ? Cela sera possible à partir de la rentrée 2018. La Haute école de Lucerne propose en première suisse ce diplôme dans son département musique. Le cursus sera dirigé par la célèbre yodleuse alémanique Nadja Räss.
Jusqu’ici, les étudiants dans le domaine « musique folklorique » pouvaient choisir les instruments classiques ou les instruments typiquement folkloriques comme branche principale. Dès l’automne prochain, la palette sera élargie à la #youtse, indique la Haute école jeudi.
dédicace particulière à @cdb_77 …
Les chauffeurs de bus qui travaillent en jupe à Nantes
▻http://www.madmoizelle.com/chauffeurs-bus-jupe-790353#link_time=1498049176
« Je me suis retrouvée obligée, comme toutes mes collègues féminines, de porter une laine à l’intérieur des bureaux en été, à cause de la climatisation.
C’est sûr que lorsque le mercure dépasse les 30 degrés à l’extérieur, on supporte assez mal la combinaison pantalon-chemise […] cravate et chaussures fermées.
Pour compenser, et offrir à ces messieurs fort bien sapés une atmosphère de travail agréable, on pousse la clim’ à 20 degrés dans les bureaux. »
]]>« La journée type d’un chômeur-winner merci pole_emploi Compiègne Margny », via @VictorBaton
▻https://twitter.com/VictorBaton/status/867121476289343488
Notez que pour être un bon chômeur-winner il vous faut un balcon.
Et @pole_emploi si chercher un emploi est un ’taff’ à plein temps pourquoi la moitié des chômeurs ne sont pas indemnisés ?
Au-delà de son aspect le + caricatural, ce visuel est une parfaite illustration de l’idéologie de « l’activation » des demandeurs d’emploi...
#bob_emploi :
▻http://m.jactiv.ouest-france.fr/actualites/economie/24-ans-paul-duan-lance-appli-pour-reduire-chomage-france-69822
#chômeurs #dressage #précarité #policemploi
▻https://seenthis.net/messages/574597
▻https://seenthis.net/messages/547145
Connaissez-vous le point de vue animal sur l’histoire ? - Rien n’est joué - Radio - Play RTS
▻http://www.rts.ch/play/radio/rien-nest-joue/audio/connaissez-vous-le-point-de-vue-animal-sur-lhistoire-?id=3950132
Les révolutions animales
▻https://www.franceinter.fr/emissions/la-tete-au-carre/la-tete-au-carre-01-novembre-2016
Le cheval prolétaire
▻https://www.franceinter.fr/emissions/la-marche-de-l-histoire/la-marche-de-l-histoire-04-avril-2012
Série « Des chats et des hommes »
Episode 1 : Le chat dans les mythologies grecques et égyptiennes
Episode 2 : La diabolisation du chat
Episode 3 : La réhabilitation du chat
Episode 4 : La figure du chat romantique
Episode 5 : Le chat, cet indomptable animal de compagnie
▻https://www.franceculture.fr/emissions/les-tetes-chercheuses/des-chats-et-des-hommes-par-eric-baratay
#radio #animaux #non-humains #histoire #chat #cheval #zoo #dressage
]]>Est-ce qu’on pourrait avoir le choix ?
▻http://desordre.net/blog/?debut=2016-11-27#3135
Si j’avais dû écrire cette lettre, j’aurais fait un massacre, j’aurais été insultant, violent même, tant je ressens tellement durement cette nouvelle attaque du clan des psychologues pour chiens par député d’extrême droite interposé #151 ; je parle de cette nouvelle proposition de loi de Fasquelle qui sera débattue la semaine prochaine à l’Assemblée et qui vise entre autres mesures malsaines d’interdire la prise en charge de l’autisme par les psychanalystes. Source : Le bloc-note du Désordre
]]>C’est bon, chef, j’ai terrorisé mes élèves ! (Élucubrations pédagogiques)
►http://jejoueenclasse.fr/elucubrations/cest-bon-chef-jai-terrorise-mes-eleves
Vous imaginez ? Notre école qu’on voulait accueillante, celle où nous voulions que les adultes et les enfants puissent vivre dans un climat de bienveillance, cette même école devrait sécuriser les accès, contrôler les identités, supprimer les fêtes, rehausser les murs ou calfeutrer les fenêtres…
Cette semaine, j’obéissais donc sagement aux instructions, plein de remords avec la sensation de faire une grosse bêtise. Le tableau : mes 26 CP allongés par terre dans la classe fermée à clé et plongée dans le noir, avec consigne de ne faire aucun bruit pour ne pas se faire repérer par le “méchant”… N’y a-t-il pas un problème, là ?
[…]
En associant notre jeunesse à cultiver la menace terroriste, on joue le jeu des terroristes. Un terroriste veut terroriser, et nous sommes, à mes yeux, les premiers terroristes en apprenant la peur à nos enfants.
[…]
Que puis-je faire ? Désobéir en refusant de faire ces exercices ? Ils y seront confrontés dans les autres classes… Rassurer les enfants en disant qu’il n’y a que des gentils autour de nous ? On me reprocherait d’élever des Bisounours… Me plier au troupeau en me disant que la société a changé et que nous sommes en état de guerre ? Nous n’avons pas les mêmes valeurs.
Une chose est certaine, j’ai compris ce jour à quel point nos choix déterminaient la société que nous voulons. Cette société qui a peur, je ne la souhaite pas, je veux une société qui ose vivre, et qui arrive à vivre ensemble : apprendre à s’apprécier, à profiter de nos différences, à régler ensemble nos conflits, à s’encourager, c’est un vrai combat qui commence dans la classe, toutes lumières et portes ouvertes !
]]>Mon bureau est à 50 mètres d’une station de tramway et bien j’en ai marrrrrreee, et voila pourquoi. Depuis 3 mois, tout les quarts d’heure du matin au soir, se déclenche un haut parleur qui hurle distinctement ce message :
Votre attention s’il vous plait, par précaution ne laissez pas vos bagages et objets personnels sans surveillance, prévenez le personnel Tisséo en cas de découverte d’un objet abandonné ou suspect. Merci de votre concours.
Cette bande préenregistrée avec un bon gars du pays à l’accent toulousain nous change des messages lus par des robots suaves. Sauf qu’avec une journée de 10 heures, je l’entends 40 fois par jour, 250 fois par semaine, 1000 fois par mois, ça fait 3001 fois que je l’entends ce message, j’ai des boules quiès pour bosser, mais ça résonne encore dans mon crâne comme une publicité, ça me dévore le cerveau comme la mère Denis une copine parti en retraite dans le fin fond de la THaïlande résonnait encore dans la jungle deux ans après. Mais qu’est-ce que j’y peux ? qu’est-ce que j’y peux si Dassault vend des avions pour bombarder des gens ? Je vais pas aller prévenir le personnel Tisséo que c’est pas à nous qu’il faut demander de l’aide. Et puis, leur #%$ !! de haut-parleur hyper moderne pourquoi il est pas dirigé vers le quai, pourquoi il faut qu’il gueule son machin anxiogène à tout va ? Y’ pas quelqu’un pour leur dire ? Les gens ont si peur maintenant, il faut les comprendre, ils ne veulent pas être tout seuls à s’angoisser sur l’étranger paquet, ils se font un concours Tisséo pour savoir le meilleur voisin vigilant qui attrapera le gros lot de la frousse. Alors ils vivent avec ça, avant d’aller regarder pino qui alimente leurs orifices déjà malmenés. Et puis, si le monsieur du tramway il est devenu fou à répéter la même chose, lui, on peut pas l’enfermer, alors pourquoi les langues de #§ !°/%*## ne se délieraient pas dans la quartier ? Hein, c’est vrai, vous avez remarqué, on n’est plus chez nous, y’a plus de boulangeries ni de poissonniers. Oui, c’est vrai, ce sont les supermarchés qui se construisent sur les espaces verts en périphérie qui les ont coulés. Ah mais non, ce n’est pas ce que j’ai voulu dire. Taisez vous, vous me faites peur.
]]>Dutch #police trains eagles to take down #drones
▻http://spectrum.ieee.org/automaton/robotics/aerial-robots/dutch-police-training-eagles-to-take-down-drones #dressage #rapaces
"I doubt that using attack eagles as drone interceptors will ever turn out to be a practical solution in most places but, since I got to write an article about using attack eagles as drone interceptors, as far as I’m concerned it’s been totally worth it !"
]]>Angela Merkel sous la pression des dresseurs de barrières antimigrants
Alors qu’à l’intérieur de l’espace Schengen, les murs s’érigent, la chancelière a de moins en moins de soutien dans sa politique d’accueil.
#murs #barrières_frontalières #asile #migrations #réfugiés #Allemagne
signalé par @albertocampiphoto (twitter)
Watchbot - NewScientist
▻http://alireailleurs.tumblr.com/post/137145164286
Un robot, voire une caméra de #surveillance, pourrait demain, en regardant les gens travailler, apprendre les étapes qui composent une tâche, et intervenir quand les gens oublient une étape. C’est ce que fait Watch Bot développé par des chercheurs de l’université de Stanford et de l’université Cornell, rapporte le New Scientist (voir l’étude) : un robot qui apprend sans aide à trouver les modèles dans les mouvements humains qu’il observe. Ce robot pourrait être utilisé sur des chaines de montages pour limiter des erreurs, mais également dans les activités quotidiennes de personnes âgées par exemple. Il suffit d’une soixantaine de séance pour que le robot apprenne et puisse contrôler les actions de quelqu’un. La surveillance et le dressage de nos comportements ne fait que commencer…
#liberté #machine_learning #économie_comportementale #morale
]]>Un SDF transformé en hotspot Wi-Fi - Business - Numerama
►http://www.numerama.com/business/129008-un-sdf-transforme-en-hotspot-wi-fi.html
À la fin de l’été dernier, une association de République Tchèque baptisée WiFi4Life avait présenté une campagne de levée de fonds sur IndieGoGo, pour un projet des plus particuliers . L’objet : venir en aide aux SDF qui acceptent de porter sur eux des routeurs Wi-Fi utiles aux habitants et aux touristes. Dit autrement, aider les pauvres qui acceptent de servir les besoins des riches, dans un mélange étrange d’accompagnement à l’ascension sociale… et d’exploitation sociale.
« S’ils prouvent qu’ils peuvent respecter des horaires, se réveiller, rester sobres, et travailler 8 heures par jour, notre projet leur fournira la valeur d’une recommandation pour leur employeur potentiel », expliquait la vidéo de présentation du projet.
▻https://www.youtube.com/watch?v=aVpHcodPcpM
Alors que la levée de fonds visait à fournir des routeurs Wi-Fi à six SDF pendant une période initiale de 2 mois, c’est finalement un seul sans-abri que WiFi4Life a pu équiper. En échange, celui-ci reçoit de la nourriture, de la boisson (sans alcool), un toit, des vêtements, et 5 euros d’argent de poche. « Il reçoit aussi de l’argent de la part des gens qui utilisent son Wi-Fi », tient à préciser Lubos Bolececk. Même si l’accès est gratuit, les pourboires sont bienvenus.
Pour fournir un accès Wi-Fi aux passants, le sans-abri qui se signale par un t-shirt Wifi4Life est équipé d’un routeur 3G TP-LINK, qui a une autonomie de 6 heures. L’appareil émet à environ 20 mètres de distance, et peut accepter jusqu’à 10 connexions simultanées, avec un débit de 1 Mbps. Par ailleurs, l’homme est doté d’une station de recharge USB qu’il peut utiliser pour recharger son routeur, ou pour offrir des services de recharge de téléphones mobiles aux personnes qui viennent le voir.
]]>L’école est une machine à produire de la dépression
(relevé sur twitter)
▻https://twitter.com/kinkybambou/status/642340486808780800
Un vieil ami philosophe (dans les deux sens du terme) qui a été formateur à l’IUFM pour les profs des écoles pendant 15 ans après 20 ans en lycée technique me disait toujours : l’#école c’est une machine à casser les gens. c’est pire que ça. C’est une machine à produire des formes d’individualités délétères.
Le problème étant que l’alternative actuelle c’est « l’autonomie ». Ou l’autonomie, on sait ce que c’est grâce à la socio du travail et la socio critique de la « #santé mentale » depuis 20 ans : c’est cet idéal-norme qui régit très précisément des manières non seulement de penser, mais aussi d’organiser, d’agir, et de ressentir, qui a produit à une échelle globale un affect typique chez l’individu contemporain : la #dépression, comme fatigue de ne pas parvenir à être ce qu’on est censés être : des individus autonomes, c’est à dire capable d’être des « entrepreneurs d’eux-mêmes », de choisir non seulement leurs conduites mais aussi de contrôler leurs motivations, leurs préférences, leurs désirs, en faisant un tri entre celles qui favorisent cette « autonomie » (et dont le signe et l’affect régulateur est le « bien être »), et les autres.
La #discipline, c’est la technologie favorite du vieux #capitalisme des corps et des esprits.
L’autonomie, c’est l’idéal régulateur du « capital humain », c’est à dire du capitalisme néo-libéral qui nous traverse en totalité. Charybde et Scylla.
#éducation #vie_intérieure #néolibéralisme #management #dressage #psychiatrisation
Mais surtout, c’est que depuis les années 1960, l’autonomie individuelle n’est plus considérée comme un idéal à atteindre tout au long d’un parcours de la vie de l’adulte, mais bien comme une condition humaine qui se doit donc d’être réalisée au plus tôt dans l’#enfance - ceux qui achoppent étant alors moins rétifs qu’"anormaux" ou « troublés » ou « défaillants ».
L’école de la Troisième République, c’était celle de la rétivité ; pas encore de la déficience et du trouble, même si Binet, les test de QI, etc. Ce n’était pas encore un schème général, celui de l’échec à être autonome qui est censée témoigner d’un « problème » chez l’enfant.
La discipline incorpore aussi des normes, mais là, avec ce type d’incorporation, ce sont effectivement des technologies concrètes bien différentes. Ca joue pas sur la crainte et la honte, ça joue sur l’inquiétude - la peur projective dans l’avenir de ne pas être « normal » et de faillir dans tous les domaines de la vie, de ne pas « être à la hauteur » des attentes du monde, etc.
Tu m’étonnes qu’il soient mal après les mômes … Sacrée #violence intériorisée qu’on a là.
Et être rétif suffit pas à y échapper : une fois que tu crois que tu n’es « pas à la fauteur », tu peux être rebelle l’inquiétude de soi est bien installée.
]]>Quel discours passionnant de cette jeune fille, Kahina, soeur de Sohane...
#Ni_putes_ni_soumises : portrait de #Kahina (R) 5
A l’occasion de la #marche_des_filles des cités du 11 octobre 2002 - qui débuta symboliquement à #Vitry, là où sept jours plus tôt, #Sohane était brûlée vive - Kahina, sa sœur aînée revient sur le drame et raconte.
cc @reka tu dois l’écouter, cette fille est trop bien !
Et je pense bien que ça peut intéresser aussi @odilon et @mad_meg
"Madame me faisait porter des couches" : l’histoire de Damien, 31 ans, ex-bonne - L’Obs
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20150825.OBS4656/madame-me-faisait-porter-des-couches-l-histoire-de-damien-31-an
Le premier jour, j’ai été très choqué. La gouvernante voulait aller m’emmener essayer des uniformes. Et elle m’a tendu… une couche. J’ai dit « c’est une blague ? ». La gouvernante a dit « non pas du tout ». J’ai pensé que c’était un test. Pour voir si effectivement j’étais bien docile. Mais Maria m’a ensuite expliqué à quoi servait la couche. Pour les travaux de ménages longs, les services de table où on fait « meuble », quand on reste debout pendant des heures, comme vous le racontez dans l’article...
Notre patronne ne voulait pas qu’on utilise les toilettes du rez-de-chaussée, réservées aux maîtres, il fallait donc monter à l’étage des bonnes, et du coup, elle estimait que ça nous faisait perdre trop de temps. Bref, c’était couche obligatoire. Ces jours-là, la gouvernante marquait nos noms sur la couche, avec la date."
Comme tout le monde avait l’air de trouver ça normal, je n’ai pas protesté. J’étais trop estomaqué pour réagir. J’ai seulement pleuré le soir, la première fois que j’ai endossé cette robe de bonne, avec les collants, la culotte en plastique, pour les odeurs, et la couche qui m’empêchait de marcher.
]]>Culture : entretien Jocelyne Porcher sur les cochons« L’industrie porcine use et abuse des animaux sans rien leur offrir en contrepartie »« L’élevage a été remplacé par un système industriel qui organise la production animale
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/08/27/culture-entretien-jocelyne-porcher-sur-les-cochons-l-industrie-porcine-use-e
Aujourd’hui, 95 % de la viande de porc consommée en France vient, non pas de fermes, mais de grandes structures industrielles qui sont en crise, comme vient de le montrer le conflit des éleveurs. #Jocelyne_Porcher, sociologue à l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), analyse cette nouvelle donne. Elle est l’auteure de plusieurs livres sur l’élevage : Vivre avec les animaux. Une utopie pour le XXIe siècle (La Découverte, 2011), Cochons d’or. L’#industrie_porcine en questions (Quae, 2010), Une vie de cochon (La Découverte, 2008, avec Christine Tribondeau).
]]>Crime passionnel ...
France info nous apprend donc que son petit ami s’est présenté au poste, parce qu’il a étranglé et poignardé cette fille, parce qu’elle ne voulait plus qu’il soit son petit ami, et qu’il ne voulait pas. Il a donc eu ce qu’il voulait, il sera son petit ami pour toujours.
]]>the “lolita” covers
▻http://sous-les-jupes-des-filles.tumblr.com/post/126995040534/the-lolita-covers
here’s a question: if vladimir nabokov’s “lolita” is truly the psychological portrait of a messed up dude and not the girl – let alone a sexualized little girl, as all of the sexualization happens inside humbert humbert’s head – then why do all the covers focus on a girl, and usually a sexy aspect of a girl, usually quite young, and none of them feature a portrait of humbert humbert?
here are nabokov’s original instructions for the book cover:
I want pure colors, melting clouds, accurately drawn details, a sunburst above a receding road with the light reflected in furrows and ruts, after rain. And no girls. … Who would be capable of creating a romantic, delicately drawn, non-Freudian and non-juvenile, picture for LOLITA (a dissolving remoteness, a soft American landscape, a nostalgic highway—that sort of thing)? There is one subject which I am emphatically opposed to: any kind of representation of a little girl.
and yet, the representations of the sexy little girl abound.
i became driven by curiousity. why did this happen? why is this happening?
i am not alone – there’s a book about this, with several essays and artists’ conceptions about the politics and problems of representation surrounding the covers of “lolita.” this new yorker article gives a summary of the book and its ideas, and interviews one of the editors:
Many of the covers guilty of misrepresenting Lolita as a teen seductress feature images from Hollywood movie adaptations of the book— Kubrick’s 1962 version, starring Sue Lyon, and Adrian Lyne’s 1997 one. Are those films primarily to blame for the sexualization of Lolita?
As is argued in several of the book’s essays, the promotional image of Sue Lyon in the heart-shaped sunglasses, taken by photographer Bert Stern, is easily the most significant culprit in this regard, much more so than the Kubrick film itself (significantly, neither the sunglasses nor the lollipop ever appears in the film), or the later film by Adrian Lyne. Once this image became associated with “Lolita”—and it’s important to remember that, in the film, Lolita is sixteen years old, not twelve—it really didn’t matter that it was a terribly inaccurate portrait. It became the image of Lolita, and it was ubiquitous. There are other factors that have contributed to the incorrect reading, from the book’s initial publication in Olympia Press’s Traveller’s Series (essentially, a collection of dirty books), to Kubrick’s startlingly unfaithful adaptation. At the heart of all of this seems to be the desire to make the sexual aspect of the novel more palatable.
here’s a couple of kubrick inspired covers:
…straying so far from the intention of nabokov that the phenomenon begins to look more like the symptom of something larger, something sicker.
after a lot of researching covers, it was here, in this sampling of concept covers for the book about the lolita covers, that i found an image that best represents the story to me:
[art by linn olofsdotter – and again, this is not an official cover]
but why aren’t all the covers like that? even the ones published by “legitimate” publishing companies, with full academic credentials, with no intended connection to the film; surely they must have read nabokov’s instructions for the cover. and yet, look at the top row of lolita covers: all legitimate publishing companies, not prone to smut. and yet.
my conclusion is that the lolita complex existed before “lolita” (and of course it did) – a patriarchal society is essentially operating with the same delusions of humbert humbert. nabokov did not produce the sexy girl covers of lolita, and kubrick had only the smallest hand in it. it was what people desired, requested and bought. the image of the sexy girl sells; intrigues; gets the hands on the books.
as elizabeth janeway said in her review in the new york review of books: “Humbert is every man who is driven by desire, wanting his Lolita so badly that it never occurs to him to consider her as a human being, or as anything but a dream-figment made flesh.”
isn’t that our media as a whole? our culture as a whole?
the whole lot of them/us – seeing the world through humbert-tinted glasses, seeing all others as Other and Object, as solipsistic dream-reality. as i scroll through the “lolita” covers i wonder: where’s the humanity in our humanity?
This post is everything!!!!
#culture_du_viol #illustration #lolita
ici l’article mentionner dans ce texte : ▻http://www.newyorker.com/books/page-turner/designing-lolita
]]>Conseils pour bien violer dans la press masculine
▻http://www.gqmagazine.fr/sexe/sexe-ami/articles/comment-bien-pratiquer-linstant-sex-/7851
Valider à tout prix le physique des femmes - Crêpe Georgette
▻http://www.crepegeorgette.com/2015/08/03/valider-physique-femmes
Elles sont donc soumises aux regards extérieurs, vulnérables et en attente face à ces regards qui les valideront et leur diront si elles valent ou non quelque chose. Susan Faludi montre que dans les années 70, décennie où les mouvements des femmes ont été extrêmement vivaces et puissants, les industries cosmétiques ont vu leur chiffre d’affaires chuter drastiquement. Cela montre bien que les industries cosmétiques exploitent le manque de confiance en soi des #femmes, le développent et vendent aux femmes des produits censés les en guérir. Lorsque les femmes gagnent en #empowerment, elles subissent moins les diktats esthétiques.
Sur « la bride »
La bride à aussi été utilisé dans le contexte de l’esclavagisme des noirs aux Amériques. Federici fait d’ailleur le lien entre l’esclavage des femmes et l’esclavage des personnes racisés ainsi que dans la diabolisation des femmes et la diabolisation des noirs et des amérindiens ainsi qu’entre l’animalisation des femmes et des populations opprimés aux Amériques. Pas besoin d’illustration pour affirmer que la bride est un outil de domestication des animaux, principalement cheveux et chiens.
#historicisation #esclavage #histoire #oppression #femme #femmes #mégère #sorcière #bride #muselière #silenciation
]]>« Youporn, c’est le Monsanto du porno ! » - Arrêt sur images
▻http://www.arretsurimages.net/emissions/2015-06-26/Youporn-c-est-le-Monsanto-du-porno-id7857
Misogynie 2.0 : harcèlement et violence en ligne | Le blog de Christine Delphy
▻https://delphysyllepse.wordpress.com/2015/03/06/misogynie-2-0-harcelement-et-violence-en-ligne
« Suivant la logique de la misogynie en ligne, le droit d’une femme à la liberté d’expression est beaucoup moins important que le privilège que s’accorde un homme de la punir pour s’être exprimée librement. » Laurie Penny, Cybersexism
]]>Ce SECRET que les delphinariums veulent vous cacher à tout prix…
►https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/ce-secret-que-les-delphinariums-veulent-vous-cacher-a-to
Un texte de Richard O’Barry. Traduction : Julie Labille. Je suis un ancien #dresseur. J’ai longtemps hésité avant de l’écrire sur ce genre de forums puisque je pensais que ce n’était pas approprié pour MiceChat – mais après avoir lu … Continue reading →
#CAPITALISME #LIBERATION_ANIMALE #LUTTES #animaux_en_captivité #dauphin #libération_animale #sea_world #spectacle_animalier #spectacle_aquatique
]]>Ce SECRET que les delphinariums veulent vous cacher à tout prix…
►http://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2014/10/30/ce-secret-que-les-delphinariums-veulent-vous-cacher-a-to
Un texte de Richard O’Barry. Traduction : Julie Labille. Je suis un ancien #dresseur. J’ai longtemps hésité avant de l’écrire sur ce genre de forums puisque je pensais que ce n’était pas approprié pour MiceChat – mais après avoir lu … Continue reading →
#CAPITALISME #LIBERATION_ANIMALE #LUTTES #animaux_en_captivité #dauphin #libération_animale #sea_world #spectacle_animalier #spectacle_aquatique
]]>Bonne présentation
►http://cqfd-journal.org/Bonne-presentation
Les #femmes qui cherchent du #boulot ont donc tout intérêt à privilégier des vêtements de couleur pastel, unis et soignés, soit une apparence classique et sobre, susceptible de se marier à merveille avec des lettres de motivation contenant des phrases du style : « J’ai une bonne présentation physique. Je maîtrise bien les outils informatiques. Je suis dynamique, rigoureuse, ponctuelle et discrète. » Dans l’#entreprise, ce qui prime, c’est le style « jolie mais pas pute », surtout pas d’extravagances, surtout ne pas se faire remarquer ! Par contre, il faut mettre en avant quelques atours. Un patron m’a interdit les baskets, il m’a dit de venir travailler « un peu féminine ». Être féminine ! Je sais ce que ça signifie : des boucles d’oreilles, un joli sourire, maquillée mais pas trop, porter des jupes, bref donner à voir un minimum pour satisfaire aux canons de la féminité, ce qui, au fond, se résume à avoir l’air « soumise ». Moi qui suis plutôt jean’s-kickers, je ne suis pas restée.
]]>« My daughters’ school has a new dress code: No bellies. No buns. No breasts. Funny how it’s all about girls, not boys »
▻http://www.theguardian.com/commentisfree/2013/sep/03/school-dress-code-extremes-no-bellies-no-buns-no-breasts
[I didn’t even know the infamous 3B]
]]>On peut dire sans hésitation que le vrai fascisme, c’est le pouvoir de cette société de consommation
Pier Paolo Pasolini
▻http://www.dailymotion.com/video/xt5e47_pasolini-fascisme-et-societe-de-consommation_webcam
Une excellente analyse par Max Leroy
▻http://ragemag.fr/pasolini-et-le-fascisme-de-la-consommation-25786
Le régime instauré par le Parti national fasciste était, à l’image de son Guide, bouffon, grotesque et obscène : quincailleries antiques, aigles en feuilles d’or, parades de carnaval et gestuelle pathétique d’un chef d’orchestre sans génie. Et #Pasolini d’estimer que les deux décennies de tyrannie n’eurent au final qu’un impact réduit sur le peuple italien : l’âme du pays n’en fut pas transformée dans ses profondeurs. « Les différentes #cultures particulières (#paysannes, #sous_prolétariennes, #ouvrières) continuaient imperturbablement à s’identifier à leurs modèles, car la répression se limitait à obtenir leur adhésion en paroles. » Le #consumérisme, qu’il identifiait donc à une nouvelle forme de #fascisme (en ce qu’il pénètre les cœurs du plus grand nombre et ravage durablement, sinon irrémédiablement, les #sociétés qui lui ouvrent les bras), se montra en réalité bien plus destructeur : « Aucun #centralisme_fasciste n’est parvenu à faire ce qu’a fait le centralisme de #la_société_de_consommation. Le fascisme proposait un #modèle #réactionnaire et monumental mais qui restait lettre morte. De nos jours, au contraire, l’adhésion aux modèles imposés par le centre est totale et inconditionnée. On renie les véritables modèles culturels. L’abjuration est accomplie. On peut donc affirmer que « la tolérance » de l’#idéologie_hédoniste voulue par le nouveau #pouvoir est la pire des #répressions de l’histoire humaine. »
Sous couleur de #démocratie, de #pluralité, de tolérance et de bien-être, les #autorités #politiques, #inféodées aux #pouvoirs #marchands, ont édifié un système #totalitaire sans nul autre pareil. L’Histoire est facétieuse lorsqu’elle se rit des paradoxes : Mammon réalisa le rêve de Mussolini. En #uniformisant tout un peuple, le premier mena à bien les desseins les plus fous du second, qui ne sut ni ne put aplanir l’Italie sous les bottes d’un Empire. « Le fascisme, je tiens à le répéter, n’a pas même, au fond, été capable d’égratigner l’âme du peuple italien, tandis que le nouveau fascisme, grâce aux nouveaux moyens de #communication et d’#information (surtout, justement, la #télévision), l’a non seulement égratignée, mais encore lacérée, violée, souillée à jamais. »
(...)
L’ouvrage #Divertir pour #dominer (2010) a justement mis en relief « l’ampleur et la sophistication des procédés mis en œuvre par les #industries dites #culturelles pour forger les consciences aux valeurs de l’#hypercapitalisme » : #massification_des_désirs (via l’#endoctrinement_publicitaire), grégarisation sous couvert d’#individualisme, appauvrissement du #lien #social, #mimétisme collectif, #aliénation des #consciences… Ce #dressage généralisé est notamment rendu possible par la #télévision, que Pasolini percevait comme un instrument « #autoritaire et répressi[f] comme jamais aucun moyen d’information au monde ne l’a été » (à l’évidence, le téléviseur n’asservit pas en soi et il serait sans doute possible d’en faire un usage émancipateur s’il ne se trouvait pas « au service du Pouvoir et de l’#Argent »).
(...)
Le succès du #régime_consumériste tient en ce qu’il n’a pas recours aux matraques, chères aux gouvernements autocratiques (des monarchies à l’URSS), pour #dresser ses #domestiques. La mise au pas est assurée sans que le sang ne soit versé. #Servitude_volontaire, ou presque : le #capitalisme à la papa, #bourgeois et bedonnant, cigare d’une main et fouet de l’autre, sent la naphtaline ; le voici lifté et relooké, hype et in, cherchant à susciter partout le #désir de ses #sujets. « La fièvre de la #consommation est une fièvre d’obéissance à un ordre non énoncé », énonçait Pasolini en 1974. Un ordre qui, pour reprendre la formulation de Dufour, « réduit l’humanité à une collection d’individus calculateurs mus par leurs seuls intérêts rationnels et en concurrence sauvage les uns avec les autres » (Le Divin Marché) : les églises se sont vidées au profit des centres commerciaux, le salut individuel passe par les biens matériels et les peuples cèdent la place aux troupeaux…
(...)
Pasolini s’étonnait, dans ses Lettres luthériennes (sous-titrées Petit traité pédagogique), de l’absence de réactions des #communistes et des #antifascistes, au cours des années 60 et 70, face à l’#hégémonie_marchande et à la #standardisation de l’espèce humaine – #mutation_anthropologique à ses yeux historiquement unique. Cette évolution, que l’on prenait soin de nommer « développement », le répugnait tant qu’il alla jusqu’à utiliser, de façon polémique et nécessairement ambiguë, le terme de « génocide » afin de mettre en évidence le caractère criminel d’un tel #système #économique. Le torrent #ultralibéral et #productiviste charrie l’#éradication des #cultures, des modes de vie, des #particularismes et des #valeurs #millénaires, transformant ainsi les #humains en « #automates laids et stupides, adorateurs de fétiches ». Il signe la mise à mort du petit #peuple cher à l’#écrivain – ce peuple des faubourgs et des champs, des nippes reprisées et des mains râpées, ce peuple qu’il conviait à sa table, autour d’une rime ou d’un tournage.
Bibliographie :
–Les écrits corsaires (lecture indispensable) collection Champs-Flammarion
–Les lettres luthériennes collection Points
#Capitalisme #Libéralisme #Fascisme #Pier_Paolo_Pasolini #Livres #Vidéo #Italie
]]>Des #managers suisses pas très #sexy...
▻http://fr.myeurop.info/2013/06/24/des-managers-suisses-pas-tres-sexy-10601
Ludovic Clerima
Les Suisses ne plaisantent pas avec le travail. Selon une étude publiée aujourd’hui dans le quotidien Le Matin, 64 % des managers jugent leurs employés sur leurs #vêtements.
Avec les beaux jours, les corps se dévoilent. Mais attention ! lire la (...)
#REVUE_DU_WEB #Insolites #Suède #Suisse #dress_code #jupe #suède
]]>Un enfant soldat
▻http://www.youtube.com/watch?v=By_u5kmvq9o
Persuasive Design : pourquoi et comment ? | Édition Nº31 | le train de 13h37
►http://letrainde13h37.fr/31/persuasive-design-pourquoi-comment
Il va maintenant falloir convaincre le marketing de faire des pop-ups bizarres, rigolos ou déroutants, pour faire passer le message qui est dans le site !
Rah non, allez pas leur filer de mauvaises idées.
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