• Derrière la métropole tertiaire, une ville inégalitaire
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/977-derriere-la-metropole-tertiaire-une-ville-inegalitaire

    Sorti en juin dernier aux éditions La Découverte, Sociologie de Lille est un petit manuel écrit par un groupe de neuf chercheur.ses lillois.es, regroupé sous le nom de Collectif Degeyter. L’ouvrage rencontre un écho peu habituel pour ce genre de production universitaire. La Brique a voulu comprendre… Discussion avec trois des co-auteur.ices, Cécile Vignal, Fabien Desage et Antonio Delfini.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Péages gratuits, occupations, collectes : la carte des actions de soutiens à la Zad
    https://www.bastamag.net/Peages-gratuits-occupations-collectes-la-carte-des-actions-de-soutiens-a-l

    Ce jeudi 19 avril, plusieurs organisations nationales, syndicales ou écologistes, ainsi que des députés – tous membres de La France insoumise – lancent un appel « pour une vraie sortie de crise » à Notre-Dame-des-Landes. Ils demandent l’annulation de l’ultimatum du 23 avril imposé par le gouvernement « pour permettre un dialogue de long terme en posant un calendrier aux échéances raisonnables et soutenables », le retrait du dispositif militaire, et une « porte ouverte aux projets de prise en charge (...)

    En bref

    / #Luttes_sociales, #Droit_à_la_terre, Quelle agriculture pour demain ?

    #Quelle_agriculture_pour_demain_ ?

  • Lille Capitale des projets à la con
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/970-lille-capitale-des-projets-a-la-con

    A la suite des chercheur.es ou encore des associations, l’Agence de développement et d’urbanisme vient de pointer l’ancrage des inégalités sociales dans la métropole. Pourtant, la Métropole Européenne de Lille continue d’ignorer cet état de fait, préférant fêter ses 50 ans, 50 ans de transformations urbaines, 50 ans d’embourgeoisement, 50 ans de renforcement des inégalités sociales, et 50 ans de projets toujours plus délirants. Tour d’horizon (non exhaustif) des projets « attractifs », « urbanistiques » et « inutiles ».

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • « De gré ou de force, nous garderons la zad » : une épreuve d’endurance s’engage entre gouvernement et occupants
    https://www.bastamag.net/De-gre-ou-de-force-nous-garderons-la-zad-une-epreuve-d-endurance-s-engage-

    Le président Macron juge leur colère illégitime, mais aura bien du mal à la faire taire. Malgré l’important dispositif policier et les tentatives d’intimidation, une foule joyeuse et bigarrée de plusieurs milliers de personnes a convergé au centre de la zone humide ce 15 avril. Déterminés à défendre ce qui se construit et s’expérimente dans le bocage nantais, des gens de tous âges et toutes professions sont venus montrer aux occupants qu’ils pouvaient compter sur eux. Loin de se vider depuis le début de (...)

    #Résister

    / #Luttes_sociales, #Bretagne, #Reportages, Des grands projets... inutiles ?, #Agriculture, Droit à la (...)

    #Des_grands_projets..._inutiles_ ? #Droit_à_la_terre

  • Sur la Zad, « les gens arrivent de partout » pour défendre et reconstruire
    https://www.bastamag.net/Sur-la-Zad-les-gens-arrivent-de-partout-pour-defendre-et-reconstruire

    « Une cabane détruite, deux reconstruites », promettent les habitants de la Zad et leurs soutiens. Une première journée de reconstruction est prévue dès ce 15 avril. Après quatre jours d’intervention quasi militaire, une trentaine de lieux – fermes, salles collectives, logements – ont été rasés sur ordre de la préfète de Loire atlantique et du gouvernement. Les démolitions sont, pour l’instant, stoppées. Mais le processus de négociation a lui aussi été dévasté par l’opération : « Nous n’avons plus du tout (...)

    #Résister

    / A la une, #Luttes_sociales, Des grands projets... inutiles ?, #Reportages, #Logement, Droit à la (...)

    #Des_grands_projets..._inutiles_ ? #Droit_à_la_terre

  • Moulins, vent d’investissement
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/973-moulins-vent-d-investissement

    Lille, quartier Moulins. La rue Philippe de Comines est une petite rue à sens unique. Elle se termine à deux pas de la Friche Saint Sauveur, en longeant la fac de droit. Décor classique d’un ancien quartier ouvrier qui, s’il est qualifié de « sale » et de « pourri » par ses habitant.es, fait déjà saliver les plus gros vomisseurs de béton. On a eu envie de se promener, de traîner sur le trottoir, de discuter avec les habitant.es, et de scruter ce qui se cache derrière l’effritement des façades.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Désarmons le béton
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/976-desarmons-le-beton

    L’agglomération lilloise est une terre de luttes urbaines. Si la postérité fait la part belle à la lutte des habitant.es de l’Alma-Gare à Roubaix au milieu des années 1970, des initiatives moins connues ont émergé dans d’autres quartiers : Vieux-Lille, Moulins ou Fives. Les traces de résistances persistent encore aujourd’hui dans le milieu associatif local. En 2003, Jean-Louis Borloo, ministre de la ville, crée l’agence nationale de rénovation urbaine (ANRU) qui finance les projets des maires qui veulent « casser les ghettos » et faire venir des populations plus riches dans les quartiers pauvres. Cette « rénovation » se révèle fatale pour les quartiers populaires. L’ANRU est devenue le bras armé de la lutte contre les pauvres, plus que contre la pauvreté. Partout, les habitant.es refusent de dégager si (...)

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Le logement pour les nuls
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/974-le-logement-pour-les-nuls

    La multitude des structures et sigles viennent transformer l’urbain dans l’ombre. Les questions liées à urbanisme, par leur complexité, peuvent rendre la lecture du dossier difficilement abordable. Pour y remédier, quelques entrées, sur Vilogia, bailleur qui n’a de social que le nom et la Fabrique des quartiers, moteur de la gentrification dans la métropole.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • A.P.U FIVES : « à nous la ville »
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/975-a-p-u-fives-a-nous-la-ville

    L’Atelier populaire d’urbanisme de Fives est la petite dernière des APU. Née en 2014, l’association est nourrie par l’histoire d’une lutte qui démarre en 1973 à l’Alma-Gare à Roubaix. Premiers pas, et déjà sur ses deux jambes, pour défendre les locataires contre les marchands de sommeil et les bailleurs sociaux qui abusent de leurs droits, et soutenir les habitant.es en lutte contre des grands projets urbains.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Dunkerque : un grand port dé-concertant
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/986-dunkerque-un-grand-port-de-concertant

    Alors que la crise écologique atteint des niveaux toujours plus inquiétants, une bande de fondamentalistes en costard-cravate prépare un nouvel attentat contre l’environnement en voulant agrandir l’actuel port de Dunkerque. Nom de l’hérésie : CAP 2020. Objectif : être en capacité d’accueillir les porte-conteneurs de nouvelle génération et le flot de marchandises qui va avec. Projet pharaonique, enfumage participatif, chantage à l’emploi, destruction de l’environnement... tout ça a un petit air de déjà-vu. Retour sur ce grand projet inutile et imposé qui menace le littoral de la Mer du Nord.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

    • A contre-courant, #Sarajevo affiche sa solidarité

      Quelque 600 migrants parmi les 8 000 entrés dans le pays depuis le début de l’année sont actuellement en transit dans la capitale.

      La scène est devenue familière. Sur le parking de la gare de Sarajevo, ils sont environ 300 à former une longue file en cette soirée chaude de juillet. S’y garera bientôt une camionnette blanche d’où jailliront des portions des incontournables cevapcici bosniens, quelques rouleaux de viande grillée servis dans du pain rond, accompagnés d’un yaourt. Une poignée de femmes et quelques enfants se mêlent à ces jeunes hommes, venus de Syrie, d’Irak, du Pakistan ou d’Afghanistan et de passage en Bosnie sur la route vers l’Europe de l’Ouest. Environ 600 des 8 000 migrants entrés dans le pays depuis le début de l’année sont actuellement en transit dans la capitale. La majorité est bloquée dans le nord-ouest, en tentant de passer en Croatie.

      « Ici, l’accueil est différent de tous les pays par lesquels nous sommes passés. Les gens nous aident. Ils essaient de nous trouver un endroit où prendre une douche, dormir. Les flics sont corrects aussi. Ils ne nous tabassent pas », raconte un Syrien sur les routes depuis un an. Plus qu’ailleurs, dans la capitale bosnienne, les habitants tentent de redonner à ces voyageurs clandestins un peu de dignité humaine, de chaleur. « Les Sarajéviens n’ont pas oublié que certains ont été eux-mêmes des réfugiés pendant la guerre en Bosnie[1992-1995, ndlr]. Les pouvoirs publics ont mis du temps à réagir face à l’arrivée des migrants, contrairement aux habitants de Sarajevo qui ont d’emblée affiché une solidarité fantastique. Grâce à eux, une crise humanitaire a été évitée au printemps », affirme Neven Crvenkovic, porte-parole pour l’Europe du Sud-Est du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.

      En avril, 250 migrants avaient mis en place un campement de fortune, quelques dizaines de tentes, dans un parc du centre touristique de Sarajevo. L’Etat qui paraissait démuni face à cette situation inédite ne leur fournissait rien. « Dès que nous avons vu venir des familles, nous nous sommes organisés. Des gens ont proposé des chambres chez eux, ont payé des locations », raconte une bénévole de Pomozi.ba, la plus importante association humanitaire de Sarajevo. L’organisation, qui ne vit que des dons des particuliers en argent ou en nature, sert actuellement un millier de repas par jour dans la capitale bosnienne et distribue vêtements et couvertures. Lors du ramadan en mai, 700 dîners avaient été servis. Des nappes blanches avaient été disposées sur le bitume du parking de la gare de Sarajevo.

      Non loin de la gare, un petit restaurant de grillades, « le Broadway », est tenu par Mirsad Suceska. Bientôt la soixantaine, cet homme discret apporte souvent des repas aux migrants. Ses clients leur en offrent aussi. Il y a quelques semaines, ils étaient quelques-uns à camper devant son établissement. Un groupe d’habitués, des cadres qui travaillent dans le quartier, en sont restés sidérés. L’un d’eux a demandé à Mirsad de donner aux migrants toute la nourriture qui restait dans sa cuisine. « Quand je les vois, je pense aux nôtres qui sont passés par là et je prends soin de ne pas les heurter, les blesser en lançant une remarque maladroite ou un mauvais regard », explique Mirsad. Dans le reste du pays, la population réserve un accueil plus mitigé à ces voyageurs.

      http://www.liberation.fr/planete/2018/07/29/a-contre-courant-sarajevo-affiche-sa-solidarite_1669608

    • Et au contraire... la #non-hospitalité

      Le guide de l’hospitalité que n’a pas écrit #Christian_Estrosi

      En juillet 2013, le maire LR de #Nice, Christian Estrosi, envoyait à 3 500 édiles ses recommandations pour éviter la concentration de populations migrantes. Le Perou, un collectif d’urbanistes, a adressé en juillet aux mêmes communes un guide de l’hospitalité, issu de leurs expériences dans des bidonvilles.

      http://www.liberation.fr/france/2018/08/07/le-guide-de-l-hospitalite-que-n-a-pas-ecrit-christian-estrosi_1671153

      Pour télécharger le #guide du #Perou :
      http://www.romeurope.org/wp-content/uploads/2018/08/Guide_PEROU_images.pdf

    • Barcellona e Open Arms si uniscono per salvare vite umane nel Mediterraneo

      La nave #Open_Arms avrebbe dovuto lasciare il porto di Barcellona in direzione della zona SAR della Libia per continuare il suo compito umanitario di osservazione e salvataggio, ma la Capitaneria di porto, che dipende dal Ministero dello Sviluppo spagnolo, le ha negato l’autorizzazione a partire fino a quando non sarà garantito un accordo con le autorità della zona SAR del Mediterraneo per lo sbarco delle persone salvate in mare. È improbabile che ciò avvenga, vista la chiusura dei porti di Italia e Malta.

      In risposta, la sindaca di Barcellona Ada Colau ha inviato una lettera al Ministro dello Sviluppo, José Luis Ábalos, chiedendo l’immediata revoca del blocco della nave OpenArms. La sindaca esprime la preoccupazione che per ragioni amministrative il governo spagnolo non riesca a proteggere i migranti che intraprendono un viaggio molto pericoloso attraverso il Mediterraneo, in fuga dall’orrore. Esorta inoltre il Ministero ad attuare le azioni necessarie per superare il più rapidamente possibile gli ostacoli amministrativi che impediscono alla nave di lasciare il porto di Barcellona.

      Allo stesso modo, il Comune di Barcellona ha firmato un accordo di collaborazione con Open Arms per lo sviluppo del progetto della fondazione per la protezione dei migranti a rischio di naufragio e conseguente pericolo di morte imminente per le aree SAR nel Mediterraneo centrale come emergenza umanitaria. L’accordo persegue inoltre l’obiettivo di denunciare la situazione di violazione dei diritti umani nel Mediterraneo.

      Il progetto Open Arms “Protezione per presenza, soccorso umanitario e comunicazione di emergenza nel Mediterraneo” si articola in tre filoni di lavoro:

      – Protezione attraverso la presenza nella zona SAR, la visibilità come deterrente per eventuali violazioni dei diritti umani e la garanzia di protezione per le persone trovate in mare.

      – Protezione attraverso l’azione, con il salvataggio di persone in pericolo di morte in acque SAR e sbarco con garanzie di sicurezza.

      – Comunicazione di emergenza, per rendere visibile e denunciare l’attuale situazione di violazione dei diritti dei migranti nel viaggio attraverso il Mediterraneo e le sue frontiere.

      L’accordo, in vigore fino all’ottobre del 2019, finanzierà con 497.020 euro il 35,4% del progetto della ONG. Con questo contributo la città di Barcellona si riafferma come città rifugio, vista la presenza minima di ONG nel Mediterraneo centrale dalla scorsa estate a causa della chiusura dei porti italiani e maltesi e della criminalizzazione e blocco delle imbarcazioni delle ONG di soccorso umanitario.

      Il Comune di Barcellona e Open Arms concordano sul fatto che la situazione di crisi e il blackout umanitario al largo delle coste libiche richiedano un’azione di emergenza con il massimo sostegno delle istituzioni pubbliche, in particolare delle città europee, sull’esempio di questo accordo.


      https://www.pressenza.com/it/2019/01/barcellona-e-open-arms-si-uniscono-per-salvare-vite-umane-nel-mediterrane

      #Barcelone

    • Siracusa pronta ad accogliere i migranti della Sea Watch. Sindaco: «Cittadini disponibili a ospitarli nelle loro case»

      Il primo cittadino del capoluogo aretuseo, #Francesco_Italia, ha già scritto al ministro della Marina mercantile chiedendo di consentire l’attracco della nave. «Al resto, penseremo noi, la Curia e le associazioni di volontariato disposte a prestare aiuto»

      https://meridionews.it/articolo/73871/siracusa-pronta-ad-accogliere-i-migranti-della-sea-watch-sindaco-cittadi
      #Syracuse #Siracusa

    • Numéro spécial sur villes et hospitalité de la revue Plein Droit :

      À rebours des politiques migratoires impulsées par les États, des municipalités ont décidé de se montrer solidaires des migrant⋅e⋅s qui passent ou qui s’installent sur leur territoire, et de leur venir en aide, voire de les protéger contre des autorités étatiques qui ne cherchent qu’à les chasser. Villes-refuge, villes sanctuaires, villes solidaires, villes d’asile, villes rebelles, les qualificatifs sont aussi nombreux que les degrés d’hospitalité qui vont de l’affichage médiatique à une réelle politique municipale qui crée les conditions d’un accueil digne des exilé⋅e⋅s. Et quand les municipalités se montrent également hostiles à l’égard des migrant⋅e⋅s, il arrive que les citoyen⋅ne⋅s prennent le relais, faisant fi des menaces institutionnelles, de la pression policière ou du climat xénophobe, parfois pour parer à l’urgence humanitaire, parfois pour favoriser une réelle cogestion fondée sur l’autonomie. Ces expériences multiples d’hospitalité et d’activisme local montrent que l’humanité peut l’emporter sur la fermeté, n’en déplaise aux gouvernements.


      https://www.gisti.org/spip.php?article5812

    • #BD publiée par @vivre sur la commune de #Fourneaux :

      La BD reportage « Après l’arrivée » raconte une histoire d’accueil. Comment 33 réfugiés, débarquant du jour au lendemain de la jungle de Calais, s’inscrivent dans le récit d’une commune de Savoie et de ses habitants. Un dessinateur, HERJI, une journaliste, Julie Eigenmann, sont partis à leur rencontre et ont ramené dans leur valise ce reportage dessiné. L’histoire pourrait se dérouler un peu partout sur la planète, parce qu’il s’agit d’humanité, de partage et de ces rencontres qui montrent qu’un autre monde est possible.


      https://asile.ch/sommaire/ve-165-decembre-2017

    • #Convention_sur_l'accueil de #Grande-Synthe :

      Dans un contexte de sécurisation et de fermeture des frontières européennes, l’#accueil des réfugiés s’impose dans le débat public et dans nos réalités locales.

      Grande-Synthe reçoit la Convention nationale sur l’accueil et les migrations, 2 jours de débats pour réfléchir collectivement à une politique d’accueil fondée sur la solidarité et le respect des droits humains et pour questionner les pouvoirs publics. Avec la participation de nombreuses associations et ONG impliquées quotidiennement ainsi que de personnalités : Anne Hidalgo (Maire de Paris), Benjamin Stora (Historien, Professeur et Président du Musée national de l’histoire de l’immigration), Edwy Plenel (Médiapart), Eric Piolle (Maire de Grenoble), Frederic Leturque (Maire d’Arras), Pierre Laurent (Secrétaire national du PCF) mais également Benoit Hamon, Aurélien Taché (Député LREM), Eric Coquerel (Député – France Insoumise), Michel Agier (Dir. d’études à l’EHESS), Rony Brauman (co-fondateur de MSF) , Cédric Herrou, ainsi que des représentants du HCR, de la Cimade, de MDM et des associations locales…

      Autour de cette convention ouverte à tous, une programmation culturelle plurielle : expo, humour, concert, docus…

      http://convention-accueil-grande-synthe.fr

    • Des dizaines de villes inventent une politique d’accueil des migrants

      Jeudi et vendredi s’est tenue à Grande-Synthe la première #Convention_nationale_sur_l’accueil_et_les_migrations. Des élus aux associatifs, tous les acteurs de l’aide aux migrants ont jeté des ponts entre les initiatives locales, cherchant à construire un réseau des villes accueillantes.

      https://reporterre.net/Des-dizaines-de-villes-inventent-une-politique-d-accueil-des-migrants

    • Entre accueil et rejet : ce que les villes font aux migrants. Ce que les villes font aux migrants

      ce livre permet de mieux comprendre la diversité et la complexité des formes de l’accueil des migrants sur notre continent. Il nous fait saisir comment cet enjeu refaçonne les liens sociaux, les valeurs et les émotions collectives, et interroge les définitions pratiques de la citoyenneté prise dans un jeu de frontières. Dans un contexte d’anxiété identitaire qui se manifeste par la fermeture des frontières, le confinement et les expulsions, ce livre montre que la ville peut constituer un pôle de résistance et de contournement, voire de renversement des décisions de l’État central.

      Il est constitué d’enquêtes claires et approfondies menées dans plusieurs grandes villes européennes (Paris, Copenhague, Berlin, Barcelone, Istanbul…), et de témoignages d’acteurs concernés (migrants, militants, observateurs directs…).

      http://lepassagerclandestin.fr/catalogue/bibliotheque-des-frontieres/entre-accueil-et-rejet-ce-que-les-villes-font-aux-migrants.html

    • Les ciutats fan front a la necessitat urgent d’habitatge públic

      Les ciutats europees han de fer front a la necessitat urgent d’habitatge públic. Per això, molts governs municipals estan reforçant les seves polítiques amb mecanismes innovadors que permetin fer front a la crisi de l’habitatge i a l’expulsió dels veïns dels seus barris.

      L’Ajuntament de Barcelona ha presentat un projecte per construir pisos d’estada temporal de construcció ràpida, sostenible i de qualitat. La iniciativa, anomenada APROP (Allotjaments de Proximitat Provisional), oferirà una resposta urgent mentre es construeixen les promocions d’habitatge públic, que requereixen de més temps.

      Responsables del consistori barceloní van explicar ahir aquest projecte en un acte organitzat per l’Observatori DESC i el propi Ajuntament.

      La jornada, anomenada ‘Urgent: solucions innovadores en habitatge públic’, es va celebrar al Pati Manning de Barcelona i hi van participar representants de les ciutats d’Amsterdam i Munic, a banda d’entitats com la Federació d’Associacions de Veïns i Veïnes de Barcelona (FAVB), la Fundació Hàbitat 3 i l’Institut de Tecnologia de la Construcció de Catalunya (ITeC), entre d’altres.

      http://ajuntament.barcelona.cat/lescorts/ca/noticia/les-ciutats-fan-front-a-la-necessitat-urgent-dhabitatge-pzblic

      Et dans ce cadre, le projet #APROP:
      https://www.barcelona.cat/infobarcelona/en/temporary-local-housing-to-combat-gentrification-2_622017.html
      #Barcelone

    • Sanctuary in the City : #Beirut

      The world’s refugee crisis is a global responsibility that is especially discharged locally, in particular, in Lebanon, where refugees and displaced persons form a large percentage of the national population. Since the beginning of the Syrian Crisis in March 2011, Lebanon has been a refuge for many hundreds of thousands of people fleeing war. This project explores how municipalities cope with the crisis within the normative framework of human rights and corresponding obligations. It seeks to give voice to the experience of Beirut among the world’s cities claiming to apply that framework in policies, practice, services and local democratic leadership and administration.

      Through a series of workshops and other survey tools, the project captures the expressions, principles and experiences of local governance amid the refugee/displacement crisis. It seeks to channel the experience of refugees, civil society and local authorities by expressing operational principles and allows people in Beirut to identify what works and what could work better.

      One outcome of the project will be a local charter that gives voice to this community of practice among the world’s cities that are facing comparable challenges. The charter will form a basis for exchange, mutual learning and guidance for local administrations in future. The Beirut charter is seen as one tangible way to give credit to the people of Beirut for their role in assuming a local responsibility that the wider world shares.

      http://hic-mena.org/spage.php?id=qG8=

      Ici pour télécharger la charte de la ville de Beirut :
      http://www.hlrn.org/img/documents/Beirut_Charter_to_share_EN.pdf
      #ville-refuge

    • Migrants’ (Denied) Right to the City

      The history of cities in the Indian sub-continent goes as far as the middle of the third millennium BC with the emergence of cities like Harappa and Mohenjo Daro in the Indus valley (Champakalakshmi 2006:8). During different phases of Indian history, many new cities have emerged and many have declined, shaping the history of India (Ramachandran 1995). The dynamics of city growth shows that migration has been a very important component as cities were centres of trade, manufacturing and services. These functions could not have been sustained without migration and migrant labour. People migrate to cities not only for work, but also on account of business, education, marriages, natural disasters and conflicts etc. As cities have evolved through various migrations over a long period of time, they are characterized by diversity in terms of ethnic and religious identities, occupations, language, culture, food habits and so on. In fact heterogeneity is the hallmark of cities and innovations -in which migrants have played a very significant role -are central to their existence. Migration, especially internal migration, contributes significantly to the growth of Indian cities. The Indian Constitution guarantees freedom of movement and freedom to settle within the territory of India as a fundamental right of all citizens (Article 19). Yet migrants face several barriers in terms of access to civic amenities, housing and employment, as well as restrictions on their political and cultural rights because of linguistic and cultural differences. These discriminations are articulated in various parts of India in the theory of ’sons of the soil’, which evokes anti migrant sentiments (Weiner 1978, Hansen 2001). Migrants are all the more vulnerable to discrimination and exploitation as many of them are poor, illiterate and live in slums and hazardous locations prone to disaster and natural calamities. As such, the condition of migrants in cities needs to be addressed squarely in urban policies and programmes.

      https://www.researchgate.net/publication/234169322_Migrants'_Denied_Right_to_the_City

    • Mobile Commons, Migrant Digitalities and the Right to the City

      This book examines the relationship between urban migrant movements, struggles and digitality which transforms public space and generates mobile commons. The authors explore heterogeneous digital forms in the context migration, border-crossing and transnational activism, displaying commonality patterns and inter-dependence.



      https://www.palgrave.com/us/book/9781137412317
      #livre

    • Ce qu’ils font est juste : ils mettent la solidarité et l’hospitalité à l’honneur

      L’étranger est par essence louche, suspect, imprévisible, retors, de taille à commettre des avanies, même s’il survit dans le plus profond dénuement, s’il souffre de la faim, du froid, qu’il n’a pas de toit pour se protéger. L’étranger, homme, femme ou enfant, représente toujours un danger, qu’il faut combattre à tout prix.

      La loi dispose que « toute personne qui aura, par aide directe ou indirecte, facilité ou tenté de faciliter l’entrée, la circulation ou le séjour irrégulier d’un étranger en France » encourt jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

      Cette sanction pénale est réservée aux « aidants » désintéressés, animés par le seul élan d’humanité et de dignité vis-à-vis d’eux-mêmes et de ceux voués à tout juste subsister. Ils ont choisi, en connaissance de cause, de commettre ce qu’on appelle le « délit de solidarité » ou « d’hospitalité ». Des expressions devenues familières, dans leur obscénité, depuis qu’on a vu traduits devant les tribunaux des « désobéissants », paysans, professeurs, élus municipaux, citoyens bienfaisants coupables d’avoir, sans contrepartie d’aucune sorte, secouru, protégé, rendu service à des hommes, femmes et enfants qui n’avaient pas l’autorisation de fouler la terre française.

      Les élections présidentielle et législatives en France ont fourni l’occasion d’une chasse aux désobéissants, comme si la majorité des candidats s’étaient accordés pour rassurer l’opinion en la sommant de collaborer : la France ne laissera pas entrer chez elle des hordes de réfugiés, de migrants si menaçants. Chaque jour a apporté son nouveau délinquant, lequel n’a pas désarmé, il est entré en résistance. Il offre le gîte, le couvert, la circulation à des exilés miséreux, il est capturé par des policiers, punit par des magistrats… et il recommence, parce que l’hospitalité et la solidarité ne sont pas une faveur mais un droit, un devoir et qu’il aime accomplir ce devoir-là.

      Des écrivains ont accepté avec enthousiasme d’écrire, à leur guise, dans une nouvelle, fiction ou rêverie, leur respect pour ces gens de bien, et leur inquiétude de voir agiter les spectres de graves menaces incarnés par des êtres humains réduits à peu de choses. Pas seulement : c’est aussi vers l’Autre que va leur curiosité, l’Autre qui gagne toujours à être connu et non chassé.

      http://www.donquichotte-editions.com/donquichotte-editions/Argu.php?ID=147

  • Despite New Laws, Women in Kenya Still Fight For Land Rights

    When Kenya passed the Matrimonial Property Act five years ago, it joined a series of laws protecting women’s access to their property. But patriarchal traditions and lack of awareness about their rights leave many women fighting to keep land that is legally theirs.


    https://www.newsdeeply.com/womensadvancement/articles/2018/02/23/despite-new-laws-women-in-kenya-still-fight-for-land-rights
    #patriarcat #terres #femmes #Kenya #droit_à_la_terre #droit_à_la_propriété #propriété

  • Atelier populaire d’#urbanisme

    L’Atelier Populaire d’Urbanisme de la Villeneuve est une initiative lancée à l’automne 2012 pour construire une alternative au projet de rénovation urbaine de l’urbaniste Yves Lion et de la ville de Grenoble alors dirigé par M.Destot.

    Ce projet décidé "d’en haut avait suscité beaucoup des oppositions de la part d’habitants qui refusaient la logique qui a mené à la démolition du 50 galerie de l’Arlequin, la construction d’un nouveau parking et le redécoupage du réseau routier. Un collectif contre la démolition, ensuite surnommé Vivre à la Villeneuve a lancé la mobilisation, dénoncé la fausse concertation et a lancé un appel à la ministre du logement pour la remise en cause du projet de rénovation urbaine.

    En 2013, à l’occasion du 40ème anniversaire de la Villeneuve et à l’initiative du collectif interassocati Villeneuve Debout, une multitude d’ateliers ont aboutit à la formulation d’un projet urbain stratégique et démocratique. Ce projet a montré qu’une autre approche de l’urbanisme est possible, issue « d’en bas », basée sur les intérêts des habitants, et qui visent les logiques de pouvoir d’agir des habitants.

    http://www.assoplanning.org

    #association_planning #grenoble #droit_à_la_ville #logement #Villeneuve #droit_au_logement #activisme_urban #urban_matter #villes #méthodes_participatives #savoirs_citoyens #savoirs_pratiques #savoirs_théoriques #community_organizing #advocacy_planning #désorganisation_sociale #empowerment

    Les liens et documents qui suivent dans ce fil de discussion sont tirés d’informations que j’ai entendu dans un cours donné par David Gabriel, co-auteur du livret « Les tours d’en face » (https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-01261860/document)

    • #Saul_Alinsky

      Saul David Alinsky, né le 30 janvier 1909 à Chicago et mort le 12 juin 1972 à Carmel (Californie), est un écrivain et sociologue américain, considéré comme le fondateur du groupement d’organisateurs de communauté (community organizing) et le maître à penser de la gauche radicale américaine.


      https://fr.wikipedia.org/wiki/Saul_Alinsky

      Un livre de Saul Alinsky: «#Rules_for_radicals»
      –-> ici des extraits choisis

    • #Jane_Jacobs

      Jane Jacobs (née Jane Butzner 4 mai 1916 à Scranton, Pennsylvanie - 25 avril 2006 à Toronto) est une auteure, une militante et une philosophe de l’architecture et de l’urbanisme. Ses théories ont sensiblement modifié l’urbanisme nord-américain.

      Jane Jacobs a passé son existence à étudier l’urbanisme. Ses études sont basées sur l’observation : elle commença par observer les villes, reporter ce qu’elle observe, puis créa des théories pour décrire ses observations. Elle a changé le cours de l’urbanisme dans de nombreuses villes nord-américaines, y compris Toronto.

      En 1944, elle épouse Robert Hyde Jacobs, avec qui elle a eu deux fils, James Kedzie (né en 1948) et Edward Decker (né en 1950) et une fille, Mary. En 1968, durant la guerre du Viêt Nam, elle quitte les États-Unis avec ses fils afin de leur éviter le service militaire et trouve refuge au Canada.

      En 1980, elle offre une perspective « urbanistique » sur l’indépendance du Québec dans son livre The Question of Separatism : Quebec and the Struggle over Sovereignty.


      https://fr.wikipedia.org/wiki/Jane_Jacobs

    • #Personnalisme

      Le personnalisme, ou #personnalisme_communautaire, est un courant d’idées fondé par #Emmanuel_Mounier autour de la revue Esprit et selon le fondateur, recherchant une troisième voie humaniste entre le capitalisme libéral et le marxisme. Le personnalisme « post-mounier » est une philosophie éthique dont la valeur fondamentale est le respect de la personne. Le principe moral fondamental du personnalisme peut se formuler ainsi : « Une action est bonne dans la mesure où elle respecte la personne humaine et contribue à son épanouissement ; dans le cas contraire, elle est mauvaise. »1

      Il a eu une influence importante sur les milieux intellectuels et politiques français des années 1930 aux années 1950. Il a influencé, entre autres, les milieux de l’éducation populaire et plus tard de l’éducation spécialisée2, et les libéraux-chrétiens notamment conservateurs dont Chantal Delsol.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Personnalisme

    • Forum social des quartiers populaires :

      Le #FSQP sera un lieu d’échanges et de confrontations autour des expériences militantes dans les quartiers.
      Pour dépasser les discours abstraits, l’ambition est de déboucher sur des perspectives de luttes communes, tant au niveau national que local, autour des questions suivantes :

      > Apartheid urbain
      La politique de rénovation urbaine brasse des milliards d’euros sans réelle participation des habitant-e-s des quartiers. Quel pouvoir des habitant-e-s pour le futur de leur quartier ?

      > Education au rabais
      L’école joue mal son rôle d’accès au savoir dans nos quartiers. Elle devient un lieu de discrimination, de gardiennage et de sélection programmée vers des voies de garage. Quelle relation entre l’école et le quartier (élèves, parents, etc.) ?

      > Police-Justice
      Les multiples révoltes populaires contre les crimes policiers depuis une trentaine d’années révèlent la gestion policière et judiciaire des banlieues. Trop de jeunes sont destinés au parcours piégé : échec scolaire - police - justice - prison. Comment s’organiser face aux violences policières, une justice de caste et des prisons hors-la-loi ?

      > Engagement politique et social
      Les quartiers ne sont pas des déserts politiques. Il est nécessaire de confronter les différentes formes d’engagement et d’en faire un bilan (les limites du milieu associatif, la participation aux élections, les associations musulmanes, etc.). Vers un mouvement autonome des quartiers populaires ?

      > Chômage et précarité
      Les taux de chômage et de précarité (intérim permanent) atteignent des « records » dans les banlieues. Le fossé entre les syndicats et les cités marque l’abandon des classes populaires par la gauche. Quelles relations entre les quartiers et le mouvement ouvrier ?

      > Les anciens dans la cité
      La question de la vieillesse dans les banlieues n’est pas prise en compte dans les grands plans de solidarité nationaux. Quelles formes de solidarité et de mobilisation pour les anciens ?

      > Histoire et mémoire
      Malgré l’occultation par les institutions et les problèmes de transmission de la mémoire, l’histoire des luttes des quartiers et de l’immigration est riche d’expériences et d’enseignements. Comment transmettre nous-mêmes cette Histoire aux plus jeunes ?

      > Les musulmans entre criminalisation et engagement dans la cité
      Les musulmans subissent un climat islamophobe et des lois d’exception. Comment y faire face ? Quelle implication des organisations musulmanes dans les luttes sociales et politiques des quartiers ?

      > Cultures des quartiers
      Les banlieues sont des lieux de brassage, de solidarités et d’invention culturelle. Comment défendre et mettre en valeur cette richesse ?

      Nous avons décidé que la question des femmes et de leurs luttes sera transversale à l’ensemble des thèmes.


      http://fsqp.free.fr/archives-2007-2012

    • William Foote Whyte

      William Foote Whyte (né le 27 juin 1914 et mort le 16 juillet 2000), était un sociologue américain surtout connu pour son étude ethnologique de sociologie urbaine, Street Corner Society.

      Pionnier de l’#observation_participante, il vécut quatre ans dans une communauté italienne de Boston alors qu’il étudiait par ailleurs à Harvard dans le but d’analyser l’organisation sociale des gangs du North End.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/William_Foote_Whyte

    • Street Corner Society. La structure sociale d’un quartier italo-américain

      Street Corner Society fait partie du petit nombre des classiques de la sociologie mondiale. Mais si la description saisissante que fait William Foote Whyte de la vie d’un quartier italien de Boston dans les années trente a connu un succès durable aux États-Unis, ce n’est pas seulement parce qu’il s’agit d’un modèle pour les recherches d’ethnologie urbaine. Reconnu bien au-delà des cercles universitaires, Street Corner Society est en effet de ces livres qui font passer un souffle d’air frais dans le territoire austère des sciences sociales.
      À l’écoute des humeurs de la rue, écrit dans une langue exempte de tout jargon et proche de la meilleure prose journalistique, cette fascinante immersion dans la vie d’un quartier, de ses sous-cultures et de ses systèmes d’allégeance a bouleversé les images convenues de la pauvreté urbaine et de l’identité communautaire. Référence majeure pour quiconque affronte les problèmes de l’observation participante en sociologie, Street Corner Society constitue également une lecture délectable pour le profane et un portrait savoureux de la comédie humaine dans sa version italo-américaine.

      http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Street_Corner_Society-9782707152879.html

    • #Edward_Chambers

      Edward Thomas Chambers (April 2, 1930 – April 26, 2015) was the executive director of the Industrial Areas Foundation from 1972 to 2009, a community organizing group founded by Saul Alinsky.[1] Chambers was born in Clarion, Iowa to Thomas Chambers and Hazella Downing.[2] He is credited with developing systematic training of organizers and leaders of congregation-based community organizations, and establishing relational meetings (or “one-on-ones”) as a critical practice of organizers. He is the author of Roots for Radicals: Organizing for Power, Action, and Justice (Continuum International Publishing Group, 2003, ISBN 0-8264-1499-0.[3]). A memorial article in The New Yorker called him “community organizing’s unforgiving hero.” [4] He died of heart failure in Drimoleague, Ireland in 2015.[2]


      https://en.wikipedia.org/wiki/Edward_T._Chambers

      The Power of Relational Action

      In this booklet, Ed Chambers mulls about the building of relationships in public life that allow us to share our values, passions and interests with one another — what he calls “mixing human spirit.” He describes the art of the relational meeting or “one-to-one,” which he helped develop and which is now being used by clergy, leaders and organizers around the United States and in several other countries to build their congregations and community institutions and to take joint action for the common good.

      http://actapublications.com/the-power-of-relational-action

    • La production d’études comme instrument de mobilisation dans le cadre de la campagne pour un « revenu décent londonien » (London Living Wage)

      A recent campaign led by London Citizens - a coalition of churches, mosques, trade unions, schools and other associations - brought on the forefront the issue of low paid workers. The production of studies is the linchpin of this campaign for decent wages. It is more the process of making the studies, linked to the methods of community organizing, rather than the end product itself that has established the opportunity and feasibility of new wages policies. The urban study is here considered as a tool for mobilization. Its authors, its subjects and its addressees are the actors of the London Living Wage campaign.

      7Le travail des employés de London Citizens est basé sur la construction de relations avec les habitants membres des 160 groupes de l’alliance. Dans son contrat de travail, il est stipulé qu’un community organizer doit effectuer une moyenne hebdomadaire de quinze entretiens en face à face (appelés « #one_to_one »). Ces entretiens ne sont ni retranscris ni soumis à une analyse statistique mais ont pour but de construire une relation d’égal à égal avec chacun des membres de l’alliance. Ils permettent aux community organizers d’acquérir une connaissance des problèmes auxquels font face les citoyens de leur alliance. L’organisation a également pour but de former des leaders dans chaque groupe membre. Ces leaders sont encouragés à relayer ce travail de développement de relations au sein de leur institution. Ils sont par exemple invités à organiser des house meetings, des réunions dans leur domicile ou sur leur lieu de travail avec des amis, voisins ou collègues. Les leaders et les employés de London Citizens imaginent alors des idées de campagne en fonction des intérêts des personnes rencontrées. C’est toujours grâce à ces entretiens et réunions qu’ils peuvent ensuite tester ces idées avec d’autres personnes. Ce processus participatif est finalisé lors d’assemblées annuelles où les institutions membres votent, parmi les idées évaluées, les campagnes à mener dans l’année.

      http://journals.openedition.org/geocarrefour/8114?lang=en

    • #Theory_U

      Theory U is a change management method and the title of a book by #Otto_Scharmer.[1] During his doctoral studies at Witten/Herdecke University, Scharmer studied a similar method in classes taught by Friedrich (Fritz) Glasl, and he also interviewed Glasl.[2] Scharmer then took the basic principles of this method and extended it into a theory of learning and management, which he calls Theory U.[1] The principles of Theory U are suggested to help political leaders, civil servants, and managers break through past unproductive patterns of behavior that prevent them from empathizing with their clients’ perspectives and often lock them into ineffective patterns of decision making.[3][4]


      https://en.wikipedia.org/wiki/Theory_U

      La théorie U d’#Otto_Scharmer

      Ces 5 étapes visent à capter de nouveaux modes d’émergence et à rénover l’approche collaborative et la conduite de projet. La théorie U est donc un modèle de conduite du changement fondé sur la conscience de l’urgence pour la mise en place de solutions durables et globales. Les 9 environnements d’apprentisssage qu’il propose constituent une réponse concréte aux questions posées.

      http://4cristol.over-blog.com/article-la-theorie-u-d-otto-scharmer-98615598.html

    • L’ambition démocratique du community organizing

      La mise en place, depuis quelques années, des méthodes de community organizing peut-être envisagée comme une tentative de dépassement des limites du système représentatif. Par un rappel des ressorts de leur développement, aux États-Unis et en Grande-Bretagne, et par l’observation de leur mise en pratique au sein de l’Alliance citoyenne de l’agglomération grenobloise, cet article s’attache à montrer ce qui fait l’originalité de ces démarches : rapport pragmatique au pouvoir, mobilisation autour des « colères » des habitants, actions collectives centrées sur le conflit. Un regard sur l’objectif de prise d’autonomie des habitants, formulé par les fondateurs de l’alliance, permet d’inclure une analyse de la structure et des méthodes du community organizing sous l’angle des processus d’émancipation qu’elles sont susceptibles de favoriser.

      https://www.cairn.info/revue-mouvements-2015-3-p-168.htm

  • Making Lille Great Again !
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/962-making-lille-great-again

    Actuellement basée à Londres, l’Agence européenne du médicament devait - à la suite du « Brexit » - trouver une nouvelle résidence sur les terres continentales. Lille avait candidaté, souhaitant compter parmi les grandes métropoles européennes. Malgré un large soutien des élites politiques et économiques, c’est finalement la ville d’Amsterdam qui a été retenue. Quelle déception ! Cette « Union Sacrée » des crevards était pourtant si belle !

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Sur notre 31... - Renversé
    https://renverse.co/Sur-notre-31-1346

    Pendant la nuit du 31 décembre, nous avons occupé un bâtiment du centre-ville pour y faire une fête chouette, rebelle et déterminée. Si l’ambiance de la première heure était festive, les rires et la danse ont rapidement été gachés par l’intervention massive de policiers anti-émeutes. S’en est suivi la séquestration de plus d’une centaine de personnes à l’intérieur du bâtiment durant 8 heures. Les participantEs à cet événement méritent quelques explications quant aux objectifs que s’étaient fixés les organisatrices/organisateurs de cette soirée.

    Aux origines

    Depuis plus d’une année, une maison collective se bat contre son expulsion et un large mouvement pour le logement et plus généralement pour le droit à la ville voit le jour à Genève. Deux manifestations importantes ont déjà traversé et réveillé la ville.
    InspiréEs par cette dynamique, notre volonté est d’apporter une réflexion de fond sur la vie nocturne et la fête, ainsi que sur les loisirs et les temps libres. C’est dans une logique de se réapproprier notre ville que nous avons organisé un bal masqué dans ce H & M vide depuis un an.

    Ce bâtiment a été ciblé car il est propriété d’une des sociétés immobilières qui façonnent actuellement la ville pour leur profit et qu’il apparaît comme essentiel de leur résister.
    Il faisait donc sens de s’approprier, le temps d’une nuit, un espace dédié au commerce faisant partie d’une rue symbole de consommation effrénée. Ce bâtiment a été ciblé car il est propriété d’une des sociétés immobilières qui façonnent actuellement la ville pour leur profit et qu’il apparaît comme essentiel de leur résister.

    Nous voulions une fête engagée, une fête qui ose prendre l’espace dont elle a besoin pour exister, qui ose prendre un espace qu’on ne lui laissera jamais.
    Nous voulions surtout une fête qui soit belle, ouverte, accessible avec des camarades qui distribuent des loups colorés pour se masquer, des explications sur la fête et la répression, des bières à prix libre, de l’eau offerte, une équipe « bonne ambiance » qui répand la joie et aide toute personne qui rencontre un problème, un infokiosk avec des lectures pour le lendemain. Tout ça parce que c’est ce dont nous avons besoin et parce que nous n’en pouvons plus des entrées payantes, des agents de sécurité qui nous dévisagent pour estimer si notre gueule convient ou si nos vêtements sont « adéquats », des prix exorbitants au bar, des ambiances médiocres, du sexisme en soirée...

    #occupation #fête #prix_libre #droit_à_la_ville

  • City-Tour... ne pas rond.
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/947-city-tour-ne-pas-rond

    S’il est une expérience lilloise peu connue de ses habitants, c’est certainement le City-Tour de Lille. Vous les avez certainement vus, ces bus sans toit, parcourant le centre-ville pour permettre aux touristes de s’imprégner de la beauté de ses boulevards et d’expérimenter à pleins poumons une spécialité locale : le pic de pollution.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Mise en ordre, mise aux normes et #droit_à_la_ville : perspectives croisées depuis les #villes du Sud

    Marianne Morange et Amandine Spire
    Mise en ordre, mise aux normes et droit à la ville : perspectives croisées depuis les villes du Sud [Texte intégral]
    Spatial reordering, norm production and the right to the city : a crossed perspective from cities of the South
    Anna Perraudin
    Faire place aux minorités dans le centre de #Mexico. Des #squats à la propriété, enjeux et limites d’une politique de résorption de l’#habitat_irrégulier [Texte intégral]
    Making place for minorities in central Mexico City. From irregular settlements to property : issues and limitations of an irregular habitat resorption policy
    Amandine Spire, Marie Bridonneau et Pascale Philifert
    Droit à la ville et replacement dans les contextes autoritaires d’#Addis-Abeba (#Éthiopie) et de #Lomé (#Togo) [Texte intégral]
    Right to the city and resettlement in the authoritarian contexts of Addis Ababa (Ethiopia) and Lomé (Togo)
    Marianne Morange et Aurélie Quentin
    Mise en ordre néolibérale de l’espace et fabrication de « bons commerçants » au Cap et #Quito : le commerce « de moins en moins dans la rue » [Texte intégral]
    Out of place, out of the street ? Reordering urban space and the reshaping of “good” traders in neoliberalizing Cape Town and Quito
    Francesca Pilo’
    Les petits commerçants informels des #favelas face à la régularisation électrique : entre tactiques, ajustements et inadaptations [Texte intégral]
    Small informal traders in the favelas and regularization of the electricity service : between tactics, adjustments and shortcomings
    Emma Broadway
    Informal Trading and a Right to the City in the Khayelitsha CBD : insights from the field [Texte intégral]
    Commerce informel et droit à la ville dans le #Central_Business_District de #Khayelitsha : un regard ethnographique, au plus près du terrain

    http://journals.openedition.org/metropoles/5491
    #urban_matter #Le_Cap #Afrique_du_sud

  • The Right to the City in an Age of Austerity

    In Greece, resistance to austerity comprises a mosaic of struggles for a right to the city, conceived as the collective self-determination of everyday life.

    When talking about Greece and “the crisis,” it is easy to fall in the trap of “Greek exceptionalism.” After all, it is through essentializing orientalist narratives that austerity and structural adjustment have been justified: the Greeks are corrupt, lazy and crisis-prone, and they should be adapted and civilized for their own good.

    https://roarmag.org/magazine/right-city-age-austerity

    #Grèce #austérité #orientalisme #crise

  • En #Catalogne, une communauté écolo et autogérée ouverte sur le monde
    https://reporterre.net/En-Catalogne-une-communaute-ecolo-et-autogeree-ouverte-sur-le-monde

    Esther Cerro vit ici depuis quinze ans. Elle fait partie des résidents historiques qui ont résisté à l’expulsion du site à l’hiver 2001. Au début des années 2000, un groupe de gens appartenant aux mouvements sociaux cherchaient un site pour préparer une rencontre internationale sur le climat. Ils s’installèrent dans cette ancienne léproserie, désaffectée depuis 40 ans. Une occupation qui déplut au propriétaire, l’hôpital de Sant Pau, qui demanda leur expulsion par la police, afin de transformer les bâtiments en résidences privées pour médecins aisés. Mais les habitants résistèrent lors d’un siège de trois jours, soutenu par plusieurs centaines de Barcelonais. L’affaire fut portée devant les tribunaux et le juge déclara alors que « le #droit_à_la _vie est plus important que le droit à la #propriété ». Cependant, l’acharnement judiciaire a continué. En 2005, le tribunal de première instance de #Barcelone estimait que l’hôpital pouvait récupérer l’utilisation du bâtiment tout en reconnaissant la légitimité du projet en cours, exhortant les deux parties à « trouver un accord ».

    #auto-gestion #habitat #partage #jardins_communautaires

  • Gens du voyage. La relégation des indésirables
    http://labrique.net/index.php/thematiques/droit-a-la-ville/923-gens-du-voyage-la-relegation-des-indesirables

    En 2015, La Brique rencontrait des femmes issues de la communauté Gens du voyage, organisées en collectif et bien décidées à faire reconnaître les pollutions générées par deux usines installées autour de leur aire d’accueil. Nous découvrions alors les zones de relégation dans lesquelles sont installé.es les Gens du voyage.

    #En_vedette #Droit_à_la_ville

  • Meeting the Maternal and Newborn Needs of Displaced Persons in Urban Settings

    More than 60 percent of the world’s refugees and 80 percent of internally displaced persons (IDPs) now live in urban areas. In contrast to traditional refugee camps, which have mainly been in rural areas, cities and other urban settings can offer refugees greater economic opportunities, a degree of anonymity, and better access to services—at least in theory, said Mary Nell Wegner, executive director of the Maternal Health Task Force, at the Wilson Center on May 31. However, in practice, the urban advantage may be a myth, as local systems, already strained by growing populations, are not well equipped to handle a large influx of people with complex needs.

    https://www.newsecuritybeat.org/2017/06/meeting-maternal-newborn-displaced-persons-urban-settings
    #femmes #maternité #santé #urban_refugees #réfugiés_urbains #réfugiés #IDPs #asile #migrations #right_to_the_city #droit_à_la_ville #ville

  • Menacée par l’exode rural et l’étalement urbain, l’agriculture chinoise tente de se réinventer dans les villes
    https://www.bastamag.net/Menacee-par-l-exode-rural-et-l-etalement-urbain-l-agriculture-chinoise-se

    La Chine ne dispose que de 10% des surfaces cultivables du globe, pour nourrir 20% de la population mondiale. Jusque dans les plus grandes villes de la nouvelle superpuissance, chaque mètre carré cultivable tend à être exploité. En réponse à des défis écologiques et sociaux considérables, des initiatives essaiment dans les métropoles : jardins en toiture, systèmes de culture verticale, éducation des plus jeunes à des pratiques agricoles durables... Jessica, expatriée dans la ville portuaire de Ningbo, (...)

    #Témoignages

    / Quelle #Agriculture pour demain ?, Agriculture, #Alimentation, #Asie_et_Pacifique, #Classes_populaires, #Droit_à_la_terre, A la (...)

    #Quelle_agriculture_pour_demain_ ?

  • Le Brésil risque de subir l’une des plus grandes régressions écologiques et sociales de son histoire
    https://www.bastamag.net/Le-Bresil-risque-de-subir-l-une-des-plus-grandes-regressions-ecologiques-e

    Les grands propriétaires terriens ont toujours été très influents au Brésil. Mais leurs tentatives de détruire la forêt amazonienne au profit de l’agro-business et de rétablir une forme de travail forcé pour les plus pauvres avaient été jugulées pendant dix années de gouvernement de gauche. La destitution, il y a un an, de la présidente Dilma Roussef a libéré leurs ardeurs. Les députés « ruralistes » sont en train de démanteler toutes les lois et institutions préservant l’environnement et défendant les droits (...)

    #Débattre

    / #Conservateurs, #Droites_extrêmes, #Oligarchies, #Climat, Biodiversité, #Droit_à_la_terre, A la (...)

    #Biodiversité

  • Le Brésil risque de subir l’une des plus grandes régressions écologiques et sociales de son histoire
    https://www.bastamag.net/Le-Bresil-risque-de-subir-la-plus-grande-regression-ecologique-et-sociale

    Les grands propriétaires terriens ont toujours été très influents au Brésil. Mais leurs tentatives de détruire la forêt amazonienne au profit de l’agro-business et de rétablir une forme de travail forcé pour les plus pauvres avaient été jugulées pendant dix années de gouvernement de gauche. La destitution, il y a un an, de la présidente Dilma Roussef a libéré leurs ardeurs. Les députés « ruralistes » sont en train de démanteler toutes les lois et institutions préservant l’environnement et défendant les droits (...)

    #Débattre

    / #Conservateurs, #Droites_extrêmes, #Oligarchies, #Climat, Biodiversité, #Droit_à_la_terre, A la (...)

    #Biodiversité