#du_bhl

  • De la dernière production de BHL (09/02/15) j’extrais ceci :

    Pourquoi Poutine est un danger pour l’Europe - En ligne !
    http://laregledujeu.org/bhl/2015/02/09/pourquoi-poutine-est-un-danger-pour-leurope

    C’est Poutine, et Poutine seul, qui – du jamais vu depuis, cette fois, la seconde guerre mondiale ! – est allé rechercher au musée des horreurs politiques les thèmes tristement fameux d’un nationalisme linguistique (est russe qui parle russe… est allemand qui parle allemand…) que l’on pensait discrédités à jamais par la lointaine affaire des Sudètes puis l’Anschluss.
    C’est encore et toujours Poutine qui, en soutenant ostensiblement tout ce que le continent compte de partis racistes et antisémites, en appuyant, voire en finançant, tous les Podemos, Syriza et autres Front National dont le but avoué est de déstabiliser l’Union européenne et ses règles, en affichant son alliance avec une Hongrie devenue, avec Viktor Orban, le maillon faible de l’Union, c’est encore et toujours Poutine, oui, qui s’ingère dans les affaires de l’Europe et c’est encore et toujours lui qui, comme s’il poursuivait une vieille et tenace vengeance et comme si son revanchisme nous tenait pour responsables de cette chute de l’Union Soviétique où il a toujours vu « la plus grande catastrophe géopolitique du XXème siècle », semble s’ingénier à en saper les fondements.

    C’est quand même le Parlement ukrainien qui a commencé à s’occuper de la langue russe, il y a presque un an. Pour la bannir comme langue officielle.

    Et on appréciera, juste à suivre, le délicat amalgame Syriza - Front National, nouveaux suppôts de Moscou…