• Un tout nouveau terminal pour l’aéroport d’Oslo - Et un énorme duty Free Shop de 3500 mètres carrés, plus de 720 articles, et une super chouette expérience, s’enflamment les passagers, le chef du Duty free et le responsable communication et marketing de l’aéroport

    L’article est dans l’ensemble d’une obscénité effrayante, une vraie apologie de la consommation, ventant les mérites des nouveaux "magasins couloirs" etc... Rappelant que les Norvégiens adorent les Duty Free oùils dépensent en moyenne plus que ce qu’ils ont payé pour leur billet d’avion.

    Mais le plus drôle, le plus extraordinaire, c’est cette phrase, citation du chef de la com de l’aéroport :

    "Når vi åpner offisielt i april 2017 skal det også være mulig å gå utenom butikken, for dem som ønsker dette, sier kommunikasjonssjefen."

    [le magasin est déjà ouvert mais il y a encore des travaux] - sinon "quand on ouvrira nofficiellement en avril 2017, il sera aussi possible [relisez trois fois ces quatres mots] de contourner le Duty Free Shop, pour ceux qui le souhaite."

    Juste incroyable ! c’est le monde inversé : événement exceptionnel, très exceptionnellement, on vous autorisera à ne pas traverser 300 m de Duty Free pour rejoindre votre porte d’embarquement.

    Je n’en reviens pas. En attendant, le passage à travers l’enfer du Duty Free est totalement obligatoire et ça se passe comme ça :

    Très stratégique en fait. ET un Enorme mensonge du chef communiquant puisque le couloir de contournement dont il parle est enn fait... un corridor qui passera juste au milieu du magasin, mais il n’y aura pas de rayons "sur le passage" :)

    Slik finner du frem på « nye » Oslo lufthavn - Aftenposten
    http://www.aftenposten.no/article/common-872677.snd

    Ny « handlegate » og forbedret Tax Free

    Det er vel ikke til å stikke under en stol at nordmenn elsker Tax Free . Og akkurat det har man tatt hensyn til under oppgraderingen av Oslo lufthavn. På avgang har Tax Free-butikken for eksempel nå blitt utformet som en handlegate.
    HANDLEGATE : Når du reiser ut av landet fra Oslo lufthavn kan du gjøre innkjøpene dine i en helt ny handlegate.

    – Dette er en bred aveny som tar reisende gjennom en butikk som har blitt 500 kvadratmeter større og som har fått enda bedre utvalg med totalt 720 merkevarer. Når vi åpner offisielt i april 2017 skal det også være mulig å gå utenom butikken, for dem som ønsker dette, sier kommunikasjonssjefen.

    #dfs to be continued

  • Paris CDG-1 - Editions B2

    http://editions-b2.com/les-livres/32-paris-cdg-1.html

    De la genèse à la reprise, de la réalisation à la réception, des usages à l’usure : la vie de la première aérogare de Roissy, qui ouvre ses portes le 13 mars 1974, nourrit le fil de ce témoignage, critique et personnel. Construit comme un véritable « ouvrage d’art habité », le parti circulaire, dense et fermé du « Camembert » de Roissy 1 opta pour un modèle unique au monde – alors même que Roissy 2 était déjà en conception. À l’occasion de ses 40 ans, Paul Andreu et Nathalie Roseau reviennent justement sur sa genèse et sa renaissance. À contretemps ou en avance sur son temps, Roissy 1 nous fait réfléchir sur les rapports entre modernité et monumentalité, entre innovation et routinisation, entre banalisation et exception

    #cdg #aéroports #duty_free_shop #dfs #espaces_publics #transports #transports_aérien #architecture

  • Duty Free Shop - Phase de lancement

    Un petit échauffement avant de lancer les grandes opérations.

    Aéroport de Kristiansand (KRS) au sud de la Norvège. Le vol d’Amsterdam vient d’atterrir. les passagers débarquent et s’engouffrent dans le terminal via cette porte :

    Ils ont le choix (malgré la forte insistance de la signalétique et du guidage au sol à les « forcer » dans le Duty Free"). Soit ils tournent à droite pour aller directement aux bagages, soit ils vont tout droit en enfer.

    Sur 73 passagers 65 sont allés tout droit, 6 ont tournés à droite, 2 sont allés faire pipi et en sortant sont allés boire un café.

    Prochain étape : la carte géopolitique et géostratégique du terminal d’arrivée, et vous allez voir, c’est très subtil la stratégie de guidage
    #dfs #aéroport #kristiansand #duty_free_shop

  • Les duty free shop en Norvège, entre cynisme et obscénité - Aftenposten

    http://www.aftenposten.no/okonomi/Disse-kundene-er-taxfree-sjefens-favoritter-8191586.html

    Les duty Free Shop en Norvège, c’est des profits vertigineux... L’article montre toute l’obscénité et le cynisme du système, géré par délégation de l’État norvégien - pas du tout hypocrite sur ce coup là - par une société allemande (Heineman) spécialiste dans ce secteur et qui gère de nombreux duty free shop d’aéroport une peu partout en Europe. Le plus drôle c’est que le dirlo du truc à Oslo prétend que les clients viennent tout seul dans sa boutique (littéralement, c’est eux qui poussent la porte de la boutique), que c’est pas lui qui vient les chercher :) Mais quand on voit la disposition (ci dessous) du terminal, on peut doucement se marrer.

    En fait, le passager n’a pas vraiment le choix vu qu’il n’y a PAS d’autres chemins dans le terminal, pour aller à l’embarquement, que de passer PAR le magasin (qui fait 150 mètres de long !). A part ça il se vante de vendre 22 000 bouteilles de vin par jour 365 jours par an. Soit 22 000 x 150 NoK en moyenne soit 3,3 millions de NoK par jour et 1,2 milliard de couronnes par an (120 millions d’Euros) rien que pour le pinard, sans compter le tabac, les parfums, les alcools forts, les chocolats et les bonbons.

    Et le bon directeur (sourire carnassier de la photo) explique que les clients qu’il aime le plus, ce sont ceux qui partent en vacances « dans le sud » - ceux qui se payent un « turen til syden » comme on dit ici, autrement dit pour beaucoup ceux qui voyagent en « pakke tur » [en gros un « voyage empaqueté » où tout le monde est serré comme des sardines] comme disent certains norsks avec condescendance et en se pinçant le nez, autrement dit encore, les ploucs qui reviennent entassés « du soleil » dans des charters de 300 places, rouges comme des écrevisses et qui se ruent sur les étalages du duty free à l’arrivée.

    Avinor la société d’Etat qui gère les aéroport a délégué prélève donc à titre de loyer 50 % des 4,7 milliardS de NoK de chiffre d’affaires (470 millions d’Euros), et en plus un % sur les ventes, mais ce chiffre est rangé au rang de secret d’état. Depuis dix ans que je travaille sur ce projet, je n’ai jamais réussi à savoir quel en était le montant, et ce n’est pas faute de l’avoir demandé...

    Dernier chiffre qui vaut ce qu’il vaut parce que ce n’est qu’une moyenne : l’article dit que 35 % de 8,7 millions de passagers annuels qui consomment dans les duty free dépensent en moyenne 639 NoK soit environ 64 euros... C’est énorme.

    http://ap.mnocdn.no/incoming/article8191969.ece/ALTERNATES/w1440c169/AFP000095209_doc6aaergvxyoz1853cn543-ePW1l1iLB6.jpg?updated=061020151103

    Taxfree-butikkene på norske flyplasser selger 22.000 flasker vin - hver dag. Taxfree-sjefen liker Syden-reisende aller best.

    #dfs #tax-free #duty_free_shop #aéroport

  • Political boundaries are just a human demarcation. Map of the world divided by airports. | Geoawesomeness

    http://geoawesomeness.com/political-boundaries-fiction-map-world-divided-airports

    Aleks Buczkowski May 13, 2014 Maps No Comments

    The global political boundaries as we know them are just a human demarcation. In ontology they would be called ‘fiat‘ (artificial) boundaries. The opposite type is called ‘bona fide‘ (natural) boundaries. It is funny that global borders are so engrained in our minds that it can be hard to look at the earth without dividing it into political regions.

    #aéroports #aerocity #dfs #duty_free_shop #visualisation #cartographie #cartographie_radicale

  • La gare Cornavin fait la part belle aux commerces

    http://www.lecourrier.ch/120299/la_gare_cornavin_fait_la_part_belle_aux_commerces

    AMÉNAGEMENT • Dès ce matin, la gare de Genève offre au public ses nouveautés, qui vont d’une allée centrale moderne à une extension des horaires d’ouverture des magasins.

    Après quatre ans de travaux, le « mall » ouvrira ses portes au public aujourd’hui. C’est ainsi qu’Olivier Fargeon, responsable Grandes Gares Ouest des CFF, appelle la nouvelle allée centrale de la gare Cornavin. Parsemée de douze nouveaux magasins et fast-foods, elle abrite également le centre de vente CFF, offrant 1900 m2 d’espace supplémentaire pour une gare « rénovée et modernisée ».

    –—

    My station is rich
    http://www.lecourrier.ch/120302/my_station_is_rich

    My station is rich
    JEUDI 24 AVRIL 2014
    Christiane PasteurPostez un commentaire

    Le « mall », le « business point » et le « lounge CFF » constituent quelques-uns des attributs hautement désirables dévoilés hier par la nouvelle gare Cornavin ; c’est tellement plus moderne en anglais. Outre faire ses commissions, le voyageur, parce qu’il est toujours pressé, pourra bientôt se faire livrer des fleurs, déposer son costume pour la teinturerie ou recharger son ordinateur grâce à des consignes dernier cri. Le tout dans un cadre architectural à la fois clinquant et hygiénique qui transforme radicalement notre imaginaire social de la gare.
    A Genève comme ailleurs, les gares changent de vocation. De lieux de passages, elles se transforment en centres commerciaux à forte valeur ajoutée. Pas pour le confort des passagers, qui chercheraient en vain un banc pour s’asseoir, un buffet pour se restaurer, des toilettes gratuites, voire un moment de répit dans une vie chahutée. Pas non plus pour les petits commerçants qui ne sont guère en mesure de s’acquitter des loyers exorbitants exigés.
    Mais pour le plus grand profit des grandes enseignes, nationales ou internationales, qui bénéficient ici d’une législation hors normes pour leurs affaires : des horaires extrêmement flexibles, et ce 365 jours par an, des étudiants considérés comme des salariés de seconde zone et corvéables à merci les week-ends et jours fériés, et enfin une clientèle captive dont le temps consacré au déplacement entre le lieu de travail et le logement ne cesse de s’allonger. A titre d’exemple, la Migros de la gare de Zurich est la plus rentable du groupe. A la gare Cornavin, le géant orange vise un chiffre d’affaires de 12 millions de francs. Rien que pour les huit premiers mois d’exploitation.

    #dfs #espace_public #espace_privé #duty_free_shop #gares #commerces #commercialisation

  • Aéroport et Duty Free : Kristiansand Kjevik (sud de la Norvège) le concours pour réaménager le terminal et concevoir un « beaucoup plus grand duty free » est ouvert.

    On attend les plans avec impatience

    Kjevik : Viderefører planer for utenlandsterminal - Nyheter - Agderposten

    http://www.agderposten.no/nyheter/kjevik-videreforer-planer-for-utenlandsterminal-1.620310

    Kjevik : Viderefører planer for utenlandsterminal

    Nå starter anbudskonkurransen for en ny utenlandsterminal på Kristiansand lufthavn Kjevik – etter spesifikasjonene med fire gate-r, ny ankomsthall og en stor Duty free-butikk.

    #aéroport #dfs #duty_free_shop

  • “Flying” : des aéroports vus du ciel « Plein Ecran

    http://blogs.lesinrocks.com/plein-ecran/2013/05/16/flying-aeroports-vus-du-ciel

    Alors qu’il avait commencé sa carrière en tant qu’architecte et photographe, Jeffrey Milstein a finalement décidé de se concentrer sur la photographie, plus précisément sur le thème de l’aviation. Très jeune, Jeffrey Milstein s’était passionné pour le sujet, mémorisant les motifs des pistes d’atterrissages, rêvant de filmer Los Angeles d’en haut.

    “Flying” est donc un projet mûrement réfléchi qui met en scène ses deux passions. À l’aide d’un ami pilote, il immortalise les aéroports vu d’un avion qui serait sur le point d’atterrir ou qui viendrait de décoller (les clichés sont réalisés à basse altitude). Pour avoir des clichés exploitables, le photographe explique qu’il a parfois fallu voler jusqu’à sept fois par semaine. Le résultat est à la hauteur de l’effort, d’en haut, on voit se dessiner l’organisation géométrique des espaces.

    La plupart des photos ont été prises au-dessus des trois principaux aéroports de New-York, mais l’artiste ne veut pas s’arrêter là et rêve d’ajouter à sa collection des clichés des aéroports de Los Angeles, Chicago sans oublier Healthrow à Londres.

    #aéroports #dfs #duty_free_shop #transport_aérien #visualisation

  • La société allemande qui gère la plupart des duty free shop des aéroports norvégiens voulait donner la possibilité aux passager de commander et payer leurs achats à l’arrivée par Internet...

    Officiellement pour éviter les queues et le chaos quand plusieurs avions arrivent en même temps.

    Mais les douanes norvégienne ont dit non, trois non ! c’est hors de question !

    Vil nekte deg å bestille taxfreevarer på nettet - Aftenposten

    http://www.aftenposten.no/okonomi/Vil-nekte-deg-a-bestille-taxfreevarer-pa-nettet-7202011.html

    Vil nekte deg å bestille taxfreevarer på nettet

    Taxfree-butikkene vil gi reisende mulighet til å forhåndsbestille varer på nettet for å slippe kø og kaos ved ankomst. Tollvesenet sier tvert nei.

    #dfs #duty_free_shop #aéroport #marketing

  • Duty Free Shop - De la bonne utilisation de l’espace public dans ls aéroports.

    Ceci n’est qu’une petite fraction d’un projet beaucoup plus large sur l’accaparement de l’espace public sur l’espace privé et/ou commercial avec l’exemple de ce qui se passe dans les aéroports.

    Ces deux esquisses ont été publiées dans le Monde diplomatique de février 2013, je les republie ici avec le texte français et anglais. D’autres approches visuelles, d’autres aéroports, d’autres lieux... devraient suivre plus ou moins bientôt.

    https://dl.dropbox.com/s/zpz7z2o29xn22nh/dfs-stockholm.png

    L’aéroport est un territoire entre deux mondes, un interstice, une sorte de nulle part. Parcours initiatique de l’enregistrement à l’embarquement. On force le passager dans un monde paradoxal et fascinant, un monde tortueux, un monde de confusion dans lequel il perd tous ses repères. On peut dès lors faire n’importe quoi de lui. On le prive autant qu’on le tente, on le précipite dans des lieux appétissants qu’il ne choisit pas et où on le dépouillera...

    An airport is a zombie zone between two worlds. Not Neverneverland. Just Nowhereland. You get temporary citizenship between check in and boarding. They lure and bully you into this dreamscape of corridors and walkways, and the local paradox between tightly closed security and wide open shops. They confuse you, too: everything is signposted and labelled, but then you don’t know where you are; everything is there to tempt you, luxury goods and foods, and then again, you feel totally deprived, and trapped. The retail spaces are seductive, but you didn’t choose to shop here. You didn’t choose to be here. They’re controlling you, guiding you, harassing you: so that the passenger can’t really resist.

    https://dl.dropbox.com/s/t85hl6wzemccivs/dfs-berlin.png

    #dfs #aéroports #transport_aérien #espace_public #espace_privé

    • Bien qu’aussi ouvert au public qu’un supermarché ou une cathédrale, un aéroport reste un espace totalement privé et ne propose en rien un service public.

      Son usage reste de facto réservé à certaines classes sociales, bien qu’occupant effectivement un espace tout à fait considérable et sans rapport avec son rôle social.

      Il reste effectivement sidérant d’y constater l’incroyable gâchis d’argent public exclusivement consacré à protéger l’élite de la colère des exploités. Sans même parler des services publics de sécurité aérienne, ici aussi exclusivement dédiés à la défense de l’élite en voyage aux frais du peuple.

    • Tout à fait d’accord avec @bp314 : les usagers de l’avion représentent un quart de la population totale. mais la moitié de ces gens n’ont pris l’avion qu’une fois dans l’année. 30% des gens n’ont jamais pris l’avion.
      http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/synth14.pdf
      Le pire c’est que le train, autrefois moyen de transport très populaire, prend le même chemin, avec une surabondance de TGV chers destinés aux Parisiens pressés et aisés, qui ont favorisé la fermeture des lignes secondaires.

    • Il faudra quand même un jour s’interroger sur le postulat d’utilité sociale des réseaux de transport à une époque où les déplacements sont de facto la pratique d’une élite.

      Surtout si on ajoute à ce constat celui des barrières tarifaires interdisant de facto l’accès des pauvres aux métropoles, sauf en de très rares occasions maladroitement organisées par l’institution (victoire du PSG, fête de la musique, etc.)

    • @bp314 : si il faut détruire tout ce qui est collectif au prétexte que cela ne sert désormais qu’aux riches, que restera-t-il de l’espace public ? Je pense aux transports en commun (hors avions et TGV, fruits de la pensée « charter » parigocentrée des décideurs, je suis bien d’accord)

      Faut pas confondre confiscation et remodelage de l’espace public par une minorité avec la pertinence d’infrastructures à usage collectif dans l’espace public, comme un ciment social et un vecteur de coopération, de solidarité..

    • Détruire ? On en est pas là.

      Mais sortir de l’hypocrisie consistant à prétendre qu’une infrastructure financièrement innaccessible à la population comme l’avion ou le train la sert serait un bon début, surtout lorsque ladite population en finance une bonne part par l’impôt. L’avion, le train, des ciments sociaux ? Leurs infrastructures déstructurent les villes, fragmentent les territoires, polluent et accaparent des terres précieuses au seul profit d’une minorité.

      L’important, à mes yeux du moins, est surtout de cesser collectivement à leur prêter quelque attention, quelque soutien ou quelque sympathie que ce soit. Que leurs usagers paient les retraites des cheminots, les salaires des contrôleurs du ciel, et surtout, la construction de ces infrastructures qui ne servent en rien la cause publique qui les finance. Ce serait déjà un bon début.

    • Pour moi le scandale principal est celui du prix du train. Certains services (comme l’auto-train) ont été abandonnés, beaucoup de petites gares ferment ou sont mal desservies avec des « alternatives » en bus une à deux fois par jour. Bonsoir la mobilité en milieu rural sans voiture. Quand à aller d’une périphérie à une autre, d’une ruralité à celle d’à côté, il faut toujours repasser par les centres régionaux, pas beaucoup de possibilité de traverses. Par ailleurs, dans les régions transfrontalières, comme le SAR-LOR-LUX, là où des espèces de TER fonctionnaient très bien et étaient faciles d’accès (billets locaux aux guichets automatiques, sans surtaxe) on se retrouve avec des billets locaux chers sous prétexte qu’il y a une deux ou trois frontières à passer. Résultat, autant prendre la voiture, c’est moins cher et beaucoup plus rapide. Quand à la privatisation des espaces, les gares ne sont pas en reste. Dans certaines gares, les seuls endroits surs, au chaud et propres sont les espaces des kiosques et des vendeurs de sandwich.