• Chunyu Tiying
    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Chunyu_Tiying


    Qing-era drawing of Tiying

    Chunyu Tiying (Chinese: 淳于緹縈; fl. c. 174 BCE) was a woman known for persuading the Emperor Wen of Han to abolish the “Five Punishments”, as told in the Western Han folktale, “Tiying Saves Her Father” (Chinese: 缇萦救父).

    Chunyu Tiying (淳于緹縈)
    Linyi, Western Han
    Chunyu Tiying
    Traditional Chinese 淳于緹縈
    Simplified Chinese 淳于缇萦
    Hanyu Pinyin Chúnyú Tíyíng

    Biography

    Tiying was the youngest of Chunyu Yi’s five daughters. Her father was originally a low ranking official, but after studying with a famous doctor, he was promoted to high rank. Tiying grew up to be very humble and generous thanks to her father’s example, treating everyone equally, regardless of whether the person was of common birth or of the nobility. However, after her father couldn’t save the life of a noblewoman, the devastated husband claimed that it was Chunyu Yi’s treatment that caused the death of his wife. As this nobleman was very influential at that time, Chunyu Yi was taken away without a proper investigation.

    When Chunyu Yi was taken away, he knew he would be subjected to one of the Five Punishments. Knowing that he had no one who could appeal for him, he looked at his daughters and said “I will be sent to the capital for punishment where no woman can follow and I have five daughters. If only I had a son!”[citation needed] In the pre-modern China, women did not have a say in the court nor in society, unless they had some sort of special status. After hearing what her father said, Tiying made up her mind and followed her father on a journey to the capital. On the journey there she endured pain and hunger. Once she arrived at the capital, she made an appeal on behalf of her father to Emperor Wen himself instead of going to any of the officials. She made the appeal despite knowing that, as a young girl, her appeal would likely be treated with derision and even seen as improper conduct. She also took a novel approach in her appeal. Instead of her writing about her father’s good nature and accomplishments to show he deserved leniency, as might have been expected, she instead wrote about the legal tradition of Five Punishments, showing how cruel and unethical they were.

    After hearing that a young girl had written a letter of grievance to him, the Emperor was eager to read what the letter was about. In her letter, she wrote, “’Once a man is executed, he cannot come back to life. Once a man is mutilated, even if he proved to be innocent later, he would be disabled for life, and there is no way to reverse the suffering he experiences. Even if he wishes to start anew, he will be unable to do so. I have heard stories of how a son can redeem a father’s guilt,’ she continued. ’As a daughter, I am willing to redeem my father’s sin by being your slave for the rest of my life. I beg you to spare him from this punishment, and thus he will have an opportunity to make a fresh start.’”[citation needed] Emperor Wen was deeply moved by Tiying’s letter. Not only was it well written, it also pointed out the cruelty and injustice of the Five Punishments and how it did not give the convicted a chance to defend themselves. This letter also impressed many officials in the court. Many praised the way in which she endured hardships along with her father and was willing to become a slave in exchange for her father’s life.

    After reading this letter, Emperor Wen pardoned Tiying’s father and declined her offer to become a slave and he also abolished the cruel Five Punishments standard. Soon the story of Tiying’s bravery was spread around the country and many wished to have a daughter like her.
    References edit

    Piété filiale
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Pi%C3%A9t%C3%A9_filiale

    Dans la philosophie confucéenne, la piété filiale (chinois : 孝, xiào) est une vertu de respect pour ses propres parents et ancêtres. Confucius lui-même affirme que la piété filiale et le respect des ainés sont les racines mêmes de l’humanité.

    Classique de la piété filiale
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Classique_de_la_pi%C3%A9t%C3%A9_filiale

    Le Classique de la piété filiale ou Xiao Jing (ch. trad. : 孝經 ; ch. simp. : 孝经 ; py : Xìaojīng) est un des classiques chinois. Il a probablement été rédigé au IIIe siècle avant l’ère commune, à l’époque des Royaumes Combattants et est attribué à Zengzi (曾子, 505 à 436 avant l’ère commune), disciple de Confucius. Au début de l’ère commune (dynastie Han), l’empereur Wang Mang voulut en faire l’ouvrage de base pour la formation des fonctionnaires. Il a été traduit en français pour la première fois en 1779 par Pierre-Martial Cibot, jésuite.

    #Chine #dynastie_han #histoire #droit #famille #piétié_filiale

  • 5,000 Israelis obtained UAE citizenship in three months : Report
    https://irandaily.ir/News/314402.html

    Some 5,000 Israelis have obtained UAE citizenship within the past three months, after amending the law on granting citizenship in the Persian Gulf Arab country, according to a report.

    Citing sources, the website, Emirates Leaks, revealed on Thursday a wide turnout from the Israelis under the cover of investment in the UAE, especially in Dubai and Abu Dhabi, Press TV reported.

    The sources underlined that the UAE authorities allow the acquisition of citizenship for investors and entrepreneurs without the need to give up their original citizenship.

    With an Emirati citizenship, the Israelis would be able to cross the Persian Gulf and Arab countries without a prior visa, according to the sources.

    #Emirats #dynastie_comprador

  • 红楼梦 / 紅樓夢, Hóng lóu mèng, Le Rêve dans le pavillon rouge
    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Le_R%C3%AAve_dans_le_pavillon_rouge

    Le roman est non seulement fascinant par son nombre immense de personnages parfaitement caractérisés et par sa profonde portée psychologique, mais il l’est encore par sa description, précise et détaillée, de la vie fastueuse et des structures sociales de l’aristocratie chinoise du XVIIIe siècle[10] : « L’auteur du Rêve dans le pavillon rouge était un fils de grande famille. L’ensemble du faste qu’il décrit est si exact, que nul ne saurait en parler ainsi, à moins d’y avoir personnellement participé »[11] ; ce qui conduisit plus tard la critique officielle du temps de la Chine marxiste à qualifier l’œuvre (quoique en réalité de façon admirative) d’« encyclopédie du monde féodal à son déclin »[4]. Cao Xueqin y dépeint, en effet, le faste inouï de la haute noblesse impériale (en l’occurrence, dans le roman, celui de la très aristocratique famille des Jia) tout en dénonçant, avec prudence, l’hypocrisie des institutions de l’Empire, appelées à décliner bientôt tout au long du XIXe siècle, ainsi que l’exploitation de l’homme fondée sur le système de l’esclavage tel qu’il avait alors cours, même s’il était, en Chine, globalement doux et assez paternaliste.

    #Chine #élites #nantis #littérature #culture #Dynastie_Qing #histoire

    • @grommeleur On peut effectivement considérer ce terme comme un euphémisme. L’expression « équilibré » serait plus exact. Quand l’équilibre ne fut pas respecté et pratiqué par les puissants, d’énormes révoltes renversaient leur règne jusqu’á ce qu’une nouvelle dynastie rétablit l’équilibre entre ciel et terre ;-)

      Les esclaves dans la Chine d’avant 1911 furent si bien intégrés dans la société qu’il y en avait qui fondaient de nouvelles dynasties. On parle d’une société resté au stade moyenâgeux sauf que la Chine des années 800 avait atteint un niveau culturel toujours pas réalisé dans bien des pays capitalistes d’aujourd’hui.

      Contrairement à l’esclavagisme africain, arabe et américano-européen le statut d’esclave touchait la majorité de la population si on y inclue les paysans attachés par la loi au sol qu’ils cultivaient. Juste pour bien situer les conditions en Chine : En Prusse la libération de ces cerf n’a eu lieu qu’á l’avènement de l’industrialisation et la Russie n’a connue de véritable libération de la majorité d’eux qu’en 1917. Je pense que le malheureux auteur de Wikipedia pense aux exploités de ce type quand il ultilise le terme « esclavagisme doux ». Ah la Chine, ils ont des perspectives tellement différentes et intraduisibles ;-)

      P.S. Merci pour le commentaire, je n’avais pas remarqué que l’introduction dans le roman comportait cette erreur inadmissible. Je crois que l’auteur considère le traitement des cerfs comme « doux » en comparaison avec le sort d’une grande famille qui fut systématiquement anéantie avec tous les femmes, enfants, oncles, tantes, neveux et nièces y compris le personnel domestique quand la cour avait décidé de punir le chef de famille ou un autre membre important de celle-ci. C’est d’ailleurs plus ou moins le sort des protagonistes du roman sauf que dans l’histoire ce sont des forces célestes qui s’abattent sur eux.

  • EN IMAGES. Une quarantaine de #momies de plus de 2 000 ans dévoilées en #Égypte
    https://www.francetvinfo.fr/monde/afrique/egypte/en-images-une-quarantaine-de-momies-de-plus-de-2-000-ans-devoilees-en-e

    Elles ont plus de 2 000 ans mais sont « en bon état de conservation ». Dans le centre de l’Égypte, pus de 40 momies datant de la #dynastie_ptolémaïque (323 à 30 avant J.-C.) ont été dévoilées en grande pompe, samedi 2 février, dans des catacombes du site archéologique de Tounah El-Gebel. Parmi ces momies, « douze sont celles d’enfants, six d’animaux et le reste d’hommes et de femmes adultes », selon un membre de la mission archéologique ayant débuté en février 2018.

    #égyptologie #archéologie

  • Poésies des Thang — Autres poètes connus - Gaoshi - 高適
    https://web.archive.org/web/20070626064909/http://afpc.asso.fr/wengu/Tang/Autres1.php

    Le retour dans la montagne

    On respire un air vif et pur, et voilà que le soleil disparaît dans les froides profondeurs de ces rochers immenses.

    Je veux vous reconduire jusqu’à votre montagne ; ami, je connais maintenant votre cœur.

    Quand l’âge mûr succède à l’active jeunesse, le temps est venu de cesser la lutte et de s’appartenir à soi-même ;

    Vous avez su, je le vois, comprendre la vie, et régler la vôtre comme il faut.

    Qu’il vous plaise de marcher ou de vous reposer, rien ne vous poursuit ni ne vous arrête ;

    Sans entendre d’autre murmure que celui des sources, d’autres bruits que ceux du vent ou de la pluie,

    Vous foulez un sol toujours jonché des fruits du song ou des fleurs du cannelier.

    Les simples que vous vendez vous procurent largement de quoi subvenir à vos faibles dépenses ;

    Vous recueillez enfin ces herbes précieuses, dont les sucs puissants donnent la longévité.

    Les nuages blancs sont de gracieux compagnons qui vous exhortent à boire ;

    En quelque endroit que vous vous retiriez pour dormir, la lune brillante n’est-elle point près de vous ?

    J’emporte, moi, de cette journée, des souvenirs que ne peut effacer le sommeil ;

    Nous allons donc nous revoir en songe, car mon esprit, cherchant le vôtre, saura bien revenir ici.

    Kao-chi (Gao Shi)

    Nous venons de voir quelques productions de l’époque des Thang, dont les auteurs précédèrent Thou-fou et Li-taï-pé. Nous arrivons maintenant aux poètes contemporains de ces deux hommes célèbres. A leur tête, et par droit d’ancienneté, doit figurer tout d’abord Kao-chi.

    Né dans le Chan-toung dès la fin du VIIe siècle, il attendit sa cinquantième année pour composer des vers. Son existence avait été des plus agitées, et sa célébrité fut précédée d’une longue période de découragement. Les biographes nous le montrent tour à tour dans les situations les plus diverses, luttant contre la pauvreté durant sa jeunesse ; épris d’une comédienne qu’il suit à travers les provinces, écrivant des pièces de théâtre pour la troupe nomade dont elle fait partie ; secrétaire d’un haut personnage en mission diplomatique dans le Tibet, puis soldat, puis enfin poète en renom, acquérant, au déclin de son âge, la fortune et les distinctions qui ne manquent guère, à la Chine, de suivre les succès littéraires.

    Kao-chi fut lié d’amitié avec Thou-fou malgré la grande différence d’âge qui existait entre eux. Les Chinois vantent l’élévation de ses sentiments et la noblesse de ses expressions. Il affectionne certaines tournures antiques, qui rendent parfois ses vers très difficiles à entendre pour le lecteur européen, et, dans le choix des rimes comme dans l’arrangement des strophes, il prend assez souvent des libertés dont ses contemporains de la nouvelle école n’usaient déjà plus que fort rarement.

    Gao Shi — Wikipédia
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Gao_Shi

    #Chine #histoire #poésie #dynastie_tang

  • #Syrie : miroir et perspectives
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/130717/syrie-miroir-et-perspectives

    Alors qu’un cessez-le-feu a été mis en place dans le sud-ouest de la Syrie, qu’on discute du contour de « zones de désescalade » et que le président Macron a d’ores et déjà, sur le régime Assad, désavoué le candidat Macron, quel peut être « l’après-demain » de la Syrie, dont le présent s’enfonce chaque jour dans le désastre ? Entretien avec l’historien et ancien diplomate #Jean-Pierre_Filiu.

    #Culture-Idées #Alep #concordance_des_temps #diplomatie #dynastie_al-Assad #Histoire #ONU #révolution_syrienne

  • Les chambres du pouvoir : Politique des #castes
    http://actualutte.info/culture/item/245-les-chambres-du-pouvoir--politique-des-castes
    de Valentine Lopez et Géraldine Woessner : « les chambres du Pouvoir » (éditions du Moment)

    En mai 2008 seuls 52 conseillers de sarkozy ont une nomination officielle, alors qu’on sait, d’après le rapport du budget parlementaire, qu’un millier de personnes sont en réalité « employées » par l’Elysée, pour un salaire moyen de 42000 euros (hors prime) annuels. Impossible d’avoir leur identité, alors qu’ils sont payés sur les deniers publics.
    Le problème est transversal, car ni la droite ni la gauche n’ont jugé bon de clarifier cette situation.

    Le copinage et des réseaux pour grimper l’échelle sociale :

    Ainsi, Marie-Laure Harel, 23 ans, maîtrise de droit, amie de la fille de Cecilia Sarkozy est déjà, et si jeune, chargée de mission auprès du chef de cabinet du président. Cécilia Sarkozy qui sut imposer en son temps de nombreux intimes, comme le publicitaire François de la Brosse, qui dispose d’un bureau à l’Elysée. C’est qu’en effet, il faut être coopté pour s’introduire dans ce milieu pourtant théoriquement ouvert aux talents et compétences.
    Tous les ministres ont des « agents » à la cour des comptes, chez les Ex du conseil d’Etat, ou dans les cercles amicaux et/ou familiaux. Les candidatures spontanées n’ont aucune chance d’aboutir, tout fonctionne en doublette : le mari et l’épouse sont hauts fonctionnaires dans des cabinets ministériels ou une administration centrale, et quand la couleur du gouvernement change, ils permutent.

    Basée sur un trépied confiance-loyauté-compétence, toute nomination y trouve sa justification, assortie souvent d’un « tout le monde le fait !! » étonné.
    Cela même si souvent le support de compétence est injustifiable. Exemple : à quoi peut servir une juriste (Isabelle Barnier épouse de l’ancien ministre de l’agriculture Barnier) spécialiste du droit de la propriété littéraire aux côtés de Bachelot officiant à la santé ?
    Au sénat ou l’Assemblée, il est techniquement impossible de dénombrer les emplois familiaux ou de réseau, ou encore embauches croisées (j’embauche ta femme et toi ma cousine…) à moins d’avoir une armée d’enquêteurs, tant les cas sont nombreux. De toute façon les élus n’ont aucune obligation de fournir la liste des personnes qu’ils rémunèrent avec pourtant des fonds publics, et ils refusent même qu’elle soit rendue publique, à droite comme à gauche.
    Le problème est que ce système « familial et de réseau » a bloqué pendant des decennies l’arrivée de personnes talentueuses en ne laissant les postes qu’à des cooptés par la caste.
    Même Jean Marie le Pen avoue que « les enfants de ceux qui occupent un poste ou une fonction ont plus de chance de suivre cette voie … on sait qu’on pourra se présenter député, puis devenir ministre, c’est presque automatique. » ; la succession de sa fille à son propre poste ne le dément pas.

    #livre #dynastie_politique