• L’avenir de la #lecture (Future Reading) par Grandin Donovan et Claudio Vandi - #parisweb
    http://www.dailymotion.com/video/xx8b7p_future-reading-par-grandin-donovan-et-claudio-vandi_tech

    une conf très riche sur les #ebooks et la lecture sur #mobile

    ils évoquent en passant cet article de @iA sur la manière dont on tourne les pages sur un #ipad :

    iPad : Scroll or Card ? | Information Architects
    http://informationarchitects.net/blog/ipad-scroll-or-card

    How do you navigate content on the iPad? Scroll or flip?

    • parce que c’est hyper difficile de produire un epub correct et complet, ça mélange plein de formats différents, et même le zip est compliqué à fabriquer ! Alors que, à la base, un epub c’est juste une collection de pages web…

    • ça m’intéresserait que tu m’en montres quelques-uns ; et pourquoi préfères-tu faire tes ebooks plutôt que de conserver des onglets dans le navigateur, ou enregistrer les pages ? autre question dans la même veine : est-ce qu’un outil qui prendrait, disons, ton flux seenthis, et exporterait tous les liens sous forme d’ebook, pourrait être utile ?

    • C’est super long de te répondre sur le pourquoi d’une liseuse qui répond à la question de pourquoi des epub. En gros, je sature d’écrans et je trouve que mon ordi, j’y passe assez de temps comme ça. Je souhaite lire confortablement et sans distraction et en limitant l’accumulation d’objets (j’ai trop de livres qui débordent de ma bibliothèque tout en n’ayant pratiquement plus de budget lecture depuis maintenant plusieurs années). Pour le prix de 6 livres de poche, je pouvais avoir un outil qui me permette de lire unplugged et sans frais supplémentaires les tas de classiques que je n’ai pas eu le temps de lire jusqu’ici. Et puis, je me suis rendue compte qu’avec Calibre, je pouvais créer mes propres epub à partir des flux des sites que j’adore mais dont le temps de lecture en ligne excède celui que j’ai imparti à cette tâche. La Vie des Idées en est un emblématique : super contenu, intelligent, bien fait, nourrissant et trop long et profond pour lire ça entre deux mails. Je me fais un article ou un demi-article tranquille, au pieu, sur les toilettes, là où j’aime lire et où un ordi est proscrit (selon mon mode de vie).

      Pour Seenthis, le problème, c’est que ce sont des extraits d’articles avec leurs liens qui apparaissent dans le flux, ce qui ne m’est, dans le cas de figure de la lecture unplugged, totalement inutile. Ma liseuse est wifi, mais je n’utilise cette fonctionnalité que pour la synchroniser et la mettre à jour. Donc, des flux de liens en epub ne m’intéressent pas du tout.
      Par contre, si on pouvait avoir le fux intégral des articles référencés, ce serait nettement plus intéressant.
      Je t’envoie par courriel mon dernier epub de @la_vie_des_idees

    • merci d’avoir pris le temps de répondre :-)
      pour ce qui est de seenthis je vois qu’on a bien la même idée : on partirait d’un flux pour charger (dans la mesure du possible) tous les textes liés, afin de les lire offline

    • je n’ai pas vraiment de fatigue de l’écran, mais il me semble que epub est une des moins mauvaises manières de faire du web offline

  • Un eBook de Rue89 pour y voir plus clair sur le « miracle islandais » | Rue89
    http://www.rue89.com/2013/02/07/un-ebook-de-rue89-pour-y-voir-plus-clair-sur-le-miracle-islandais-239337

    Le faux : l’Islande aurait balayé sa classe politique, tourné le dos à l’économie de marché, rejeté les méthodes du FMI, refusé de payer sa dette publique...

    Le vrai : l’Islande n’a pas sauvé les actionnaires et les créanciers de ses banques, a engagé un processus constitutionnel en écoutant les suggestions de son peuple, a donné plus de place aux femmes, a engagé des poursuites contre les banquiers-fraudeurs...

    #Islande

  • Chapal & Panoz, Publie.net, ebook design et tutti quanti | La Dame au Chapal
    http://roxane.chapalpanoz.com/2013/01/29/chapal-panoz-publie-net-ebook-design-et-tutti-quanti

    Il faut voir les conversations qu’on peut avoir sur l’#ebook design, la typographie, le rendu des fichiers… Pour certains, ça n’a aucun intérêt, mais pour nous c’est notre manière de concevoir un livre (et notre métier) : on peut très bien coder un livre simplement (code propre et sans bavure, ce qui suffit à la plupart des livres homothétiques), mais on peut également être un peu plus “créatif”, parce que le numérique n’est pas que la dégradation de la mise en page papier. (Comprendre : il y a des gens qui nettoient un export le plus rapidement possible et il y a des gens qui font une mise en page. Ce qui est différent.)

  • Le magazine sur Kindle !
    http://numeriterature.com/2012/11/30/le-magazine-sur-kindle

    Certains me l’avaient réclamé à grands cris, et je leur avais promis de me pencher sur la question… Comme je suis homme de parole et n’aime pas faire les choses à moitié (et vantard avec ça !), j’ai voulu attendre de pouvoir garantir aux lecteurs un fichier de qualité. Voilà qui me semble maintenant acquis ! Détenteurs de Kindle, je vous souhaite donc une excellente lecture !

    →Numéritérature Magazine N°1.mobi←
    (http://ubuntuone.com/5W37Kg8cbK7W3eeLW8Ev08)
    →Numéritérature Magazine N°2.mobi←
    (http://ubuntuone.com/6e8Ue7P3M42X1Hb3LQJhtt)
    →Numéritérature Magazine N°3.mobi←
    (http://ubuntuone.com/32CGTQJOZkHvIeQiSXTO5A)
    →Numéritérature Magazine N°4.mobi←
    (http://ubuntuone.com/523uOmjtoH8ftK9zIioSQL)

    Pour plus d’information sur ce que renferme chaque numéro, je vous invite à consulter la page magazine (qui reprend le sommaire de chacun). Et n’hésitez pas, du reste, à m’adresser vos remarques sur ledit contenu ou encore à propos d’éventuels défauts de conception…

    Enfin, même si j’offrirai dorénavant les deux types de fichier, Je tiens à redire que l’ePub reste pour moi le format de référence, que ce soit pour mon magazine ou la lecture numérique en général. En tant que standard ouvert, c’est lui que j’encourage autant que possible à privilégier (il est d’ailleurs le plus répandu et le mieux soutenu des conteneurs dédiés à la lecture)… Sur ce, je m’en vais vous concocter le 5e numéro du magazine. À bientôt !

    #Magazine #eBook #mobi #Kindle

  • My eBook build process and some #PDF, #EPUB and #MOBI tips - Pat Shaughnessy
    http://patshaughnessy.net/2012/11/27/my-ebook-build-process-and-some-pdf-epub-and-mobi-tips

    plein de conseils techniques pour faire des #ebooks — et cette conclusion :

    producing an eBook myself was far more tedious and difficult than I had ever thought it would be. I can imagine that partnering with a publishing company would make this all a lot easier – probably you would be able to work within an established, proven technical publishing pipeline. But one of the joys of self-publishing is being able to have full control over the final product

    #princexml

  • Subcompact Publishing — by Craig Mod
    http://craigmod.com/journal/subcompact_publishing

    encore une fois une excellente analyse de #design de Craig Mod ; il évoque cette fois “The Magazine”, un… magazine… publié sur l’iPad avec une idée simple : faire simple, compact. Une capsule de lecture. (http://the-magazine.org)

    A Subcompact Manifesto

    Subcompact Publishing tools are first and foremost straightforward.
    They require few to no instructions.
    They are easily understood on first blush.
    The editorial and design decisions around them react to digital as a distribution and consumption space.
    They are the result of dumping our publishing related technology on a table and asking ourselves — what are the core tools we can build with all this stuff?

    (...) qualities:

    Small issue sizes (3-7 articles / issue)
    Small file sizes
    Digital-aware subscription prices
    Fluid publishing schedule
    Scroll (don’t paginate)
    Clear navigation
    HTML(ish) based
    Touching the open web

    Many of these qualities play off one another.

    #epub #ebook #magazines #presse #mobile

    • tout comme on lit un bouquin avec un seul mouvement (tourner les pages), il propose de faire un bouquin avec un seul mouvement (scroll) ; comme ça pas besoin de mode d’emploi, on lit et c’est tout : l’interface ne vient pas se mettre en travers, elle se fait oublier

    • Ah oui, pardon, « aboli » était un peu fort : la pagination, telle qu’elle est pratiquée (une liste de numéros de page, à zone cliquable généralement trop minuscule pour être aisément utilisés) est rarement pertinente. Pourquoi fractionner ? Pourquoi cacher le contenu dans d’autres pages ? Pourquoi ne pas lister in extenso ? Pourquoi ne pas mieux catégoriser l’info, pour éviter les listes à rallonge ?

      C’est pertinent sur une liste de résultats de recherche… encore que… ça peut être discuté.

    • Il me semble que l’absence ponctuelle de limites est un problème : souvent on « finit sa page », ou on « lit encore 10 pages » non pas parce que c’est une unité pertinente mais parce que c’est une unité matérielle ; or s’il n’y en a plus, il me semble que ça manquera (mais on peut probablement trouver autre chose…).

    • tu peux peut-être scroller par unités discrètes et non pas continues, ou alors rythmer le contenu avec des bidules (intertitres par exemple)

    • Son exposé sur les problématiques d’interface et d’expérience utilisateur est plus que brillant : qu’est que sont la lecture numérique (contextes, usages), l’édition numérique, les rapports contenus / périphériques de lecture / dispositifs de navigation. C’est un manifeste.

      Ce qui me « dérange » le plus dans cet excellent article (enfin surtout dans le produit étudié ) : le fait d’être (encore) attaché à un écosystème lié à un fabricant (Apple, ici, via « Newsstand », qui permet le téléchargement de contenu en arrière plan et le paiement en ligne via Apple ).

      Pourtant, « Newsstand » est complètement nécessaire :

      RSS may be fine for a backend protocol and packet structure, but from a ‘normal’ consumer facing point of view, RSS has never made sense. (It’s sort of like git without github.) In effect, creating a better kind of consumer facing RSS is to solve the above problem.

      « Newsstand » et l’écosystème Apple permettent aussi le paiement (imaginez entrer votre num de CB à chaque fois que vous voulez une édition de votre magazine).

      Le téléchargement en arrière plan et le paiement fluide sont nécessaires pour que « ça marche ».

      Ok, http://the-magazine.org peut toujours développer une version Android de leur truc, et une version Kindle, et une version... etc...

      Pour caricaturer : dans le futur, si tu voudras lire du contenu de qualité, tu aura intérêt à avoir acheté le bon périphérique, le bon téléphone, la bonne tablette. Celle des riches, pas des pauvres. C’est quand même dingue cette intégration verticale totale : matériel - logiciel - écosystème - contenu.

      Dans une optique de préservation du contenu de qualité (et donc payer de bons journalistes, essayistes, écrivains, illustrateurs, photographes), se rapprocher du public cible est très bien, compter sur beaucoup de micro-paiements plutôt que sur un ticket d’entrée cher, aussi.

      Au delà des problématiques de liberté de l’utilisateur et du contenu, ce modèle ne marchera pas (les auteurs ne pourront pas manger à leur faim) si justement les contenus restent liés à une plate-forme matérielle. Seuls les gros groupes medias pourront faire du multi-canal ; et on sait que ce n’est pas là où l’on trouve le plus de contenu de qualité.

    • l’article contient une sorte de réponse (insuffisante) à ta critique en disant qu’il leur suggère de mettre les articles en question en accès libre sur leur site, & que ça n’aurait pas nécessairement d’impact négatif sur leur business model

    • @tetue :

      Pourquoi fractionner ? Pourquoi ne pas lister in extenso ?

      Pour un contenu de type ’article’, j’ai jamais apprécié le découpage en page d’un article sur le web : J’ai compris pourquoi j’aimais pas quand Anne-Sophie Fradier a fait l’analogie qui me manquait lors de sa conférence « La macrotypographie de la page Web » (<http://www.dailymotion.com/video/xfpf08_la-macrotypographie-de-la-page-web-anne-sophie-fradier_tech>) à Pariweb en 2010 : Le #Volumen vs le #Codex...

      Quand il s’agit de listes, on fractionne le plus souvent pour des questions de performances. Derrière l’affichage d’une liste d’items, il y a généralement un accès à une base de données : Lister in extenso, c’est remonter un nombre qui peut être très volumineux d’entrées. une liste de 2000 items, associés chacun à une photo, ça peut être très lourd, par exemple. Je ne vois que cet argument en plus de l’atavisme ("On a toujours fait comme ça, les utilisateurs ne s’en plaignent pas") Cependant, j’ai rien contre le fait que des gens cherchent à améliorer l’interface, du moment que ça reste accessible... :)

    • @baroug Pour le scroll par unités discrètes, on peut penser à des choses comme sausage.js (il y en a d’autres du même genre) : http://christophercliff.com/sausage/examples/couchdb.html ou http://christophercliff.com/sausage/examples/basic.html (scroll infini). Le mieux serait d’arriver à se brancher (et d’augmenter) sur le composant natif d’interface de « scroll » du périphérique (pas possible pour l’instant).

      @tetue & @james : J’adore la pagination, surtout quand « le client » exige ensuite une possibilité de tri sur le contenu paginé... :)

      @james : quand tu dis

      du moment que ça reste accessible

      c’est « accessibilité » au sens « a11y » ? Tu penses aux soucis d’accessibilité du « lazy loading » (scroll infini) ?

      @fil : Oui, mais si j’ai envie de payer :) ? Et financer une publication sur les utilisateurs d’une certaine marque de périphériques, ça me semble un peu bancal et court-termiste. Désolé pour la tirade plus haut, d’autres l’ont déjà dit, et mieux.

    • @james : oui :) mais… pourquoi remonter une liste de « 2000 items » ? c’est pas humain !

      Si, au lieu de l’en extraire brut, on organise (en catégorisant) le contenu de la base de données pour le présenter à des internautes (dans un site avec des rubriques), la pagination est souvent inutile, voire dommageable (combien de fois on ne percute pas qu’il y avait une seconde page, loupant du contenu ? pourquoi ne pas tout présenter à l’écran au lieu de cacher les choses et faire chercher l’internaute ?).

      La pagination répond à un besoin spécifique (nombreux résultats de recherche, flux des tweets, etc.). Encore que, ça s’interface mieux autrement, par exemple en scroll infini, mais à la demande (commandé volontairement par l’utilisateur via clic), surtout automatique.

    • par exemple dans un moteur de recherche, plutôt qu’une pagination sur 1000 résultats, je préfère donner les 50 meilleurs et des suggestions pour « affiner la recherche », lesquelles iront chercher éventuellement d’autres résultats

    • Ouais, mais dans le cas de grosses bases de données, tu peux jamais être sur, en dépit de la meilleure organisation du monde, et des critères les plus pertinents, que ce que cherche l’internaute n’est pas le 2000e résultat ; auquel cas le scroll infini serait atroce et un choix limité… limité. Il faut une solution qui permette simultanément une meilleure interface et l’accès préservé à tout le contenu.

    • @Fil : oui, carrément. En pratique, on sait bien que seuls servent les 10 ou 20 premiers résultats. Inutile donc d’en servir plus par defaut, mais pourquoi pas à la demande.

      @Baroug : oui pour réfléchir à une « meilleure interface et l’accès préservé à tout le contenu » pour chaque cas :)

    • @tetue :

      pourquoi remonter une liste de « 2000 items » ? c’est pas humain !

      La catégorisation dont tu parles n’est pas toujours faite ni souhaitée par le lecteur. Ce serait un peu rapide de dire que « tout dépend de l’usage », mais j’ai pas mieux pour le moment. De plus, quand elle est faite, c’est à un instant donné et si le site est vivant, la volumétrie des contenus croît et la taille des listes catégorisées augmente. On peut se retrouver avec le même problème et sans avoir prévu de système de pagination : CQFD.

      D’où le besoin de paginer :)

      L’alternative serait de réviser la catégorisation en permanence, en fonction des volumes et des besoins des lecteurs : ça nécessite la mise en place d’un algorithme sémantique assez costaud, mais il faudrait peut-être disposer des moyens de google pour cela, ou bien d’avoir un documentaliste à disposition pour faire ce travail. Et là, « tout dépend des ressources dont on dispose »... :p

      Peu importe comment c’est présenté à l’écran (série de liens visibles, dynamisme de la page, ajax, « scrolling machin », tout ce qu’on peut imaginer est bon à prendre) et quel moyen on offre au lecteur pour éventuellement voir la suite du moment que c’est prévu et utilisable.

      Ma conclusion, c’est que le mécanisme de pagination reste essentiel mais que c’est très intéressant de chercher à en réinventer l’interface.

      @0gust1 : par accessible, j’entends simplement que le contenu d’un document doit être accompagné d’un moyen d’accéder au reste de l’information si elle n’est que partiellement affichée. Je n’y connais rien en terminologie (et ça ne m’intéresse pas trop d’entrer dans une discussion jargonneuse). Ce moyen d’accès peut être multiple et de n’importe quel type, comme dit plus haut.

    • même commentaire sur “The Daily” chez Benoît Raphael
      Les vraies raisons de la mort de "The Daily" - La social NewsRoom
      http://www.benoitraphael.com/les-vraies-raisons-de-la-mort-de-the-daily

      la plus grosse erreur de The Daily, ce n’est pas tant sa publication sur iPad que son budget. C’est d’ailleurs le principal handicap des publications à l’ancienne qui peinent à trouver un modèle sur le digital : leur structure de coûts, c’est à dire leur organisation et leurs process, ne sont pas adaptés à ce nouvel écosystème.

  • Livre gratuit : les meilleurs sites pour télécharger des livres en Français
    http://www.applicanet.com/2011/06/9-sites-pour-telecharger-gratuitement.html #ibook #livre_numérique

    Le moyen le plus efficace pour s’approprier de la culture est de lire les livres, celui-ci a pu résister durant des siecles à tous les autres moyens qui ont essayé de le remplacer mais vainement. Le secret de cette résistance farouche est du à sa capacité de s’adapter avec le développement de la technologie moderne qui a engendré ce qu’on appelle le livre électronique désigné aussi par le e-book. Il s’agit d’un livre en plusieurs formats tels que PDF ou ePub qu’on peut lire facilement sur l’écran. Cette nouvelle forme de livres connait une expansion considérable et on y fait recours de plus en plus sans pour autant remplacer le livre en papier.

  • Rentrée numérique (édito du Numéritérature Magazine 4) [2/2]
    http://numeriterature.com/2012/11/11/rentree-num-edito
    Le texte suivant est issu du Numéritérature Magazine n°4, que vous pouvez téléchargez ici :
    https://dl.dropbox.com/u/105552139/Numeriterature_Magazine_N4.epub

    Je suis ainsi très heureux de voir sans cesse progresser le nombre de téléchargements du magazine (allant même du simple au double entre le n° 2 et le 3 !). Aussi, pour cette quatrième itération, j’ai la joie de vous dire que nous n’avons jamais été autant à œuvrer pour votre bon plaisir. En effet, j’ai pu réunir ici pas moins de dix contributeurs ! Et laissez-moi d’ailleurs vous faire un petit tour du « propriétaire » :

    • Rentrée oblige, et alors que nous avons entre autre vu apparaître récemment la déjà fameuse BicTab (tablette conçue par la marque Bic, et spécifiquement destinée au milieu scolaire), il m’est apparu important d’investiguer un peu la question du numérique à l’école . Ainsi, Laurence Bee, dans un amusant mais néanmoins pertinent billet d’humeur, s’interroge : « c’est pour quand la rentrée numérique ? » Partant du constat que l’école ne s’est malheureusement pas encore mise à l’heure de la dématérialisation. Et verdict assez semblable de la part de Pascal Balancier, spécialiste en e-learning auprès de l’Agence Wallonne des Télécommunications, qui s’intéresse plus particulièrement aux manuels scolaires numériques et à leur contenu. Tous deux proposent donc un petit état des lieux et nous offrent des pistes d’avenir, tant la question de l’école numérique reste aujourd’hui totalement ouverte.

    • Le dossier du mois est consacré à l’ auto-édition , ou plutôt aux auto-édités, a qui nous donnons la parole (car qui mieux qu’eux pour nous en apprendre sur le sujet). Et si le phénomène n’est certes pas apparu avec le numérique, il a pris avec celui-ci une tout autre envergure. Ce thème a donc pleinement sa place dans le présent magazine, où nous tenterons de l’aborder sans préjugés ni tabous. Ainsi, Chris Simon a lancé un appel à témoignages aux auteurs auto-publiés, et nous livre le premier entretien qui en a résulté. Cela non sans que je la soumette à pareil exercice, elle qui se trouve également concernée par la question…

    • Sans affectionner particulièrement les sempiternels « conflits » papier/numérique – dont je comprends qu’il peut en agacer plus d’un – j’ai tout de même voulu rendre ici ce qu’a été l’un des grands débats du mois de septembre, je veux parler de celui susciter par le fameux « Appel des 451 » . Lequel mérite d’être lu autant qu’entendu ; à ce titre, vous le retrouverez dans les pages mêmes de ce magazine. Tout autant qu’il sera utile et pertinent de lire les nombreuses répliques qu’il a pu provoquer, cela sous la plume de certaines figures du monde de l’édition numérique : Jeff Balek (En réaction aux arguments des « anti-numériques »), Jean-Louis Michel (« Attention, ce que vous allez lire n’est pas un gag… »), Thomas Galley (L’Appel des 451 ou le besoin de taper de celui qui a peur), Jean-Basile Boutak (Et si on tendait la main aux 451 ?). Une intéressante réponse en a également été donné par Lorenzo Soccavo (“Appel des 451”, mais combien sont-ils à freiner dans le virage ?) , que vous retrouverez dans ses célèbres réflexions hebdomadaires sur la lecture en notre temps (cinq semaines de doutes et de lutte…).

    • Ne manquez pas non plus dans ce numéro une brève mais néanmoins intéressante interview de Marie Potvin (laquelle n’est plus à présenter). On doit l’entretien à Rachel Graveline, que je suis heureux de voir à nouveau participer à l’élaboration de ce magazine. Elle m’a d’ailleurs aidé à concevoir la Sélection du mois, nouvelle rubrique où vous retrouverez une présentation d’un certains nombres d’ebooks méritant d’être mis en avant. Vous découvrirez notamment parmi eux un titre des éditions de L’Aurore, jeune acteur numérique que je vous offre de découvrir plus en détails…

    • Tout numéro du Numéritérature Magazine ne pourrait être complet sans vous offrir une œuvre en cadeau. Et vous serez cette fois-ci doublement chanceux, puisque de bonus vous en aurez deux ! Oui, vous avez bien lu, pas moins de deux nouvelles : « Complexe d’Œdipe » et « Cauchemar » ! Celles-ci sont signées par une charmante personne qui se fait connaître sous le nom de Morgause… Et si vous êtes intrigués par ce pseudonyme, vous n’avez encore rien vu ! Car plane sur ses textes un climat révuls-émoustillant, parfois glauque, et mystérieux… Oui, mystérieux…

    • Enfin, sur l’aspect technique de cet ebook – puisque j’aime parler de mon magazine comme d’un logiciel informatique – vous devriez voir une certaine amélioration de la « mise en page ». En fait, un plus grand soin apporté à l’aspect typographique. Car n’exagérons rien, les limitations du format ePub, et la nécessité de garder suffisamment « inter-opérable » ce magazine (c’est-à-dire lisible et cohérent quel que soit le support ou l’application de lecture), m’ont empêché d’aller aussi loin que je l’aurais voulu. En tout cas pour l’instant…

    Une autre chose est que j’ai voulu privilégier autant que possible les liens internes au magazine , réduisant ainsi au strict nécessaire ceux renvoyant vers internet. Dans cette optique, il m’est apparu essentiel de clairement distinguer les premiers des seconds. Vous pourrez donc reconnaître les redirections vers la grande Toile en ce qu’elles sont uniquement représentées et accessibles par le mot « web », en exposant.

    Ceci me semble d’autant plus important que j’inaugure dans ce numéro un système de « tags » internes (par exemple : entretien, article, billet d’opinion) . De même que vous verrez certaines innovations dans le répertoire des sorties numériques (lequel pourra être consulté par éditeur ou encore par échelle de prix…). Vous trouverez donc de quoi vous balader – et peut-être vous perdre, quoique – dans les méandres de ce magazine !

    Sur ce dernier thème, je me rappelle de cette phrase extrêmement pertinente issue d’un entretien avec les responsables d’Édicool : « Qu’est-ce qu’un eBook ? Rien de plus qu’un site internet embarqué » . C’est très vrai ! Et un livrel, davantage que de se faire une sorte d’excroissance du net, doit savoir aussi tisser son propre réseau, en lui-même. Développer l’intraconnexion et toutes ses possibilités, avant de songer au « livre connecté ». Comme un mini-web distinct du Web… Car une vertu du livre ou de la liseuse, c’est-à-dire de l’objet-lire, est justement de détacher la lecture de toute distraction, et détacher le lecteur de son environnement immédiat

    Sur ce : recevez mes salutations numériques et bonne lecture !

    #Numéritérature #Magazine #Édito #eBook

  • Rentrée numérique (édito du Numéritérature Magazine 4) [1/2]
    http://numeriterature.com/2012/11/11/rentree-num-edito
    Le texte suivant est issu du Numéritérature Magazine n°4, que vous pouvez téléchargez ici : https://dl.dropbox.com/u/105552139/Numeriterature_Magazine_N4.epub

    Vous me direz qu’elle est un peu tardive, cette rentrée. Certes… Mais pour ma défense, je prétexterai que le temps numérique n’est pas celui de l’ancien monde. Il n’y a plus de « temps », ou plutôt il y a « tout le temps », dans l’ère virtuelle. Chaque publication numérique jouit d’une certaine intemporalité ; l’âge n’aura guère de prise sur elle, son « stock » – inexistant, en réalité – jamais ne s’épuisera, et point de pilon pour les ebooks. Même la date de sortie d’un livre électronique importe peu. Car celui-ci est toujours susceptible d’être renouvelé. Et c’est l’affaire d’une seconde, d’un clic, sans même que le titre en question ne se voit retiré des « étales » de téléchargement… Une coquille ? Modifié ! Un addendum ? Ajouté ! Une hésitation ? Repenti ! … Il n’y a ainsi plus d’éditions successives, en numérique. Tout au plus des mises à jour, mais transparentes. C’est une forme de permanence de la numéricité . Et on pourrait aussi parler de « viralité ». Car de même que la diffusion électronique est infinie dans le temps, elle est infinie dans l’espace. Et tout ce qui a été mis sur la toile ne peut pratiquement plus en être retiré. C’est la fameuse immortalité du Réseau, dont le moindre élément est une sorte de Phoenix toujours susceptible de renaître de ses pixels… Une pérennité, soit dit en passant, qui sera d’autant plus forte si l’ebook n’a pas été stupidement verrouillé par des DRM ou encore enfermé dans un format obscur…

    Au rang des métiers ou pratiques menacés par l’informatisation, on pourrait donc aussi placer la bibliophilie … Je m’étais d’ailleurs posé la question, peu après la sortie du numéro précédent : une œuvre numérique pourrait-elle être collectionnée ? Les premières parutions du Numéritérature Magazine, par exemple, ne sont aujourd’hui plus guère les mêmes qu’au moment de leur mise en ligne. Elles n’ont plus la même couverture, certaines erreurs qu’elles contenaient ont été corrigées, etc. On pourrait ainsi dire de ces versions qu’elles sont « collectors », si tant est que cela est du sens pour ce qui concerne des fichiers informatiques. Il serait peut-être intéressant de mentionner d’une façon ou l’autre les modifications apportées, soit dans le nom de l’ePub (Numeriterature_Magazine_N1_v3), soit plus discrètement dans les méta-données, soit encore en une page dédiée de la publication (qui reprendrait dans le détail l’historique des changements)… Quoiqu’il puisse en être, je lance un avis aux premiers lecteurs de ce quatrième numéro : soyez bien attentifs, conservez précieusement votre « exemplaire », car il se pourrait que vous discerniez des éléments qui ne s’y trouveront bientôt plus. Et s’il s’agit de coquilles gRoSsières, d’hideuses phôtes d’ortaugrafes , j’espère que vous ne manquerez pas de m’en aviser !

    Tout ça pour dire qu’il ne saurait y avoir de rentrée littéraire numérique, en tout cas pas à l’instar de ce qui se déroule dans le monde du papier. Et concernant ce magazine, en format ePub, que peut et doit-il être ? C’est toujours une question. Une revue électronique se devrait-elle d’avoir une périodicité clairement établie ? Certes, Numéritérature Magazine est un mensuel. Mais doit-il paraître au début, au milieu, à la fin du mois ? Ce point est-il d’ailleurs pertinent, en numérique ? Car il n’y a pas ici à se rendre au kiosque du coin pour demander fébrilement si le dernier numéro est déjà sorti. Ni même à savoir s’il reste des exemplaires disponibles. Toute personne, pour autant qu’elle soit connectée et porte un peu d’intérêt à notre projet, saura en temps et en heure que le Numéritérature nouveau est arrivé… Bien sûr, cela ne doit pas nous dispenser d’être professionnels et sérieux. Mais l’édition numérique – Numéritérature Magazine y compris – se trouve encore, si j’ose dire, en chantier. Édifice, d’ailleurs, que de plus en plus de monde vient observer, voire admirer. Et auquel un nombre tout aussi grandissant de personnes contribue.

    #Numéritérature #Magazine #Édito #eBook

  • Pour un droit au partage des livres numériques | : : S.I.Lex : :
    http://scinfolex.wordpress.com/2012/11/08/pour-un-droit-au-partage-des-livres-numeriques

    dans le domaine du livre numérique qu’il faut d’urgence reconnaître un droit au partage non-marchand entre individus associé à de nouvelles rémunérations et financements, faute de quoi le déploiement massif des DRM et la guerre au partage feront régresser tragiquement les droits des lecteurs - et parmi eux des auteurs - même par rapport aux possibilités du livre papier.

    (...)

    Par ailleurs, je souscris à l’appel que Philippe Aigrain adresse aux « éditeurs équitables » de s’emparer de la question du partage en ligne des oeuvres, car c’est un des points essentiels de la recomposition du pacte de lecture entre les auteurs, les éditeurs et les lecteurs.

    #édition #ebooks #hadopi

  • EU about to close eBook probe - Apple and publishers back down | TechEye

    cc @fil

    http://news.techeye.net/software/eu-about-to-close-ebook-probe
    07 Nov 2012 09:37 | by Nick Farrell in Rome | Filed in Software

    An EU anti-trust watchdog has stopped growling at Apple and four publishers after they agreed to ease price restrictions on Amazon.

    The move is a victory for Amazon which wanted to sell e-books cheaper than its rivals.

    A spokesman at the EU insisted that its investigation was not yet finished, but Reuters insisted that it was done and dusted. An official announcement is expected next month.

    It looks like the EU accepted a deal from Apple and the publishers to let retailers set prices or discounts for a period of two years, and also to suspend “most-favoured nation” contracts for five years.

    #publications-electronique #ebook #internet #e-publication #europe

  • [#Ebook] Hackers, bâtisseurs depuis 1959 | Sabine Blanc et Ophelia Noor
    http://owni.fr/2012/11/08/ebook-hackers-batisseurs-depuis-1959

    OWNI Editions publie aujourd’hui Hackers, bâtisseurs depuis 1959. Une rétrospective accessible qui revient sur plus d’un demi-siècle de l’histoire du hacking en soulignant la richesse de son apport technique, indissociable d’une éthique. Un ouvrage préfacé par Mitch Altman, co-fondateur du hackerspace de San Franciso Noisebridge.

    #Activisme #Pouvoirs #bâtisseurs_depuis_1959 #ebook #édition_numérique #hackers #photojournalisme

  • #Open_Source Strategies for the Enterprise « SpagoWorld Blog
    http://www.spagoworld.org/blog/2012/10/open-source-strategies-for-the-enterprise

    • identification of different layers of community, pointing out that a community is not an “indistinct term”
    • insight into the relations acting inside communities and the synchronization of interest of many parties as the driving force of a community
    • reflection on “where values come from open source” and his final word on the open core business model
    • final conclusion: “your best community collaboration strategy is to trade control for influence”.

    #ebook #communauté

  • #ePub Reader Software
    http://www.jedisaber.com/eBooks/Readers.shtml

    the best ePub reader:

    For Windows: Digital Editions for it’s management functions and excellent ePub format support. (Sony Reader is a good choice as well.)
    OS X: Digital Editions, Azardi, Calibre, or Bookworm
    first gen iPhone/iPod Touch: Stanza or Bluefire
    iPad/current iPhone/iPod Touch: iBooks
    Android: Aldiko/Bluefire/CoolReader
    Linux: CoolReader/Azardi/Bookworm

    Best ePub editor:
     For converting from one eBook format to another: Calibre
     For converting raw source documents to ePub: Atlantis
     For making nit-pickingly clean ePub books that look just how you want them to look: eCub/Sigil
     For editing existing ePub books: Sigil

    #ebooks

  • A Book Apart, Content Strategy for Mobile
    http://www.abookapart.com/products/content-strategy-for-mobile

    You don’t get to decide which platform or device your customers use to access your content: they do.

    Mobile isn’t just smartphones, and it doesn’t necessarily mean you are on the move. It’s a proliferation of devices, platforms, and screensizes — from the tiniest “dumb” phones to the desktop web. How can you be sure that your content will work everywhere, all the time?

    http://cdn.shopify.com/s/files/1/0051/7692/products/CSfM-feature_1024x1024.jpg?52

    (je l’ai acheté) #livre #ebook #mobile

  • An Open Letter to E-Book Retailers: Let’s have a return to common sense | The Passive Voice
    http://www.thepassivevoice.com/10/2012/an-open-letter-to-e-book-retailers-lets-have-a-return-to-common-sen

    If retailers are saying that only the user who owns the account can read the books, then isn’t it a contradiction that they’re also selling picture books intended for little children who don’t have credit cards with which to purchase those books?

    #ebooks #drm

  • Adaptive Content Management | Journal | The Personal Disquiet of Mark Boulton
    http://www.markboulton.co.uk/journal/adaptive_content_management

    A writer may use IA Writer, Notepad or Apple Pages. But most likely, they’ll be using Microsoft Word. They’ll create the content, edit it, save it, re-edit, print it and scribble all over it, get it reviewed, talk about it, throw it away, re-write it. Once they’ve done all of this, they’ll need to publish it – or maybe they’ll just need to put it in the editorial workflow for review. To do that, they generally copy and paste paragraphs into the CMS. They’ll then need to fill in all of these other required fields: some meta data, pick some categories, a 140 character standfirst, a standfirst for the mobile display, upload some images, but damn, they forgot to crop them.

    You get the idea. And so it goes on. Publishing content with a content management system is a royal pain in the arse. Almost without exception.

    Ouep.

  • À télécharger… Numéritérature Magazine N°4 !
    http://numeriterature.com/2012/10/22/a-telecharger-numeriterature-magazine-n4

    J’y ai mis le temps mais le voici enfin ! Et il valait bien la peine d’attendre un peu, tant ce quatrième numéro me paraît plus riche et innovant que jamais … À vous de juger, d’ailleurs ! Téléchargez-le donc gratuitement :

    Numéritérature Magazine [N°4].epub -> https://dl.dropbox.com/u/105552139/Numeriterature_Magazine_N4.epub

    Pour lever un coin du voile, j’y ai réuni un nombre inégalé de collaborateurs ! Nous sommes en effet pas moins de onze personnes à avoir œuvré pour vous rendre ce numéro le plus pertinent possible. Outre Chris Simon, Rachel Graveline et Lorenzo Soccavo — qui furent déjà de l’aventure lors de la publication précédente — vous retrouverez aussi cette fois Jeff #Balek, #Jean-Louis_Michel, #Thomas_Galley, #Jean-Basile_Boutak, #Laurence_Bee, et #Pascal_Balancier ! Excusez du peu ;-)

    Je ne pourrais oublier de mentionner aussi Morgause, qui nous fait le privilège d’être l’auteure bonus du mois ! Elle nous offre d’ailleurs deux nouvelles : « Complexe d’Œdipe » et « Cauchemar » ! J’encourage à les lire sans plus attendre, car vous verrez qu’elles sont particulièrement étonnantes…

    Enfin, ce que je peux dire pour vous mettre encore l’eau à la bouche, c’est qu’apparaît dans ce numéro une nouvelle rubrique : la Sélection du mois (qui, comme son titre l’indique, met en avant quelques ebooks à ne pas rater) . En termes d’articles, nous proposons un dossier sur l’auto-édition (où les auto-édités ont la parole), nous reprenons le fameux débat autour de "L’appel des 451" , nous abordons la question du numérique à l’école , nous interviewons Marie Potvin , et bien plus encore ! À noter que le Répertoire des sorties innove, vous offrant de consulter les parutions en vrac, par éditeur, ou… par ordre de prix… ;-)

    #Numéritérature #Magazine #eBook #ePub #Livrel #Gratuit

  • Sourcefabric | Superdesk & Booktype
    http://www.sourcefabric.org/en/superdesk
    http://www.sourcefabric.org/en/booktype

    Open software for managing newsrooms and their content.
    One of the biggest challenges for independent media organisations is finding a publishing system that can deliver to all print, broadcast and digital platforms; the cost for those not tied to big business or political interests is prohibitive. Superdesk is an open source newsroom tool that ensures media organisations are free to define their own type of newsroom organisation, content delivery and business strategy. It has been built by journalists, for journalists, with the aim of helping the media business towards financial sustainability.

    #ebook #cms #logiciel_libre

  • L’alliance de Google avec les éditeurs (1) : les enjeux, les accords | Jean Pérès (Acrimed)
    http://www.acrimed.org/article3915.html

    Le 11 juillet 2012, le Syndicat national de l’édition (SNE), après cinq ans de négociations, signait avec Google un accord-cadre dont les termes sont tenus secrets. Tout laisse à penser qu’il est très avantageux pour les deux signataires, mais qu’il l’est beaucoup moins pour les auteurs et les bibliothèques (c’est-à-dire, entre autres, les lecteurs les moins fortunés). Le 4 octobre 2012, cinq membres éminents de l’Association of American Publishers (AAP) signaient à leur tour, après sept ans de négociations, un accord avec Google, également secret, mais dont le peu que nous en savons indique qu’il s’inspire largement de l’accord passé en France. Avec les mêmes probables effets. (...) Source : Acrimed

    • L’enjeu culturel du projet dont Google a pris l’initiative - la réalisation d’une base de données contenant la majeure partie du patrimoine livresque mondial ‘- se double d’un enjeu juridique de taille, celui portant sur les droits d’auteur, c’est-à-dire la propriété intellectuelle, et d’un enjeu démocratique : qui aura accès à ce patrimoine et dans quelles conditions ? Lequel se confond largement avec un enjeu économique portant sur la gratuité ou la commercialisation de l’accès à ce patrimoine, et à l’intérieur de cette commercialisation, sur la place des divers prétendants aux prévisibles profits d’un tel commerce.