Les #livres électroniques format Kindle maintenant disponibles dans les #bibliothèques américaines. A priori une bonne chose, mais le dernier paragraphe révèle que les gros éditeurs commencent à aborder la mentalité d’assiégé des majors du disque.
In the case of Harper Collins, the company has stipulated that its books, once purchased by a library, can only be made available for 26 loans, before being erased permanently.
Chiffre qui doit correspondre au nombre moyen de prêts avant qu’un vrai bon livre en arbre mort ne se détériore et que la bibliothèque ne rachète le titre, mais c’est assez déprimant de les voir s’accrocher à la négation de la nature même de l’e-book.
BBC News - Kindle gets library book lending
►http://www.bbc.co.uk/news/technology-13155967
What Books Will Become
►http://www.kk.org/thetechnium/archives/2011/04/what_books_will.php
Kevin Kelly, toujours à fond, cette fois sur les #ebooks :
books never really wanted to be telephone directories, or hardware catalogs, or gargantuan lists. These are jobs that websites are much superior at — all that updating and searching — tasks that paper is not suited for. What books have always wanted was to be annotated, marked up, underlined, dog-eared, summarized, cross-referenced, hyperlinked, shared, and talked-to. Being digital allows them to do all that and more.
et sans doute une piste pour #seenthis dans ce passage :
Reading becomes more social. We can share not just the titles of books we are reading, but our reactions and notes as we read them. Today, we can highlight a passage. Tomorrow we will be able to link passages. We can add a link from a phrase in the book we are reading to a contrasting phrase in another book we’ve read; from a word in a passage to an obscure dictionary, from a scene in a book to a similar scene in a movie. (All these tricks will require tools for finding relevant passages.) We might subscribe to the marginalia feed from someone we respect, so we get not only their reading list, but their marginalia — highlights, notes, questions, musings.
un passage sur #wikipedia comme premier exemple de livre lu et écrit collectivement :
Wikipedia is the first networked book. (...) Wikipedia is a book that is not only socially read, but socially written
mais finalement un livre ne serait qu’un gros site Web plein d’hyperliens ? non :
A book is an attention unit. A fact is interesting, an idea is important, but only a story, a good argument, a well-crafted narrative is amazing, never to be forgotten. As Muriel Rukeyser said, “The universe is made of stories, not atoms.”
Comment lire un #livre // Subtraction.com : An Illustration for Stack America
►http://www.subtraction.com/2011/03/28/an-illustration-for-stack-america
in February I wrote a blog post called “Unnecessary Explanations,” citing the preponderance of explanatory screens for iPad magazines and other iPad apps as a sign of poorly executed user experience design. Andrew suggested to me I could parody the concept of instructional screens altogether by creating an illustration of an instructional screen for a print magazine, and after the two of us riffed on this idea over email for a while, we came up with this.
►http://www.subtraction.com/abm_images/2011-03-28-stack-america.png
Moteurs de recherche d’#ebooks (via @reka) :
►http://www.neotake.com
►http://luzme.com
►http://leatherbound.me
Environnement personnel professionnel de l’enseignant « Veille et Analyse TICE
►http://www.brunodevauchelle.com/blog/archives/825
Cet article sur les outils numériques pour l’#enseignement (repéré par @owni) indique bien qu’il y a inadéquation entre l’offre des éditeurs et les besoins des profs. Qui pourrait être comblé par des "sites mutualistes" ?
Il semble que ce soit à la frontière de l’informel et du formel que se développent actuellement les initiatives les plus prometteuses. (...) Artisan plus que profession libérale, l’enseignant (...) est en train de se forger des instruments, seul ou en groupe, dont il y a fort à parier qu’ils sauront mieux répondre à leurs besoins que toutes les initiatives institutionnelles…
Tim O’Reilly on Piracy, Tinkering, and the Future of the Book - Jon Bruner
►http://blogs.forbes.com/jonbruner/2011/03/25/tim-oreilly-on-piracy-tinkering-and-the-future-of-the-book
Tim O’Reilly has turned O’Reilly Media into a $100 million publishing powerhouse by correctly forecasting the tech industry’s movements. He spoke with me on March 14 for a Q&A interview that appears in the April 11 issue of Forbes magazine in abridged form. This is the full transcript of the interview.
#CSS, #ePub et la #typographie du livre électronique | L’édition électronique ouverte
►http://leo.hypotheses.org/1733
plein de bons conseils pour formatter des #ebooks
Césure, paged media…
L’écrivain Thierry Crouzet explique dans plusieurs articles comment éditer des #ebooks :
D’abord, utiliser des styles :
►http://blog.tcrouzet.com/2010/08/02/imprimeur-epub
Petit guide de conversion vers #epub
►http://blog.tcrouzet.com/2010/10/04/texte-vers-epub
Comment publier sur Apple iBookstore
►http://blog.tcrouzet.com/2010/09/10/comment-publier-sur-apple-ibookstore
et un exemple à partir de Giono :
►http://blog.tcrouzet.com/2010/07/28/le-petit-livre-de-la-revolution
(via @realet)
A viable and just business model for the ebook age | Norman Spinrad At Large
►http://normanspinradatlarge.blogspot.com/2011/03/viable-and-just-business-model-for.html
Norman Spinrad toujours excellent analyse la nouvelle économie des #ebooks et du livre en général :
What goes around comes around, and the brick and mortar bookstore chains having decimated the independent bookstores, are now disappearing themselves
... et défend le format #ePub, non pas pour ses qualités techniques, mais pour son caractère politique : il s’agit d’une plateforme technologique « de base » utilisée partout :
But Barnes & Noble chose the ePub format for its ebooks and that is an open standard, and not just for the Barnes & Noble line and its Nook. The Nook will read a few other open formats as well, and most of the other ereaders will read ePub books. So here we have two strong but quite different business models competing—the vertical monopolies of Amazon/mobi/Kindle/ and I-Pad/ Apple and the open market format based on ePub and semi-universal ebook readers.
And together, they are changing the power relations between writers and publishers ultimately in favor of the writers, to the point where if publishers don’t change the ebooks rights clauses in their contracts, they will be committing seppuku.
L’avenir du livre : une parodie de la vision techniciste
►http://www.mcsweeneys.net/2011/3/24warner.html
(de @archiloque) #ebooks
Ma liseuse et le web. Questions sur l’#epub | Rumor
►http://rumor.hypotheses.org/1503
Eric Verdeil, lecteur d’#ebooks, parle de ses usages et préférences :
les fichiers PDF directement mis en A5 avec une fonte de type 14 sont formidables à utiliser sur la liseuse. De nombreux ouvrages de la bibliothèque électroniques du Québec par exemple suivent ce format, bien commode.
►http://beq.ebooksgratuits.com
Les contorsions pour récupérer des formats exploitables ont l’air assez pénibles.
#Calibre est très pratique notamment pour ré-éditer les #métadonnées (titre, auteur, date) qui ont tendance à être de mauvaise qualité (parce que mal déclarés dans tous ces fichiers).
La numérotation des paragraphes de lodel est une bonne idée mais la réalisation agaçante :
au début de chaque paragraphe, on trouve un numéro, celui affecté par Lodel afin de disposer d’un repère. Pas très joli, même si au fond, l’idée de ce numéro pour remplacer les numéros de page typique du papier est bonne.
sans compter l’habituel bug de #readability
tableaux ou des images : ces illustrations disparaissent. On perd aussi, mais pas tout le temps, les intertitres de différents niveaux, les notes et la bibliographie.
et enfin sur les notes dans la marge, qui du coup se mettent au milieu du texte :
scorie issue là aussi des choix d’affichage de Revues.org, s’intercalent entre les paragraphes les débuts des notes qui, dans Lodel, s’affichent en marges.
Le numérique, notre démarche - Le Bloc-notes de Lekti-ecriture.com
►http://www.lekti-ecriture.com/bloc-notes/index.php/post/2011/03/25/Du-numérique-au-papier-une-gageure
Lekti a accepté il y a maintenant deux ans d’être agrégateur numérique pour la #Bibliothèque_nationale de France, s’engageant à numériser et à diffuser sur #Gallica le catalogue d’éditeurs indépendants qui en feraient la demande.
L’une des spécificités de Lekti est également d’avoir internalisé l’ensemble des processus de #numérisation. Il semble que nous soyons l’une des seules structures en France (la seule ?) à ne pas faire appel à de la sous-traitance. La numérisation des livres physiques est effectuée par nos soins dans notre « salle noire », sans détruire les livres (oui, oui !), nous savons encore ouvrir de très vieilles maquettes #xpress qui ont plus de dix ans d’âge, et nous sommes capables de produire en sortie, selon la volonté de l’éditeur, des #pdf balisés ou des #ePub, qui se rapprochent le plus de la maquette « papier ».
Reader d’#ebook : ce que lecteur veut | Hervé Bienvault
►http://owni.fr/2011/03/28/reader-ce-que-lecteur-veut
micro-enquête sur les lecteurs d’#ebooks au salon du livre.
les lecteurs adhèrent maintenant très fortement à l’#ePub. Si certains voulaient encore des #PDF pour la qualité des présentations, ils se rendent compte maintenant que lire de l’ePub est bien plus pratique et pérenne pour constituer des bibliothèques. D’autre part, c’est plus sur les façons dont les livres sont conçus que le débat se porte et c’est finalement rassurant que les lecteurs soient sensibles à la présentation de ce qu’on leur donne à lire. Et là, c’est vraiment pas bon pour certains éditeurs et lecteurs
(...)
Au final quelques recommandations :
– texte justifié impérativement.
– empagement avec 1.500/1.700 signes ; les gens veulent des mises en pages simples type livre de poche indiscutablement, quitte à grossir la police après coup par eux-mêmes s’ils le désirent.
– marges suffisamment larges (5 à 10 mm) et égales ; certains éditeurs font le choix de décentrer en laissant une marge plus importante à droite pour un folio, beaucoup de retours contre.
– blancs de tête et de pied (5 à 10 mm) également, il faut que ça respire !
– césures seraient appréciées pour éviter les blancs typographiques.
– éviter l’interlignage trop important.
– éviter les alinéas trop importants, 4/7 mm maxi ; certains font plusieurs centimètres, extrêmement gênants.
– polices à privilégier : des polices avec empâtements type Garamond/Plantin/ Minion par exemple côté propriétaires ; polices sans serif, Déjà Vu et Libération par exemple côté libres. Les gens réclament plus de choix de ce côté-là, type iBooks par exemple
On retrouve indiscutablement les caractéristiques des mises en page de #livre de poche.
Treesaver.js
►https://github.com/Treesaver/treesaver/wiki
#Treesaver is a JavaScript framework for creating #magazine-style layouts that dynamically adapt to a wide variety of browsers and devices. Designers use standards-compliant #HTML and #CSS for both content and design, no JavaScript programming is required.
Documentation :
►https://github.com/Treesaver/treesaver/wiki/Walkthrough
Je rajouterais volontier les tags : #interfaces #webdesign
8))
Amazon Gives Kindle Book-Swapping Service Lendle The Axe
►http://www.zooped.com/2011/03/21/amazon-gives-kindle-book-swapping-service-lendle-the-axe
Lendle était un site de partage des #livres sous #DRM d’#Amazon :
After signing up, the service prompted users to link their Lendle and Kindle accounts, which built a list of books that each user had available. Next, you’d search for whatever book you were looking for & the service would send a notification to a user that had that book available for loan, and they’d choose whether to give it to you for 14 days.
(...) Lendle was told by Amazon that the service was shut down because it doesn’t “serve the principal purpose of driving sales of products and services on the Amazon site.
(...) you may have just paid $10 for a novel, but you don’t really own it.
Une chouette liste de #font libres dans Rhino06
►http://www.fadebiaye.com/read/rhino/rhino06.txt
*Sélection de caractères libres ::::::::::::::::::::::::::::::: :
¶ Open Source
TitilliumText ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/TitilliumText
Nobile ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Nobile
Aurulent-Sans ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Aurulent-Sans
Lobster ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Lobster
Miama ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Miama
Vollkorn ►http://friedrichalthausen.de/?page_id=411
League Gothic ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/League-Gothic
Theano Didot ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Theano-Didot
OFL Sorts Mill Goudy ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/OFL-Sorts-Mill-Goudy
NotCourierSans ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/NotCourierSans
Crimson Text ►http://aldusleaf.org
Molengo ►http://code.google.com/p/molengo-fonts/downloads/list
Neuton ►http://www.dafont.com/neuton.font
Tangerine ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Tangerine
Fanwood ►http://www.theleagueofmoveabletype.com/fonts/17-fanwood
Cabin ►http://www.impallari.com/cabin
Quattrocento ►http://www.impallari.com/quattrocento
PT Sans & PT Serif ►http://www.paratype.com/public
Arvo ►http://files.korkork.com/index.php?/fonts/arvo
Lekton ►http://www.google.com/webfonts/family?family=Lekton&subset=latin
Crushed ►http://www.google.com/webfonts/family?family=Crushed&subset=latin
Buda d’Adèle Antignac ►http://www.google.com/webfonts/family?family=Buda&subset=latin
UNB Pro & Office (excellent fork of Liberation Sans) ►http://www.marca.unb.br/unbpro-guia.php
Tiresias ►http://www.tiresias.org/fonts/fonts_download.htm
¶ Copyleft
Hattori-Hanzo ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Hattori-Hanzo
St-Marie : ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/st-marie
Junction Regular ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/junction-regular
Share ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/Share-Regular
CPMono_V07 ►http://www.fontsquirrel.com/fonts/CPMono_v07
Neighbourhood ►http://andychung.ca/work/neighbourhood
Claus 1.0 ►http://www.silviolorusso.com/sito/index.php?/projects/claus-10
Fengardo de Loïc Sander ►http://www.akalollip.com/blog/?p=1673
Esos Tipos de la Utem ►http://esostiposdelautem.cl/fuentes
Bellafonte de Loïc Sander ►http://www.akalollip.com/blog/?p=2541
Polifile, produire des ePub de qualité : bienvenue
►http://polifile.fr
Polifile est un service en ligne pour créer des #livres numériques
de qualité au format ePub
Merci Fil, Sympa de faire connaître.
Pour l’instant, on a trop de béta-testeu(se)rs... c’est bon signe.
Un excellent papierde Pierre Ménard sur le service :
►http://liminaire.fr/spip.php?article1259
Hervé
MediaShift . How French Site OWNI Profits by Giving Away Its Content | PBS
►http://www.pbs.org/mediashift/2011/03/how-french-site-owni-profits-by-giving-away-its-content070.html
Grosse interview d’#OWNI. Un extrait à propos du business (mais il y a plein d’autres choses très intéressantes dans cet entretien : historique du site, position (a)politique…)
So you are set up as a #non-profit or #for-profit company?
Nicolas Kayser-Bril: 22Mars is for-profit, and we did not spin off OWNI as a non-profit organization from an accounting perspective. The website does not have to make a profit in the sense that we don’t make money from the #website. No subscriptions and no hidden advertisements. The value the website provides is in gaining expertise online that we can then share and sell to clients.
So your model is basically making money by developing websites and custom social media solutions? The site is more of a testing lab?
Kayser-Bril: Exactly. You could compare it to businesses in other industries. We might start selling online objects or other products in the coming months to have more high-margin products.
We will start selling #ebooks, which is a big driving force of 22Mars — we don’t sell #content but we sell products, because everyone knows content is abundant. What’s missing is a way to properly browse through it and consume it.
Five Filters
►http://fivefilters.org
en cherchant de quoi faire des #livres/#ebooks à partir du Web, je tombe (merci @arno) sur ce site (géré par Keyvan Minoukadeh). Lequel citant Edward Herman et Noam Chomsky vise à créer des technos qui favorisent la diffusion de médias indépendants :
The aim of this project is to encourage people to start exploring the world of non-corporate online news, websites which avoid the five filters of the propaganda model.
Le premier outil « Explore independent media » est marrant, de l’ordre de la performance artistique : on lui donne une dépêche d’agence, et il cherche dans une liste de sources d’infos indy des articles sur le sujet ; puis propose d’exporter ces articles vers un #PDF pour une lecture avancée.
►http://fivefilters.org/explore_independent_media.php
Il y a aussi Fulltext-RSS et PDF_newspaper ; qui permettent à partir d’un flux #RSS, d’extraire les articles complets (via #readability, qu’il a porté en #PHP et que j’ai désormais intégré dans #SPIP), puis de produire un PDF (via la librairie #TCPDF)
►http://fivefilters.org/pdf-newspaper
►http://fivefilters.org/content-only
Enfin #term_extraction permet d’extraire des concepts d’un texte (comme #OpenCalais sur #seenthis, mais en licence libre).
►http://fivefilters.org/term-extraction
Le modèle économique est sympa : c’est du libre, mais on peut payer (pas cher !) pour une version gérée en #SaaS.
Et puis :
We’re happy to help activists/anarchists/progressives set this up on their servers. For anyone else, please email for paid support.
C’est intéressant en effet.
Cet article rejoint cependant une problématique qui m’est chère : celle de la consultation des contenus recensés comme intéressants au cours d’une journée.
En ce qui me concerne, je suis de moins en moins intéressé par des extractions vers PDF, et beaucoup plus par les formats mobiles (et réexploitables) de type ePub et Mobi. Heureux possesseur d’un Kindle depuis Noël (merci Mamie !), je galère avec des PDF formatés en A4 et qui m’obligent à zoomer, scroller ou tenir le Kindle en mode paysage (moins pratique). J’imagine que le problème se pose pour la plupart des possesseurs d’ebooks.
Du coup, j’utilise Instapaper (►http://www.instapaper.com) comme agrégateur de contenu (j’envoie les articles qui m’intéressent vers mon compte directement depuis mon navigateur, avec un Bookmarklet type +Seenthis, ou depuis le lecteur de flux RSS NetNewsWire ou encore depuis l’appli officielle de Twitter sur iPhone), et je récupère le tout au format Mobi le soir pour lire ça sous la couette (il faut quand même en passer par la case téléchargement et transfert en USB de l’ordinateur vers le Kindle).
Serais donc preneur d’un flux SeenThis au format Mobi (ou ePub, la conversion se fait facilement)....
#epub #mobi #kindle #instapaper
Et un machin comme ça : ►http://www.phpclasses.org/package/6115-PHP-Create-ebook-in-EPUB-format-for-ex-Apple-iPad.html
Pour Plateformag, je me demande si je vais pas distribuer le pdf dans un flux podcast sur itunes (on a le droit) pour faire une lecture dans Ibooks mais la c’est pas le sujet
De la #PAO à la #PNI… | eBouquin
http://www.ebouquin.fr/2011/03/02/de-la-pao-a-la-pni…/
2011 sera “l’an 1 de la publication numérique interactive”. Les annonces logicielles ont été très nombreuses en 2010, leurs disponibilités se concrètisent en 2011. Dans l’ordre alphabétique (et la liste n’est pas exhaustive) : #Adobe, #Amazon, Aquafadas, OnlineLib, #Quark, Vjoon, Woodwing, etc.
(...) l’arrivée d’un nouveau matériel, l’#iPad d’Apple, a complètement changé la donne et pris de court les éditeurs de logiciel de PAO, les éditeurs de livres et les groupes de presse
Maurice G. Dantec jouera sans éditeur, ni poche, ni numérique ActuaLitté - Les univers du livre
►http://www.actualitte.com/actualite/24624-dantec-autoedition-ventes-ebooks-livre.htm
Sa notoriété lui permet aujourd’hui de s’autoéditer et cette nouvelle liberté n’a aucun prix
(via @mona)
Exactement le modèle Nabe.
Comme l’évoque un peu l’article, #Dantec (ou cet horrible #Kersan) en est encore à copier mot-pour-mot sur #Nabe. Pour qu’on parle encore un peu de lui ?... (et non de ses — basses — œuvres).
À noter que le #Ring de Kersan ironisait voir fustigeait la méthode lorsque le livre est sortie début 2010.
Il y en a qui ont la classe et le panache. D’autres pas.
A 26 ans elle devient milionnaire grâce au Kindle Store | Gizmodo
►http://www.gizmodo.fr/2011/03/01/a-26-ans-elle-devient-milionnaire-grace-au-kindle-store.html
A 26 ans seulement, une écrivaine est actuellement devenue millionnaire et continue d’alimenter sa fortune en vendant ses œuvres uniquement sur la plateforme Kindle. Amanda Hocking [...] arrive à vendre plus de 100 000 livres électroniques par mois, tout en conservant ainsi 70% des bénéfices.
C’est énorme, ça.
Tiens, une présentation super-grand public :
►http://www.youtube.com/watch?v=1qWOy4p4MvM
(J’adore comment le blondinet fait des pauses au milieu de ses phrases. Je vais faire pareil à partir de... maintenant. Ça va vachement... impressionner les... gens.)
(Au fait, hein, j’arrête Seenthis : je suis en train d’écrire un livre pour adolescents, là. En anglais, tant qu’à faire.)
C’est pas gagné :
[Amanda Hocking] pointed out another writer, J. L. Bryan, who was in almost every way, her twin. She says: “By all accounts, he has done the same things I did, even writing in the same genre and pricing the books low. And he’s even a better writer than I am. So why am I selling more books than he is? I don’t know.”
►http://www.kk.org/thetechnium/archives/2011/03/the_stars_of_10.php
J.A. Konrath - A Newbie’s Guide to Publishing: Piracy... Again
►http://jakonrath.blogspot.com/2010/05/piracy-again.html
My #ebooks that I’m selling on #Amazon and #Smashwords are available for FREE on my website. As in “they cost zero dollars.” And yet the ebooks keep selling. Clearly, being able to get something for #free doesn’t inhibit sales.
#eBooks : les idées reçues ont la vie dure
►http://blog.tcrouzet.com/2011/02/26/ebooks-les-idees-recues-ont-la-vie-dure
Je m’intéresse aux livres numériques pour leurs avantages. Ils ouvrent de nouvelles possibilités créatives, que j’ai évoquées dans La stratégie du cyborg, et politiques comme je l’explique dès le début de L’édition interdite (à paraitre le 4 mars chez Numériklivres). Des choses justement qui nous étaient interdites deviennent possibles et ça vaut bien quelques désagréments qui ne seront que passagers.
La possibilité pour tous de se publier de manière indépendante n’est pas un point de détail.
Quand il n’y aura plus de pétrole + quand les africains auront enfin viré tous les connards dans les mines de coltan + quand les pays pauvres nous renverront nos déchets électroniques, vous verrez bien qui pourra continuer à lire : ceux qui ont du papier !...
RastaPopoulos, chasseur d’innovation (au sens meurtrier du terme).
Rasta, tu as lu le billet référencé ? C’est justement de cela qu’il traite. Avec cette phase dans le paragraphe de conclusion :
Si des gens veulent payer un support cher, encombrant, aux possibilités limités, victime de la censure pyramidale… libre à eux.
C’est en gros ce qu’on raconte depuis le Manifeste du Web indé : le texte imprimé impose, pour une diffusion de masse, un processus industriel, et ce processus industriel interdit en pratique l’accès de l’individu à l’expression publique. Seul ce qui est sélectionné/validé pour avoir droit au processus industriel de publication accéde à l’expression publique. C’est de ce point de vue que l’émergence du Web et la diffusion de textes dématérialisés imposent un changement radical de paradigme.
Et je pense que tu as plus de chance de voir « les africains virer les connards » et « les pays pauvre renvoyer nos déchets électroniques » avec ce changement de paradigme que sans.
Je pense exactement le contraire. Car c’est bien joli de dire que le texte lui-même est dématérialisé, mais on peut difficilement plus matériel que tout l’attirail qu’il faut pour le lire. Et il est infiniment plus compliqué et plus industriel de fabriquer un ordinateur ou autre lecteur numérique qu’un morceau de papier, fut-il en masse. On est jamais entièrement autonome : ok ; on est toujours inter-dépendant : ok ; mais sauf qu’il y a des techniques qui sont plus « conviviales » que d’autres, qui poussent plus à l’autonomie (et avant tout l’autonomie de fabrication et de réparation !).
De plus c’est un peu faire fi de tous les tracts et autres dazibaos à travers l’histoire (histoire des luttes sociales ou histoire littéraire également). On peut très bien fabriquer du tract en masse sans trop grosse industrie et sans élitisme. En tout cas plus facilement qu’un composant électronique hyper-complexe.
Quant au changement de paradigme, je disais justement que l’actuel recrudescence du numérique, fixe ou mobile, qui est très très récent, n’est viable que parce que les Gros exploitent les mines de coltan et autres minerais rares en Afrique + parce qu’on vire tous nos déchets électroniques hyper-toxiques en Asie et en Afrique aussi. Et ce n’est pas juste entreposé : allons donc analyser l’état de la terre et des nappes phréatiques en-dessous de ces tas... Ce qui signifie que si ces exploités finissent par virer tout ça, et que ce soit à nous de gérer nos déchets, les constructions d’iPhone et autre merdes numériques risquent d’aller un peu moins vite, tout d’un coup...