• Télécharger de vieux numéros de #Linux Magazine
    http://www.dsfc.net/logiciel-libre/linux/telecharger-de-vieux-numeros-de-linux-magazine

    Le site Abandonware Magazines permet de télécharger de vieux numéros de #Linux_Magazine. Je ne suis pas sûr que tout cela soit bien légal au regard du droit français. Dsfc

    #Abandonware_Magazine #Droit_d'auteur #Editions_Diamond #GNU_Linux_Magazine #Propriété_intellectuelle

  • le tiers livre, web & littérature : réflexions pensives sur l’économie du livre
    http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article3894

    le black-out mis sur un fait essentiel : depuis 2 ans, l’effondrement soudain des poches, et d’un facteur frôlant les 20% pour certaines des maisons.

    @fbon revient sur le refus des milieux de l’édition d’ouvrir leurs catalogues au numérique. Et ils se retrouvent piégés aujourd’hui par l’effondrement des poches, qui leur fait les poches, littéralement.

    Il y a 5 ans, 6 ans, on a été nombreux (le « on » étant ceux qui se mouillaient les mains dans le web, et il faut en rendre d’abord hommage à Hubert Guillaud) à alerter : amorcer la mise en place d’une offre numérique large, créative, attractive. On s’est surtout pris des coups de bâton dans la figure, et le bouclier s’est levé de l’ensemble des instances, édition, librairie, presse. J’ai tenté de me frayer chemin dans cette direction avec mon petit labo, beaucoup appris, mais il m’a manqué aussi un maillon essentiel : les auteurs de l’édition imprimée, sauf tout petit noyau. Mais ce qu’on nous rétorquait, à l’époque, c’est précisément que la réticence au numérique c’était pour laisser vivre l’industrie du poche. Cet axiome en France a été un consensus : l’offre numérique s’est constituée, mais toujours commercialisée au-dessus du prix du poche. [...]

    Est-ce que c’est rattrapable aujourd’hui ? Sans doute, les chiffres de l’édition numérique progressent, mais « arithmétiquement ». Des chiffres qui commencent à compter dans le chiffre d’affaire global des éditeurs, mais entre 1,8 et 2,3% (si on s’en tient aux maisons de littérature générale).

    [...]

    — Quelque chose qui bloque dans le monde de l’édition lui-même. L’économie d’Internet (et c’est passionnant de scruter pour cela la musique) est de plus en plus basée sur la recommandation. Amazon n’y est pas grand maître (une fois par mois, ils me proposent régulièrement de lire mes propres livres, remarque c’est peut-être délibéré ?), mais ils ont une longueur d’avance. Ils y parviennent à partir de leurs propres data, commandes, consultations, statistiques. Mais ce qui me semble complètement incroyable, c’est comment le monde de l’édition, en France, reste encore complètement étanche à la notion de big data. Un monde quasi fossile, avec des circuits parallèles gérant eux-mêmes des données extrêmement restreintes, par rapport à celles qu’on peut associer au moindre morceau de musique.[...] Je n’ai pas le droit de donner des exemples concrets, mais ça me semble une sorte de déni suicidaire : vraie caricature à force de refuser la pensée web, et pourtant il y en a, chez eux, des compétences… Un des éditeurs historiques, et des plus dynamiques, de la place parisienne, d’un de nos plus grands groupes sans citer personne, n’a droit qu’à la métadonnée « littérature générale » pour tout son catalogue. Idem les années qu’il a fallu, alors que le Kindle existe depuis 8 ans, pour que la CLIL accepte de se doter d’un système de classement digne de ce nom, et que le classement BISAC est une transposition de valeurs culturelles américaines qui sont risibles par rapport au nôtre.Ce dont aurait besoin le poche pour redevenir l’outil culturel bon marché de qualité, au centre de la transmission et de l’éveil, c’est des outils de recommandation big data qu’a été incapable de prévoir l’appareil industriel de l’édition – là aussi, par ignorance du web, s’en remettre à leur plus gros libraire papier, Amazon, comme ils espèrent s’en remettre à Orange pour le numérique ?

    Corollaire : la bascule majeure qu’est une innovation technologique dans le fil même de l’évolution des techniques d’imprimerie, le Print On Demand. Les mêmes machines qu’on utilise pour les réassorts des best-sellers sont couplées à un système informatique qui peut changer le titre à l’unité, sans rupture de la chaîne d’impression.

    Je n’en met pas plus, courrez le lire, c’est passionnant.
    #édition #print_on_demand #poche #numérique

  • Leyla Dakhli s’insurge contre la publication par CNRS Editions d’un livre signé du reporter de guerre Renaud Girard consacré, entre autres, à la Syrie : Le Monde en marche (2014)
    Science sans conscience, etc. - Libération
    http://www.liberation.fr/chroniques/2014/02/21/science-sans-conscience-etc_982086
    #paywall (mais plus pour longtemps. Après il n’y aura plus de mur, et surtout plus rien derrière #Libération ou #feu_Libération)

    Nous sommes confrontés aujourd’hui à une défiance nouvelle, qui a pour effet de faire du discours sur ce pays une simple confrontation d’opinions. Je veux ici identifier quelques-uns des dispositifs qui sèment le doute.

    L’absence de frontière claire entre le travail des journalistes, la parole des chroniqueurs intellectuels et celle des chercheurs est certainement en cause pour une part. Mais cette indistinction n’est pas seulement entretenue par les pages des journaux qui accueillent un peu de tout, et c’est normal. Le sommet me semble atteint lorsqu’une maison d’édition universitaire (ici, CNRS Editions) labellise l’ouvrage qui, d’après la quatrième de couverture, « bien mieux qu’un journal télévisé, nous offre le film des secousses telluriques qui ont rythmé la vie internationale ». L’auteur de cet ouvrage, Renaud Girard, devenu expert du Moyen-Orient contemporain - et de la Syrie en particulier - par la grâce du label CNRS, est invité à commenter l’actualité, non comme journaliste, mais comme scientifique. C’est là que le bât blesse. Il déroule alors une vision exclusivement confessionnaliste de la région ; défend, au nom de la protection des chrétiens, le régime de Bachar al-Assad ; critique la vision des analystes incapables de prévoir la solidité du régime baasiste ; parle d’une « guerre de religions » globale que nul n’est censé ignorer ; déroule donc ce que l’on appelle communément une « grille de lecture », cohérente, carrée, facile à comprendre… bref, un vrai soulagement qui fait oublier à tous que cela signifie qu’il faut, in fine, défendre Bachar al-Assad (ou, en Egypte, l’armée).

    Ce que le reporter de guerre Renaud Girard écrit ne doit pas être censuré, mais on peut s’interroger, voire s’insurger de sa publication au CNRS. Celle-ci n’a été possible que parce que ces éditions ont renoncé, au nom des impératifs de rentabilité, de rapidité, de réactivité, aux processus de sélection, de vérification collégiale qui caractérise les éditions universitaires. Malgré ce changement majeur, être publié au CNRS continue, pour la plupart des gens, à signifier quelque chose. Cela permet à l’auteur dudit « journal télévisé » d’être qualifié d’expert par des journalistes eux aussi dépassés par la rapidité, le temps qu’il faudrait pour tout vérifier.

    Cette confusion des critères de distinction sociale et académique, mais aussi des moyens de vérification, des espaces de contradiction, porte gravement atteinte à la vérité, ou à ce qui tente de s’en approcher. Elle porte aussi atteinte à la notion d’engagement, qui s’énonce clairement et n’a pas besoin, pour s’affirmer, de porter atteinte à la vérité ou de tordre la réalité. Tout comme les sociologues, historiens, philosophes du genre peuvent s’engager pour l’égalité sans mettre en danger leur science, nous autres spécialistes du monde arabe contemporain pouvons considérer qu’il est de notre devoir d’aider les Syriens sans être soupçonnés en permanence d’être de « parti pris ». Car notre engagement ne nous fait pas renoncer à notre science, ses contradictions, ses difficultés et son aspiration à la vérité.

    Je n’ai pas lu l’ouvrage, mais on peut en effet s’interroger : pourquoi les Editions du CNRS ont elles besoin de publier un livre de Renaud Girard ? Inversement, que recherche Renaud Girard en publiant cet ouvrage chez cet éditeur (objectivement moins bien distribué) : n’a t il pas trouvé un éditeur plus grand public ?
    Autrement dit, c’est quoi un éditeur « académique » ? quels critères de sélection doit-il privilégier ?

    Par ailleurs, signalons que plusieurs livres de CNRS Editions, notamment sur le Proche-Orient, la Méditerranée ou le MOnde musulman, ont récemment été publiés en accès libre (mais pas tout du tout... dommage)
    Par exemple, l’excellent Briser la mosaïque de Géraldine Chatelard : http://books.openedition.org/editionscnrs/3634 ou encore Mohamed Kamel Dorai Les réfugiés palestiniens au Liban. Une géographie de l’exil http://books.openedition.org/editionscnrs/2418
    #Syrie #édition_SHS #édition_numérique

    • D’accord pour un questionnement sur la question de l’éditeur académique, et la caution « scientifique » d’opinions politiques.

      Mais en même temps, je ne peux m’empêcher de penser : ENFIN !

      Pourquoi donc a-t-il fallu attendre un bouquin de Renaud Girard pour que la communauté scientifique concernée pose enfin la question de l’enrobage et de la caution « scientifique » d’engagements politiques particulièrement discutables ?

      Surtout si c’est pour en revenir aux très habituelles (et fort peu scientifiques) accusations de haute-trahison du style : « bref, un vrai soulagement qui fait oublier à tous que cela signifie qu’il faut, in fine, défendre Bachar al-Assad (ou, en Egypte, l’armée). »

    • Excellente initiative que cet OpenEdition Books, mais je suis toujours abasourdi de voir (ici comme pour la plupart des bases de données en accès distant) la « différence de traitement » selon que je m’y connecte avec mes identifiants de gueux d’IEP de province (souvent quelques extraits d’ouvrages accessibles en ligne), ou avec des identifiants gracieusement prêtés par une camarade de Sciences Po Paris (et là, la caverne d’Ali Baba : la totalité des ouvrages, entièrement téléchargeables, en format PDF ou liseuse...).

    • @niss : certes. Mais le programme est tout nouveau et il faut signaler aux bibliothécaires les ouvrages à acheter : ce n’est pas une logique d’abonnement comme les revues. Et, oui, ScPo Paris a évidemment plus de ressources financières mais aussi une politique de documentation numérique très avancée.
      @nidal : pour moi la difficulté est de tenir, dans les médias, un discours audible (c’est à dire que les journalistes vont reproduire) tout en reconnaissant que l’essentiel des informations provient de contacts téléphoniques ou du recoupement de diverses vidéos - mis en résonance avec les grilles de lecture et les connaissances préalables du chercheur. Or, cette prudence méthodologique, elle, ne passe pas dans les médias. Du coup, les moins scrupuleux, qui rendent les avis les plus tranchés, sur la base des grilles de lecture les plus carrées, sont les plus audibles (et ce ne sont pas forcément les plus experts).
      Ensuite, les chercheurs sont pris dans une « dépendance au sentier » qui fait qu’ils centrent leurs discours sur des objets qu’ils connaissent, cad sur lesquels ils peuvent utiliser les mêmes sources / informateurs. Ainsi, un Balanche a des antennes en milieu alaouite et classe moyenne et aisée damascène, un Pierret en milieu Frères musulmans et plus largement milieux religieux sunnites. Il est clair que ces sources d’information différenciées ne peuvent les conduire ensuite à tenir un discours convergent.

  • • L’inculture comme modèle de société.
    En ces temps d’inculture crasse de la classe politique de droite, voici une petite revue de presse trouvée sur le site du Salon du livre et de la presse de jeunesse concernant la polémique stupide (mais révélatrice) du président de l’UMP Jean-François Copé et le livre « Tous à poil ! »
    http://www.salon-livre-presse-jeunesse.net/tous-a-poil-ou-reflexions-sur-la-litterature-jeunesse-e

    • Et puis, comme son mentor, tout aussi inculte, un petit rappel concernant cette fois la Princesse de Clève :
    http://www.dailymotion.com/video/x8p020_lisez-la-princesse-de-cleves-et-sur_news?start=67

    #édition #inculture #poil

  • Revenu des auteurs – le rapport / la révolution de la publication des livres en marche – les chiffres
    http://www.lagrottedubarbu.com/2014/02/17/revenu-des-auteurs-le-rapport-la-revolution-de-la-publication-des-l

    J’ai trouvé cet article via un lien sur le site BoingBoing, une de mes lectures journalières sur Internet… je l’ai lu et je me suis dit que c’était dommage que toutes ces données ne soient disponibles que pour un public anglophone. Voici donc ma modeste et vilaine traduction de l’article. " (...)

    Cet article est d’autant plus intéressant que je suis en ce moment en train de finir d’écrire un livre “Le guide (essentiel mais pas indispensable) du CrowdFunding” et que j’avais décidé de l’auto-éditer, de proposer une version dégradée en Creative Commons et de vendre la version finale (je n’ai pas encore de prix précis mais ça devrait tourner entre 2 et 4 euros)… et il sera distribué uniquement en version numérique (sous pleins de formats : ePub, Mobi, Pdf, etc.). Cela me conforte dans mon choix de l’auto-édition de ce premier livre.
    Un exemple de plus s’il n’en faut que si on court-circuite les intermédiaires, les producteurs et consommateurs en profitent.Votre avis sur cet article et les conséquences m’intéressent, donc n’hésitez pas à balancer des commentaires.

    #traduction #toread #print_on_demand #selfpublishing #ebook

  • le tiers livre, web & littérature : Internet nous rend-il fous ? (Oui.)
    http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article3888

    Les #métadonnées des maisons d’#édition ne se sont pas encore constituées comme ressource #big_data, ils n’ont pas d’oreille, pas plus qu’on ne voit jamais, hors les salons littéraires, et hors quelques personnes d’exception comme Jean-Paul Hirsch, les éditeurs de nos chères maisons sur le terrain où se mène cette bagarre de l’#écriture, du partage des lectures ?

    • C’est beaucoup demander, trop espérer des éditeurs-papier, actuellement plutôt médiocres, très pressés par les C.A. des groupes de faire du chiffre et toujours aussi imbus d’eux-mêmes. Comme tout le monde, au bout d’un moment ils n’apprennent plus

  • Tout nouveau site, bien sûr avec @spip
    http://www.entremonde.net

    Parti depuis 2008 dans cette folle équipée éditoriale, nous rentrons déjà dans notre cinquième année d’activité. Malgré les conditions difficiles dans lesquelles nous confectionnons nos ouvrages, nous sommes plus obstinés que jamais à faire de l’édition un foyer de dysfonctionnement du système, d’évoluer pleinement dans notre époque.
    Dans l’ancien régime, l’aristocratie littéraire prenait possession de la république des lettres, leur production marquée par la grâce royale était produite par une corporation qui monopolisait la chose imprimée. Depuis, l’ancien régime a cédé sa place à de nouveaux régimes. La production littéraire n’y est plus marquée de la grâce royale mais de celle du capital et les monopoles y sont conférés par le roi argent. Nous, nous sommes de la racaille littéraire, depuis les bas-fonds nous façonnons des petits missiles de papier que nous jetons à la face de la bourgeoisie.

    #édition

  • Data Mining : quand #Elsevier écrit sa propre loi…

    Le leader mondial incontesté de l’#édition_scientifique, Elsevier s’engage en faveur d’une simplification du #data_mining. De nouvelles conditions d’accès, dévoilées le mois dernier, vont grandement simplifier l’#accès à l’un des principaux corpus de #publications_scientifiques. D’autres #éditeurs devraient prochainement adopter un modèle similaire. C’est notamment le cas du principal concurrent d’Elsevier, #Springer.

    En apparence ce pourrait être une bonne nouvelle. La recension de Nature met ainsi en évidence l’engouement de certains chercheurs. Max Hauessler, l’instigateur d’un immense projet d’extraction des #articles_scientifiques sur le génome humain, a salué l’initiative : « Finalement, tout ceci montre qu’il n’y a plus aucune raison d’être effrayé par le #text-mining ». Les membres du Human Brain Project (le projet européen d’étude du cerveau humain, doté d’un budget d’un milliard d’euros) semblent également emballés par l’affaire : « Nous sommes enchanté par tout ceci. Cela résout d’importantes questions techniques ».

    Mais...

    http://scoms.hypotheses.org/98

    #information #recherche #privatisation #université #chercheurs

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’éditions scientifique :
    https://seenthis.net/messages/1036396

  • LA RdL EST MORTE, VIVE LA RdL !
    http://www.revuedeslivres.fr

    La Revue des Livres a cessé de paraître. Il n’y aura pas de numéro de janvier-février 2014.

    Pourquoi interrompre aujourd’hui sa parution, alors que la RdL s’est construit un lectorat et une audience plus qu’honorables pour une revue aussi exigeante et peu consensuelle ? Pourquoi arrêter, alors que nous pouvons nous réjouir de sa qualité croissante et de sa contribution à la rencontre de courants critiques divers et à l’avancement de questions cruciales dans le débat public ?

    #édition #presse : ( via @prac_6

  • « Rester dans le passé, cela n’a pas de sens. » : entretien avec Gérard Berréby, fondateur des éditions Allia | Ragemag
    http://ragemag.fr/rester-passe-pas-sens-entretien-gerard-berreby-fondateur-allia-61358

    Donc il y a tout un mythe, des bruits qui courent, que c’est l’avenir, que c’est tout ce que vous voulez, que le livre papier va disparaître, que tout le monde va lire sur des tablettes, j’entends et je n’entends pas : je suis attentif, parce que s’il y a un mouvement de bouleversement dans la lecture, nous sommes prêts parce que nos #livres sont numérisés ; mais d’un autre côté, dans la pratique, je ne vois absolument pas de changement réel, on ne vend qu’une petite poignée d’exemplaires en numérique. (...) Par exemple, pour déborder le cadre de notre entretien sur l’édition précisément et pour mieux comprendre ce que j’essaie de vous expliquer (...)

  • Bankruptcy of German publishing firm Weltbild threatens 6,800 jobs - World Socialist Web Site

    http://www.wsws.org/en/articles/2014/01/18/welt-j18.html

    Last Friday, the Catholic publishing house Weltbild declared bankruptcy. The Catholic shareholders—12 German Dioceses, the charity Catholic Soldiers for the Protection of the Soul, and the Association of German Dioceses—refused to invest more money in the publisher.

    Josef Schultheis, the administrator engaged by the cardinals and bishops, had stated the previous day that an additional sum of €130 million, rather than the previously reported €65 million, would be required to save Weltbild. It also has €190 million in bank debt.

    #édition #allemagne

  • Mein Kampf, l’un des livres les plus lus de 2013
    http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2014/01/13/mein-kampf-l-un-des-livres-les-plus-lus-de-2013

    Mein Kampf , l’ouvrage de base du nazisme, a fait un carton sur Internet en 2013, en se plaçant dans les très fortes ventes de livres en ligne. Ce succès est un fait, à regarder en face, et ce d’autant plus qu’au 1° janvier 2016, le droit d’exploitation tombera dans le domaine public. Tout éditeur pourra traduire et publier Mein Kampf… Alors ? On publie, on prépare et on affronte les débats, ou on censure ?

    #livre #censure

  • Sur le problème des oligopoles publics et du pouvoir de « modération » dans l’édition scientifique en accès (plus ou moins) libre
    https://groupes.renater.fr/sympa/arc/accesouvert/2013-05/msg00043.html
    Extrait d’un message de Jérôme Valluy à Marin Dacos sur la liste Accès Ouvert (et posté par ailleurs sur plusieurs autres listes)
    Ce texte polémique faisait suite à un débat sur la modération de cette liste consacrée à l’Open Access et constituée dans la foulée de l’appel I love Open Access. Il fut envoyé en réaction à la modération de la liste et notamment à ce qui avait été considéré comme un acte de censure (un message barré par le modérateur). Au delà de ce point précis, la position défendue par J. Valluy pose un débat important sur la manière de définir l’Open Access.
    Je croyais l’avoir déjà archivé sur Seenthis, mais je constate que ce n’est pas le cas.

    Deuxième remarque sur la dominance : en vous associant au laboratoire du CNRS, le CCSD (http://www.ccsd.cnrs.fr) qui a développé le système HAL (http://hal.archives-ouvertes.fr) par un partenariat dans l’Equipex DILOH (http://www.openedition.org/10221?lang=fr) pour obtenir la somme astronomique de 7 millions d’Euros sur huit ans (2012-2020) vous avez renforcé encore la position dominante précédemment acquise par OpenEdition en participant à la constitution d’un consortium, certes international dans sa composition, mais qui est sur la France dans une position oligopolistique sur l’édition en libre accès, avec un partage implicite des rôles : HAL pour les sciences de la matières et OpenEdition pour les sciences humaines. J’observe que dans les deux systèmes, la (re)publication en archive ouverte des travaux scientifiques est soumise à un pouvoir de "modération" (exercé par des non-scientifiques) : dans OpenEdition pour l’entrée initiale, dans HAL pour chaque publication. Nous observons tous aussi que les serveurs HAL viennent de faire l’objet d’une convention partenariale d’exclusivité de la part de 27 établissements scientifiques dont les directions se sont engagées, sans avoir consultés les chercheurs, à utiliser HAL comme « plate-forme de dépôt de la production scientifique, commune et interopérable avec les autres dépôts d’archives ouvertes satisfaisant aux critères de la communication scientifique directe internationale ». Par ailleurs, le CNRS, dont dépend tant le Ccsd/HAL que Cléo/OpenEdition a déjà démontré qu’il ne respectait par les droits d’auteur dans l’expérience REFDOC de commercialisation d’articles scientifiques à l’insu des auteurs et des éditeurs. Pourquoi en irait-il autrement à l’avenir sur ce sujet ou sur d’autres ?

    3) Troisième remarque sur le libre accès : dans l’appel "J’aime l’accès ouvert", nous justifions le choix politique de (re)publication en accès ouvert "des résultats de la recherche scientifique financée sur fonds publics". Mais il est évident que les arguments valent pour la totalité des résultats et des laboratoires... y compris le votre, CLEO & (maintenant) DILOH, dont la production informatique & multimédias de création des plateformes éditoriales comme celles d’OpenEdition ont été intégralement financés sur fonds publics : si votre démarche dans le lancement de cet appel est motivée uniquement par les finalités altruistes qui y sont affichées, vous n’avez plus d’autres choix, aujourd’hui, que de mettre en libre accès les technologies numériques d’édition que vous avez créées... c’est à dire de rendre public et accessible librement par tous (établissements, laboratoires, revues, Ufr, communautés scientifiques thématiques, équipes pluriannuelles de recherche...) non pas seulement LODEL (http://www.lodel.org) issu de Revues.org mais la totalité des dispositifs que vous avez créés grâce à "nos" financements publics, y compris Calenda, Hypothèses et OE-Books... Dès vous le ferez, et que ces logiciels passeront en accès complètement libre tant pour l’utilisation que pour le développement (comme SPIP par exemple : http://www.spip.net/fr_rubrique91.html) de très nombreux collectifs de chercheurs s’en empareront et vous concurrenceront librement dans l’activité éditoriale, et vous perdrez alors une large part des motifs du financement public dont vous bénéficiez aujourd’hui. C’est certainement une problème pour vous, mais vous devez comprendre qu’il n’est pas concevable que notre appel au libre accès puisse créer une contrainte sur tous les laboratoires en France... sauf sur le votre.

    4) Quatrième remarque sur le sens du mot "libre" dans l’expression "libre accès" : il n’y a pas d’accès réellement libre aux savoirs - tant pour les citoyens que pour les chercheurs - si la production et la diffusion des recherches sont soumis à des formes de "modération" qui réduisent d’une façon ou d’une autre les libertés intellectuelles des chercheurs (liberté d’agenda scientifique pour le choix des sujets, liberté paradigmatique et méthodologique pour le choix du mode de traitement des sujets, liberté de publication pour le choix du mode de diffusion des résultats, etc.) par des contrôles et emprises sur le travail scientifique ou par subordination à des finalités étrangères à la science. A l’ère du numérique cela signifie que le "libre accès" doit donc, notamment, se fonder sur la liberté individuelle des chercheurs quant au choix des formats, serveurs et supports de publication en archives ouvertes... ce qui devrait conduire le gouvernement français et les autres gouvernement à interdire, par la voie de réformes législatives, toute forme de monopoles, oligopoles ou position dominante y compris dans les services publics d’archivage ouvert. C’est la conséquence logique de ce qui est écrit dans notre appel : "l’accès ouvert change le rapport de forces dans un monde dominé par des groupes détenant des portefeuilles de milliers de revues majoritairement de langue anglaise : il ouvre la porte à ce qu’on peut appeler une véritable bibliodiversité en favorisant l’émergence d’une pluralité de points de vue, de modalités d’édition, de paradigmes scientifiques, de langues."

    #open_access
    #édition_numérique

  • Je laisse @reka mettre les mots-clé de cette conversation skype éditée... Je vous dis déjà que ça parle, en gros, de #publications et d’#éditeurs... et ça a un lien avec cela :
    http://seen.li/4ffl

    – Moi je m’arrache les cheveux pour faire comprendre le concept de territoire à la francophone aux anglophones… in English !

    – Bon, allez, je retourne au territoire... Well, au « territory » ! Hier, en lisant le papier sur Elsevier et academia.edu je me demandais bien pourquoi j’écrivais cette entrée de dico. Cela me prend des heures et des heures

    – ça va (peut-être) me servir pour ma carrière académique, mais c’est même pas sûr, une ligne de plus sur le CV, c’est tout

    – J’écris mon truc que très peu de monde va lire, c’est comme cela les écrits académiques, ce truc va être publié dans un dico publié par je ne sais même plus qui, disons Elsevier

    – Elsevier va vendre cela à des prix improbables que seuls les bibliothèques peuvent se permettre (et encore), je vais recevoir le pdf de MON texte que je ne peux même pas diffuser, car je n’en suis pas propriétaire !!

    – Je n’ai pas reçu un rond pour l’écriture, je ne recevrai pas un rond pour la vente

    – bMais elle est où la logique dans tout cela ?

    – L’autre jour ils m’ont demandé si je voulais faire la "review" d’un article, tu sais ce que ceux qui m’ont contactée m’ont dit ?

    – « Chère madame, nous tenons à la qualité de notre revue, comme cela, tellement généreux comme nous sommes, nous, revue achetée par Sage, nous sommes honoré de pouvoir vous dire que pour vous remercier de votre précieuse collaboration nous vous offrons...

    – SUSPENS

    – ... 6 mois d’accès gratuit à toutes les publications sage ». Je l’ai déjà l’accès à vos publications via l’université de genève ! attend, peut-être j’ai gardé le mail, je vais l’envoyer !

    – "European Urban and Regional Studies greatly values the work of our reviewers. In recognition of your continued support, we are pleased to announce that we have arranged with our publisher SAGE to offer you free access to all SAGE journals for 60 days upon receipt of your completed review and a 25% book discount on all SAGE books ordered online. We will send you details of how to register for online access and order books at discount as soon as you have submitted your review."

    – ah, non ! C’est même pas 6 mois, c’est 60 jours... et j’avais oublié les 25% de réduction pour les livres

  • À l’ombre des majorités silencieuses ou la fin du social (double extrait)
    http://www.larevuedesressources.org/a-l-ombre-des-majorites-silencieuses-ou-la-fin-du-social-doubl

    Voici un double extrait de la plume même de #Jean_Baudrillard, pour clôturer la semaine éditoriale que La Revue des Ressources lui a consacrée durant la première semaine de décembre, dans le cadre des manifestations pour la parution de l’ouvrage de Valérie Guillaume, Jean Baudrillard et le Centre Pompidou, une biographie intellectuelle. Nous avons rendu compte par une recension de l’événement organisé à la Bibliothèque nationale le 28 novembre et nous avons re-publié l’entretien de 1977 pour la revue (...)

    #Carte_blanche

    / #France, Jean Baudrillard, #XXe_siècle, #Histoire, #Philosophie_politique, #Sociologie, #Éditions_Descartes_et_Compagnie, #Politique, #Les_masses, #1978, modernité, #éditions_Utopie, Sens & (...)

    #modernité #Sens_&_Tonka

  • L’éditeur André Schiffrin est mort hier à l’âge de 78 ans. Entre la France et les Etats-Unis, l’auteur de L’édition sans éditeurs a permis aux œuvres d’auteurs critiques comme Howard Zinn ou Noam Chomsky de circuler. En octobre 2007, Schiffrin soulignait dans nos colonnes l’importance des éditeurs indépendants et explorait les manières de les faire naître et de les maintenir en vie.

    Quand de « petits » éditeurs échappent à l’emprise des conglomérats, par André Schiffrin (octobre 2007)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2007/10/SCHIFFRIN/15213

    En France comme à l’étranger, la connivence des pouvoirs politiques avec de puissants patrons de presse attire régulièrement l’attention sur le contrôle des #médias. Quelques groupes industriels possèdent la plupart des maisons d’#édition et contrôlent une grande partie du contenu et de la distribution des journaux, des magazines et des livres. Garantes de la démocratie, de petites structures indépendantes parviennent néanmoins à faire entendre leur voix.

    #2007/10 #Livre #Idées #Culture #Économie #Politique #Industrie_culturelle

    En anglais : http://mondediplo.com/2007/10/13publishing
    En portugais du Brésil : http://diplo.org.br/2007-10,a1942

  • Quand David Graeber étale la dette : une critique du livre « La dette : 5000 ans d’histoire »
    http://palim-psao.over-blog.fr/article-quand-graeber-etale-la-dette-une-critique-du-livre-la-d

    « La langue du marché a envahi toutes les dimensions de la vie humaine », dit Graeber. Cependant, la façon dont il se sert de cette langue est complètement acritique. C’est bien trop souvent que la terminologie dominante est aussi la sienne. On est frappé par la naïveté totale avec laquelle sont employées des catégories quotidiennes telles que économie, politique, démocratie, capital, crédit. Celles-ci sont utilisées sans la moindre distance critique, comme si aucune d’elles n’était problématique. Il y a un rapport positif constant, voire lassant, à la justice et, bien sûr, aux valeurs. D’après Graeber, la valeur ou les valeurs doivent être comprises en termes de simple bon sens, comme une « manière de se faire une idée ce qu’on désire », ou comme des formulations de ce que nous « devrions vouloir » (David Graeber : La Fausse Monnaie de nos rêves / Valeur, échange et activités humaines [2001], Zürich 2012, p. 20). La valeur est donc discutée en suivant l’ornière apparemment non problématique de l’« axiologie » (ibid., page 21).

    #livres #édition #critique_de_la_valeur

  • Un article très intéressant discute sur les avantages et les inconvénients de l’auto-édition... - Aftenposten

    http://www.aftenposten.no/kultur/Barneboken-hans-ble-utsolgt-uten-forlag-i-ryggen-7388861.html

    ... mais constate que l’auto-édition a un avenir réel : en Norvège, plusieurs histoires très spectaculaires le montre. Un point particulier est soulevé quand le papier explique que les raisons pour lesquelles un livre est refusé par un éditeur sont multiples. Un éditeur - est capable sciemment de refuser un chef-d’oeuvre parce qu’il pense que commercialement, ça ne marchera pas. Par ailleurs, l’article se demande si dans le cas où l’auto-édition se développerait, comment ferait le lecteur pour s’y retrouver, sélectionner, choisir... Ce qu’en fait certaines maisons d’édition en qui on a confiance font pour nous (je pense en particulier à « Acte Sud » qui ne m’a pratiquement jamais déçu).

    Mis à part le marketing (personne n’a vraiment les moyens) et la diffusion, il est aujourd’hui à la portée de tous de s’auto-éditer. ça ne coûte pratiquement rien.

    Ici, un auteur a fait un livre pour son fils de huit ans, lequel a été refusé par des éditeurs, et qui a fait un tabac lorsqu’il a eu l’idée de l’auto-éditer...

    Débat intéressant, passionnant à suivre, je suis sur que la communauté seenthis s’intéresse grandement à cette question. Et cette question concerne aussi la presse, les journaux, les revues, les plateformes d’information... Suivez mon regard.

    Je dis ça, je dis rien.

    Barneboken hans ble «utsolgt» uten forlag i ryggen

    Professor Sjur Dagestad ga ut Martin og boblemaskinen som et testprosjekt. Kan selvpublisering være forfatternes fremtid?

    – Det startet med at jeg skrev boken til sønnen min da han var åtte år, forteller Dagestad. Sønnen hadde ingenting til overs for lesing, og Dagestad ønsket å gi ham leseglede gjennom boken. Det endte i manuset til Martin og boblemaskinen, men selve utgivelsen fant sted først tre år etter.

    #édition #médias #presse #auto-édition

  • A nous de dépasser les « horizons indépassables » !
    http://cqfd-journal.org/A-nous-de-depasser-les-horizons

    Merci par ailleurs au puits de science séditieux Miguel Abensour et aux indestructibles éditions rebelles Sens & Tonka de moucher la chandelle des crabes pour qui l’utopie serait « l’antichambre du goulag, voire des camps et ne nous laisserait rien espérer de l’avenir ». Les très roboratifs Le Procès des maîtres rêveurs et L’Homme est un animal utopique, qui viennent de reparaître dans de nouvelles versions, démontrent avec aplomb que l’utopie est « inséparable d’une pensée de l’émancipation » s’expérimentant en actes. « Pour les tenants de l’ordre existant, il importe de la rejeter du côté de l’impossibilité pour mieux liquider son impulsion à l’altérité. » L’utopie, c’est la recherche de nouveaux modes d’associations harmonieux et libérateurs. C’est donc aussi bien la Commune, la Makhnovitchina, Libertalia, Fiume 1919, les Asturies anarchistes ou les Diggers de 1968 que le TAG, les Black Blocs, Oaxaca, la Zomia ou les « nouvelles constellations subversives » par affinités évoquées par le génial Premières mesures révolutionnaires (La Fabrique). Les deux livres d’Abensour font un bien fou car c’est très scientifiquement, et très poétiquement aussi, qu’ils entendent prouver qu’on peut arriver à « dépasser ce qui se pose comme horizon indépassable ». Car, précise fort bien le cinglant préfacier Louis Janover, « il n’existe d’horizon indépassable que pour ceux dont le regard s’accommode de ce qui se déroule sous leurs yeux et leur soumission à cet état de fait est grosse de tyrannies à venir ». Notons aussi qu’Abensour insiste savoureusement sur la nécessité de réinventer le monde de façon ludique, rappelant à quel point Marx, grand lecteur de Fourier pourtant, a toujours « privilégié le travail au détriment du jeu ».

    #livres #édition

  • Les éditions Spartacus : pour le socialisme et la liberté
    http://bataillesocialiste.wordpress.com/2013/11/19/les-editions-spartacus-pour-le-socialisme-et-la-libert

    Nous sommes toujours un peu surpris par cette remarque sur l’ « hétérogénéité » de notre catalogue. Rappelons bien sûr que nous ne sommes pas un groupe politique (nous avons tous eu et avons encore des pratiques militantes différentes) et que notre souci, comme c’était celui de René, est d’éclairer les chemins et les objectifs d’une transformation sociale radicale. Dans les années 1970, les libertaires ne nous considéraient pas comme « des leurs », compte tenu de nos textes à référence marxiste, et les léninistes nous considéraient comme des confusionnistes puisque nous éditions aussi des textes libertaires. Mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que vue d’en face, peu importe que la critique radicale de la société vienne de Marx ou de Bakounine.

    #édition #communisme

  • Le Monstre Festival commence aujourd’hui. Les éditions Entremonde y seront samedi et dimanche pour la convention :
    http://www.lemonstre.ch

    Du 14 au 17 novembre, le Monstre vient envahir une nouvelle fois Genève avec une série d’événements autour de la micro-édition et de la sérigraphie. Encore et toujours à contre-courant, le Monstre, pour cette troisième édition, ne se contente pas d’investir la quasi-intégralité de l’Usine et de copuler avec ses amis attitrés, les espaces d’exposition le Labo, Hard Hat et Halle Nord. Il déploie cette année ses tentacules jusqu’à l’Usine Kugler et compte bien s’arroser le gosier à son propre abreuvoir, le Monster Muschi bar, monté spécialement pour le festival. Pas moins de six lieux donc, pour mettre en avant toutes les formes d’édition réalisées artisanalement, sous l’éthique Do it Yourself. Toujours sans subventions alors que l’argent coule à flot dans notre beau pays, ce glouton de Monstre n’a pas pu s’empêcher de concocter une programmation encore plus copieuse. Au Rez et au Zoo de l’Usine, la Convention se déploie cette année sur deux étages, non pas pour en montrer plus, mais mieux ! En plat de résistance, treize expositions font découvrir presque toutes les tendances à l’oeuvre chez les amoureux.ses de l’objet-papier.
    Sans oublier les nombreux vernissages, concerts, performances, rencontres et ateliers qui viennent engraisser durant quatre jours un Monstre 2013 qui s’annonce gargantuesque. Rappelons que le Monstre n’existe que parce qu’il a beaucoup de tentacules et plein d’amitiés. La grande majorité des participant.e.s du Monstre sont actif.ve.s hors des circuits commerciaux et sont souvent à cet égard peu connu.e.s du grand public. A vous de découvrir les pérégrinations graphiques des amoureux.ses du « fais-le toi-même ». Une avalanche d’images mouvantes ou pas, de sons, d’odeurs, de rencontres et de questionnements. Le Monstre est un virus géant terrible, il propage sa fièvre amoureuse du DI Y le plus largement possible et compte bien te contaminer.

    #Suisse #Genève #édition