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#effet_cocktail

  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 27/03/2021

    La grande #malbouffe

    https://api-cdn.arte.tv/api/mami/v1/program/fr/091150-000-A/1920x1080?ts=1615495552&text=true#.jpg

    Que mangeons-nous réellement en avalant un cordon bleu industriel ? Ce documentaire met la main à la pâte pour déconstruire les pratiques souvent douteuses de l’industrie agroalimentaire.

    Toujours plus abondante et moins chère, la nourriture industrielle a envahi nos assiettes, avec des incidences sur la santé de plus en plus fortes : jamais l’obésité et le diabète n’ont été aussi répandus. Et jamais les étiquettes n’ont été aussi compliquées à déchiffrer. Pour percer les secrets du secteur agroalimentaire, Maud Gangler et Martin Blanchard sont eux-mêmes devenus… des industriels. Avec l’aide d’un laboratoire alimentaire spécialisé en recherche et développement, ils se lancent dans la production d’un plat populaire : le cordon bleu. Un projet offensif qui leur permet de comprendre de l’intérieur les rouages de l’ultratransformé, où la fabrication d’un produit en apparence simple tient de l’assemblage complexe. Pourquoi, alors que l’escalope panée cuisinée à la maison ne nécessite que cinq ingrédients, en faut-il ici une trentaine ? La viande du cordon bleu mérite-t-elle encore son nom ? Peut-on appeler fromage cette pâte fondante obtenue à grand renfort d’additifs ? L’emballage lui-même est-il nocif pour la santé ?

    Riche et digeste
    En partant d’un produit emblématique comme le mal nommé cordon bleu, puis en élargissant l’enquête, ce documentaire détricote les fils cachés d’un système ultraconcurrentiel. Se jouant des frontières, l’industrie agroalimentaire se révèle diaboliquement novatrice, usant de technologies toujours en avance sur les réglementations et d’astuces marketing rodées, ou s’aidant de puissants lobbies pour servir ses intérêts. Les autorités nationales et européennes s’avouent techniquement débordées et peinent à contrôler les substances toxiques qu’elles ont commencé par autoriser. Pourtant, l’espoir d’un changement qualitatif est impulsé par la société civile : sous la pression des consommateurs et d’applications de notation alimentaire comme Yuka, certains industriels cherchent à mieux faire pour bénéficier d’un « clean label » auquel s’attache le grand public. Réduction du nombre d’ingrédients, abandon d’additifs, choix de protéines végétales : une démarche vertueuse qui tourne parfois au casse-tête, quand elle n’aboutit pas à un effet inverse, avec des plats végans à la qualité sanitaire douteuse. Au menu de cette enquête riche mais remarquablement digeste, experts, nutritionnistes, docteurs en sciences des aliments ou consultants en « transformation positive » éclairent une question devenue cruciale : que mange-t-on aujourd’hui ?

    ▻https://www.arte.tv/fr/videos/091150-000-A/la-grande-malbouffe

    #film #documentaire #film_documentaire

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    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 27/03/2021

      Yuka

      https://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/thumb/a/a0/Logo-yuka.svg/langfr-220px-Logo-yuka.svg.png

      Yuka est une application mobile pour iOS et Android, développée par la société Yuca SAS, qui permet de scanner les produits alimentaires et cosmétiques en vue d’obtenir des informations détaillées sur l’impact d’un produit sur la santé. L’objectif est d’aider le consommateur à choisir des produits jugés bons pour la santé et, également, d’inciter les industriels à améliorer la composition de leurs produits.

      La lecture du #code-barres d’un produit par le téléphone, permet à l’application d’accéder au détail de la composition du produit et retourne une note sous forme de couleur allant du vert au rouge. Lorsque son impact est jugé négatif, l’application peut recommander des produits similaires meilleurs pour la santé.

      En janvier 2020, l’application a été téléchargée plus de 15 millions de fois et est utilisée mensuellement par 5,5 millions d’utilisateurs.

      ▻https://yuka.io
      #app #application

      CDB_77 @cdb_77
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  • @monolecte
    Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA 6/10/2015
    3
    @simplicissimus
    @odilon
    @colporteur
    3

    #Pollution : les silences du bassin de Lacq - Aqui.fr
    ▻http://www.aqui.fr/environnements/pollution-les-silences-du-bassin-de-lacq,11761.html

    http://www.aqui.fr/bib/photos/img_id_21201.jpg

    Une surmortalité qui pose questionLe dernier point concerne la sécurité sanitaire. Des mesures ont été prises en Béarn pour surveiller et réduire les émissions de dioxyde de soufre et d’azote. Mais elles ont aussi montré que « la population est exposée à plus de 140 substances différentes et elles n’estiment pas les « éventuels effets cocktails » que tout cela peut provoquer.

    Pour la Cour des Comptes, cela ne relève pas du détail. Car une étude menée en 2002 par l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (ISPED) de l’université de Bordeaux 2 a donné des résultats inquiétants.

    Ce travail concernait une période de trente ans (1968-1998). Il a révélé une surmortalité de 14% chez les moins de 65 ans dans la zone proche des installations industrielles .

    Les causes n’en étaient pas indiquées. C’est pourquoi une étude épidémiologique complémentaire a été préconisée à l’époque. « Cette recommandation n’a pas été suivie » remarquent les Sages. Tout comme ils constatent qu’aucun échange d’informations anonymes n’a été établi entre la médecine du travail et les services de santé publics, contrairement à ce que préconise le plan national travail santé.

    Agnès Maillard @monolecte CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 6/10/2015

      #effet_cocktail

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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