• (Il m’a fallu un immense effort pour lire de bout en bout cet article extraordinaire du début à la fin)

    Dans le cabinet de guerre israélien, le jeu d’équilibre du général Gad #Eisenkot
    https://archive.ph/2023.12.15-175117/https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/15/dans-le-cabinet-de-guerre-israelien-le-jeu-d-equilibre-du-general-gadi-eisen

    Dans l’armée, il a laissé le souvenir d’un chef terre à terre, sans goût pour la gloriole, plus agressif que Benny Gantz et rompu au jeu politique. Il a fait l’essentiel de sa carrière dans la brigade Golani, à l’époque où celle-ci avait la réputation d’un corps rugueux, loin des cols blancs de l’aviation et du renseignement. Le New York Times a le premier affirmé qu’il avait fait rempart dans les premiers jours de la guerre au ministre de la défense, Yoav Gallant, qui militait pour qu’Israël porte le conflit contre le Hezbollah libanais, allié du Hamas, au mépris des conseils de prudence de Washington.

    Mais M. Eisenkot n’est pas une colombe : il assume la paternité de la #doctrine_Dahiya, du nom d’un quartier du sud de Beyrouth ravagé par l’aviation israélienne durant la guerre de 2006 contre le Hezbollah libanais.

    Cette doctrine postule que des zones civiles où le mouvement chiite est puissant doivent subir une riposte disproportionnée en cas de tirs de roquettes contre Israël. L’armée l’applique comme jamais à Gaza, en rasant, depuis le 7 octobre, une agglomération de plus d’un million d’habitants.

    Numéro un de l’armée de 2014 à 2019, M. Eisenkot a aussi été l’architecte de la « campagne entre les guerres », ces frappes menées par l’aviation israélienne contre des intérêts iraniens en Syrie et au Proche-Orient, censée repousser la perspective d’une guerre ouverte.

    L’administration américaine a trouvé en lui un interlocuteur privilégié, l’un des rares au sein de l’Etat israélien qui soient prêts à envisager l’après-guerre en termes politiques, alors que M. Nétanyahou exclut tout retour du Fatah et de l’Autorité palestinienne à Gaza, dessinant une gestion unilatérale sans fin des territoires palestiniens par Israël. « Il fait partie des quelques braves Israéliens qui sont encore prêts à considérer une solution politique au conflit, veut croire son ami Izhar Shai. Il comprend la nécessité d’impliquer une force internationale à Gaza et d’engager une discussion au-delà du militaire, qui ait le soutien du Proche-Orient et des Etats-Unis. » Le général se garde pourtant d’évoquer une solution à deux Etats, que Washington souhaite raviver.

    Combien de temps pourra-t-il tenir cet équilibre ? M. Eisenkot a promis de quitter le gouvernement à la fin de la guerre, mais les objectifs ambitieux de cette campagne – la destruction du Hamas et la libération de tous les otages – autorisent le premier ministre à promettre une opération étalée sur des années. La menace du Hezbollah libanais prolonge encore l’incertitude : des dizaines de milliers d’Israéliens ont quitté leur domicile à la frontière nord, craignant des bombardements quotidiens et une répétition du raid mené par le Hamas au pourtour de Gaza.

    « Eisenkot pourrait considérer son travail achevé lorsque ces gens auront assez confiance pour rentrer chez eux. Il sera difficile de déclarer la guerre finie avant cela », estime M. Shai. Son départ pourrait donner le signal d’élections législatives, à moins qu’il ne choisisse de demeurer une vigie au sein du gouvernement jusqu’à la chute annoncée, et sans cesse repoussée, de M. Nétanyahou, comme des officiers d’active l’envisagent eux-mêmes. Il risquerait alors de se trouver dans la position difficile du ministre de la défense, Yoav Gallant, qui avait mis en garde durant les neuf premiers mois de l’année contre le danger posé par la réforme de la justice, mais qui n’a jamais osé démissionner pour mieux se faire entendre.

  • #Gaza Civilians, Under Israeli Barrage, Killed at Historic Pace - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2023/11/25/world/middleeast/israel-gaza-death-toll.html

    L’article est jonché de déclarations de terroristes criminels de l’armée sioniste qui expliquent encore et encore que c’est parce que le Hamas utilise les civils comme des boucliers humains, sans que jamais ne soit opposée la ultra-publique et multi-répétée (depuis 2008 !) #doctrine_dahiya.

    Edit : sans même compter les déclarations génocidaires de Netanyahou, du président et autres ministres de l’état sioniste après le 7 octobre 2023.

    Israeli officials have pointed not just to U.S. actions in Iraq and Syria, but also to the conduct of America and its allies during World War II.
    In an address on Oct. 30, for example, Prime Minister Benjamin Netanyahu cited the accidental bombing of a children’s hospital by Britain’s Royal Air Force when it was targeting the Gestapo headquarters in Copenhagen in 1945. And during visits to Israel by Secretary of State Antony J. Blinken, Israeli officials privately invoked the 1945 U.S. atomic bombings of Hiroshima and Nagasaki, which together killed more than 100,000 people.

    Modern international laws of war were developed largely in response to the atrocities of World War II.

    In 1949, the Geneva Conventions codified protections for civilians during wartime. International law does not prohibit civilian casualties, but it does say that militaries must not target civilians directly or indiscriminately bomb civilian areas, and that incidental harm and the killing of civilians must not exceed the direct military advantage to be gained.

    In the first two weeks of the war, roughly 90 percent of the munitions Israel dropped in Gaza were satellite-guided bombs weighing 1,000 to 2,000 pounds, according to a senior U.S. military official who was not authorized to discuss the matter publicly.

    Those bombs are “really big,” said Mr. Garlasco, the adviser for the PAX organization. Israel, he said, also has thousands of smaller bombs from the United States that are designed to limit damage in dense urban areas, but weapons experts say they have seen little evidence that they are being used frequently.

    In one documented case, Israel used at least two 2,000-pound bombs during an Oct. 31 airstrike on Jabaliya, a densely populated area just north of Gaza City, flattening buildings and creating impact craters 40 feet wide, according to an analysis of satellite images, photos and videos by The New York Times. Airwars independently confirmed that at least 126 civilians were killed, more than half of them children.

    The Israeli military said it had been targeting a Hamas commander and fighters, but acknowledged that it knew civilians were present . Lt. Col. Richard Hecht, an Israeli military spokesman, said the casualties were a “tragedy of war.”

    Every day, local journalists in Gaza report strikes that hit private homes, some of which kill a dozen or more people as families shelter together in tight quarters. On Oct. 19, Israel struck a Greek Orthodox church where hundreds of Gaza’s small Christian community were sheltering at dinnertime, killing 18 civilians, according to an investigation by Amnesty International.

    Lieutenant Colonel Conricus, the Israeli military spokesman, said that Hamas and its deliberate strategy of embedding itself in — and underneath — the residents of Gaza are “the main reason why there are civilian casualties.”

    […]

    #civils #victimes_civiles #génocide #intentionnalité #impunité #complicité #indécence

    • D’une violence génocidaire à l’autre, l’impossible destruction de la Palestine - CONTRETEMPS
      https://seenthis.net/messages/1028515

      « Nous déploierons une puissance disproportionnée contre chaque village d’où des coups de feu sont tirés sur Israël, et nous causerons d’immenses dégâts et destructions », s’est vanté un général israélien de haut rang, Gadi #Eisenkot, en exposant la doctrine au journal Ha’aretz. « Il ne s’agit pas d’une suggestion, a-t-il ajouté, mais d’un plan qui a déjà été autorisé ».[22] Le plan est maintenant en cours de mise en œuvre : comme l’a dit un responsable militaire israélien en décrivant l’offensive actuelle, « l’accent est mis sur les dégâts et non sur la précision ». En d’autres termes, l’abandon total des principes de proportionnalité et de distinction qui sous-tendent le droit international humanitaire est désormais au cœur de la stratégie militaire israélienne.[23] Ce à quoi nous assistons à Gaza est une série de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité prémédités et assumés en direct à la télévision, sous les yeux du monde entier.

    • Et Eisenkot est toujours là aujourd’hui

      Guerre Israël-Hamas : l’armée israélienne « change les règles » dans sa guerre contre le Hamas
      https://www.lemonde.fr/international/article/2023/10/14/guerre-israel-hamas-l-armee-israelienne-change-les-regles-pour-detruire-le-h

      Ainsi, la doctrine Dahiya, élaborée en 2006 par Gadi Eisenkot, ancien chef d’état-major de l’armée israélienne – et qui vient de rejoindre, en observateur, le « cabinet de guerre » israélien –, théorise l’usage d’une force disproportionnée afin d’atteindre ses objectifs, y compris viser une zone civile pour y éliminer des cibles militaires. Le nom de la doctrine fait référence à un quartier de la banlieue sud de Beyrouth où était basée la direction du Hezbollah lors de la guerre de l’été 2006 entre le Liban et Israël. Le rapport Goldstone demandé par les Nations unies après le premier conflit entre Israël et le Hamas en 2008-2009 avait conclu que la doctrine avait été « conçue pour punir, humilier et terroriser la population civile »

  • Pour ceux qui ont perdu le fil : la doctrine militaire israélienne est fondée sur le massacre des civils et la destruction totale des infrastructures civiles. Les responsables israéliens font ce genre de menace de crime de guerre contre Gaza ou le Liban, ouvertement, à intervalle régulier, sans que ça provoque jamais la moindre réaction internationale. Et quand ils le font : (1) c’est trop tard, (2) on s’en fout.

    Doctrine Dahiya
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_Dahiya

    La Doctrine Dahiya est une doctrine militaire formulée par le général israélien Gadi Eizenkot qui se rapporte au contexte de guerre asymétrique en milieu urbain, et prône un usage de la force « disproportionné » au cours de représailles contre des zones civiles servant de base à des attaques, dans un but de dissuasion. Il s’agit, en dépit du principe de base du droit de la guerre, de ne plus faire de distinction entre cibles civiles et militaires1.

    Cette doctrine porte le nom de Dahieh Janoubyé, un quartier chiite d’habitations de Beyrouth qui abritait un bastion du Hezbollah avant d’être rasé par l’aviation israélienne au cours du conflit israélo-libanais de 2006.

    La première formulation publique de cette doctrine eut lieu en octobre 2008, dans une interview à l’agence Reuters au cours de laquelle le général Eizenkot déclare :

    « Ce qui est arrivé au quartier Dahiya de Beyrouth en 2006 arrivera à tous les villages qui servent de base à des tirs contre Israël. […] Nous ferons un usage de la force disproportionné [sur ces zones] et y causerons de grands dommages et destructions. De notre point de vue, il ne s’agit pas de villages civils, mais de bases militaires. […] Il ne s’agit pas d’une recommandation, mais d’un plan, et il a été approuvé. […] S’en prendre à la population est le seul moyen de retenir Nasrallah. »

    • Je comprend pourquoi il est comme ça notre général Eizenkot avec qui nous sommes inconditionnellement solidaires. Nos ancêtres on joué un mauvais tour à ses ancêtres en ne leur réservant que le nom de « fer de merde ».
      Ce fut le sort des juifs pauvres qui ne purent acheter un nom agréable lorsqu’on les obigeat à germaniser leur noms de famille.

      Eizen = Eisen = fer
      Kot = Scheiß = merde.

      D’après notre encyclopédie préférée il est par contre possible que les ancêtres du vaillant général étaient des petits rigolos qui furent exprès de choisir un nom bizarre pour des raisons inconnues.
      https://de.m.wikipedia.org/wiki/J%C3%BCdischer_Name

      Je nach Region konnte die Namensgebung unterschiedlich verlaufen, so dass bei der Deutung der Namen auch die Herkunftsregion eine große Rolle spielen kann. Nicht zu verkennen ist aber auch die durch die Namensanalyse vermutete Freude der Juden an Synonymen, am Denken um die Ecke, an Verballhornungen, an Wortspielereien und an (Selbst-)Ironie. Gerade ihre Mehrsprachigkeit und die Eigenart der hebräischen Schrift, nur Konsonanten abzubilden, trugen dazu wesentlich bei.

      #Eisenscheiß #wtf

    • oui mais « est-ce que vous condamnez ?! »

      La réaction Française, cette fois, a été plutôt claire, non ? Soutien total à Israël, ta doctrine on opine, Dahiya pluka, Amen. J’ai faux ?

      En tout cas merci pour le topo ; 2008 ça fait 15 ans ; avant, ils avaient une autre doctrine ou c’est juste qu’elle avait pas encore de nom ?

    • Guerre Israël-Hamas : l’armée israélienne « change les règles » dans sa guerre contre le Hamas

      L’armée assure vouloir mener cette offensive selon « les règles du droit international humanitaire », ou, du moins, son interprétation par les militaires israéliens, plus maximaliste que les armées européennes ou américaine. Ainsi, la doctrine Dahiya, élaborée en 2006 par Gadi Eisenkot, ancien chef d’état-major de l’armée israélienne – et qui vient de rejoindre, en observateur, le « cabinet de guerre » israélien –, théorise l’usage d’une force disproportionnée afin d’atteindre ses objectifs, y compris viser une zone civile pour y éliminer des cibles militaires. Le nom de la doctrine fait référence à un quartier de la banlieue sud de Beyrouth où était basée la direction du Hezbollah lors de la guerre de l’été 2006 entre le Liban et Israël. Le rapport Goldstone demandé par les Nations unies après le premier conflit entre Israël et le Hamas en 2008-2009 avait conclu que la doctrine avait été « conçue pour punir, humilier et terroriser la population civile ».

      « Ils choisissent de mettre leur vie en jeu »

      « Je ne pense pas que cette doctrine s’applique aujourd’hui, estime le professeur Gabi Siboni, de l’Institut de Jérusalem pour la stratégie et la sécurité. Nous nous occupons de cibler et de détruire des agents du Hamas et d’autres organisations terroristes. Ce sont tous des cibles militaires. » Alors que 2 300 personnes, principalement des civils, dont 600 enfants, ont déjà été tuées, M. Siboni affirme aussi qu’Israël opère selon les principes du droit international humanitaire : « C’est pour cela que l’armée a demandé à la population d’évacuer le nord de Gaza. Quant à ceux qui restent, tant pis. Ils choisissent de mettre leur vie en jeu. »

      Depuis le début de l’opération militaire sur Gaza, l’armée israélienne n’a guère détaillé les cibles qui justifieraient les frappes. Ses services de communication donnent en revanche le tonnage de bombes larguées sur l’enclave, en postant les images de ruines.

      Asa Kasher, professeur de philosophie à l’université de Tel-Aviv, qui a contribué à la rédaction du code d’éthique des forces israéliennes, explique qu’il s’agit d’une équation : « Quand on est attaqué, on peut se défendre sans enfreindre le droit international. S’il y a une position avec des civils et des combattants, on évalue les risques. Si les gains sont militairement intéressants, et les pertes civiles limitées, il faut frapper. Sinon, il faut abandonner. » Quant à l’objectif affiché de détruire le Hamas, Asa Kasher s’interroge : « Détruire le Hamas n’est pas un objectif raisonnable. Détruire leurs capacités militaires ? Oui. Leurs infrastructures financières ? Oui. Mais détruire leur haine des juifs, des Israéliens, de l’Ouest, non. Ce qu’on peut faire, c’est réduire leur potentiel jusqu’à ce qu’ils ne soient plus une source de danger. »

      https://www.lemonde.fr/international/article/2023/10/14/guerre-israel-hamas-l-armee-israelienne-change-les-regles-pour-detruire-le-h

  • Und Meyer sieht mich freundlich an – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Und_Meyer_sieht_mich_freundlich_an

    In den Roaring Twenties und danach gin es in Berliner Kneipen hart zu. Humor war alles, was sich weit jenseits heutiger Wokeness bewegte. Lieder über legendäre „Schlachten“ der Unter- und Nachtwelt wurden von Bier und Schnapsbrüdern fröhlich mitgegrölt. Vergessen Sie #Berlin_Alexanderplatz. Die Realiät war härter als der gute Doktor Döblin es seinen Lesern zumuten wollte. Ab jetzt folgen schwere Straftaten. Was tut man nicht, um sich zu amüsieren.

    Los geht unser Zug durch die Nacht mit Suff und Ehebruch.

    https://www.youtube.com/watch?v=ZqdsVDkCG3s


    https://de.wikipedia.org/wiki/Und_Meyer_sieht_mich_freundlich_an

    Und Meyer sieht mich freundlich an ist ein Couplet aus dem Jahre 1901. Von Kurt Tucholsky wurde es als das „klassische“ Berliner Couplet bezeichnet.

    Die Musik stammt von dem Wiener Operetten-Komponisten Leo Fall, der damals Hauskomponist des Berliner Kabaretts „Die bösen Buben“ war.

    Dessen Gründer, Rudolf Bernauer, schrieb den Text, in dem ein junger Mann in der Kneipe mit der hübschen und offenbar vernachlässigten Ehefrau eines reichen Industriellen anbändelt, der daneben sitzt und ihn dabei – anscheinend nichts ahnend – freundlich ansieht. Dies bleibt auch bei den sich hieraus ergebenden Schäferstündchen so – nur hängt der gehörnte Ehemann Meyer dabei als gemaltes Porträt an der Wand.

    https://www.youtube.com/watch?v=cPNVb96EqMM

    Die Erstinterpretation stammt von dem Wiener Komiker und Operettensänger Joseph Giampietro. Eine frühe Plattenaufnahme wurde von Robert Koppel gesungen. Aus den 1970er Jahren stammen Versionen von Entertainer Peter Frankenfeld (1975) und Schlagersänger Graham Bonney.

    Schon damals scherte man sich einen feuchten Kehricht um alles, was heute noch verboten ist.
    Mord und Totschlag. Ein hoch auf alle Messerstecher !

    Licht aus, Messer raus! (Otto Kermbach, Alexander Fleßburg; 1931)
    https://www.youtube.com/watch?v=g-YUaszw4gs

    (#393) GEORGE GROSZ | Licht aus, Messer raus! (Light Out, Knife Out!)
    https://www.sothebys.com/en/auctions/ecatalogue/2019/impressionist-modern-art-day-n10148/lot.393.html

    Licht aus, Messer raus! (Light Out, Knife Out!)Signed Grosz and dated(lower left); signed Grosz, Watercolor and pen and ink on paper, Executed in 1920.

    Wir schalten jetzt mal nen Gang runter und begnügen uns mit Beleidigung und übler Nachrede.

    Pump mir dein Gesicht, ich will die Großmama erschrecken Odeon Tanz Orchester mit Robert Koppel
    https://www.youtube.com/watch?v=ltWmoDCh-j4

    Und zu guter Letzt eine Prise aggressiver Rassismusfür alle in fröhlicher Schnapslaune. Sowas ging damals runter wie Butter. Wir wissen, was draus wurde und was davor war.

    Der Neger hat sein Kind gebissen / Odeon-Tanz-Orchester mit Refraingesang
    https://www.youtube.com/watch?v=8YwaUQktiBI

    Der Deutsche Schhellackplatten- und Grammophonforum e.V. kennt den Text des Machwerks und noch viele andere Zumutungen für den guten Geschmack.
    https://grammophon-platten.de/page.php?338

    Gassenhauer des Jahres 1926

    Der Neger hat sein Kind gebissen

    Refrain
    Der Neger hat sein Kind gebissen - o-o-ho,
    warum nur tat er uns nicht küssen - o-o-ho!
    Denn wenn man nennt zehn Weiber sein,
    wollen auch geküsst sie sein,
    wollen auch geküsst sie sein.

    Im dunkelsten Landes düsterstem Urwald liegt Jumbo, der Neger, ermattet vom Streit.
    Die Frauen des Negers schimpften und zankten, weil Jumbo verletzt ihre Eitelkeit.
    Er hatte zehn Schöne gefreit nach dem Brauch, doch liebt er ein anderes Mägdelein auch -
    die küßt er stets heimlich und küßt sie so wild -
    bis rot ihr das Blut aus der Lippe quillt;
    das haben die Weiber des Jumbo geseh´n und wütend schreien nun alle zehn:

    Der Neger hat sein Kind gebissen - o-o-ho,
    warum nur tat er uns nicht küssen - o-o-ho!
    Denn wenn man nennt zehn Weiber sein,
    wollen auch geküsst sie sein,
    wollen auch geküsst sie sein.

    Das tut richtig weh. Fast so wie dieser Bericht über den Zustand der Deutschen Bahn heute (9.6.2023).
    https://www.youtube.com/watch?v=jTDtoVql4hc

    It’s not easy having a good time.
    https://www.youtube.com/watch?v=6eo-zQrLxtE


    Sagt der Mann, nachdem er sich Kannibalismus, Entführung und Vergewaltigung allerlei biologischer und konstruierter Geschlechter hingegeben hat. Wo er Recht hat hat er Recht.

    #Berlin #Kultur #Musik #Geschichte #Eisenbahn #Rassismus #Gewalt

  • RIAS-Kutte kennt sich aus mit Kurt Pomplun
    http://www.rias1.de/sound4/rias_/kutte/kutte.html

    RIAS Berlin „Kutte kennt sich aus“ (1971-1977) mit Heimatforscher Kurt Pomplun
    „Rundschau am Mittag“ 31.12.1968 Joachim Cadenbach im Interview mit Kurt Pomplun (2:54): Im Juni ist ja die Temperaturen sehr erfreulich, auch wenn Napoleon behauptet hat, der deutsche Sommer ist ein grün angestrichner Winter.

    http://www.rias1.de/sound4/rias_/rundschau/rundschau/681231_rias_aktuell_rundschau_am_mittag_joachim_cadenbach_interview_kurt_pompl
    Auf der Seite können sie die Folgen 1 bis 127 hören.

    Kurt Pomplun – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Kurt_Pomplun

    Kurt Pomplun (* 29. Juli 1910 in Schöneberg; † 5. August 1977 in Berlin) war ein deutscher Heimatforscher. Er publizierte Werke zur Geschichte Berlins und Brandenburgs, seiner Mundart und mündlich überlieferten Märchen und Sagen.
    ...
    Pomplun beantragte am 27. Dezember 1937 die Aufnahme in die NSDAP und wurde rückwirkend zum 1. Mai desselben Jahres aufgenommen (Mitgliedsnummer 5.585.940).[1] Bereits 1933 war er der SS beigetreten, in der er es mindestens bis zum Hauptscharführer brachte.
    ...
    Im Alter von 67 Jahren verstarb Kurt Pomplun am 5. August 1977 während einer Diskussion in der Schöneberger Buchhandlung Elwert und Meurer an Herzversagen.

    #Albrechts_Teerofen #Alte_Berliner_Bahnhöfe #Amüsement #Ärzte #Bänkelsänger #Berlin #Strand_und_Freibäder #Berlin-Museum #Bernau #Biesdorf #Britz #Britz #Brücken #Brunnen #BVG-Museum #Cafes #Dahlem #Dampferfahrten #Düppel #Eisenbahn-Nahverkehr #Fasching #Filmmetropole #Friedenau #Fronau #Gartenlokale #Gassenhauer #Gatow #Geschichte #Groß-Berlin #Gründerzeit #Grunewaldseen #Häfen #Hansaviertel #Havelland #Heiligensee #Hohenschönhausen #Humor #IFA #Inseln #Jagdschloß_Grunewald #Kaulsdorf #Kladow #Klein-Glienicke #Klein-Machnow #Kneipen #Kohlhasenbrück #Kolonie_Grunewald #Köpenick #Krankenhäuser #Kurfürstendamm #Lankwitz #Leierkastenmänner #Lichtenrade #Lichterfelde #Lietzensee #Lübars #Mahlsdorf #Maibräuche #Marienfelde #Märkisches_Museum #Märkisches_Viertel #Moabit #Nikolassee #Operetten #Operetten #Pankow #Parks #Pfaueninsel #Pichelsdorf #Post-Museum #Potsdam #Potsdamer_Platz #Radio #Rauchfangswerder #RIAS #Rixdorf #Rote_Insel #Rundfunk #Sagen #SansSouci #Schloß_Charlottenburg #Schloßpark_Charlottenburg #Schmargendorf #Schmökwitz #Schöneberg #Schönow #Siemensstadt #Spandau #Spielzeug #Sport #Spreewald #Springer-Haus #Staaken #Stansdorf #Steglitz #Steinstücken #Stralau #Südende #Tegel #Tegelersee #Tempelhof #Theater #Theater #Tiergarten #Treptow #Turnen #Unter_den_Linden #Volks-Theater #Wannsee #Wedding #Weihnachten #Weinstadt_Berlin #Weißensee #Westend #Wilmersdorf #Wintergarten #Scala #Wintersport #Zeitungswesen #Zitadelle_Spandau #Zoo #Zoologischer_Garten

  •  » 1961 : Discours du président Dwight Eisenhower sur le complexe militaro-industriel américain
    Dwight Eisenhower
    https://www.les-crises.fr/eisenhower-1961

    Nous devons veiller à empêcher le complexe militaro-industriel d’acquérir une influence injustifiée dans les structures gouvernementales, qu’il l’ait ou non consciemment cherchée. Nous nous trouvons devant un risque réel, qui se maintiendra à l’avenir : qu’une concentration désastreuse de pouvoir en des mains dangereuses aille en s’affermissant. Nous devons veiller à ne jamais laisser le poids de cette association de pouvoirs mettre en danger nos libertés ou nos procédures démocratiques. Nous ne devons jamais rien considérer comme acquis. Seul un peuple informé et vigilant réussira à obtenir que l’immense machine industrielle et militaire qu’est notre secteur de la défense nationale s’ajuste sans grincement à nos méthodes et à nos objectifs pacifiques, pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble. […]

    [Dwight Eisenhower, Discours de fin de mandat resté connu sous le nom du Discours du Complexe Militaro-Industriel, 17/01/1961]

    #complexe_militaro_industriel #Eisenhower

  • #Leipzig : la violence fait partie du problème – et le problème est le système
    https://fr.squat.net/2020/09/09/leipzig-la-violence-fait-partie-du-probleme-et-le-probleme-est-le-systeme

    Jeudi dernier, il y a eu des affrontements avec la police autour de la #Eisenbahnstraße et les jours suivants à #Connewitz. Les événements de jeudi sont directement liés à la #manifestation du jour J+1 qui a suivi l’expulsion de la #Luwi71. Nous comprenons les violences qui ont suivi à Connewitz également comme une réaction de […]

    #actions_directes #Allemagne #émeutes #expulsion #gentrification #Leipzig_Besetzen #Ludwigstraße_71

  • #Leipzig : qui sème le vent, récolte la tempête
    https://fr.squat.net/2020/09/08/leipzig-qui-seme-le-vent-recolte-la-tempete

    Nous revenons sur un long week-end rempli d’actions contre les expulsions, contre la #gentrification et l’insupportable siège policier de nos quartiers. Après que deux maisons occupées aient été expulsées en très peu de temps, la colère à Leipzig a atteint son paroxysme une fois de plus. Après l’expulsion du squat #Luwi71 le mercredi, une #manifestation […]

    #actions_directes #Allemagne #B34 #Bornaische_Strasse_34 #Connewitz #Eisenbahnstraße #émeutes #expulsion #Fight_For_Your_Future #Ludwigstraße_71 #perquisition #procès #Rote_Aufbau

  • #Leipzig: qui sème le vent, récoltera la tempête
    https://fr.squat.net/2020/09/08/leipzig-qui-seme-le-vent-recoltera-la-tempete

    Nous revenons sur un long week-end rempli d’actions contre les expulsions, contre la #gentrification et l’insupportable siège policier de nos quartiers. Après que deux maisons occupées aient été expulsées en très peu de temps, la colère à Leipzig a atteint son paroxysme une fois de plus. Après l’expulsion du squat #Luwi71 le mercredi, une #manifestation […]

    #actions_directes #Allemagne #B34 #Bornaische_Strasse_34 #Connewitz #Eisenbahnstraße #émeutes #expulsion #Fight_For_Your_Future #Ludwigstraße_71 #perquisition #procès

  • #Leipzig : #Luwi71 expulsée
    https://fr.squat.net/2020/09/03/leipzig-luwi71-expulsee

    Vous pouvez nous prendre la Luwi, mais pas nos rêves. Le 2 septembre 2020, la Luwi71 a été expulsée. Vers six heures du matin, les flics ont essayé de s’introduire dans la maison. Grâce à de solides barricades, cela n’était pas possible avec le bélier. Seules les tronçonneuses ont donné accès aux autorités de l’État. […]

    #actions_directes #Allemagne #Eisenbahnstraße #expulsion #gentrification #Leipzig_Besetzen #Ludwigstraße_71 #manifestation

  • 22 Stolpersteine werden in Friedenau verlegt - Berliner Morgenpost
    https://www.morgenpost.de/bezirke/tempelhof-schoeneberg/article228495645/22-Stolpersteine-werden-in-Friedenau-verlegt.html

    21.02.2020 - In Friedenau werden an diesem Freitag und Sonnabend insgesamt 22 Stolpersteine verlegt. Der Kölner Künstler Gunter Demnig, auf dessen Initiative die Verlegung vor vielen Jahren entstanden ist, ist wieder in Berlin, um die Steine zum Gedenken an Opfer des Nationalsozialismus dort zu in das Straßenpflaster einzulassen, wo diese zuletzt gelebt haben. Neben der Verlegung finden auch Gedenkfeiern statt. Am Sonnabend, 13 Uhr, gibt es ein Chor-Konzert unter der Leitung von Jossif Gofenberg in der Evangelischen Philippuskirche in der Friedenauer Stierstraße 17-19.

    Man versuche immer, Menschen aus der Nachbarschaft zu finden, die einst im Bezirk gelebt haben, berichtet Sigrun Marks von der Stolperstein-Initiative Stierstraße Berlin-Friedenau. Die Initiative recherchiert dazu die Biographien und Wohnorte der Opfer – und ihrer Angehörigen. Wenn möglich, werden sie zur Verlegung eingeladen. Zum Teil müsse man bis zu vier Jahre warten, bis ein Stein verlegt werden kann. Das hänge auch mit dem engen Zeitplan des Künstlers zusammen, der nur viermal im Jahr in Berlin ist.
    Stolpersteine: Den Opfern der Nazi-Zeit jeden Tag begegnen können

    „Ihm ist wichtig, dass Menschen immer wieder daran vorbeigehen“, sagt Sigrun Marks über die Motivation des Künstlers. Die Gesellschaft werde am besten miteinbezogen, wenn sie den Opfern der Nazi-Zeit jeden Tag begegnen können.

    Am Sonntag wird auch Max Abraham in der Bennigsenstraße 8 mit einem Stolperstein gedacht. Über seinen jüdischen Vater konnte die Initiative nicht viel in Erfahrung bringen, die Mutter sei nicht jüdisch gewesen. Abraham habe in einem möblierten Zimmer zur Miete gelebt. Er war Einkäufer und ledig. 1942 wurde Max Abraham durch die Gestapo von Berlin nach Theresienstadt deportiert und dort durch die sowjetische Armee 1945 befreit. Er emigrierte später in die USA. Dort habe sich seine Spur verloren.
    Zeitplan für die Verlegungen am Freitag und Sonnabend:

    Freitag, 21.2.:

    14 bis 14.15 Uhr, #Luitpoldstraße 42: 1 Stein für Manfred Sommerfeld

    14.20 bis 14.40 Uhr, #Traunsteiner_Straße 10: 3 Steine für Dr. Franz Selten, Erna Selten, Eva Maria Selten

    Sonnabend, 22.2:

    09 bis 09.30 Uhr, #Motzstraße 82: 5 Steine für Emma Fabian, Michael Tennenbaum, Ilse Johanna Tennenbaum, Steffa Emilia Tennenbaum, Fritz Fabian

    09.35 bis 09.45 Uhr, #Eisenacher_Straße 29: 1 Stein für Siegfried Engel

    09.50 bis 10.10 Uhr, #Hauptstraße 63: 2 Steine für Luise Cohn, Ludwig Cohn

    10.15 bis 10.35 Uhr, Bennigsenstraße 16: 2 Steine für Clara Lichtenstein, Dora Lichtenstein

    10.35 bis 10.55 Uhr, Bennigsenstraße 17: 2 Steine für Paul Bendix, Max Tausk

    10.55 bis 11.10 Uhr, Bennigsenstraße 6: 1 Stein für Louis Ludwig Broh

    11.10 bis 11.25 Uhr, #Bennigsenstraße 8: 1 Stein für Max Abraham

    11.35 bis 11.55 Uhr, #Varziner_Straße 12: 3 Steine für Karl Silberstein, Erna Silberstein, Heinz Silberstein

    #Berlin #Schöneberg #Friedenau #Geschichte #Shoa

  • Preußische Eisenbahn: Vor 180 Jahren eröffnete die erste Bahnstrecke zwischen Berlin und Potsdam - Berlin - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/preussische-eisenbahn-vor-180-jahren-eroeffnete-die-erste-bahnstrecke-zwischen-berlin-und-potsdam/23239764.html

    29.10.2018, 07:16 Uhr Andreas Conrad

    Am 29. Oktober 1838 fuhr die erste Eisenbahn auf der neuen Strecke. Dabei war der König Friedrich Wilhelm III. zunächst skeptisch. Ein Rückblick.

    Selbstverständlich war der Zug nicht pünktlich, startete aus Berlin mit einigen Minuten Verspätung, aber das dürfte die Reisenden an jenem 29. Oktober 1838 nur wenig gestört haben, ja, es machte die Reise doch nur noch spannender. Und das konnte ihnen sowieso niemand nehmen: Sie würden die ersten Berliner Eisenbahn-Reisenden sein.

    Es ist in den vergangenen Jahren oft von der gewünschten, geplanten, abgelehnten Wiedereröffnung der Stammbahn die Rede gewesen, dem Lückenschluss der Bahnverbindung zwischen Berlin und Potsdam. Erst vor wenigen Tagen hat die Deutsche Bahn ihre Pläne bezüglich einer Erneuerung dieses Schienenweges noch einmal bekräftigt. Ob aber wohl jeder Teilnehmer an der oft heftig geführten Diskussion die Herkunft des Namens Stammbahn erklären könnte, sei dahingestellt. Dabei ist es so einfach: Die Strecke Berlin-Potsdam war die erste Eisenbahnverbindung Preußens, teileröffnet am 22. September 1838, als es von Potsdam aus nur bis nach Zehlendorf ging, komplett in Betrieb genommen heute vor 180 Jahren.

    Skeptische Preußen

    Erst drei Jahre zuvor war zwischen Nürnberg und Fürth das Eisenbahnzeitalter auch in Deutschland eröffnet worden, in Preußen dagegen war man bei Hofe anfangs skeptisch. „Kann mir keine große Seligkeit davon versprechen, ein paar Stunden früher von Berlin in Potsdam zu sein“, grummelte Friedrich Wilhelm III. Sein Thronfolger, der spätere Friedrich Wilhelm IV., dagegen erkannte die Zeichen der Zeit und jubelte nach der – angeblich sogar auf der Lok absolvierten – Jungfernfahrt: „Diesen Karren, der durch die Welt rollt, hält kein Menschenarm mehr auf.“ Womit er wohl eher den Zeitgeist traf als der eher auf Gemütlichkeit schwörende Herr Papa. Die „Berlinischen Nachrichten von Staats- und gelehrten Sachen“ schwärmten denn auch von einem „lichten Moment in der Geschichte Berlins“, während die „Vossische Zeitung“ in der Eröffnung der kompletten Strecke gar den „Anfangspunkt einer höchst segensreichen, bedeutungsvollen Zukunft“ sah.

    Im Jahr vor der Eröffnung der Strecke hatte die Berlin-Potsdamer Eisenbahngesellschaft vor dem Potsdamer Tor ein zuvor für das Bleichen von Stoffen genutztes Grundstück erworben und dort, nahe dem Potsdamer Platz, den ersten Bahnhof Berlins errichtet. Das Gegenstück in Potsdam befand sich etwa dort, wo sich noch heute der Hauptbahnhof von Brandenburgs Landeshauptstadt befindet. Auch Zehlendorf hatte eine Station, 1839 folgte Steglitz.

    Die Züge, vorneweg Robert Stephensons „Adler“, stammten noch aus englischer Produktion. Die erste Lok des Berliner Eisenbahnkönigs August Borsig wurde erst 1840 montiert. Da hatte es bereits den ersten Eisenbahnunfall gegeben.

    Spaziergang auf der alten Stammbahntrasse in Zehlendorf, hier am Hegauer Weg. Die Bahnstrecke führte einst vom Berliner zum Potsdamer Hauptbahnhof über Zehlendorf. Seit 1945 ist sie außer Betrieb. Stillgelegte Teile davon lassen sich zu Fuß ablaufen.

    Das ist die Strecke, um die es geht - vom Berliner zum Potsdamer Hauptbahnhof, über Steglitz, Kleinmachnow und Babelsberg. Die Stammbahn könnte durchaus wiederaufgebaut werden - oder als Fahrradschnellweg dienen.

    Der 13. Tag war der Unglückstag

    Für den Bahnhof vor dem Potsdamer Tor hatte die Berliner Polizei strenge Verhaltensregeln erlassen, ordnete „größte Vorsicht bei dem Verkehr in der Nähe der Bahn und auf den Übergängen derselben“ an: „Die zur Befriedung der Bahn und zur Sicherung der Übergänge dienenden Verschluss-Anlagen dürfen nicht bestiegen werden, auch darf niemand an solche andrängen.“ Aber ausgerechnet am 13. Tag nach Eröffnung fuhr eine Lok auf einen vor ihr fahrenden Zug auf. Köpfe stießen zusammen, es gab Beulen und eine Frau verlor zwei Zähne.


    Täglich vier „Dampfwagen-Fahrten“ hin und zurück gab es anfangs, um die 40 Minuten wurden für die 26 Kilometer benötigt. Einer der regelmäßig das neue Transportmittel nutzenden Berliner war der Maler Adolph Menzel, der in Potsdam gern seinen Freund Wilhelm Puhlmann besuchte. Der erwarb auch die Ölskizze „Die Berlin-Potsdamer Bahn“ (1847), die sich heute in der Nationalgalerie befindet. Zwei Jahre zuvor hatte Menzel dazu eine Bleistiftskizze angefertigt, die Bahngleise noch ohne Zug.

    #Berlin #Potsdam #Geschichte #Eisenbahn #Stammbahn

  • Eiszeitkino :: Neuigkeiten
    http://eiszeit.berlin/de/veranstaltungen


    Byebye eiszeit war schön jewesen unversehens befinden wir uns im glaziozän. jetzt ort der erinnerung an eine zeit als eiszeit noch metapher war heute als praxis universell. Du warst raum für gedanken gefühle debatten underground dark room revolts im off vor arthouse wie lupe schlüter studio am adenauer kurbel klick. Auf eisschollen stehen kant delphi filmkunst_66 fsk . Zukunft intimes krokodil digitale lichtspielhäuser kommerzieller art, 4k wohnzimmer tritt an gegen open-air kino ist beweglich ohne teuren Saal. The revolution will not be televised kein arthouse kommt nicht aus dem off . It’s time for http://www.piratecinema.org/?page=faq

    DAS EISZEIT MUSS SCHLIEßEN – WIR SAGEN DANKE, TSCHÜSS & AUFWIEDERSEHEN!

    Am Freitag, 18.05.2018 wird das EISZEIT Kino seine letzte Filmvorführung zeigen!

    Nach über 35 Jahren und mindestens 75.000 Filmvorführungen schließt eins der letzten unabhängigen Kreuzberger Kinos. Wir haben in den letzten Jahren alles versucht, um diesem einzigartigen Kino eine langfristige Perspektive zu ermöglichen.

    Zum Abschied möchten wir euch treuen alten und neuen Stammgästen danken für Eure Treue und langjährige Verbundenheit zum Kino! Das EISZEIT ist besonders in der Zeit nach dem Umbau zunehmend zum Ort für anregende Filmgespräche und zum Treffpunkt für Filmfreunde geworden. Zusammen mit euch haben wir im EISZEIT an neuen Formen und Inhalten für das Programmkino der Zukunft gearbeitet. Daher möchten wir unseren Abschied mit Euch gebührend feiern! Wir wollen bei einer letzten Filmvorführung an die schöne Zeit erinnern, bei Musik das Tanzbein schwingen und das ein oder andere Glas auf das EISZEIT Kino erheben.

    Programm:
    20.30 Uhr: Vorletzte Filmvorführung im EISZEIT KINO mit einem Überraschungsfilm
    22.00 Uhr: Letzte Filmvorführung im EISZEIT KINO mit einem Überraschungsfilm
    ab ca. 21.30 Uhr: Closing-Party!

    Kommt alle vorbei und sagt dem EISZEIT Kino und dem ganzen Team Tschüss!

    –—

    KONTAKT

    Allgemeine Anfragen: info@eiszeit.berlin
    Programm, Kinomiete, Sonderveranstaltungen: Lysann Windisch - windisch@eiszeit.berlin
    Kino: info@eiszeit.berlin
    Bar: bar@eiszeit.berlin

    Neue Eiszeit GmbH
    Zeughofstraße 20
    10997 Berlin
    Deutschland
    Tel.: 030. 616 29 477

    #Berlin #Kino #Kreuzberg #Eisenbahnstraße #Gentrifizierung

  • Traditionskneipe öffnet wieder - Schöneberg - berliner-woche.de
    http://www.berliner-woche.de/schoeneberg/wirtschaft/traditionskneipe-oeffnet-wieder-d142164.html

    8. Februar 2018 - Eine Bierbank steht noch auf dem Gehweg vor dem Lokal, die Getränkekarte hängt im Kasten. Doch Marlies und Alfred Haarhaus schenken nach fast 40 Jahren am Zapfhahn kein Bier mehr aus.

    Die traditionsreiche Kneipe „Heckmeck“ in der Eisenacher Straße 111, der die Schultheiss-Brauerei 2013 den Status eines offiziellen Berliner Kiezkulturerbes verlieh, hat dichtgemacht – aus einem sehr traurigen Grund: Alfred Haarhaus ist im Oktober 2017 verstorben. Seine Witwe konnte den Betrieb nicht weiterführen.

    Allen Freunde echter Berliner Kiezkneipen sei aber gesagt: Es geht weiter. Seit dem 1. Februar gibt es einen neuen Betreiber. Das hat Ricarda Heubach vom Studentenwerk Berlin bestätigt; Eigentümer der Immobilie ist das Land Berlin. Das Studentenwerk betreibt in den oberen Stockwerken ein Wohnheim.

    Ein genauer Eröffnungstermin steht aber noch nicht fest.

    #Berlin #Kneipe #Schöneberg #Eisenacher_Straße

  • Agit 883 mit Titelseiten und Register
    http://www.bone-net.de/textgut/883.htm


    Urgroßmutter aller Berliner Stadtmagazine war ab 1967 das Spontiblatt Agit883. Die Redaktion befand sich in der Uhlandstraße 52, 1 Berlin 15.
    https://www.openstreetmap.org/node/1905963661#map=19/52.49644/13.32370

    Der Text zeugt von der Schwierigkeit, die chaotische linkspolitische Landschaft aus heutiger Sicht zu verstehen.

    Auf Seenthis auch unter https://seenthis.net/messages/516468
    https://plakat.nadir.org/883

    Die Titelseiten der Agit 883 und pdf-Scans zum Download

    Das Autorenkollektiv rotaprint 25 schätzt sich glücklich, alle erreichbaren Ausgaben der Westberliner Undergroundzeitschrift Agit 883 als PDF-Scans im Internet unter: http://plakat.nadir.org/883/index.html zu präsentieren. Darüber hinaus finden sich dort zwei Vorläuferausgaben aus dem Jahr 1967 sowie acht Ausgaben der Agit-Lokal-Ausgaben aus Hannover und Bremen aus den Jahren 1972/73.

    Auf der Website findet sich ein ausführliches Inhaltsverzeichnis dieser Ausgaben im PDF-Format, das mit dem Adobe-Reader geöffnet und auch durchsucht werden kann. Ein Klick auf die jeweiligen Titelbilder öffnet dieses in einem größeren Format, ein Klick auf die darunter liegende rote Linie das gesamte Dokument. Dieses steht problemlos zum Download zur Verfügung, in ihm kann aber auch geblättert werden.

    Die Register der Agit 883 wurden darüber hinaus auch an den Infoladen dataspace (http://ildb.nadir.org) in Leipzig mit der Bitte gemailt, es dort in die reguläre Recherche- und Suchfunktion für alle anderen dort im Register erfassten Zeitschriften und Periodika aufzunehmen.

    Nach der Erstellung des Buches »Agit 883 – Bewegung, Revolte Underground in Westberlin 1969–72« und der beigelegten CD ist dies nun der zweite Schritt, um ein bedeutendes Periodikum aus der Geschichte der westdeutschen radikalen Linken der Öffentlichkeit als Dokumentation und zur freien Nutzung zugänglich zu machen.

    Auch dieser Schritt möge heutigen linken AktivstInnen und kritischen ForscherInnen dabei behilflich sein, eine Reihe von politischen Fragen, die in den einzelnen Agit-883-Ausgaben verhandelt wurden, heute besser zu beantworten, als es den damaligen linksradikalen ZeitungsmacherInnen wie LeserInnen möglich war.

    rotaprint 25 (Knud Andresen, Hartmut Rübner, Markus Mohr)
    Hamburg/Berlin, den 19. Juli 2007

    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 1 bis 10
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 11 bis 20
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 21 bis 30
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 31 bis 40
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 41 bis 50
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 51 bis 60
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 61 bis 70
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 71 bis 80
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben 81 bis 91
    Inhaltsverzeichnis der Ausgaben aus Bremen und Hannover

    Erscheint Donnerstags mit Kleinanzeigen, Auf den Spuren einer linken Infrastruktur, Aus dem Buch „Agit 883“, Verlag Assoziation A, ISBN 3-935936-53-2
    http://www.taxi-wall-fahrten.de/presse/lehs_artikel.pdf

    Von den vielen Kneipen, die damals Anzeigen in der Agit 883 schalteten leben nur noch das WIrtshaus Wuppke in der #Schlüterstraße und das Heckmeck in der #Eisenacher_Straße.


    Die Schwedenfahrt der Berliner Falken findet noch immer jährlich statt.

    Und die Taz gibt auch ihren Senf dazu.
    Lasst das revolutionäre Layout sprechen! - taz.de
    http://www.taz.de/!345217

    #Berlin #Politik #Geschichte #Anarchismus

  • Stillgelegt - Berliner S-Bahn-Strecken außer Betrieb - Friedhofsbahn Stahnsdorf
    http://www.stillgelegte-s-bahn.de/friedhofsbahn/friedhofsbahn.htm

    Friedhofsbahn - ein makaberer Name? Keinesfalls. Hier gab es keine schweren Unfälle, sondern der Zweck dieser Strecke bestand in der Verkehrsanbindung der um 1905 außerhalb der Stadt angelegten großen Friedhöfe. 1913 fuhr der erste Dampfzug von Wannsee über den Haltepunkt Dreilinden nach Stahnsdorf. Für viele „Fahrgäste“ war es tatsächlich die letzte Fahrt: Die Leichen wurden vom Güterbahnhof Halensee, der eine „Leichenabfertigungshalle“ besaß, mit der Bahn befördert. 1928 ging die Stromschiene in Betrieb und auf der eingleisigen Strecke pendelte alle 20 Minuten eine S-Bahn.
    Nach 1952 durften West-Berliner die DDR nur mit Sondergenehmigung betreten. Somit blieben die Fahrgäste aus. Mit dem Mauerbau 1961 wurde der Verkehr eingestellt. Durch die Lage im Sperrgebiet sind heute noch etliche Spuren zu finden.

    Pläne für eine mittelfristige Wiederaufnahme des Betriebes gibt es nicht. Langfristig ist eine Verbindung Wannsee - Stahnsdorf - Teltow Stadt denkbar. Davon sind auch schon Spuren zu finden.
    Eine „Kleine Anfrage“ im Abgeordnetenhaus von Berlin (Drucksache 15/10861) vom 28.8.2003 erbrachte folgende Aussage der Senatsverwaltung für Stadtentwicklung: Im Step-Verkehr sei der Friedhofsbahn-Abschnitt Abzweig Wannsee - Dreilinden nicht mehr enthalten, im FNP sei er als Bahnfläche gekennzeichnet. Nach Brandenburger Aussage sei der Abschnitt Dreilinden - Teltow Stadt im Verkehrsentwickungsplan nicht mehr als Trassenfreihaltung vorgesehen. Dennoch werde die Trasse im Rahmen der Bauleitplanung der Gemeinden „wenn möglich freigehalten“. „Ein Verkehrsbedarf der Gesamtstrecke [sei] auf absehbare Zeit nicht nachweisbar“, aber „eine Planungsoption Teltow Stadt - Stahnsdorf [würde] für denkbar gehalten.“

    Länge Wannsee - Stahnsdorf: ca. 4,2 km

    Friedhofsbahn Stahnsdorf bis Wannsee
    http://www.friedhofsbahn.de

    Regionalmarketing „Der Teltow“ e.V. befürwortet den Ringschluss der S-Bahn von Teltow-Stadt über Stahnsdorf (Ort) - sowie über die Friedhofsbahn von Stahnsdorf-Südwestkirchhof bis Wannsee.
    Wir bieten Ihnen mit dieser Sympathieplattform die Möglichkeit, Beiträge zur Darstellung der Geschichte, Zukunft und zur Wirtschaftlichkeit für den Ringschluss/Friedhofsbahn zu veröffentlichen. Nehmen Sie Kontakt zu uns auf.

    Bahnstrecke Berlin-Wannsee–Stahnsdorf – Wikipedia
    https://de.wikipedia.org/wiki/Bahnstrecke_Berlin-Wannsee%E2%80%93Stahnsdorf

    Die Friedhofsbahn ist nicht begraben - Nachrichten Potsdam-Mittelmark
    http://www.pnn.de/pm/1055848

    03.03.2016 von Solveig Schuster
    Idee der CDU Steglitz-Zehlendorf für Radschnellweg kommt in Stahnsdorf nicht an. Verhandlungen zum Flächenkauf stocken

    Stahnsdorf - Erst im Herbst hatten die Christdemokraten aus Steglitz-Zehlendorf die Idee eines Radschnellwegs auf der stillgelegten Stammbahntrasse ins Gespräch gebracht. Jetzt legen die Berliner mit dem Vorschlag nach, auch die Trasse der ehemaligen Friedhofsbahn vorübergehend als Radweg zu nutzen. Dass es gelingt, auch die benachbarten Umlandgemeinden von der Idee zu überzeugen, ist jedoch eher unwahrscheinlich. Sie lehnen die Pläne bislang ab.

    Wie berichtet will die Deutsche Bahn die Trassengrundstücke der seit über 50 Jahren stillgelegten Bahnstrecke, die den Stahnsdorfer Südwestkirchhof mit dem Bahnhof Wannsee verband, verkaufen. In einem Bieterverfahren hatten sich Kleinmachnow und Stahnsdorf um im Gemeindegebiet liegenden Grundstücke einschließlich der gesperrten Eisenbahnbrücke über den Teltowkanal beworben.

    Die Kommunen wollen gemeinsam die Möglichkeit einer späteren Wiederinbetriebnahme der vier Kilometer langen Strecke offenhalten. Nach einer denkbaren Verlängerung der S 25 vom S-Bahnhof Teltow-Stadt nach Stahnsdorf könnte damit der Ringschluss nach Berlin gelingen. Doch auch Monate nach der Ausschreibung verhandeln die Parteien noch.

    „Die nächsten Gespräche werden gerade terminiert“, erklärte Kleinmachnows Rathaussprecherin Martina Bellack den PNN. Dabei soll es auch „um den weiteren Umgang mit der Friedhofsbahnbrücke“ gehen, heißt es aus der Stahnsdorfer Gemeindeverwaltung. Die Bahn lehnt eine Stellungnahme derzeit ab.

    Beide Kommunen betonen, die Trasse für den Schienenverkehr erhalten zu wollen. Ein Radweg, wie von den Steglitz-Zehlendorfern vorgeschlagen, lehnt Kleinmachnow als unmittelbarer Grundstücksnachbar ab. „Wir halten einen Radweg dort nicht für sinnvoll“, sagte Rathaussprecherin Bellack. Mit dem als Radweg ausgebauten Stahnsdorfer Damm gäbe es bereits eine „hervorragende Verbindung zum S-Bahnhof Wannsee.“

    Bislang haben die Berliner das Gespräch mit den Nachbarn zum Radweg aber noch nicht gesucht. Zunächst hatten Grüne und CDU in einem gemeinsamen Antrag ihre Idee in den Stadtplanungsausschuss der Bezirksverordnetenversammlung Steglitz-Zehlendorf eingebracht. Im Februar waren die Ausschussmitglieder dem Antrag einstimmig gefolgt.

    Das Bezirksamt soll nun baurechtlich prüfen, ob die Bahnstrecke per Radweg gesichert werden kann. „Sollte es dazu kommen, bedarf es einer Stadtanbindung auch in die City-West“, erklärte der CDU-Fraktionschef von Steglitz-Zehlendorf, Torsten Hippe, den PNN. Ob sich Steglitz-Zehlendorf ohne Radweg an den Kosten für den Kauf der ehemaligen Trassengrundstücke beteiligen würde, ist offen. Ausschließen will es Hippe nicht. Für Irritationen hatte zwischenzeitlich ein neuerliches Inserat der Deutschen Bahn gesorgt. Demnach will sich das Unternehmen neben den im Bieterverfahren ausgeschriebenen Trassengrundstücken nun auch von einem 26 000 Quadratmeter großen, unbebauten und überwiegend mit Bäumen und Gehölzen bewachsenen Grundstück an der Heinrich-Zille-Straße in Stahnsdorf trennen. Dabei handelt es sich um die ehemalige Ladestraße der alten Friedhofsbahn am Stahnsdorfer Bahnhof.

    Stahnsdorf habe auch für dieses Flurstück ein Kaufangebot abgegeben, um es für eine Reaktivierung der Strecke zu sichern, erklärte Gemeindesprecher Stephan Reitzig. Inwieweit die Ladestraße dafür benötigt wird, ist laut Bahnsprecher Gisbert Gahler derzeit unklar.

    Die Sorge, die Bahn könnte analog zur Friedhofsbahn über kurz oder lang auch Trassengrundstücke der ehemaligen Stammbahn, die vom Potsdamer Platz in Berlin über Steglitz-Zehlendorf und Kleinmachnow nach Potsdam verlief, verkaufen, scheint derzeit unbegründet. Auch die Bahn hält eine Wiederbelebung der 1838 eröffneten Verbindung für unausweichlich. Konzernsprecher Gahler zufolge wachse der Verkehr zwischen Berlin und Potsdam schon heute dynamisch. Die Stadtbahn sei mit den dort verkehrenden S-, Fern- und Regionalzügen „ausgelastet bis überlastet“.

    Ein weiteres Wachstum im Korridor Berlin-Potsdam könne langfristig nur auf einer wieder in Betrieb genommenen Stammbahn stattfinden, so Gahler. „Aus diesem Grund erscheint es sehr wichtig, die Trasse für die Zukunft zu sichern.“ Alles andere werde durch die Politik in Berlin und Brandenburg bestimmt.

    Berlins Regierender Bürgermeister Michael Müller (SPD) hatte zuletzt wie berichtet geäußert, dass er und auch die Brandenburger Landesregierung das Stammbahnprojekt unterstützten und Vorbehalte vor allem in der Vorstandsetage der Bahn bestünden.

    Friedhofsbahn Google Map
    https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1ZOonLD0CjvjDkCDaYGtsOgMpfS4&ll=52.405272745483316%2C13.179146647

    The Friedhofsbahn | Digital Cosmonaut
    http://digitalcosmonaut.com/2013/the-friedhofsbahn

    Berlins rail based public transport network is huge. Combined, the S-Bahn and U-Bahn have over 477 Km worth of tracks, 25 lines and 339 stations – something very few cities can match. Dating back to 1838 – the network expanded with the rapidly growing city, though wars, economic depression and political divisions have caused several projects to be abandoned midway or lines to be closed altogether. One of these abandoned lines is the Friedhofsbahn (also known as the Stahnsdorfer Bahn) – which ran from Wannsee to Stahnsdorf.

    Stahnsdorf – Es war noch was los nachts um 1 am Bahnhof – MAZ - Märkische Allgemeine
    http://www.maz-online.de/Lokales/Potsdam-Mittelmark/Es-war-noch-was-los-nachts-um-1-am-Bahnhof

    Stahnsdorf. „Ein wichtiges Etappenziel ist erreicht“, sagt Jens Klocksin von der Bürgerinitiative Stammbahn erleichtert. Die Länder Brandenburg und Berlin haben mit der Deutschen Bahn eine Rahmenvereinbarung zum Ausbau von acht stark belasteten Eisenbahn-Korridoren unterzeichnet. Auf dieser Liste steht nun auch die Stammbahn Berlin–Potsdam. Klocksin sieht das auch als Erfolg der Bürgerinitiative. Ein Lenkungskreis, der Ende November zum ersten Mal tagt, soll die Projekte zur Baureife führen.

    Die Bürgerinitiative Stammbahn fordert die Reaktivierung der ersten preußischen Eisenbahnstrecke. So könnte auch Kleinmachnow wieder einen Bahnhof bekommen. In der Bürgerinitiative engagieren sich aber auch Menschen, für die die Wiederinbetriebnahme der Friedhofsbahn zwischen Wannsee und Stahnsdorf und deren Verlängerung nach Teltow im Fokus steht. Pläne für die Verlängerung hatte die Deutsche Reichsbahn schon Ende der 1930er Jahre erarbeitet.

    In vielleicht zwölf Jahren könnten einige der diskutierten Bahnprojekte in Berlin und Brandenburg verwirklicht sein. Kurt Peil geht davon aus, dass er das nicht mehr erleben wird. Für den 89-Jährigen sind die Strecken ferne Zukunft – aber auch Vergangenheit, namentlich die Friedhofsbahn. Denn Kurt Peil hat sie gefahren. Der Stahnsdorfer war von seinem Onkel überredet worden, zur Bahn zu gehen. Zuerst hat er Wagen geputzt, dann wurde er Schaffner. Zwei Tage nachdem er geheiratet hatte – vor wenigen Tagen wurde mit Ehefrau Ruth und vielen Gästen Eiserne Hochzeit gefeiert – begann seine Ausbildung zum Triebfahrzeugführer. „Da gab es mehr Geld“, sagt Peil zu seiner Motivation.

    In der Nacht vom 12. zum 13. August 1961 kam er mit seiner Frau von einer Familienfeier in Berlin-Friedrichshain wieder in Stahnsdorf an. Wobei er sich beim Feiern zurückgehalten hatte, weil am Morgen wieder sein Dienst begann. Als er am Bahnhof eintraf, stand dort alles voller Uniformierter. Die Station, an der er noch ein paar Stunden zuvor angekommen war, war geschlossen. Peil hatte seinen Kollegen zwar noch abgelöst, aber losfahren konnte er nicht mehr mit seinem Zug. Die DDR-Führung hatte die Grenze nach West-Berlin dicht gemacht. Peil war mit der letzten, vielleicht auch vorletzten S-Bahn von Wannsee nach Stahnsdorf nach Hause gekommen. „Einfach den Bahnhof zumachen. Wir hätten uns das nicht vorstellen können“, sagt Ruth Peil. Sie hatte zuerst von Nachbarn von der Abriegelung erfahren. Ihre erste Reaktion: „Aber mein Mann ist doch zur Frühschicht gegangen und nicht wieder zurück.“

    Seinen Arbeitsplatz bei der S-Bahn behielt Kurt Peil trotz der eingestellten Strecke. Bis 1962 fuhr er – da die Bahn nach einem Alliierten-Beschluss ja in allen vier Sektoren von der Deutschen Reichsbahn betrieben wurde – weiter auf West-Berliner Gebiet. Ab und zu hat er die Gelegenheit genutzt, sich mit seiner Schwägerin zu treffen, die im Westen wohnte. Offenbar hat das jemand beobachtet. Peil wurde jedenfalls bald in Grünau stationiert. Das bedeutete mindestens eine anderthalb Stunde Anfahrt mit Bus und Zug, nach Feierabend die ganze Tour zurück. Kurt Peil saß dann noch viele Jahre in einem Triebfahrzeug. Wahrscheinlich ist so ziemlich jeder Ost-Berliner mal sein Passagier gewesen. 1990 konnte er in Rente gehen.

    Von dem Bahnhof, an dem sein Leben als S-Bahn-Fahrer begann und der in den 50er Jahren wieder auf Vordermann gebracht worden war, ist nahezu nichts mehr zu sehen. Unter den Bäumen findet man immerhin noch einen zugewachsenen Bahnsteig. Das Empfangsgebäude war 1976 gesprengt worden. Ein zum 100-jährigen Bestehen aufgestelltes Signal erinnert als Denkmal an die Station.

    Nun lassen sich vom Fahrgastaufkommen im August 1961 seriös keine Rückschlüsse für die Zukunft der Bahnstrecke ziehen. Kurt Peil kann sich aber noch genau erinnern: Er und seine Frau, sie waren bei weitem nicht der einzigen, die damals nachts um eins in Stahnsdorf ankamen. „Da war noch eine Menge los“, sagt der 89-Jährige.

    Von Stephan Laude

    Ab heute Ausstellung über den Bahnhof Stahnsdorf: Man nannte sie Friedhofsbahn | Berliner Zeitung
    https://www.berliner-zeitung.de/ab-heute-ausstellung-ueber-den-bahnhof-stahnsdorf-man-nannte-sie-fr

    19.02.96, 00:00 Uhr
    ZEHLENDORF Der verschwundene Bahnhof: Unter diesem Titel ist ab heute im Foyer des Rathauses eine Ausstellung zu sehen. Sie beschäftigt sich auf dokumentarische und künstlerische Weise mit ehemaligen S-Bahnhof Stahnsdorf.Längst ist Gras über die Sache gewachsen. Dort, wo täglich Fahrgäste ein- und ausstiegen, erinnert jetzt kaum noch etwas an den alten Bahnhof Stahnsdorf. Lediglich der Bahnsteig läßt noch erahnen, was sich einst an dieser Stelle befand. Wenige Meter Gleis Die Ausstellung im Rathaus Zehlendorf wird bei so manchem sicher Erinnerungen wecken an die Zeit, als die Vorstadtbahn noch fuhr. So wie bei dem 63jährigen Peter Ernst, der mit vier anderen gut ein halbes Jahr recherchiert und die Ausstellung zusammengestellt hat. „Ich bin früher damit immer nach Berlin reingefahren“, berichtet der Rentner aus Güterfelde bei Potsdam. Für ihn war die Bahn die Verbindung zur Großstadt. 1913 eingeweiht, verkehrte die S-Bahn sogar im Zehn-Minuten-Takt zwischen Wannsee und Stahnsdorf. Da sich in unmittelbarer Nähe des Bahnhofes ein Friedhof mit einem extra Gleis-Anschluß befand, wurde die Strecke im Volksmund auch „Friedhofsbahn“ genannt. Als im Zweiten Weltkrieg die Brücke über den Teltowkanal zerstört wurde, verkehrte die Bahn drei Jahre nicht. Danach fuhr sie wieder - bis zum Mauerbau am 13. August 1961.Was jetzt noch an die Strecke erinnert, hat die Münchner Künstlerin Susanne Tank in Bildern festgehalten: Die Schneise im Wald, Teile von Schienen, zugewucherte Bahnsteige, Müll. „Wie Menschen mit der Vergangenheit umgehen“, wie sie es erklärt. Während auf westlicher Seite die Schienen bis 1985 erhalten blieben, verschwand jenseits der Grenze der Bahnhof 1976 von der Bildfläche, die Bahnhofsgaststätte wurde in „Waldidyll“ umbenannt, das kleine Häuschen abgerissen. Die Gleise wurden entfernt und zu „Grenz-Hindernissen“ umfunktioniert. Lediglich ein kleines Stück erinnert noch an die einstige Strecke: Dort, wo sich einst die Grenze befand, konnten die Gleise damals nicht beseitigt werden. Sechs Monate Arbeit Wenn Peter Ernst auf diese Fotografien schaut, dann wünscht er sich die Strecke mit den beiden Bahnhöfen Stahnsdorf und Dreilinden zurück. „Wir waren plötzlich von der Welt abgeschnitten.“ Sechs Monate Arbeit stecken in der Ausstellung. Das Rathaus Zehlendorf ist nach der Volkshochschule Mitte und dem Clubhaus Stahnsdorf bereits der dritte Ort, wo die Geschichte des verschwundenen Bahnhofs erzählt wird.Claudia FuchsDie Ausstellung „Der verschwundene Bahnhof“ im Foyer des Rathauses Zehlendorf in der Kirchstraße 1-3 ist bis zum 8. März montags bis freitags von 8 bis 18 zu besichtigen.

    Auf den Spuren der Friedhofsbahn..Eine Wanderung von Berlin-Wannsee nach Stahnsdorf.

    www.wanderung-friedhofsbahn.de

    Wir geben auf der Wanderung auf all diese und weitere Fragen Antworten:  
    Warum hieß diese Eisenbahnstrecke „Friedhofsbahn“ ?
    Weshalb wurden Verstorbene auf einem heute stillgelegten S-Bahnhof kontrolliert ?
    Aus welchen Gründen wurde die Interzonenautobahn in Dreilinden stillgelegt ?
    Wo verlief die Trasse der ersten Preußischen Eisenbahnlinie ? 
    Wo befand sich der alte alliierte Checkpoint Bravo ?
    Wo verlief die Grenze zwischen West-Berlin und der DDR ?
    Weshalb wurde ein West-Berliner von DDR Grenzposten am Teltowkanal erschossen ?
    Was erlebte der letzte S-Bahnfahrer auf der Friedhofsbahn in der Nacht des Mauerbaus ?

    #Berlin #Wannsee #S-Bahn #Eisenbahn #Friedhofsbahn #Stahnsdorf #Geschichte #Führung

  • Isochrone map of Berlin 1819, 1906 and 2015 – Alternative Transport

    https://alternativetransport.wordpress.com/2016/12/20/isochrone-map-of-berlin-1819-1906-and-2015

    Via beaucoup de monde sur twitter :)

    20. December 2016
    Isochrone map of Berlin 1819, 1906 and 2015

    Background to the first public transportation network in Europe and how post coaches fair, compared to trains.

    I wanted to show a comparison of different periods and their transportation systems in isochrone maps. I am not the first to come up with this idea, in 1903, Wilhelm Schjerning completed a study of isochrone maps for the Prussian province Brandenburg. They show the travel times for 1819, 1851, 1875, 1899 and a 5 hour version for 1903. Schjerning published them in the Zeitschrift der Gesellschaft für Erdkunde zu Berlin / Zeitschriftenband (1903)

    The first map I saw from Schjerning was in an article by Martin Grötschel and Ralf Borndörfer of the Zuse-Institute.

    #cartographie #visualisation #cartographie_isochrone

  • „Lieblingsbar“ in Berlin-Schöneberg: Kneipe schließt wegen zunehmender Kriminalität - Queer - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/queerspiegel/lieblingsbar-in-berlin-schoeneberg-kneipe-schliesst-wegen-zunehmender-kriminalitaet/14904388.html

    Im queeren Szenekiez in Schöneberg hat die Kneipe „Lieblingsbar“ geschlossen – weil die Gegend für die Gäste zu gefährlich geworden ist. Dies sagte Wirt Thorsten Baumert Montagabend dem Tagesspiegel. Zuvor hatte das Homosexuellen-Magazin „Siegessäule“ berichtet. „Ich habe die Bar geschlossen, weil die Gäste ausgeblieben sind. Der Kiez ist sehr kriminell geworden“, sagte Baumert.

    Es habe täglich Übergriffe auf Gäste und auch Mitarbeiter gegeben. „Es fing an mit kleineren Taschendiebstählen. Dann gab es auch Leute, die zusammengeschlagen und ausgeraubt worden sind.“ Es seien immer weniger Gäste gekommen, auch Veranstaltungen wie zum Beispiel Geburtstage seien immer wieder abgesagt worden. „Irgendwann mussten wir sagen: Wir können es nicht mehr stemmen“, sagte Baumert weiter.

    Die Kriminalität im Kiez, der besonders bei Homosexuellen beliebt ist, habe vor etwa anderthalb Jahren angefangen. „Es sind einige Stricherbars dazugekommen, verbunden damit dann auch mehr und mehr Jungs aus Osteuropa.“ Die Polizei habe die Probleme wahrgenommen und sei auch verstärkt Streife gefahren und habe Razzien durchgeführt, sagte der Kneipenchef. „Aber insgesamt kann man anscheinend wenig machen.“

    Baumert hatte die „Lieblingsbar“ 2014 in der Eisenacher Straße als Ableger der Kreuzberger Bar „Rauschgold“ eröffnet. Weitere Pläne zu einer Zweigstelle des „Rauschgold“ habe Baumert erst einmal nicht, sagte er. Die „Lieblingsbar“ ist seit dem 1. November geschlossen.

    http://www.openstreetmap.org/node/3826452018#map=19/52.49959/13.34922

    Rauschgolds Lieblingsbar
    Eisenacher Str. 3, 10777 Berlin
    lieblingsbar.berlin
    030 55128922
    Dauerhaft geschlossen
    http://lieblingsbar.berlin/preisliste

    #Berlin #Schöneberg #Eisenacher_Straße #LGBT #Kriminalität

  • Barbarossaplatz verschwindet aus dem Stadbild - er soll nach dem Muster des Viktoria-Luise-Platzes verkehrsberuhigt werden.
    http://www.berliner-woche.de/schoeneberg/bauen/haus-aus-den-50ern-abgerissen-d100377.html
    https://www.flickr.com/photos/alper/11968677045

    Flickr

    Die Berliner Woche berichtet vom Abriß eines Wohnhauses aus den Fünzigern am Barbarossaplatz. Ganz nebenbei erfährt man, daß der Bezirk vom „Investor“ den Platz so umbauen läßt, daß er, ähnlich dem Viktoria-Luise-Platz, in einen schlecht zugänglichen, nur für Anwohner nutzbaren Spielplatz verwandelt wird. „Aufwertung“ für Käufer und Investoren, Stress und Stau für alle anderen, lautet die Linie.

    Der Barbarossaplatz auf Openstreetmap
    http://www.openstreetmap.org/way/4597427#map=19/52.49194/13.34895

    https://www.flickr.com/photos/steffenz/16581401442

    Flickr

    Falls Sie das nicht nachvollziehen können, hier eine kleine Erklärung: Wenn bisher vom Taxifahrer ein Auftrag in einer der Straßen, die in den Platz einmünden, angenommen wurde, fuhr er zum Platz, schaute auf die Straßenschilder, um die Lage der Hausnummer festzustellen und bog anschließend in die erforderliche Richtung ab. Das passierte alles ganz entspannt mit 30 km/h und das Taxi traf dennoch zügig beim Kunden ein.

    https://www.flickr.com/photos/oh-berlin/8240177579

    Flickr

    Nach der Umgestaltung wird man den Platz nicht mehr überqueren können, sondern das ganze Viertel umfahren müssen, um zu einem Kunden zu gelangen. Schlimmer noch, wenn man sich in der Lage der Hausnummer irrt, muß man in den Platz einfahren, ihn wieder verlassen, das Viertel erneut umrunden und hoffen, dass beim Zweiten Versuch alles stimmt, und der Kunde noch wartet. Weil niemand will, dass der Kunde weg ist, bevor das Taxi bei ihm eintrifft, wird der Fahrer so schnell wie möglich fahren. Die Begrenzung auf 30 km/h interessiert dann nicht mehr.

    Zwei Dinge werden die Folgen der Sperrung sein:

    – Der Barbarossaplatz wird aus der Wahrnehmung verschwinden und die Stadt erneut ein Stück Identität verlieren.
    – Die Verkehrssituation wird nicht sicherer sondern gefährlicher, weil zu schnelles Fahren erzwungen wird.

    Die Lösung der Verkehrsprobleme, die mit solchen falschen Lösungen bezweckt wird, wäre ganz einfach: Anstelle die Stadt teuer umzubauen, müssten die Privatautos aus der Innenstadt verschwinden, die der Anwohner genauso wie die der Besucher.

    Warum das nicht geht ? Fragen sie mal die Vorstände von VW, Daimler, Opel, Ford, und wie sie alle heißen. Deren Einfluß wird zielgerechte Lösungen so lange verhindern, bis eine US-Justiz sie alle in die Pleite getrieben haben wird. Natürlich wollen auch die neuen Bewohner der teuren Luxuswohnungen mit ihren Limousinen und Car-Sharing-Fahrzeugen bis vor die Haustür fahren. Muß das sein, besonders wenn es die Stadt für alle anderen unbenutzbar macht ?

    #Berlin #Schöneberg #Viktoria-Luise-Platz #Barbarossaplatz #Eisenacher_Straße #Schwäbische_Straße #Barbarossastraße #Verkehrsberuhigung #Gentrifizierung

  • Tomgram: Noam #Chomsky, America’s Real Foreign Policy
    http://www.tomdispatch.com/blog/175863/tomgram%3A_noam_chomsky%2C_america%27s_real_foreign_policy

    In the 1950s, President #Eisenhower and Secretary of State John Foster #Dulles explained quite clearly the dilemma that the U.S. faced. They complained that the Communists had an unfair advantage. They were able to “appeal directly to the masses” and “get control of mass movements, something we have no capacity to duplicate. The poor people are the ones they appeal to and they have always wanted to plunder the rich.”

    That causes problems. The U.S. somehow finds it difficult to appeal to the poor with its doctrine that the rich should plunder the poor.

    #Etats-Unis

    • The current issue of the premier journal of media criticism, the Columbia Journalism Review, has an interesting article on this subject, attributing this outcome to the media doctrine of “fair and balanced.” In other words, if a journal publishes an opinion piece reflecting the conclusions of 97% of scientists, it must also run a counter-piece expressing the viewpoint of the energy corporations.

      That indeed is what happens, but there certainly is no “fair and balanced” doctrine . Thus, if a journal runs an opinion piece denouncing Russian President Vladimir Putin for the criminal act of taking over the Crimea, it surely does not have to run a piece pointing out that, while the act is indeed criminal, Russia has a far stronger case today than the U.S. did more than a century ago in taking over southeastern Cuba, including the country’s major port — and rejecting the Cuban demand since independence to have it returned. And the same is true of many other cases. The actual media doctrine is “fair and balanced” when the concerns of concentrated private power are involved, but surely not elsewhere .