• #Marseille, la fin d’un système #politique ?
    https://metropolitiques.eu/Marseille-la-fin-d-un-systeme-politique.html

    Un an après les #élections_municipales, le dernier ouvrage de Michel Peraldi et Michel Samson montre comment les effondrements meurtriers d’immeubles de la rue d’Aubagne à Marseille ont précipité la chute d’un système de gouvernement et ouvert un espace de #mobilisation inédit. Quinze ans après Gouverner Marseille (2006), le dernier ouvrage de Michel Peraldi et Michel Samson étudie les transformations contemporaines du gouvernement de la cité phocéenne, dans le contexte de la séquence ouverte par les #Commentaires

    / élections municipales, Marseille, mobilisation, #métropole, politique, #municipalités, #centre-ville, (...)

    #gentrification
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_dossiermarseille_geisser.pdf

  • « Tout change, rien ne change » : les élections municipales de 2020 dans la métropole du #Grand_Paris
    https://metropolitiques.eu/Tout-change-rien-ne-change-les-elections-municipales-de-2020-dans-la

    Un an après le premier tour des municipales et à quelques mois de nouvelles élections locales, Philippe Subra et Wilfried Serisier dessinent la nouvelle géopolitique du Grand #Paris, ses rapports de force et ses équilibres. Nul n’imaginait, début janvier 2020, dix semaines seulement avant le premier tour, le scénario qui allait être celui des municipales en #Île-de-France. La Covid-19 ne s’était pas encore transformée en pandémie et l’hypothèse d’un confinement général de la population n’était pas #Terrains

    / Grand Paris, #élections_municipales, Île-de-France, Paris, #région, #banlieue

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-subra-serisier.pdf

  • FBI Seized Congressional Cellphone Records Related to Capitol Attack
    https://theintercept.com/2021/02/22/capitol-riot-fbi-cellphone-records

    The inclusion of congressional phone data in the FBI investigation raises thorny constitutional questions. Within hours of the storming of the Capitol on January 6, the FBI began securing thousands of phone and electronic records connected to people at the scene of the rioting — including some related to members of Congress, raising potentially thorny legal questions. Using special emergency powers and other measures, the FBI has collected reams of private cellphone data and communications (...)

    #FBI #élections #écoutes #extrême-droite #surveillance

  • L’élection de la liste Mariton finalement validée malgré des tricheries avérées au code électoral
    https://ricochets.cc/L-election-de-la-liste-Mariton-finalement-validee-malgre-des-tricheries-av

    En février 2021, le conseil d’État a finit par valider l’élection de Mr Hervé Mariton et de sa liste en dépit du bon sens et malgré des infractions avérées au code électoral. Mr Mariton et son équipe ont bel et bien triché avec les règles des périodes électorales, le Conseil d’État le confirme, mais selon les juges (qui juge les mêmes faits à l’opposé de la décision du tribunal de Grenoble) ça n’aurait pas suffisamment affecté les votants car l’écart de voix serait suffisant au deuxième tour entre les deux listes (...) #Les_Articles

    / #Crest, Autoritarisme, régime policier, démocrature..., #Elections_locales

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...

  • Lille : les fausses signatures aux municipales sont donc avérées vendredi 19 février 2021
    https://chez.renart.info/?Les-360-fausses-signatures-aux-municipales-sont-donc-averees

    Ce jeudi 18 février se tenait l’audience des 360 fausses signatures repérées sur les listes d’émargement des municipales 2020 à Lille. Martine Aubry l’avait remporté de 227 voix, sur 39 000 votants, face aux candidats des Verts et d’En Marche. Le rapporteur public a balayé un à un les griefs des deux listes perdantes, faisant valoir son « orthodoxie » : les preuves des fausses signatures ont été apportées après le délai de cinq jours. Mais alors... il reconnaît qu’il y a bien au moins 360 fausses signatures ! Ce que l’avocat de Martine Aubry ne conteste d’ailleurs pas.

    La quatrième ville de France sera-t-elle gouvernée par une équipe dont tout le monde reconnaît que l’élection est soupçonnée d’irrégularités ? Reprenons.

    Le premier tour des élections se tient quelques jours avant le confinement. Aubry, candidate sortante, Baly pour les Verts, et Spillebout pour En Marche, se qualifient pour le second tour, reporté de trois mois. Avec les bons scores des Verts aux élections précédentes et le foin autour de la friche Saint-Sauveur, Martine Aubry reverdit à la hâte bilan et programme. On rit des pancartes annonçant « Ici, bientôt un arbre. » Les élections se déroulent en dépit des mesures sanitaires, des restrictions de certaines libertés fondamentales, des centaines de Lillois en réanimation. La soirée électorale est palpitante. Les candidats comptent les bulletins au fur et à mesure de l’arrivée des urnes. La mairie crépite comme un PMU pendant le Grand Prix d’Amérique : Aubry derrière ; Aubry devant ; Baly qui recolle ; Baly qui semble se détacher ; oui, il se détache ; plus que quelques voix ; les écolos peinent à masquer leur joie ; mais la casaque rose n’a pas dit son dernier mot ; la voilà qui remonte, la bride lâchée, droite dans son couloir ; inexorablement ; et coiffe le Vert sur la ligne d’arrivée ! Les marbres de l’hôtel de ville résonnent d’un tonitruant « On les a niqués [1] ! »

    Bref. Comme le veut le code électoral, la contestation d’une élection doit se faire connaître dans les cinq jours, preuves à l’appui. Ce qui fait court pour une commune de 124 000 votants – n’importe quel observateur de l’ONU en conviendra. Les équipes de Baly et de Spillebout, bravant les restrictions d’accès liées aux mesures sanitaires, courent à la préfecture ausculter les listes d’émargement. Ils n’ont le temps que d’éplucher treize bureaux de vote mais photographient déjà 62 signatures différentes entre le premier et le second tour. Donc 62 votants imaginaires, possiblement en faveur d’Aubry, ce qui ne ferait plus que 165 voix d’écart. Les candidats malheureux continuent leur travail de comparaison tout l’été. Ils n’ont le temps que de scruter 70 bureaux de vote sur 130, mais détectent déjà plus de 360 signatures litigieuses. Soit, en extrapolant, et puisqu’aucun bureau de vote n’est clean, probablement plus de 500 cas en tout.

    A soupçon, soupçon et demi
    Comme le veut la procédure, un rapporteur public – un magistrat, quoi – lit les requêtes, analyse le litige, et livre sa conclusion (merci Wikipedia). « Il n’y a pas lieu d’annuler les élections », conclut-il, en prétextant le dépassement des délais. La presse répète alors, sans qu’on sache d’où vienne le chiffre, que dans pareille circonstance, le juge suit « à 90 % » les conclusions du rapporteur public. « Martine Aubry devrait garder son fauteuil », présume Libération. « Aubry en position de force », croit savoir La Voix du Nord. « Les voyants sont au vert pour Martine Aubry », jubile Médiacités. Les dés seraient jetés.

    Mais qu’importe l’issue du procès. L’information la plus importante, qui devrait faire bondir n’importe quel démocrate, demeure que le rapporteur public admet non seulement l’existence de 62 votes frauduleux, mais aussi les 360 fausses signatures déposées hors délais. Elles ne sont pas recevables, mais elles existent bel et bien. Ce qui est de nature à changer « radicalement » le résultat du scrutin, pour parler comme le Conseil d’État. Pas même l’avocat tout en manches de Martine Aubry ne conteste l’existence de ces voix imaginaires qui entachent pourtant la réélection de sa cliente. Il préfère orienter sa plaidoirie contre des candidats qui, en faisant fi des « règles de procédure », contribueraient au climat de « soupçon généralisé » qui pèse sur notre « vie démocratique ».

    Finalement, ce 18 février 2021 en la commune de Lille, toutes les parties en présence dans l’affaire dite des « 360 fausses signatures » admettent implicitement leur existence, et concluent que Mme Aubry puis sa remplaçante gouverneront pendant cinq ans avec des soupçons d’irrégularités. La « vie démocratique » de 124 000 électeurs est désormais entre les mains d’un juge, seul face à « son âme et conscience ». Délibéré sous quinze jours.

    Notes
    [1] La Voix du nord, 28 juin 2020.

    #triche #fraude #Lille #Aubry #martine_aubry #élections #france #politique #démocratie #manipulation #en_vedette #elections #élection
    #Baly #Spillebout

  • Élections israéliennes : la seule et unique alternative est la Liste Commune
    Par Gideon Levy - 10 février 2021 – Haaretz – Traduction : Chronique de Palestine
    https://www.chroniquepalestine.com/elections-israeliennes-la-seule-et-unique-alternative-est-la-lis

    Les quatre candidats susceptibles d’être élus Premier ministre sont tous terriblement similaires. Ne croyez pas aux contes de fées sur l’existence d’un grand gouffre idéologique entre eux.

    Fondamentalement, ils sont identiques : tous sont des juifs sionistes qui soutiennent l’occupation, des adeptes de la suprématie juive en Israël.

    Ils sont en faveur des colons et des colonies et ne rêveraient jamais de les stopper.

    Ils ne critiqueront jamais l’armée pour ses actions injustifiables et ils sanctifient toute opération violente d’Israël. Des crimes de guerre ? La loi internationale ? Les droits des Palestiniens ? Ne les faites pas rire. Ils ont tous suivi exactement la même ligne concernant la Cour pénale internationale de La Haye.

    Benjamin Netanyahu, Yair Lapid, Gideon Saar et Naftali Bennett sont tous les mêmes.
    Ils promettent l’occupation et la suprématie juive pour toujours. Ce sont des nationalistes juifs israéliens qui emploient exactement le même vocabulaire sur les questions qui comptent vraiment. (...)

    #élections_israéliennes

    • Joint List or the worst of all evils
      Amira Hass | Feb. 12, 2021 | 12:18 AM - Haaretz.com
      https://www.haaretz.com/opinion/.premium-joint-list-or-the-worst-of-all-evils-1.9532858

      The left I belong to doesn’t waste its time on tedious debates about which right-wing prime minister is preferable, be it Benjamin Netanyahu, Naftali Bennett, Avigdor Lieberman, Gideon Sa’ar or Yair Lapid. The fashionable squabbling over who is more suitable for crowning only highlights for those of us on the left how far we are from their world. And now we hear people saying that since these contenders’ parties are at the front of the political pack, and our own options are so skimpy, we should vote for the least of all evils.

      Yet, each and every aforementioned leader who could become the next prime minister is the worst of all evils, a source of concern and fear. The fact that an Israeli prime minister is not a sole captain of the ship increases the fear. In the basic matters, which are the entrenching of this state’s colonialist nature or destroying the welfare system, prime ministers have always been part and parcel of an establishment that embraces, materializes and manages those ideologies. You can call it Zionism, the national project, a Jewish state. A big part of Jewish-Israeli society protects the fruits produced by the dispossessive domination over the Palestinians, fruits which balance out the ills of neoliberal policies. This equation lies at the root of Israelis’ overwhelming rightist tendencies.

      In essence, the left stands on three legs: the adherence to the principle of equality among all human beings, the opposition to the state’s expropriating nature of the state on both sides of the Green Line, and the striving for a society in which capital would not dominate and profits and commodoties cease to determine the value of human beings and their lives. The linkage between them explains why the left is so shrunken, having so few options for voting.

      The crumbling Kahol Lavan, or the more successful Yesh Atid, never came close in their essence to a “center-left,” let alone the left. Center-right would be a more apt description of these parties. One of the greatest conceptual distortions that’s arisen here is the identification of the left with middle- or upper-class Ashkenazi Jews, and with pilots who bombed refugee camps in Lebanon and the Gaza Strip. The sociological phenomenon whereby those two categories are not numbered among traditional right-wing voters (regardless of the number of Ashkenazi Jews and former defense establishment officials in the top echelons of Likud), does not make Labor a left-wing party, given that this was the party that established and developed the expropriation enterprise spanning between the Jordan River and the Mediterranean.

      Even before 1948, all strands of the labor movement utilized socialist institutions (like the kibbutzim and the Histadrut labor federation) to push out as much as possible the native Palestinian population from its homeland and from the political system. Jewish ethnocracy and expropriation are so inbred into the average Israeli that those socialist husks continue to define the labor movement as left-wing, even though these tools were discarded when they were no longer required for advancing the Zionist project. With all due sympathy to Labor leader Merav Michaeli, it’s hard to envision her small party entering a genuine process of assuming responsibility for the historical dispossession. The adherence of Meretz to a Zionist ideology is puzzling and off-putting. The new party called The Israel Democratic Party signals a healthy development, but it’s still too embryonic. The Joint List, whose components are not all left-wing, has disappointed.

      So, is there no one to vote for? Not voting makes the election even more important than it is, as if we had more influence by not casting a ballot. This is a narcissistic attitude. We don’t wish to be and cannot be partners to a Zionist government, but not voting concedes something which nevertheless is taught by left-wing praxis: using any means at our disposal to express our ideas and to present alternatives anywhere possible, including in parliament.

      Belonging to the left is characterized by an almost religious belief in the possibility of changing things for the better and by the obligation to act upon this belief, even in the prevailing darkness. This is why leftists are active in organizations such as the Koah Laovdim labor union, in helping the constantly harassed Masafer Yatta hamlets near Hebron, in feminist groups, in demonstrations in East Jerusalem’s Silwan against the eviction of this neighborhood’s residents, and in the protests at Balfour Street. This is why the Joint List, as the representative of the most dispossessed group in Israel, is deserving of our votes.

    • Huit mois d’attente et une demande satisfaite mais partiellement seulement. Le 13 janvier dernier, Olivier Marleix, député LR d’Eure-et-Loir, a enfin reçu les résultats des élections municipales par nuances politiques qu’il réclamait depuis le scrutin du 15 mars 2020. Surpris par l’absence de ces données sur le site du ministère de l’Intérieur, l’élu s’était alors tourné en vain vers le premier ministre, Édouard Philippe, pour lui demander de réparer les choses au motif que la comptabilisation nationale de ces résultats était « habituellement » affichée publiquement Place Beauvau lors des soirées électorales. Déjà, même si la pandémie commençait à bousculer la vie politique, Olivier Marleix voyait cette absence comme une « manoeuvre » trahissant une « volonté délibérée de dissimuler aux Français l’ampleur de la claque prise par La République en marche » .

      Finalement, la précieuse pièce jointe contenant ces chiffres nuancés s’est affichée le 13 janvier dans un e-mail adressé au député depuis le ministère de l’Intérieur, suivi d’une lettre de Gérald Darmanin. Dans ce courrier, le ministre note la démarche de Marleix auprès de la Cada (Commission d’accès aux documents administratifs), précise que les informations demandées « ont bien été publiées » dans les communes de plus de 3 500 habitants mais reconnaît la justesse de l’observation : « Il est vrai que ces données n’ont pas été publiées de manière agrégée sur le site du ministère. » Les informations fournies au parlementaire n’étaient toujours pas visibles vendredi sur le site du ministère.

      Dans sa lettre, au-delà du fichier de résultats remis, Darmanin renvoie l’élu vers la « plateforme ouverte des données publiques françaises data.gouv.fr » mais sa réponse est une pirouette car même les curieux les plus habiles en informatique auront du mal à en extraire un tableau synthétique, comme celui de 2014 présentant clairement les scores « France entière » pour les 17 nuances ayant participé au scrutin. « En voyant ces chiffres, où LREM atteint seulement 2,22 % sous ses propres couleurs, on comprend bien pourquoi le pouvoir n’est pas pressé de les diffuser. En réalité, cela révèle l’échec d’un ancrage politique qui ne parvient pas à bousculer le paysage local. Autant, il y a une marque Macron, autant ces municipales montrent la grande difficulté pour son parti à exister » , juge Olivier Marleix.

      Risques politiques d’un report

      En décembre 2019, le député avait bataillé ferme contre la « circulaire Castaner » diffusée aux préfets trois mois avant les municipales. Dans ce document, le prédécesseur de Gérald Darmanin avait demandé de réserver l’attribution des nuances politiques aux communes de plus de 9 000 habitants. L’initiative avait suscité un vent de colère à droite comme à gauche. À la suite des recours engagés contre cette circulaire par LR, DLF, le PS et le PC, le Conseil d’État a suspendu la décision de Castaner après avoir jugé qu’elle portait atteinte à « l’objectif d’information de citoyens » . Olivier Marleix s’était réjoui de cette suspension, estimant pour sa part que la « tentative » des macronistes avait révélé « la peur panique du pouvoir face au camouflet annoncé » des municipales.

      Le document transmis par le ministère peut être analysé en isolant cinq blocs : gauche (des communistes aux écologistes, 36,66 %), centre (LREM, MoDem et alliés, 15,98 %), droite (UDI, LR, Debout La France, 33,71 %), extrême droite (3,33 %) et listes sans étiquette et « gilets jaunes » rassemblées sous « divers/autres » (10,32 %). « La gauche profite du sursaut écologiste, la droite affiche une certaine stabilité et les Marcheurs ne permettent pas au bloc centre de faire une réelle percée... D’où le fait, sans doute, qu’ils ne sont pas impatients de participer aux prochaines élections territoriales » , anticipe encore l’élu, convaincu que le gouvernement s’est battu pour maintenir la clause de revoyure en avril dans le but de se laisser la possibilité de reporter les régionales et les départementales au-delà du mois de juin. Cette clause a été envisagée en cas de rebond épidémique mais, récemment, devant les sénateurs, Jean-Louis Debré, auteur d’un rapport commandé par le gouvernement sur l’organisation des prochains scrutins, a mis en garde face aux risques politiques d’un tel report.

      En attendant, Olivier Marleix somme le gouvernement de se plier aux « bases réglementaires » en mettant à la portée de tous les Français les résultats des municipales. Cette photographie du paysage politique lui semble « fort utile pour la démocratie » .

  • Facebook Said It Would Stop Pushing Users to Join Partisan Political Groups. It Didn’t.
    https://themarkup.org/citizen-browser/2021/01/19/facebook-said-it-would-stop-pushing-users-to-join-partisan-political-grou

    According to Citizen Browser data, the platform especially peppered Trump voters with political grouprecommendations In the run-up to the 2020 presidential election, Facebook said it was taking “emergency” measures to prevent people from using the platform to spread misinformation or coordinate violence. Among those measures, CEO Mark Zuckerberg testified under oath before Congress in October, Facebook had stopped recommending all “political content or social issue groups”—a practice its own (...)

    #Facebook #algorithme #manipulation #élections #biais #discrimination #extrême-droite

  • How the Mercers Funded Election Unrest
    https://theintercept.com/2021/01/14/capitol-riot-mercers-election-unrest

    The billionaire Republican megadonors have funded numerous organizations now peddling baseless claims about the election. The storming of the U.S. Capitol on January 6 has brought to the fore a host of activists on the extreme right whose violent rhetoric helped to create the conditions for an assault that left five dead. One of the most prominent of those activists is Arizona Republican Party Chair Kelli Ward. On December 19, Ward fired off a tweet urging President Donald Trump to “cross (...)

    #CambridgeAnalytica/Emerdata #manipulation #élections #extrême-droite #lobbying

    ##CambridgeAnalytica/Emerdata

  • Data Exploitation and Political Campaigning : A Company Guide Resource
    https://privacyinternational.org/long-read/4374/data-exploitation-and-political-campaigning-company-guide-reso

    PI presents here 5 profiles of companies involved in political campaigning in order to provide a snapshot of how the digital political campaign sector works and further highlight the opacity and concerns for privacy. Key findings PI analysed publicly available material in order to profile 5 companies involved in political campaigning : Aristotle (USA), C|T Group (UK), Data Sciences Inc.(Canada), eXplain (France) and uCampaign (USA). The information provides a snapshot of how the (...)

    #algorithme #élections #microtargeting #PrivacyInternational

  • Élection américaine : pourquoi Joe Biden a gagné
    https://www.les-crises.fr/election-americaine-pourquoi-joe-biden-a-gagne

    Nous profitons de la passation de pouvoir aujourd’hui pour analyser en détail les raisons de la défaite en 2020 de Donald Trump. Plan du billet :

    Résultats de la Présidentielle 2020 Modélisation statistiqueLire la suite

    #Géopolitique #Election_USA_2020 #USA #Géopolitique,_Election_USA_2020,_USA

  • Facebook claims it does not conduct business in Australia in Cambridge Analytica appeal
    https://www.theguardian.com/technology/2021/jan/19/facebook-asks-to-appeal-court-ruling-that-it-conducts-business-in-austr

    Social media company aims to avoid liability over Cambridge Analytica scandal by arguing it does not collect or hold data in Australia Facebook is claiming it does not conduct business in Australia and does not collect and hold data in the country in its effort to avoid liability over the Cambridge Analytica scandal. Last year, the privacy commissioner took Facebook to court over an alleged mass privacy breach involving the use of Australians’ Facebook data in a vote-influencing operation (...)

    #CambridgeAnalytica/Emerdata #Facebook #algorithme #cookies #thisisyourdigitallife #manipulation #données #élections (...)

    ##CambridgeAnalytica/Emerdata ##profiling
    https://i.guim.co.uk/img/media/16a62329a93abece7af8d300cbb7f98b1d28ed8e/0_5_2545_1528/master/2545.jpg

  • How Facebook Profits from the Insurrection
    https://www.techtransparencyproject.org/articles/how-facebook-profits-insurrection

    Facebook suspended President Trump and announced other actions after the U.S. Capitol riot. But it continued to push ads for military gear next to insurrection posts. Facebook has been serving up ads for weapons accessories and body armor alongside election misinformation and insurrection talk in “patriot” and militia groups, according to research by the Tech Transparency Project (TTP), revealing an alarming blind spot in Facebook’s moderation efforts just days before an inauguration (...)

    #Facebook #algorithme #manipulation #élections #arme #bénéfices #extrême-droite #modération

  • Every Deleted Parler Post, Many With Users’ Location Data, Has Been Archived
    https://gizmodo.com/every-deleted-parler-post-many-with-users-location-dat-1846032466

    In the wake of the violent insurrection at the U.S. Capitol by scores of President Trump’s supporters, a lone researcher began an effort to catalogue the posts of social media users across Parler, a platform founded to provide conservative users a safe haven for uninhibited “free speech” — but which ultimately devolved into a hotbed of far-right conspiracy theories, unchecked racism, and death threats aimed at prominent politicians. The researcher, who asked to be referred to by her Twitter (...)

    #Apple #Google #FoxNews #Amazon #Twitter #Parler #GPS #censure #géolocalisation #manipulation #données #élections #extrême-droite #surveillance #AmazonWebServices-AWS #ChaosComputerClub-CCC (...)

    ##Anonymous

  • The Instagram Insurrection
    https://gizmodo.com/the-instagram-insurrection-1846022868

    The first inkling I had that something was very wrong on Wednesday was when my wife said, “Oh shit, is this real ?” as we were en route to Trader Joe’s after spending a few hours on the cold, sun-drenched beaches of Long Island for a winter walk on our last day of a vacation. A friend had texted about the Capitol. We shopped because a family’s gotta eat, all the while pulling down to refresh the infinite scroll of Twitter. I showed her a man sitting in the Senate president’s chair. She showed (...)

    #Fox #Facebook #Instagram #Twitter #YouTube #manipulation #élections #violence #extrême-droite (...)

    ##QAnon

  • The facial-recognition app Clearview sees a spike in use after Capitol attack.
    https://www.nytimes.com/live/2021/01/09/us/trump-biden#facial-recognition-clearview-capitol

    After the Capitol riot, Clearview AI, a facial-recognition app used by law enforcement, has seen a spike in use, said the company’s chief executive, Hoan Ton-That.

    “There was a 26 percent increase of searches over our usual weekday search volume,” Mr. Ton-That said.

    There are ample online photos and videos of rioters, many unmasked, breaching the Capitol. The F.B.I. has posted the faces of dozens of them and has requested assistance identifying them. Local police departments around the country are answering their call.

    “We are poring over whatever images or videos are available from whatever sites we can get our hands on,” said Armando Aguilar, assistant chief at the Miami Police Department, who oversees investigations.

    Two detectives in the department’s Real Time Crime Center are using Clearview to try to identify rioters and are sending the potential matches to the F.B.I.’s Joint Terrorism Task Force office in Miami. They made one potential match within their first hour of searching.

    “This is the greatest threat we’ve faced in my lifetime,” Mr. Aguilar said. “The peaceful transition of power is foundational to our republic.”

    Traditional facial recognition tools used by law enforcement depend on databases containing government-provided photos, such as driver’s license photos and mug shots. But Clearview, which is used by over 2,400 law enforcement agencies, according to the company, relies instead on a database of more than 3 billion photos collected from social media networks and other public websites. When an officer runs a search, the app provides links to sites on the web where the person’s face has appeared.

    In part because of its effectiveness, Clearview has become controversial. After The New York Times revealed its existence and widespread use last year, lawmakers and social media companies tried to curtail its operations, fearing that its facial-recognition capabilities could pave the way for a dystopian future.

    The Wall Street Journal reported on Friday that the Oxford Police Department in Alabama is also using Clearview to identify Capitol riot suspects and is sending information to the F.B.I. Neither the Oxford Police Department nor the F.B.I. has responded to requests for comment.

    Facial recognition is not a perfect tool. Law enforcement says that it uses facial recognition only as a clue in an investigation and would not charge someone based on that alone, though that has happened in the past.

    When asked if Clearview had performed any searches itself, Mr. Ton-That demurred.

    “Some people think we should be, but that’s really not our job. We’re a technology company and provider,” he said. “We’re not vigilantes.”

    — Kashmir Hill

    #Clearview #FBI #algorithme #CCTV #biométrie #élections #facial #reconnaissance #délation (...)

    ##extrême-droite

  • Suspension des comptes de Donald Trump : les plates-formes numériques entre opportunisme et aveu d’échec
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2021/01/09/fermeture-du-compte-twitter-de-donald-trump-le-bal-des-hypocrites_6065741_44

    Twitter, Facebook, Google et d’autres acteurs ont pris des mesures pour limiter la portée de la parole du président des Etats-Unis. Tardives, ces réactions ne doivent pas faire oublier leur part de responsabilité dans l’émergence d’un terreau propice aux théories complotistes, ni leur difficulté à mettre en place des politiques de modération transparentes et légitimes.

    Analyse. A moins de deux semaines du départ programmé de Donald Trump de la Maison Blanche, et deux jours après l’envahissement du Capitole par des militants pro-Trump, les réseaux sociaux ont sorti l’artillerie lourde, vendredi 8 janvier. Fermeture du compte Twitter personnel du président, suspension de ses comptes Facebook et Snapchat, blocage d’applications pro-Trump dans les magasins Android ou iOS… Au-delà des débats légitimes que suscitent ces décisions – alternativement jugées insuffisantes, trop tardives, liberticides ou dangereuses –, leur mise en place ne doit pas occulter la responsabilité conjointe que portent, depuis cinq ans, élus américains et grandes plates-formes.

    Twitter a beau jeu de fermer le compte @realDonaldTrump alors que le président, isolé, va dans quelques jours à peine céder sa place à Joe Biden. Le réseau social a justifié sa décision dans un long texte, arguant que les futurs messages du président sortant risquaient d’inciter à la violence. Une analyse juste, mais qui l’était tout autant hier, avant-hier, il y a trois mois ou un an. Des recherches avancées sont nécessaires pour trouver une journée durant laquelle le président sortant n’a pas, d’une manière ou d’une autre, incité à la violence, ces quatre dernières années. Le risque de violence était-il moins fort quand il utilisait Twitter pour désigner nommément à la vindicte des journalistes critiques de son action, quand il provoquait le leader nord-coréen, Kim Jong-un, ou quand il incitait à tirer sur les manifestants du mouvement Black Lives Matter ?

    Le motif officiel prête à sourire

    Les soutiens de Donald Trump ne se privent pas de souligner que le motif officiel de suspension – un message disant que le président sortant ne serait pas présent à la passation de pouvoir, interprété comme pouvant être une incitation à attaquer la cérémonie – prête à sourire. Donald Trump a publié, durant son mandat, des milliers de messages bien plus menaçants que celui-ci, sans jamais être sanctionné d’aucune manière. Pis, cette fermeture de compte donne des arguments tout trouvés aux conspirationnistes d’ultra-droite : le complot était, selon eux, bien réel, puisqu’on censure le président pour des broutilles. La véritable raison de ces décisions est certainement bien plus terre à terre : il devient urgent, à quelques jours d’un changement d’administration, de donner des gages au futur pouvoir démocrate. Notamment parce que la gauche américaine a promis, durant la campagne, de mettre les réseaux sociaux face à leurs responsabilités – et qu’une procédure pour abus de position dominante vise d’ores et déjà Facebook.

    Dans son message justifiant la suspension du compte Facebook de Donald Trump, Mark Zuckerberg, le patron de cette plate-forme, écrit que « le contexte actuel est fondamentalement différent » après l’invasion du Capitole et que Facebook ne doit pas être utilisé pour « inciter à l’insurrection violente contre des représentants démocratiquement élus ». Une parole qui serait bien plus audible si Facebook n’avait pas laissé prospérer sur sa plate-forme, jusqu’à l’été dernier, des groupuscules paramilitaires insurrectionnels – Oath Keepers, 3percenters et bien d’autres – qui ont utilisé la fonctionnalité des groupes proposée par Facebook à des fins de recrutement et d’organisation. Sans parler du rôle actif qu’a joué Facebook dans la croissance de la théorie conspirationniste QAnon, dont les symboles étaient présents un peu partout sur les tee-shirts et les drapeaux arborés par les manifestants qui ont pris d’assaut le Capitole.

    Terreau fertile de militants radicalisés

    Google, qui a annoncé ce 8 janvier bloquer sur son magasin d’applications le réseau social d’ultra-droite Parler (suivi le 9 janvier par Apple qui l’a retiré de son app store et Amazon, qui menace de ne plus héberger les données de Parler sur son service de cloud à partir du 10 janvier), là encore en raison de risques d’appels à la violence, aurait peut-être également pu commencer par balayer devant sa porte. « Attendez un peu qu’ils découvrent ce qu’il y a sur YouTube ! », écrit, à raison, l’éditorialiste américain Casey Newton. Bien plus que Parler, la plate-forme vidéo, propriété de Google, porte une lourde responsabilité dans la manière dont ont prospéré les théories du complot les plus absurdes durant des années.

    En se focalisant sur les appels à la violence, certes peu tolérables, les grandes plates-formes ne doivent pas oublier que ceux-ci trouvent un écho parce que leur inaction a contribué à créer, ces dernières années, un terreau fertile de militants radicalisés prêts à écouter ces incitations et, parfois, à les mettre en œuvre. L’invasion du Capitole n’a pas été subitement déclenchée par le discours de Donald Trump appelant ses soutiens à marcher sur le Sénat : elle était le point culminant d’un long processus, qui a amené à Washington, ce 6 janvier, des dizaines de milliers de militants ultra-radicalisés – un processus qui s’est déroulé en bonne partie sur Facebook, Twitter et YouTube.

    Mais peut-on vraiment en vouloir aux réseaux sociaux de souhaiter se débarrasser de l’encombrant Donald Trump, fût-ce de manière hypocrite, après cinq années d’une campagne permanente, haineuse et mensongère, menée contre eux par le président sortant ? Une campagne durant laquelle Donald Trump a inventé de toutes pièces un « complot anticonservateur » sur Facebook, quand toutes les études montrent que le fonctionnement de cette plate-forme est plutôt à l’avantage des comptes pro-Trump ? Une campagne qui a vu le président faire pression, au mépris des principes historiques du Parti républicain, sur le fonctionnement interne d’entreprises privées ? Une campagne durant laquelle des employés et cadres des réseaux sociaux ont été désignés comme cibles à la foule des soutiens du président ? A force de crier au complot anticonservateur de la Silicon Valley, Donald Trump a probablement favorisé les conditions de son propre bannissement.

    Position intenable

    En dernière analyse, les ressorts de cette censure de dernière minute sont également à chercher dans la paralysie qui a semblé toucher tous les grands réseaux sociaux sur la modération du leader républicain. En refusant obstinément – et parfois en contournant leurs propres règles internes – de modérer les messages du président américain, Facebook ou Twitter se sont placés dans une position où la seule option restante était la fermeture pure et simple du compte présidentiel. A force d’avoir refusé, mois après mois, de jouer le rôle « d’arbitres de la vérité » dans une campagne hors norme où cette position était intenable face aux mensonges de plus en plus délirants du président américain, elles se sont elles-mêmes bloquées entre deux positions extrêmes : le laisser-faire complet ou la fermeture pure et simple du compte de Donald Trump. Ce dernier choix, dans les derniers jours de la présidence Trump, est un aveu d’échec de leur politique depuis près d’une décennie.

    Si les réseaux sociaux avaient commencé, il y a cinq ans, par effacer les messages racistes, injurieux et violents de celui qui n’était pas encore président, en mettant en place des politiques de modération transparentes et légitimes, sans doute n’en serions-nous pas arrivés là. Un élément que feraient bien de garder à l’esprit, y compris en France, certains élus qui s’indignent du pouvoir que s’est arrogé Twitter – la classe politique, qui a largement adopté Twitter comme son principal outil de communication, porte aussi sa part de responsabilité dans la légitimation de l’outil et de ses dérives, trumpiennes ou non.

    #Apple #Google #Facebook #parler.com #Twitter #algorithme #Android #iOS #censure #manipulation #élections #modération #extrême-droite (...)

    ##QAnon

  • The Instagrammed Insurrection and the Great Deplatforming - Will Oremus
    https://onezero.medium.com/the-deplatforming-of-donald-j-trump-a61a1df0ad8f

    Booting Trump won’t solve social media’s problems. But it’s not a bad place to start. The president of the United States is no longer allowed to post on Twitter, Facebook, Instagram, Snapchat, Twitch, or Shopify. Twitter said Friday night that its ban was permanent — and it was swiftly followed by suspensions of the @POTUS and @TeamTrump accounts when Trump attempted to use those instead. When Trump tried tweeting from the account of Gary Coby, his digital campaign director, Twitter promptly (...)

    #Google #Facebook #Instagram #parler.com #Shopify #Snapchat #Twitch #Twitter #algorithme #manipulation #censure #élections #modération #extrême-droite (...)

    ##QAnon

  • ’Four years of propaganda’ : Trump social media bans come too late, experts say
    https://www.theguardian.com/us-news/2021/jan/07/donald-trump-facebook-social-media-capitol-attack

    Platforms have long let his dangerous posts stand – and researchers say the Capitol attack is ‘exactly what we expected’ In the 24 hours since the US Capitol in Washington was seized by a Trump-supporting mob disputing the results of the 2020 election, American social media companies have barred the president from their platforms for spreading falsehoods and inciting the crowd. Facebook, Snapchat and Twitch suspended Donald Trump indefinitely. Twitter locked his account temporarily. Multiple (...)

    #Facebook #Snapchat #Twitch #Twitter #manipulation #censure #modération #extrême-droite #QAnon (...)

    ##élections
    https://i.guim.co.uk/img/media/6ccb8e4e2744c1f733c632b6e14178fcdf87ccad/0_150_4500_2700/master/4500.jpg

  • Le trumpisme est plus fort que jamais | John Marcotte
    http://cqfd-journal.org/Le-trumpisme-est-plus-fort-que

    Camionneur à la retraite, John Marcotte a milité au sein d’un courant marxiste humaniste influencé par l’intellectuel caribéen C.L.R. James. Fin novembre, il nous envoyait d’outre-Atlantique son analyse post-électorale sur une nation gangrenée par le racisme depuis ses origines. Un texte publié dans notre numéro 193 (décembre) et qui résonne plus que jamais au lendemain de l’invasion du Capitole par l’extrême-droite. Source : CQFD

  • Georgia runoff ads made Facebook News Feeds more partisan and less informative
    https://www.theverge.com/2021/1/5/22215067/facebook-ads-georgia-runoff-political-ad-ban-zuckerberg

    The Markup collected data from 58 Georgia users’ News Feeds When Facebook lifted its ban on political ads in Georgia, local News Feeds became dramatically more partisan and less informative, according to research published on Tuesday by The Markup. Facebook banned US political advertising in the wake of the November 3rd presidential election as part of its broader effort to fight election misinformation. However, the platform partially lifted the ban on December 16th, allowing ads specific (...)

    #Facebook #algorithme #manipulation #élections #modération

  • In Georgia, Facebook’s Changes Brought Back a Partisan News Feed
    https://themarkup.org/citizen-browser/2021/01/05/in-georgia-facebooks-changes-brought-back-a-partisan-news-feed

    Ahead of crucial senate runoffs, Facebook reversed its political ad ban, and the impact was visible on users’ feeds As Georgians head to the polls to vote on their two U.S. Senators—and effectively, partisan control of Congress—on Tuesday, voters face an online landscape far different from what they saw in the weeks surrounding November’s general election. In the fall, Facebook—by far the most popular social network—clamped down on sponsored posts about politics in order to ensure that (...)

    #Facebook #algorithme #manipulation #élections #modération

  • Who (really) targets you ?
    https://panoptykon.org/political-ads-report

    Facebook in Polish election campaigns INTRODUCTION Beginning in 2018, on the heels of the Cambridge Analytica scandal, conversations about the scale and impact of political microtargeting (‘PMT’) began to significantly fuel the newscycle and shape the political agenda. The EU began its war on disinformation and convinced leading internet platforms, including Facebook, to self-regulate. As a result, internet users were offered new tools and disclaimers (see : Facebook moves towards (...)

    #CambridgeAnalytica/Emerdata #Facebook #algorithme #manipulation #données #élections #microtargeting #profiling (...)

    ##CambridgeAnalytica/Emerdata ##publicité

  • media.ccc.de - Hacking German Elections
    https://media.ccc.de/v/rc3-11440-hacking_german_elections

    After the first unsuccessful deployment of voting machines in Germany about ten years ago, elements of electronic voting have reached elections again. Although there is now still a paper-trail, more and more essential steps, such as counting the votes, are moved into electronic systems. This change in the ballot-counting procedure took place mostly unnoticed by the public. We are two very concerned election workers who present our first-hand experience in this talk. We show that the current digital procedure is conceptually and practically flawed in terms of security. First, we give an insight into the role of computers and their interaction with humans during ballot-counting. We show that the underlying system concepts contradict IT-security best-practices. Next, we present an in-depth analysis of one ballot-counting software, deployed for the Bavarian municipal elections ("Kommunalwahlen"). We discovered several severe security vulnerabilities that allow an almost unnoticeable manipulation of local voting results. Finally, we conclude that there is an immediate need for action to re-establish election security and transparency - not only for the government but for everyone of us.

    Elections are a key element of every democracy. However, many democratic countries in the world have to face attacks on them, be it by the government or by foreign countries. Even if ballot counting has been finished, election results are often not accepted but questioned due to alleged manipulations. All these aspects pose major threats to democracy as they try to undermine the actual and publicly perceived integrity of elections.

    In Germany, elections are usually considered quite secure. Elections are paper-based and the subsequent ballot-counting is open to the public. The infamous introduction of electronic voting machines about ten years ago was finally stopped by the German Federal Constitutional Court. Thus, everything is human-controlled, transparent, and secure – isn’t it?

    Unfortunately, these claims are questionable since the silent introduction of electronic vote counting. The election system in Germany is quite complex, for example in the “Kreistagswahlen” (~district elections) workers have to count up to 70 individual votes per ballot, while respecting a special rule set. This process is very labor-intensive and sufficient election workers are often hard to come by. Due to this, electronic systems were introduced that provide support during vote counting. Election workers are no longer required to fill tally sheets, count votes, and sum them up on their own. Each ballot is simply entered into a software that performs all the magic and finally emits a result.

    This year, we volunteered again as election workers, but our trust in electronically-assisted elections has been vastly impacted. As IT-security researchers, we consider it our responsibility to share and discuss our concerns. We performed a thorough analysis of the concept and the hard- and software of the electronic vote counting system. We discovered several flaws on a conceptual and practical level, that can severely diminish the integrity of the election and makes it prone to manipulations. To underline the impact of the system’s vulnerabilities, we demonstrate an exemplary attack on an election.

    Finally, we propose different options on how to make elections secure again. We do not consider this an entirely technical case, as there are significant legal and societal circumstances that led to the deployment of this insecure system.

    #Allemagne #politique #élections #informatique