• Les #classes_populaires rurales, « un sujet obligé des #campagnes électorales » ?
    https://metropolitiques.eu/Les-classes-populaires-rurales-un-sujet-oblige-des-campagnes-elector

    Le sociologue Benoît Coquard livre dans un entretien à Métropolitiques ses réflexions sur le rapport à la politique des classes populaires rurales trop souvent stigmatisées. Il souligne que le véritable enjeu reste celui de la lutte contre les #inégalités et les dominations. Dossier : Élections nationales 2022 : pour une analyse localisée du vote et de ses enjeux Entretien réalisé par Emmanuel Bellanger et Jean Rivière. Dans votre ouvrage Ceux qui restent. Faire sa vie dans les campagnes en déclin (La #Entretiens

    / classes populaires, #élections, campagnes, #jeunes, #dépolitisation, inégalités, #rural, #domination

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_entretien_coquard.pdf

  • ★ SI ET SEULEMENT SI… - Socialisme libertaire

    Si seulement la politique n’était pas un métier ; 
    Si seulement la politique ne se réduisait pas à la course politicienne ; 
    Si seulement nous votions pour des projets au lieu d’élire des gens ; 
    Si seulement les mandats étaient impératifs, que l’élection n’accordât pas des blancs-seings aux élus, mais les contraignît à conduire des projets d’intérêt général, vraiment d’intérêt général ;
    Si seulement les élus étaient révocables ;
    Si seulement les élus ne cumulaient pas les mandats et les indemnités ;
    Si seulement les élus n’étaient pas tous les mêmes ou presque, masculins, blancs et issus de classes aisées, et que leurs réunions ne fussent pas des raouts « non-mixtes racisés » ;
    Si seulement les élus ne faisaient pas mine de maîtriser alors qu’ils improvisent ;
    Si seulement les élus ne tentaient pas de nous faire oublier que leurs privilèges sont ceux des aristocrates d’aujourd’hui (...)

    #pouvoir #politiciens #capitalisme #étatisme #domination #servitude #élections #électoralisme #soumission #conformisme 💩

    #abstention #abstentionnisme

    #Anarchisme #Autogestion #Anticapitalisme #Antiétatisme #emancipation

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://www.socialisme-libertaire.fr/2021/04/si-et-seulement-si.html

  • Turquie  : le gouvernement Erdogan, un bilan catastrophique | Le mensuel
    https://mensuel.lutte-ouvriere.org/2023/04/02/turquie-le-gouvernement-erdogan-un-bilan-catastrophique_5886

    L’AKP a sans doute perdu au cours des années une grande partie de la base populaire qu’il avait gagnée dans les années 2002-2011, et la coalition d’opposition compte sur son érosion électorale pour réussir enfin à se débarrasser d’#Erdogan. Il n’est pas encore dit qu’elle y réussisse, car Erdogan a montré qu’il n’était pas prêt à quitter facilement le pouvoir et qu’il n’hésiterait devant aucune manœuvre pour le garder. Mais, pour les travailleurs, la question ne se limite pas là, car le gouvernement qui succédera au gouvernement actuel devra gérer une crise sans précédent, dans une situation internationale particulièrement dégradée.

    Le seul ciment de la #coalition dite Union du peuple est le désir de remplacer le gouvernement monopolisé depuis vingt ans par les hommes de l’#AKP. Si elle parvient au pouvoir, les classes populaires ne pourront donc en attendre que des coups. Le nouveau gouvernement et la bourgeoisie ne pourront avoir d’autre politique que de faire payer aux masses la lourde facture de la crise, quitte à le justifier par la situation catastrophique dont ils auront hérité, aggravée encore par les conséquences du séisme du 6 février. Les travailleurs doivent dès maintenant se préparer à riposter sur leur terrain de classe. Ouvrir des perspectives révolutionnaires, face à ce régime d’oppression, est une tâche urgente.

    #Turquie #élection #élections_présidentielles #élections_législatives

  • RD Congo : Rejeter la proposition de loi discriminatoire sur la nationalité | Human Rights Watch

    Human Rights Watch appelle le Parlement de la République démocratique du Congo à rejeter une proposition de loi que les autorités pourraient utiliser pour exercer une discrimination contre certains citoyens congolais en raison de l’origine nationale de leurs parents. Cette loi empêcherait tout Congolais dont l’un des parents n’est pas d’origine congolaise d’accéder à la fonction présidentielle et aux postes à responsabilités au sein des institutions. L’examen de cette proposition de loi au cours d’une année électorale renforce les craintes que les autorités ne l’utilisent pour empêcher certaines personnes de se présenter aux élections

    #RD_Congo #Discrimination #Elections

  • ★ Pas d’élections ! Autogestion ! - Socialisme libertaire

    Les élections prétendent donner le pouvoir au peuple, mais la réalité est bien loin de celle-ci : voter, c’est donner sa voix à un-e politicien-ne pour qu’elle ou il parle et décide à notre place. Par différence avec le mandat clair de délégué-e-s révocables, élire c’est signer un chèque en blanc, car les promesses électorales n’engagent que celles ou ceux qui les croient. Elles se résument à des opérations de communication superficielles, masquant mal des luttes de pouvoir sur fond de grands intérêts économiques (révélés périodiquement par des affaires comme Clearstream ou Karachi).
    Les élections nous confortent dans l’illusion d’un choix, alors que les candidat-e-s sont présélectionné-e-s et que les votes concernent des courants politiques et non des décisions précises. Le pouvoir, au lieu d’être entre les mains de tou-te-s, reste cantonné à une élite, une oligarchie, et nous nous en retrouvons sans grande maîtrise sur nos vies, privilégiant à l’élaboration de projets communs la délégation, en mettant un bulletin dans une urne (...)

    #pouvoir #politiciens #élections #électoralisme #abstention #abstentionnisme

    #Anarchisme #Autogestion #émancipation

    ⏩ Lire l’article complet…

    ▶️ https://www.socialisme-libertaire.fr/2022/03/pas-d-elections-autogestion.html

  • Sénégal : Mettre fin à la répression, garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales - FIDH

    La FIDH et ses organisations membres au Sénégal, la RADDHO, l’ONDH et la LSDH, expriment leur vive préoccupation face à l’intensification de la répression contre des membres de l’opposition politique et des journalistes. Alors que se rapproche l’échéance de l’élection présidentielle prévue en février 2024, elles appellent les autorités nationales à garantir le respect des droits humains et des libertés fondamentales.

    #Sénégal #Répression #Élections #Droits_Humains

  • #anarchisme #émancipation
    #abstention #autogestion #abstentionnisme #démocratie
    #vote #électoralisme #élections #chimères > #politiciens #domination #servitude

    ★ LE SUFFRAGE UNIVERSEL N’EST PAS UN INSTRUMENT D’ÉMANCIPATION SOCIALE - Socialisme libertaire

    « Même avec le suffrage universel, et nous pourrions dire particulièrement avec le suffrage universel, le gouvernement est resté le serviteur de la bourgeoisie et le gendarme à son service. S’il en était autrement, si le gouvernement menaçait de devenir hostile à la bourgeoisie, si la démocratie pouvait un jour être autre chose qu’un leurre pour tromper le peuple, la bourgeoisie menacée dans ses intérêts s’empresserait de se révolter et emploierait toute la force et toute l’influence qui lui viennent de ce qu’elle possède la richesse pour rappeler le gouvernement à son rôle de simple gendarme à son service... » Errico Malatesta - L’anarchie (1892)

    ▶️ Lire le texte complet…

    ▶️ https://www.socialisme-libertaire.fr/2019/05/le-suffrage-universel-n-est-pas-un-instrument-d-emancipation-s

  • Wahlrechtsreform beschlossen : Lex Linke lässt auch CSU zittern
    https://www.telepolis.de/features/Wahlrechtsreform-beschlossen-Lex-Linke-laesst-auch-CSU-zittern-7549235.htm

    D’après Claudia Wangerin il n’y a pas d’exception au nouveau règlement qui lie le nombre de sièges qu’un parti obtient au Bundestag à son résultat au vote proportionnel et impose donc le seuil de cinq pour cent au niveau national aussi aux élus du vote majoritaire dans les circonscriptions qui n’entreront alors pas au Bundestag si leur parti n’obtient pas les voix nécessaires à la proportionnelle.

    Dans https://dserver.bundestag.de/btd/20/060/2006015.pdf le comité pour les affaires intérieures et de la patrie explique

    Die insgesamt abgegebenen Zweitstimmen werden zunächst bundesweit ins Verhältnis gesetzt und die Zahl der den einzelnen Parteien zufallenden Mandate bestimmt (Oberverteilung), bevor diese dann auf die einzelnen Landeslisten verteilt werden (Unterverteilung). Die Zahl der Sitze, die auf eine Landesliste entfallen, definiert die Höchstzahl der erfolgreichen Wahlkreisbewerber dieser Partei, die in dem Land aus dem Wahlkreis heraus einen Sitz erringen können.

    Cette explication fait penser que l’Unterverteilung donc le résultat au niveau du Land autorise l’accès au parlement national des élus par vote majoritaire si leur parti dépasse le seuil de cinq pour cent des voix au niveau du Land. Le commentaire critique du parti CSU qualifie le texte de loi d’anticonstitutionnel et invalide cette interprétation.

    Die Koalitionsfraktionen haben das zunächst avisierte Ziel der klaren Begrenzung auf 598 Mandate mit der nunmehrigen Erhöhung auf 630 Mandate aus den Augen verloren. Diese Anzahl minimiere die Gefahr der Kappung von Mandaten von Wahlkreissiegern insgesamt nur minimal, maximiere allerdings die nicht gekappten Mandate für die SPD. Beim Wegfall der Grundmandatsklausel zeige sich, dass die Wählerinnen und Wähler nicht interessieren, sondern die Koalition nur prozesstaktisch darauf aus sei, in Karlsruhe vor dem Bundesverfassungsgericht zu bestehen. Die Streichung der Grundmandatsklausel bedeute, dass möglicherweise ein Großteil von Wahlkreisen nicht mehr durch die Wahlkreissieger vertreten wird. Bezogen auf Bayern und basierend auf der letzten Bundestagswahl könnte dieser Vorschlag dazu führen, dass 2,6 Millionen Wählerstimmen, somit 30 Prozent der Wählerstimmen und 45 gewonnene Direktmandate keine Berücksichtigung im Bundestag finden würden. Dies sei eine
    eklatante Missachtung des Bundestaatsprinzips. Auch verstoße der Wegfall der Grundmandatsklausel gegen die Rechtsprechung des Bundesverfassungsgerichts zur Berücksichtigung regionaler Besonderheiten beim Wahlrecht. Die Streichung schaffe damit viele neue verfassungsrechtliche Probleme. Die Behauptung, dass bei der Anhörung die Streichung der Grundmandatsklausel in der jetzigen Form eine Rolle gespielt habe, stimme nicht. Die von der CDU/CSU-Fraktion benannten Sachverständigen hätten mit der Grundmandatsklausel argumentiert, um aufzuzeigen, wie stark der Systembruch durch die vorher beabsichtigte Reform sei. Der Gesetzentwurf habe den Grundsatz, wer einen Wahlkreis gewinnt, ziehe in den Bundestag ein, aufgehoben. Verfassungsrechtlich problematisch sei dann auch, ob eine Fünfprozentklausel überhaupt noch haltbar sei. Ferner lösen die Regelungen zu
    den unabhängigen Kandidaten eine Ungleichbehandlung aus.

    Il est alors vrai : Seuls les candidats indépendants et ceux des minorités nationales accéderont au Bundestag sans avoir besoin d’au moins cinq pour cent des voix au niveau national. Je n’ai pas l’habitude de suivre facilement les arguments de la droite, mais les remarques du CSU sur les injustices anticonstitutionnelles de la nouvelle loi ne sont pas fausses.

    17.3.2023 von Claudia Wangerin - Ampel-Mehrheit ändert Bundeswahlgesetz. Gewonnene Direktmandate führen nicht mehr automatisch in den Bundestag. Bundesweite Fünf-Prozent-Hürde gilt nun auch für bayerische Unionsschwester.

    Eine linke Oppositionspartei gäbe es im aktuellen Deutschen Bundestag nicht, wäre diese Wahlrechtsreform zwei Jahre früher beschlossen worden. Als „Lex Linke“ wollten die Parteien der Ampel-Koalition ihren Gesetzentwurf aber nicht verstanden wissen. Schließlich ging es auch um Mandate der CSU, die als bayerische Unionsschwesterpartei nun an die bundesweite Fünf-Prozent-Hürde gebunden ist.

    Die Linke war bei der letzten Bundestagswahl mit 4,9 Prozent nur dank dreier Direktmandate wieder in Fraktionsstärke ins Parlament eingezogen. Das ist mit der nun erfolgreich von SPD, Grünen und FDP auf den Weg gebrachten Änderung des Bundeswahlgesetzes nicht mehr möglich.

    Mit der Reform soll der auf 736 Abgeordnete angewachsene Bundestag ab der nächsten Wahl dauerhaft auf 630 Mandate verkleinert werden, indem auf Überhang- und Ausgleichsmandate ganz verzichtet wird. Überhangmandate entstehen, wenn eine Partei über Direktmandate mehr Sitze im Bundestag erringt, als ihr laut Zweitstimmenergebnis zustünden – sie darf diese Sitze behalten. Die anderen Parteien erhalten dafür Ausgleichsmandate.

    Nach der heute mit 399 Ja-Stimmen, 261 Nein-Stimmen und 23 Enthaltungen beschlossenen Neuregelung muss nicht mehr zwangsläufig in den Bundestag einziehen, wer seinen Wahlkreis direkt gewinnt. Das könnte auch die CSU Mandate kosten.

    Der innenpolitische Sprecher der SPD-Fraktion, Sebastian Hartmann, warb dafür mit den Worten: „Eine Verzerrung des Wahlergebnisses zugunsten der CSU und Privilegierung einzelner Gruppen schließen wir zukünftig sicher aus!“

    Dobrindt sieht „Existenzrecht der CSU“ gefährdet

    CSU-Landesgruppenchef Alexander Dobrindt reagierte erzürnt und sagte in der letzten Aussprache vor der Abstimmung, der Plan der Ampel-Parteien ziele darauf ab, die Linke aus dem Parlament zu drängen und stelle sogar „das Existenzrecht der CSU“ infrage. Die nun nötige „Zweitstimmendeckung“ bindet sie an eine bundesweite Fünf-Prozent-Hürde, die sie 2021 zwar genommen hatte, aber aus eigener Sicht nicht mit dem nötigen Sicherheitsabstand nach unten.

    Die Grünen-Politikerin Britta Haßelmann sagte in der Aussprache, ihr sei nicht klar gewesen, dass die CSU Angst vor der Fünf-Prozent-Hürde habe. So musste am Ende der Eindruck entstehen, dass es ihr persönlich – und womöglich auch den Grünen insgesamt – vor allem darum ging, Die Linke loszuwerden. Zumal diese Partei heute noch friedenspolitische Gründungsideale der Grünen vertritt, von denen sie sich selbst längst verabschiedet haben.

    Die Ampel-Parteien hatten dennoch allen Ernstes damit argumentiert, dass die Verkleinerung alle Parteien gleichermaßen treffe; die Reform sei somit fair und verfassungsgemäß.

    „Das Parlament wird nach der Reform noch weniger Menschen repräsentieren, bildet die Gesellschaft noch weniger ab“, kommentierte die Linken-Abgeordnete Heidi Reichinnek auf Twitter. Auch „spannend“ fand sie, dass alle von der Verkleinerung des Bundestages redeten, aber niemand „von einem sich immer weiter aufblähenden Regierungsapparat: neues Kanzleramt für mindestens 770 Millionen, 168 neue sehr gut bezahlte Beamt:innen, mehr Staatssekretär:innen“.

    Die CDU/CSU-Fraktion hatte in einem eigenen Antrag eine Wahlrechtsreform auf der Grundlage des personalisierten Verhältniswahlrechts vorgeschlagen, mit der die Zahl der Bundestagsmandate „in Richtung einer Regelgröße von 590 Abgeordneten reduziert“ werden sollte. Außerdem schlugen die Unionsparteien vor, die Zahl der Wahlkreise von auf 270 zu reduzieren und die Regelgröße für Listenmandate auf 320 anzuheben.

    Zugleich plädierten CDU und CSU für eine Erhöhung der Zahl unausgeglichener Überhangmandate von zuletzt drei „auf die vom Bundesverfassungsgericht zugelassene Anzahl“ von 15. Überhangmandate einer Partei in einem Bundesland sollten nach ihrem Willen „wie bisher mit Listenmandaten der gleichen Partei in anderen Bundesländern verrechnet“ werden.

    Die Linksfraktion hatte ganz eigene Vorschläge zur Reform des Wahlrechts gemacht – in drei Anträgen zielte sie darauf ab, das Mindestalter für das aktive Wahlrecht bei Bundestagswahlen von 18 auf 16 Jahre abzusenken, ein Ausländerwahlrecht auf Bundesebene ab einem fünfjährigen legalen Aufenthalt einzuführen – und zur Stärkung des Frauenanteils im Bundestag im Parteiengesetz festzuschreiben, dass Frauen und Männer bei der Aufstellung der Landeslisten gleichermaßen berücksichtigt werden müssen.

    Und wer denkt an das größte Lager?

    Nicht gedacht wurde im Bundestag wieder einmal an das in Wahrheit größte Lager – nämlich die Menschen, die zwar wählen dürfen, sich von keiner wählbaren Partei ausreichend vertreten fühlen, um es zu tun.

    Hierzu hatte der Ex-SPD-Politiker Marco Bülow (Die Partei) bereits einen Vorschlag gemacht: „Fällt die Wahlbeteiligung unter 80 Prozent, müssen Plätze in der Größenordnung der Nichtwähler:innen frei bleiben oder per Los besetzt werden.“ Dann würden die Parteien sich endlich um diese riesige Gruppe bemühen, argumentiert Bülow.

    #Allemagne #Bundestag #élections

  • Notstand der bürgerlichen Demokratie
    https://www.telepolis.de/features/Notstand-der-buergerlichen-Demokratie-7549942.html

    En Israël, en France et en Allemagne progresse le démontage des acquis sociaux et des lois protégeant les faibles. Le parlement allemand vient de voter en toute tranquillité et sans débat public une modification de la loi sur son élection qui élimine effectivement la gauche de ses rangs.

    17. 3.2023 von Peter Nowak
    ...
    Wo bleiben Proteste gegen die Wahlrechtsreform in Deutschland?

    Willi Hajek und seine Freunde warnten die gesellschaftliche Linke in Deutschland aber auch immer vor einer Mythologisierung der Proteste in Frankreich. Er rief dazu auf, doch hierzulande selbst damit anzufangen, gegen Maßnahmen der Regierung auf die Straße zu gehen.

    Da stellt man sich die Frage, wo denn die Proteste gegen den aktuellen Notstand der Demokratie in Deutschland bleiben? Damit ist die sogenannte Wahlrechtsreform gemeint, die jenseits allen parteipolitischen Streits dazu führen wird, dass ein weiteter Teil der Wähler im Bundestag nicht mehr repräsentiert ist.

    Damit wurde genau das von einer Mehrheit aus Grünen, SPD, FDP sowie drei AfD-Abgeordneten beschlossen, was in den letzten Jahren besonders gegeißelt wurde, wenn es von Rechtskonservativen in den USA praktiziert wurde.

    Man bastelt so lange am Wahlrecht herum und schneidet Wahlkreise neu zu, bis man dann die gewünschten Mehrheiten hat. Auch die US-Republikaner geben für ihre Maßnahmen natürlich immer an, es ginge doch nur darum, den Wählerwillen besser abzubilden oder die Parlamente zu verkleinern. Das ist auch das Argument aller Befürworter der Wahlrechtsreform in Deutschland und macht den undemokratischen Charakter besonders deutlich.

    Was ist denn eigentlich das Problem, wenn der Bundestag wie aktuell 736 Abgeordnete hat? Soll da wirklich das Argument von nicht ausreichend großer Säle dazu herhalten, um eine auch nach bürgerlich-demokratischen Grundsätzen undemokratische Reform durchzusetzen?

    Und das in einer Zeit, wo die technischen Voraussetzungen von Abstimmungen auch einer großen Anzahl von Abgeordneten viel leichter zu bewerkstelligen ist, als vor mehr als 100 Jahren, als auf Rätekongressen Tausende Arbeiter und Arbeiterinnen berieten und auch zu Abstimmungen kamen.

    Gerade Kritiker der repräsentativen Demokratie müssten die aktuelle Wahlrechtsreform entschieden verurteilen. Sie ist ein Teil des Notstands der bürgerlichen Demokratie.

    #Allemagne #politique #démocratie #gauche #Bundestag #élections

  • Présidentielle au Nigeria : que le plus riche gagne ! - AOC media
    https://aoc.media/analyse/2023/02/22/presidentielle-au-nigeria-que-le-plus-riche-gagne

    Par Sophie Bouillon. Le Nigeria, pays le plus peuplé d’Afrique, élira dans quelques jours son prochain président dans l’un scrutin des plus incertains et volatiles de son histoire. Une bataille sans merci se joue entre trois candidats principaux, dans un contexte de grave crise sécuritaire, d’une économie à genoux, d’âpres divisions ethniques et religieuses, mais surtout de corruption massive et endémique… qui redessine intégralement les « règles » de la démocratie.

    #Afrique #Nigeria #Démocratie #Corruption #Elections

  • États-Unis : après les élections de mi-mandat

    https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2023/02/25/etats-unis-apres-les-elections-de-mi-mandat_521783.html

    Cet article, daté du 28 janvier, a été publié dans la revue Class Struggle (n° 114 – hiver 2022-2023), éditée par le groupe trotskyste américain The Spark. Les notes sont de la rédaction de Lutte de classe.

    L’année dernière, à l’approche des élections de mi-mandat, les sondages montraient que Biden était aussi impopulaire que #Trump. Les conditions de vie étant de plus en plus dégradées du fait de l’inflation et des autres problèmes de l’économie, il semblait que le #Parti_démocrate, qui détenait tous les leviers du pouvoir fédéral, allait payer le prix fort dans les urnes. Mais les démocrates ont échappé à la claque électorale prédite par les commentateurs. Non seulement ils ont gardé le contrôle du Sénat, mais ils y ont gagné deux sièges. À la #Chambre_des_représentants, ce fut une courte défaite, avec une perte de seulement cinq sièges sur 435. En outre, ils ont remporté plusieurs élections décisives de gouverneurs. Ils ont probablement bénéficié de la récente décision de la #Cour_suprême d’annuler l’arrêt Roe v. Wade (...)

    #États-Unis #élections_de_mi-mandat

    • La condition des travailleurs se détériore non seulement par rapport à celle des classes aisées, dont la situation s’améliore nettement, mais aussi en termes absolus. L’inflation a grignoté la valeur réelle des salaires. Selon le département américain du Travail, le salaire horaire médian réel est au même niveau qu’en 1973. Lorsqu’il y a eu des augmentations, elles ont presque toutes bénéficié au décile supérieur de l’échelle des revenus. Ceux qui se situent dans les 40 % inférieurs ont vu leurs salaires baisser. De plus, les chiffres de l’inflation sont trafiqués et donnent une image déformée de la situation. Qui plus est, ces chiffres ignorent tous les autres facteurs qui ont réduit le revenu réel des travailleurs, à commencer par l’élimination des pensions et d’autres avantages sociaux autrefois considérés comme faisant partie de la masse salariale, ainsi que l’énorme augmentation des frais médicaux, qui constituent une ponction sur les revenus.

      Les statistiques gouvernementales masquent la réalité. En témoigne le taux de chômage officiel avant les élections de 2022, de 3,5 % de la population active. Or, 37 % de la population en âge de travailler est exclue de ce que le gouvernement considère comme la population active. De nombreuses personnes sont exclues de ce comptage  : celles qui s’occupent d’enfants en bas âge, dans un pays où il n’existe pas de structures d’accueil publiques  ; celles dont les compétences et diplômes sont insuffisants pour occuper les emplois disponibles, dans un pays où le système scolaire public est incapable d’apprendre à lire à 40 % des enfants des écoles des grandes villes  ; ou encore les personnes handicapées à la suite d’accidents du travail, en raison de maladies professionnelles, voire par le Covid long qui a touché des millions de personnes, les empêchant de travailler, dans le pays affichant le pire taux de décès par Covid de tous les pays développés. Sont également exclues de la population active les personnes trop âgées pour être embauchées, mais qui n’ont pas encore atteint l’âge pour toucher les maigres aides sociales versées aux seniors. Les entreprises de la high-tech, en particulier le commerce en ligne et ses entrepôts, recherchent des travailleurs jeunes, forts, agiles et rapides, dont une grande partie sont relégués à des emplois temporaires ou à temps partiel, à des contrats ou à des emplois de type Uber.

      Les difficultés immédiates des travailleurs ont été aggravées par la dégradation sur le long terme des services publics et l’élimination ou la privatisation des services sociaux. Lors des élections de 2022, les services publics comptaient près d’un million de travailleurs de moins que juste avant la pandémie. La classe capitaliste, avide d’aspirer une part croissante des richesses produites, cherche à s’approprier une portion croissante des sommes que le gouvernement dépensait jusqu’alors pour les infrastructures, les programmes sociaux et les services publics. Derrière la vitrine de cette grande et riche démocratie américaine, il y a peu de lois qui limitent le temps de travail, il y en a encore moins qui prévoient le paiement des arrêts maladie, et il n’y en a aucune garantissant des congés payés. Autrement dit, tout cela dépend de la bonne volonté de chaque patron. On a pu voir comment cela se traduit concrètement en 2020, aux pires moments de la pandémie, lorsque la moitié des travailleurs des industries dites essentielles n’ont pas eu droit à un seul jour de congé payé. Voici donc un pays où le système de santé est de plus en plus contrôlé par des entreprises privées, qui peuvent refuser des soins médicaux à qui ne peut pas payer.

      #profitation #prédation

  • #électoralisme #élections #chimères
    > #politiciens #bourgeoisie #capitalistes #domination #servitude

    #émancipation #anarchisme
    > #abstentionnisme #abstention #anticapitalisme #autogestion

    #élections #antiélectoralisme

    ★ Vote = délégation de pouvoir et symbole de la répression de l’expression politique de la société... - Groupe Libertaire Jules-Durand

    Les élections sont le symbole de régimes qui empêchent de fait la société de prendre ses propres décisions. Depuis des temps immémoriaux, les processus électoraux ont été un instrument par lequel les structures de pouvoir qui gouvernent la société ont créé le consensus correspondant qui a facilité « la coopération » entre gouvernants et gouvernés, et grâce auquel elles se sont dotées de leur légitimité si nécessaire. Les urnes ont été présentes d’une manière ou d’une autre, mais toujours pour maintenir la domination d’une minorité dirigeante sur le reste de la population.
    Les référendums sont un autre exemple paradigmatique de l’utilisation des urnes pour confirmer la volonté des élites chargées de formuler la question et d’établir les réponses possibles. En ce sens, les élections sont aussi une autre manière de réprimer l’expression de la volonté de l’individu, et par extension de la société dans son ensemble. L’acte de voter consiste à déposer un bulletin dans une urne avec lequel l’électeur exprime son soutien à un certain parti politique, mais en aucun cas il ne sert à exprimer ce qu’il veut ou attend réellement de ladite organisation et de ses principaux dirigeants (...)

    ▶️ Lire le texte complet…

    ▶️ http://le-libertaire.net/vote-delegation-pouvoir-symbole-repression-lexpression-politique-soci


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  • SPD Berlin : Niemand will den ersten Stein auf Franziska Giffey werfen
    https://www.berliner-zeitung.de/politik-gesellschaft/nach-der-wahl-spd-berlin-niemand-will-den-ersten-stein-auf-franzisk

    Tout le monde dit que le parti socialdémocrate a perdu les élections municipales à Berlin. Mauntenant on commence à se demander pourquoi et â qui faire porter la rsponsabilité pour le désastre J’ai l’impression que nous avons vu tout au long de l’année passée des choses plus grandes qu’un scrutin régional.

    Cette situation a sans doute contribuée aux choix des électeurs.

    On se demande alors qui seront nos interlocuteurs à la tête des institutions de la ville, qui décidera sur l’attribution de subventions et quelle place occuperont encore les initiatives et associations citoyennes qui travaillent depuis six ans avec le gouvernement de gauche.

    15.2.2023 von Elmar Schütze - Auch Tage nach der Wahlschlappe sind bei der Berliner SPD noch viele Fragen offen. Unter anderem die nach der Zukunft der Partei- und Regierungschefin.

    An Position eins im bekannten rot-grün-roten Trott oder in Juniorpartnerschaft mit der Wahlsiegerin CDU? Die Berliner SPD nach der Wiederholungswahl tendiert Richtung Weiter-so. „Ich würde sagen, dass es schon eine klare Tendenz gibt für die Fortsetzung. Aber es wird natürlich auch sehr ernst genommen, dass wir einen Wahlsieger haben, der deutlich vor uns liegt“, sagt die Parteivorsitzende und Regierungschefin Franziska Giffey. Und wie steht es um sie selbst? „Meine Partei hat mir im Bundesvorstand Rückendeckung gegeben, und der Landesvorstand hat das auch getan“, sagt sie. Okay, das wollen die Chefs – doch was will die Partei?

    Sicher ist: Franziska Giffey ist in der Partei nicht unumstritten. Schon als sie 2020 zusammen mit Raed Saleh Vorsitzende wurde, gab es Kritik. Die Funktionärsebene der Berliner SPD ist im Bundesvergleich eher links. Da traf Giffey mit ihrer oft konservativen Haltung in Verkehrs-, Bau-, Innen- und Migrationspolitik auf Vorbehalte. Diese schienen sich zuletzt gelegt zu haben. Nach dem Motto: Wenn, dann kann es nur gemeinsam gehen.

    Doch dann kam das Wahlergebnis mit historisch schlechten 18,4 Prozent – und mit nur 105 Stimmen Vorsprung vor den Grünen. So wacklig war der Sessel im Roten Rathaus noch nie. Die Strategie, die bürgerliche Giffey vor die Koalition mit Grünen und Linken zu spannen, um diese zu befrieden, ist – fast – gescheitert. Es entstand nie das Bild eines Giffey-Senats, sie selbst hat kaum Amtsbonus, wird trotz aller Bemühungen nicht so recht als Landesmutter wahrgenommen. Wie kann es jetzt also weitergehen?

    Es ist nicht einfach, aus der Partei Stimmungen zu Franziska Giffey herauszufiltern. Niemand will den ersten Stein werfen, zumindest nicht frontal auf die Chefin. Natürlich gibt es Hinweise, doch noch sind sie oft diffus.

    Im SPD-Kreisverband Mitte sitzen traditionell besonders scharfe Kritiker der Parteispitze. Am Montag meldete sich die Vizevorsitzende von Mitte, Julia Plehnert, im Tagesspiegel zu Wort: „Wenn man derartig abstürzt, geht es nicht darum, ob man ein Zehntel vor oder hinter den Grünen landet.“ Sie forderte: „Man muss dann Konsequenzen ziehen.“ Okay, aber meint sie damit Giffey?

    Und da ist der bekannt kritische Kreisverband Tempelhof-Schöneberg, Heimat des von Giffey und Saleh abgesägten früheren Regierungschefs Michael Müller. Von dort ist zu hören, dass Giffey nach dem schlechten Wahlergebnis keine Legitimation mehr habe, die Partei in die bevorstehenden Sondierungsgespräche mit der CDU zu führen. Stattdessen könne man sich an dieser Stelle Kevin Kühnert vorstellen, Generalsekretär der Bundespartei – und Mitglied in Tempelhof-Schöneberg.

    Doch wie das so ist mit Gerüchten: Sie werden auch schnell abgetan. So heißt es von Vertretern des linken Flügels, der Name Kühnert in diesem Zusammenhang sei eine „Ente“. Viel wichtiger sei doch, dass sich die linken Sozialdemokraten seit Monaten sehr diszipliniert verhalten und Giffey in Frieden gelassen hätten. Das habe selbst dann gegolten, als diese immer wieder die Enteignung großer Immobilienunternehmen abgelehnt habe. Dabei gebe es einen Parteitagsbeschluss pro Enteignung.

    Dies geschah übrigens auf genau jenem Parteitag im Juni vergangenen Jahres, als die Delegierten ihr Führungsduo auf offener Bühne zerlegten. Giffey und Saleh erhielten bei ihrer Wiederwahl nicht einmal 60 Prozent der Stimmen.
    Berliner SPD-Innenpolitiker Schreiber: aus dem Parlament geflogen – und dennoch loyal

    Viele SPDler erinnern sich mit Schrecken an diesen Tag. Dazu gehört der langjährige Parlamentarier Tom Schreiber, ein emsiger Arbeiter mit engen Kontakten zu Polizei und Feuerwehr, der immer loyal zu Regierungschefin Giffey und Fraktionschef Saleh stand. Jetzt ist der Innenpolitiker bei der Wiederholungswahl, für die seine Partei verantwortlich gemacht wird, aus dem Abgeordnetenhaus geflogen. Nach 16 Jahren. Doch im Gespräch mit der Berliner Zeitung bleibt sich Schreiber treu: „Das Zauberwort ist Geschlossenheit bei Partei und Fraktion. Sonst kann man es gleich lassen.“

    Und manchmal wird es ganz kurios. So wurde bei Spiegel online allen Ernstes Giffeys Vorgänger Michael Müller gefragt, ob er jetzt womöglich zurückkomme. „Das wäre ja absurd“, sagte der. Immerhin.

    @Berlin #politique #élections

    • Warum die Berlin-Wahl Kleinparteien in Existenzangst stürzt - WELT
      https://www.welt.de/politik/deutschland/article243247895/Warum-die-Berlin-Wahl-Kleinparteien-in-Existenzangst-stuerzt.html
      Les partis politiques allemands sont subventionnés en fonction du nombre de voix.

      Laut der aktuellsten Fassung des Datenhandbuchs der Geschichte des Deutschen Bundestags von 2022 erhalten die Parteien – egal ob bei Bundes-, Landes- und Europawahlen – für jede der ersten vier Millionen erhaltenen Stimmen 1,08 Euro. Ab Stimme 4.000.0001 gibt es 89 Cent. Das gilt für Erst- wie auch für Zweitstimmen. Die Mittel aus der staatlichen Parteienfinanzierung steigen jährlich. Auf Landesebene fließt aber nur Geld, wenn eine Partei mindestens ein Prozent aller Stimmen erhalten hat (im Bund liegt die Grenze bei 0,5 Prozent) – das schaffen nur die wenigsten.

      1.22 Staatliche Parteienfinanzierung, Stand: 31.3.2022
      https://www.bundestag.de/resource/blob/196134/51ecb1d2f7f1bf56bca1d18b3d3823f9/Kapitel_01_22_Staatliche_Parteienfinanzierung-data.pdf

      Nach der Grundsatzentscheidung des Bundesverfassungsgerichts zur staatlichen Parteienfinanzierung vom 9. April 1992 (BVerfGE 85, S. 264 ff.) wurde die staatliche Parteienfinanzierung zuletzt mit Wirkung ab 1. Januar 1994 im Parteiengesetz (PartG) neu geregelt (BGBl. I S. 149; vgl. auch Bundestags-Drucksache 12/5774). Die bis dahin praktizierte Wahlkampfkostenerstattung für die einzelnen Wahlen auf Bundes- und Länderebene wurde abgelöst durch eine allgemeine Teilfinanzierung.

      Gemäß § 18 Abs. 1 Parteiengesetz erhalten die Parteien jährlich staatliche Mittel zur Finanzierung der ihnen allgemein nach dem Grundgesetz obliegenden und im Parteiengesetz konkretisierten Tätigkeiten. Der Gesamtbetrag der Mittel ist durch eine „absolute Obergrenze“ beschränkt (§ 18 Abs. 2 PartG), die seit 2013 einer jährlichen Anpassung nach Maßgabe eines durch das Statistische Bundesamt ermittelten spezifischen Preisindexes unterliegt Für 2022 beläuft sich die absolute Obergrenze auf 205.050.704 Euro, wobei hier ein gesetzlicher Erhöhungsschritt (für 2018 auf 190.000.000 Euro) einbezogen worden ist, dessen Rechtmäßigkeit derzeit noch Gegenstand eines Normenkontrollverfahrens vor dem Bundesverfassungsgericht ist.

      Maßstab für die Verteilung dieser Mittel ist die Verwurzelung der Parteien in der Gesellschaft. Die Verwurzelung wird zum einen am Erfolg gemessen, den eine Partei bei der jeweils letzten Europa- und Bundestagswahl und den jeweils letzten Landtagswahlen erzielt hat, zum anderen am Umfang der Zuwendungen natürlicher Personen, d. h. der Mitglieds- und Mandatsträgerbeiträge sowie rechtmäßig erlangter Spenden (§ 18 Abs. 3 Nr. 3 PartG). Anspruch auf staatliche Teilfinanzierung haben grundsätzlich nur diejenigen Parteien, die nach dem Wahlergebnis der jeweils letzten Europa- oder Bundestagswahl mindestens 0,5 % oder bei einer der jeweils letzten Landtagswahlen mindestens 1 % der abgegebenen gültigen Stimmen für ihre Listen erreicht haben (§ 18 Abs. 4 PartG). Weitere Voraussetzung ist die fristgerechte Vorlage des jeweils letztfälligen, den gesetzlichen Vorschriften entsprechenden Rechenschaftsberichts (§ 19a Abs. 1 und 3 PartG; vgl. dazu Kapitel 1.23).

      Für jede anspruchsberechtigte Partei werden zunächst für die bei den jeweils letzten Europa-, Bundestags- und Landtagswahlen insgesamt erzielten gültigen Stimmen je Stimme bis zu einer Gesamtzahl von vier Mio. Stimmen ein Betrag von (für 2022) 1,08 Euro sowie für jede weitere Stimme 0,89 Euro in Ansatz gebracht (seit 2017 dynamisierter „Wählerstimmenanteil“, § 18 Abs. 3 PartG). Für die von natürlichen Personen gewährten Zuwendungen wird bis zu einer Gesamthöhe von 3.300 Euro je Person und Jahr ein Betrag von 0,45 Euro je Euro angesetzt („Zuwendungsanteil“, § 18 Abs. 3 Satz 1 Nr. 3 PartG). Wegen des aus Art. 21 Abs. 1 Grundgesetz abgeleiteten Verbots einer überwiegend staatlichen Parteienfinanzierung darf die staatliche Finanzierung bei der einzelnen Partei die Summe ihrer jährlich selbst erwirtschafteten Einnahmen nicht überschreiten („relative Obergrenze“, § 18 Abs. 5 Satz 1 PartG). Gegebenenfalls ist die staatliche Teilfinanzierung der betreffenden Partei auf diesen Betrag zu beschränken. Soweit die sich aus dieser Berechnung ergebenden einzelnen Förderbeträge in der Summe die „absolute Obergrenze“ überschreiten, sind diese Förderbeträge schließlich proportional zu kürzen (§ 19a Abs. 5 Satz 2 PartG).

      Für die Durchführung der Vorschriften über die staatliche Parteienfinanzierung und die Sanktionierung von Verstößen gegen das Parteiengesetz ist der Präsident bzw. die Präsidentin des Deutschen Bundestages als mittelverwaltende Behörde zuständig.

      Parteien, die nach ihren Zielen oder dem Verhalten ihrer Anhänger darauf ausgerichtet sind, die freiheitliche demokratische Grundordnung zu beeinträchtigen oder zu beseitigen oder den Bestand der Bundesrepublik Deutschland zu gefährden, sind von der staatlichen Finanzierung ausgeschlossen (Art. 21 Abs. 3 Satz 1 GG).

      #élections #Allemagne #Berlin #politique #finances

  • CDU hat die Wahl
    https://www.jungewelt.de/artikel/445288.wahl-in-der-hauptstadt-cdu-hat-die-wahl.html

    Pour le quotidien communiste Junge Welt le résultat des élections berlinoises est l’expression d’une catastrophe permanente. L’auteur du journal n’a pas tort quand il accuse tous les partis de l’actuel gouvernement municipal d"être responsables d’une politique de privatisation aux conséquences néfastes pour la majorité des berlinoises et berlinois. Sa conclusion : l’élimination du parti libéral FDP du parlement municipal est l’unique résultat positif des élections d’hier.

    Arnold Schölzel - Den Privatisierungswahn haben alle fünf Parteien, die jetzt ins Berliner Abgeordnetenhaus einziehen, gemeinsam – Abstufungen eingeschlossen

    Ein »sehr gutes Ergebnis« seien die 12,5 Prozent bei 1,6 Prozent Verlust für seine Partei Die Linke, meinte Bundestagsfraktionschef Dietmar Bartsch kurz nach Schluss der Wahllokale. Sein Maßstab: Im vergangenen Jahr scheiterte Die Linke bei vier Landtagswahlen, in Berlin konnte sie sich auf eine offenbar schmerzfreie Stammwählerschaft stützen. In der städtischen Koalition bestand ihre Funktion darin, der mit CDU und FDP liebäugelnden Regierenden Bürgermeisterin Franziska Giffey (SPD) den Rücken freizuhalten. Das Ja von fast 60 Prozent der Wähler am 26. September 2021 für die Enteignung war eine Ohrfeige für die in Berlin seit Jahrzehnten regierende Kombination aus Berliner Baumafia und Sozialdemokratie und ihre hochfliegenden Pläne, international eine große Nummer zu werden. Die Entscheidung musste entschärft und wirkungslos gemacht haben ­– das wurde mit der Linken geschafft. Eine beachtliche Leistung an Demagogie, die an das Verscherbeln städtischer Wohnungen mit ihrer Hilfe vor fast 20 Jahren heranreicht.

    In Hamburg versteht sich die SPD als politischer Arm der einheimischen Milliardäre ­– Steuerbetrug hinterlässt weniger Spuren als das Berliner sozialdemokratische Hantieren mit Zement und Mörtel, ohne dass dabei anderes entsteht als scheußlichste Ghettoarchitektur. Von 2001 bis heute stiegen in Berlin die Mieten um 159 Prozent, was nun internationale Bauhaie auf den Plan gerufen hat. Endlich Weltniveau beim Ausquetschen von Mietern – das war der Auftrag. Die nächst kleineren Metropolen verzeichneten weniger als die Hälfte an Steigerung. Die Ausgangslage mag in Hamburg oder München höher gewesen sein, Berlin hat in überdimensionierter Bauspekulation die Nase vorn. Wer eine Franziska Giffey und einen Bausenator wie Eike Geisel (SPD) hat, weiß selbstverständlich, dass zum Beispiel einem René Benko und seinem Immobilienschneeballsystem etwa mit Karstadt-Galeria-Grundstücken besonders viel Staatsknete in der Hauptstadt hinterhergeworfen wird. Die knapp 17 Monate seit der sogenannten Wahl 2021 waren für die Lösung des Wohnungsproblems in Berlin verlorene Zeit, für sogenannte Investoren, den Vorreitern des weltweit nach Anlage suchenden Kapitals , eine Fortsetzung goldener Jahre.

    Das Wahlergebnis war Ausdruck von Wut über besonders unfähiges politisches Provinzpersonal. Welche Rolle bei der Wahlentscheidung die Haltung zu Waffenlieferungen nach Kiew spielte, lässt sich nicht sagen. »Erwähnen Sie nicht den Krieg« war Leitfaden des sogenannten Wahlkampfes. Die Spitzen aller drei regierenden Parteien und der CDU setzten sich zwar auf Nachfrage für mehr Kriegsgerät Richtung Osten ein, scheuten sich aber, das zum Thema zu machen. Berlin hat mit rund 100.000 Ukraine-Flüchtlingen bundesweit überproportional Menschen aufgenommen – weitgehend geräuschlos. Es kommt eben darauf an, vor welchem Krieg einer flieht, da funktioniert bei den »richtigen« sogar der Verwaltungsapparat - siehe das Berliner Scheitern 2015 bei der bloßen Registrierung von Menschen, die von einem der Kriege des Westens aus Zentralasien, dem Nahen und Mittleren Osten oder aus Nordafrika vertrieben worden waren.

    Die Berliner CDU hat in den vergangenen Wochen die AfD kopiert, die deutschen Großmedien haben den Bohai um junge Migranten am Silvesterabend kräftig angeheizt. Rechtsaußen und Spitzenkandidat gewann so an die zehn Prozent. Die CDU hat jetzt die Wahl und klar wurde schon am Sonntag: Ihr Favorit sind Bündnis 90/Die Grünen. Ob es zu einem Bündnis kommt, ist offen – bei solchen Entscheidungen hat die Bundesebene das letzte Wort. Eine solche Koalition hätte Rückwirkungen auf die Bundesregierung. Symptomatisch ist, dass die Berliner SPD 51.000 Stimmen an die Union abgab. Das war ein Erdrutsch und erhärtet nur: In der Hauptstadt handelt es sich bei beiden Parteien noch mehr als in der übrigen Republik um zwei Flügel einer Einheitspartei. Ihre Basis ist eine Klientel, die sich zum größten Teil noch in Frontstadtzeiten wähnt und stets Neigung zu extrem rechten Positionen hatte.

    Berlin ist die Armutsmetropole der Bundesrepublik. Die bisherige Koalition hat die längst nicht mehr schwelende, sondern an vielen Stellen sichtbare Verelendung verschärft – allein durch die Weigerung ums Verrecken nicht für bezahlbare Wohnungen, ausreichend Lehrer oder Schulgebäuden, die nicht mehr bröckeln, zu sorgen. Den Privatisierungswahn, das kommunale Heil durch Flucht in die Verscherbelung öffentlichen Eigentums zu suchen, haben alle fünf Parteien, die jetzt ins Berliner Abgeordnetenhaus einziehen, gemeinsam – Abstufungen eingeschlossen. Diese Wahl wird deswegen kein Problem der Stadt lösen. Es bleibt ein einziges positives Ergebnis: Die FDP fliegt raus.

    #Allemage #Berlin #politique #élections

  • Abgeordnetenhauswahl Berlin 2023
    https://www.tagesschau.de/wahl/archiv/2023-02-12-LT-DE-BE/index.shtml
    Élection du gouvernement municipal de Berlin - les libéraux ont perdu et n’auront plus de député au parlement de la ville. La coalition SPD/Verts/Gauche peut continuer - en principe.

    La droite obtient 43,8% mais ne formera vraisemblablement pas le gouvernement. Avec un taux de participation de 65% la gauche a perdu comme toujours quand surtout les convaincus et ceux qui se portent économiquement bien participent aux scrutins.
    Demain matin on apprendra le résultat final.

    #Allemagne #Berlin #politique #élections

  • Une opposition politique entre les grandes agglomérations et le reste du territoire ?
    https://metropolitiques.eu/Une-opposition-politique-entre-les-grandes-agglomerations-et-le-rest

    Après chaque scrutin national, la cartographie des votes fait couler beaucoup d’encre. Kevin Brookes et Tristan Guerra contribuent au débat à partir des résultats à l’élection présidentielle de 2022 et plaident pour une meilleure prise en compte des effets de territoires. Chaque élection présidentielle donne lieu à pléthore de commentaires qui insistent sur la relation entre le lieu d’habitation et le #vote, parlant notamment de « fracture territoriale » (Fourquet 2022). En 2017 était déjà évoquée une #Débats

    / vote, #élections, #élections_présidentielles, #cartes, #géographie_électorale, #rural

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_brookes-guerra.pdf

  • Sur les pavés, la campagne
    https://metropolitiques.eu/Sur-les-paves-la-campagne.html

    Les campagnes électorales continuent de rythmer la vie politique. Laurent Godmer montre ainsi comment elles mobilisent les #partis, les élus et les candidats et mettent à l’épreuve leur ancrage territorial. Les pavés historiques de la rue Mouffetard et de la place Monge accueillent le chaland et les touristes : comme d’autres quartiers commerçants de #Paris, ces lieux sont un théâtre politique quand des campagnes électorales se déroulent et que les militants battent le pavé. C’est là, dans le 5e #Terrains

    / Paris, #élections, #mobilisation, partis, #élus_locaux, #élections_municipales, #maires

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-godmer.pdf

  • Neues zur Wiederholungswahl - Berlin.de
    https://www.berlin.de/wahlen/pressemitteilungen/2022/pressemitteilung.1277012.php

    Pressemitteilung vom 20.12.2022

    Europarat entsendet Wahlbeobachter

    Der Kongress der Gemeinden und Regionen des Europarats (KGRE) wird Wahlbeobachter zur Berliner Wiederholungswahl am 12. Februar 2023 entsenden. Dies kündigte der Landeswahlleiter für Berlin, Stephan Bröchler, auf seinem YouTube-Kanal an: „Ich hatte angeregt, dass wir Wahlbeobachter sowohl des KGRE als auch der Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (OSZE) einladen. Da ich die Einladung als Landeswahlleiter selbst nicht aussprechen kann, danke ich der Senatorin für Inneres, Digitalisierung und Sport, Iris Spranger, und dem Auswärtigen Amt, dass sie meinen Vorschlag in die Tat umgesetzt haben. Zugesagt hat bereits der KGRE, die Antwort der OSZE steht noch aus.

    Nach der Pannenwahl von 2021 habe Berlin Vertrauen eingebüßt, funktionierende demokratische Wahlen zu organisieren, so Bröchler: „Mit der Wahlwiederholung können wir zeigen, dass wir aus Fehlern gelernt haben und Vertrauen in die Demokratie zurückgewinnen werden. Deshalb möchten wir uns der Beurteilung durch unabhängige Wahlbeobachtung stellen.“

    Landeswahlleiter begrüßt Entscheidung des Landesverfassungsgerichts

    Als Landeswahlleiter und als Landesabstimmungsleiter begrüßt Stephan Bröchler die Entscheidung des Landesverfassungsgerichts, dass Wiederholungswahl und Volksentscheid an verschiedenen Terminen stattfinden. Die Klage der Trägerin des Volksbegehrens auf Zusammenlegung der Termine ist gescheitert. Der Senat hatte den 26. März 2023 als Termin für den Volksentscheid festgelegt. Stephan Bröchler: „Zwei Aspekte sind mir wichtig: Erstens hat das Verfassungsgericht festgestellt, dass die Trennung der Termine nicht zu beanstanden ist. Zweitens hat das Gericht ausgeführt, dass die Entscheidung auf sachlichen und organisatorischen Erwägungen beruht.“

    Landeswahlleiter unterstützt Projekt „Erstwahlprofis“

    Der Landeswahlleiter will sich außerdem dafür engagieren, junge Bürgerinnen und Bürger Berlins für Wahlen zu gewinnen. Um eine drohende Generationenlücke zu schließen, bedürfe es einer Offensive für die 18- bis 25-Jährigen: „Diesem Ziel hat sich das Projekt Erstwahlprofis der Bertelsmann Stiftung und des Hauses Rissen verschrieben. Gemeinsam mit der Landeszentrale für Politische Bildung unterstütze ich das Projekt.“ Das Haus Rissen schult wahlberechtigte 18- bis 25-jährige Erstwählerinnen und Erstwähler für ihren Einsatz als Wahlhelfende bei der Wiederholungswahl am 12. Februar und beim Volksentscheid am 26. März 2023.

    Weitere Informationen die angeordnete Wiederholungswahlen betreffend, finden Sie auf der Homepage des Landeswahlleiters https://www.berlin.de/wahlen .

    #Berlin #politique #élections #2023

  • Élections nationales 2022 : pour une analyse localisée du #vote et de ses enjeux
    https://metropolitiques.eu/Elections-nationales-2022-pour-une-analyse-localisee-du-vote-et-de-s

    Après avoir scruté les votes des grandes villes lors de l’élection présidentielle de 2017, Métropolitiques a consacré un nouveau dossier aux #élections nationales de 2022. Les articles rassemblés ici proposent une analyse localisée des résultats électoraux et interrogent quelques enjeux territoriaux de ces élections. ▼ Voir le sommaire du dossier ▼ Ce dossier consacré au cycle électoral constitué par l’élection présidentielle et les scrutins législatifs du printemps 2022 illustre l’intérêt que la revue #Dossiers

    / #élections_présidentielles, élections, vote, #métropole, ruralité, #politique

    #ruralité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/intro_dossier_elections-nationales-2022.pdf

  • Reform Berliner Bundestagswahlkreise : Wahlsieger am Reißbrett
    https://taz.de/Reform-Berliner-Bundestagswahlkreise/!5895527

    La nouvelle repartition des circonscriptions électorales à Berlin éliminera les candidats du parti de gauche. Avec le même nombre de voix qu’au dernières élections Die Linke n’obtiendra plus aucun député au Bundestag. En 2025 il lui faudra impérativement dépasser le seuil de cinq pour cent des voix électorales au niveau national pour entrer au Bundestag.

    L’Allemagne impose un résultat d’au moins cinq pourcent des voix électorales comme condition d’entrée dans ses parlements politiques.

    Une règle du droit de vote allemand veut qu’à partir de trois élus par vote majoritaire le nombre des autres délégués du parti se calcule proportionellement même si son résultat général est en dessous de cinq pour cent.

    Actuellement Die Linke profite de cette règle.

    Dans toutes les élections politiques allemandes sont élus deux candidats par circonscription. Le premier est élu par vote majoritaire dans un seul tour, alors que le deuxième vote de chaque électeur entre dans le calcul proportionnel au niveau global. Chaque parti y propose une liste de candidats qui entrent au parlement en fonction de leur position sur la liste du parti et des voix obtenus.

    Ce double vote rend nécessaire des calculs compliqués afin de garantir la bonne repartition proportionelle des sièges. Il a fait gonfler le Bundestag au point où il est devenu le deuxième grand parlement du monde après le congrès national de Chine.

    Ce développement est la raison officielle pour les modifications à venir des circonscriptions. A Berlin le parti sicialdémocrate SPD domine la commission chargé de la conception des circonscriptions. Elle propose alors au parlement une nouvelle repartition qui augmentera le nombre des socialdémocrates élus par vote majoritaire. Les perdants seront les chrétiens-démocrates et surtout le parti de gauche.

    Erik Peter - Die Linke wirft der SPD vor, die Wahlkreise für die Berliner Bundestagswahl zu ihren Gunsten zuzuschneiden. Auch Grüne und CDU würden verlieren.

    BERLIN taz | Die Reform der Berliner Bundestagswahlkreise vor der kommenden Wahl 2025 könnte vor allem der SPD zum Vorteil gereichen. Linken, Grünen und CDU droht dagegen der Verlust bisheriger Mandate. Das ergibt sich aus zwei alternativen Vorschlägen der Landeswahlleiterin an die Wahlkreiskommission des Bundestags, die der taz vorliegen. Hintergrund ist die für eine angestrebte Verkleinerung des Bundestages notwendig gewordene Verringerung von bislang 12 auf zukünftig 11 Berliner Wahlkreise.

    Eine erste Variante sieht vor, den 2021 von den Linken gewonnenen Wahlkreis Lichtenberg aufzulösen und auf umliegende Wahlkreise zu verteilen. Das Mandat entfiele ersatzlos. Der Vorschlag treibt insbesondere die Linke um: Bedroht wäre schließlich eines von drei bundesweiten Direktmandaten, das der Partei zuletzt gerade so den Fraktionsstatus im Bundestag gesichert hat. Auch die CDU hätte bei dieser Variante das Nachsehen und könnte ihr Direktmandat in Reinickendorf an die SPD verlieren.

    Ein anderer, von der Landeswahlleitung favorisierter Vorschlag sieht die Aufteilung des Wahlkreises Pankow sowie Umverteilungen in Reinickendorf und Spandau vor. Bei diesem Vorschlag würden die Grünen ihr in Pankow gewonnenes Mandat ersatzlos verlieren und wiederum die SPD einen Wahlkreis gewinnen, der bisher an die CDU fiel.

    In beiden Varianten wäre also die SPD die große Gewinnerin. Holte sie bei der Wahl 2021 noch 4 von 12 Berliner Bundestagswahlkreisen direkt, wären es bei gleichbleibender Stimmenverteilung zukünftig 5 von 11.

    Die vorgeschlagenen Neufassungen gehen auf die turnusgemäßen Prüfungen der Wahlbezirke zurück. Die Landeswahlleitungen müssen dafür Vorschläge an die Wahlkreiskommission des Bundestages übermitteln. Diese legt im Januar ihre Vorschläge dem Bundestag vor, der dann final entscheidet. Grundsätzlich gilt, dass alle Wahlkreise ähnlich groß sein sollen und nicht mehr als 15 Prozent von der durchschnittlichen Wahlkreisgröße (rund 250.000 Wahlberechtigte) abweichen sollen.

    In Berlin liegen derzeit zwei Wahlkreise deutlich unter dem Schnitt: Spandau-Charlottenburg-Nord (–16,8 Prozent) und Reinickendorf (–18,6 Prozent). Erstaunlich scheint angesichts dessen, dass bei den vorliegenden Vorschlägen von Landeswahlleitung und Innenverwaltung die Schere auch in Pankow und Lichtenberg angesetzt wird.

    Entsprechend sind die Vorschläge außerhalb der SPD nicht gerade gut angekommen. Bei den Grünen hat man Bauchschmerzen. Und der Berliner Linken-Abgeordnete Sebastian Schlüsselburg wirft der als Innenverwaltung verantwortlichen SPD gleich „Gerrymandering“ (siehe Kasten) vor: Mit dem im englischen Sprachgebrauch gebräuchlichen Begriff wird die vor allem aus den USA bekannte Unsitte bezeichnet, Wahlkreiszuschnitte für Parteipolitik zu missbrauchen.

    „Beide Varianten sind offensichtliche Fälle von Gerrymandering“, sagt Schlüsselburg, „es gibt kein sachliches Argument, warum Lichtenberg als dynamischer und wachsender Wahlkreis kein eigener Wahlkreis bleiben sollte.“ Die mangelnde Größe Charlottenburg-Nords und Reinickendorfs sollte seiner Ansicht minimalinvasiv vor Ort korrigiert werden.

    Schlüsselburg kritisiert zudem, dass die Innenverwaltung von Iris Spranger (SPD) die Vorschläge aus dem Juli den Parteien erst Mitte November vorlegte – mit gerade einmal einer zweiwöchigen Frist zur Stellungnahme. „Wahlkreiszuschnitte in Hinterzimmern beschädigen das Vertrauen in die Demokratie“, sagt Schlüsselburg, „die SPD und die Landeswahlleitung müssten nach der von ihr verantworteten Wahlwiederholung eigentlich das Vertrauen in die Wahldemokratie stärken – dann aber versuchen sie, den Volksentscheid von der Abstimmung zu trennen, und überraschen uns nun mit kurzer Fristsetzung beim Neuzuschnitt der Wahlkreise.“ Die Linke hat die Vorschläge in ihrer Stellungnahme entsprechend kritisiert und abgelehnt. Sie spricht sich für die zweite Variante mit Änderungen aus und will den Wahlkreis Lichtenberg und Pankow weitgehend unangetastet lassen.

    Die SPD teilte der taz mit, Vorschläge der Wahlkreiskommission zur Kenntnis genommen und keine Stellungsnahme abgegeben zu haben. Die Innenverwaltung äußerte sich auf taz-Anfrage dazu bislang nicht.

    Erinnerung an PDS-Zeiten

    Der Linken könnte damit ein ähnliches Szenario wie der Vorgängerpartei PDS drohen. Nachdem diese 1998 noch vier Direktmandate im Osten Berlins gewonnen hatte, blieben ihr nach der Neuaufteilung der Wahlkreise vor der Bundestagswahl 2002 nur noch zwei sichere Wahlkreise übrig. Weil die Partei dann knapp an der 5-Prozent-Hürde scheiterte, zogen damals nur noch Gesine Lötsch in Lichtenberg und Petra Pau in Marzahn-Hellersdorf als direkt gewählte Abgeordnete in den Bundestag ein – eine PDS-Fraktion gab es nicht mehr.

    Abgeschafft worden waren zuvor die Wahlkreise Hohenschönhausen-Pankow-Weißensee, mit der Folge, dass die Partei im neuen Wahlkreis Pankow ins Hintertreffen geriet. Keine Chance mehr hatte die PDS zudem im neu zusammengesetzten Ost-West-Wahlkreis Mitte, nachdem sie zuvor den alten Wahlkreis Mitte-Prenzlauer Berg dominiert hatte. Die PDS war damit die einzige große Verliererin der damaligen Wahlkreisreform.

    Parallel zur turnusmäßigen Prüfung der Wahlkreise arbeitet die Bundesregierung derzeit an einer grundlegenden Reform des Wahlrechts, um den durch Überhangmandate überdimensionierten Bundestag zu verkleinern. Sollte diese kommen, könnten die nun diskutierten Wahlkreiszuschnitte wiederum Makulatur sein.

    #Berlin #Allemagne #politique #gauche #Die_Linke #élections #Bundestag #droit #Überhangmandat #gerrymandering

  • #Lens, miroir d’une droitisation des #classes_populaires ?
    https://metropolitiques.eu/Lens-miroir-d-une-droitisation-des-classes-populaires.html

    À Lens, ville de tradition populaire depuis longtemps ancrée à #gauche, l’extrême droite s’installe dans le paysage électoral. Pierre Wadlow décrit les ressorts sociologiques du vote dans cette ancienne cité minière et montre notamment que le renouvellement générationnel de l’électorat profite dans ce territoire au #Rassemblement_national. Depuis le début des années 2000, la question de la « droitisation » des classes populaires en France et en Europe est régulièrement posée dans le débat public et #Terrains

    / Lens, classes populaires, Rassemblement national, #élections, gauche, #élections_présidentielles

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_wadlow2.pdf