• Seadog, Elisha Albert, 2015

    Un résumé du moment passé à voir ce film
    28 avril l’après-midi, besoin d’une pause, Caro fume une clope et moi je matte un film.

    A quels films il m’a fait penser
    L’homme d’Aran de Flaherty
    Les films des frères Dardenne
    Agnès m’a dit qu’elle voyait le personnage principal comme méprisant la nature. Je n’ai pas du tout vu ça, j’ai vu au début la pauvreté extrême, la loose et la misère.

    Quelles images dans ce film m’ont le plus étonnées
    Après 20 minutes du films, je me suis dit : « ah, on doit être à la moitié, et le film commence... Enfin ». C’était la fin il restait trois minutes à tout casser.
    En fait on sent bien que la réalisatrice, veut faire quelque chose et elle y arrive presque mais dix mille fois trop tard. Les montagnes, le paysage, la nature terrible et violente face à cet homme tout petit et ridicule.
    La dernière image du générique. Tout s’explique : c’est un putain de film FEMIS. Pourquoi n’y ais-je pas pensé plus tôt ? C’était évident ! Ils et elles ne savent faire qu’une sorte de film. Parisianiste même si ça se passe à l’autre bout du monde. Insupportable. En plus ils méprisent tous les autres.

    Quels propos m’ont le plus touché
    Rien

    A qui j’aimerai montrer ce film
    Aux étudiants en cinéma qui viennent de « province » histoire de leur dire qu’ils valent mieux que ça.

    Ce que je dois absolument dire au groupe
    C’est bon ! Il trouvera d’autres publics et sans aucun problème.
    Parfois des films FEMIS sont absolument merveilleux, ils font avancer le cinéma. Mais là franchement...

    #Seadog #Elisha_Albert #Documentaire #Cinéma #Comptoir_du_doc #Rennes #Court_métrage #FEMIS #2015