#Toponymie_féministe dans le cadre de la #grève_féministe qui a lieu aujourd’hui en #Suisse...
#toponymie #14_juin_2019 #re-nomination #repabtisation #action_toponymique
Sur la grève :
►https://seenthis.net/messages/785233
#Toponymie_féministe dans le cadre de la #grève_féministe qui a lieu aujourd’hui en #Suisse...
#toponymie #14_juin_2019 #re-nomination #repabtisation #action_toponymique
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Une soixantaine de rues de #Lausanne portent le nom de personnes ayant marqué l’histoire #suisse. Seules trois sont des femmes. Alors le collectif ruELLES en rebaptise des dizaines pour la #grevedesfemmes. #Henri_Druey cède donc sa place à #Emma_Kunz.
Des photos de rebaptisations qui n’ont pas eu lieu lors de la grève féministe. Rebaptisations faites par le collectif 100elles (v. plus bas)
Les sans pagEs/wikimidis Genève/100elles
▻https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Projet:Les_sans_pagEs/wikimidis_Gen%C3%A8ve/100elles?wprov=sfti1
Collectif 100Elles*
A Genève, seulement 7% des personnes ayant donné leur nom à une rue sont des femmes*.
Dans le Canton de Genève, il y a actuellement 548 rues qui portent des noms d’hommes et 41 des noms de femmes.
Les noms de rue sont pourtant choisis selon deux critères a priori non-genrés : il doit s’agir de personnes ayant marqué de manière pérenne l’histoire de Genève, et décédées depuis plus de dix ans.
Les hommes sont-ils les seuls à avoir contribué à l’histoire de Genève ?
En réalité, un ensemble de phénomènes sociaux et culturels ont fait des femmes* les oubliées, entre autres, de l’histoire collective et des rues genevoises.
En 2019, cent femmes*, remplissant les critères officiels pour obtenir une rue à leur nom et choisies dans la mesure du possible dans une logique intersectionnelle, (re)trouveront donc une place dans les rues de la Ville.
Dès le mois de mars, tous les quinze jours, dix plaques seront apposées dans un quartier différent selon les thématiques suivantes : militantisme, arts de la scène, Genève internationale, politique, savoirs et sciences, professions libérales, industrie, théologie, art et littérature, pluriElles*.
Ce projet a été pensé et réalisé par l’association féministe l’Escouade.
C’est pas vraiment une action toponymique, mais c’est une action, qui a eu lieu dans le cadre de la grève féministe, ayant comme but de visibiliser les femmes dans l’#espace_public à #Genève :
source : ▻https://twitter.com/libr_A_dio/status/1140395930144903169
Emma Kunz (1892–1963) was a Swiss healer and artist. She published three books and produced many drawings.
Kunz was born to a family of weavers in 1892 in Switzerland.[1] She was not a trained artist; she is characterized as an outsider artist.[2] Her first exhibition, The Case of Emma Kunz, was posthumous. Inspired by spiritual evolution,[1] she divined with a pendulum and created her drawings by radiesthesia.
Said one scholar, in comparing her to other women artists, “Hilma af Klint, Agnes Martin, and Emma Kunz approached geometric abstraction not as formalism, but as a means of structuring philosophical, scientific, and spiritual ideas. Using line, geometry, and the grid, each of these artists created diagrammatic drawings of their exploration of complex belief systems and restorative practices.”[3]
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Emma_Kunz
#femmes #art #femmes_artistes #historicisation #dessins #suisse
signalé sur twitter par @reka :
▻https://twitter.com/womensart1/status/1110074354140884993