• Ivry - Vacance d’hébergement pour les écoliers à la rue - Canard enchaîné 9/7/25

    LA FAMILLE S. n’a pas été épargnée par l’orage qui a frappé la région parisienne le 25 juin au soir. Les deux parents et leurs trois enfants, âgés de 3, 7 et 8 ans, dormaient dehors, derrière un bâtiment de l’école Rosa-Parks d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Ils se sont retrouvés sous le déluge, trempés, comme les affaires que leur avaient apportées des parents d’élèves membres de la FCPE et des enseignants du collectif Aucun enfant sans toit. Trois jours plus tôt, ils s’étaient fait agresser et voler leurs effets personnels ; le père et l’un des enfants avaient été blessés.
    En l’absence de solution d’hébergement d’urgence proposée par le Samu social, saturé, une enseignante, épaulée par plusieurs membres du collectif, a ouvert les portes de l’école pour offrir à la famille une nuit de répit. Mal lui en a pris. Ce début d’occupation ayant eu lieu hors temps scolaire, une élue de la ville a été dépêchée sur place pour mettre dehors parents et mioches. Ceux-ci sont donc toujours à la rue.

    L’institutrice sera-t-elle convoquée devant la justice ? C’est le sort, en tout cas, qui a été réservé à deux de ses collègues à Tours. Après une occupation menée, cet hiver, par le collectif Pas d’enfant à la rue pour mettre à l’abri plusieurs familles dans le collège Michelet, une prof et une instit ont été convoquées par la procureure tourangelle, les 22 juillet et 26 août. Elles pourraient écoper d’un avertissement pénal probatoire pour avoir « troublé la tranquillité » de l’établissement, et « y avoir pénétré ou s’y être maintenues ».

    Estimant avoir fait acte de citoyenneté, les enseignantes ont annoncé qu’elles ne se rendraient pas au tribunal. Eté comme hiver, le délit de solidarité à l’égard des 3 000 #enfants_sans_domicile semble, pour sa part, avoir de beaux jours devant lui.

    Depuis 2015, le maire d’Ivry est Philippe Bouyssou, #PCF, (ex) Agent hospitalier.

    #école #sans_logis #gauche

  • L’évêque de Manchester en faveur d’une exemption religieuse à la loi sur la maltraitance des enfants

    Un évêque de l’église d’Angleterre a profité de son siège « de droit » à la chambre des lords pour plaider en faveur d’exemptions religieuses au signalement obligatoire des abus sexuels sur les enfants. L’évêque de Manchester, David Walker a déclaré qu’il existait des « arguments plausibles » en faveur de l’exemption des abus sexuels sur enfants révélés lors de la confession.
    . . . . .
    Source : Newsline, lettre électronique hebdomadaire de la National Secular Sociéty, La Raison N°703
    https://www.secularism.org.uk/news/2025/04/lord-spiritual-argues-for-religious-exemption-to-child-abuse-law

    Lord spiritual argues for religious exemption to child abuse law Posted: Wed, 23rd Apr 2025
    Bishop of Manchester, who sits by right in the Lords, suggests abuse revealed during confession should be exempt from reporting law.


    A Church of England bishop has used his reserved seat in the House of Lords to argue for religious exemptions to mandatory reporting of child sexual abuse.

    Speaking in a debate on Tuesday, the bishop of Manchester David Walker (pictured) said there was an “arguable case” for exempting child sexual abuse revealed during confession.

    The bishop’s claim contradicts the recommendation of the Independent Inquiry into Child Sexual Abuse (IICSA) that mandatory reporting should “not be subject” to religious exemptions, including abuse revealed during “sacramental confession”.

    Walker said the tradition of “the seal of the confessional” had been "honoured for many centuries "and was “established in canon law in this land”.

    “I know my Catholic colleagues will particularly be concerned around that”, he added.

    Research has found that sexual abusers within Catholic clergy have used confession to disclose their abuse and absolve themselves of guilt, in the knowledge that their abuse would not be reported. This enabled the continuation of abuse.

    Walker’s intervention comes as the Government seeks to introduce a mandatory reporting law through its Crime and Policing Bill.

    The National Secular Society has long campaigned for mandatory reporting with no religious exemptions. It also works to end reserved seats for 26 Church of England bishops in the Lords.

    In November, the erstwhile archbishop of Canterbury Justin Welby was forced to resign after a review found he “could and should” have done more in response to abuse perpetrated by John Smyth.
    . . . . . . .
    https://www.secularism.org.uk/news/2025/04/lord-spiritual-argues-for-religious-exemption-to-child-abuse-law
    #église d’#Angleterre #enfants #pédophilie #sexe #viols chambre des #lords

  • Écrans éducatifs et sciences cognitives : comment la big tech investit l’école
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/secrets-d-info/secrets-d-info-du-samedi-14-juin-2025-7569333

    Alors que, selon de nombreux experts, les #écrans constituent un problème de santé publique majeur, l’industrie du numérique bénéficie de subventions publiques importantes et développe des partenariats avec la recherche pour faire rentrer les écrans à l’#école.

    #grégoire_borst #franck_ramus #csen #Microsoft #start-up #numérique #enfants #sciences_cognitives

    • Christophe Cailleaux et Amélie Hart, enseignants : « Le ministère de l’éducation nationale s’émeut de la “catastrophe” du numérique tout en l’entretenant »
      https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/07/02/christophe-cailleaux-et-amelie-hart-enseignants-le-ministere-de-l-education-

      Dès les premiers mois de son ministère, [Blanquer] annonce une interdiction des téléphones portables à l’école et au collège, afin de « protéger [les] élèves de la dispersion occasionnée par les écrans et les téléphones » – de fait, l’usage des téléphones portables n’est pas interdit, mais encadré. Quelques mois plus tard, il crée, au sein du ministère, le 110 bis, un « lab » conçu pour que des marchands d’écrans viennent faire la démonstration de leurs outils numériques. Il annoncera par la suite que l’« éducation de demain » se fera avec des robots et des casques de réalité virtuelle.

      Depuis, cette communication contradictoire n’a jamais cessé, qu’elle s’adresse aux personnels, aux élèves ou aux familles. Gabriel Attal, en janvier 2024, s’émeut de la « catastrophe éducative et sanitaire en puissance » des écrans, tout en ayant annoncé, un mois plus tôt, la généralisation des #IA dans la scolarité. Plus récemment, Elisabeth Borne appelle à « se déconnecter des espaces numériques de travail [ENT] et de Pronote, en veillant à ce que, sur une période qui, à défaut serait 20 heures-7 heures, il n’y ait plus d’actualisation ».

      Or, qui, depuis au moins le plan Informatique pour tous, de Laurent Fabius, en 1985, a organisé d’en haut la numérisation ? Qui a imposé le passage obligatoire par des logiciels pour gérer absences, emplois du temps, cahiers de textes, notes, communication entre école et famille ? Qui a rendu le système scolaire et tous ses acteurs dépendants d’outils comme Pronote ? C’est précisément l’institution qui feint aujourd’hui de vouloir une « pause numérique ».

      #edtech

  • Arrêtons les crimes de guerre contre les enfants en Ukraine et en Palestine

    Les guerres, toutes les guerres, sont de tout temps la partie la plus sombre et la plus condamnable de notre civilisation.

    Aujourd’hui, en plein 21e siècle, tout près de chez nous géographiquement, en Europe, mais encore plus près de chez nous d’un point de vue culturel et historique, nous vivons l’horreur de deux guerres tolérées et nourries par les intérêts impérialistes qui agressent les nations d’Ukraine et de Palestine.

    Ces deux guerres, tout en étant différentes, présentent des intérêts et des stratégies similaires. Il s’agit d’occuper un territoire qui a une identité nationale par la force des armes et de le faire de la façon la plus horrible en tuant des civils et sans aucune pudeur en s’en prenant aux plus faibles, les enfants.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/07/03/arretons-les-crimes-de-guerre-contre-les-enfan

    #international #palestine #ukraine #enfant

  • Mineurs isolés : le Conseil d’Etat refuse de reconnaître la valeur des condamnations du comité des droits de l’enfant

    Après plusieurs condamnations de la France par le Comité des droits de l’enfant des Nations unies, et sans aucune réaction du gouvernement, nos associations ont saisi le Conseil d’Etat pour contraindre les autorités françaises à mettre le dispositif de mise à l’abri et d’évaluation des mineurs isolés en conformité avec les exigences posées par la Convention internationale des droits de l’enfant (Cide).

    L’objectif de la saisine était de faire appliquer les recommandations de l’ONU sur la protection des mineurs isolés durant l’ensemble de la procédure d’évaluation (y compris judiciaire), leur assurer l’assistance d’un représentant légal, d’un avocat, et assurer la reconnaissance et la reconstitution de leur état civil. Ces recommandations sont également celles du rapport de la Commission d’enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l’enfance (recommandation n°47) adopté à l’unanimité en avril dernier, et de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) dans son avis adopté à l’unanimité le 12 juin dernier.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/05/24/lappel-au-secours-des-500-mineurs-isoles/#comment-67731

    #enfant

    • (...)

      🎙️ Résumé de l’émission
      Dans cet échange mené par Tristan Martin, Patrick Coste revient sur son parcours dans l’Éducation nationale et expose les analyses développées dans son ouvrage L’Éducation face à l’impossible (éditions Delga). De la critique des logiques de pouvoir à la crise psychique de l’ #enfant, en passant par les tensions autour de l’ #égalité, de l’ #autorité et de la laïcité, cette discussion interroge en profondeur le rôle de l’ #école dans notre société. Un dialogue exigeant pour repenser les fondements mêmes de l’éducation.

  • Malgré des progrès, le travail des enfants touche encore 138 millions d’enfants dans le monde

    Un nouveau rapport montre une réduction de près de 50 pour cent depuis le début du siècle, mais le monde ne parvient pas à atteindre les objectifs d’élimination.

    GENEVE/NEW YORK (OIT infos) – Près de 138 millions d’enfants étaient victimes du travail des enfants en 2024, dont environ 54 millions effectuaient des travaux dangereux susceptibles de compromettre leur santé, leur sécurité ou leur développement, selon les nouvelles estimations publiées aujourd’hui par l’Organisation internationale du Travail (OIT) et l’UNICEF.

    Les dernières données montrent une réduction globale de plus de 22 millions d’enfants depuis 2020, inversant ainsi la tendance alarmante observée entre 2016 et 2020. Malgré cette évolution positive, le monde n’a pas atteint son objectif d’éliminer le travail des enfants d’ici à 2025.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/06/24/malgre-des-progres-le-travail-des-enfants-touc

    #travail #enfant

  • Le Conseil constitutionnel refuse de casser la justice pénale des mineurs, exigeons qu’elle soit désormais réparée

    Suite à la censure par le Conseil constitutionnel d’une grande partie des dispositions adoptées dans la loi ATTAL, le Syndicat de la magistrature et ses partenaires (SNPES-FSU et SAF) rappellent que le combat continue pour restaurer une prise en charge de qualité des enfants en danger

    Publié le 20 juin 2025

    Le Conseil constitutionnel a décidé hier, jeudi 19 juin, de censurer de nombreuses dispositions de la loi « visant à renforcer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leur parents ».
    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/05/30/toujours-plus-de-repression-et-de-prison-les-enfants-en-premiere-ligne/#comment-67529

    #enfant

    • Maxime Sbaihi est économiste. Nous le recevons à l’occasion de la parution de son deuxième essai “Les balançoires vides, le piège de la dénatalité”

      Il y présente la #dénatalité en long en large et en travers. Pourquoi a t-elle lieu partout sur la planète, quelles sont ses causes potentielles et ses conséquences prévisibles, comment inverser la tendance ?

      Selon lui, il est strictement inconcevable d’envisager des politiques natalistes qui ne respectent pas la liberté de chacun de ne pas faire d’enfants.

      En revanche, il constate que les gens déclarent vouloir faire plus d’ #enfants qu’ils n’en ont et qu’ils s’en sentent empêchés par la #précarité de leurs conditions de vie matérielle.

      Maxime Sbaihi plaide donc pour la mise en place de politiques natalistes qui visent à permettre à ceux qui le souhaitent de faire plus d’enfants

      Nous avons tenté de brosser un panorama complet de son approche sur le sujet.

      00:00 intro
      00:47 La dénatalité est-elle un problème ? Et si oui, qu’est-ce qu’on peut faire pour y remédier ?
      01:54 Tableau global du problème parce qu’il est mondial
      05:12 La dénatalité est sous estimée
      07:10 Qu’est ce qu’un changement de natalité implique sur l’évolution de la population
      12:43 Pourquoi est-ce un problème, concrètement ?
      16:15 Le vieillissement nuit à la prospérité
      20:10 Si on ne prend pas au sérieux le déséquilibre démographique, nos système sociaux n’ont pas d’avenir.
      22:30 Les jeunes s’appauvrissent et les politiques s’en moquent car ils sont trop peu nombreux pour peser démocratiquement
      35:10 la dénatalité, une bonne nouvelle pour la planète ?
      47:00 Le scénario d’une natalité qui baisse jusqu’à 0
      47:54 À quoi ressemblera la démographie mondiale en 2050 si on ne change rien ?
      51:40 Le piège de la basse fécondité : Est-ce qu’on a déjà atteint un point de bascule historique dans le nombre de naissances ?
      55:22 Pourquoi les gens font moins d’enfants ?
      01:19:36 Comment aider les gens qui le souhaitent à avoir des enfants, le natalisme libéral ?
      01:36:00 Et si le natalisme libéral marche pas, on fait quoi ?
      01:43:50 Conclusion

    • At the latest round of peace talks in Istanbul, Ukraine submitted a list of 339 children that it demands Russia returns. That’s a fraction of the number that Kiev alleges have been kidnapped since the war began. This speaks to the over-politicisation of children in this terrible war. But it also offers scope for helpful progress towards an eventual peace.

      As a parent of beautiful children who I love more than anything, I find little more heartbreaking than the thought of children who are forced, petrified and upset, from their homes because of war. There have been widespread reports from the Ukrainian side that Russian has forcibly deported almost 20,000 children since the war began. This contributed to International Criminal Court decision in March 2023 to issue an arrest warrant against President Putin for alleged war crimes.

      The detailed legal provisions on the treatment of civilians including children at times of war are laid out in the Fourth Geneva Convention. It requires systems to identify and register separated children, the consent of parents or guardians for temporary separation and prohibits the changing of family status and nationality.

      The reality for children in war torn Ukraine has been both heartbreaking and complex. When you dig into the available western reporting, it appears that many of the ‘missing’ 20,000 are children who have moved to Russia or to Russian occupied Ukraine with a parent or relative, rather than being forcibly deported.

      Since the war began there have been several negotiated returns of Ukrainian children including, in some cases, with mediation of third countries like Qatar. Ukraine recovered 1223 children in 2024 through dialogue with Russia, for example. Many cases of children returned to Ukraine have involved families separated during the invasion. In December 2024, five Ukrainian children returned of whom three had been taken to Russia by their parents. Likewise at the start of May, six children returned to Ukraine, at least three of whom had been with their parents.

      A second problem relates to gaining parental consent. There are around 100,000 orphans in Ukraine most with living parents who abandoned them out of a lack of resources, or for other reasons including alcoholism, abuse and poor mental health. Ukraine itself has faced accusations about the widespread abuse and mistreatment of orphans in care, including from the BBC, since the war began. Russia itself has a similar problem with so-called social orphans as a heart-wrenching 2013 BBC report showed. According to a U.S.-based Christian charity, there are an estimated 47,000 orphans in Russia.

      It is absolutely clear that orphans have been moved to Russia, but the issue of parental consent is a grey area, in circumstances where the location of parents is often unknown. Around 4500 Ukrainian orphans were also moved to Europe, with 2100 living in Poland. Orphans have been relocated to other countries on a temporary basis including Israel and Scotland. Indeed, as the Ukrainian government has pressed for all children to be returned, foster families in Italy and Spain have raised legal disputes seeking to prevent the return of children in their care to a war zone.

      Likewise, Ukrainian children have undoubtedly been given Russian citizenship, as investigations by the Financial Times and New York Times have uncovered. Without going into details, I have strong reason to believe that close Russian friends of mine adopted a child from Ukraine in 2022, not long after the war started. They now consider themselves to be the adoptive parents of the child and are raising them with the level of loving care that with my wife, I bestow on my own kids. I don’t condone adoption taking place in this way and my Russian friends present me with a troubling moral dilemma, given the circumstances that led to them taking the child in. But while I pray for them, I find it harder to judge.

      For any child, in any country, life in an orphanage will never be as enriching as the loving care of parents. There is some misinformation in the reporting of the challenge of displaced children. Yale School of Medicine has reported on the ‘kidnapping and re-education of Ukraine’s children, talking of ‘fracturing their connection to Ukrainian language… and disconnecting children from their Ukrainian identities.’ However, the vast majority of children displaced from the war torn parts of Ukraine (rather than its major cities like Kiev) would have been Russian speaking, not Ukrainian speaking, and these claims appear deliberately misleading.

      Ukraine undoubtedly wants to paint Russia in the image of the villainous child snatcher, in part to bolster its support from western allies and to press the case that Russia is guilty of war crimes. Yet I worry that the issue of forced deportations of children from Ukraine since the war started has become overly politicised. The reality appears much more complex and nuanced, evading easy generalisation. During my diplomatic posting to Russia, my most striking observation was of how loving Russian people are towards children, including my own.

      Every child, first and foremost, should be with their parents, assuming they are able to care for them responsibly. In a country that has lost hundreds of thousands of young people to death or injury in the war, the status and protection of children in Ukraine is a totemic issue for entirely understandable reasons. Under the stewardship of Ukraine’s First Lady, there has been a campaign for Ukrainian families to adopt orphans, which led to a record figure of 1264 adoption in 2024, for example.

      The problem of socially orphaned children remains deep seated and, long term, it will take real economic progress, coupled perhaps with benevolent social policy, to tackle the root causes. That process can only kick into gear when the guns fall silent allowing Ukraine to start the long delayed reconstruction and regeneration of its economy.

      Amidst surprise that Ukraine has sought the return of a relatively small number of children, the conclusion I draw from Istanbul is that the list of 339 is comprised of those for whom there is at least one identified parent in Ukraine who seeks their return. And if that be so, then every effort should be made to facilitate their reunion. While the issue of displaced children didn’t grab the main headlines from the Istanbul talks, progress on bringing these children home may represent an important confidence building measure as both Ukraine and Russia take small, faltering steps towards eventual peace.

    • Ein deutschsprachiger Artikel (04.06.2025), der weit mehr den desinformativen, kriegspropagandistischen Umgang seitens der Ukraine und des Westens bei der Handhabung der Zahlen von ukrainischen Kindern außer Landes, vorrangig in Russland, hinterfragt, wurde bereits auf Snth verlinkt. Es werden darin auch die damit verbundenen Anschuldigungen des Verstoßes gegen die Menschenrechte, in diesem Fall, Minderjähriger, thematisiert, die gegen Russland in diesem Zusammenhang vor dem Internationalen Strafgerichtshof erhoben wurden.

      https://seenthis.net/messages/1119009

  • Verhandlungen in Istanbul: Wie das Narrativ von den entführten Kindern in sich zusammenfiel
    https://www.nachdenkseiten.de/?p=133978

    4.6.2025 von Gert-Ewen Ungar - Russland hat Zehntausende ukrainische Kinder nach Russland entführt. Sie werden dort „russifiziert“, ihrer Identität beraubt und assimiliert, wird in Deutschland behauptet. Der Internationale Strafgerichtshof hat deswegen einen Haftbefehl gegen Wladimir Putin erlassen. Bei den Verhandlungen zur Regulierung des Ukraine-Konflikts am Montag brach diese Geschichte in sich zusammen. Für den deutschen Medienkonsumenten wurde wieder einmal ein Spektakel aufgeführt, das mit der Realität absolut nichts zu tun hat. Von Gert-Ewen Ungar.

    Beim Treffen einer russischen und einer ukrainischen Delegation in Istanbul am Montag wurden weitere Verhandlungsfortschritte erzielt. Die Unterhändler tauschten Memoranden aus, in denen beide Länder ihre Bedingungen für einen dauerhaften Friedensschluss umreißen. Das Angebot der jeweils gegnerischen Seite wird nun geprüft. Vereinbart wurde erneut ein umfassender Gefangenenaustausch und die Fortsetzung der Gespräche. Zudem sollen die sterblichen Überreste von 6.000 gefallenen ukrainischen Soldaten zurückgegeben werden, damit diese in Würde bestattet werden können. Es sei eine humanitäre Geste, sagte der russische Verhandlungsführer Wladimir Medinski.

    Die Ukraine übergab zudem eine Liste mit Namen von 339 Familien, die ihre Kinder vermissen. Diese Nachricht ist von Brisanz, denn mit ihr bricht eine im Westen verbreitete Verschwörungserzählung in sich zusammen. Diese Erzählung lautet, Russland hat nach Beginn der militärischen Spezialoperation am 24. Februar 2022 systematisch Kinder aus der Ukraine entführt und nach Russland verschleppt.

    Die angegebene Zahl der angeblich von Russland entführten Kinder schwankt je nach aktueller Stimmung zwischen mehreren Zehntausend und mehreren Hunderttausend.

    Die Kinder wurden ihren Familien entrissen und würden nun “russifiziert”, heißt es dazu beispielsweise in der FAZ. Für die Spin-Doktoren in den deutschen Schreibstuben klingt der Propaganda-Begriff der „Russifizierung“ in deutschen Ohren offenbar hinreichend schrecklich, um mit ihm unterstreichen zu können, dass Russland grausames Unrecht begeht; welche Art von Unrecht, ist dann gar nicht mehr wichtig – Russifizierung eben. Konkret haben die Kinder russische Ausweispapiere erhalten – in russischer Sprache, skandalisiert die FAZ. Aber Ausweispapiere in anderen Sprachen als der offiziellen Landessprache stellen russische Behörden nicht aus. Russland unterscheidet sich da nicht von anderen Staaten. Zudem wurden die Kinder in russische Schulen geschickt, für die FAZ hinlänglicher Beweis für unmenschliche russische Grausamkeit.

    Der Begriff „russifiziert“ suggeriert eine russische Anti-Zivilisation, eine kulturelle und zivilisatorische Unterlegenheit der Russen und ihrer Gesellschaft gegenüber dem Westen. Einfacher gesagt, die Russen sind Barbaren. Er steht damit klar in der propagandistischen deutschen Tradition der Rede vom slawischen Untermenschen. Die FAZ macht mit, aber ist damit natürlich nicht allein.

    Prinzip Echokammer

    Die damalige Vizepräsidentin des deutschen Bundestages, Katrin Göring-Eckardt (Bündnis 90/Die Grünen), ließ sich nicht lumpen und sprang schon früh auf den Fahrt aufnehmenden Propagandazug auf. Das Drama um die von Russland angeblich entführten Kinder war ihr ein besonderes Anliegen. Russophobie ist eine grüne Kernkompetenz.

    In einem Interview im Februar 2024 sagte Göring-Eckardt:

    „Man kennt die Namen von etwa 20.000 Kindern, die nach Russland entführt wurden. Nur ein paar Hundert von ihnen sind wieder nach Hause zurückgekommen. Wir wissen nicht genau, wie das passiert ist, wir wissen nur, dass es gelungen ist. Aber die knapp 20.000 Kinder sind nur die, die man kennt. Experten schätzen, dass viele Tausend weitere Kinder aus den besetzten Gebieten verschleppt wurden, von denen man nichts weiß.“

    Wenn der deutsche Experte nicht mehr weiterweiß, dann greift er zur „hohen Dunkelziffer“, um seine wilden Thesen zu belegen.

    Aber selbstverständlich sind die Grünen damit nicht allein. Sie finden sich in allen Parteien. Es entstand eine Echokammer, in der der Vorwurf der Kindesentführung durch Russland so oft wiederholt wurde, bis auch der Letzte glaubte, es müsse etwas dran sein.

    Auch die FDP-Politikerin Marie-Agnes Strack-Zimmermann beispielsweise, die ihre geringen Kenntnisse in der Sache stets versucht, durch Lautstärke zu kompensieren, tingelte durch die Talkshows und verbreitete die Mär von den Zigtausenden durch Russland entführten Kindern. Sie behauptete sogar eine Verschwörung des Roten Kreuzes mit Russland.

    „Die furchtbaren Berichte über die verachtenswerte Verschleppung von Kindern durch das Rote Kreuz in Belarus wirft die Frage auf, wie unabhängig das Rote Kreuz im aktuellen Konflikt seiner Aufgabe nachkommt“, sagte die FDP-Politikerin im Sommer 2023.

    Das Propagandastück über die von Russland entführten Kinder wurde selbstverständlich von der Ukraine lanciert und immer weiter gefüttert. Wer auf die dürftige, vor allem aber sehr einseitige Quellenlage hinwies, wurde verunglimpft.

    Ukrainische Kinder fanden sich auch in Deutschland

    Die Inszenierung war so umfassend und schrill, dass der Chefankläger des Internationalen Strafgerichtshofes in Den Haag, Karim Khan, einen Haftbefehl gegen Russlands Präsident Wladimir Putin und die russische Kinderbeauftragte Marija Lwowa-Belowa erwirkte. In der deutschen Politik und den an sie angeschlossenen Medien wurde das geradezu bejubelt.

    Seit gestern weiß man, man kennt die Namen der von Russland entführten Kinder eben nicht, wie das Göring-Eckardt behauptet hat, denn es gibt sie gar nicht. Die Vizepräsidentin des Deutschen Bundestages verbreitete Desinformation und Propaganda mit dem Ziel, Hass auf Russland und Russen zu schüren. Die von Göring-Eckardt angesprochenen Rückführungen der Kinder, von der sie behauptet, man wisse nicht so genau, wie das zustande gekommen ist, geht auf die Vermittlungsbemühungen arabischer Staaten zurück. Während sich deutsche Politik dem Verbreiten von Gräuel-Propaganda widmet, unterstützen andere Regionen der Welt humanitäre Initiativen. Deutschland hingegen hat zur Rückführung der Kinder nichts beigetragen. Das macht auch deutlich, dass Frau Göring-Eckardt das Schicksal der Kinder im Grund völlig gleichgültig war. Es ging ihr nur um den Propaganda-Effekt.

    Dass es das Problem um die Kinder gibt, gestand der russische Verhandlungsführer Wladimir Medinski ein. Aber die Quantität ist natürlich deutlich geringer, und es handelte sich auch nicht um systematische Entführungen. Nach dem Ausbruch der Kampfhandlungen wurden Kinder in der Regel aus Ferienlagern evakuiert. Es handelte sich um Maßnahmen zu ihrem Schutz. Das passierte übrigens auf beiden Seiten, denn es gibt auch russische Kinder, die in Richtung Ukraine evakuiert wurden. Für deren Schicksal interessiert man sich in Deutschland natürlich nicht, denn es passt nicht ins Narrativ.

    Ob die Kinder der 339 Familien tatsächlich in Russland oder ganz woanders sind, ist zudem die Frage, die es zu klären gilt. Bei Recherchen nach dem Verbleib von ukrainischen Kindern hat das Bundeskriminalamt im Frühjahr 2024 161 angeblich von Russland entführte Kinder in Deutschland gefunden. Die meisten von ihnen waren mit ihren Eltern nach Deutschland eingereist.

    Unter den Tisch kehren statt aufarbeiten

    „In Wirklichkeit geht es um Dutzende von Kindern, von denen keines entführt wurde – nicht ein einziges. Es handelt sich um Kinder, die von unseren Soldaten unter Einsatz ihres eigenen Lebens gerettet, aus Kampfgebieten geholt und evakuiert wurden”, sagte der russische Unterhändler Wladimir Medinski gestern im Anschluss an die Gespräche in Istanbul vor Pressevertretern.

    Für den deutschen Medienkonsumenten wurde ein Propagandastück aufgeführt, das mindestens eine absehbare negative Konsequenz haben wird. Der Internationale Strafgerichtshof wurde beschädigt, denn er hat sich politisch instrumentalisieren lassen. Der internationalen Strafgerichtsbarkeit wurde von Göring-Eckardt, Strack-Zimmermann und Co. ein Bärendienst erwiesen.

    Dass die antirussische Propaganda in Deutschland damit an ihr Ende gekommen ist, ist jedoch nicht zu erwarten. Wie es in Deutschland inzwischen üblich ist, ist mit Aufarbeitung nicht zu rechnen. Die etablierten Parteien und die Medien des Mainstreams dürfen ganz ungestraft Desinformation und Propaganda verbreiten, dürfen hetzen und Hass säen – mit Konsequenzen haben sie nicht zu rechnen. Das ist übrigens ein klares Anzeichen dafür, dass sich Deutschland immer weiter von den Grundsätzen der Demokratie entfernt. In Deutschland sind vor dem Gesetz eben immer häufiger nicht alle gleich.

    Wie in Bezug auf die Terroranschläge auf Nord Stream, auf Butscha, auf die Frage nach der Sinnhaftigkeit der Corona-Maßnahmen wird man die Geschichte um die entführten Kinder einschlafen lassen. Schon bald wird eine neue Desinformationskampagne durch die politisch-mediale Arena getrieben. Figuren wie Göring-Eckardt, Strack-Zimmermann, Kiesewetter und viele andere stehen schon in den Startlöchern und sind erneut zu jeder Schandtat bereit – im wahrsten Sinne des Wortes.

    #Ukraine #Russie
    #guerre #propagande #enfants

  • Toujours plus de répression et de prison : les enfants en première ligne

    Êtres en construction, les enfants doivent faire l’objet d’une justice spécifique, dans laquelle l’éducation prévaut sur la répression. Lundi 19 mai, le Parlement a pourtant définitivement adopté un texte de loi qui piétine ces principes fondateurs de la justice des enfants : la proposition de loi « visant à aménager le code de la justice pénale des mineurs et certains dispositifs relatifs à la responsabilité parentale », déposée en octobre par Gabriel Attal, portée de manière transpartisane et examinée dans le cadre d’une procédure accélérée engagée par le gouvernement.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/05/30/toujours-plus-de-repression-et-de-prison-les-e

    #enfant

  • Pays-Bas : du cannabis retrouvé dans des bonbons Haribo, Belga
    Du cannabis a été retrouvé dans des bonbons de la marque Haribo aux Pays-Bas, a indiqué un porte-parole de l’Autorité néerlandaise de sécurité alimentaire (NVWA). Plusieurs personnes ont été victimes de malaises après avoir consommé ces bonbons.
    . . . .
    Les produits concernés sont des sachets d’un kilogramme de « Happy Cola F ! ZZ » , portant une date de péremption fixée à janvier 2026. Le fabricant de bonbons Haribo avait déjà signalé qu’il existait des sachets en circulation dont la consommation « pouvait entraîner des problèmes de santé tels que des vertiges ».

    La présence de cannabis a été découverte après que plusieurs personnes soient tombées malades à la suite de la consommation de ces bonbons. « On ne sait pas encore comment le cannabis s’est retrouvé dans les bonbons. La police poursuit son enquête » , a déclaré la NVWA.
    . . . .
    Source : https://www.rtbf.be/article/pays-bas-du-cannabis-retrouve-dans-des-bonbons-haribo-pas-de-plaintes-en-belgiq
    #Haribo #cola #cannabis #drogues #drogue #enfants

  • Appel à mobilisation - Vannes, Paris, Nice le 24 mai 2025 : Contre la pédocriminalité, pour la protection des enfants
    Communiqué interassociatif - Violences sexuelles : La faillite et la dangerosité de l’ordre des médecins sont confirmées : retirons-lui tout pouvoir

    Nous, associations, collectifs, organisations syndicales, militant·es féministes et enfantistes, appelons à une mobilisation à Vannes, à Paris et à Nice le 24 mai 2025 à 14h, alors que se tient à Vannes depuis le 24 février le procès Le Scouarnec, jugé pour des faits pédocriminels sur 299 personnes.

    Loin d’être un fait divers, cette affaire n’est que le reflet de la problématique systémique des violences sexuelles, et en particulier celles faites aux enfants.

    Nos enfants peuvent être victimes partout : chez elle·ux, dans les foyers de l’ASE, dans les établissements scolaires ou périscolaires (sport, écoles, IME, centres de loisir, etc.), dans les institutions religieuses et même dans les établissements de soins.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/05/21/appel-a-mobilisation-vannes-paris-nice-le-24-m

    #enfant #pedocriminalité

  • #Art_Urbain « Enfants de l’Exil »

    « L’enfant symbolise dans mon travail, la #fragilité, l’#innocence mais également l’#espoir pur et la force de croire que tout est possible. Graphiquement, les plus jeunes n’ont pas encore le visage modelé par les conventions, leurs émotions sont lisibles sur la peau et dans le regard : ils sont une source infinie d’inspiration pour moi. Mes #estampes d’enfants collées au ras des trottoirs trouvent une force particulièrement percutante dans la lumière crue de l’éclairage public. Elles attirent le regard, questionnent et provoquent un changement dans le lieu allant parfois jusqu’à changer la façon dont les passants le traverse. Nous sommes nombreux a être touchés par la détresse des populations qui traversent l’Europe aujourd’hui, fuyant la guerre ou des conditions de vie inhumaines. Mon atelier est situé à quelques mètres de cette mer devenue, malgré elle, le théâtre quotidien de ce drame. Les enfants de l’exil symbolisent l’espoir de leurs parents et de leur pays. Avant de commencer à graver cette série, j’avais en tête une liste exacte de lieux. Je savais que ces estampes ne seraient complètes qu’une fois collées sur des murs offrant une résonance à leur propos. Pour évoquer le parcours d’exil des plus jeunes, je voulais placer mes estampes sur les murs de lieux emblématiques : postes-frontières, gares routières, voies ferrées, lieux où passent aujourd’hui ces humains… Mon intention est de donner à voir, de rendre visible pour atténuer l’indifférence. J’ai débuté cette série en 2017 au Cap d’Antibes, depuis, ces jeunes personnages, porteurs de sens, ont trouvé leur place dans des lieux symboliques à travers la France, l’Italie, le Mexique, la Tunisie et les Balkans.
    Ces enfants sont les miens, ces enfants sont un peu moi… »

    https://oliviaparoldi.fr/les-enfants-de-lexil-2
    #art #street-art #art_de_rue #migrations #enfants #enfance #exil #Olivia_Paroldi #espace_public #collage

    ping @reka @karine4

  • Quels sont les bienfaits du bilinguisme ?

    Quels sont les avantages du bilinguisme chez l’#enfant et l’3adolescent ? #Développement_cérébral, réussite scolaire, perception du monde : nos invités, spécialistes et parents, partagent leurs expériences.

    Quelles sont les #vertus du bilinguisme, notamment chez les enfants et les adolescents, quand on sait que la moitié des enfants du monde parle une langue différente de celle parlée à la maison ? Dans notre pays, un enfant sur quatre parle chez lui une autre langue que le français… Alors à quoi ressemble le développement cérébral et intellectuel des bilingues ? De quelle façon le bilinguisme ou le plurilinguisme contribue-t-il à la #réussite_scolaire ? Les bilingues pensent-t-ils et voient-ils le monde autrement ? Nous verrons également si certaines langues sont plus valorisées que d’autres.

    Langues invisibles : un bilinguisme à deux vitesses

    Dans une France où le plurilinguisme est une réalité pour des millions d’enfants, toutes les langues ne bénéficient pas de la même #reconnaissance. Si l’#arabe est la deuxième langue la plus parlée du pays avec près de 4 millions de locuteurs, elle est pourtant « sept fois moins transmise que l’#anglais », souligne Anna Stevanato, fondatrice de l’association Dulala, qui milite pour la valorisation de toutes les #langues_familiales, en accompagnant parents et professionnels de l’éducation.

    Cette #inégalité de #transmission, souvent liée à des freins culturels et institutionnels, se manifeste dans la manière dont certaines langues sont perçues. Michel Launay, linguiste et auteur de La République et les langues (Raisons d’agir, 2023), dénonce ainsi un « #bilinguisme_du_riche », valorisé lorsqu’il s’agit d’anglais ou d’#espagnol, face à un « #bilinguisme_du_pauvre », souvent stigmatisé : « Si un enfant parle anglais à la maison, on s’extasie ; mais s’il parle wolof, on s’inquiète de sa réussite scolaire », déplore-t-il.

    Dans ce contexte, les parcours familiaux diffèrent : certains parents, attachés à leur #culture_d’origine, transmettent leur langue comme un trésor identitaire ; d’autres préfèrent inscrire leurs enfants à des cours privés de langues pour anticiper leur réussite. Par ailleurs, environ 80 000 enfants allophones, nouvellement arrivés, sont scolarisés dans des dispositifs spécifiques (UPE2A) dès le primaire, mais très peu en maternelle, où l’on attend souvent des enfants qu’ils fassent seuls le pont entre la langue du foyer et celle de l’école.

    Briser les #mythes : les bienfaits du bilinguisme enfin reconnus

    Malgré les preuves scientifiques actuelles en faveur du bilinguisme, de nombreuses familles issues de l’immigration continuent de douter de ses bienfaits. « À l’hôpital Robert-Debré, en échangeant avec des familles venues du monde entier, j’ai été frappée d’entendre que certaines ne voulaient pas que leurs enfants parlent leur #langue_maternelle », rapporte Nawal Abboub, chercheuse spécialisée en développement du cerveau et de l’apprentissage à l’Université Paris-Cité. Un renoncement souvent motivé par la peur d’entraver le développement cognitif de l’enfant, une inquiétude profondément enracinée dans l’histoire.

    « Dès les années 1920, on trouvait dans les écrits l’idée que parler deux langues provoquait une #confusion mentale, voire un #retard intellectuel », explique-t-elle. Ces #représentations ont été renforcées par des études américaines peu rigoureuses qui comparaient des enfants anglophones à des enfants issus de l’immigration encore en phase d’#apprentissage. « Pendant longtemps, y compris dans les milieux médicaux et éducatifs, on a véhiculé la croyance que le plurilinguisme nuisait au développement de l’enfant », rappelle Michel Launay. Il cite l’ouvrage d’AndréeTabouret-Keller, Le bilinguisme en procès, cent ans d’errance, qui retrace cette période où la diversité linguistique était perçue comme pathogène.

    Or, les avancées scientifiques depuis les années 1960 sont catégoriques : non seulement le bilinguisme n’a aucun effet négatif, mais il favorise au contraire les capacités intellectuelles. « Il n’y a aucun retard cognitif chez les enfants bilingues, bien au contraire », insiste Nawal Abboub. Des recherches menées sur des enfants franco-anglais au Canada ont montré qu’ils « surpassaient les monolingues dans les mesures verbales et non verbales de l’intelligence ». Il est donc urgent de « rassurer les familles » et de former les professionnels de l’éducation et de la santé pour en finir avec ces mythes.
    le cerveau des tout-petits, une machine à langues

    Les recherches en neurosciences confirment aujourd’hui ce que beaucoup pressentaient : le cerveau des jeunes enfants est une véritable #éponge_linguistique. « Les neurones au début de la vie ont encore cette flexibilité, cette malléabilité », explique Nawal Abboub, soulignant leur capacité « incroyable » à apprendre plusieurs langues en simultané, bien avant que les automatismes d’une langue maternelle ne s’ancrent durablement.

    Contrairement aux idées reçues, les bébés bilingues ne confondent pas les langues. « Ils font la différence très tôt dans le développement, dès les premiers mois de vie », assure-t-elle, rappelant qu’un mot peut être tiré d’une langue ou d’une autre, selon sa pertinence. Ce mécanisme, loin d’être un frein, leur confère même un avantage : « Ils compensent plus facilement, ce qui leur donne des atouts linguistiques, mais aussi cognitifs. »

    Les données de la neuro-imagerie renforcent ces observations : chez les bilingues précoces, les deux langues activent les mêmes zones du cerveau, tandis que les bilingues tardifs sollicitent des circuits supplémentaires liés à l’effort attentionnel. « Leur cerveau fait plus d’effort pour traiter l’information », explique la neuroscientifique. Une fatigue que ressentent bien des adultes apprenant une langue étrangère sur le tard. Mais le #bilinguisme_précoce va bien au-delà du langage : « À seulement sept mois, des enfants exposés à deux langues montrent déjà une meilleure #flexibilité_mentale », affirme-t-elle, évoquant leur capacité à s’adapter à des changements de règles dans des jeux simples. Une preuve, s’il en fallait, que le bilinguisme n’est pas un obstacle au développement, mais bien une richesse à cultiver dès la naissance.

    Invités :

    – Nawal Abboub, spécialiste du développement du cerveau et de l’apprentissage, docteure en sciences cognitives de l’université Paris-Cité. Elle participe activement à la lutte contre les inégalités sociales en co-construisant des programmes dans le champ de la petite enfance. Elle est l’autrice de La puissance des bébés (Fayard, 2022 ; rééd. Poche, 2023).

    – Claire Etchegoyhen, directrice du pôle héros Bayard Jeunesse.

    – Michel Launey, linguiste. Il a travaillé sur deux langues amérindiennes (nahuatl et palikur) et sur la scolarisation en français des élèves allophones, en particulier en Guyane. Il est l’auteur de La République et les langues (Raisons d’agir, 2023) et membre des linguistes atterrées.

    – Ninon Ninghui Liu-Merlin, interprète, et son fils Victor Wolfenstein, enfant multilingue.

    – Anna Stevanato, linguiste spécialisée dans le bilinguisme. Elle est la fondatrice et directrice de l’association « Dulala » (D’une langue à l’autre), qui vise à faire du multilinguisme un levier pour favoriser l’égalité des chances et lutter contre les discriminations.

    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/grand-bien-vous-fasse/grand-bien-vous-fasse-du-mercredi-14-mai-2025-5992942

    #langues #bilinguisme #multilinguisme #stigmatisation
    #podcast #audio

  • Laelia Benoit, pédopsychiatre : « Il est glaçant de constater qu’à #Bétharram les #enfants ont tenté d’alerter, mais n’ont pas été entendus »
    https://www.lemonde.fr/idees/article/2025/05/14/laelia-benoit-pedopsychiatre-il-est-glacant-de-constater-qu-a-betharram-les-

    Au-delà de la responsabilité individuelle des adultes mis en cause, qui reste soumise à l’appréciation de la justice, cette tragédie et le silence qui l’a entourée mettent au jour des mécanismes structurels encore très présents dans notre société.

    Jusqu’à la médiatisation d’actes d’une cruauté inouïe, placer ses enfants en internat à Notre-Dame-de-Bétharram représentait une fierté pour de nombreuses familles. Elles y voyaient l’assurance que leurs enfants y seraient « tenus », forcés d’obéir et soumis aux principes d’une « bonne éducation ». Que les #élèves soient punis, quelle qu’en soit la raison, ne suscitait pas d’inquiétude. Leur assujettissement était perçu comme nécessaire à leur formation. Il était connu, toléré, parfois même recherché. Cette culture de la soumission a permis aux violences de prospérer dans des formes toujours plus extrêmes.

    Dans les témoignages recueillis par le porte-parole des victimes, Alain Esquerre [Le Silence de Bétharram, Michel Lafon, 256 pages, 18,95 euros], il est glaçant de constater que les enfants ont tenté d’alerter. Ils ont cherché des #adultes à qui confier ce qu’ils subissaient, mais ils n’ont pas été entendus. Pire, on leur a retourné, pour certains, la culpabilité des violences en instillant le doute sur leur propre responsabilité : n’avaient-ils pas « mérité » ce qui leur arrivait ?

    #école

    https://archive.ph/iKKlz

  • Audition à l’assemblée nationale par la délégation aux droits des enfants sur l’exploitation sexuelle des enfants

    La DDE de l’Assemblée nationale, présidée par Perrine GOULET, Députée de la Nièvre, a auditionné plusieurs acteurs sur l’exploitation sexuelle des enfants, notamment le Mouvement du Nid, l’ACPE, mais aussi l’Amicale du Nid.

    Nous avons précisé en avant-propos :
    qu’il ne s’agit pas de prostitution mais d’exploitation sexuelle d’enfants par le système prostitutionnel
    que cette notion d’exploitation chasse la notion de « consentement » à des actes sexuels répétés et tarifés avec des inconnus
    qu’il y a continuum entre victimes mineur·es et majeur·es – basculement en un jour de la vie
    que le système prostitutionnel repose sur un premier acteur : le « client », concernant les mineur·es : des pédocriminels

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2025/05/09/audition-a-lassemblee-nationale-par-la-delegat

    #enfant #pedocriminalité

  • Neulich im Internet entdeckt. Die Meldung kann ohne Bezahlschranke ...
    https://diasp.eu/p/17606041

    Neulich im Internet entdeckt. Die Meldung kann ohne Bezahlschranke gelesen werden:

    https://omni.se/foralrarpakten-vaxer-forbjuder-smartphones/a/alEr0E

    Aus Schweden wird gemeldet, daß in dem kleinen Städtchen VIKEN bei Helsingborg / Schonen-Skåne sich eine Elterninitiative gebildet hat.

    Der Usprung dieser Initiative geht auf eine Verabredung zwischen zwei Eltern zurück, Holly Kvist und Anna Granqvist. Sie einigten sich darauf, ihren Kindern erst nach dem 14. Lebensjahr den Zugang zu snartphones zu ermöglichen. Diesem Pakt haben sich mittlerweile 150 Eltern angeschlossen.

    Die beteiligten Eltern möchten, daß ihre Kinder eine geschützte Kindheit haben und die sozialen Fähigkeiten entwickeln.

    Das Ziel der Initialtive ist, daß das ganze Örtchen smartphone-frei für die Kinder wird. Je mehr Eltern sich der Initiative anschlileßen, desto einfacher ist es für die Eltern nein zu smartphones zu sagen, auch weil dann kein Kind in eine Außenseiterposition gerät.

    • traduit de omni.se avec un traducteur interne à Firefox :

      Le débat sur le temps passé à l’écran des enfants

      Le pacte parental se développe – interdit les #smartphones

      Av Knut Sahlin Ekberg
      Publiée 2 mai, 11:27

      150 parents ont participé à un pacte selon lequel leurs enfants ne devraient pas obtenir de smartphones avant qu’ils n’aient pas 14 ans, rapporte SVT News Helsingborg.

      Cela a commencé avec les deux parents Holly Kvist et Anna Granqvist à Viken en accord l’un avec l’autre sur l’interdiction - puis il a grandi. Avec le pacte, ils veulent donner aux enfants plus de temps dans la « réalité » et la possibilité de développer leurs compétences sociales.

      "Nous voulons simplement protéger leur enfance", a déclaré Anna Granqvist.

      L’objectif est maintenant que l’ensemble de Viken devienne mobile gratuitement pour les enfants. Et que tant de parents se soient joints à cela facilite l’interdiction. Il sera plus facile de dire non et aucun enfant finit à l’extérieur parce que tant d’entre eux sont couverts, explique Holly Kvist

      La #pédagogie pour #enfants et #adolescents à l’ère de la #numérisation

  • SLOW SCRATCHING: ‘Grey, Orange on Maroon, No. 8’ - Mark Rothko
    https://vimeo.com/248115097


    ...

    Das Verbrechen der Woche : Im Museum gewesen, gekratzt
    https://www.faz.net/aktuell/feuilleton/kolumnen/rothko-bild-in-rotterdam-kind-zerkratzt-gemaelde-in-museum-110448732.html

    Ein Kind hat im Rotterdamer Boijmans Van Beuningen Museum Mark Rothkos Gemälde „Grau, Orange auf Kastanienbraun, Nr. 8“ zerkratzt. Es hat den Künstler allzu wörtlich genommen.

    Anfang der Woche ist mal wieder ein Albtraum aller Eltern™ wahr geworden. Zuletzt war das vor acht Monaten im Hecht-Museum in Israel passiert, als ein vierjähriges Kind einen 3500 Jahre alten Krug zerbrach. Jetzt hat ein Kind im Rotterdamer Boijmans Van Beuningen Museum Mark Rothkos Gemälde „Grau, Orange auf Kastanienbraun, Nr. 8“ zerkratzt.

    Alter, Identität und genauer Tathergang bleiben geheim – wahrscheinlich, damit der kleine Ikonoklast nicht gleich von der Letzten Generation angeworben wird. Hat das Kind instinktiv gespürt, dass die Öffentlichkeit sich im KI- und Weltraumrausch vom Klimaschutz völlig abgewandt hat, und wollte ein Zeichen setzen? War es ein Kommentar zu Rothkos abstraktem Expressionismus? Oder wollte es einfach einmal etwas im Wert von 50 Millionen Euro berühren, ein bisschen was unter den Fingernägeln mitnehmen?

    Nein, natürlich alles Erwachsenenprojektionen, das würde bestimmt auch Rothko so sehen. Der erklärte 1934 nämlich in einem Essay, man solle sich der Kunst nähern wie ein Kind, instinktiv und ohne Regeln. Später kam dazu, die Werke sollten pure menschliche Reaktionen auslösen und „Hindernisse zwischen Maler und Idee, zwischen Idee und Beobachter“ überwinden. Ganz so wörtlich hat er das vielleicht nicht gemeint, aber es klingt, als hätte das Kind die Erfüllung von Rothkos Vision mit beiden Händen in die Tat umgesetzt.

    Missgeschicke solcher Art passieren aber auch Erwachsenen so häufig, dass man ein ganzes Buch damit füllen kann (was die Journalistin Cora Wucherer übrigens getan hat, unter dem Titel: „Das war Kunst, jetzt ist es weg“). Der Klassiker ist Joseph Beuys’ Fettecke, der ein fleißiger und bestimmt leicht angewiderter Hausmeister der Düsseldorfer Kunstakademie zum Verhängnis wurde. Oder der milliardenschwere Kasinobetreiber Steve Wynn, der mit dem Ellbogen versehentlich ein Loch in seinen Picasso stieß.

    Das israelische Museum nahm die Scherben übrigens gelassen. Der seltene Krug wurde absichtlich so ungeschützt ausgestellt, damit ihn die Öffentlichkeit möglichst nah erleben konnte, Rothko-Style. Ob das auch für sein Bild in Rotterdam gilt? Es ist auf jeden Fall zu retten, in der Vergangenheit mussten aber häufig die Verursacher des Schadens für die Restauration aufkommen. Da kann man den Eltern nur von Herzen eine gute Haftpflichtversicherung wünschen.

    #art #enfants #wtf

  • Le lundi 5 mai 2025 à 12H30 devant votre Tribunal Judiciaire

    JOURNÉE DE MOBILISATION EN FAVEUR DE LA JUSTICE PÉNALE DES MINEURS

    Le 6 mai 2025,la proposition de loi, modifiée par le Sénat, « visant à aménager le code de la justice pénale des mineurs et certains dispositifs relatifs à la responsabilité parentale », sera examinée par la Commission Mixte Paritaire

    Ce texte envisage des mesures qui notamment :

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/11/01/protection-des-enfants-lurgence-dune-veritable-reforme-de-la-justice/#comment-66761

    #justice #enfant

  • Bigoterie en France : Un tsunami de papolâtrie, écœurant, hypocrite et à vomir
    Ni dieu ni maître, à bas la calotte et Vive la Sociale !

    Le corps des pleureuses est au complet, ils sont venus, ils sont tous là, même Giogio le Fils maudit, dès qu’ils ont entendu ce cri : le Pape est mort . De l’extrême-droite à l’extrême-gauche, tous sont affligés, frappés comme les animaux malades de la peste cléricale et ils battent leur coulpe à l’unisson. Il ne manque pas un bouton de guêtre. Le Cléricalisme bouge encore, on voit ainsi pleinement les effets de la pénétration de la Doctrine sociale de l’Église dans tous les partis, les associations et les organisations ; l’infection est là et bien là.

    Tout cela montre qu’ils n’ont jamais rompu vraiment avec leur «  Sainte-Mére l’Église  ». Et chacun se répand en maniant la langue de buis, le bois dont l’Église est taillée. On est en train de subir une overdose d’hosties, de messes, d’encens, mais cela ne durera que le temps où vivent les roses, il ne restera bientôt que les épines, et les vrais problèmes reprendront le dessus, car ils n’ont pas disparu, après cette grande vague d’hypocrisies en tous genres.

    Après les pleureuses , on aura droit aux bookmakers qui parieront doctement sur le Pape qui sera élu et qui supputeront sur le temps que mettra la fumée blanche à survoler le Latran . Certains, comme l’actuel locataire de l’Élysée se diront que cette Union sacrée autour d’une tombe, pourrait bien continuer en une belle Union nationale autour de sa personne. Et il se presse au Vatican pour assister à la messe, après tout n’est-il pas Proto-Chanoine du Latran  ?

    C’est pourquoi, il ne ménage pas sa peine pour violer la loi de Séparation des Églises et de l’État , pour apparaître comme «  le Premier catholique de France  ». Que l’on ne compte pas sur la Fédération nationale de la Libre Pensée pour participer à cette sinistre Commedia dell’arte .

    La mort du pape Bergoglio montre une fois de plus combien un représentant (que certains qualifient aujourd’hui de)  "sympathique" ou "humain" de la hiérarchie catholique peut faire oublier les permanences de l’Église catholique . On perd également vite de vue que l’autonomie géopolitique de la papauté s’est construite dans la longue durée et qu’elle poursuit des buts qui ne sont pas ceux des mouvements émancipateurs.

    Pour s’en rappeler, la Libre Pensée vous renvoie à son analyse du bras de fer entre le Pape et Emmanuel Macron l’an dernier, et vous invite à commander le nouveau numéro d’ Arguments de la Libre Pensée, "Dismas ou le cléricalisme d’extrême-gauche" , qui analyse longuement un épisode de fascination d’une certaine extrême-gauche pour l’épiscopat sud-américain. Ce numéro sera très bientôt disponible.

    Et n’oubliez pas : l’abus d’hosties nuit gravement à la santé mentale.

    FÉDERATION NATIONALE DE LA LIBRE PENSÉE https://www.fnlp.fr

    #France #bigots #bigottes #Hypocrisie #pape #religion #en_vedette des #médias #enfants #violence #impunité #violophilie #pédophilie #culture_du_viol #viol #catholicisme #pédocriminalité #viols #violences_sexuelles #journullistes

  • Trois ans après la loi Taquet : trêve de mots, place à l’action collective !

    Trois ans après l’entrée en vigueur de la loi Taquet, ouvrons les yeux : la protection de l’enfance reste une promesse non tenue. Depuis 2022, pas moins de 12 rapports alarmants1 se sont succédés, représentant plus de 1800 pages et 400 recommandations, afin d’alerter, sans succès.

    L’heure n’est plus aux constats ni aux déclarations d’intention. Affirmer que l’intérêt supérieur de l’enfant est une priorité ne suffit plus, il faut en faire une réalité tangible pour chaque enfant en danger !

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/04/16/communique-de-presse-un-plan-durgence-pour-la-protection-des-enfants/#comment-66448

    #france #enfant

  • #Gaza : la situation sanitaire s’aggrave et fait craindre le pire pour les enfants de l’enclave
    https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20250407-gaza-la-situation-sanitaire-s-aggrave-et-fait-craindre-le-pire-pour-les

    L’inquiétude majeure reste l’absence de vaccins contre la polio alors que tous les enfants de Gaza n’ont pas été vaccinés et qu’Israël bloque toujours l’entrée des convois humanitaires.

    […]

    Depuis le début de la guerre, l’Unicef alertait sur le risque que le nombre d’enfants morts de maladies surpasse celui des tués dans les bombardements, qualifiant Gaza d’endroit « le plus dangereux au monde pour un #enfant ».