Activision’s internal investigation finds no “systemic issue” with harassment | Ars Technica
▻https://arstechnica.com/gaming/2022/06/activision-investigates-itself-says-its-doing-a-great-job-handling-hara
Last November, The Wall Street Journal published a damning report alleging that Activision CEO Bobby Kotick withheld information about harassment allegations from his board of directors. The report also suggested that Activision executives failed to act decisively to address the kind of widespread complaints contained in a California Department of Fair Employment and Housing (DFEH) lawsuit filed last July.
In a Securities and Exchange Commission filing on Thursday, Activision’s board of directors said the company has concluded its own thorough investigation of those claims, which it says shows that “we are not a company that looks the other way.”
After consulting with external advisers, talking with employees, and reviewing contemporaneous notes, Activision writes “that there is no evidence to suggest that Activision Blizzard senior executives ever intentionally ignored or attempted to downplay the instances of gender harassment that occurred and were reported.” The company’s board of directors also didn’t withhold any information from the company, Activision writes.
Activision Blizzard | SEC Filing
▻https://investor.activision.com/node/35426/html
We are writing to provide you with an update on the work that the Board and its Workplace Responsibility Committee of independent directors have been doing related to our workplace. The allegations in media and legal filings about our company were as distressing to us as they were to all of you. The Board resolved that we would dig into these issues directly, go where the facts took us, and that our work would be supplemented and informed by independent investigation and analysis conducted with the assistance of well respected, experienced outside experts with deep subject matter expertise.
Sous les projecteurs des médias pour une culture toxique et des tentatives de dissimulation des plaintes par la direction des ressources humaines, Activision publie les conclusions des enquêtes interne et externe : il n’y a rien à voir, tout va bien.
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]]>Migrations : l’agence européenne #Frontex mise en cause pour des #refoulements en mer
Des investigations menées par plusieurs médias dénoncent les pratiques illégales des #gardes-frontières_grecs impliquant parfois l’agence européenne de surveillance des frontières.
Une enquête de plusieurs médias, dont le magazine allemand Spiegel, affirme que Frontex, l’agence européenne de surveillance des frontières, est impliquée dans plusieurs incidents de refoulement en mer de bateaux de demandeurs d’asile traversant la mer Egée entre la Turquie et la Grèce.
Les investigations menées « montrent pour la première fois que les responsables de Frontex sont conscients des pratiques illégales des gardes-frontières grecs – et sont en partie impliqués dans les refoulements eux-mêmes », écrit le Spiegel dans un article disponible en ligne samedi 24 octobre.
Les journalistes assurent avoir documenté six cas survenus depuis avril en mer Egée dans lesquels des équipes de Frontex ont au minimum assisté sans réagir à des refoulements vers la Turquie de bateaux de réfugiés se trouvant dans les eaux grecques, une pratique illégale. Dans un cas, en juin, une vidéo montre un navire de Frontex bloquant un bateau de réfugiés, puis, dans une autre scène enregistrée, passant devant le bateau de réfugiés à grande vitesse avant de quitter les lieux.
Des dizaines de vidéos, d’images satellites, de récits comparés
Outre le Spiegel, les recherches ont été menées par un magazine de la chaîne allemande ARD, le collectif de journalistes Lighthouse Reports, la plate-forme d’investigations Bellingcat et la chaîne de télévision japonaise TV Asahi. Les auteurs expliquent avoir comparé des « dizaines » de vidéos, d’images satellites, de récits de témoins oculaires, dont des réfugiés et des employés de Frontex. L’agence européenne de surveillance des frontières a engagé plus de 600 agents en Grèce, une des portes d’entrée de l’Union européenne, ainsi que des bateaux, des drones et des avions, selon l’article.
Frontex n’a pas commenté les cas précis soulevés par la recherche, explique le Spiegel, mais a déclaré que ses agents étaient liés par un code de conduite en matière de droits de l’homme et respectaient l’interdiction des refoulements. Sans mentionner l’article, Frontex a annoncé vendredi soir sur son compte Twitter avoir été « en contact avec les autorités grecques à propos d’incidents en mer ces derniers mois » et qu’Athènes avait ouvert une « enquête interne ». Frontex agit « dans le respect des droits fondamentaux et de la loi internationale », souligne l’agence sur Twitter.
Le gouvernement conservateur grec a toujours rejeté les allégations de refoulements illégaux à ses frontières dont font régulièrement état plusieurs organisations non gouvernementales.
▻https://www.lemonde.fr/international/article/2020/10/24/migrations-l-agence-europeenne-frontex-mise-en-cause-pour-des-refoulements-e
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