• Harvard et les #universités françaises | Focus Campus
    http://focuscampus.blog.lemonde.fr/2013/09/25/harvard-et-les-universites-francaises

    « Harvard seule dispose d’autant d’argent que l’ensemble des universités françaises pour leur année 2014 ». 30 milliards de dollars. Deux visions de l’#enseignement supérieur ? Tags : internetactu fing internetactu2net université enseignement (...)

    #éducation

  • Plateforme e-media

    Le site e-media.ch est géré par l’unité « #Médias » du secrétariat général de la Conférence intercantonale de l’instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CIIP), dont le siège est à Neuchâtel (Suisse). A l’origine, sa mise en place a été prise en charge par le Centre suisse des technologies de l’information dans l’#enseignement (CTIE). Une nouvelle version, basée sur un nouveau CMS, a été élaborée par la société WebExpert et lancée le 10 février 2012.

    La CIIP est une institution de droit public. Son secrétariat général conduit et administre l’élaboration et la production des moyens d’enseignement et #supports_didactiques requis par les décisions de coordination. Les activités de l’unité médias sont supervisées par une Commission romande d’éducation aux médias et aux technologies dans l’enseignement (COMETE), qui compte des représentants de tous les cantons latins.

    Objectifs du site

    Une #formation_critique aux médias et aux #technologies_de_l'information et de la #communication s’inscrit dans les finalités éducatives de l’École publique.

    Il est spécifié que l’École publique « entraîne les élèves à la communication, qui suppose la capacité de réunir des informations et de mobiliser des ressources permettant de s’exprimer à l’aide de divers types de langages en tenant compte du contexte ».L’École publique entraîne aussi les élèves « à la démarche critique, qui permet de prendre du recul sur les faits et les informations, tout autant que sur leurs propres actions ». Lancé en février 2004, le site e-media.ch a pour vocation la diffusion d’un matériel de référence et de travail en classe. Il est le vecteur de communication principal de la Semaine des médias à l’école en Suisse romande. Il s’efforce de favoriser l’utilisation d’émissions produites par la Radio Télévision Suisse (RTS), en vertu d’un accord de collaboration passé avec la CIIP et renouvelé en 2010. Les documents et pistes pédagogiques proposés sur le site e-media.ch prennent en compte, dans toute la mesure du possible, les objectifs d’#apprentissage mentionnés dans le Plan d’études romand (PER), en particulier les objectifs MITIC mentionnés dans la Formation générale. /cgs 13.12.2012

    http://www.e-media.ch

  • #rémunération_des_profs en Europe : de 400 à 8000 € par mois
    http://fr.myeurop.info/2013/09/18/r-mun-ration-des-profs-en-europe-de-400-8000-par-mois-12247

    Grégory Noirot Quentin Bisson

    La rémunération des enseignants du secondaire est 20 fois plus élevée au Luxembourg qu’en Bulgarie. Un écart stupéfiant qui ne suffit pas à expliquer la différence de prestige attaché à la profession.

    Avec 4780 euros de salaire annuel, les (...)

    #EUROFOCUS #Société #Allemagne #Espagne #Finlande #France #Union_européenne #commission_européenne #disparité #enseignement_secondaire #OCDE #salaires_France

  • Laïcité : Ces 4 matières qui posent problème à l’école (Jean-Louis Auduc, NouvelObs.com)
    http://tempsreel.nouvelobs.com/education/20130909.OBS6113/laicite-svt-histoire-ces-4-matieres-qui-posent-probleme-a-l-eco

    Mais dans les faits, la religion musulmane est loin d’être la seule invoquée par les élèves ou leurs parents en cas de contestation. Pour s’en convaincre, suffit de regarder quels sont les points des programmes qui posent le plus de problème dans les classes. […]

    1. Les sciences de la vie et de la terre
    « […] Les questionnements portent notamment sur la théorie de l’évolution : de nombreuses sectes évangéliques et néo-baptistes se mobilisent dans les banlieues et distribuent des documents pour la dénoncer. On constate par ailleurs des protestations quant à ce qui relève des questions de genre et de la sexualité : certains parents jugent anormal que ces thèmes soient abordés. […] »

    2. Les arts plastiques et l’histoire de l’art
    « Des enseignants ont été confrontés à des questionnements quant à la représentation de la nudité. Toutes religions confondues encore une fois. […] ».

    3. L’éducation musicale
    « Jusqu’au XVIIIe siècle, la plupart des œuvres musicales étaient des messes. D’où l’importance de présenter ce qui relève du culturel et du cultuel ».

    4. L’histoire
    « […] Ce qui pose problème en particulier, ce sont les rapports entre histoire et mémoire. […] ».

    « […] Reste que le meilleur des textes [la charte de la laïcité] peut se révéler contre-productif si l’ensemble des personnels (de surveillance, administratif et de service) n’est pas formé à ces questions. »

    #éducation #laïcité #enseignements

  • FACULTE LIBRE D’ETUDES POLITIQUES ET EN ECONOMIE SOLIDAIRE -

    Institut supérieur technique en travail social, Etablissement médico-social et Faculté libre d’études politiques et en économie solidaire
    http://www.initiatives.asso.fr/mods/pages/?action=fiche&id=145

    A suivre...

    Nous avons l’honneur et le plaisir de vous présenter notre
    Faculté Libre d’Etudes Politiques et en Economie Solidaire,
    la FLEPES-INITIATIVES

    #enseignement #éducation #économie_solidaire

  • Les standards de l’éducation en question - The Economist
    http://www.economist.com/news/books-and-arts/21583609-only-few-countries-are-teaching-children-how-think-best-and-brig

    The Economist revient sur la publication du livre « Les plus intelligents enfants du monde : comment y arrivent-ils » d’Amanda Ripley. Dans les classements internationaux, la Pologne a fait des progrès spectaculaires en matière d’éducation. Pas si simple d’apprendre à ses élèves à penser de façon critique. Pour Andreas Schleicher, le scientifique qui est derrière le classement Pisa, mémoriser des connaissances n’est pas savoir résoudre des problèmes. Dans ce domaine, la Finlande , la Corée, le Japon et (...)

    #éducation #école #enseignement

  • Échec de tous les étudiants libériens au test d’admission à l’#université · Global Voices en Français
    http://fr.globalvoicesonline.org/2013/08/30/152840

    Alors que le Liberia fête le dixième anniversaire de l’Accord de Paix signé à Accra, mettant un terme à quatorze années de #guerre_civile, près de 25 000 jeunes ont échoué au test d’admission à l’Université du Liberia. C’est la première fois qu’aucun candidat ne réussit ce test.

    #Liberia #enseignement, #guerre_civile et manque de #livres_scolaires

    • Ce qui me fait rire, c’est le txeet sur la remarque d’un responsable universitaire : « manque d’enthousiasme » et « pas de connaissances basiques de l’anglais ». Certes, l’anglais est la langue officielle du pays mais s’ils ne sont pas capables d’enseigner dans les principaux dialectes des populations, ce n’est pas comme ça que la situation va s’améliorer. Les bases de l’anglais pourraient être apprises à l’université.

  • Ending the book hunger
    http://newint.org/blog/2013/07/26/ending-the-book-hunger

    sur la question de l’accès aux livres pour les #enfants d’#Afrique, New Internationalist propose une solution technologique à base d’#ebooks, ce qui m’étonne un peu d’eux ; argumentaire :

    (...) E-readers fit to the needs of rural education almost as if they are specifically designed for it.

    E-readers are cost and energy efficient. Most models’ batteries can last up to two months with a single charge. There are also versions which work with solar energy. An average computer would require not only constant energy, but also someone with moderate computer literacy to operate it. But e-readers don’t have such obstacles. Any child could start to use an e-reader within minutes, with no prior IT literacy. It is possible to fit literally thousands of books into an e-reader. With the combination of freely available children’s classics and perhaps copyright donations from individual authors and publishing houses, every child could own a large library.

    #inégalités #enseignement

  • Commémorer la Résistance, c’est surtout bon pour les élèves (Journal d’un prof d’histoire)
    http://blogs.rue89.com/journal.histoire/2013/07/29/commemorer-la-resistance-cest-surtout-bon-pour-les-eleves-230870

    Au regard de l’actualité de ce brûlant été, où le racisme se découvre toujours plus décomplexé, l’obsession commémorative des parlementaires mérite à nouveau d’être interrogée.

    […]

    Cette simultanéité entre l’instauration d’une journée commémorative de la Résistance et le dérapage d’un élu n’est pas le fruit du hasard. Elle force une nouvelle fois à s’interroger sur l’instrumentalisation de la mémoire et, plus généralement de l’Histoire : se complaire en permanence dans l’apologie des valeurs de la Résistance ou de la république mais accepter au quotidien, comme quelque chose de banal, des pratiques et des paroles qui en sont la négation relève de l’imposture.

    D’une certaine façon, ce constat renvoie également à l’enseignement de l’histoire scolaire et à l’une de ses fonctions fréquemment mise en avant : car ce n’est pas le moindre des paradoxes qu’un pays qui, paraît-il cultive la passion de l’histoire, se révèle incapable d’en retenir les leçons. Dans le cours de sa scolarité obligatoire, chaque élève rencontre pas moins de trois fois – en primaire, au collège, en lycée – l’épisode du nazisme. Sans manifestement en saisir la nature réelle ?

    On peut effectivement se demander si la frénésie commémorative qui entoure cette période de l’histoire n’a pas d’abord pour objet, outre de flatter l’orgueil national pourtant ici si peu légitime, de se mentir à soi-même sur sa propre capacité à résister, à dénoncer, dans des circonstances qui certes, ne sont pas celles des années 40 mais n’en appellent pas moins à une prise de conscience : peut-on célébrer Jean Moulin tout en s’accommodant du racisme ordinaire qui ne craint plus de s’afficher en France aujourd’hui ?

    #éducation #enseignement #histoire #Résistance #instrumentalisation_de_la_mémoire #racisme

  • Formation et déformation des journalistes (1)
    http://www.acrimed.org/article4102.html

    Jeudi 25 avril 2013 se tenait à la Bourse du travail à Paris un « jeudi d’Acrimed » consacré à la formation des journalistes. Y participaient Franz Durupt, journaliste, ancien élève de l’ESJ de Lille, et Jean Stern, directeur pédagogique de l’EMI-CFD [1]. Avec son concours, nous résumons ici les principaux points de son intervention. Pauvreté des formations, appauvrissement du journalisme J’ai récemment vu deux amis qui ont fait le Centre de formation des journalistes de Paris (CFJ) avec moi il y a 35 (...)

  • Que dévoilent les agressions de femmes voilées ?
    http://feministesentousgenres.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/07/18/que-devoilent-les-agressions-de-femmes-voilees-485674.html

    Ce qui est frappant, dans toutes ces agressions commises à l’égard de femmes musulmanes, quasiment toutes voilées, ce n’est pas tant leur caractère successif que ce silence coupable, témoin de notre incapacité à les considérer comme des victimes [10]. Ces filles et ces femmes voilées sont, dans la perception que la société française a développé à leur égard, coupables. Ce sont elles, les agresseurEs. Leur voile nous agresse visuellement. Il perturbe nos imaginaires et nos zones de confort européens. Le (...)

    • C’est le caractère des véritables persécutions que de se faire dans le silence des populations. Les justes sont ceux qui n’attendent plus rien de leurs institutions, et tout de leurs compagnons, noyés dans une foule d’apparence indifférente.

    • Le voile déplait, globalement. Il heurte (à des degrés divers, heureusement) les sentiments profonds d’une partie de la population Française.
      Bien sur la France est un pays de tolérance, et il devrait être possible dans le pays de la mode, de s’habiller comme on le veut.
      Simplement le voile (celui qualifié d’islamique), quelque soit sa forme, se trouve être parfaitement identifiable, et complètement distinct du foulard porté par une apprentie Grace Kelly. Même si plusieurs codes existent, il est facilement identifiable, fruit d’une conception récente délibérée, initiée par l’activisme politique musulman confronté à la mondialisation.

      En tant que tel, son port se trouve être extrêmement déplaisant pour un Français disons moyen.
      Faisons, si vous le voulez bien, une énumération de ce qu’on pourrait trouver « signifiant » derrière ce signe.

      Le premier est je crois une protestation féminine contre le racisme et la discrimination ressentie par les populations récemment issues de pays de culture musulmane .

      Visiblement ethniquement différente, tu vois, je suis aussi et simultanément caractérisée par ma religion propre. Je suis donc doublement différente. Te voila donc puni deux fois de ton rejet, d’abord involontairement différente de part ma différence corporelle visible, je le suis aussi volontairement, de par mon voile. Femme et fille de discriminé, je le revendique, et me refuse pour mieux marquer ma protestation.

      La caractéristique « volontaire » du port du voile joue ici un rôle
      essentiel. Le voile islamique n’est pas imposé, il est choisi. Toutes les enquêtes le montrent, il est revendiqué. Même si il est sans doute « obligatoire » dans certains milieux, rien n’oblige son port dans l’espace public, et il pourrait facilement s’enlever au contact de la foule européenne : c’est bien le cas des avions qui une fois décollés de Téhéran se remplissent de cheveux. Quand il est visible sur une femme seule, il est donc assumé.

      La protestation volontaire contre un racisme supposé est le premier aspect déplaisant. Or ce racisme, envers une femme, est de manière générale recouvert voire effacé par l’attirance générale que les hommes Français sont capables d’éprouver pour une grande variété de types féminins.
      Confrontés déjà au sein des peuples européens, à une très grande diversité ethnique, un mâle Français, disons la plupart du temps, est peu raciste envers les femmes, du moins dans l’espace public.
      Il y a bien sur des femmes laides ou des types trop éloignés de la norme, mais le monde moderne produit un espace public où les femmes offrent la plupart du temps une apparence soignée plaisante, ceci quelque soit son appartenance ethnique visible.
      Violer ces deux principes, c’est à dire premièrement faire un reproche de racisme à celui qui spontanément ne le ressent pas, et deuxièmement adopter un comportement vestimentaire déplaisant (le voile, la plupart du temps, mutile les aspects agréables du féminin), apparait comme agressif, et donc suscite en retour une agressivité de principe, heureusement la plupart du temps maitrisée.

      J’ajouterais que comme marque identitaire, il est un signe particulièrement maladroit, puisqu’il est un symbole religieux utilisé pour revendiquer une appartenance ethnique. Ce mélange entre le racial et le religieux est très précisément ce qui est rejeté violemment en général par l’occident multi ethnique athée.

      Identifier ou favoriser l’identification entre l’"arabe" et le « musulman » est en effet une erreur terrible, qui génère mécaniquement de la violence dans les rapports sociaux.

      Erreur d’abord de fait car un grand nombre de maghrébins, par exemple ceux issus d’Algérie sont peu ou pas religieux, ensuite parce que le vocable « musulman » fut utilisé durant la colonisation Algérienne pour marquer celui qui ne bénéficie pas du même régime de droit, donc, le colonisé, discriminé de droit ; finalement car il marque la volonté « révolutionnaire » de l’islam politique, de forcer cette identification au sein de populations dont il s’estime naturellement propriétaire.

      Le deuxième signifiant est celui de l’identification religieuse à une conception de la vie explicitement « supérieure ». Le port du voile apparait comme une manifestation explicite d’une supériorité morale sur les autres femmes. Ce signifiant est parfaitement connu dans l’occident catholique, c’est celui de la « bonne soeur », religieuse ayant fait voeu de chasteté, qui porte un voile qui la soustrait explicitement à la compétition amoureuse. La supériorité là se paye.
      Ici, la femme en question est « normale », sexuellement active, mais s’excluant tout de même du badinage, et donc violant explicitement le contrat de séduction « civilisé » qui anime si agréablement les relations hommes femmes en occident. Plus grave, elle exprime sa désapprobation quand à la tenue des autres femmes, qui n’ont pas la force morale de se soumettre à ce qui se doit. En poussant à l’extrême, le voile proclame que les hommes occidentaux sont fils et maris de prostituées...

      Notons que ce signifiant « chaste » n’est pas exempt d’ambiguité : on raconte volontiers que la laideur externe de l’épaisse blouse serait souvent compensée par des sous vêtements bien mieux en phase avec la modernité sans parler de la compétition dans les harems. Si l’on met de coté l’aspect graveleux de l’allusion, il resurgit ici un autre aspect du vrai racisme : l’autre, rejeté car fanatique, l’est aussi car débauché : on retrouve là les fantasmes orientalistes traditionnels, tous ceux que naturellement évoquent (et s’en est bien là le but) l’habit discriminant.

      Deux autres contrats implicites de l’espace public sont ici violés : celui de l’apparence féminine indépendante des contraintes familiales, morales et religieuses, ce qui permet la vraie galanterie, et celui de l’égalité de principe entre les humains, les femmes de l’espace public devant pouvoir, toutes, être jugées à la fois attirantes et respectables.

      Il y a, il faut le noter une variante « élégante » du voile qui se manifeste chez des femmes plus jeunes, manifestement très au fait des principes de la vraie élégance. Ce voile là a entamé son chemin vers la liberté, et je conseillerais à certains d’y mettre le holà s’il le peuvent encore. Il n’a rien à voir avec ce qui vient d’être dit, à moins qu’il n’en soit la forme véritablement moderne : un vrai marqueur identitaire, celui qui met en valeur l’individu et non pas le fantasme communautaire. On peut et doit souhaiter que cette version là du voile devienne dominante, en tout cas, tout le monde (ou presque) est prêt à lui faire la fête.

      Bref, le voile islamique est ainsi incivil au sens strict pour au moins quatre raisons, et il est finalement assez réconfortant qu’il ne soit pas davantage rejeté : les Français savent se tenir,
      majoritairement.

      Pour finir, je dirais qu’il faut bien sur réprimer les violences, surtout (pourquoi surtout ?) celles contre les femmes.

      Ne pourrait on pas aussi dire aussi à toutes ces femmes qu’elles seraient bien mieux intérieurement et extérieurement si elles amélioraient sensiblement l’accessoire, par exemple en l’expurgeant de toute bigoterie, cette plaie de l’âme et du corps, prurit de l’infâme idée de religion que les lumières de la raison ont vocation à faire disparaitre ?

    • Une vision très andocentré et masculiniste . On parle d’agressions sexistes et racistes et tu touve que les « français » (genre le voile c’est un pbl avec des français et des non-francais...) savent se tenir et sont galants. La galanterie c’est du sexisme, une forme de racisme je te signal.
      Pour toi les hommes « francais » (?) sont moins racistes avec les femmes quant ils les trouvent baisables. Si t’es bonne, belle, élégante, pas bigote... et que tu correspond aux envie des mâles souchien, t’aura pas de pbl cocotte.

      « Pour finir, je dirais qu’il faut bien sur réprimer les violences, surtout (pourquoi surtout ?) celles contre les femmes. »
      oula....

      Pour ta ccl, ce qui serait bien, c’est de ne rien conseiller à « toutes ces femmes » et de leur lâcher la grappe.

    • Tout le monde trouve forcément certain(e)s baisables et se frotter contre les troncs d’arbres est il répréhensible quand on y trouve la trace d’une langue ?

      – « galanterie=sexisme=racisme »
      –- belle équivalence : je la renverserai bien :
      racisme=sexisme=galanterie (c’est pas mieux comme ca ?)

      – « la violence - contre les femmes - » est parfois conçue comme excédant la violence tout court. L’expression « oula » me semble confirmer le fait. Pourtant, en réalité, la violence en général peut se qualifier seule. Au risque de m’attirer un oula de plus j’évoquerais la violence contre les animaux ou bien contre le sens commun.

      – « souchien » : le mot a une résonance multiple et s’associe très bien à une filiation canine que l’on voudrait dévalorisée. Pourquoi s’acharner contre les bêtes ? veaux, vaches, cochons : ce sont des créatures de Dieu, tout comme les femmes, ou même, les humains.

      – je veux bien lâcher la grappe aux femmes, l’expression est heureuse. Bye !

    • Je comprend pas ce que tu raconte sur les arbres et les langues. Pas la peine de m’expliquer. Je ne comprend pas non plus pourquoi tu remet ton commentaire plusieurs fois sur #seenthis. Tes conseils d’élégance à destination des « non-françaises » ont l’air de te tenir très à cœur.

      Pour racisme/sexisme/galanterie, Vu que les races n’existe pas, le mot racisme désigne la racisation de groupes (pour leur religion, leur couleur de peau, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur genre...).
      Pour la galanterie, c’est du sexisme dit bienveillant ça n’est absolument pas une question de politesse, mais une distinction de traitement que les hommes réservent aux femmes et ça n’a aucune justification aujourd’hui. C’est une discrimination , absolument pas un bienfait ou un privilège accordé aux femmes. Je tiens la porte aux personnes qui passent derrière moi, pas uniquement à celles dont l’apparence me conviens.

      Pour ta réponse sur la violence contre les femmes, tu montre que tu ne t’es jamais vraiment posé la question. Plus de 75000 viols par an en France, tu trouve que les français savent se tenir....

      Pour souchien, c’est pourtant plus précis que ton « les français » qui sous entend que les français ne sont pas musulmans ou pas voilées et ce que tu désigne en fait c’est les blanco-blancs catholiques, si tu as un meilleur mot que « souchien » je le veux bien mais faute de mieux j’ai aucun pbl avec la gente canine. Et pour les créatures de dieu, juste après une tirade antireligieuse (enfin antimusulmane en vrai puisque tu ne dit rien des nonnes, voilées elles aussi)

      Sinon les conseil de mode, d’elegance et de bonne tenu en societé, quant on parle d’agression sexiste et raciste ça me semble inapproprié pour restée polie.

    • @wiki1000, tu tiens des propos fétides sexistes et racistes derrière un étalage crescendo de préjugés à l’emporte pièce. Je préviens juste pour éviter à des moins avertis de perdre leur temps à te lire. Soutien à @mad_meg dont j’admire l’élégante patience.

    • 1) merci à touti pour ton soutien UU ; le plaisir de se sentir rejeté est incomparable rhââ lovely.
      2) Y a 198 000 tentatives de viols aussi, mais je ne parlais pas de ca. Les agressions récentes de femmes voilées n’étaient pas des viols.
      3) Je parle des religieuses catholiques, ce voile là a disparu de l’espace public, sous les croissements anticléricaux.
      4) Le terme « souchien » a fait l’objet d’un procés ridicule, son utilisation est conotée, c’est un peu comme « galanterie »....
      5) La majorité de la population française, effectivement, n’est ni musulmane, ni voilée. La minorité non plus d’ailleurs, pas entièrement.
      6) Vous écrivez mal, êtes bourrée de préjugés, mais votre site est vraiment trés bien. Vous avez mon admiration et mon respect. ReBye.

    • 1) Oh pauvre chou, tu es blessé, des gens ne sont pas d’accord avec ton long développement sur la bonne tenue des femmes françaises. Ce sont tes idées et ton discours qui sont rejetés. Si tu ne jouais pas aux imbéciles je te traiterait autrement et @touti pareil je pense.

      2) Bien sur que si tu parle de viol, le voile est directement connecter à la culture du viol. La maman-putain ou la vierge-salope ou la chaste-dévergondée, toutes ces considérations ne sont que les deux faces du même sexisme. Je ne perd pas plus de temps à t’expliquer, tant il me semble evident que tu ne veux pas savoir, ton objectif n’est pas le dialogue.

      3) C’est faux, les nonnes se baladent dans la rue et aucun laïquard ne leur arrache leurs voiles. Quant tu parle de voile tu ne pense d’ailleurs pas à elles. Et ta parano sur la prétendue persécution des cathos est consternante. T’es tu échappé du figaro ? Les cathos ne sont pas persécutés en France à part dans les fantasmes des fana du « choc des civilisation » et autres conneries néo-conservatrice.

      4) N’importe quoi, le procès fait à « galanterie » n’a aucun rapport avec le mot « souchien ». La galanterie est définie dans le dico. C’est une discrimination basé sur le sexe, qui sert aux hommes (à la culture patriarcale) a maintenir les femmes dans leur infériorité en leur accordant quelques privilèges idiots et inutiles. Le mot « souchien » de son coté est un néologisme formé sur l’expression « français dit de souche » qui chez vous se transforme en « français ». Le rapport entre « souchien » et « chien » est une technique de fuite pour ne pas répondre sur le fond. Tu dit « les français » que tu opposent aux musulmans, je te dit que c’est raciste mais tu ne répond pas là dessus. Comme dans toutes tes pseudo réponses, tu est à chaque fois hors sujet, tout obséder que tu est par tes conseils à la Nadine de Rothschild. Ta façon de mettre « galanterie » et « souchien » dans le même sac est encor un exemple de ton manque de réflexion.

      5) Bah alors pourquoi tu oppose « les français qui savent se tenir » à « les non-français qui ne savent pas se tenir » ? Je te dit qu’il y a des françaisES musulmanNEs et voilées et tu évite encore de répondre. A chaque fois tu dévie, tu évite, tu triche.

      6) Je ne voie pas ce que mon travail et sa valeur viennent faire ici. J’aime pas ce compliment inopportun et il est à l’image de ta malhonnêteté intellectuelle. Que j’écrive mal ou que je dessine bien n’a rien à faire ici. Et pour ce qui est de mes « préjugés », je ne préjuge de rien je ne fait que te lire et te répondre sur ce qui me pose pbl. Ton admiration et ton respect ca me fait doucement rigoler, vu que tu me prend ouvertement pour une conne, tu repassera avec tes compliments hypocrites. En fait tu n’est pas ici pour échanger, tu troll ouvertement. Je te laisse le dernier mot, car j’ai assez perdu de temps avec toi.
      Bonne canicule.

    • Pour mémoire, en France il n’y a pas si longtemps, femme en cheveux était à peu près synonyme de prostituée…
      Cf. les deux exemples de http://fr.wiktionary.org/wiki/en_cheveux Francis Carco en 1929 et Jean Valmy-Baisse en 1950 (dont l’extrait montre bien le mépris de classe associé à un tel relâchement : les femmes sont en cheveux et les hommes, horresco referens , en espadrilles…)

      Par ailleurs, ce ne sont pas les croassements anticléricaux qui ont fait disparaître le voile mais l’évolution des mœurs. Il suffit de voir la parfait indifférence que suscite le passage d’une soutane ostentatoire… Il ne reste plus que quelques irréductibles du crôa crôa dont Le Canard enchaîné.

      Ce genre d’image (1902) est désuet, voire incompréhensible aujourd’hui.


      Ou dans le genre qualifié de vulgaire Lavrate (mort en 1888)

      extrait de cette collection http://deblog-notes.over-blog.com/album-1134720.html

      Pour l’auteur : http://www.eiris.eu/index.php?view=article&id=656:le-dessinateur-lavrate-1829-1888

    • Du hijab à la burqa et des collégiennes aux nounous : les dessous d’une obsession française

      Mars 2004 : loi sur les signes ostensibles, interdisant le port du foulard à l’école publique. Septembre 2010 : loi anti-burqa. Avril 2011 : offensive de Luc Chatel contre les mères voilées accompagnatrices de sorties scolaires ; « débat sur la laïcité » et « 26 propositions » de l’UMP légalisant notamment la discrimination à l’embauche contre les femmes portant le foulard, y compris dans le secteur privé… Janvier 2012 : loi « anti-nounous » (interdisant le voile dans les crèches et les garderies), adoptée en première lecture par un sénat socialiste... Depuis près de dix ans, les cheveux des femmes musulmanes sont devenus ce qu’il est convenu d’appeler un enjeu politique majeur, et leur dévoilement fait désormais partie des priorités les plus impérieuses. C’est de ces chasses au voile, et de leur incroyable violence, qu’il est question dans Dévoilements – dont voici l’introduction.

      http://lmsi.net/Du-hijab-a-la-burqa-et-des

    • Trente paradoxes

      Si tout ou presque – et souvent n’importe quoi – s’est déjà dit et écrit sur le « voile intégral » (appelé aussi niqab ou plus improprement burqa) et sur les femmes qui le portent en France, rien ou presque ne peut en être dit sérieusement en l’absence d’enquêtes rigoureuses, fondées notamment sur des entretiens avec un nombre conséquent de ces femmes. Il suffit en revanche d’une heure de peine, de quelques observations, d’un peu de mémoire et d’un peu de réflexion pour entrevoir le caractère singulièrement paradoxal de la gigantesque campagne « anti -burqa » – et de la nouvelle loi de prohibition qui en est sortie [1].

      http://lmsi.net/Trente-paradoxes

    • @simplicimus
      oui : l’anticléricalisme (croa croa etc) fut très virulent en France.
      Le laïcisme fut inventé pour se débarrasser du catholicisme politique et cela a marché : le religieux doit rester strictement dans la sphère privée individuelle et ne peut plus prétendre au débat politique. Le catholicisme en France a ainsi renoncé à cette volonté. Donnant simplement son avis au sujet du mariage pour tous, par exemple, il fut renvoyé dans ses buts sèchement, et considéré homophobe par dessus le marché !

      Il ne faut pas s’étonner que cet anticléricalisme soit dirigé vers l’Islam aujourd’hui. La société Française ne supporte pas le religieux ostentatoire : elle a détruit le sien propre, et celui qu’une immigration récente amène dans ses fourgons est mal vu, il faut bien le réaliser !

      PIerre Tévanian cité par @CDB_77 est un drôle de personnage.

      D’abord il est tout à fait contre les dirigeants de la crèche Babilou coupables d’avoir « viré une femme qui portait un foulard ».
      Ceux qui connaissent l’histoire en question savent à quel point elle est clivante.

      Un autre aspect, également clivant, est l’appréciation de l’affaire Redeker, ou bien, encore mieux, celle des caricatures de Charlie Hebdo.
      Bref, l’auteur des 30 paradoxes cité par CDB est clairement positionné d’un certain coté d’une certaine barrière.

      Il est tout de même un peu surprenant de voir considérer comme paradoxales ou incohérentes les réactions que je qualifierais de « naturelles » d’une société majoritairement athée et non religieuse à un ensemble de pratiques (interdits alimentaires, port de vêtements spécifiques en public, jeunes ostentatoires) que LES mondes modernes considèrent, et oui,
      comme régressives.
      LES mondes modernes dont je parle incluent un certain nombre de Tunisiens, Algériens, ou Turcs, qui eux, ont une idée précise de ce que c’est que l’islam politique : seraient ils « islamophobes » ?

    • @Simplicissimus
      La remarque faussement érudite sur les cheveux me parait inappropriée : même si la convention fut longtemps à ce que les femmes se couvrent la tête pour sortir, le qualificatif de « en cheveux » ne signifie absolument pas « prostituée ».
      Il qualifie plutôt l’aspect désordonné des cheveux longs des femmes non coiffées. Inconvenant en public, certes à une époque, mais licencieux je ne crois pas.
      Par contre j’apprécie le clin d’oeil à ma remarque désagréable : il y a bien, donc, pour certaines voilées, la volonté de ne pas apparaitre comme une prostituée en montrant ses cheveux, et donc, pour certaines, mais pas toutes, de considérer comme telles celles qui ne le font pas.
      C’est le sens, sans doute, de ce que voulait dire Roselyne Bachelot qui essayait en rigolant une paire de chaussures à trop hauts talons devant les caméras :
      http://www.youtube.com/watch?v=Rnr2YcogVhw

    • Le droit de porter le voile à l’université remis en question

      C’est un rapport alarmiste et une proposition polémique que le Haut Conseil à l’intégration (HCI) a légués à l’#Observatoire_de_la_laïcité, détenteur depuis avril des prérogatives de sa mission sur la #laïcité. Dans l’un de leurs derniers travaux que Le Monde s’est procuré, les membres de cette mission, menée par l’inspecteur général de l’éducation nationale #Alain_Seksig, se sont intéressés au respect de la #neutralité_religieuse dans l’#enseignement supérieur.

      http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/08/05/le-droit-de-porter-le-voile-a-la-fac-remis-en-question_3457436_3224.html

  • Le parlement français adopte pour la première fois une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre | April
    http://www.april.org/le-parlement-francais-adopte-pour-la-premiere-fois-france-une-disposition-leg

    Le parlement français vient d’inscrire pour la première fois dans la loi la priorité au logiciel libre pour un service public, avec l’adoption du projet de loi enseignement supérieur et recherche. L’April, qui a beaucoup contribué aux débats, se réjouit tout particulièrement de ce vote et félicite les députés et sénateurs d’avoir reconnu l’importance des logiciels libres pour le service public de l’enseignement supérieur1, car eux seuls permettent de garantir l’égal accès de tous à ce futur service public. L’April espère que cette première étape sera suivie par d’autres dispositions législatives en faveur du logiciel libre. Elle remercie également tous ceux qui se sont mobilisés pour contacter les parlementaires.

    #logiciels_libres #enseignement_superieur

  • Centenaire de la Première Guerre mondiale : à l’école, la mémoire militarisée | Journal d’un prof d’histoire | Rue89 Les blogs
    http://blogs.rue89.com/journal.histoire/2013/07/09/centenaire-de-la-premiere-guerre-mondiale-la-memoire-scolaire-militaris

    l’Education nationale impose sa vision de la mémoire, éculée, faite de clichés, exaltant le héros mort pour son pays, alors qu’en réalité on meurt à cause de son pays

    #Histoire #éducation #enseignement #mémoire

    • Quoi d’étonnant puisque l’école est 1) nationale et 2) obligatoire ? Le Capital a besoin de bras, la nation de héros et le politicien d’électeurs. Sans endoctrinement obligatoire, comment le cheptel d’idiots prisonnier du même esclavagiste que leurs parents se renouvellerait-il ?

    • Strictement rien à voir avec le capitalisme : les régimes communistes étaient tout autant nationalistes. Mais de fait une école dont les programmes ne seraient pas définis de manière centralisée seraient peut être plus intéressante.

    • Car pour vous le capitalisme d’état de Lénine et ses successeurs ou celui de l’actuel parti communiste chinois se distingue du capitalisme libéral ?

      Dans un cas comme dans l’autre, une élite parasite accapare le pouvoir et élève la jeunesse à son usage : comme objets sexuels, travailleurs, électeurs, soldats, et fonctionnaires pour les méritants.

      Ne vous frappe-t-il pas que même les pays capitalistes réputés les plus libéraux s’obstinent à organiser l’éducation, notamment citoyenne ? Pour ensuite mieux prescrire aux masses bien éduqués l’usage d’une liberté consistant à choisir entre vaseline et huile d’argan, mer ou montagne, appartement ou villa.

      La guerre mécanisée, les atrocités technicisées et leurs cortèges d’horreurs sont la conséquence de l’alliance entre l’industrie et une éducation dressant les travailleurs les uns contre les autres au profit de leur bergers

    • @sammyfisherjr J’avoue adapter le style en fonction du public : ici, vu du haut de mes commodes préjugés, de jeunes intellos encore capables de repérer une dissonance cognitive entre le phrasé d’un conservateur et un discours disruptif.

      Car après tout, il est un peu commode de se débarrasser des responsabilités des guerres sur l’institution : même si ce sont les institutions qu’elle sécrète, au premier rang desquelles l’école, qui, avec la culture héritée de vos parents, bâtissent les préjugés qui font les guerres et leur cortège d’atrocités 2.0

      @vlentz Des deux côtés du Rhin et de longue date, les capitalistes des deux pays sont à l’origine des politiques coloniales qui jouent un rôle essentiel dans l’origine de la guerre. Pourrait-on par exemple invoquer toute l’oeuvre d’Anatole France pour savoir quelles relations unissaient le capitalisme et le colonialisme à l’époque ?

      Parler d’un phénomène politique de masse comme le nationalisme qui est le ciment des USA au sujet de la France ou l’Allemagne du début du siècle dernier revient à prétendre que le niveau de conscience politique des citoyens de ces deux époques étaient comparables : ce que vous nommez ici nationalisme est le résultat d’une politique éducative consciente inspirée par les gouvernants de l’époque, c’est à dire, les capitalistes.

  • #Peter_Watkins cinéaste engagé et auteur d’un livre radical, « Média Crisis » paru aux édition homnisphères, évoque son film sur la commune et fait un parallèle entre le traitement de la commune dans les manuels d’histoire de France et le rôle des « mass média » audiovisuel(MMAV) qui sont selon lui, sont le moteur de la propagande néolibérale.

    http://www.article11.info/?Peter-Watkins-une-bouffee-d

    Dans son livre « Media Crisis », Peter Watkins analyse le lavage de cerveau médiatique, la pauvreté de la forme et l’inanité du fond de la plupart des productions contemporaines. Portant aussi la casquette de réalisateur, il applique dans ses films des principes inverses à ceux qui président à l’abrutissement des masses. Une efficacité cinématographique démente et un impact politique non négligeable.

    Partie 1
    http://www.youtube.com/watch?NR=1&feature=endscreen&v=K44rNau16EY

    (...)

    Dans sa très grande majorité, remarque Peter Watkins, la société refuse toujours de reconnaître le rôle de la forme et des processus de diffusion et de réception des productions des #MMAV. Ce qui signifie que les formes de langage qui structurent les messages des #films ou des programmes télévisés, ainsi que les processus tout entiers (hiérarchiques ou autres) de diffusion à l’attention du public sont complètement négligés et ne font pas l’objet de #débat. Consécutivement à ce manque de débat critique public, plus de 95% des messages diffusés par les MMAV sont #structurés selon le principe de #la_Monoforme.
    Ce « manque de débat critique public » est l’un des chevaux de bataille de l’auteur de #Media_Crisis. Non que les #téléspectateurs souhaitent des émissions de mauvaise qualité : ce sont les professionnels des médias qui le leur imposent. Et ce bien que personne n’a jamais demandé aux spectateurs leur avis. C’est même un véritable tabou, provoquant les ricanements du monde #audiovisuel. Faire participer les téléspectateurs aux grilles de programme ? Et puis, quoi encore ? Pourquoi pas leur proposer de se mêler du processus de création du film tant qu’on y est ?
    Dans ce manque de débat public, le formatage induit par les MMAV joue aussi un rôle essentiel. Comment le spectateur pourrait opter pour autre chose, lorsqu’aucun choix ne lui est laissé et qu’il est gavé de saloperie depuis sa naissance ? Quand un véritable #lavage de #cerveau s’ingénie à réduire tout sens critique, à donner constamment le goût des mauvaises choses et de la facilité intellectuelle, sans jamais - ou presque - proposer la moindre alternative valable ou
    crédible ?

    Partie 2
    http://www.youtube.com/watch?v=cFm9q1zzx-Q

    (...)

    Plus fondamentalement, ce que les professionnels des MMAV ont accompli durant les 20 ou 30 dernières années, c’est la diffusion et l’implantation efficace d’un « climat » #psychologique qui a servi de levier à l’idéologie consumériste, écrit Watkins. […] En d’autres termes, l’objet même du #consumérisme, qui sature le rendement des MMAV, est renforcé à de nombreux niveaux inconscients, par un processus caché et hiérarchique - avec son propre discours sociétal souterrain, où il apparaitrait que nous sommes incapables (ou non désireux) de vouloir l’identifier ou de le reconnaître.
    Ce climat, soigneusement inculqué, injecté au plus profond de notre psyché par les formes saccadées et fragmentées du langage des MMAV et par l’industrie du cinéma #commercial à l’échelle globale a entraîné chez nous une sérieuse diminution de notre capacité de concentration, un manque de tolérance pour des processus soutenus ou pour n’importe quelle forme de communication qui exigerait d’y consacrer plus de dix secondes, une amnésie de plus en plus généralisée face à notre histoire (surtout chez les jeunes générations), un besoin perpétuel et accru de changements. Tout cela a permis de façonner une société manifestement plus #privatisée, où règnent l’#insécurité et une agitation constante. Une société où la pensée compétitive, l’#égotisme, le #gain #personnel, et l’#indifférence envers la #violence et la #souffrance deviennent de plus en plus « la #norme » et où disparaissent la #pluralité authentique et l’#interaction #communautaire.

    (...)
    Partie 3
    http://www.youtube.com/watch?v=Z2_JP0vYtSY

    En faisant travailler ces acteurs non professionnels, il s’agit de jouer sur leur conscience politique. De déclencher leurs réactions à chaud. De les aider à oublier la camera. Et de se rapprocher ainsi au maximum de la réalité, de toucher à une authenticité que ne pourraient pas rendre des #acteurs professionnels. Dans les films de Peter Watkins, chacun conserve souvent son propre rôle, à peine travesti par les besoins scénaristiques. Ce qui explique pourquoi les spectateurs peuvent se retrouver soufflés par l’impression de #réalisme.
    Dans La Commune, le #réalisateur a été jusqu’à recruter des acteurs #amateurs en fonction de leurs #opinions conservatrices, avant de les habiller en #soldats versaillais, de les réunir dans une pièce et de les inviter à discuter. En résultent des débats et des prises de position puant le naturel (du genre : « Il faut de l’#ordre dans la #société, c’est évident, sinon ça ne peut pas marcher… »). Dans le même temps, le spectateur est constamment renvoyé à sa propre condition, que ce soit par des adresses directes ou au travers de procédés ana-ou-u-chroniques (qui n’ont pas eu lieu). Dans La Commune, c’est notamment le rôle de deux #journalistes-acteurs, qui interviewent les #communards tout au long du film.
    Un processus si efficace que les acteurs et certains passionnés du film se sont organisés en une association, Rebond pour la Commune, dont le but est de faire perdurer le processus réflexif du film. Une démonstration parfaite que, à l’inverse des productions prédigérées dont on ne se souvient pas cinq minutes après la fin, Watkins arrive à susciter un véritable processus de réflexion. Un réel boulot politique, quoi. Mais aussi un vrai danger pour les tenants de l’ordre #établi.

    Parie 4
    http://www.youtube.com/watch?v=ELj5hJDd-no&NR=1&feature=endscreen

    #Propagande #Télévision #Cinéma #Publicité #Communication #Pédagogie #Education #Enseignement #Critique #Médias #Histoire #1871 #la_commune #Paris
    #Mondialisation #Livre #Vidéo

  • La CMP sur le projet de loi ESR confirme la disposition donnant la priorité au logiciel libre | April
    http://www.april.org/la-cmp-sur-le-projet-de-loi-esr-confirme-la-disposition-donnant-la-priorite-a

    Les députés et sénateurs membres de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi relatif à l’enseignement supérieur et à la recherche ont confirmé ce mercredi 26 juin 2013 la disposition législative donnant la priorité aux logiciels libres pour le service public de l’enseignement supérieur. L’April se réjouit tout particulièrement de ce vote et félicite les députés et sénateurs. L’April remercie également tous ceux qui se sont mobilisés pour contacter les parlementaires.

    #logiciels_libres #enseignement_superieur

  • – Et toi tu fais quoi ?
    – Moi ? Je suis en master de heavy metal

    « Heavy metal university degree course launched » (vidéo)

    http://www.bbc.co.uk/news/education-22501494

    Heavy metal music is about to go academic with the launch of the UK’s first degree course on the subject.

    From September, students at New College Nottingham will analyse music from Megadeth to Metallica with the help of tutor Liam Maloy.

    #zique #UK #Metal #enseignement #plo

  • A Typographic Carousel | I love typography, the typography and fonts blog
    http://ilovetypography.com/2013/06/06/a-typographic-carousel

    Today’s graphic design students are completely immersed in technology, which makes it a challenge for them to relate to pre-digital typography. In order to make pre-digital or analog typographic and printing techniques and processes more luring, relevant, understandable, and tangible, a collaborative and integrated experience called the “Typographic Carousel” was developed. To date, each year the Type Carousel event has been held on the campus of Rochester Institute of Technology at the Innovation Center, where undergraduate and graduate students, along with faculty members from across campus have participated. The range of disciplines represented at the Type Carousel include graphic, interior, industrial, and new media design, photography and print media, and illustration, studio art, and business and engineering.

    #typographie #enseignement

  • Les évêques reprennent en main l’école catholique
    http://www.lemonde.fr/education/article/2013/04/19/les-eveques-reprennent-en-main-l-ecole-catholique_3162833_1473685.html

    L’école privée sera-t-elle « plus catho » demain ? L’adoption du nouveau statut de l’enseignement catholique par la Conférence des évêques de France, jeudi 18 avril, ouvre une série de questions pour les 2 millions d’enfants qui la fréquentent de la maternelle au lycée.
    […]
    Cela fait quelques années déjà que les autorités religieuses veulent réinvestir ces terres un peu perdues. L’école privée sous contrat – à 94 % catholique – est devenue une école sous contrat d’association avec l’Etat, avant d’être un lieu de transmission de la religion. Elle s’est peu à peu laïcisée au fil du XXe siècle en accueillant un public de plus en plus varié.

    Et en bonus :

    L’entretien d’inscription, une spécificité de l’enseignement catholique (La Croix)
    http://www.la-croix.com/Actualite/France/L-entretien-d-inscription-une-specificite-de-l-enseignement-catholique-201

    L’entretien, qui dure une vingtaine de minutes, permet d’abord d’apprécier dans quelle mesure l’élève est désireux de rejoindre l’établissement.
    […] Quand le directeur reçoit un élève issu de l’enseignement public, il évoque avec sa famille l’éveil à la culture chrétienne prodigué au lycée.
    Reste que la forte demande pesant sur le lycée, liée en partie à la présence du plus grand collège du département dans son bassin de recrutement, met une certaine pression sur les familles. D’autant que les bulletins scolaires de l’année de quatrième et du premier trimestre de la troisième sont passés au crible lors de l’entretien.

    #éducation #enseignement_privé_catholique #Àbaslacalotte

  • L’école démocratique : Danemark : les profs jetés à la rue
    http://www.skolo.org/spip.php?page=article&id_article=1554

    au Danemark une réforme du statut des enseignants qui se passe très mal...
    Ca ressemble furieusement à ce que le gouvernement Hollande est en train de mettre en route, en particulier avec le rapport de la cour des comptes, et la pseudo-consultation nationale de 2012.

    #grève #statut #enseignement #prof #Danemark #libéral #régionalisation

  • Excerpt from: Uncounted and Unacknowledged: Syria’s Refugee University Students and Academics in Jordan | Watenpaugh | Syrian Studies Association Bulletin
    https://ojcs.siue.edu/ojs/index.php/ssa/article/view/2874/841

    During our interviews, it became apparent that asking if a university remains open is the wrong question; rather the more important question is: can students come and go safely from the university? Throughout the areas under its control, the Syrian military has established a vast network of checkpoints. At these checkpoints civilians and their vehicles are searched and their papers examined, and students and faculty can be detained or arrested at the discretion of soldiers, secret policemen and militiamen. Similar checkpoints exist in rebel held areas. Students reported having to pass through multiple checkpoints on their way to the university, adding hours to their journey. Women students in particular expressed concern about personal safety when encountering the soldiers manning the checkpoints. In what appears to be a very recent development, the Syrian government is no longer consistently honoring military deferments and is simply seizing young men when stopped and sending them to conscript induction centers.

    Although Syrias universities themselves have largely escaped the violence of the civil conflict in Syria, there are notable examples to the contrary, as discussed above. Nevertheless, the infrastructure of the universities remains largely intact. Classrooms, libraries, research facilities have not been the target of violence or looting – and certainly not on the scale of what happened to universities in Iraq in 2003. The collapse is more a problem of human capacity, safety and trust, at least for the moment.

    In many important ways, Syrias universities served as the place where a modern Syrian citizenship could be conceived and enacted. On campus, Syrians of diverse religious and ethnic backgrounds — admittedly almost all middle class — could mix, establish friendships and imagine belonging to a Syrian polity in ways that even many of their parents and certainly grandparents could not. A striking feature of the collapse of the social role played by Syrian universities was illustrated in our conversations with Sunni Muslim students from al-Baath University just outside the Syrian city of Homs. Located at the intersection of Sunni Muslim and Alawite communities, al-Baath University is one of the few social spaces outside of the military where members of these two religious communities meet. For the Sunni Muslim refugee students we spoke with, they could recall a moment in the conflict, corresponding to the fierce Spring 2012 Battle of Baba Amru, when they became more conscious and aware of the importance of the difference between themselves and their Alawite classmates. This awareness was accompanied by fear and distrust. It is unclear if Syrian universities can recover their former role of providing a space where different groups can interact, though the hope certainly remains that they can serve as a platform for reimagining post-conflict Syrian society.

    #Syrie
    #enseignement_supérieur
    #université
    #réfugiés

  • Quelle justice pour l’accès à l’enseignement supérieur ?

    Les députés ont voté hier des mesures censés favoriser une plus grande justice dans l’accès aux filières sélectives de l’#enseignement supérieur que sont les classes #prépas et les #IUT
    http://www.lemonde.fr/enseignement-superieur/article/2013/05/24/classes-prepas-des-droits-d-inscription-et-un-droit-d-acces-pour-les-meilleu

    http://www.lemonde.fr/enseignement-superieur/article/2013/05/24/les-deputes-imposent-aux-iut-des-quotas-de-bacheliers-techno_3416678_1473692

    Ca semble a priori aller dans le bon sens (même si on peut craindre l’usine à gaz). Sur les IUT, on peut rappeler ce qu’avait mis en évidence l’économiste Olivier Bouba-Olga
    http://blogs.univ-poitiers.fr/o-bouba-olga/2013/03/09/au-fait-combien-de-lyceens-allons-nous-sacrifier-cette-annee

    Dans l’ensemble de leurs effectifs, les IUT ont accueillis 69% de bacs généraux, 28% de bacs technologiques et 3% de bacs professionnels. Tout va bien… Côté STS, les chiffres sont de 21%, 52% et 27%. C’est mieux quand même, mais bon…
    Le point essentiel de mon billet n’est cependant pas là : il est plutôt du côté des bacs technologiques et des bacs professionnels qui, encore une fois, ne sont pas retenus dans ces filières courtes qui leur sont destinées, qui vont se retrouver sur les bancs de la fac et vont échouer, avec une probabilité de 1, au mieux de 0,99. Autant de lycéens sacrifiés, donc.

    http://blogs.univ-poitiers.fr/o-bouba-olga/2013/03/10/la-reussite-des-bacs-professionnels-et-des-bacs-technologiques-a

    On y apprend également que dans l’ensemble des bacs professionnels ayant demandé d’entrer en STS en 1er voeu, seuls 43,3% ont été retenu. Soit près de 45000 bacs professionnels qui n’y accèdent pas. Pour les bacs technologiques souhaitant aller en IUT, les ratios sont un peu meilleurs : 61% de ceux ayant émis comme 1er voeu d’aller en IUT y accèdent. Cela fait cependant 7505 lycéens souhaitant y accéder mais n’y accédant pas. C’est pour une bonne part ces bacheliers que l’on retrouve à l’Université hors IUT.
    Dans son intervention, Geneviève Fioraso insiste sur la nécessité de donner la priorité aux bacs technologiques en IUT et aux bacs professionnels en STS. Je souhaite vivement qu’elle y parvienne. Très rapidement. Ce serait bien pour les dizaines de milliers de lycéens qui, sinon, vont échouer sur les bancs de la fac.

    J’ai malgré tout noté des réactions navrées sur Twitter
    https://twitter.com/adelaigue/status/337855861533863936
    https://twitter.com/adelaigue/status/337855989703405568
    https://twitter.com/RemiMathis/status/337862182345768960

    A suivre...

    #universités #égalité

  • Anglais à l’Université : les pour, les contre, les faits
    Sylvestre Huet rend compte sur son blog de l’étude que l’Ined vient de pré-publier (en raison du contexte !) sur les #langues de #recherche et d’#enseignement en France. Pas vraiment de surprises.
    http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2013/05/loi-fioraso-les-vrai-chiffres-de-langlais-à-luniversité.ht

    Le principal résultat est que le français est totalement marginalisé dans les pratiques de recherche des #sciences de matière, de la nature et en mathématiques. Il atteint au mieux 5% comme langue dominante. L’anglais est exclusif dans des proportions allant de 50 à 69% et dominant de 85 à 98%. Le français ne surnage qu’en sciences humaines et sociales, avec une position dominante à 27% en sciences humaines et 15% en sciences sociales...

    9% des universitaires et chercheurs disent avoir donné des cours en anglais en 2007-2008 de manière régulière et 17% « à l’occasion », au total le quart des sondés

    S. Huet prend résolument le « parti de l’anglais », rejoignant globalement les arguments avancés par David Monniaux dans une tribune parue dans Libé et reprise sur son blog.
    http://david.monniaux.free.fr/dotclear/index.php/post/2013/05/22/Tribune-dans-Libération-sur-l-usage-des-langues-dans-la-recherch

    Personne ne propose d’enseigner en anglais dans toutes les #formations universitaires et à tous les niveaux — ce qui serait de toute façon impossible étant donné les capacités linguistiques des bacheliers. En revanche, ce dont nous avons besoin, c’est d’autoriser des formations spécialisées, de haut niveau, notamment les masters de recherche, les doctorats, à s’adapter aux langues effectivement pratiquées par nos partenaires étrangers, et ce officiellement et non par des tolérances honteuses.

    La #culture et la langue françaises sont des richesses dont le monde doit profiter. Leur rayonnement ne se fera pas par les tracasseries légales, mais par l’attrait de nos #universités et de notre pays.

    A l’opposé, le Parti de Gauche dit « Non à l’atlantisme linguistique de Geneviève Fioraso » (sic)
    http://www.lepartidegauche.fr/actualites/communique/non-l-atlantisme-linguistique-genevieve-fioraso-23267

    Pour le PG, cette disposition

    est révélatrice de la vision purement – et faussement - utilitariste qu’a le gouvernement de l’Université et du travail scientifique.

    On ne peut expliquer un tel reniement que par des raisons idéologiques, par un atlantisme linguistique qui accompagne une aspiration à la servitude volontaire vis-à-vis du monde anglo-saxon, caractéristique notoire des « élites » françaises

    On se désole quand même d’un tel chauvinisme...

    L’étude de l’Ined (réalisée par François Héran) est consultable ici http://www.ined.fr/fr/ressources_documentation/publications/pop_soc/bdd/publication/1645

    • Aucune objection à ce que cela se fasse dans les universités privées, non-financées par l’impôt.

      S’il s’agit de fournir à la machine capitaliste mondialisée une main d’oeuvre délocalisable, le minimum serait que les capitalistes en financent l’élevage et la formation.

  • L’#anglais à la fac : une polémique absurde
    http://fr.myeurop.info/2013/05/21/l-anglais-a-la-fac-une-polemique-absurde-8887

    Ludovic Clerima

    Vrai débat ou fausse polémique ? L’#enseignement de certains cours en anglais à l’université met le monde de l’éducation en émoi. Une pratique pourtant courante dans les autres pays de l’Union européenne.

    Geneviève #Fioraso tire les académiciens de leur léthargie. lire la (...)

    #Société #INFO #Politique #Europe #France #ministre_de_l'enseignement_supérieur #université