• Drôme : couvre-feu à 18h dès mardi 12 janvier 2021, le ras-le-bol monte !
    https://ricochets.cc/Drome-couvre-feu-a-18h-des-mardi-12-janvier-2021-le-ras-le-bol-monte.html

    La colère gronde sur les réseaux sociaux, et même dans les commentaires des posts préfectoraux qui annoncent des restrictions supplémentaires de déplacement avec ce couvre-feu avancé à 18h à partir de mardi 12 janvier 2021. Pour différents motifs, de plus en plus de gens en ont plus qu’assez de subir des directives d’en haut qui tombent sans qu’ils soient consultés, sans qu’ils participent aux décisions de près ou de loin, sans que ces mesures correspondent vraiment aux contraintes du quotidien. Assez de (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...

  • Covid-19 (épisode 21) : Les indicateurs vont dans le bon sens au mois de décembre
    https://ricochets.cc/Covid-19-episode-21-Les-indicateurs-vont-dans-le-bon-sens-au-mois-de-decem

    Sur la courbe du nombre de nouveaux cas par jour (ci-dessous) on voit la position du couvre-feux de 20 heures. Concernant le nombre de nouvelles hospitalisations par jour (ci-dessus), cela diminue de 1220 le 8 décembre à 1080 le 5 janvier. Concernant les nouvelles personnes en réanimation par jour (ci-dessous)le nombre n’a pas changé à 167 , du 8 décembre au 6 janvier. Concernant le nombre de décès par jour (ci-dessus), on voit que cela diminue régulièrement de 350 le 1 décembre à 250 le 2 janvier. (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #coronavirus

  • Bruno Canard : « Demander un médicament dès le lendemain d’une #épidémie n’a aucun sens »

    Bruno Canard est directeur de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) à l’Université Aix-Marseille. Sa spécialité : les coronavirus. Alors que la course mondiale aux médicaments et aux vaccins contre le Covid-19 fait rage, il souhaite faire entendre la « colère légitime » des scientifiques de la recherche publique, dont le travail pour répondre à l’urgence sanitaire n’est pas, selon lui, suffisamment reconnu par les gouvernements. Trois questions à un chercheur engagé contre le désengagement des pouvoirs publics dans la recherche sur les virus émergents.

    Sciences Critiques − Comment expliquez-vous le désintérêt et le désengagement financier des pouvoirs publics européens et français pour vos recherches sur les coronavirus ? Et quelles en sont les conséquences, selon vous ?

    Bruno Canard − Le désintérêt n’est pas spécifiquement sur mes recherches sur les coronavirus, mais sur la recherche fondamentale en général, et la science fondamentale sur les virus émergents en particulier. Il y a plusieurs raisons à cela, qui prennent leur origine aux alentours de 2008-2009. La première, c’est la crise financière qui assèche les économies européennes. Il est décidé à ce moment-là qu’il est plus important de renflouer les banques immédiatement que n’importe quel autre secteur. Les budgets publics pour la recherche sont asséchés, le Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) est en permanence menacé de démantèlement.

    La deuxième raison, c’est l’apparition − certainement liée − des réseaux sociaux et de l’imposition, dans les mentalités, de la réaction émotionnelle immédiate à la place de la réflexion : il est davantage payant pour les politiques de montrer que l’on met des millions d’euros sur la table en réaction à une épidémie − comme cela a été fait pour H1N1, Ebola, Zika, etc. − plutôt que de les anticiper sur le long terme. Entre les deux, il n’y a pas le même bénéfice politique vis-à vis-du contribuable européen... En France, cette tendance lourde n’a pas été infléchie par les présidents successifs, de Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron, en passant par François Hollande, jusqu’à la crise due au Covid-19.

    Pour quelles raisons « la science ne marche pas dans l’urgence et la réponse immédiate », comme vous l’avez écrit ? Autrement dit, quelles sont les limites de la recherche scientifique face à une urgence sanitaire ?

    Dans les sciences de la vie, la recherche scientifique a pour vocation de découvrir les acteurs, les structures et le fonctionnement des éléments des cellules, des micro-organismes, des virus, et leurs interactions, leur implication dans les maladies, etc.

    En travaillant, entre autres, avec les chimistes médicinaux, les scientifiques fournissent les données qui permettent ensuite de faire des candidats-médicaments, dont l’industrie se charge enfin de la transformation en médicaments 1, en partenariat avec les cliniciens. L’unité de temps d’un cycle complet découverte-médicament est de l’ordre de 10 à 15 ans. Demander un médicament dès le lendemain d’une épidémie n’a aucun sens. Il y a, bien sûr, le repositionnement des médicaments existants. Mais, on l’a vu, rien de transcendant n’a été repositionné pour lutter contre le Covid-19, et probablement rien ne vaudra un médicament conçu spécifiquement pour un virus − et non pas recyclé d’une autre indication.

    En ce qui concerne les virus émergents, la seule possibilité raisonnable est un investissement sur le long terme dans la découverte du monde viral − ce qu’on appelle la « virosphère » − et la caractérisation scientifique à l’avance des membres les plus représentatifs des différentes familles. Car, à l’intérieur des familles virales, il y a des caractéristiques invariantes. Il est alors possible de transférer très rapidement les connaissances acquises sur un virus vers un autre.

    Un exemple : le virus de Zika émerge, c’est un frère jumeau du virus de la dengue. Une quantité impressionnante de données scientifiques accumulées sur la dengue se retrouvent alors tout à fait valables et utilisables. Il aura fallu 10 ans pour réaliser la structure tri-dimensionnelle de la machinerie de réplication − l’ARN polymérase − du virus de la dengue par cristallographie aux rayons-X alors que cette dernière a permis de faire celle du virus Zika en quelques mois. Ce n’est toutefois pas vrai pour les vaccins, car les éléments viraux produisant l’immunité ne sont souvent pas assez conservés dans la même famille virale. Ainsi, s’il y avait eu un vaccin contre le coronavirus de 2003, il est pratiquement certain qu’il n’aurait pas marché de manière satisfaisante contre le Covid-19.

    Comment la pandémie de Covid-19 a-t-elle, jusqu’à présent, et peut-elle, à l’avenir, transformer la recherche scientifique en France et en Europe ?

    Je ne vois aucun signe tangible de transformation. Or, il faut une volonté politique forte pour pouvoir anticiper les problèmes infectieux très en amont, en particulier via le soutien à la recherche fondamentale. En France, prenez la Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR), en cours d’élaboration. Cette loi ne s’attaque à aucune des faiblesses systémiques recensées depuis des années, en particulier concernant le soutien aux laboratoires et concernant les personnels Ingénieurs, Techniciens et Administratifs (ITA), qui font un travail absolument nécessaire pour que les chercheurs puissent travailler.
    Leur nombre a dramatiquement diminué ces dernières années. Ils sont remplacés par des précaires en contrats à durée déterminée. Ce qui fait qu’à chaque fin de contrat ou de projet de recherche, toute la mémoire, les protocoles, le savoir du laboratoire ne sont plus conservés ni transmis. Au lieu de cela, une augmentation de salaire est proposée aux chercheurs seulement. Or, il est très clair que les chercheurs « premiers de cordée » sont attirés d’abord par des conditions de travail satisfaisantes : ils deviennent alors productifs et compétitifs, et le salaire suit dans un second temps. Mais un premier de cordée ne viendra jamais s’installer dans un laboratoire qui n’a pas d’équipements ou de facilités techniques compétitives, même si vous lui doublez sa paie. Au bout de trois ans, il n’aura rien publié et il sera mort scientifiquement.

    En ce qui concerne les virus émergents, nous ne savons pas encore lequel apparaîtra après le Sars-Cov-2 et, donc, il est impératif de créer une agence de recherche sur les virus émergents dans laquelle les scientifiques soient mieux représentés. Ce sont eux, et non pas seulement les médecins et cliniciens, qui créent le terreau scientifique qui devient ensuite matière médicale et clinique. La France confond la recherche scientifique avec la recherche médicale. 3 Elle n’intègre pas assez les scientifiques en amont des décisions concernant la santé, alors que ces dernières dépendent beaucoup de champs disciplinaires comme la biodiversité, la chimie médicinale, la biophysique, etc., avant d’arriver au problème médical proprement dit.

    https://sciences-critiques.fr/bruno-canard-demander-un-medicament-des-le-lendemain-dune-epidemi
    #épidémie #médicament #covid-19 #coronavirus #vaccins #urgence_sanitaire

  • Et si on arrêtait de subir l’agenda de l’état d’urgence sanitaire gouvernementale ?
    https://ricochets.cc/Et-si-on-arretait-de-subir-l-agenda-de-l-etat-d-urgence-sanitaire-gouverne

    Au lieu de guetter les nouvelles heures de couvre-feux, les annonces du régime sur l’ouverture ou la fermeture de tel ou tel commerce, de guetter l’accélération de la distribution des nouveaux vaccins ou les mutations du coronavirus, de craindre les confinements partiels ou totaux, de râler contre les interdictions de circulation ou les nouvelles amendes aux petits oignons, on pourrait commencer à reprendre nos vies en main. Ok il y a des nécessités de vie et de travail, mais au delà de ça on n’est (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, Révoltes, insurrections, débordements...

    #Révoltes,_insurrections,_débordements...
    https://blogs.mediapart.fr/caroline-tigeot/blog/060121/nous-sommes-dans-une-impasse

  • LE VIRUS FAIT CORPS EN NOUS-MÊME

    Le virus n’est pas un ennemie envahisseur à combattre et à vaincre, car c’est perdu d’avance. Des virus il y en a partout, on en a des millions dans le corps, ils sont en nous-même et on apprend toujours à vivre avec. Vouloir les combattre c’est se détruire.


    Le danger de l’épidémie n’est pas la contagion mais la peur et la psychose mortifère que les médias et les politicards génèrent. Ce n’est pas un problème de vaccins, de prolifération, de gouttelettes, de protection, de distanciation, de confinement, de restriction des libertés, de maintien de l’ordre et de répression, mais bien une question de vitalité, d’environnement propice, de prévention, de médicaments et de soins, de qualité des soins dans de bonnes conditions...


    Il s’agit maintenant de libérer la médecine de la corruption qui la gangrène, de libérer la recherche scientifique de l’emprise de la finance et de la main mise des trusts pharmaceutiques, d’émanciper la population de la dictature de l’État et de la marchandise par sa libération.


    Toujours ingouvernable


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    _#Coronavirus #Covid19 #Vaccins #Soins #Tests #PCR #OGM #Épidémie #Pandémie #Virus #Masques #Distanciation_

  • Les élevages de visons en Chine à l’origine du Covid-19 ? Les indices s’accumulent | Yann Faure et Yves Sciamma
    https://reporterre.net/Les-elevages-de-visons-en-Chine-a-l-origine-du-Covid-19-Les-indices-s-ac

    Et si la pandémie était née dans des élevages intensifs d’animaux à fourrure en Chine ? Le « chainon manquant » entre la chauve-souris et l’humain pourrait bien être le vison — le chien viverrin est également suspecté. Ceci expliquerait la volonté tenace de la Chine — premier producteur mondial de fourrure — de verrouiller l’information scientifique. Source : Reporterre

  • China blocks WHO while Covid conspiracy theories fly - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/01/china-blocks-who-while-covid-conspiracy-theories-fly

    China has yet to explain why it delayed approval for a World Health Organization (WHO) team of experts to visit the country, significantly at a time when state media publish claims that the coronavirus pandemic started elsewhere.The WHO team’s members were supposed to arrive in Beijing this week and possibly make a field visit to Wuhan, where Covid-19 cases apparently first emerged a little more than a year ago and before the disease began its lethal global spread. The unexpected delays triggered today rare criticism from WHO Director-General Tedros Adhanom Ghebreyesus, who said he was “deeply disappointed” by the delay in issuing visas for the team.Ghebreyesus said that the 10-member group could not enter China for an epidemiological survey of the novel coronavirus, a key part of the WHO’s endeavor to ascertain the likely origins of the respiratory disease.
    He said the infectious disease experts, led by food safety and zoonotic diseases scientist Peter Ben Embarek, were still waiting for their visas to travel to China.
    Reports indicate Embarek made a sortie to the country in July and convinced Beijing to open its doors to WHO personnel to conduct a prognosis probe.
    At the beginning of last year Chinese authorities closed Wuhan after a ‘viral pneumonia of unknown origin’ was reported. This year, the city has recovered and people crowded together for a New Year’s countdown. Chinese Foreign Ministry spokeswoman Hua Chunying said on Tuesday in response to a media question that she had “no new information” on the WHO team’s trip and itinerary. Instead, Hua reiterated Beijing’s latest line, first purveyed by Foreign Minister Wang Yi, that “more signs and studies worldwide” had suggested Covid-19 could have “multiple sources” and that the pandemic had erupted globally across “multiple locations” since the second half of 2019.Hua said related surveys have indicated a much earlier emergence of the pathogen in many more places than previously thought. She also hoped other countries could make “joint efforts” with the WHO to trace Covid-19 to its source. “We hope scientists can uphold professionalism and truth to find [Covid-19] origins worldwide, and that other countries can cooperate with and assist [the WHO] like what we have been doing since day one,” claimed Hua.
    While several WHO officials and experts like Embarek were indeed allowed into China in 2020, Wuhan was glaringly and constantly missing on their Beijing-approved itineraries.It’s not clear yet that the delay in the WHO expert team’s arrival reflects a change in policy by Beijing. In December, the state-run nationalistic Global Times revealed a WHO “advance team” could go to Wuhan in January to inspect a wet market trading in exotic wildlife in the city that is believed to be a possible origin of the virus.
    The paper also cited WHO officials as saying that all team members from Japan, Qatar, Denmark, Russia and others would first be put in quarantine in Beijing for 14 days. It added that an “open, fair” WHO investigation would help debunk the “mudslinging, fake news and conspiracy theories about the ‘China virus’” being spread by some American politicians, not least outgoing US President Donald Trump.

    #Covid-19#migration#migrant#chine#oms#pandemie#expert#circulation#visas#epidemiologie#originevirus

  • Nourolles de l’Épiphanie
    https://www.cuisine-libre.org/nourolles-de-l-epiphanie

    Les nourolles de l’Épiphanie sont une spécialité culinaire de la Manche. Faire dissoudre la levure dans un demi-verre d’eau tiède (environ 45°C). Préparer le levain. Ajouter un peu de farine. Malaxer le tout. Mettre le pâton à lever. Pendant ce temps, disposer la farine tamisée en fontaine dans un saladier. Ajouter le sucre, le sel et les œufs. Mélanger le tout. Incorporer le lait. Mélanger à nouveau. Pétrir la pâte en l’étirant et en la repliant sur elle-même jusqu’à obtention d’une pâte lisse et…

    #Brioches, Farine de blé, #Normandie / #Sans viande, #Four #Farine_de blé #Epiphanie

  • How modelling Covid has changed the way we think about epidemics | Coronavirus | The Guardian
    http://www.theguardian.com/commentisfree/2021/jan/04/covid-model-epidemic-collaboration-experiment
    https://i.guim.co.uk/img/media/00c5902c5c83fcee36c7e405c0e81c7810b62697/0_448_6720_4032/master/6720.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Outbreak research should ideally be fast, reliable and publicly available. But the pressures of real-time Covid-19 analysis – which many academics have done in their spare time without dedicated funding – can force difficult choices. Should researchers prioritise updating scenarios for governments and health agencies, writing detailed papers describing their methods, or helping others adapt the models to answer different questions? These are not new problems, but the pandemic gave them new urgency. In the US, for example, the most comprehensive Covid-19 databases have been run by volunteers. The pandemic has flagged inefficient and unsustainable features of modelling and outbreak analysis, and illustrated that there is a clear need for change.
    Alongside coverage of specific modelling studies, mathematical concepts have also become part of everyday discussions. Whether talking about reproduction numbers, lags in data, or how vaccines might protect the non-vaccinated through “herd immunity”, journalists have started to think more deeply about epidemic dynamics. Prior to the outbreak, I never thought I’d end up fielding media requests to discuss a statistical parameter such as “K”, which quantifies the potential for super-spreading.Unfortunately, there have been challenges with coverage too. Some modelling results – particularly in the early stages of the pandemic – were widely misinterpreted, like the headlines in March suggesting half of the UK might have already been infected. Throughout summer and autumn, research groups also had to contend with media critics who misled the public with claims that the pandemic was over, dismissing warnings about the potential for a large second wave. Given the European epidemic waves to date, there can be little doubt that in the absence of control measures, Covid-19 would have been catastrophic for our health systems. Across the world, populations altered their behaviour in response to growing epidemics, but the extent of this unprecedented shift – and its effect on spread – was extremely hard to predict at the start of last year. Although infections such as Ebola and Sars have previously spurred behaviour change, Covid-19 triggered shutdowns of society on a scale unseen since the 1918 influenza pandemic.
    As well as modelling the spread of disease, researchers have had to track the dynamics of social behaviour. Because of modern digital footprints, they have been able to do this in more detail than ever, providing unique insights into how individuals and communities respond to outbreaks. These behavioural changes, whether driven by explicit government policies or local awareness of infection risk, have in turn had complex social, economic and health impacts. Untangling such effects will no doubt be the subject of research far into the future.Covid-19 has cemented a growing trend for research teams that work across multiple aspects of disease dynamics, from modelling and epidemiology to immunology and human behaviour. In the UK, researchers involved in modelling the disease have set up studies of social interactions and infection levels within communities, with these datasets then feeding back into new models.
    As well as interdisciplinary links, there have also been new international connections. Political responses to the pandemic have been country-specific, but throughout 2020, scientific insights – including datasets, modelling results and code – have been shared and built upon by teams across multiple continents. Past epidemics have brought mathematical tools to new audiences, but the scale of Covid-19 has resulted in epidemiological ideas being exchanged across disciplines and borders as never before. If sustained, such collaborations and networks could be hugely valuable in tackling other global epidemic challenges in future.The events of last year have altered the dynamics of many diseases, beyond Covid-19, as seen in the disappearance of certain seasonal infections or the disruption of vaccination programmes. Had the pandemic not happened, I would have spent much of 2020 abroad, setting up studies of influenza, Zika and dengue. When these projects eventually resume, will we see smaller outbreaks than before, or belated large epidemics? The pandemic has created a tragic “natural experiment”, a once-in-a-century jolt to disease ecosystems that could produce unexpected insights into immunity, social behaviour, seasonal effects and evolution. We’ve learned a lot about Covid-19 in the past 12 months, but there’s much more that modelling will help us discover in the coming years.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#epidemiologie#modelisation#interactionsociales#reseau#immunité#pandemie

  • De bonnes questions posées sur les nouveaux vaccins (génétiques).
    https://ricochets.cc/De-bonnes-questions-posees-sur-les-nouveaux-vaccins-genetiques.html

    J’ai vu une vidéo de Christian Vélot qui me semble assez claire malgré la complexité du problème. Si je vous propose cette vidéo c’est que j’ai suivi des conférences de cette personne il y a quelques années et qu’il me semble honnête. La page wikipédia qui lui est consacré me semble correcte. La vidéo s’appelle : « Covid-19 Les technologies vaccinales à la loupe » 49 minutes. Concernant les vaccins génétiques,cette vidéo expose des problèmes (théoriques) qui peuvent toucher la personne vaccinée et qui (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #coronavirus

    https://www.youtube.com/channel/UCZhQopn--2UOjNVnXcSpuPA
    https://ricochets.cc/IMG/distant/html/watcht2166vt5f53-895fe7c.html

  • #Italie : la #justice retient le « #risque_Covid » pour offrir une #protection_humanitaire

    Le tribunal de Milan a estimé que les #risques_sanitaires liés à l’#épidémie de Covid auxquels est exposé un migrant dans son pays d’origine peuvent constituer un motif valable pour lui accorder une protection humanitaire.

    Dans une série d’#ordonnances rendues la semaine dernière, le #tribunal de Milan a stipulé que le risque de #contamination au Covid-19 peut permettre à un migrant de bénéficier d’une protection humanitaire. Une décision qui ne concerne que des migrants ne remplissant pas les conditions d’octroi du droit d’asile ou d’autres types de statuts.

    Le quotidien italien « Corriere della Serra » s’est fait écho, dimanche 27 décembre, de cette décision juridique dont l’application n’a rien d’automatique. Elle ne peut être prise qu’au cas par cas, après un examen visant à déterminer si le Covid-19 représente un facteur de risques supplémentaires dans le pays d’origine, en raison notamment de la fragilité du système de soin ou du manque de ressources alimentaires. En fonction du pays d’origine du demandeur, la justice doit donc évaluer les conséquences sociales et économiques de la pandémie.

    Le journal précise que ces ordonnances résultent de l’examen d’appels déposés contre la loi Salvini de 2018 – qui a été modifiée depuis – par des migrants provenant d’Afrique ou d’Asie qui se sont vus refuser l’asile. Prenant en considération l’épidémie actuelle, les juges ont estimé que ces migrants devaient tout de même pouvoir bénéficier d’une protection humanitaire au vu des difficultés provoquées dans leurs pays d’origine dépourvus, par exemple, d’équipements de réanimation.

    Selon le ministère italien de l’Intérieur, 34 001 migrants sont arrivés en Italie entre le 1er janvier 2020 et le 24 décembre 2020, soit pratiquement le triple du total d’arrivées enregistrées en 2019 (11 439 personnes). Les principaux pays d’origine des migrants sont la Tunisie (12 847), le Bangladesh (4 132), la Cote d’Ivoire (1 950), l’Algérie (1 458) et le Pakistan (1 358).

    #asile #migrations #réfugiés #coronavirus #covid-19 #protection

    ping @isskein
    via @karine4

  • Antoine FLAHAULT sur Twitter : « 1/4 - Il faut d’urgence éviter un fiasco en #France avec la campagne de #vaccination contre la #COVID19. Les jeunes, les restaurateurs, tous ceux qui souffrent aujourd’hui des conséquences de la crise sanitaire ne pourront pas accepter que les personnes âgées ne se vaccinent pas. » / Twitter
    https://twitter.com/FLAHAULT/status/1344337468842266629

    2/4 - Il faut simplifier les procédures de vaccination dans les #EPHAD.
    – Supprimer le consentement écrit (ce n’est pas un essai clinique mais un vaccin approuvé par l’EMA).
    – Rendre obligatoire la vaccination en EPHAD (comme elle l’est en crèche pour d’autres vaccins)

    • Parce qu’évidemment, le problème, c’est qu’il n’est pas obligatoire (on me susurre à l’oreille que le problème, c’est que la logistique n’est pas du tout au rendez-vous et qu’une fois de plus, le gvt est incapable de s’organiser).

      Comme on est plusieurs à le ressentir, cette histoire de défiance aux vaccins est un fumigène pour masquer l’énième incompétence fautive (et volontaire) de l’exécutif, qui ne souhaite pas gérer cette crise sanitaire, parce qu’elle va à l’encontre de tous ses principes, à savoir, l’état ne peut rien faire, ne doit rien faire, et il n’a pas de sous (pour le grand nombre).

      L’exécutif se fout des écoliers (ils ne votent pas, ils ne craignent pas le virus), des étudiants (ils votent mal), et des restaurateurs (ils ne sont pas bien nombreux), tout autant que des intermittents (ils votent mal).

      On a rarement pu constater aussi durement la malignité de ces gens que l’on nous impose à la tête de l’état...

    • Assez d’accord avec Grizzly.

      Note cependant : ce n’est pas que des « principes », c’est aussi une incompétence crasse. Il y a déjà un bout de temps, je me souviens que Georges Corm racontait à quel point, en quelques générations, les hauts fonctionnaires qu’il rencontrait étaient devenus de plus en plus incompétents à gérer quoi que ce soit. Parce qu’à l’école, ils n’apprenaient plus à organiser/gérer le pays, mais à rédiger des contrats pour confier tout ce qui relevait de l’État à des grosses boîtes privées.

    • C’est bien du fait du principe que l’on n’enseigne plus aux fonctionnaires qu’à contractualiser plutôt qu’à organiser .

      Dans les années 90, on avait accès aux publications de l’OCDE qui explicitaient les projets à mettre en œuvre. A l’époque, on nous présentait ça comme des suggestions , mais il fallait le lire comme une feuille de route . Ces publications existent-elles encore ? Je pose la question. Je ne les vois plus circuler dans nos réseaux...

      Il y a eu cette année un mouvement de fond qui mériterait d’être commenté. Ce mouvement, c’est la reprise en main des réactions à la pandémie. Au printemps, chaque pays occidental a suivi son chemin, plus ou moins dans son coin, plus ou moins efficacement, et en y mettant plus ou moins de conviction. A l’été, il n’était plus question de donner l’impression qu’il pouvait être possible d’organiser une suppression du virus. Tous les pays occidentaux se sont mis à ne plus rien faire... sauf le minimum syndical. Même les bonnes intentions de l’Italie ou de l’Allemagne pour la rentrée semblent avoir été mises de côté ou en tout cas mises en sourdines, voire sabotées.

      Ces gens qui nous gouvernent savent se rassembler et se mettre d’accord. Et à mon très humble avis, ils se sont mis d’accord pour ne rien faire de sérieux quant à la suppression du virus dans la sphère occidentale.

    • Philippe Froguel, @philippefroguel
      https://twitter.com/philippefroguel/status/1344374659773571072

      La situation française est tragique :

      1/ l’épidémie risque de flamber après les fêtes surtout https://seenthis.net/index.php?page=profilavec la variante anglaise https://seenthis.net/messages/893449

      2/ on a peu de doses de vaccins Pfizer et on n’arrive pas à les administrer contrairement au reste du monde

      3/ on n’aura pas le vaccin AZ [AstraZeneca] avant perpète car les anglais les gardent pour eux car eux ils ont décidé de vacciner tout le monde rapidement

      4/ le gouv n’a jamais prévu de vacciner plus de 20 millions de français, 1/3 Pfizer le reste AZ qui est loin d’être homologué en EU car AZ n’a pas déposé de dossier .

      5/ donc même si on réussit enfin a avoir un programme vaccinal efficace on n’aura de quoi vacciner vite que 5 à 7 millions de personnes les >75 ans et personne d’autre et donc l’épidémie continuera avec une mortalité certaine et des séquelles lourdes et des reconfinements