301 Turkish citizens living in Toronto were repatriated after a Turkish Airlines flight brought them back to Turkey - Dokuz8news
#Covid-19#Turquie#Rapatriement#Expatriés#Pandémie#Quarantaine#migrant#migration
301 Turkish citizens living in Toronto were repatriated after a Turkish Airlines flight brought them back to Turkey - Dokuz8news
#Covid-19#Turquie#Rapatriement#Expatriés#Pandémie#Quarantaine#migrant#migration
Turkey re-opens border with Iran, wants to boost trade - analysis - The Jerusalem Post
Iran’s Tasnim news says that the land border with Turkey at Bazargan has re-opened to allow 60 trucks a day to cross. Iran has been suffering under sanctions, but it wants to increase trade with Ankara. Over the years, Iran has worked closely with Turkey on trade.
▻https://www.jpost.com/middle-east/turkey-re-opens-border-with-iran-wants-to-boost-trade-analysis-627365
#Covid-19#Moyen-Orient#Turquie#Iran#Frontière#Economie#Expatrié#Commerce#migrant#migration
After weeks of waiting, Lebanese citizens in Syria return home - North Press Agency
On Thursday, about 100 Lebanese citizens left Syria heading to Lebanon after more than 7 weeks of border closing due to coronavirus, though not all of the applicants have been able to leave yet.
The Syrian government exceptionally opened the al-Masn’a and al-Aboudiyah border crossings north of Damascus on Thursday for Lebanese citizens to leave for their country. Lebanese health teams conducted PCR tests while Lebanese security forces took them to the quarantine centers
▻https://npasyria.com/en/blog.php?id_blog=2479&sub_blog=12&name_blog=After+weeks%20of%20waiting,%20
#Covid-19#Moyen-Orient#Liban#Syrie#Frontière#Expatrié#Retour#migrant#migration
La ville italienne de Prato s’est protégée du Covid-19 grâce à sa communauté chinoise | Euronews
#Covid-19#Italie#chinois#Expatriés#confinement#migrant#migration
▻https://fr.euronews.com/2020/05/03/la-ville-italienne-de-prato-s-est-protegee-du-covid-19-grace-a-sa-commu
La ville de Prato en Toscane est la capitale italienne du textile. 20% de la population y est d’origine chinoise, notamment des commerçants.
Over 28,000 returnees from abroad in quarantine- Hurriet News
A total of 28,700 citizens are in isolation at dormitories across 76 provinces, said Youth and Sports Minister Mehmet Kasapoğlu
#Covid-19#Turquie#Centre_de_Quarantaine#Rapatriement#Expatriés#Pandémie#Quarantaine#migrant#migration
▻https://www.hurriyetdailynews.com/over-28-000-returnees-from-abroad-in-quarantine-154418
More than 1,300 citizens return to Turkey amid COVID-19 travel bans - DuvaR English
Some 1,318 Turkish citizens were transported back to Turkey during travel bans that aim to slow the spread of COVID-19. The citizens had been stranded in Iraq, Germany, Spain, Egypt and Ireland. The passengers will remain under quarantine for 14 days.
#Covid-19#Turquie#Expatriés#Santé#Quarantaine#Logement#expulsion#Camp#migrant#migration
▻https://www.duvarenglish.com/health-2/coronavirus/2020/04/21/more-than-1300-citizens-return-to-turkey-amid-covid-19-travel-bans
Coronavirus : en Afrique, ces touristes et expatriés qui veulent rentrer en France
▻https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/03/20/coronavirus-en-afrique-ces-touristes-et-expatries-qui-veulent-rentrer-en-fra
Aliyah to Israel Still Possible – but Only After Two Weeks in ‘Coronavirus Hotels’- Haaretz
Jewish Agency says new olim will have to go to either absorption centers or special quarantine hotels; group of 22 Americans still on scheduled to make aliyah this May
#Covid19#Israel#Quarantaine#Americains#Expatriés#Aliyah#migrant#migration
▻https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-aliyah-to-israel-still-possible-but-only-after-2-weeks-in-coronavi
US citizens in Lebanon decline repatriation offer, saying it’s ’safer’ in Beirut- CNN
After Lebanon closed its borders on March 19 to stem the spread of the global pandemic, she began furnishing her rooftop terrace. Her time in Beirut, she realized, would be indefinite. “I made that decision for a combination of personal reasons and calculations about the virus that we’re all making,” says Fuglei. “I think that I am probably safer here.”
#Covid19#Liban#CitoyensAmericains#Expatriés#migrant#santé#migration
▻https://edition.cnn.com/2020/04/09/middleeast/us-citizens-lebanon-coronavirus-intl/index.html
Rapatriement : une « première vague de 10 000 » Libanais devraient rentrer entre le 5 et le 12 avril
#Covid-19#Liban#Expatriés#Rapatriement#migrant#migration
▻https://www.lorientlejour.com/article/1212772/rapatriement-une-premiere-vague-de-10-000-libanais-devraient-rentrer-
5 livres sur l’expatriation recommandés par une expat
J’avoue que la frontière entre “expat” et “migrant” est parfois floue. Les nuances sociales et politiques sont nombreuses et souvent problématiques. Pour moi, un expatrié est tout simplement quelqu’un qui choisit de vivre dans un autre pays pendant un certain temps sans avoir l’intention de devenir un citoyen à part entière ou de s’intégrer pleinement à la culture locale. Un migrant, en revanche, est une personne qui s’installe dans un autre pays avec l’intention d’y construire sa vie, de manière définitive.
▻https://www.courrierinternational.com/article/litterature-5-livres-sur-lexpatriation-recommandes-par-une-ex
#mots #terminologie #migrations #expat #vocabulaire #expatrié #catégorisation
ping @sinehebdo
La discussion sur le vocabulaire pour décrire #migrants et #réfugiés est là :
►http://seenthis.net/messages/414225
Les Français, ces migrants dont on parle peu
Qui sont les Françaises et les Français qui partent s’installer, pour des durées variables, dans un pays du #Maghreb ?
Alors que le langage courant les qualifie tour à tour de « #retraités », d’« #expatriés », d’« #entrepreneurs » ou de « #binationaux », les spécialistes des migrations internationales s’y intéressent peu. Cela est particulièrement vrai en France où le champ d’études s’est constitué autour du « problème de l’immigration », en se concentrant longtemps sur la figure emblématique du « travailleur immigré » comme le rappelle le sociologue Abdelmalek Sayad.
Or les recherches que nous menons depuis plusieurs années au sein du programme Mobilités Nord-Sud montrent que la majorité des expériences individuelles de migration se situent à la croisée de logiques économiques, identitaires, hédonistes ou sentimentales.
Des migrations peu connues
Sous couvert d’une « mobilité » banalisée parce que privilégiée, l’estimation fiable de ces déplacements est difficile. Les sources statistiques locales ne sont pas systématiquement mises à jour et les chiffres fournis par les services consulaires français restent lacunaires. Les plus récents font état de 119 147 Français inscrits en Afrique du Nord dont 23 324 en Tunisie, 41 780 en Algérie et 54 043 Maroc. Plus des deux tiers seraient des bi-nationaux selon le dernier Rapport du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
En raison du caractère facultatif de l’inscription auprès de représentations nationales à l’étranger, ces données ne sont qu’indicatives. Au Maroc, par exemple, le nombre de ressortissants français non-inscrits oscillerait entre 25 000 et 40 000 selon les sources ou comme le rapporte la sociologue Chloé Pellegrini.
Concernant les parcours de ces individus, une enquête effectuée en 2013 par la Direction des Français à l’étranger a montré que 6 % des 1 610 000 individus inscrits au registre mondial des Français établis hors de France résident dans l’un des trois pays du Maghreb. Si pour les autres destinations, la durée moyenne de résidence est comprise entre 1 à 5 ans, 42 % des Français présents au Maghreb y vivent depuis au moins 10 ans.
Par ailleurs, si 48,7 % indiquent séjourner en Afrique du Nord pour des raisons familiales ou personnelles, seulement 28,7 % le font pour des raisons professionnelles. Or, nos enquêtes mettent plutôt en garde contre la séparation du personnel et du professionnel, attirant l’attention sur les points de convergence entre l’un et l’autre.
Expatriation, tourisme, retour : des catégories réductrices
Derrière l’opacité statistique se donne à voir l’hétérogénéité et le dynamisme de ces mobilités. Les catégories traditionnellement utilisées – expatriation, tourisme, retour – montrent ici leurs limites. Non seulement ces termes demeurent le plus souvent approximatifs, mais aussi, dans certains cas, stigmatisants.
Ainsi en est-il, par exemple, du mot « expatrié », dit familièrement « expat ». Sur le plan juridique, il s’agit de professionnels missionnés par leur État de tutelle, ou par une entreprise, qui leur assure un système de protection spécifique et des ressources matérielles conséquentes dans l’exercice d’une fonction à l’étranger (voir la définition du Larousse, les sites service-public et diplomatie.gouv.fr).
Dans le langage courant, l’expression « expatrié » ne désigne toutefois pas uniquement ces professionnels, mais s’étend à tout ressortissant français vivant au Maghreb, et, plus largement, à toute personne issue d’un pays du « Nord » qui réside au « Sud ».
Un imaginaire chargé de connotations négatives
Il faut ajouter que l’imaginaire qui accompagne ce terme est à tel point chargé de connotations négatives, convoquant d’emblée le privilège, l’entre-soi, le désintérêt, voire le mépris pour la société locale, que bon nombre d’individus tiennent à s’en distancier.
Sophie, 38 ans, installée professionnellement en Tunisie depuis trois ans et dont le mari et les deux enfants sont restés vivre en France, fait par exemple valoir l’authenticité de son rapport à la société locale :
« Pour moi, l’idée ce n’est pas de vivre dans une tour d’ivoire, ce n’est pas ma façon d’être. Et si j’ai fait le choix d’être proche de la vraie vie, d’aller au marché trois fois par semaine, ce n’est pas juste pour le fun, c’est pour vivre sur le terrain, vivre avec la population, comprendre aussi la situation du pays. C’est même le choix aussi d’habiter à l’Ariana plutôt que dans les quartiers aisés au nord de Tunis. J’ai eu l’occasion de rencontrer des gens qui sont là depuis 10, 15 ans, qui sont dans des administrations françaises, qui ont une vision… Moi je préfère être dans des quartiers plus populaires, loin des plages ».
On retrouve les mêmes limites terminologiques à propos de ces Françaises et de ces Français qui passent la période hivernale dans les stations balnéaires ou les villes du Maroc et de Tunisie.
Le terme de « touriste » est difficilement applicable à celles et ceux qui, dans le cadre de logiques résidentielles plus autonomes, passent des saisons entières dans ces mêmes stations, voire s’y installent durablement pour ne plus faire que de brefs séjours dans leurs pays d’origine.
« La médina, c’est pour les touristes »
C’est aussi le cas des « camping-caristes », expression qui connaît d’année en année un succès grandissant au Maroc, ou plus largement des nombreux retraités qui choisissent, plus ou moins durablement, de s’implanter dans la rive sud de la Méditerranée.
La question de la durée et de la fréquence du déplacement, conjuguée à celle des formes d’installation, appelle ainsi à réinterroger la catégorie du tourisme et à penser ses continuums avec la migration. Au Maroc, par exemple, de nombreux Français s’installent dans le prolongement d’un séjour touristique, qui fut parfois très bref. Si les Marocains les appellent parfois « les touristes qui vivent ici », ces Français ne se reconnaissent pas comme tels et revendiquent bien être des « installés ».
Anne, gérante de café à Essaouira explique :
« J’ai visité un local hier qui m’a bien plu, où je pourrais faire de la cuisine, dans un autre quartier, à Azlef, où il y a beaucoup de résidents. Je ne veux plus être dans la médina, c’est pour les touristes ! Et, nous, les résidents, nous venons peu ici, même presque jamais. Je vise une clientèle de résidents, maintenant ».
Les « binationaux » en question
La mobilité des descendantes et descendants d’immigrés maghrébins en France – couramment appelé·e·s « binationaux » –, installé·e·s à divers titres dans le pays des origines de la famille, renvoie à une autre aporie des flux vers le Maghreb.
Régulièrement et maladroitement qualifié de « retour », ce type de mobilité est ramené d’office à l’expérience migratoire des parents, que les enfants parachèveraient en décidant de franchir le pas inverse.
Or, les acteurs démentent cette lecture circulaire et mettent plutôt en avant des logiques qui leur sont propres. Neila, journaliste sur la trentaine, habite à Alger depuis un an et demi au moment de notre rencontre. Fille d’un couple mixte franco-algérien, elle explique :
« J’ai fait ce choix-là mais j’avais jamais mis les pieds en Algérie avant de débarquer en avril 2012 donc c’est pas un retour ! Beaucoup me disent “tu es retournée en Algérie” mais vu que je ne connaissais pas le pays, ce n’est pas du tout un retour, c’était une vraie découverte. Bon, j’y suis partie pour plusieurs raisons. D’abord parce que j’avais ce projet en tête depuis longtemps, je voulais connaître l’Algérie. Et je me suis dit que je ne voulais pas connaître l’Algérie juste de passage parce qu’on raconte tellement de choses, tellement d’images, tellement de vécu… Et donc je me suis dit, la meilleure façon de connaître ce pays, c’est d’exercer mon métier de journaliste. Parce que ça m’ouvrirait, voilà, je connaîtrais la société, plusieurs milieux… donc j’ai cherché du travail. Parce qu’aussi j’arrivais à la fin d’un contrat et j’avais aucune opportunité sérieuse en France. »
Pour cette catégorie d’individus, il est clairement question d’une imbrication de facteurs où l’opportunisme professionnel rencontre éventuellement le souhait de mieux connaître ses origines et, plus rarement, de dépasser les situations de racisme et de discriminations vécues dans l’hexagone.
Ajustements et nouveaux caps
La situation de départ initiale fait parfois l’objet d’ajustements qui dessinent un nouveau cap. Sébastien, 37 ans, avait été envoyé à Alger en tant que salarié d’un groupe français détaché en Italie. Les possibilités du marché conjuguées à une qualité de vie somme toute agréable l’ont poussé à revoir son installation et à créer sa propre société.
D’autres se heurtent à des phénomènes de précarisation, dont les formes, très variables, imposent parfois un retour en France ou un départ vers un autre ailleurs. C’est le cas d’Alice, 19 ans, qui vit au Maroc depuis un an au moment de l’entretien. Elle travaille dans une boutique tenue par une Française pour un salaire marocain (2 500 dh soit 250 euros par mois) et ne sait pas si elle pourra rester, n’ayant pas les moyens de créer sa propre entreprise.
Le renouvellement des opportunités professionnelles, une rencontre amoureuse, l’appartenance à un réseau d’interconnaissances, l’amélioration de la qualité de vie, ou encore le sentiment de pouvoir accéder à une mobilité sociale ascendante constituent autant de facteurs susceptibles de reconfigurer (positivement) les parcours migratoires.
S’intéresser à ces expériences permet d’interroger les trajectoires maghrébines des Françaises et des Français au-delà des stéréotypes et des idées reçues qui les devancent et au sein desquels l’assignation à la dimension du privilège s’impose le plus souvent.
▻https://theconversation.com/les-francais-ces-migrants-dont-on-parle-peu-116384
#émigration #France #migrations #vocabulaire #terminologie #mots #migrations_nord-sud #catégories #catégorisation #imaginaire #tourisme
Intéressant à comparer avec les mots qui qualifient les migrants sud-nord, où l’on parle plus rarement de binationaux...
Ajoutés à :
►https://seenthis.net/messages/414225
Il n’y a pas de #migrants_français, juste des #expatriés. Il n’y a pas de #passeurs, juste quelques #médias, « entrepreneurs de mobilité internationale ». Ils n’ont pas de zodiacs, juste des stratégies marketing.
▻http://sms.hypotheses.org/5694
#expatriation, #expatrié, #passeur, #média, #migrant, #émigré, #émigration, #immigré, #immigration, #marketing, #stratégie, #commerce, #France, #promotion, #mobilité
Plusieurs articles abordent la question du #vocabulaire. Faut-il les appeler #migrants #réfugiés #sans-papiers #demandeurs_d_asile #exilés ? Compilation ici :
►https://seenthis.net/messages/414225
Une #app permet à la #police turque de surveiller les #expatriés #opposants d’Erdoğan
Recep Tayyip Erdoğan, l’autoritaire président turc, n’apprécie pas outre mesure qu’on pense différemment de lui. S’il est relativement facile de fliquer les opinions des citoyens en Turquie, c’est moins évident à l’extérieur du pays. C’est là qu’intervient l’application #EGM, un acronyme derrière lequel se cache #Emniyet_Genel_Müdürlüğü, la Direction générale de la Sécurité du pays.
Disponible sur iOS comme sur Android, cette app permet aux fans du chef de l’État turc de partager avec la police du pays les messages postés sur les réseaux sociaux par les opposants du régime originaires du pays, mais qui n’habitent pas en Turquie. Là où la parole est plus libre.
Ces dénonciations peuvent rendre la vie difficile aux expatriés dans leur pays d’accueil (les loyalistes d’Erdoğan sont très actifs pour défendre l’honneur de leur président, y compris en dehors de la Turquie), mais aussi lorsqu’ils décident de revenir en Turquie pour des vacances ou revoir des proches.
L’émission Report Mainz de la chaîne ARD rapporte (▻https://www.ardmediathek.de/tv/REPORT-MAINZ/Wie-Erdogan-Angst-und-Misstrauen-in-Deut/Das-Erste/Video?bcastId=310120&documentId=56370572) le témoignage d’un citoyen turc vivant en Allemagne qui a reçu des menaces après avoir posté sur Facebook un billet critique sur Erdoğan. Le harceleur a partagé une capture écran de l’app EGM avec le message en question :
Apple voudra-t-elle faire le ménage dans l’App Store et supprimer cette application ? La délation et le harcèlement ne font généralement pas bon ménage avec les règles de bonne conduite de l’App Store, et maintenant que l’affaire est médiatisée, il est possible que le constructeur veuille s’en débarrasser.
Reste qu’Apple n’est pas dans une position confortable, alors que la Turquie est un marché pour lequel le constructeur investit beaucoup. Erdoğan a menacé Apple d’un boycott cet été, suite aux pressions économiques de la Maison Blanche : « S’ils ont des iPhone, il y a des Samsung de l’autre côté, et nous avons aussi notre Vestel [un fabricant local, ndr] », a-t-il déclaré, bien qu’il soit un utilisateur d’iPhone lui-même1.
Cette histoire, « sortie » dans les médias allemands, intervient dans un contexte chargé pour les relations entre la Turquie et l’Allemagne, où vivent 3 millions de Turcs. Recep Tayyip Erdoğan est actuellement en visite officielle en Allemagne, qui a d’ailleurs remporté l’organisation du prochain Euro de football de 2024 au nez et à la barbe de… la Turquie.
#surveillance #Turquie #traque #Erdogan
cc @etraces @albertocampiphoto
A mettre en lien avec cette liste, malheureusement pas mise à jour depuis quelques mois, sur les nouvelles concernant des citoyens turques arrêtés à l’étranger après la tentative de coup d’Etat :
►https://seenthis.net/messages/677151
Avez-vous écouté Jean Amblard, paysan du Gers, entrepreneur social et humanitaire en Lettonie racontant sur France Inter la création d’une ferme pédagogique dans un village d’enfants de la campagne lettone ?
[Lettonie-Francija]
▻https://www.lettonie-francija.fr/ecouter-jean-amblard-depuis-la-lettonie-sur-france-inter-465
Avez-vous écouté Jean Amblard depuis la Lettonie sur France Inter ?
Coordinateur de formations pour adultes en agriculture biologique, animateur de projets de développement rural, créateur d’une ferme pédagogique dans un village d’enfants de la campagne lettone.
Son expérience à l’étranger dans un petit pays d’Europe est passionnante. En mars 2005 il ouvrait son journal sur le web depuis la Lettonie : un pays qui enchante ...
Comment un paysan gersois peut-il se retrouver un jour, à 54 ans, à la tête d’un projet de développement rural en Lettonie ? Car il s’agit bien, non pas de gérer une situation, mais d’en créer une. Et c’est là que tous ceux qui me connaissent vont commencer à comprendre. C’est une longue histoire que je vais essayer de vous raconter lorsque j’aurais un peu de temps, comme aujourd’hui par exemple ...
Écoutez-le échanger avec Philippe Bertrand l’animateur des Carnets de Campagne sur France -Inter ...
.../... La suite sur le blog du Paysan du Gers en Lettonie : ▻http://jeanlv.typepad.fr/mon_weblog/2005/03/index.html
#Lettonie, #Jean_Amblard, #français_à_l_étranger, #Gers, #expatrié, #Entrepreneur_social, #Carnets_de_Campagne, #france_inter, #agriculture_biologique,
De quoi la mobilité internationale des travailleurs qualifiés est-elle le signe ? Que le « pays va mal ? ». Pas si sûr…
►http://sms.hypotheses.org/10645
#mobilité, #économie, #expatriation, #expatrié, #carrière, #étranger, #erasmus, #international, #élite
Manchen Auslandsdeutschen wird die Teilnahme an der Wahl aus dubiosen Anforderungen verwehrt | Telepolis
▻https://www.heise.de/tp/features/Manchen-Auslandsdeutschen-wird-die-Teilnahme-an-der-Wahl-aus-dubiosen-Anforder
Auslandsdeutsche müssen mitunter eine „persönliche und unmittelbare Vertrautheit mit den politischen Verhältnissen in der Bundesrepublik“ nachweisen, wenn sie wählen wollen
Wer als deutscher Staatsbürger seit 25 Jahren im Ausland gewohnt hat, keinen ständigen Wohnsitz in Deutschland hat und nicht einmal drei Monate ununterbrochen in Deutschland gelebt hat, darf nach einer Gesetzesänderung von 2013 im Wahlrecht womöglich zeitweilig nicht mehr an den Wahlen in Deutschland teilnehmen. Zwar ist der Nachweis nicht mehr erforderlich wie zuvor, dass man drei Monate ununterbrochen in der Bundesrepublik Deutschland gelebt hat. Aber nun muss der Nachweis erbracht werden, dass Auslandsdeutsche eine „persönliche und unmittelbare Vertrautheit mit den politischen Verhältnissen in der Bundesrepublik“ besitzen, was auch zu heißen scheint, dass sie am „Kommunikationsprozess zwischen Volk und Staatsorganen“ teilnehmen.
Gabrielle Hecht. Uranium africain, une histoire globale | Cairn.info
▻http://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=AFCO_258_0181&WT.mc_id=AFCO_258
la disparité de traitement par les experts des ouvriers blancs et noirs – ces derniers ayant été exclus des études pendant longtemps à cause de préjugés raciaux. Une exclusion, certes, qui a contribué à l’invisibilisation des risques liés aux radiations pour les populations africaines, alors même que ces risques étaient rendus visibles lors des études sur les expatriés et les ouvriers européens.
L’une des qualités qui fait de ce livre une œuvre majeure est sans aucun doute l’information qualitative et quantitative que Gabrielle Hecht a pu repérer dans les archives des pays africains où elle a mené ses terrains de recherche : archives inédites pour la plupart
#livre (pas lu) #afrique #nucléaire #extractivisme
What’s the difference between a migrant and an expat?
Nepalis, Indians, Americans, Syrians and Pakistanis all have something in common: they were the top five migrant groups who received family-related visas to the UK in the year to March 2016. But while US citizens coming to join a family member who is already in Britain are often called “expatriates” or “expats”, the others are often portrayed as “migrants” – mainly because of the country of their birth.
▻https://theconversation.com/whats-the-difference-between-a-migrant-and-an-expat-69265#comment_1
#expat #expatrié #migrants #migrations #vocabulaire #terminologie #mots
Vu à #Genève, le 09.02.2017 :
#expats #diplomats #vocabulaire #migrations terminologie #volvo #voitures #expatriés #diplomates #luxe #riches #pauvres #richesse
cc @sinehebdo
Why the language we use to talk about refugees matters so much
–-> cet article date de juin 2015... je le remets sur seenthis car je l’ai lu plus attentivement, et du coup, je mets en évidence certains passages (et mots-clé).
In an interview with British news station ITV on Thursday, David Cameron told viewers that the French port of Calais was safe and secure, despite a “#swarm” of migrants trying to gain access to Britain. Rival politicians soon rushed to criticize the British prime minister’s language: Even Nigel Farage, leader of the anti-immigration UKIP party, jumped in to say he was not “seeking to use language like that” (though he has in the past).
Cameron clearly chose his words poorly. As Lisa Doyle, head of advocacy for the Refugee Council puts it, the use of the word swarm was “dehumanizing” – migrants are not insects. It was also badly timed, coming as France deployed riot police to Calais after a Sudanese man became the ninth person in less than two months to die while trying to enter the Channel Tunnel, an underground train line that runs from France to Britain.
The way we talk about migrants in turn influences the way we deal with them, with sometimes worrying consequences.
When considering the 60 million or so people currently displaced from their home around the world, certain words rankle experts more than others. “It makes no more sense to call someone an ’illegal migrant’ than an ’illegal person,’” Human Rights Watch’s Bill Frelick wrote last year. The repeated use of the word “boat people” to describe people using boats to migrate over the Mediterranean or across South East Asian waters presents similar issues.
“We don’t call middle-class Europeans who take regular holidays abroad ’#EasyJet_people,’ or the super-rich of Monaco ’#yacht_people,’” Daniel Trilling, editor of the New Humanist, told me.
How people are labelled has important implications. Whether people should be called economic migrants or asylum seekers matters a great deal in the country they arrive in, where it could affect their legal status as they try to stay in the country. It also matters in the countries where these people originated from. Eritrea, for example, has repeatedly denied that the thousands of people leaving the country are leaving because of political pressure, instead insisting that they have headed abroad in search of higher wages. Other countries make similar arguments: In May, Bangladesh Prime Minister Sheikh Hasina said that the migrants leaving her country were “fortune-seekers” and “mentally sick.” The message behind such a message was clear: It’s their fault, not ours.
There are worries that even “migrant,” perhaps the broadest and most neutral term we have, could become politicized.
Those living in the migrant camps near #Calais, nicknamed “the #jungle,” seem to understand this well themselves. “It’s easier to leave us living like this if you say we are bad people, not human," Adil, a 24-year-old from Sudan, told the Guardian.
►https://www.washingtonpost.com/news/worldviews/wp/2015/07/30/why-the-language-we-use-to-talk-about-refugees-matters-so-much
#langage #vocabulaire #terminologie #mots #réfugiés #asile #migrations #essaim #invasion #afflux #déshumanisation #insectes #expatriés #expats #illégal #migrant_illégal #boat_people #migrants_économiques
cc @sinehebdo
UN human rights chief denounces Sun over #Katie_Hopkins ’#cockroach' column
High commissioner launches scathing attack on tabloid columnist, comparing Hopkins’ migrant remarks with hate language used before Rwandan genocide
▻https://www.theguardian.com/global-development/2015/apr/24/katie-hopkins-cockroach-migrants-denounced-united-nations-human-rights-
#cafards
Ajouté là, avec du coup deux nouveaux mots-clé dans la langue de Katie Hopkins :
Why the #language we use to talk about #refugees matters so much
Adam Taylor, Washington Post, le 30 juillet 2015
►https://seenthis.net/messages/414225
The words we use matter—why we shouldn’t use the term ”illegal migrant”
Words have consequences, especially in situations where strong emotions as well as social and political conflicts are endemic. Raj Bhopal’s rapid response in The BMJ, in which he objected to the use of the phrase “illegal migrant” on the grounds that only actions, not persons, can be deemed “illegal”, merits further reflection and dissection.
Some people think that those who protest against this phrase are taking sides with migrants in conflict with the law, in a futile attempt to cover up what is going on. On the contrary: the very idea that a person can be illegal is incompatible with the rule of law, which is founded on the idea that everyone has the right to due process and is equal in the eyes of the law. Labelling a person as “illegal” insinuates that their very existence is unlawful. For this reason, bodies including the United Nations General Assembly, International Organization for Migration, Council of Europe, and European Commission have all deemed the phrase unacceptable, recommending instead the terms “irregular” or “undocumented”. It would be more than appropriate for the medical profession, given its social standing and influence, to do the same.
While people cannot be illegal, actions can: but here too, words have to be chosen carefully. For example, the overwhelming majority of irregular migrants have not entered the country clandestinely; they have either had their asylum application turned down, or have “overstayed” a visa, or breached its conditions. Moreover, it is never correct to label someone’s actions “illegal” before the appropriate legal authority has determined that they are. Until then, the presumption of innocence should apply. Due process must have been followed, including the right to legal advice, representation, and appeal—rights that the UK government, especially where migrants are concerned, has been only too willing to sacrifice on the altar of cost-cutting.
Even after an official determination that a person is residing unlawfully, we must have confidence in the fairness of the procedures followed before it is safe to assume that the decision was correct. This confidence has been badly shaken by the recent finding that almost half of the UK Home Office’s immigration decisions that go to appeal are overturned. In their zeal to implement the government’s policy of creating a “hostile environment” for people residing unlawfully, some Home Office officials appear to have forgotten that the rule of law still applies in Britain. People who had lived legally in the UK for decades have been suddenly branded as “illegally resident” and denied healthcare because they couldn’t provide four pieces of evidence for each year of residence since they arrived—even when some of the evidence had been destroyed by the Home Office itself. Hundreds of highly skilled migrants including doctors have been denied the right to remain in the UK because minor tax or income discrepancies were taken as evidence of their undesirability under the new Immigration Rules. A recent case in which the Home Office separated a 3-year-old girl from her only available parent, in contravention of its own policies, led to an award for damages of £50,000.
What of the medical profession’s own involvement? The 2014 Immigration Act links a person’s healthcare entitlement to their residency status. Health professionals in the UK are now required to satisfy themselves that an individual is eligible for NHS care by virtue of being “ordinarily resident in the UK,” the definition of which has been narrowed. In practice, this has meant that people who do not fit certain stereotypes are more likely to be questioned—a potential route to an institutionally racist system. They can instantly be denied not only healthcare, but also the ability to work, hold a bank account or driver’s licence, or rent accommodation. It is unprecedented, and unacceptable, for UK health professionals to be conscripted as agents of state control in this way.
Given the unrelenting vendetta of sections of the British press against people who may be residing unlawfully, it should also be borne in mind that such migrants cannot “sponge off the welfare state”, since there are virtually no benefits they can claim. They are routinely exposed to exploitation and abuse by employers, while “free choice” has often played a minimal role in creating their situation. (Consider, for example, migrants who lose their right of residence as a result of losing their job, or asylum seekers whose claim has been rejected but cannot return to their country because it is unsafe or refuses to accept them).
To sum up: abolishing the dehumanising term “illegal migrant” is an important first step, but the responsibility of health professionals goes even further. In the UK they are obliged to collaborate in the implementation of current immigration policy. To be able to do this with a clear conscience, they need to know that rights to residence in the UK are administered justly and humanely. Regrettably, as can be seen from the above examples, this is not always the case.
▻https://blogs.bmj.com/bmj/2018/10/02/the-words-we-use-matter-why-we-shouldnt-use-the-term-illegal-migrant
What’s the difference between a migrant and an expat?
Nepalis, Indians, Americans, Syrians and Pakistanis all have something in common: they were the top five migrant groups who received family-related visas to the UK in the year to March 2016. But while US citizens coming to join a family member who is already in Britain are often called “expatriates” or “expats”, the others are often portrayed as “migrants” – mainly because of the country of their birth.
▻https://theconversation.com/whats-the-difference-between-a-migrant-and-an-expat-69265
#migrations #asile #migrant #expat #catégorisation #terminologie #mots #vocabulaire #expatrié
cc @sinehebdo
On vit dans un drôle de monde ! Et il semblerait que « expatriés » et « migrants » ne vivent pas sur le même, si on croit le Courrier international...
Alors qu’ici on fait l’éloge de l’aide au départ dont rêvent les expats, pour les migrants provenant du Sud globalisé, c’est des aides au développement pour empêcher le départ qui sont mis en place !
Infographie. Ce qu’il faudrait faire pour aider les expats
En 2014, 91 % des personnes interrogées par l’institut Ipsos pour son enquête “Les Français et l’expatriation” déclaraient que si, parmi leurs proches, un jeune envisageait de partir vivre à l’étranger, elles l’encourageraient à le faire et 92 % qu’elles avaient une bonne opinion des Français qui partent vivre à l’étranger.
Cela signifie que nous sommes toujours des coloniaux dans nos têtes !
A propos de vocabulaire, je rappelle cette compilation :
►https://seenthis.net/messages/414225
Avec @reka on pense en faire un beau billet pour VisionsCarto, mais le temps... le temps...
@mona: quel enthousiasme! Cela va peut-être accélérer le processus!
:-)
@aude_v tu fais de l’anthropologie au japon alors ? :)