petite photo prise dans la salle qui introduit l’#exposition permanente du #Centre_du_Patrimoine_arménien (#CPA) de #Valence :
Sur l’expo :
▻https://www.le-cpa.com/expositions-1/parcours-permanent
petite photo prise dans la salle qui introduit l’#exposition permanente du #Centre_du_Patrimoine_arménien (#CPA) de #Valence :
Tewfik Hakem s’entretient avec le dessinateur américain Charles Burns, pour la sortie de sa BD, Dédales, aux éditions Cornélius.
▻https://www.franceculture.fr/emissions/le-reveil-culturel/charles-burns-rien-quen-montrant-trouve-une-maniere-de-faire-en-sorte-
Come face-to-face with Artemisia and her paintings in the first major exhibition of her work in the UK.
At a time when women artists were not easily accepted, Artemisia Gentileschi was exceptional. She enjoyed a long and successful career as a painter, spanning more than 40 years, and she was the first woman to gain membership to the artists’ academy – the Accademia delle Arti del Disegno – in Florence.
Around 35 works from public and private collections around the world come together to give a selective overview of Artemisia’s career: From her training in Rome, where she learnt to paint under the guidance of her father Orazio Gentileschi, to her time in Florence, where she established herself both personally and professionally, and the last 25 years of her life, during which she set up a studio in Naples and undertook a brief trip to London.
The exhibition features some of her best-known paintings and self portraits, as well as more recently discovered works, and gives visitors a unique chance to encounter Artemisia.
▻https://www.nationalgallery.org.uk/exhibitions/artemisia
#femmes_peintre #historicisation #art #femmes #exposition #musée
Le Jour des morts... Offrande et calaveras
►https://lavoiedujaguar.net/Le-Jour-des-morts-Offrande-et-calaveras
L’Association pour l’estampe et l’art populaire a le plaisir de vous inviter
à l’exposition « Le Jour des morts... à Paris ! Offrande et calaveras ».
Exposition ouverte tous les jours
du 31 octobre au 10 novembre 2019
de 15 à 20 heures
au 49 bis, rue des Cascades
Paris XXe (métro Jourdain)
Vernissage le jeudi 31 octobre à partir de 18 heures
Depuis 2001, ce sera la dix-huitième année consécutive que l’Association pour l’estampe et l’art populaire fête les morts à la manière mexicaine, il y aura une offrande ainsi que des gravures satiriques. Comme chaque année, le soir du vernissage, vous pourrez goûter la soupe mexicaine et boire à la santé des trépassés.
#Mexique #Paris #Jour_des_morts #calaveras #estampe #exposition
Fénéon à l’Orangerie
▻http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#orangerie
Après l’exposition « Félix Fénéon. Les arts lointains » (lire info) qui s’est tenue au musée du quai Branly, l’Orangerie rend hommage du 16 octobre au 27 janvier au critique d’art et collectionneur qui soutint avec force les peintres néo-impressionnistes. L’exposition « Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse » réunit « un ensemble exceptionnel de peintures et dessins de Seurat, Signac, Degas, Bonnard, Modigliani, Matisse, Derain, Severini, Balla, etc., des pièces africaines et océaniennes ainsi que des documents et archives. » Le terme « temps nouveaux » renvoie aussi au titre du journal anarchiste (Wikipédia - Gallica) fondé en 1895 par Jean Grave (biographie) et aux nombreuses brochures publiées (voir notices Cgecaf). Jeudi 7 novembre, le musée de l’Orangerie invite, de 19 h 30 à 23 heures, à (...)
Art et géographie
▻http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#art
Au Drawing Lab, 17, rue de Richelieu, Paris 1er (M° Palais-Royal ou Musée-du-Louvre), une exposition « Elisée, une biographie » réunit, du 13 octobre au 9 janvier, des oeuvres de Florentine et Alexandre Lamarche-Ovize. Elle « se concentre sur Elisée Reclus, le géographe libertaire, l’écrivain visionnaire, l’anarchiste voyageur, le pédagogue communard autour d’oeuvres colorées et vibrantes, paysages entre réel et imaginaire, et pour lequel la nature y prend une place importante. » Entrée libre.
Le MSK de Gand accueille la plus grande rétrospective jamais consacrée à Jan van Eyck Belga - 1 Octobre 2019 - RTBF
▻https://www.rtbf.be/info/medias/detail_le-msk-de-gand-accueille-la-plus-grande-retrospective-jamais-consacree-a
Le Musée des Beaux-Arts de Gand (MSK Gent ▻https://www.mskgent.be/fr/home ) mettra le peintre Jan van Eyck à l’honneur à l’occasion de la plus grande rétrospective jamais consacrée au maître flamand. L’exposition intitulée « Van Eyck. Une révolution optique » rassemblera en effet du 01 février au 30 avril 2020 plus de 100 peintures, miniatures, sculptures et dessins de la fin du Moyen-Age réunis grâce à la collaboration des plus grands musées belges et internationaux, indiquent mardi les promoteurs de l’exposition dans un communiqué.
Avec dix oeuvres de Van Eyck lui-même, plusieurs oeuvres de son atelier et une bonne centaine de fleurons internationaux de l’art de la fin du Moyen-Age, le MSK entend « faire vivre au visiteur une expérience tout à fait unique, qui rendra le monde de Van Eyck et le regard révolutionnaire qu’il portait sur celui-ci plus tangibles que jamais », expliquent les organisateurs de cette vaste rétrospective.
Concrètement, l’exposition sera centrée sur les huit volets extérieurs restaurés du polyptyque de « L’Adoration de l’Agneau mystique », prêtés exceptionnellement par la cathédrale Saint-Bavon de Gand. Le musée présentera également à côté des panneaux du célèbre retable pas moins de 9 peintures sur panneau ainsi qu’un livre d’heures illustré par le maître flamand.
A cela s’ajoutent d’importantes oeuvres provenant de l’atelier de l’artiste ainsi que des copies du XVe et du XVIe siècle de tableaux du peintre flamand dont les originaux ont disparu au cours des siècles. Plusieurs oeuvres de contemporains voisineront par ailleurs aux côtés de celles du maître.
L’exposition entend enfin démêler « le vrai du faux à propos de l’artiste et inscrire sa technique, son oeuvre et son influence dans une perspective nouvelle. »
L’Institut Royal du Patrimoine Artistique a réalisé un important travail de numérisation de l’oeuvre de Van Eyck, accessible au grand public via un site internet.
▻https://images.mskgent.be/settings/hero/MSK_HOMEPAGE_VE_NL_datum.jpg?auto=format&fit=max&h=1080&ixlib=php-1.1
#Jan_Van_Eyck #Art #Peinture #Gand #Exposition #Moyen_âge #Histoire #Culture
Sammy Baloji – interview: ‘I’m not interested in colonialism as a thing of the past, but in the continuation of that system’
▻https://www.studiointernational.com/index.php/sammy-baloji-im-not-interested-in-colonialism-as-a-thing-of-the
Sammy Baloji – interview: ‘I’m not interested in colonialism as a thing of the past, but in the continuation of that system’
The Brussels-based Congolese artist talks about the past and present of colonialism and mineral extraction in the context of his recent exhibition at Salzburg’s Stadtgalerie Museumspavillon, Salzburg Summer Academy
#néo-colonialisme #continuum #extractivisme #Sammy_Baloji #art #exposition
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How is history reflected in landscape? How does an object give evidence of its own transformations, and how do these become visible? Sammy Baloji’s exhibition in Salzburg enquires how history is inscribed in artefacts and landscapes. The exhibition shows traces left by mining in the province of #Katanga, rich in raw materials, in the Democratic Republic of #Congo. Starting from the exploitation of natural resources in this region, Baloji examines processes of abstraction and transformation. Geological maps become abstract compositions when separated from their legends. The habit of a mineral is no longer recognisable in its geometric form. Photographs of rugged landscapes give only an indirect suggestion of human bodies that have laboured there. Even copper shell casings can be unresistingly turned to decorative account as flower vases.
Thus the historical living conditions and work processes in the mining region are rendered invisible. The power exerted by global value-chains, operative here, is lost in perfectly alluring images and objects that negate their origin. The traces of mining in Salzburg are still clearly evident in the landscape and in the wealth of the town – though quite differently from those left in Katanga. Without suggesting direct parallels, the exhibition invites the viewer to take a close look at landscapes, and asks how images and objects operate as bearers of testimony.
ping @albertocampiphoto
What I found particularly interesting in this article is how Salmmy Baloji made art about copper mining in Katanga relevant for a city like Salzburg, thereby drawing connections between, what many believe to be, incomparable cities.
#Piazza_della_Vittoria, Bolzano
En me promenant à #Bolzano en mai 2019, voici ce que je vois :
Piazza della vittoria, già Piazza della Pace
(Place de la #victoire, déjà Place de la #paix)
Je suis évidemment intriguée... pourquoi passer de la paix à la victoire ? Victoire de qui ? Paix pour qui ?
Le #monument sur ladite place est aussi très imposant et impressionnant... et par son #architecture on comprend vite quand il a été érigé...
Petit tour sur wikipedia, qui nous dit que le monument a été construit entre 1926 et 1928.
#Monumento_alla_Vittoria :
▻https://it.wikipedia.org/wiki/Monumento_alla_Vittoria_(Bolzano)
#Siegesdenkmal
Vous pouvez découvrir l’histoire du monument sur la page wikipedia.
Je voulais aussi signaler un passage autour de ce monument dans le #livre de #Alessandro_Leogrande, « #La_frontiera » :
«A Bolzano li chiamano ancora ’relitti fascisti’. Sono tutti quei musolei, palazzi, cimeli che ricordano il ventennio mussoliniano. Il relitto fascista per eccellenza è il monumento realizzato da #Marcello_Piacentini nel 1928 per celebrare la vittoria italiana nella Grande guerra e per rimarcare, com’è scritto in latino a caratteri cubitali sulla facciata, che ’hic patriae fines siste signa, hinc ceteros excluimus lingua legibus artibus’. E, cioè, che non solo qui sono fissati i confini della patria, ma che proprio ’da qui’ educammo ’gli altri’ con la lingua, le leggi, le arti.
Per decenni ’gli altri’, cioè la comunità germanofona cui il fascismo aveva impedito di usare la propria lingua, hanno visto nel monumento il simbolo più eclatante dell’usurpazione e dell’occupazione. Ed eclatante il monumento di Piacentini lo è davvero. Non solo perché, con grande dispendio di marmo bianco, s’alza in stile littorio fino a dominare un’ampia porzione d’abitato, proprio nel punto in cui era stata avviata la costruzione di un altro monumento, prontamente demolito, in memoria dei caduti del reggimento austriaco #Kaiserjäger. Non so perché appare del tutto fuori luogo rispetto al territorio circostante, al paesaggio, all’architettura tradizionale, con lse sue quattordici colonne a forma di fascio che reggono un’imponente architrave. Ma anche perché è stato il cardine della mutazione urbanistica della città. Una mutazione imposta dal fascismo, che culmina, al termine di una serie di strade che ricordano i ’trionfi’ nazionali, nella piazza del Tribunale.
Il Monumento è stato sempre percepito come la punta dell’iceberg di una frattura più ampia. D’altro canto, la destra italiana l’ha sempre difeso come un ’proprio’ simbolo, anche in età repubblicana. Così, benché a un certo punto la Südtiroler Volkspartei, il partito che rappresenta le minoranze tedesche e ladina e ha governato il processo di crescente autonomia della provincia, lo volesse buttare giù, è rimasto al suo posto. Ogni volta che gli attriti sono riemersi, ogni volta che il cammino verso l’autodeterminazione della provincia speciale è parso arrestarsi, ogni volta che le bombe hanno ripreso a esplodere, e sono state molte le bombe a esplodere in queste vallate tra gli anni sessanta e ottanta del Novecento, quelle funebri colonne littorie sono tornate al centro del buco nero delle reciproche incomprensioni.
Nel 1979 fu #Alexander_Langer, leader della nuova sinistra, da sempre sostenitore della necessità di creare gruppi interetnici, tanto da aver fondato dieci anni prima una rivista che si chiamava ’#Die_Brücke', ciò ’Il ponte’, a presentare in Consiglio provinciale una mozione in cui si chiedeva che il monumento diventasse un luogo di ’memoria autocritica’. Ma la mozione non passò, perché gli opposti nazionalismi vedevano entrambi come fumo negli occhi la possibilità di trasformare quelle colonne in un monito permanente. Per gli uni andavano soltanto abbattute, per gli altri dovevano rimanere tali e quali al loro posto. Dopo una serie di attentati, il Monumento venne addirittura recintato, tanto da accrescere il senso di separazione.
La trasformazione auspicata da Langer si è realizzata solo ora con la creazione di un percorso espositivo permanente intitolato BZ ’18-’45. Un monumento, una città, due dittature , che si snoda nei locali sottostanti l’opera di Piacentini. (...)
L’esposizione allestita nall cripta e nei corridoi sotterranei mi ha sorpreso. Pannello dopo pannello, video dopo video, sono ripercorsi i momenti della sua costruzione e la storia della città tra le due guerre mondiali, quando fu pesantemente condizionata dai due totalitarismi, quello fascista e quello nazista. Tuttavia il maggior intervento sul monumento non è tanto costituito dal percorso espositivo, quanto da un anello a led che cinge una delle colonne centrali. Sullo schermo nero circolare, spesso almeno mezzo metro, scorre rosso il titolo della mostra (BZ ’18-’45...), tradotto in tre lingue: italiano, tedesco e inglese.
L’opera di Piacentini non è stata rimossa, ma questa sorta di vistoso ’anello al naso’ ha il potere di desacralizzarla, trasformandola in altro da sé. Tra la retorica del Monumento e gli occhi di chi lo guarda si insinua subito un terzo elemento che ne ribalta il senso profondo».
(pp.218-220)
#fascisme #WWI #première_guerre_mondiale #toponymie #Italie #langue #alterité #patriotisme #architecture_fasciste #urbanisme_fasciste #géographie_urbaine #Südtirol #Province_autonome_de_Bolzano #nationalisme #exposition
ping @simplicissimus @reka
Le site de l’exposition permanente:
BZ ’18-’45. Un monumento, una città, due dittature
«A Bolzano li chiamano ancora ’relitti fascisti’. Sono tutti quei mausolei, palazzi, cimeli che ricordano il ventennio mussoliniano. Il relitto fascita per eccellenza è il monumento realizzato da #Marcello_Piacentini nel 1928 per celebrare la vittoria italiana nella Grande guerra e per rimarcare, com’è scritto in latino a caratteri cubitali sulla facciata, che ’hic patriae fines siste signa, hinc ceteros excoluimus lingua legibus artibus’. E, cioè, che non solo qui sono fissati i confini della patria, ma che proprio ’da qui’ educammo ’gli altri’ con la lingua, le leggi, le arti.
Per decenni ’gli altri’, cioè la comunità germanofona cui il fascismo aveva impedito di usare la propria lingua, hanno visto nel monumento il simbolo più eclatante dell’usurpazione e dell’occupazione. Ed eclatante il monumento di Piacentino lo è davvero. Non solo perché, con grande dispendio di marmo bianco, s’alza in stile littorio fino a dominare un’ampia porzione dell’abitato, prioprio nel punto in cui era stata avviata la costruzione di un altro monumento, prontamente demolito, in memoria dei caduti del reggimento austriaco Kaiserjäger. Non solo perché appare del tutto fuori luogo rispetto al territorio circostante, al paesaggio, all’architettura tradizionale, con le sue quattordici colonne a forma di fascio che reggono un’imponente architrave. Ma anche perché è stato il cardine della mutazione urbainstica della città. Una mutazione imposta dal fascismo, che culmina, al termine di una serie di strade che ricordano i ’trionfi’ nazionali, nella piazza del Tribunale.
Il Monumento è stato sempre percepito come la punta dell’iceberg di una frattura più ampia. D’altro canto, la destra italiana l’ha sempre difeso come un ’proprio’ simbolo, anche in età repubblicana. Così, benché a un certo punto la Südtiroler Volkspartei, il partito che rappresenta la minoranza tedesca e ladina e ha governato il processo di crescente autonomia della provincia, lo volesse buttare giù, è rimasto al suo posto. Ogni volta che gli attriti sono riemersi, ogni volta che il cammino verso l’autodeterminazione della provincia speciale è parso arrestarsi, ogni volta che le bombe hanno ripreso a esplodere, e sono state molte le bombe a esplodere in queste vallate tra gli anni sessanta e ottanta del Novecento, quelle funebri colonne littorie sono tornate al centro del buco nero delle reciproche incomprensioni.
Nel 1979 fu #Alexander_Langer, leader della nuova sinistra, da sempre sostenitore della necessità di creare gruppi interetnici, tanto da aver fondato dieci anni prima una rivista che si chiamava ’Die Brücke’, cioè ’Il ponte’, a presentare in Consiglio provinciale una mozione in cui si chiedeva che il monumento diventasse un luogo di ’memoria autocritica’. Ma la mozione non passò, perché gli opposti nazionalismi vedevano entrambi come fumo negli occhi la possibilità di trasformare quelle colonne in un monito permanente. Per gli uni andavano soltanto abbattute, per gli altri dovevano rimanere tali e quali al loro posto. Dopo una serie di attenati, il Monumento venne addiritutra recintato, tanto da accrescere il senso di separazione.
La trasformazione auspicata da Langer si è realizzata solo ora con la creazione di un percorso espositivo permanente BZ ’18-’45. Un monumento, una città, due dittature , che si snoda nei locali sottostanti l’opera di Piacentini. (...)
L’esposizione allestita nella cripta e nei corridoi sotterranei mi ha sorpreso. Pannello dopo pannello, video dopo video, sono ripercorsi i momenti della sua costruzione e la storia della città tra le due guerre mondiali, quando fu pesantemente condizionata dai due totalitarismi, quello fascista e quello nazista. Tuttavia il maggior intervento sul monumento non è tatno costituito dal percorso espositivo, quanto da un anello a led che cinge una delle colonne centrali. Sullo schermo nero circolare, spesso almeno mezzo metro, scorre in rosso il titolo della mostra (BZ ’18-’45...), tradotto in tre lingue: italiano, tedesco e inglese.
L’opera di Piacentini non è stata rimossa, ma questa sorta di vistoso ’anello al naso’ ha il potere di desacralizzarla, trasformandola in altro da sé. Tra la retorica del Monumento e gli occhi di chi lo guarda si insinua subito un terzo elemento che ne ribalta il senso più profondo»
in: Alessandro Leogrande, La frontiera , 2017, pp. 218-220.
#Mussolini bas relief
“The Mussolini Bas relief” in travertine marble is 36 m long, 5,5 m high and 50 cm deep. With these dimensions it is surely the biggest bas relief in Europe. It has been sculpted on 57 plates of marble of various dimensions and disposed on two rows on the pediment of the “Casa Littoria” (house of the lictor) that was the headquarters of the fascist party. The numerous figures and details on the bas relief represent and glorify various establishments in different stages of fascism, from the victory of the first world war to the march on Rome. At the centre the dictator, Benito Mussolini, is represented like a Roman emperor on a horse with his arm out in a Roman salute. Between the horses’ legs the words “Believe, Obey, Fight” are sculpted in large letters.
The bas relief was finished, but never fully assembled, during the fascist regime. Some of the central plates, post-war, were held in a safety-deposit. During the following years after the end of the war the monuments that glorified fascism were destroyed and only in 1957 during a visit from the President of the Republic the Mussolini bas relief was completed.
To date, all the attempts to destroy the Mussolini bas relief or safeguard it in a museum have failed for reasons linked to its political exploitation from the various parties and groups. A contest accepted by the South-Tyrolean government in 2011 has still not produced any results.
▻https://www.sentres.com/en/mussolini-bas-relief
#Hans_Piffrader
What happens to fascist architecture after fascism?
Le macroproblème des #microplastiques en mer
Les #déchets_plastiques envahissent les océans. Une #exposition au théâtre de l’Orangerie veut interpeller sur l’amplitude du problème.
Sur les traces en plastique de Magellan
Le plastique c’est fantastique dit la chanson, et le caoutchouc super doux. Mais ce chimiste anonyme qui connaît bien « la chose » dit aussi que ce matériau symbole de modernité n’aurait jamais dû sortir des laboratoires ! Et pourtant, il en est sorti, et bien sorti, telle une créature du docteur Frankenstein hyper cool car tellement pratique… Il sert pour tout, modelé par l’humain à l’infini. Il s’est répandu partout jusqu’aux confins des mondes terrestres et sous-marins. Et voilà qu’à son tour, c’est lui qui modèle l’humain de ses effets environnementaux et désormais sanitaires.
L’installation graphique et photographique proposée par la Fondation Pacifique et l’association Oceaneye raconte une petite partie de cette histoire cauchemardesque qui ne fait que commencer, la colonisation du monde par le plastique, et éclaire l’ambivalence de notre relation avec ce matériau devenu indispensable dans notre vie de tous les jours. Sous l’oeil du photographe genevois Fred Merz, qu’ils sont étonnants, ces fragments magnifiés de microplastiques, dans leur foisonnement de formes et de couleurs chatoyantes. N’appartiendraient-ils pas au monde végétal ? Animal ? Minéral ?
Non, ils sont bel et bien des débris plastiques, trouvés dans quasiment chacun des 208 échantillons d’eau de mer collectés par le voilier Fleur de Passion et analysés par les biologistes d’Oceaneye dans le cadre de The Ocean Mapping Expedition, tour du monde de 4 ans et demi dans le sillage de Magellan, d’avril 2015 à septembre 2019.
Si bien que 500 ans après la première circumnavigation, force est de constater que la plastique du monde a cédé la place à un monde de plastique. L’idée d’une planète Terre que l’on pourrait modeler selon notre bon vouloir et en toute impunité s’efface devant la réalité d’une pollution - plastique - à grande échelle. Avec quelles conséquences environnementales, voire sanitaires ?
▻https://www.theatreorangerie.ch/index.php/hors-scene/expositions/157-sur-les-traces-en-plastique-de-magellan
Petit retour sur une petite halte que j’ai faite à Tolmezzo, en #Italie, une dizaine de jours avant les élections européennes...
Je connais le maire de Tolmezzo car la petite ville fait partie du réseau #Villes_alpines_de_l'année, dont je suis membre du jury (eh oui !) :
Je passais pas là et je me suis arrêtée à l’improviste, juste le temps de dire bonjour au maire, #Francesco_Brollo, qui était fort préoccupé par le possible résultat des élections. Il m’avait confié : « Si je suis réélu, je vais être le seul maire rouge de toute la région »...
Eh bhein, il a réussi... le suspens a été long, mais il a été réélu.
Je vous raconte cela, parce qu’avant tout, il faut bien soutenir ces maires qui réussissent à se faire réélire sur un programme d’ouverture et solidarité.
Mais aussi, pour vous montrer quelques combats visibles dans la commune :
Une plaque mémorielle dans l’hôtel de ville (pour honorer ceux qui sont morts pour la #liberté et qui se sont opposés à la « tyrannie nazi-fasciste ») :
Un drapeau, affiché à la fenêtre de la mairie qui demande #Verità_per_Giulio_Regeni
Et, toujours dans l’hôtel de ville, une campagne contre les violences sur les #femmes. Une #charte sur les #droits_des_femmes :
Le jour où je suis passée par Tolmezzo, le maire était occupé à une conférence de presse pour l’inauguration d’une #exposition de #Tina_Modotti :
▻https://www.concatolmezzina.it/it/dettaglio-evento/tina/identificatore/1130
#photographie (et du coup, ping @philippe_de_jonckheere)
Le « naming », un piège à Louvre Texte Nicolas Cori Photo Denis Allard/Réa Édité par François Meurisse - 6 Aout 2019 - Les Jours
Le musée s’est embourbé dans un contrat de mécénat avec la généreuse famille Sackler, accusée d’avoir créé la crise des opioïdes aux États-Unis.
Prenez La Joconde, son sourire mystérieux et ses millions de visiteurs annuels. Imaginez maintenant des hordes d’activistes dénoncer régulièrement devant elle la complicité du Louvre face à l’une des plus grandes crises sanitaires qu’ait connues les États-Unis.
Un tel scénario a dû donner des cauchemars à la direction du musée parisien. Le 1er juillet dernier, une poignée de militants emmenés par la photographe américaine Nan Goldin, les pieds dans l’eau et des banderoles à la main, ont manifesté devant la pyramide du Louvre afin de demander à ce que l’aile Sackler des antiquités orientales soit débaptisée. La famille Sackler est propriétaire du groupe pharmaceutique Purdue Pharma, accusé d’avoir incité les médecins américains à prescrire à tout va depuis le début des années 2000 de l’Oxycontin, un analgésique contenant de l’opium, créant ainsi la plus grosse épidémie d’overdoses médicamenteuses jamais vue outre-Atlantique. Eh bien, quelques semaines après ce modeste happening, la direction du Louvre a décidé d’effacer en toute discrétion le nom de Sackler de ses salles, tout en adoptant une communication très alambiquée.
Interrogé le 16 juillet sur RTL, Jean-Luc Martinez, le président du Louvre, a ainsi affirmé qu’il n’avait pas à « débaptiser ces salles » car elles ne portaient « plus le nom de Sackler » depuis des années, étant donné que le « nommage » des salles – datant des années 1990 – ne durait que « vingt ans ». Une information que, visiblement, seul l’intéressé possédait : pourquoi une manifestation quinze jours auparavant sinon ? Cet épisode est révélateur de la gêne de la direction du Louvre, mais aussi des problèmes éthiques pesant sur l’une des contreparties (lire l’épisode 2, « Les riches jouent aux gros dons ») les plus contestables du mécénat : le « naming » ou « nommage » d’espaces pour remercier un donateur particulièrement généreux. Permettre qu’une entreprise ou une personne fortunée donne son nom à un bout de musée, c’est prendre le risque de voir la réputation de l’établissement mise à mal si le mécène ne s’avère pas sans reproches. Et qui est sans tache ? Le récit du mécénat Sackler au Louvre permet de s’en rendre compte..
Overdoses
En 2015, le nombre d’overdoses mortelles dues à des médicaments opioïdes a atteint le chiffre de 33 000 contre 4 000 en 1994, avant l’introduction de l’Oxycontin. Ce médicament était à l’origine destiné à soulager les malades du cancer mais la firme Purdue Pharma a développé une politique marketing très agressive, convaincant les médecins de prescrire ce médicament à tous les publics. . . . . . . .
La suite, payante sur : ▻https://lesjours.fr/obsessions/mecenes-mecenat/ep5-louvre-sackler
#art #musée #mécénat #culture #peinture #musées #exposition #mémoire #merci #france #opioides #sackler #Oxycontin #big_pharma #drogues #opiacés #addiction #drogue #pharma #santé_publique #overdose #opioids #Louvre #naming
Le discours de Nan Goldin
« Je suis ici aujourd’hui pour demander à ce que le Louvre retire le nom “Sackler”. Il y a douze salles dans le département des antiquités orientales qui ont le nom “Sackler”. Les Sackler possèdent un groupe pharmaceutique qui a déchaîné la plus grande crise de santé publique aux États-Unis. Les gens meurent à cause d’eux. (…) 1,7 million de personnes sont dépendantes. »
Vienna Rossa, utopia realizzata
Socialismi. La mostra «Das #Rote_Wien 1919-1934» celebra le riforme rivoluzionarie iniziate nel 1919 e interrotte bruscamente con l’avvento dell’Austria nera nel 1934
ping @albertocampiphoto @visionscarto
Das Rote Wien 1919-1934
Die ersten freien Wahlen zum Wiener Gemeinderat im Mai 1919 bringen der Sozialdemokratischen Arbeiterpartei die absolute Mehrheit. Ein international viel beachtetes, von seinen Gegnern heftig bekämpftes soziales, kulturelles und pädagogisches Reformprojekt beginnt, das eine tief greifende Verbesserung der Lebensbedingungen der ArbeiterInnen und eine Demokratisierung aller Lebensbereiche anstrebt.
Die Ausgangslage nach dem Ersten Weltkrieg ist katastrophal. Wien ist die Krisenstadt des Kontinents. Zur ersten Herausforderung wird die Wohnungsfrage. Auf der Grundlage einer revolutionären Fiskalpolitik („Luxussteuern“) werden bis 1934 mehr als 60.000 Wohnungen sowie zahlreiche Sozial, Gesundheits, Freizeit, Bildungs und Kultureinrichtungen geschaffen.
„Wie leben?“ wird im Roten Wien mit hoher Intensität debattiert. Das betrifft alle Bereiche des täglichen Lebens: die Rollen von Frauen und Männern, die Betreuung und Ausbildung der Kinder, die Gestaltung der Freizeit, das Einrichten der Wohnungen, die Verteilung der häuslichen Arbeit, den Umgang mit Körper und Tod, die Aufgaben von Kunst und Kultur.
Die Ausstellung im MUSA wird durch mehr als ein Dutzend Orte in der Stadt erweitert. Diese „begehbaren Objekte“ mit unterschiedlichen thematischen Schwerpunkten werden temporär für das Publikum zugänglich gemacht und beziehen das reiche architektonische Erbe des Roten Wien mit ein, das sich als gebaute Utopie nachhaltig in die Stadt eingeschrieben hat.
Les #routes du #futur du Grand #paris
▻http://carfree.fr/index.php/2019/06/21/les-routes-du-futur-du-grand-paris
Le Pavillon de l’Arsenal à Paris et 11 lieux franciliens présentent, du 7 juin au 13 octobre 2019 au travers de l’exposition « Les Routes du futur du Grand Paris Lire la suite...
#Fin_de_l'automobile #Fin_des_autoroutes #exposition #histoire
Ou quand les #musées et les #expositions se soumettent à des logiques marchandes et à des stratégies de #communication…
►http://sms.hypotheses.org/10171
▻https://external-cdt1-1.xx.fbcdn.net/safe_image.php?d=AQDj9jOtWyGLlZAv&w=476&h=249&url=https%3A
#Đuro_Janeković e il modernismo di Zagabria
Una selezione di immagini del fotografo zagrebese Đuro Janeković, realizzate tra il 1932 e il 1935
#Duro_Janekovic #modernisme #photographie
ping @albertocampiphoto @philippe_de_jonckheere @reka
#Expo :
Đuro Janeković. Fotografo Croato, Artista Europeo
Attraverso le fotografie il visitatore approda con lo sguardo dall’altra parte dell’Adriatico e anche più lontano, nella Zagabria degli anni ’30 del secolo scorso.
Il lavoro di Đuro Janeković (1912-1989) è rimasto fino a pochi anni fa completamente sconosciuto al contesto fotografico tanto croato quanto europeo eppure Janeković è stato, fra gli anni venti e trenta del XX sec., un protagonista della scena artistica zagrebese, testimone dell’influenza del modernismo europeo a Zagabria. Attraverso le sue fotografie Janeković diventa cronista della vita della sua città ad ogni livello, dalle periferie alle strade eleganti, dalle signore alle ballerine, ai miseri e agli outsiders.
Gli anni Venti e Trenta rappresentano per il fotogiornalismo, con il fenomeno dell’urbanizzazione, l’avvento della società dei consumi e la diffusione dello sport e degli svaghi di massa, anni di grande creatività. Seguendo l’esempio della tedesca «Berliner Illustrirte Zeitung» anche a Zagabria si inizia la pubblicazione di riviste illustrate come la Svijet (Il Mondo) e Kulisa (La Scena) che offrono alla fotografia una vetrina importante.
Nel 1933 Janeković diviene uno dei primi fotocronisti professionali della Croazia e le sue numerose fotocronache sono pubblicate proprio sulla rivista «Kulisa» le sue foto notturne di Zagabria sono uniche, scattate con una esposizione lunga o doppia; le prospettive e i punti di vista fotografici di Janeković sono particolarmente intriganti se si collegano a quelli di Aleksander Rodčenko del quale sono, anche per tempo di nascita, paralleli. Le vedute dall’alto e dal basso e le composizioni diagonali dimostrano nei due autori un’eccezionale affinità e una sensibilità comuni.
In uno stile che ricorda la miglior fotografia tedesca di quel tempo, le sue fotografie sportive si concentrano in prevalenza sul movimento e sull’uso di prospettive trasversali e di angoli di ripresa inusuali. Janeković mostra uno speciale talento per l’azione ed il movimento: cogliendo la palla appena lanciata, il corridore al momento dell’arrivo al traguardo, il saltatore nello stacco. Egli stesso, sportivo appassionato, correva accanto o innanzi al concorrente, ritrovandosi così protagonista e fotografo, con risultati sorprendenti per le possibilità tecniche del tempo.
▻https://www.balcanicaucaso.org/Appuntamenti/Duro-Janekovic.-Fotografo-Croato-Artista-Europeo2
#exposition
S’exiler pour survivre
Fruit du programme de recherche « Passages clandestins des #Juifs en #Suisse par la frontière du #pays_de_Gex 1942-1944 » initié fin 2016, par la Direction des Musées départementaux de l’Ain pour le musée de la Résistance et de la Déportation de l’Ain et confié à l’historienne suisse #Ruth_Fivaz_Silbermann, l’exposition « #S’exiler_pour_survivre : passages clandestins des Juifs en Suisse à la frontière du pays de Gex 1942-1944 » présente les parcours de familles juives fuyant les persécutions passées par ce secteur.
Entre 1942-1944, le Pays de Gex devient un point de passage pour les Juifs persécutés qui cherchent à fuir et à gagner la Suisse. Si peu de traces subsistent aujourd’hui sur le territoire, les archives permettent néanmoins de retracer des #parcours dont l’issue se révèle parfois heureuse, parfois tragique.
À l’appui de projections, de cartes animées, de panneaux sur la persécution des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale, d’exemples spécifiques pour l’Ain et de 13 focus détaillés sur des familles ou des groupes ayant tenté le passage le long de cette frontière, l’exposition retrace les trajectoires et l’histoire des familles fuyant les persécutions ayant tenté l’aventure du passage malgré les nombreux risques et dangers.
L’exposition est enrichie par quelques textes qui proposent un éclairage particulier sur la persécution des Juifs dans l’Ain et sur les réseaux d’entraide et de sauvetage.
▻http://patrimoines.ain.fr/n/exposition-s-a-l-affiche/n:908
#exposition #histoire #expo #exil #réfugiés #asile #migrations #montagne #WWII #seconde_guerre_mondiale #deuxième_guerre_mondiale #frontières #France
#jeunesse #rebelle
▻http://www.radiopanik.org/emissions/les-promesses-de-l-aube/jeunesse-rebelle
Ce mercredi nous recevons Christine Dupont, une des commissaires de l’exposition Jeunesse Rebelle, actuellement à la Maison de l’Histoire Européenne. De la génération silencieuse à la génération moi, cette #exposition retrace le vécu de différentes générations de jeunes depuis 1945.
Au cours des 70 dernières années, en Europe, d’un groupe qui subissait l’histoire, les jeunes sont devenus un groupe qui fait l’histoire. L’exposition porte son regard sur quatre générations de jeunes devenus adultes à des moments cruciaux de l’histoire européenne : la fin des années 1940, les années 1960, les années 1980 et les années 2000. Elle s’arrête sur les expériences clés de la jeunesse : l’éducation et l’emploi, la formation d’une identité et la rencontre de l’amour.
Ces expériences sont inévitablement façonnées par (...)
#histoire #histoire,jeunesse,exposition,rebelle
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/les-promesses-de-l-aube/jeunesse-rebelle_06723__1.mp3
Le Monde en sphères | BnF - Site institutionnel
▻https://www.bnf.fr/fr/agenda/le-monde-en-spheres
L’exposition « Le Monde en sphères » relate les origines antiques du modèle cosmologique et astronomique de sphères concentriques, puis la réception et l’évolution de ces théories et représentations à l’époque médiévale, dans le monde arabo-musulman et l’Occident chrétien. Au fur et à mesure que s’affirme le globe terrestre géographique, à la faveur des explorations européennes et de la Renaissance des arts et sciences en Europe aux XVe et XVIe siècles, au fil des révolutions scientifiques de Copernic à Newton et jusqu’aux origines de l’astrophysique moderne, le globe s’enrichit, se transforme, devient un objet familier à haute valeur symbolique, que les artistes s’approprient et réinterrogent à la lumière des défis de leur époque.
Sphère terrestre, orbes des #planètes et #zodiaque, dans Barthélemy l’Anglais, Livre des propriétés des choses. Copie de 1479-1480. Manuscrit enluminé sur parchemin Paris, BnF, département des Manuscrits
L’#exposition fait la lumière sur l’« invention » du modèle sphérique dans l’Antiquité gréco-latine. Au VIe siècle avant notre ère émerge une conception de l’univers fondée sur l’observation des mouvements cycliques du #ciel, complétée par une intuition #mathématique sur les propriétés de la #sphère qui en font, aux yeux des savants et des philosophes, la forme la plus juste du #cosmos. S’impose alors le modèle d’un monde clos composé de sphères concentriques portant astres et étoiles autour d’une #Terre sphérique et immobile. Ce modèle est perfectionné par Ptolémée et matérialisé par les premiers globes. La plus ancienne sphère céleste connue, présentée dans l’exposition, date du IIe siècle avant J-C. La présence de la sphère dans les arts antiques illustre par ailleurs sa forte portée symbolique. En témoignent les figures récurrentes des Empereurs tenant un globe - le monde - en leurs mains ou d’Uranie, muse de l’astronomie pointant sa baguette sur un #globe suggérant l’influence des astres sur la destinée humaine.
@odilon Serait-ce une réédition ou une extension de l’exposition que nous avons vue toi et moi au même endroit (la BNF) ?
Ah mais zuuuut, voilà ce que j’ai oublié vendredi : il y avait une dédicace de Nina Bunjevac à l’atelier En traits libres. J’avais même photographié l’affichette pour pas l’oublier :
Et puis j’ai oublié. (Pourtant je suis plus jeune de Paul Rudd.)
même technique, les dessins de Véronique Dorey sont également très beaux !
▻https://artsfactory.net/index.php/veronique-dorey
▻https://webstore.artsfactory.net/fr/85_veronique-dorey
Nina Bunjevac - Les arcanes majeurs du Tarot
▻http://www.galeriemartel.com/index.php/drawing-later
L’artiste se ré-approprie l’iconographie ésotérique du tarot de Marseille pour en actualiser l’imaginaire. À travers ses vingt-deux arcanes se dessine un mystère plus contemporain, où chacun est libre de se perdre dans son propre dédale divinatoire.
La Base, émission n°57
▻http://www.radiopanik.org/emissions/bruxelles-nous-appartient/la-base-emission-n57
Une #installation sonore de Lukas De Clerck
’Are You Trying to Have a Conversation ?’ est basé sur cette question naïve de savoir si nous avons tous le même son quand nous sifflons.
Nous ne nous donnons pas d’importance.
Nous demeurons inaperçus.
La voix touche à notre intériorité, fait des dégâts.
Le sifflement, c’est simplement ouvrir une fenêtre.
Le souffle, au moment opportun, à travers les lèvres.
Nous entendons une personne similaire, qui siffle.
Pour notre première VITRIEN, l’artiste sonore Lukas De Clerck s’est promené dans le quartier et a enregistré des souffles, des intonations soutenues mais aussi des #sifflements. Ces enregistrements ont donné lieu à un montage d’extraits mis bout-à-bout, collés, renversés ; un étonnant collage sonore diffusé dans la rue de (...)
#Bruxelles #exposition #BNA-BBOT #Sound_art #Bruxelles,exposition,BNA-BBOT,sifflements,installation,Sound_art
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/bruxelles-nous-appartient/la-base-emission-n57_06487__1.mp3
20.000 brevets pour traquer nos comportements sur les médias sociaux
Exposition de l’artiste Paolo Cirio
Durant la période stalinienne - de la fin des années 1920 au début des années 1950 -, vingt millions de Soviétiques et plus d’un million d’étrangers sont passés par les « #camps de travail correctif » ou les « villages spéciaux de peuplement » du Goulag. Quatre millions de détenus et de déportés, de toutes conditions sociales et de toutes générations, sont morts au cours de cette période. La #répression du corps social s’est fortement atténuée après la mort de #Staline, sans pour autant disparaître.
La #propagande du régime a longtemps occulté la réalité de cette répression. La lumière a été faite en Occident, surtout à partir des années 1970, grâce notamment aux témoignages de rescapés. L’ouverture progressive des archives soviétiques, à la chute de l’#URSS en 1991, a permis aux historiens d’être au plus près de ce qu’a été le Goulag.
À travers des documents d’archives russes inédits et les photographies poignantes de #Tomasz_Kizny, le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère – Maison des Droits de l’Homme est le premier musée en France à consacrer une exposition au Goulag.
Quelques photos :
#Glossaire :
Des #posters et #affiches (#propagande)
Staline, à la barre, conduit l’Union soviétique vers un avenir radieux
Et toi, tu t’es inscrit comme #volontaire ?
La femme emancipée construit le #socialisme
Jo-Jo la Colombe, affiche de #paix et #liberté
Et contre-affiches
Profitez des camps de vacances... soviétiques
#Boycott. Affiche pour le boycott des #jeux_olympiques de Mouscou, 1980
Et des #dessins
ping @reka
Fêtes himalayennes, les derniers #Kalash
L’exposition présente le peuple Kalash, une communauté vivant dans un rapport sacré à la nature au cœur de trois étroites vallées de l’#Himalaya, au nord-ouest du #Pakistan. Au nombre de trois mille, ces #éleveurs de chèvres et cultivateurs de céréales partagent leur territoire avec des esprits invisibles, des « fées ». Ils demeurent l’ultime société polythéiste de l’arc himalayen. D’un solstice à l’autre, les saisons se succèdent au fil du parcours, fidèle à la conception cyclique du temps des Kalash.
#polythéisme
▻http://www.museedesconfluences.fr/fr/evenements/f%C3%AAtes-himalayennes-les-derniers-kalash
#exposition #musée_des_confluences #Lyon
Je partage avec vous un petit extrait de l’expo :
OHNE TITEL s’invite à l’X-po de #Wataru_Kasahara
▻http://www.radiopanik.org/emissions/ohne-titel/ohne-titel-s-invite-a-l-expo-de-wataru-kasahara
L’équipe d’OHNE TITEL est de sortie en #vernissage : c’était le jeudi 14 mars, à la #Galerie E²/Sterput.
Nous avons découvert le travail de l’artiste Wataru Kasahara, dont le travail est exposé à côté de celui de #Tristan_des_limbes.
Sur place, nous avons d’abord discuté avec Emilie Ouvrard, qui est à l’initiative du projet E², qui après avoir été nomade dans divers endroits à trouvé quelques murs et baptisé son lieu #Sterput. Elle nous parle du projet E²/Sterput, de ses choix artistiques, et du travail associatif autour du Sterput.
Nous discutons ensuite avec #Xavier-Gilles_Néret, venu à Bruxelles pour présenter le travail de Wataru Kasahara (qui vit au Japon) et qui nous expliquera un peu plus en détail le travail varié et multidisciplinaire de cet artiste.
Tout au long de (...)
#exposition #E² #exposition,vernissage,Sterput,Galerie,E²,Xavier-Gilles_Néret,Tristan_des_limbes,Wataru_Kasahara
▻http://www.radiopanik.org/media/sounds/ohne-titel/ohne-titel-s-invite-a-l-expo-de-wataru-kasahara_06381__1.mp3