#Bouclier_Tarifaire :
Je tarifiais,
Tu tarifiais,
Il tari-#fiotte,
Nous tari-#fions...
Vous payez,
Ils encaissent
#politique #France #Europe #économie #guerre #art #expressionnisme #nouvelle_objectivité #changement #société #seenthis #vangauguin
:-D :-D :-D
▻https://www.google.com/url?sa=i&url=https%3A%2F%2Fwikioo.org%2Ffr%2Fpaintings.php%3Frefarticle%3D9G
#Georges_Grosz : Métropolis (1916-1917)
ATTENTION!
UN FACHO PEUT
EN CACHER
UN AUTRE!
#George_Grosz (1893-1959), Route dangereuse, 1918. Photo © Christie’s (détail)
▻https://www.christies.com/about-us/press-archive/details?pressreleaseid=7369&lid=1
#art #politique #caricature #grotesque #société #expressionnisme #Nouvelle_Objectivité #humour #seenthis #vangauguin
#George_Grosz par @partagenoir ici-même il y a 6 mois
▻https://seenthis.net/messages/1012052
La #Nouvelle_objectivité, un style et un esprit graphique qui mériteraient plus d’attention :-) même et surtout en 2024 avec les petits fureteurs de contrebande de pouvoir :-D :-D ;-)
George Grosz : le caricaturiste qui dérange
"Avec Otto Dix, George Grosz est peut-être le seul peintre à l’esprit critique qui a su représenter « l’âge d’or » de la République de Weimar tel qu’il était. (...)"
▻https://www.barnebys.fr/blog/george-grosz--le-caricaturiste-qui-derange
Der Sturm - Monoskop
▻https://monoskop.org/Der_Sturm#Publishing_house
#Der_Sturm [The Storm] was a #magazine covering the expressionism movement founded in #Berlin in 1910 by Herwarth Walden. It ran weekly until monthly in 1914, and became a quarterly in 1924 until it ceased publication in 1932.
Among the literary contributors were Peter Altenberg, Max Brod, Richard Dehmel, Alfred Döblin, Anatole France, Knut Hamsun, Arno Holz, Karl Kraus, Selma Lagerlöf, Adolf Loos, Heinrich Mann, Paul Scheerbart, and René Schickele. Der Sturm consisted of pieces such as expressionistic dramas (i.e. from Hermann Essig and August Stramm), artistic portfolios (Oskar Kokoschka), essays from artists (the Kandinsky Album), and theoretical writings on art from Herwarth Walden. The most well-known publications resulting from the magazine were the Sturmbücher (storm-books), (e.g. Sturmbücher 1 and 2 were works of August Stramm – Sancta Susanna and Rudimentär). Postcards were also created featuring the expressionistic, cubist, and abstract art of Franz Marc, Wassily Kandinsky, Oskar Kokoschka, August Macke, Gabriele Münter, Georg Schrimpf, Maria Uhden, Rudolf Bauer and others. The term Sturm was branded by Walden to represent the way in which modern art was penetrating Germany at the time.
Particularly in the time before outbreak of the World War I, Der Sturm played a crucial role in the French-German exchange of expressionist artists, which led to a special relationship between Berlin and Paris. Regularly, poems and other texts of French and/or French-speaking expressionists were published (Guillaume Apollinaire, Blaise Cendrars, etc.). This relationship was renewed after the war despite the hostilities between the two countries caused by the fighting.
L’index ▻https://de.wikisource.org/wiki/Der_Sturm
▻http://bluemountain.princeton.edu/title.html?titleURN=urn:PUL:bluemountain:bmtnabg
Miriam Schapiro, féministe expressionniste - Libération
▻http://next.liberation.fr/arts/2015/06/23/miriam-schapiro-feministe-expressionniste_1335779
▻http://md1.libe.com/photo/786685-miriam-schapiro.jpg?modified_at=1435088880&width=750
En 1978, elle met noir sur blanc les fondements théoriques de ces travaux plastiques dans un essai qui vaut manifeste intitulé Waste Not Want Not : An Inquiry into What Women Saved and Assembled – FEMMAGE, qui revendique la part des femmes dans l’invention du collage moderniste, à travers la besogne à laquelle elles s’attellent, bon gré mal gré depuis des lustres, celle du raccommodage que l’artiste nomme donc « femmage ». Peu montrée en France, où on s’est aperçu tard (pas tellement avant 2009 et Elles, exposition au casting exclusivement féminin de la collection du Musée national d’art moderne au Centre Pompidou) que les femmes artistes étaient sous-exposées, l’œuvre de Miriam Schapiro ne demande encore qu’à en découdre avec le machisme de l’art.
Réminiscence cinématographique éternelle pour Jean Epstein
Le Tempestaire (1947) Trouver le guérisseur de vent pour faire revenir l’être aimé parti en mer.
Partie1
▻http://www.youtube.com/watch?v=49lYid9jXn8
Une analyse du film par #Elodie_Dulac
▻http://www.cadrage.net/films/tempestaire.htm
De prime abord, cette fiction #manifeste un aspect . Afin de rendre l’#authenticité de la région, le #réalisateur prend pour interprètes les seuls habitants du lieu, Belle-île en mer. Familiarisé à leur manière d’être par une longue coopération et une confiance totale, il leur demande de participer à la confection du #court-métrage, en réinterprétant au besoin des aspects révélateurs de leur existence. La préparation à la pêche en est un exemple caractéristique. Dans cette scène, les #non-acteurs ne font que répéter des déplacements machinaux pratiqués régulièrement : ils jettent les rets et les casiers dans les barques. Ce moment quotidien des #marins semble avoir été enregistré comme pris sur le vif et ancre l’histoire dans le #réel. Il en est de même lorsque la grand-mère file le rouet de façon mécanique. Pris dans leur vérité première, ces #hommes et ces #femmes apparaissent comme dépouillés et plus justes que des acteurs professionnels : ils ne jouent pas, ils vivent l’action. Ce choix de prendre les îliens et des décors naturels est expliqué par Epstein :
« Aucun #décor, aucun #costume n’auront l’allure, le pli, de la #vérité. Aucun #faux-professionel n’aura les admirables #gestes #techniques du gabier ou du #pêcheur. Un sourire de bonté, un cri de colère sont aussi difficiles à imiter qu’une aurore au #ciel, que l’#océan démonté » (3)
L’intention du cinéaste est bien de filmer non seulement les occupants, mais aussi l’atmosphère de la Bretagne à l’état brut, sans l’invasion des touristes. À travers sa caméra, il contemple la lande et la brise qui la traverse, la mer calme, l’#écume déposée sur le sable, les falaises et les rochers déchiquetés. Sa motivation est de montrer l’animation de ces paysages : il les personnifie et les rend tumultueux. Il aurait pu simuler un ouragan grâce à des effets spéciaux, tels que l’assombrissement pour marquer un ciel en colère, la présence sonore extrêmement forte du vent et des plans fixes des rouleaux éclatés contre les récifs, par exemple. Mais Epstein profita d’une réelle tempête qui confère à l’œuvre un climat d’authenticité.
« Le vent est tombé, la mer est belle, regarde il n y a pas de quoi avoir peur »
Partie 2
▻http://www.youtube.com/watch?v=6SvqG_bvwkM
Les conditions de #tournage devaient être pénibles. On imagine le réalisateur poser son appareil de et chercher en permanence un lieu différent et toujours plus beau pour saisir la #violence de la perturbation. Malheureusement, il n’a aucun pouvoir sur les éléments ; il doit attendre les moments propices sur le qui-vive, être patient pour bénéficier des éclairages souhaités. Si les circonstances s’y prêtent, alors seulement la maîtrise de la beauté du plan est possible. Le contrôle n’est vraiment total qu’au #montage.
Cette grande difficulté présente un avantage : elle génère un certain « défi » entre la tourmente et le cinéaste qui désire en enregistrer son plus bel aspect. L’enjeu du réalisateur est d’avoir l’emprise sur un
#élément naturel qu’il ne peut pourtant contrôler. Cet antagonisme entre la #nature et la #technique suscite un sentiment de pure #vérité et singularise la #plastique du #film. L’inquiétude de la jeune fille pour son fiancé parti « à la sardine » en est représentatif. De nombreux plans de la mer légèrement agitée sont intercalés parmi ceux du visage de l’héroïne. L’un d’eux est une plongée sur le sable où s’échouent les vagues jusqu’aux deux tiers du cadre. Au milieu du cadre, glisse une écume blanche, très visible. La disposition de la caméra et l’échelle du plan ont été parfaitement maîtrisées mais le passage de la mousse est dû au hasard. Il est très probable qu’Epstein ait gardé ce #plan en raison de l’union d’une #esthétique précise et d’un aléa. En approfondissant l’analyse, l’écume représente la #métaphore visuelle du #bateau du #fiancé #perdu au large et bousculé par des rouleaux gigantesques. Cette rencontre avec le #réel engendre un sentiment de vérité et renforce la narration.
L’inoubliable scène de Coeur Fidéle (1923)
▻http://www.youtube.com/watch?v=9kboFmyQnl4
A Propos de Jean Epstein
▻http://cinema.encyclopedie.personnalites.bifi.fr/index.php?pk=13898
Plus connu comme #théoricien du cinéma que pour une #oeuvre en partie perdue, #Jean_Epstein est pourtant un des grands noms de l’avant-garde française des #années_20. Son premier film est un documentaire sur #Pasteur (1922), exercice pratique qui lui vaut d’être engagé chez Pathé. Il y réalise L’Auberge rouge (1923), d’après #Balzac, qui se distingue par une grande #originalité de #construction et un sens inédit du #découpage et du #montage. Ses recherches se poursuivent avec #Coeur_fidèle (1923) qui, d’un strict point de vue formel, est considéré comme son premier #chef-d'oeuvre. On loue l’intense #poésie avec laquelle il rend compte de l’atmosphère sordide des #ports et des #bouges, et un #langage cinématographique #novateur qui trouve un point culminant dans une scène de fête foraine. Il poursuit la mise en pratique de ses réflexions avec La Belle Nivernaise (1923), inspiré de Daudet, puis réalise par nécessité des mélodrames où surgissent quelques séquences expérimentales (L’Affiche, 1924, Le Double Amour, (1925), Les Aventures de Robert Macaire, (id.), Mauprat, 1926). La Glace à trois faces (1927) et La_Chute_de_la_maison Usher (1928) marquent chacun à leur manière un retour à l’avant-garde. Le premier est construit sans souci d’ordre chronologique, tandis que le second #modernise l’#expressionnisme_allemand en s’attachant à la poésie des #choses et de l’insolite. L’usage qu’il y fait du ralenti est abondamment commenté. #Finis_terrae (1928), documentaire à peine romancé qui rend compte de la vie des pêcheurs et des paysans de l’île d’Ouessant, est son dernier film muet. Ce très beau poème visuel trouve sa suite dans Mor-Vran (1930) et L’Or des mers (1931), avant que le cinéaste ne réalise plusieurs films commerciaux d’un intérêt mineur. Malgré une fin de vie passée dans l’oubli, Jean Epstein signe un film magistral, #Le_Tempestaire (1947), nouveau regard sur la mer qui semble faire la synthèse de ses recherches audiovisuelles.
#Cinéma #Film #Experimental #Avant-garde #Jean_Epstein #Vidéo
PINCEAU = ARME – L’expressionnisme abstrait comme propagande de la CIA | Big Browser
►http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2012/04/04/pinceau-arme-lexpressionnisme-abstrait-comme-propagande-de-l
The Independent met un terme aux spéculations en interrogeant un ancien #CIA, qui « passe à table » : l’agence de renseignements a bien financé l’expressionnisme abstrait des peintres comme Jackson #Pollock, Robert #Motherwell, Willem de #Kooning et Mark #Rothko pour l’utiliser comme une arme de propagande pendant la #guerre_froide. « Comme un prince de la Renaissance, la CIA a soutenu et promu les toiles des maîtres de l’#expressionnisme #abstrait américain dans le monde pendant plus de vingt ans », résume le journal britannique, rappelant que jusqu’ici « il n’y a jamais eu d’éléments concrets prouvant les liens entres les renseignements des #Etats-Unis et le rayonnement de sa #peinture à travers le monde dans la dernière moitié du XXe siècle ».