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#féminité

  • #féminités
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  • @bwshevek
    Benjamin Shevek @bwshevek CC BY-NC-SA 10/06/2019
    5
    @mad_meg
    @_nka
    @rezo
    @7h36
    @monolecte
    5

    Football et féminisme (Revue de presse)

    On nous avait vendu l’organisation de cette coupe du monde de football féminin comme une grande victoire du féminisme. Est-ce si certain ?

    https://www.telerama.fr/sites/tr_master/files/styles/simplecrop1000/public/ou_la_chevre_est_attachee-csophiemadigand.jpg?itok=PH5ZeFoJ

    Cathy, footballeuse : « Un jour, la Fédération nous a dit de véhiculer une image “plus féminine” » (L’Obs, 08.06.19)
    ▻https://www.nouvelobs.com/societe/20190608.OBS14142/cathy-footballeuse-un-jour-la-federation-nous-a-dit-de-vehiculer-une-imag

    Cette ex-joueuse de 2e division a connu quelques sélections en équipe de France durant son adolescence. Une époque où la Fédération avait peu de considération pour les #femmes ...

    Les Bleues ont les cheveux longs, et ce n’est pas tout à fait un hasard (Sébastien Billard, L’Obs, 07.06.19)
    ▻https://www.nouvelobs.com/sport/20190607.OBS14061/les-bleues-ont-les-cheveux-longs-et-ce-n-est-pas-tout-a-fait-un-hasard.ht

    Pour être médiatisées et attirer les #sponsors, les #sportives de haut niveau sont contraintes de coller à une certaine image de la #féminité, dénonce la sociologue Catherine Louveau.

    Sabrina, footballeuse, 25 ans : « Un garçon m’a dit : “Si on se met ensemble, tu devras arrêter le foot” » (Sébastien Billard, L’Obs, 07.06.19)
    ▻https://www.nouvelobs.com/sport/20190607.OBS14063/sabrina-footballeuse-25-ans-un-garcon-m-a-dit-si-on-se-met-ensemble-tu-de

    Originaire d’Argenteuil, cette joueuse évolue sous les couleurs de Nancy et gagne un petit salaire grâce au #football .

    Entre sexisme et « féminisme marketing », la publicité surfe sur la Coupe du monde féminine (Aurélie Sipos, Le Parisien, 06.06.19)
    ▻http://www.leparisien.fr/societe/mondial-2019-entre-sexisme-et-feminisme-marketing-comment-la-publicite-su

    La Coupe du monde est l’occasion pour les publicitaires de se saisir d’un marché féminin en plein essor. Mais gare aux #clichés .

    Mondial 2019 : un drapeau arc-en-ciel déployé pendant le match d’ouverture pour "promouvoir la visibilité des lesbiennes" (Marie-Violette Bernard, France Info, 08.06.19)
    ▻https://www.francetvinfo.fr/sports/foot/coupe-du-monde-de-foot-feminin/mondial-2019-un-drapeau-arc-en-ciel-deploye-pendant-le-match-d-ouvertur

    L’association Les Dégommeuses a déployé ce tifo lors du coup d’envoi du match France-Corée du Sud, pour dénoncer le #sexisme et la #lesbophobie dans le foot.

    Rébecca Chaillon : “Les femmes qui jouent au foot dérangent” (Belinda Mathieu, Télérama, 03.06.19)
    ▻https://www.telerama.fr/sortir/rebecca-chaillon-les-femmes-qui-jouent-au-foot-derangent,n6277864.php

    Dans “Où la chèvre est attachée il faut qu’elle broute”, l’auteure et metteuse en scène tacle le sexisme et l’#homophobie dans le milieu du ballon rond.

    Benjamin Shevek @bwshevek CC BY-NC-SA
    • @innomine1
      Innomine @innomine1 10/06/2019

      Pour l’égalité des sexes, exigeons :
      – la réduction de 95% des temps d’antenne monopolisés par le football « masculin »
      – la réduction de 95% des salaires des footballeurs « masculins »
      – la réduction de 99,999% des revenus des grenouilleurs « footballistiques » (gros membres (...) de la FIFA, propriétaires de clubs « pros », « intellectuels » du foot en tous genres, etc...

      Innomine @innomine1
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 3/03/2019
    4
    @monolecte
    @reka
    @mad_meg
    @7h36
    4

    #Metoo, procès Baupin, Ligue du LOL : les saines colères des femmes

    Depuis des siècles, l’emportement est un territoire déconseillé aux femmes, qui doivent incarner la #tempérance, la #docilité et le #calme. Elles sont pourtant nombreuses, aujourd’hui, à revendiquer cette #émotion qui se décline traditionnellement au masculin.

    https://img.lemde.fr/2019/02/28/397/0/3909/1951/1024/0/60/0/0ba7b87_ZPxA-Lhdk6GTiBqzIeTrZSiv.jpg

    ▻https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/03/01/les-saines-coleres-des-femmes_5429749_3232.html
    #colère #femmes #masculinité #féminité #genre

    #sorcières #folie

    CDB_77 @cdb_77
    • @monolecte
      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 3/03/2019

      ▻http://sons-audioblogs.arte.tv/audioblogs/sons/3048024/3083984__2_Hysta_rie_et_violence.mp3

      M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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  • @colporteur
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA 20/10/2018

    Romain Gary, en 1975, dans « Radioscopie » : « L’absence de féminité dans notre civilisation est effrayante », Le Monde, 19.10.2018

    A l’occasion de la sortie du livre « Radioscopie », regroupant de grands entretiens réalisés par Jacques Chancel, « Le Monde » publie des extraits de la rencontre avec l’écrivain.

    Bonnes feuilles. Brassens, Adjani, Truffaut, Dalida, Foucault, Yourcenar… Pendant vingt ans, Jacques Chancel a reçu sur France Inter des artistes, des écrivains ou des intellectuels pour les confesser dans son émission « Radioscopie ». Parmi les grands entretiens regroupés dans un livre (« Radioscopie » , 352 pages, Les Editions du sous-sol, 49 euros), « Le Monde » a choisi de publier la rencontre avec l’écrivain Romain Gary, réalisée en juin 1975, alors qu’il recevra, cinq mois plus tard, un deuxième prix Goncourt, sous le pseudonyme d’Emile Ajar.

    Vous n’avez pas l’impression, Romain Gary, de vous être un peu trop dispersé ? Vous êtes écrivain, cinéaste, vous avez été consul, conseiller d’un ministre de l’information, vous avez sans doute été tenté par la politique…

    Je passe sur les métiers que j’ai faits dans ma préhistoire, pour survivre, parce que je suis d’un milieu extrêmement pauvre. Je me suis engagé dans l’aviation à l’âge de 23 ans, je suis resté aviateur neuf ans, instructeur de tir aérien à l’école de l’air de Salon-de-Provence. J’ai ensuite rejoint de Gaulle, il y a eu l’Angleterre, la bataille d’Angleterre, l’Afrique, l’Abyssinie, la Libye, la Syrie, tout le tralala jusqu’au débarquement en Normandie. Après quoi, j’ai été diplomate pendant dix-sept ans, et j’ai mené une carrière consulaire que j’ai terminée comme consul général à Los Angeles en 1961. Ensuite, j’ai été, en effet, conseiller d’un ministre, j’ai fait beaucoup de journalisme, et j’ai fait du cinéma comme metteur en scène.

    Mais, il y a plus grave que ça, dans cette dispersion. Si je m’examine au point de vue culturel, je vois trois choses. Je suis né en Russie, j’ai emmagasiné jusqu’à l’âge de 7 ou 8 ans la culture russe et la langue russe. Ensuite, ma mère a immigré en Pologne, et pendant cinq ans, j’ai emmagasiné la langue et la culture polonaise. Puis, à l’âge de 12 ans, je débarque à Nice, et j’emmagasine la culture française.

    Je pense souvent à cette histoire du caméléon, qui prend la couleur du milieu dans laquelle il se trouve, pour se protéger. On met le caméléon sur un tapis rouge, il devient rouge. On le met sur un tapis vert, il devient vert. On le met sur un tapis bleu, il devient bleu. On le met sur un plaid écossais, il devient fou. Je me demande comment je ne suis pas devenu fou. Et je crois que j’ai été sauvé par la compensation de la création littéraire, puisque j’ai à mon actif vingt-cinq romans.

    La vie vous a tout de même bien gâté. Il y a « Les Racines du ciel », ce livre qui a obtenu le prix Goncourt. Il y a vos films, il y a la vie elle-même : vous avez été le mari de Jean Seberg. (…) Avec la fringale de vie que vous avez, je vous soupçonne de rêver encore que vous serez amoureux ?

    Bien sûr. Il est permis de rêver. Surtout à 61 ans, il faut se dépêcher de rêver. Mais vous dites que la vie m’a comblé. Nous avons affaire à quelque chose d’assez désagréable, et d’assez affligeant pour moi – dont je vous sais gré, d’ailleurs, de me permettre d’en parler. C’est vrai qu’il existe cette image de l’homme comblé à laquelle vous vous référez. C’est une image de l’homme extérieur, Romain Gary, qui a été fabriquée entièrement par des gens qui ne le connaissent pas. Il y a une légende Romain Gary. Et je ne sais pas ce que j’ai fait pour en avoir une pareille. On dîne dans le monde sur le dos de Romain Gary. Or, si vous regardez mon agenda, je sors le soir neuf fois par an. Je n’ai presque pas d’existence extérieure mondaine. (…)

    Vous pouvez raconter votre vie, mais pouvez-vous lui donner un sens ?

    Dans quelle mesure peut-on donner un sens à une vie d’homme en général ? Le sens profond de ma vie, ça a été deux amours. Un amour total, dévorant, monstrueux – par son exclusion de tout le reste – du roman et de la littérature, qui me rend tous les autres engagements extrêmement difficiles, et qui me donne un air absent.

    C’est la maîtresse la plus fidèle ?

    Et la plus absorbante, et la plus dévorante. Et deuxièmement, enfin, mon amour de la féminité. Je ne dis pas des femmes, je fais véritablement une sorte de mystique de la féminité, puisque je passe mon temps à réclamer la féminisation du monde.

    Et toute votre œuvre, d’ailleurs, est marquée par cela, c’est presque une allégorie ?

    Je crois que ma mère, que j’ai racontée dans mon autobiographie La Promesse de l’aube, a joué un rôle décisif dans cet amour de la féminité. Mais si nous regardons autour de nous, il est évident que notre civilisation est en proie à des spasmes virils, profondément menaçants, et qui vraiment, nous menacent cruellement.

    D’ailleurs, pour vous, la virilité, c’est un leurre. Vous situez ce problème au stade de la puissance et de l’impuissance...

    Je crois que c’est un des grands problèmes de ce temps, cet abus de la virilité. Cette intoxication, cette infection virile, qui n’a que très peu de rapports authentiques avec la virilité. Je crois que l’Occident, l’Amérique en particulier – toute la littérature américaine, Jack London, Hemingway, aujourd’hui Norman Mailer –, est obsédé par la virilité. C’est le signe d’une dévirilisation profonde, d’une angoisse qui se manifeste à l’extérieur par le machisme, et par des fanfaronnades de virilité, une recherche de substituts virils, dont finalement la bombe nucléaire n’est qu’un exemple grotesque.

    Nous parlions tout à l’heure de cette légende, qui s’est créée autour de vous, mais peut-être à cause de votre physique. Il y a ce masque cuivré, ce collier de barbe grise, ces yeux bleus, il y a une certaine allure. Je crois que vous êtes victime de vous-même...

    Je ne suis pas victime de moi-même. Je suis victime de ma gueule. J’ai une tête qui, à mon avis, ne correspond vraiment pas à ce que je suis à l’intérieur. Et il y a à cela plusieurs raisons. D’abord le mélange des sangs, des ascendances tartares qui sont perçues étrangement dans le contexte occidental. Quand vous voyez en Russie un type un peu tartare, ça n’est pas grave. Mais ici, on l’interprète en termes de caractéristiques morales et psychologiques. Dureté, cruauté, sauvagerie, indifférence.

    En plus de cela, à la suite de blessures de guerre, j’ai une paralysie faciale qui me rend le sourire extrêmement difficile, je n’ai pas de nerf du côté gauche. Et finalement, il y a comme vous dites, ce teint un peu cuivré, probablement d’origine de l’Europe de l’Est. Et comme on ne tient compte dans la vie que de l’étalage, j’ai une tête que l’on juge mal. (…)

    Lorsque vous avez quitté Jean Seberg, ça a été un déchirement ou ça a été une décision logique ?

    Ça a été les deux. Nous avons eu neuf ans de bonheur et pour un homme marié avec une vedette de cinéma de vingt-quatre ans sa cadette, neuf ans de bonheur, c’était parfait. Mais nous avons constaté tous les deux que ça tendait à se déglinguer, qu’il y avait des compromis, des facilités, et nous avons divorcé. Ça a été vraiment pour moi un grand déchirement. Et pour elle aussi, je crois.

    C’est un écueil, pour vous, cette différence qu’il peut y avoir entre un homme et une femme sur le plan de l’âge ?

    Je ne crois pas, mais c’est une question dont on pourrait parler pendant des heures. La grande différence, sur le plan de l’âge, entre un homme et une femme, n’est pas la plupart du temps de l’ordre sexuel, sauf peut-être des cas que je ne connais pas. Là où le drame est profond – je mets sérieusement en garde les personnes jeunes qui veulent épouser des gens plus âgés –, c’est qu’il y a une certaine lassitude devant ce qu’on connaît déjà, et qu’on a beaucoup de peine à vivre une deuxième fois.

    Vous avez 50 ans, vous vivez avec une jeune femme de 22 ans, 23 ans. Vous vous êtes déjà tapé le monde, plusieurs fois, de tous les côtés. Vous avez vécu, beaucoup. Et vous vous retrouvez accompagné d’un être jeune qui commence, et qui a envie de commencer ce rapport avec le monde. C’est extrêmement difficile parce que vous voyez cette jeune personne faire les mêmes erreurs que vous avez faites. Elle n’écoutera pas vos conseils. Et plus vous lui donnerez de conseils, plus vous aurez l’air d’être son père, ce qui est très mauvais pour votre couple. Plus vous la mettez en garde, et plus vous transformez vos rapports homme-femme en rapport fille-père. Et tout cela fait qu’au bout d’un certain temps, on s’est trouvé entre mari et femme, et on finit par se trouver entre un père et une fille, ce qui n’est pas une situation idéale, la plupart du temps, pour un couple.

    Ne peut-on pas parler de toutes ces choses simplement ? Parfois les hommes et les femmes évitent ce genre de discussions. Ils ne veulent pas parler de ce qui touche leur cœur…

    La question que vous soulevez est un grand drame de communication des couples. C’est d’ailleurs l’un des sujets de mon dernier roman, Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable. Même au plus profond de l’amour, l’homme et la femme n’ont pas de fraternité. Le drame des hommes et des femmes, en dehors des situations d’amour, en dehors des situations d’attachement profond, est une sorte d’absence de fraternité. De sorte que parler sur ce qu’il y a de profond, de dangereux, de menaçant, leur est totalement impossible.

    Il y a des couples qui finissent une vie sans avoir parlé de ce qui les sépare et de ce qui aurait pu leur être épargné. Là évidemment, la psychanalyse peut jouer un rôle. Mais très souvent, ces problèmes ne sont même pas d’ordre psychanalytique profond. Ils sont simplement dus à des siècles et des siècles de préjugés, qui font que l’homme doit conserver son image virile et supérieure, la femme doit conserver son image féminine douce et soumise. Finalement cette égalité dans l’explication franche, ouverte, libre, y compris des problèmes sexuels, leur est un tabou. Et cette absence de communication, que j’appelle absence de « fraternité » entre les hommes et les femmes est un des grands drames du couple. (…)

    Vous accordez un extraordinaire intérêt aux femmes qui, à votre avis, ne sont pas assez considérées. Même en ce moment, où on s’occupe beaucoup d’elles...

    Même sans s’engager dans le domaine du féminisme proprement dit, il y a une absence de féminité dans notre civilisation qui est effrayante. Je ne veux pas me lancer dans des propos religieux, d’autant plus que je suis incroyant, mais si vous regardez la parole du Christ, elle est essentiellement féminine. La voix du Christ était une voix de femme, du moins au sens traditionnel que l’on donne à ce terme. Tendresse, pitié, amour, bonté, pardon. Mais ces vertus sont totalement absentes de deux mille ans de notre civilisation. En dehors de l’égalité hommes-femmes, qui est évidente, il faut une transformation des valeurs dites masculines en valeurs féminines.

    C’est pourquoi je ne comprends pas les mouvements féministes qui se réclament d’une sorte de masculinité, à part égale avec les hommes. Elles devraient au contraire se retrancher de plus en plus, et élaborer des valeurs féminines pour en féconder notre civilisation. Mais c’est sans doute une vue un peu trop idéaliste des choses.

    Dans votre nouveau roman, « Au-delà de cette limite votre ticket n’est plus valable », vous rendez peut-être aux femmes leur juste valeur, mais vous remettez surtout les hommes à leur place. Qu’est-ce qu’ils prennent, les hommes ! On va vous dire que vous trahissez la caste...

    Ça m’a été dit. J’ai reçu des lettres de ce genre. J’ai reçu également des insultes d’une dame qui m’a affirmé que je minais la virilité de son mari, et que j’étais un salaud d’avoir écrit ce livre-là. Mais quelle est la critique que je fais, là-dedans ? Je ne critique pas les hommes. Je critique deux mille ans de civilisation qui font peser sur l’homme une hypothèque de fausse virilité et de fanfaronnade de coq, de manifestation extérieure d’une virilité inexistante, ce qui est catastrophique. (…)

    Les séducteurs, les Don Juan, qu’est-ce qu’ils prennent !

    J’ai toujours eu horreur de ça. Le Don Juan, c’est le petit consommateur, c’est lui qui a inventé la société de consommation. Ce besoin de changer de femme continuellement, qu’est-ce que ça veut dire ? C’est un signe d’impuissance ! Ce n’est d’ailleurs pas moi qui le dit, c’est un cliché, du point de vue psychanalytique. L’homme qui a continuellement besoin de changer de femme pour se renouveler, pour se ranimer, est en réalité un homme qui est sur le déclin, ou qui n’a jamais été d’ailleurs bien fort.

    Le véritable plus grand amant de tous les temps, c’est quelque paysan de Corrèze ou du Lot, qui fait l’amour à sa femme deux fois par jour depuis trente-cinq ans. Ça, chapeau ! C’est un véritable Don Juan, mais l’autre, le pauvre, c’est un minable.

    Et il faudrait absolument en sortir, et nous n’en prenons pas le chemin. Les femmes elles-mêmes s’animent quand elles entendent parler de séducteurs, prennent des petits sourires intrigués et ravis. Et les hommes ont des sourires bêtes, ineptes. Cela fausse complètement tout rapport authentique et de profondeur entre l’homme et la femme. Cela rend le couple absurde. Je crois profondément au couple.

    Et à la fidélité ?

    Oui, mais pas à la fidélité épidermique, quand même. La fidélité de dévouement profond de l’un à l’autre, qui peut se contenter très bien de quelque égarement en cas d’absence. Je crois que la vérité des rapports de l’homme et de la femme, c’est le couple, et tout le reste c’est de la crème chantilly. C’est très bon, la crème chantilly, mais enfin la vérité et la profondeur, c’est cette espèce d’équipe à deux, de soudure profonde, de complicité, cette entente instinctive de tous les instants, ce partage de tous les buts dans la vie et de tout ce qu’on veut faire, des rêves aussi, qui est absolument irremplaçable et qui a été l’une des grandes beautés, l’un des grands fleurons de la civilisation occidentale. Parce que c’est nous, quand même, qui l’avons inventé. (…)

    Vous avez l’impression de vous être éloigné de votre enfance ? D’être sorti de « la promesse de l’aube » ?

    Non. Je crois que le jour où je m’éloignerai complètement de mon enfance, je ne pourrai plus écrire, je ne serai plus un romancier. Je crois avec Groddeck, avec Adler, avec Freud, que la fonction créatrice est très profondément liée à l’enfance. Tuer l’enfant, c’est vraiment tuer tout rapport avec la créativité.

    #féminité #amour #radio #caméléon

    • #le Monde
    colporteur @colporteur CC BY-NC-SA
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 20/10/2018

      #virilité #virilisme

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @_nka
    plus que zéro @_nka CC BY-NC-SA 25/05/2018

    Le faux compte #Instagram qui affole le monde de l’#art contemporain | Slate.fr
    ▻http://www.slate.fr/story/113329/faux-compte-instagram-art-contemporain

    http://www.slate.fr/sites/default/files/styles/1200x680/public/amalia.jpg

    Performance de #féminités - #Amalia-Ulman
    #réseaux-sociaux

    plus que zéro @_nka CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 8/03/2018
    1
    @mad_meg
    1

    Contre les publicités sexistes

    La publicité exploite le #corps des femmes pour susciter du #désir, générer de l’envie, exacerber les frustrations et rendre le produit à vendre attirant. Soumise aux normes aliénantes d’une #beauté stéréotypée, symbole du #plaisir_sexuel, ou encensant la ménagère passive cantonnée dans sa cuisine, l’#image des #femmes n’a jamais été autant instrumentalisée. Omniprésentes et conçues pour marquer les esprits, ces #représentations modèlent notre imaginaire et participent à la construction des #normes de #genre : d’un côté, la #féminité associée à la #jeunesse, à la #beauté et à la #maternité et, de l’autre, la #virilité à la #force, à la #puissance et à l’action. Loin d’être un art, tout sauf inoffensive – c’est-à-dire perçue au second degré par des consommateurs responsables –, la publicité véhicule les pires #clichés sexistes et renforce la #domination_patriarcale.

    https://www.lechappee.org/sites/default/files/styles/couverture_ouvrage/public/images-ouvrages/Contre-les-publicite%CC%81s-sexistes.jpg?itok=PuW6RMR_#.jpg

    ▻https://www.lechappee.org/collections/pour-en-finir-avec/contre-les-publicites-sexistes
    #livre #sexisme #publicité #publicités_sexistes #imaginaire

    CDB_77 @cdb_77
    • @bce_106_6
      Renée Pélagy @bce_106_6 8/03/2018

      Contre toutes les publicités

      Renée Pélagy @bce_106_6
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  • @rastapopoulos
    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 22/10/2017
    1
    @ktche
    1

    Le côté obscur du capital. « Masculinité » et « féminité » comme piliers de la modernité, par Johannes Vogele
    ►http://www.palim-psao.fr/2017/10/le-cote-obscur-du-capital.masculinite-et-feminite-comme-piliers-de-la-mod

    https://img.over-blog-kiwi.com/1/48/88/48/20171021/ob_34c434_maxernst.gif

    À l’origine :
    ▻http://www.exit-online.org/textanz1.php?tabelle=transnationales&index=3&posnr=153&backtext1=text1.

    Le marxisme traditionnel ainsi que le mouvement ouvrier et la gauche en général n’ont jamais considéré – en tout cas jusqu’aux années 1970 – que le rapport entre les genres était fondamental. Quand ils le prenaient en considération, l’oppression des femmes était pour eux un dérivé – une « contradiction secondaire » selon les termes du marxisme traditionnel – de l’oppression en général, qui était voué à disparaître avec elle.

    D’autres, comme certains courants féministes, voient le patriarcat comme un système quasi ontologique de l’exploitation, dont le capitalisme ne serait que la dernière adaptation.

    En Allemagne, Roswitha Scholz a développé à partir des années 1990 – d’abord dans la revue Krisis et aujourd’hui dans la revue Exit ! – une conception du capitalisme comme système fondamentalement basé sur le rapport social asymétrique entre les genres. Sans vouloir prétendre que les sociétés pré- ou non capitalistes ont connu (ou connaissent) des rapports égalitaires entre hommes et femmes, elle définit le capitalisme comme une forme sociale déterminée par la scission sexuelle entre le « masculin » et le « féminin », ce qu’elle appelle la « dissociation-valeur ».

    « D’un point de vue théorique, le rapport hiérarchique entre les genres doit être examiné dans les limites de la modernité. On ne peut faire de projections sur des sociétés non modernes. Cela ne veut pas dire que le rapport moderne entre les genres n’ait pas eu de genèse, laquelle d’ailleurs peut être retracée jusqu’à l’Antiquité grecque. Mais dans la modernité, avec la généralisation de la production marchande, il prend tout de même une tout autre qualité. Sur fond du “travail abstrait devenant un but en soi tautologique”, la “banalité de la monnaie se répand” (Robert Kurz) et les domaines de production et de reproduction se séparent. L’homme devient responsable du secteur de production et de la sphère publique en général et la femme surtout du secteur de reproduction sous-valorisé ».

    Dans l’article qui suit, je vais essayer de présenter un aperçu de cette théorie critique qui ne se comprend pas comme une construction accomplie mais comme un processus. En dehors des approximations de cet article, pour lesquelles je suis seul responsable, cette élaboration a surtout été celle de Roswitha Scholz, de Robert Kurz et de quelques autres se retrouvant aujourd’hui autour de la revue Exit ! en Allemagne.

    #Roswitha_Scholz #critique_de_la_valeur #wertkritik #capitalisme #patriarcat #marxisme #masculinité #féminité #dissociation-valeur

    RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @mad_meg
    mad meg @mad_meg CC BY 16/07/2017
    1
    @fsoulabaille
    1

    Intimités numériques
    ▻http://gss.revues.org/3945

    http://gss.revues.org/docannexe/file/4029/j1graphic-small300.jpg

    Un nouveau numéro qui à l’air bien riche et interessant

    Présentation
    Maude Gauthier et Élisabeth Mercier
    Perspectives #queer et féministes pour un regard critique sur l’intimité dans les #médias #numériques [Texte intégral]
    Queer and Feminist Analyses of Intimacy in Digital Media
    Articles
    Claire Balleys
    L’incontrôlable besoin de #contrôle [Texte intégral]
    Les performances de la #féminité par les adolescentes sur YouTube
    The Uncontrollable Need for Control. Teenagers Performances of Femininity on YouTube
    Noémie Marignier
    « Gay ou pas gay ? » Panique énonciative sur le forum jeuxvideo.com [Texte intégral]
    “Gay or Not Gay ?” Enunciative Panic On The jeuxvideo.com Online Community
    Myriam Lavoie-Moore
    « Trying to avoid », « trying to conceive » : (re)produire une féminité contradictoire par la quantification [Texte intégral]
    « Trying to avoid », « trying to conceive » : (re)producing a paradoxical feminity through quantification
    Nathan Rambukkana et Maude Gauthier
    L’adultère à l’ère numérique : Une discussion sur la non/monogamie et le développement des technologies numériques à partir du cas Ashley Madison [Texte intégral]
    Adultery in the Digital Era : A discussion about non/monogamy and digital technologies based on the website Ashley Madison

    Varia

    Vulca Fidolini
    Habiter l’ordre hétéronormatif et la masculinité par le mariage [Texte intégral]
    Inhabiting the Heteronormative Order and Masculinity through Marriage
    Myriam Le Blanc Élie, Julie Lavigne et Sabrina Maiorano
    Cartographie des pornographies critiques [Texte intégral]
    Mapping Critical Pornographies
    Simon Massei
    L’esquisse du genre [Texte intégral]
    Représentations de la féminité et de la masculinité dans les longs-métrages Disney (1937-2013)
    Sketching gender. Representations of femininity and masculinity in Disney’s full length animated movies (1937-2013)
    Johann Chaulet et Sébastien Roux
    Le mot et le geste [Texte intégral]
    Sexualité et affectivité en situation de handicap
    The Word & the Gesture. Sexuality, Affectivity, Disability

    (pas encore lu)

    mad meg @mad_meg CC BY
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 16/07/2017

      Non je connais pas. Merci @aude_v

      mad meg @mad_meg CC BY
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  • @gonzo
    gonzo @gonzo CC BY-NC 3/04/2017
    5
    @reka
    @marielle
    @alaingresh
    @orientxxi
    @kassem
    5

    « Wrap » ton hijab ! | Boucle Magazine
    ▻https://www.bouclemagazine.com/2017/03/wrap-ton-hijab

    ❝On va mettre une chose au clair dès maintenant : je ne suis pas musulmane. Je suis Libanaise maronite, un courant chrétien oriental qui suit les rites de l’Église catholique avec un mélange de rites orthodoxes. Ceci dit, je me sens très proche du combat féministe de mes sœurs musulmanes et des inégalités qu’elles subissent.

    (...) Ce vidéoclip sur le hijab est là pour dénoncer, mais aussi ajouter une touche de légèreté dans les commentaires blessants et souvent insignifiants que reçoivent les hijabis. Elles sont ignorées dans certains combats féministes, elles sont mises de côté dans les discussions sur leurs propres droits. C’est injuste pour elles, pour nos sociétés qui ont tant à gagner de ces femmes-là. C’est injuste que la peur de l’autre, la peur constante, ne nous permette pas d’inclure celles qui sont différentes et qui veulent se joindre au combat.

    Alors que les commentaires fusent contre le hijab en dessous de la vidéo, un autre genre de commentaires apparaît aussi : des commentaires de personnes qui considèrent que Mona n’est pas une « bonne musulmane » parce qu’elle danse, qu’elle fait une chanson et qu’elle s’est complètement intégrée au sein de la culture dite « occidentale ». Mona, avec son hijab, sa belle bedaine de femme enceinte, sa condamnation des préjugés et des stéréotypes, sa poésie et ses paroles vindicatives, est la cible de tous.

    Je sais qu’elle est forte et qu’elle en rit, mais ça ne change pas le fait que ce n’est pas en attaquant quelqu’un qui veut changer et faire avancer le monde qu’on arrive à faire éliminer les préjugés sociaux et raciaux. Je trouve surtout que le vidéoclip et le rap de Mona sont une façon intelligente de s’approprier une musique qui a souvent été là pour dénoncer des situations d’oppression. Dans cet esprit, Mona fait preuve d’intersectionnalité intéressante sans tomber dans l’appropriation culturelle. Je lui lève mon chapeau et, surtout, j’admire profondément la voix qu’elle donne aux femmes musulmanes hijabis, une voix multidimensionnelle, multiculturelle et surtout féministe.

    ▻https://www.youtube.com/watch?v=XOX9O_kVPeo

    Je sens qu’on va en causer... du #voile

    gonzo @gonzo CC BY-NC
    • @marielle
      marielle 🐢 @marielle 3/04/2017

      #beauté #féminité #féminisme

      marielle 🐢 @marielle
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  • @beautefatale
    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 24/09/2016
    9
    @mad_meg
    @martin5
    @tetuenet
    @reka
    @sinehebdo
    @7h36
    @fil
    @soseen
    @ze_dach
    9

    Avec « Ronde Bosse », la cinéaste Laurence Michel offre son crâne rasé aux regards étonnés
    ▻http://information.tv5monde.com/terriennes/avec-ronde-bosse-la-cineaste-laurence-michel-offre-son-crane-r

    C’est un film extrêmement sensible, aux cadrages toujours très recherchés. La cinéaste Laurence Michel est aussi monteuse, et cela se sent dans « Ronde-Bosse », un documentaire de 30’ où elle met en scène sa réalité. La tête rasée, par choix et non par nécessité, elle part à la rencontre de femmes, et uniquement de femmes, dont la chevelure constitue un ressort essentiel de leur vie : des coiffeuses pour dames, des malades revenues de leur cancer et de la perte de leurs cheveux, des comédiennes du genre « new burlesque » qui font leur miel des clichés de la féminité.

    Cette promenade impressionniste conduit les spectateurs à s’interroger sur le rejet des femmes rasées, sur l’importance de la toison dans la définition de la beauté au féminin. Est-ce le poids des religions, de l’histoire avec l’évocation des détenues, des rescapées des camps d’extermination, des tondues de la Libération en France pour fait de collaboration sexuelle, ou encore le rejet homophobe d’un signe parfois perçu comme un marqueur d’identité homosexuelle ?

    Voir le film :
    ▻https://vimeo.com/114748207

    #féminité #cheveux

    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 25/09/2016
      @tetue

      @tetue

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @tetuenet
      tetue.net @tetuenet 25/09/2016

      Oooooooh !

      tetue.net @tetuenet
    • @beautefatale
      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 25/09/2016
      @mad_meg @tetue

      @mad_meg @tetue :) Le film est super intéressant

      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 25/09/2016

      Complémentaire :

      L’afro, un cheveu sur la soupe
      LAETITIA KOMBO, Le Journal En Couleur, le 19 septembre 2016
      ►https://seenthis.net/messages/527491

      #Femmes #Noires #Discriminations #Racisme #Intersectionnalité #Cheveux #Afro #Choix

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 16/06/2016
    6
    @mad_meg
    @fadixu
    @rezo
    @7h36
    @fredlm
    @solitudemaisdishuits
    6

    LOL : tout savoir sur la conduite idéale des filles idéales (riches, blanches et hétérosexuelles)
    ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/lol-tout-savoir-sur-la-conduite-ideale-des-filles-ideales-riche

    Synopsis de Wikipédia L’histoire sert un portrait de la jeunesse parisienne. C’est un film inspiré d’une histoire vraie qui tente de donner une image plus ou moins réussie de la vie des adolescents du XXIe siècle des beaux quartiers de Paris (ici probablement du 16e arrondissement). Plusieurs thèmes de l’adolescence entrent en jeu comme le conflit […]

    #Cinéma #amitié #amour #antiféminisme #féminité #hétérosexisme #male_gaze #masculinisme #masculinité #misogynie #racisme #sexualité_s_

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
    • @touti
      vide @touti 18/06/2016

      Il y a quelques années, j’avais été à la femis pour voir les films des étudiants et j’avais été frappé du regard de petit bourgeois friqué qui s’en dégageait, de l’attitude des corps, à la diction ou aux paroles, jusqu’aux décors, tout suintait le 16em. C’est bien de cette petite bulle névrosée dont se nourrit le #cinéma_français, et ne rêvez pas, les aides du CNC veille à ne rien laisser passer d’autre même si il y a eu un temps ou C+ avait œuvré pour les Courts Métrages et un autre type de réalisatrices et réalisateurs.

      vide @touti
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 14/06/2016
    4
    @monolecte
    @heautontimoroumenos
    @alimielle
    @fredlm
    4

    La sexualité des jeunes marquée par les inégalités entre les sexes
    ▻http://www.lemonde.fr/societe/article/2016/06/14/la-sexualite-des-jeunes-marquee-par-les-inegalites-entre-les-sexes_4949835_3

    http://s1.lemde.fr/image/2016/06/14/644x322/4949833_3_f916_dans-les-salles-de-zizi-sexuel-l_11f6af15a3084a72171262f6bbcace97.jpg

    Néanmoins, des #stéréotypes pèsent, selon les spécialistes et les enquêtes sur le sujet, passées en revue par le HCE. « Les jeunes filles subissent la double injonction de devoir se montrer désirable mais respectable, “être amoureuse” étant un prérequis pour ne pas devenir celle qui “couche” trop vite avec “n’importe qui”, écrit le HCE. Les jeunes hommes sont quant à eux valorisés selon une norme de #virilité, et notamment une appétence supposée naturelle pour la #sexualité, associée à un “#besoin_sexuel” ». Les individus qui n’entrent pas dans la norme, notamment quand ils sont identifiés comme #homosexuels, peuvent subir des #discriminations.

    « La question du #consentement est également fortement marquée par les normes hiérarchisées de #masculinité et de #féminité (…), relève le rapport. La #possessivité de certains garçons, qui peut se traduire en #violence physique, est perçue comme une marque d’amour. »

    #sexisme #culture_du_viol

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 14/06/2016

      Le plus souvent, l’éducation à la sexualité est associée au cours de sciences de la vie et de la Terre. Les thèmes abordés sont la reproduction, la contraception, l’IVG, la prévention du VIH… Et non les relations amoureuses, le plaisir, le respect entre les sexes, ou les violences sexuelles. « La réticence à aborder ces sujets n’est pas spécifique à l’éducation nationale, relève Danielle Bousquet. Elle existe dans toute la société française. »

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 14/06/2016

      #genre

      CDB_77 @cdb_77
    • @heautontimoroumenos
      Pierre Coutil @heautontimoroumenos CC BY-NC-SA 14/06/2016

      #éducation #éducation_à_la_sexualité #sexisme #inégalités #sexualité #HCE

      Pierre Coutil @heautontimoroumenos CC BY-NC-SA
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  • @beautefatale
    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 23/05/2016
    1
    @supergeante
    1

    Qu’est-ce que la féminité ? - Les 400 culs
    ►http://sexes.blogs.liberation.fr/2016/05/22/quest-ce-que-la-feminite

    Dans la plupart des sociétés humaines, la féminité est artificiellement construite sur la base d’un discours qui impose le devoir d’être plus faible, plus fine, plus légère, plus vulnérable, plus chancelante, plus tendre et plus périssable. Ce discours s’appuie sur des pratiques visant à empêcher la femme de se muscler, de se nourrir, de s’instruire ou de se défendre comme les hommes. Ces mesures prennent la forme de pénalités. En Occident, les femmes n’ont pas le droit de courir le marathon jusqu’à une époque récente. « On disait aux femmes : si tu te fatigues trop, ton utérus va tomber ». Ainsi que le raconte l’Américaine Kathrine Switzer, la première femme à terminer un marathon avec un dossard enregistré, même les médecins participent à la désinformation. 42 kilomètres de course ? Impossible pour un corps féminin, disent-ils.

    #féminité #sexisme #femmes #sport

    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 23/05/2016

    Les 400 culs - Qu’est-ce que la féminité ? - Libération.fr
    ►http://sexes.blogs.liberation.fr/2016/05/22/quest-ce-que-la-feminite

    Dans la plupart des sociétés humaines, la #féminité est artificiellement construite sur la base d’un discours qui impose le devoir d’être plus faible, plus fine, plus légère, plus vulnérable, plus chancelante, plus tendre et plus périssable. Ce discours s’appuie sur des pratiques visant à empêcher la #femme de se muscler, de se nourrir, de s’instruire ou de se défendre comme les hommes. Ces mesures prennent la forme de pénalités. En Occident, les femmes n’ont pas le droit de courir le marathon jusqu’à une époque récente. « On disait aux femmes : si tu te fatigues trop, ton #utérus va tomber ». Ainsi que le raconte l’Américaine Kathrine Switzer, la première femme à terminer un marathon avec un dossard enregistré, même les médecins participent à la désinformation. 42 kilomètres de course ? Impossible pour un corps féminin, disent-ils. Il faut voir le film Free to run (sorti en salles en février 2016) pour comprendre.

    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 18/05/2016
    6
    @reka
    @mad_meg
    @monolecte
    @7h36
    @rezo
    @solitudemaisdishuits
    6

    Une journée devant Gulli
    ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/une-journee-devant-gulli

    Sur Internet – beaucoup sur ce site, on peut trouver des critiques de Disney ou de Pixar de points de vue féministes, anti-racistes, anti-spécistes ou anti-classistes. Les dessins animés du quotidien qui passent à la télé semblent échapper miraculeusement à ces critiques. Pourtant, selon Eurodata TV Worldwide, les enfants européens passent en moyenne deux heures […]

    #Films_d'animation #famille #féminité #hétérosexisme #masculinité #sexisme

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
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  • @tradfem
    Tradfem @tradfem 30/04/2016
    11
    @val_k
    @mad_meg
    @monolecte
    @odilon
    @7h36
    @gastlag
    @vanderling
    @suske
    @aktivulo1
    @alimielle
    11

    #Aurora_Linnea : Revendiquer la féminité, c’est paralyser le féminisme

    ▻https://tradfem.wordpress.com/2016/04/30/aurora-linnea-revendiquer-la-feminite-cest-paralyser-le-feminisme

    Quand des femmes célèbrent la féminité, les féministes subissent deux pertes fatales : premièrement, nous renonçons à nous connaître les unes les autres, en tant que femmes, en gardant le costume de la féminité bien cousu à notre peau ; deuxièmement, nous glorifions (et renforçons) les architectures sociales qui contraignent les femmes à des cycles de dégoût de soi, de honte, de violence et de dépendance. L’« empowerment par la féminité » ne subvertit pas le pouvoir des hommes de coloniser les femmes, psychiquement et physiquement. C’est une célébration de la réussite du patriarcat à définir ce que les femmes sont, ce que les femmes peuvent être et comment les femmes peuvent exister dans ce monde.

    Le fait d’être féministe n’exclut pas nécessairement de porter du mascara, de la dentelle ou même de vous plonger la tête dans un seau de foutues paillettes roses ; mais se blottir contre la féminité, comme si c’était un trésor spécial à goûter et préserver, contredit les objectifs mêmes du féminisme.

    Traduction : #Tradfem
    Original : ▻http://www.feministcurrent.com/2016/01/04/reclaiming-femininity-crippling-feminism

    Aurora Linnea est écrivaine, artiste et recluse, amoureuse de chiens, à la dérive dans le sud des États-Unis. Elle a signé le court essai This Mutilated Woman’s Head, entre autres œuvres de dissidence féministe.

    https://tradfem.files.wordpress.com/2016/04/sexy-blond.jpg?w=208&h=300

    #féminité #féminisme #Feminist_Current

    Tradfem @tradfem
    • @beautefatale
      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 1/05/2016

      Oui, je l’ai vu, et je suis d’accord sur certains trucs (le « pop féminisme », ou « tu peux être féministe tant que tu restes baisable », me pose plein de problèmes aussi), mais je ne suis pas très convaincue, déjà parce qu’elle ne définit jamais ce qu’elle entend par « féminité ». Or il y a PLEIN de manières d’être « féminine ». Est-ce qu’avoir les cheveux longs c’est saboter le féminisme ? Se maquiller ? Porter des gros bijoux ? Etc.

      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
    • @val_k
      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 1/05/2016

      Il me semble qu’à aucun moment il n’est question de remettre en question (  ! ) cheveux longs et jupes courtes. C’est le fait de revendiquer la féminité jolie comme du féminisme qui lui ( me aussi ) pose problème. J’ai ce souci avec la ( légitime ) campagne sur les femmes combattantes kurdes, quand on parle de leur féminisme ( réel ) et qu’on ne montre que les plus jolies. Les zapatistes et leur paliacate, ou mieux, leur passe-montagne, permettent d’éviter un peu cet écueil.

      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 1/05/2016

      ▻http://www.zones-subversives.com/2016/04/plaisir-feminin-et-clitoris.html
      L’émancipation passe aussi par le plaisir et la sensualité. La méconnaissance qui entoure le clitoris révèle l’ordre moral et patriarcal.

      http://www.lamusardine.com/images_produit/030309-352x500.jpg

      Surtout, l’égalité des sexes n’a pas progressé. Dans ce sens, évoquer le plaisir féminin favorise davantage l’égalité. La sexualité reflète les inégalités sociales qui se jouent dans d’autres sphères. « La revanche du clitoris sur des millénaires d’obscurantisme, c’est celle des femmes qui affirment, assument, partagent aujourd’hui leurs goûts et envies en dépit du double standard qui continue de leur être proposé (sainte ou salope) », soulignent #Maïa_Mazaurette et #Damien_Mascret.

      Vanderling @vanderling
    • @beautefatale
      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 1/05/2016
      @val_k

      @val_k Non, ce n’est dit à aucun moment, mais elle ne définit à aucun moment non plus le terme qu’elle emploie, c’est quand même un problème. Je connais des femmes hyper féminines (longue chevelure soignée, maquillage théâtral, parfum, bijoux) mais qui en même temps ne correspondent pas aux critères de baisabilité communément admis : vêtements longs et amples, corps très plantureux (et en plus certaines ont le culot d’être vieilles). Où est-ce qu’on les range ? Féminité n’est pas forcément synonyme de « joli » ni de correspondance aux critères de beauté dominants.

      Mais d’accord sur les combattantes kurdes, c’était typiquement mon problème avec les Femen aussi.

      (Oh et aussi : je crois bien que je tiens à mon idée d’une part de ce qui est défini comme « féminité » comme « trésor de guerre » : ►http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=149#chap02 )

      Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
    • @val_k
      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA 1/05/2016

      tu viens peu ou prou (maquillage en moins) de me décrire et ça me va parfaitement de n’être rangée ni dans les baisables ni des les féminines. Moi je m’balance de ces devoirs de définition : féminisme, étymologiquement, me convient amplement : ▻http://www.cnrtl.fr/etymologie/feminisme : pour le droit des femmes ; qu’elles le demandent ou non, qu’elles soient mignonnes, garçonnes, stupides, frigides, belles ou rebelles, peu m’importe. Mais dire que la féminité est un attribut qui peut renforcer le féminisme est une promesse de comparaison et donc de césure dans nos différences qui me hérisse les poils (et à la fin de l’hiver j’en ai beaucoup !)

      ¿’ ValK. @val_k CC BY-NC-SA
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 20/03/2016
    2
    @mad_meg
    @02myseenthis01
    2

    The Danish Girl : un mélo transphobe
    ►https://www.lecinemaestpolitique.fr/the-danish-girl-un-melo-transphobe

    Remarques préliminaires : le film met en scène un personnage pour lequel les genres masculin et féminin sont en concurrence, et qui oscille entre les deux. Aussi l’usage fait du prénom et du pronom pour désigner ce personnage dans cet article tâche-t-il de correspondre à cette ambivalence telle qu’elle se manifeste à l’écran. En revanche, […]

    #Cinéma #féminité #hétérosexisme #masculinité #misogynie #sexualité_s_ #trans

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 11/03/2016
    4
    @reka
    @mad_meg
    @babyfawn
    @elsa
    4

    The Danish Girl : un mélo transphobe
    ►http://www.lecinemaestpolitique.fr/the-danish-girl-un-melo-transphobe

    Remarques préliminaires : le film met en scène un personnage pour lequel les genres masculin et féminin sont en concurrence, et qui oscille entre les deux. Aussi l’usage fait du prénom et du pronom pour désigner ce personnage dans cet article tâche-t-il de correspondre à cette ambivalence telle qu’elle se manifeste à l’écran. En revanche, […]

    #Cinéma #féminité #hétérosexisme #masculinité #misogynie #sexualité_s_ #trans

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
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  • @beautefatale
    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 4/02/2016
    2
    @jef_klak
    @gastlag
    2

    « Comme l’extérieur ne l’imaginait pas »… Le vêtement, entre individualité et affirmation de la puissance collective
    ▻https://chrhc.revues.org/4834

    Nous avons pu contacter et rencontrer Dominique Desanti grâce à Colette Rothschild, normalienne communiste, son amie depuis 1937. Les deux femmes s’étaient rencontrées à l’École normale supérieure, rue d’Ulm, où Colette Rothschild, promotion 1936 section mathématiques, venait d’être admise. L’une pratiquait une forme militante de refus de s’habiller, l’autre se voulait élégante en toutes circonstances.

    #mode #militantisme #féminisme #féminité #communisme #élégance #vêtement

    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
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  • @beautefatale
    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND 20/12/2015
    3
    @tetue
    @reka
    @fadixu
    3

    PAS FÉMININE (en 5 leçons) | solangeteparle - YouTube
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=U_cHKUTfybg

    #féminité #sexisme #talons #poids #poils #épilation #beauté

    • #YouTube
    Beauté fatale @beautefatale CC BY-NC-ND
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 21/12/2015

      C’est superbe. Merci Mona d’avoir signalé cet opus.

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @koldobika
      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA 21/12/2015

      vidéo qui a inspiré des réactions contrastées ▻http://seenthis.net/messages/441138

      koldobika @koldobika CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 1/09/2015
    8
    @sandburg
    @reka
    @mad_meg
    @odilon
    @gastlag
    @7h36
    @touti
    @02myseenthis01
    8
    @reka @odilon @mad_meg

    Quel discours passionnant de cette jeune fille, Kahina, soeur de Sohane...
    #Ni_putes_ni_soumises : portrait de #Kahina (R) 5

    A l’occasion de la #marche_des_filles des cités du 11 octobre 2002 - qui débuta symboliquement à #Vitry, là où sept jours plus tôt, #Sohane était brûlée vive - Kahina, sa sœur aînée revient sur le drame et raconte.

    http://static.franceculture.fr/sites/default/files/imagecache/ressource_full/2015/07/06/5060199/quand_les_filles_mettent_les_voiles.jpg

    ▻http://www.franceculture.fr/emission-les-pieds-sur-terre-ni-putes-ni-soumises-portrait-de-kahina-r
    #genre #égalité #femmes #banlieue #féminité #masculinité #cités #France #portrait #secondos #deuxième_génération #migrations #violence #soumission #meurtre #hommes #filles #garçons

    cc @reka tu dois l’écouter, cette fille est trop bien !

    Et je pense bien que ça peut intéresser aussi @odilon et @mad_meg

    CDB_77 @cdb_77
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 1/09/2015
      @supergeante

      #honneur #misogynie #dressage #oppression #objectivation #respect #cendres
      En effet ca m’intéresse. Je l’écoute presentement. De mon côté je te conseil la série Nasawiyat sur #france_culture
      La saison 1 dresse les portraits de féministes au Maghreb
      ▻http://www.franceculture.fr/emission-nasawiyat-ete-14
      La saison 2 fait les portraits des feministes afro-decendantes vivant en France. ▻http://www.franceculture.fr/emission-nasawiyat-0
      Il me semble que les premiers episodes de la saison 2 donnent la parole à quelques militantes de NPNS.
      C’est @aude_v et @supergeante qui les ont poster sur seenthis et j’ai beaucoup aimer ces émissions.

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 1/09/2015

      ▻http://media.radiofrance-podcast.net/podcast09/10078-09.07.2015-ITEMA_20774626-0.mp3

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @tetue
      tetue @tetue CC BY 1/09/2015

      Rôh… mais… c’est ma photo sur le site de France Culture !

      Oui, Kahina, en plus d’avoir le courage de ne pas se taire, tenait des propos remarquables, lucides, apaisants et constructifs, m’en souviens bien. Respect.

      J’avais suivi l’affaire et participé aux manifs de soutien :
      ▻http://romy.tetue.net/sohane-morte-brulee-vive
      ▻http://romy.tetue.net/les-filles-des-cites-invisibles
      ▻http://romy.tetue.net/les-jeunes-filles-brulees-vives-dont-personne-ne-parle
      ▻http://romy.tetue.net/marche-de-soutien-a-chahrazad-victime-du-machisme
      ▻http://romy.tetue.net/justice-pour-sohane-brulee-vive

      #NPNS

      tetue @tetue CC BY
    • @notabene
      Stéphane Deschamps @notabene CC BY-NC-SA 2/09/2015
      @tetue

      @tetue :

      Rôh… mais… c’est ma photo sur le site de France Culture !

      Je ne tevois pas créditée… ?

      Stéphane Deschamps @notabene CC BY-NC-SA
    • @tetue
      tetue @tetue CC BY 2/09/2015
      @notabene

      @notabene : spa le plus grave :) mais ce qui m’agace quand même, c’est la restriction des droits qu’ils font, transformant la licence libre CC-by-sa en ©DR :(

      tetue @tetue CC BY
    • @notabene
      Stéphane Deschamps @notabene CC BY-NC-SA 3/09/2015
      @tetue

      @tetue c’était bien la remarque que je me faisais, mais bordéliquement dans ma tête au ralenti.

      Stéphane Deschamps @notabene CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 3/09/2015

      Ce signe qui ne s’applique traditionnellement qu’à la Propriété Littéraire et Artistique signifie « Copyright » ("Droit d’auteur" ou « Droit de Copie » en langue Anglaise) et indique la présence d’une création déposée ou non mais bénéficiant d’une protection au titre de la Propriété Intellectuelle et plus précisément du Droit d’Auteur. L’insertion de ce sigle est facultative dans la majorité des pays du monde mais indispensable dans les pays (notamment les Etats-Unis d’Amérique) imposant l’enregistrement d’un copyright pour prétendre percevoir des droits d’auteur.

      Bien que facultative, l’apposition du symbole ou signe copyright © sur (ou généralement sous) une création reste cependant préférable dans la mesure ou un copieur pourrait « de bonne foi » prétendre qu’il pensait que la création copiée était libre de droits...

      Il n’est pas nécessaire d’avoir procédé au dépôt d’une création pour y apposer le signe ou logo copyright. En effet, le droit Français (et Européen en général) considère qu’une création est protégée du seul fait de son existence. La protection en question peut donc être en toute légalité signalée aux tiers par l’apposition du symbole ou signe copyright ©.

      Il est en revanche parfaitement illégal d’apposer le signe ou logo copyright sur une création dont on n’est pas l’auteur.

      L’utilisation du signe ou logo copyright © est enfin tellement répandue que la force dissuasive du message est maintenant devenue quasiment inexistante.

      ▻http://www.copyrightfrance.com/hypertext/copyright_logo_symbole_signe_sigle_clavier.htm

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @tetue
      tetue @tetue CC BY 3/09/2015

      Il y a aussi « DR », abréviation de droits réservés, « mention apposée à la place du crédit de l’auteur d’une œuvre orpheline, c’est-à-dire une œuvre dont il est impossible ou difficile d’identifier l’auteur », chose peu crédible car la photo ne connaissait, avant cette reproduction sur FC, qu’une seule occurrence sur la toile : l’original sur Flickr, où auteur·e et conditions de reproduction sont explicites. Et toc.

      ▻https://www.flickr.com/search/?user_id=23101854%40N00&tags=sohane&view_all=1

      Flickr

      tetue @tetue CC BY
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 30/08/2015
    8
    @mad_meg
    @reka
    @rezo
    @7h36
    @supergeante
    @colporteur
    @solitudemaisdishuits
    @goom
    8

    Buffy contre les vampires (1997 – 2003), partie IV : la sexualité
    ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/buffy-contre-les-vampires-1997-2003-partie-iv-la-sexualite

    La partie I, qui analyse l’inversion genrée des pouvoirs dans Buffy, est ici ; la partie II, sur le racisme de la série, est par là ; et la partie III, pour une analyse de l’intrication entre #sexisme, classisme et psychophobie se trouve là. Trigger warning viols et agressions sexuelles.  Les thèmes autour de la […]

    #Séries #féminité #hétérosexisme #male_gaze #masculinité #misogynie #sexualité_s_ #viol

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
    • @supergeante
      Supergéante @supergeante 31/08/2015

      Enfin, une analyse de cette série géniale en français !

      Supergéante @supergeante
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 28/08/2015

    “Suis-je sexy ?”, ou la #féminité en question - Télévision - Télérama.fr
    ▻http://television.telerama.fr/television/suis-je-sexy-ou-la-feminite-en-question,130654.php

    http://images.telerama.fr/medias/2015/08/media_130654/suis-je-sexy-ou-la-feminite-en-question,M248747.jpg

    Question subsidiaire : est-ce que j’en ai quelque chose à foutre ?

    Ce film était d’abord l’occasion pour moi de réfléchir sérieusement à mon avenir en tant que femme ayant atteint la cinquantaine. Et au fait qu’à partir d’à peu près 45 ans, on devient de plus en plus invisible aux yeux des hommes et de la société. Quand j’étais jeune, “sexy” n’était pas une expression à la mode. “Sexy” signifiait plutôt “cheap” et ne correspondait pas à l’image que l’on se faisait d’une jeune fille de bonne famille.

    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 28/08/2015

      #facepalm

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @mad_meg
    mad meg @mad_meg CC BY 30/07/2015

    Les Bitches dans le Gangsta Rap
    ►http://larumeurmag.com/blog/2015/07/19/les-bitches-dans-le-gangsta-rap

    http://i.guim.co.uk/img/static/sys-images/Music/Pix/pictures/2013/1/11/1357912164827/Sleeve-for-BWPs-The-Bytch-007.jpg?w=620&q=85&auto=format&sharp=10&s=974987294d6c28cf3094f060c28870c5

    A la fois incarnation du mal qui pervertit la jeunesse des beaux quartiers et prétexte idéal aux nostalgiques des champs de coton pour pointer du doigt la perversion de la race noire, le Gangsta Rap est souvent l’objet de fantasmes dont il se délecte depuis les premières chroniques défrayées. Un point lancinant que les bonnes âmes salvatrices s’attachent à remuer, la condition de la femme noire dans les textes de rap. Le débat pourrait se limiter à une piètre prestation façon ni putes ni soumises à la sauce américaine. Mais Keivan Djavadzadeh, dans son article « Trouble dans le gangsta-rap : quand des rappeuses s’approprient une esthétique masculine », parue dans la revue Genre, sexualité & société , choisit de replacer cette question dans le contexte du capitalisme et du racisme blanc américain. Des spectacles de Black Faces jusqu’à Lil Kim en passant par le Blues et les BWP, il montre comment les codes du Gangsta Rap reflètent le modèle patriarcal blanc, et comment les femmes noires vont s’emparer du mic pour le démolir.

    #rap #femmes #historicisation

    mad meg @mad_meg CC BY
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 30/07/2015

      Trouble dans le gangsta-rap : quand des rappeuses s’approprient une esthétique masculine
      ▻http://gss.revues.org/3577#bodyftn3

      Cet article retrace le processus qui a mené de l’émergence du gangsta-rap à la fin des années 1980 à sa réappropriation par des rappeuses au cours des années 1990. Le gangsta-rap a permis de manière ambivalente à certains hommes noirs d’accéder à une forme de reconnaissance. L’hypermasculinité promue dans le gangsta-rap peut de ce fait être comprise comme une masculinité de protestation. Malgré les politiques sexuelles de cette musique, des rappeuses ont décidé d’investir ce sous-genre du rap, devenu prépondérant, pour son esthétique qui leur offrait des possibilités d’expression et de contestation nouvelles. Le gangsta-rap peut alors être analysé comme un espace de conflit mais aussi de dialogue dans lequel les rappeuses négocient leur identité en subvertissant les normes de genre et de sexualité. Par leurs performances, les rappeuses gangsta troublent l’ordre de genre en même temps qu’elles contestent l’hégémonie masculine dans le gangsta-rap.

      #rap, #féminité, #masculinité, #race, #hégémonie

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @rastapopoulos
      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC 30/07/2015

      Here :
      ▻http://seenthis.net/messages/391983
      ►http://seenthis.net/messages/391751#message391798

      RastaPopoulos @rastapopoulos CC BY-NC
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 20/07/2015
    3
    @mad_meg
    @tetue
    @7h36
    3

    Parle avec elle, et surtout qu’elle se taise !
    ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/parle-avec-elle-et-surtout-quelle-se-taise

     Sorti en 2002, « Parle avec elle » (titre original : « Hable con ella ») est un film de Pedro Almodóvar qui a été encensé par la critique. Pour Télérama : « Parle avec elle est un grand film sur la transmission et le don ultime de soi. Un film d’amour fou, mais encore de deuil et de renoncement. » D’après le […]

    #Cinéma #cinéma_espagnol #féminité #masculinisme #masculinité #sexisme #spécisme #viol #violences_contre_les_femmes

    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
    • @tetue
      tetue @tetue CC BY 23/07/2015

      C’est effectivement un film détestable.

      tetue @tetue CC BY
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  • @le_cinema_est
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC 6/07/2015

    Jurassic World (1/2) : le film qui fait mâle
    ▻http://www.lecinemaestpolitique.fr/jurassic-world-12-le-film-qui-fait-male

    Jurassic World prend place 20 ans après la fin des évènements du premier film, sorti en 1993 et réalisé par Steven Spielberg. Le fameux parc à dinosaures rêvé par John Hammond, décédé, a enfin ouvert ses portes. Sa gestion est confiée à Claire Dearing par Simon Masrani, exécuteur testamentaire d’Hammond. Ce dernier souhaitait que le […]

    #Cinéma #antiféminisme #féminité #hétérosexisme #masculinité #maternité #misogynie #virilisme

    • #John Hammond
    • #Steven Spielberg
    le cinéma est politique @le_cinema_est CC BY-NC
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/07/2015

      #jurassic_world

      CDB_77 @cdb_77
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