Y5/P5 « LE RETOUR DE JIM BONES »
▻https://laspirale.org/peinture-732-y5-p5-le-retour-de-jim-bones.html
Après deux ans de recherches, j’ai enfin réussi à rencontrer #Y5/P5, l’un des plus énigmatiques artistes du milieu de l’underground parisien.
Sa disparition de l’horizon artistique, pour des raisons évoquées plus bas dans notre entretien, avait donné naissance à bien des légendes dans les cercles artistiques. Et j’avais eu la chance de rencontrer plusieurs de ses amis qui ont partagé avec moi leurs souvenirs de ce personnage mythique.
Réapparu dans des circonstances étranges qui ont eu pour cadre la publication de son livre Sous-bocks par Stéphane Blanquet (United dead artists), suivie par l’exposition « Y5/P5 : VIVANT ! » à la galerie Arts Factory en novembre 2022, Y5/P5 revient à la vie artistique et lève ici le voile sur certains mystères qui entourent sa vie, ainsi que la face cachée de Jim Bones, le « héros » fantomatique de ses dessins.
]]>Paranoïa Fanzine/Label sur Facebook
▻https://www.facebook.com/paranoiafanzine
allergique à facebook ? Un autre fanzine Good Friends , un numéro riche avec en couverture Pit Samprass et bien d’autres. 104 pages, 30 groupes qui font l’actualité. (la plupart sur Bandcamp)
Le fanzine est disponible en pdf (formuler sa demande par mail), en lecture gratuite sur le site Calaméo et en version papier pour le soutenir au tarif de 5 euros (Port compris).
Continuez à soutenir les fanzines, labels et tous les acteurs de la scène indépendante, c’est primordial… Excellente lecture.
▻https://fr.calameo.com/read/006591194ae9af9a2dca0
#musique #fanzine #labels
Contre-écrou 5
▻http://carfree.fr/index.php/2022/05/10/contre-ecrou-5
Pour vous proposer ce cinquième opus du Contre-écrou, probablement le plus ambitieux à ce jour, une équipe réunissant la fine fleur des contributeurs et artistes de la sphère vélocipédique a Lire la suite...
#Alternatives_à_la_voiture #Vélo #dessins #presse #saint-brieuc #vélorution
]]>« Une vie Parallèles » : au régal des fanzines ! - davduf.net
▻https://www.davduf.net/dimanche-27-mars-18h-une-vie-paralleles-au-regal
A Paris, depuis 1972, la #librairie_Parallèles a vu passer plusieurs générations de têtes chercheuses. Dans son film qui lui est consacré, en DVD ces jours ci, Xanaé Bove remonte le temps et plonge dans l’underground des 70/90’s. On y retrouve des dingos, on y croise des esprits libres, on y voit des ronchons, et des amoureux du papier et du Do It Yourself. Que reste-il de ce monde ? On reçoit la réalisatrice un dimanche après midi, car le matin, elle peut vraiment pas :-) (et on aura une belle surprise !)
▻https://unevieparallele.com
de Graphzines à GraveZone pour les amoureux du papier numérisé
►https://www.graphzines.net
▻http://gravezone.fr
Eric Heilmann, l’auteur de GraveZone donne plein de bonnes adresses aussi
▻http://gravezone.fr/pratique/conservation
Jean Songe #AuPoste pour son enquête « Sodexo la gloutonne » - davduf.net
▻http://www.davduf.net/jean-songe-auposte-pour-son-enquete-sodexo-la
Lundi 18 octobre 2021, 9h, mon ami de sang était #AuPoste pour causer de son nouveau voyage dans le capitalisme le plus pur : la Sodexo, modeste société française qui vise à intervenir dans la vie d’environ un milliard d’êtres humains. Un milliard. Cantines, Ephad, restaus d’entreprise, Lido, Tour de France, les stades, même le Superbowl, et le business des prisons, et encore sa méconnue filiale sur les terrains de guerre : les Sodexo Defense Services. Pour sûr, on a causé aussi rock ’n’ roll, Joey Starr, Jean-Patrick Manchette et nucléaire. Trois heures de rires, et de mondes sombres qui s’annoncent.
]]>Confessions Of A Garage Cat , l’histoire orale de Gildas Cospérec, fondateur de l’emblématique fanzine toulousain Dig It !
▻https://www.musicophages.org/journees-du-patrimoine-le-18-et-19-septembre
Gildas Cospérec fut pendant plus de vingt ans l’animateur-locomotive d’un #fanzine et d’un radio show devenus mythiques et qui portaient tous les deux le même nom : Dig It ! Il sut allier élégance et énergie, curiosité et bon esprit, bienveillance et exigence pour développer sa vision et créer un réseau d’amis et de collaborateurs extrêmement pointus et passionnés. Gildas est décédé en 2020. Peu avant sa mort il a livré son histoire et celle de Dig It ! au travers de rencontres et d’interviews consignées par Patrick Cazengler et Patrick Bainée. Gildas raconte ici cette aventure exceptionnelle au pays magique de l’underground et partage comme il l’a toujours fait ce festin avec une cinquantaine de témoins : Diggers renommés pour la plupart, comme Alain Feydri et Lo’Spider, mais aussi ceux que Kim Fowley appelait the International Heroes, Beat-Man, Ben Vaughn, JJ Rassler ou encore Mike Mariconda. Ce cercle d’amis inclut aussi des patrons de bars, des animateurs et des animatrices de #radio, des musiciens et des ratons laveurs, comme aimait à le dire lui-même Gildas. Vous trouverez à la suite de l’oral history un Best Of d’articles de #Dig_It !, choisis par Gildas et les Diggers.
Les Musicophages (2021) 448 pages de saine lecture pour moi qui ai découvert Dig It ! sur le tard. The Goodbye Show 16/01/2020 - 4 h 30 d’émission, un peu la bande son du bouquin. la liste des titres est dans le livre, fantastique !
▻http://digitradio.unblog.fr/2020/01/17/dig-it-16-janvier-2020-the-goodbye-show
▻http://www.musicophages.com/2020/03/17/dig-it-grand-esprit-rocknroll
Gildas Cosperec 1956 - 2020 mais son esprit brûle encore.
►http://digitfanzine.chez.com/digit.html
d’autres ressources sur #Canal_Sud
▻https://www.canalsud.net/Dig-it
▻https://www.canalsud.net/bebes-dinosaures-10-octobre-2021
The Fabulous Furry Shoo Chain Brothers
▻https://padlet.com/digitfanzinearchives/kb3mbwes405752g0
Le Bandcamp d’une partie de la production de ces diggers
▻https://swamplandrec.bandcamp.com
#musique #rock'n'roll #garage #Toulouse #musicophages
Faut-il jeter tous ses vinyles des Rolling Stones à la poubelle ? | Sylvie Tissot
►https://lmsi.net/Faut-il-jeter-tous-ses-vinyles-des-Rolling-Stones-a-la-poubelle
Avertissement avant lecture : une fois refermé le livre de Simon Reynolds et Joy Press, vous n’écouterez plus jamais « Satisfaction » des Rolling Stones de la même manière. La lecture de Sex Revolts est dévastatrice mais, comme des enceintes d’un nouveau type qui produiraient un autre son, elle est aussi puissante, et nous la recommandons vivement. Une fois passé 200 pages à déconstruire, minutieusement et sans pitié, les deux matrices – qui semblent parfois n’en faire qu’une – où s’alimente le rock’n’roll : rébellion et misogynie, puis à explorer – avec admiration, mais non sans réserves – « l’autre masculinité » qui s’est construite contre elle dans le sillage du « Summer of Love », du « Flower Power » et des musiques « psychédéliques » ou « planantes », les auteur·e·s nous invitent à parcourir l’envers (...)
]]>Déconfetti | du9, l’autre #bande_dessinée
▻https://www.du9.org/breve-visuel/deconfetti
PRESQUE hebdomadaire, tous les JEUDIS (entre 16h00 et 22h00), en noir et blanc, de 20 pages à consulter sur écran et/ou à télécharger (fichier imprimable de 5 feuilles A4 recto-verso : plier l’ensemble en deux, et agrafer, de préférence sur la pliure). Bonne lecture !
]]>Queercore : quand les gays embrassent le punk - Regarder le documentaire complet | ARTE
▻https://www.arte.tv/fr/videos/062919-000-A/queercore-quand-les-gays-embrassent-le-punk
▻https://api-cdn.arte.tv/api/mami/v1/program/fr/062919-000-A/1920x1080?ts=1617767623&watermark=true&text=true
Dans les années 1980 et 1990, un mouvement underground venu d’Amérique du Nord plonge dans tous les excès : le #queercore. Avec ses #fanzines, ses spectacles punk déglingués et ses pornos expérimentaux, ce mouvement plein d’humour et d’irrévérence centré sur l’identité queer a dessiné une troisième voie entre un mouvement #LGBT plutôt sage et une scène punk largement masculine, hétéro, voire aux tendances homophobes. À son origine, les Canadiens Bruce LaBruce et G. B. Jones, respectivement gay et lesbienne. Le premier est aujourd’hui un artiste reconnu, à qui le MoMA a consacré une rétrospective en 2015. Au cours de cette exploration du queercore réunissant clips, extraits de concerts et performances spectaculaires, l’on croise également les chanteuses Beth Ditto ou Peaches, influencées par le mouvement.
]]>Livre FANZINORAMA La Fanzinothèque
▻https://www.la-petroleuse.com/fanzines-zine-culture/4810-livre-fanzinorama-la-fanzinotheque.html
À l’occasion des 30 ans de La Fanzinothèque, cet ouvrage présente plus de 200 fac-similés de fanzines de #bande_dessinée jamais réédités depuis leur création. Objet alternatif oscillant entre presse, publication auto-éditée, journal intime et tract militant, le #fanzine a toujours incarné une production éditoriale et artistique singulière. Animés par la volonté de faire au mieux avec très peu de moyens, les dessinateurs de fanzines ont su inventer des objets qui ont révolutionné les #arts_graphiques et les codes de l’édition. Plusieurs décennies d’histoire de la bande dessinée libre sont ici racontées à travers ces objets inclassables. Depuis 1989, La Fanzinothèque conserve et valorise des fanzines issus du monde entier. C’est à la fois un lieu d’archivage unique au monde, avec une collection de plus de 56 000 ouvrages, et un lieu de création contemporaine, à travers des expositions d’artistes et de micro-éditeurs, des workshops et un atelier d’impression.
]]>Behigorri - Le journal - Les Ruminant-e-s
▻http://lesruminants.eklablog.com/behigorri-le-journal-a205194986
Sommaire :
Jesuispangoline de Laura Outan 2
Dans ma cabane, je suis de Nina Terrpl 3
Leçon de sauvagerie de SaVge 4
La théorie de la fictionpanier de Ursula K. Le Guin 4
Civilisation et biogynophobie de Ana Minski 7
L’âge des couleurs de Colette Daviles-Estinès 9
CAPP, collectif abolition porno prostitution 10
Pornland, Gail Dines 11
Vous avez dit Satire ! de Cathy Garcia Canalès 12
Julia Hill Butterfly 13
Variations de la ville de Rosales Miroslava 14
Animaux en terres humaines de Ana Minski 15
Andrea Dworkin 16
Les lézardes de feu de Ana Minski 16
Le PDF :
▻http://ekladata.com/GNl9d1q9WrltWDegZwQoGyk6prU/journal-compresse.pdf
Souvenez-vous, une lecture d’Ana Minski :
▻https://www.youtube.com/watch?v=MGA7SoUPxbU
On ne va pas s’entendre
►https://www.youtube.com/watch?v=d-izn_70LSY
vous avez un message de pôle-emploi ...
►https://moncul.bandcamp.com/track/le-p-le-emploi-vous-parle
la compil à 2 balles
►https://moncul.bandcamp.com
et mon cul c’est du tofu ?
#pôle_emploi #mon_cul
Chéribibi Acte XI est imprimé
►https://www.cheribibi.net
En attendant d’informer les rares lecteurs de ce Chéribiblog (maintenant que tout le monde -sauf nous- est chez Mark Zuckerberg) d’évènements à venir en octobre, le ChériBibi nouveau (ci-dessus) sera ce samedi 19 septembre à Bruxelles au sein de l’excellentissime et ô combien unique cinéma Nova, à l’occase de la soirée sur le défunt ciné porno l’ABC (que j’ai eu la chance et le plaisir halluciné de pouvoir visiter avant sa destruction, merci aux camarades du Nova !). Donc si y’en a des lecteurs & lectrices dans les parages qui veulent toper ce n°11 en primeur -il sera chez tous les bons libraires le 9 octobre-, vous savez où nous trouver (le bar est au sous-sol)…
Pis on fait la mise sous pli des abonnés mercredi 23 septembre, donc envois massifs en fin de semaine prochaine.
Si t’es pas encore abonné, je passerais à la boîte postale mercredi midi alors arrange-toi pour que le chèque y soit.
Tu veux ton ChériBibi ? ChériBibi veut ton grisbi !
since : ▻http://aredje.net/les-lapins-electriques
▻https://www.magasin4.be
Le Petit Pangolin Illustré
▻https://www.nova-cinema.org/prog/2020/178-escape-cinema/indoor/article/le-petit-pangolin-illustre
Né le 7 avril 2020 à Bruxelles, Le Petit Pangolin Illustré est un fanzine collectif humoristique, des humeurs du jours, des instantanés de vies, des réflexions sur l’actualité... Dessiné, maquetté et imprimé en à peine 3 jours, le premier numéro sera envoyé par la poste à 120 adonnés reclus dans leurs logements, confinement oblige. 9 numéros hebdomadaires plus tard, « Le journal des petites bêtes qui aiment se mettre en boule » est tiré à plus de 600 exemplaires, un succès exponentiel qui convainc les créateurs à poursuivre l’aventure malgré le déconfinement annoncé. Les contributions de textes, d’illustrations ou de bd-strips, pour l’essentiel belges et françaises mais pas seulement, sont toujours plus nombreuses à l’instar des rubriques, et les A3 recto-verso pliés en 3 passent vite de 2 à 3, puis 4 (...)
▻https://www.lapetitefanzinothequebelge.eu/bin/view/render.cgi?id=0065616_fanz_festival&ln=ln1&userid=&rubr=g
The Meteors (1981)
▻https://www.youtube.com/watch?v=h3ClDBH2I80
Meteors - I Don’t Worry About It - (Live at the Hellfire Club, Wakefield, UK, 1983)
le monde d’après...
Cahot sonore dans les transports en communs lyonnais | Grabuge
▻https://rebellyon.info/Cahot-sonore-dans-les-transports-en-21441
Grabuge était sur Canut le 26 novembre 2019 pour une émission décousue dans les transports en commun lyonnais. Le collectif d’écriture lyonnais Grabuge a réalisé sa première émission de radio tirée d’un fanzine, lui-même fruit d’un an d’ateliers d’écriture fictionnelle, de formations à l’entretien, de réalisations collectives d’illustration et d’édition échevelé. Durée : 46 min. Source : Radio Canut via Rebellyon
]]>Duo dans la vie comme dans les cases, les Krokaga sont composé de Nat ( au dessin) et Lolo (au scénario ), maniant depuis des années un humour grinçant et rebelle avec leurs personnages fétiches Sadia et Mazoch, entre autre dans Psikopt ou le Monde Libertaire. Et depuis deux ans : dans SPEEDBALL !
▻http://www.speedball-mag.fr/2019/01/interview-les-krokaga.html
deuxième nouvelle de ces jours derniers qui vient consoler un peu la découverte du pillage de mon travail : la sortie de Trou !
c’est le queerzine de C. de Trogoff et de ses éditions PCCBA
il est beau comme tout, il parle depuis plein d’horizons corporels psychiques et sexuels
j’ai deux poèmes dedans (c’est le moment où je me met dans la lumière !)
il y a un teaser là ▻https://www.le-terrier.net/pccba/index.htm
Sans le mouvement punk, il n’y aurait probablement jamais eu La Spirale. Et sans Patrice Lamare, plus connu sous son pseudonyme de Patrice « Herr Sang », ses multiples incarnations dans le monde agité de l’auto-production (le fanzine New Wave, New Wave Records, le catalogue de distribution Al di La, les éditions du Yunnan et la structure de production Thrash Seditions, aujourd’hui réunis sous la bannière du site Celiableue.com) et les réseaux qui s’y alimentaient, le #mouvement_punk n’aurait probablement pas eu le même impact en France.
Une interview qui dévie vite vers la leçon de choses avec un grand ancien dont la motivation et l’énergie ne sont plus à démontrer. Comme il le dit si bien lui-même, face à la haute technologie, opposons la méthode vietnamienne, dite des moyens du bord. Une roquette culturelle bien ciblée coule sans problème l’hélicoptère dernier cri de la multinationale du coin.
Propos recueillis par Laurent Courau.
▻https://laspirale.org/texte-98-patrice-herr-sang-lamare-punk-not-dead.html
▻http://celiableue.com/site.php?type=P&id=1
▻http://www.horscircuits.com/site.php?type=P&id=90
#laspirale #Patrice_Lamare #punk #post_punk #new_wave #fanzine
D’une pierre deux coups (parce que la grande agitation entourant la période de création du précédent numéro m’a complètement fait zapper l’annonce de sa sortie) avec les dernières sorties du Fanzine Amici, qui clôtureront cette passionnante et gratifiante expérience éditoriale :
le dixième Amici (Pubis) reçoit les planches de C. de Trogoff, Jean-Pierre Marquet, Robert Varlez, Antoine Ronco
Loïc Largier, L.L. de Mars et une création exceptionnelle de
Guillaume Chailleux qui s’est vu confier les planches réalisées par Marie-Florentine Geoffroy et moi lors d’un « Ressac » commencé au cours d’une rencontre Pierre Feuille ciseaux et que la mort de Marie florentine nous a interdits d’achever. Guillaume a poursuivi le travail, l’a augmenté, a donné un sens et une cohérence à tout ça.
▻https://www.le-terrier.net/pccba/10_pubis/index.htm
Le onzième numéro accueille les travaux de L.L. de Mars, Muzotroimil, Jérôme LeGlatin & blexBolex qui, in extremis, trouvent une fin à leurs « Dernières nouvelles de Randolph Carter », J.M. Bertoyas qui nous fournit enfin ses planches après 10 numéros, Loïc Largier, C. de Trogoff et Jean-Pierre Marquet.
▻https://www.le-terrier.net/pccba/11_plus/index.htm
Nous avons atteint notre objectif, qui était de dix numéros, et nous l’avons même excédé de ce numéro + qui vient conclure en beauté cette belle histoire.
]]>C’est ce week end, Fumetti, le petit salon de la bande dessinée à Nantes ►http://www.maisonfumetti.fr/fumetti-2018 et ce sera l’occasion, si vous êtes dans les aprages, de venir nous voir au stand de PCCBA, C. de Trogoff et moi ►https://www.le-terrier.net/pccba )
l’occasion, également, de découvrir Fétiches
]]>Quelques liens vers bandcamp, extrait de critiques de disques signé Sylvain Coulon dans l’excellent Dig It ! n°71...octobre 2017.
▻http://redeyeball.bandcamp.com
▻https://skepticsss.bandcamp.com/track/mole-people-3
▻https://julietteseizureandthetremor-dolls.bandcamp.com/track/fed-up-runaway
▻https://thevolcanics.bandcamp.com/track/natural-in-a-way-2
▻https://staticshockrecords.bandcamp.com/track/retain-a-man
▻https://skepticsss.bandcamp.com
▻https://thevolcanics.bandcamp.com
▻https://staticshockrecords.bandcamp.com
▻https://khannibalism.bandcamp.com/track/planet-enigma-2
▻https://khannibalism.bandcamp.com
Des bouquins aussi comme cette autobiographie de Steve Jones :
Steve Jones s’autobiote enfin. « Maintenant, c’est mon tour ! » s’exclame-t-il dans Lonely Boy . Les autres Sex Pistols se sont déjà longuement épanchés : John Lydon, deux fois, et Glen Matlock, une fois. Ne manquent plus que les souvenirs d’égotisme de Paul Cook. En attendant Godot, Steve Jones balance sa purée et là, les gars, on en prend plein la vue.
...la suite dans le n°71 de Dig It !
source : ►http://digitfanzine.chez.com/digit.html
présentation par Chrissie Hynde sur le site de l’éditeur :
Without the Sex Pistols there would be no Punk. And without Steve Jones there would be no Sex Pistols. It was Steve who formed Kutie Jones and his Sex Pistols, the band that eventually went on to become the Sex Pistols, with his schoolmate Paul Cook and who was its original leader. As the world celebrates the 40th anniversary of Punk – the influence and cultural significance of which is felt in music, fashion and the visual arts to this day – Steve tells his story for the very first time.
Steve’s modern Dickensian tale begins in the streets of Hammersmith and Shepherd’s Bush, West London, where as a lonely, neglected boy living off his wits and petty thievery he is given purpose by the glam art rock of David Bowie and Roxy Music and becomes one of the first generation of ragamuffin punks taken under the wings of Malcolm McLaren and Vivienne Westwood. For the very first time Steve describes the sadness of never having known his dad, the neglect and abuse he suffered at the hands of his step father, and how his interest in music and fashion saved him from a potential life of crime spent in remand centres and prison. From the Kings Road of the early seventies, through the years of the Sex Pistols, Punk Rock and the recording of Never Mind the Bollocks (ranked number 41 in Rolling Stone magazine’s Best Albums of All Time), to his self-imposed exile in New York and Los Angeles where he battled with alcohol, heroin and sex addiction – caught in a cycle of rehab and relapse – Lonely Boy, written with music journalist and author Ben Thompson, is the story of an unlikely guitar hero who, with the Sex Pistols, changed history
▻https://www.penguin.co.uk/books/1109633/lonely-boy
#musique #fanzine #Steve_Jones #Sex_Pistols #Bandcamp #King_Khan
]]>Cette #anthologie est une sélection d’articles parus dans le #fanzine #Nineteen ( nommé en hommage à un titre des Dogs ) qui, dans les #années_80 (1982-1988), s’est fait l’écho de cette effervescence #rock‘n_roll qui ne se reconnaissait pas dans la new wave ou dans la grosse cavalerie des charts. Simples étoiles filantes ou références incontournables, ils font que le rock ne se réduit pas à une simple « compensation d’un manque à vivre » ou à une consommation de produits manufacturés pour la jeunesse.
En bonus, un historique du journal et son « testament », envoyé à l’époque aux seuls abonnés, qui donnent un éclairage sur le contexte dans lequel ont été écrits les articles.
▻http://fondeursdebriques.free.fr/argu-19.html
Le fanzinat contemporain est également à l’honneur de ce numéro offrant un sommaire resserré autour de 19 contributeurs réguliers ou historiques de Gorgonzola, encouragés à réaliser des histoires plus longue qu’à leur habitude : Alex Chauvel (auteur de la couverture avec Charlotte Bräuer), Jzef, Tony, Simon Hureau, Olivier Texier, Yvang, Jean Bourguignon, Muzotroimil, Mickaël Roux, Jeneverito, Léo Quiévreux, Erwin Suvaal, J&E Leglatin, Victor Hussenot, Vincent Lefèbvre, Richard Suicide et Pedro Mancini.
►http://legouttoir.free.fr
Vous connaissez Tanx ?
Voilà je suis inscrit à sa newsletter et parfois elle balance des nouvelles
quelques liens ci-dessous et surement d’autre ailleurs sur @seenthis
▻https://seenthis.net/messages/659505
▻https://seenthis.net/messages/457595
elle fait la manche su Tipeee site de #crowfunding ou elle cherche des philanthropes pour assurer sa production.
▻https://www.tipeee.com/tanx
et pour celleux qu’aiment bien les lino, ben y’en a aussi sur son site.
#artiste #autrice #graveuse #imprimeuse #dessinatrice #fanzineuse des fois #peintresse
quelques liens pécho dans sa news :
▻http://librairie.lapin.org
▻https://laminuscule.blogspot.fr
#tanx
▻https://seul-avec-vous.blogspot.fr
S.A.V seul avec vous pour écouter autre chose
#radio_canut #mp3 #fanzine
►http://www.internationale-utopiste.org
source : ▻http://rocknrollmasturb.free.fr/accueil.html
Johnny et l’irréalité | Alain Garrigou
▻https://blog.mondediplo.net/2018-01-04-Johnny-et-l-irrealite
Etre fan avant Internet : dans la galaxie des premiers fans de « Star Trek »
▻http://abonnes.lemonde.fr/pixels/article/2017/09/24/etre-fan-avant-internet-dans-la-galaxie-des-premiers-fans-de-star-tr
Je ne voulais pas recopier l’article en entier... mais il est tellement bien que j’en ai gardé une large partie.
Voici un exemple de la « culture participative » tel que Henry Jenkins, Mimi Ito et danah boyd en parlent dans leur livre : autour d’une production culturelle commerciale créer des oeuvres nouvelles et surtout des communautés.
« Les fans, avant Internet ? Des lettres, des lettres et le téléphone ! », s’exclame en riant Devra Langsam. Fan de Star Trek depuis le début de la diffusion, en 1966, la jeune Américaine brune aux lunettes rondes de l’époque a aujourd’hui le souffle court et les cheveux gris. Elle s’est au fil du temps éloignée des autres fans, n’a pas accroché avec le Web, et la nouvelle série Star Trek Discovery, qui démarre dimanche 24 septembre sur la chaîne américaine CBS, ne l’attire pas vraiment.
« J’ai commencé à regarder Star Trek quand j’avais 23 ans, explique-t-elle sans nostalgie. Les personnages en avaient 30, ils étaient matures. Aujourd’hui, j’ai 73 ans : je les regarde et je me dis “ce sont des bébés !”. J’ai beaucoup plus de mal à m’intéresser à ce qui leur arrive. » Ce qui ne l’empêche pas de raconter avec passion les débuts de ce qui sonne dans sa bouche comme un âge d’or pour les fans. Car ce sont eux, les fans de Star Trek, qui ont permis de définir le fandom moderne — les communautés de fans qui aujourd’hui pullulent sur Internet.
C’est en 1967, alors que Star Trek n’a qu’un an, que commence cette histoire. Nous sommes en septembre, à la Worldcon, une convention américaine de science-fiction qui existe depuis 1939. Devra Langsam, Ruth Berman et Eleanor Arnason ont imprimé Spockanalia, le tout premier fanzine — magazine réalisé par des fans — uniquement sur la série.
« Savez-vous ce qu’est un miméographe ?, demande Devra Langsam, presque rhétoriquement. C’est une machine à imprimer portable — énorme bien sûr si on la compare à celles d’aujourd’hui. Elle était équipée d’un écran et d’une pompe qui imprimait l’encre sur le papier. A l’époque, on en trouvait dans toutes les écoles, les églises ou les bureaux. Avec Ruth, nous avons demandé à l’école de nous imprimer Spockanalia. »
Ce premier fanzine contient une lettre de Leonard Nimoy — l’acteur qui interprète Spock —, des fanfictions (histoires écrites par des fans), mais aussi des articles d’analyse ou de réflexion sur les personnages.
Mais même sans s’engager dans la lourde tâche de l’édition de fanzine, être fan à cette époque comporte aussi son lot de complications… Ne serait-ce que pour regarder la série elle-même. Si aujourd’hui, un épisode peut, dès sa diffusion, être vu et revu à l’infini, analysé et décortiqué à l’extrême par les fans, ce n’est pas le cas dans les années 1960. Il n’est pas encore possible d’enregistrer, par exemple, l’enregistreur n’est inventé qu’en 1972. Manquer un épisode signifie qu’il faut attendre parfois plusieurs années pour une rediffusion.
Pour faire connaissance entre fans, la tâche est encore plus ardue. En 1969, les fans distribuent des tracts ou des newsletters dans la rue. « La réaction des gens était très simple, raconte Devra Langsam. Le plus souvent, on avait un “désolé, je ne suis pas intéressé” et parfois un “oh mon dieu ! C’est Spock !” Là, on savait qu’on avait atteint la bonne personne. »
Jacqueline Lichtenberg est une autre des premières fans de la série. Auteure de science-fiction et docteure en chimie, elle a participé à l’écriture de Star Trek Lives !, le premier essai sur les fans de Star Trek, paru en 1975. Aujourd’hui âgée de 75 ans, elle est toujours accro à la série et adore se servir de Facebook pour communiquer avec d’autres fans. Au début des années 1970, toutefois, c’était par la poste qu’elle établissait le lien entre les fans de la côte est et ceux la côte ouest :
L’engouement pour la série a été tel que la première convention, organisée en 1971 par Devra Langsam, qui pensait initialement recevoir quelques centaines de participants, s’est retrouvée prise d’assaut par plus de trois mille quatre cents visiteurs, une exposition
organisée par la NASA et des membres du casting.
Pour Pascal Laus, administrateur du site belge USS-Saga, l’histoire de Star Trek n’est toutefois pas restée longtemps dissociée d’Internet : « La série a toujours appelé un profil type de spectateur qui était souvent très technicien. On avait des astrophysiciens, des mathématiciens, des physiciens… Très vite, les gens ont commencé à utiliser les Bulletin Board System [BBS], reliés à la ligne téléphonique, apparus à la fin des années 1970 pour échanger sur la série. » Les BBS sont les ancêtres des forums de discussion, l’un des tout premiers espaces de discussion numérique.
« Lorsque Internet est arrivé, il n’y a pas eu de transition, confirme Jacqueline Lichtenberg du côté américain. C’était facile. Cela faisait déjà bien longtemps que nous savions toutes taper sur un clavier. » Et en France ? Corinne Le Guern répond sans hésitation : « Les fans d’avant Internet ? Ils avaient le Minitel ! »❞
]]> Comme son nom l’indique Wu Ming est un collectif d’écrivains italiens. Considérant leur travail plus important que leur visage, ils utilisèrent d’abord le blaze du footballeur anglo-jamaïcain Luther Blisset (causerie avec leur camarade Stewart Home dans le n°7 de Chéribibi) pour signer un premier roman en 1999 : Q (publié en 2001 au Seuil sous le titre L’Oeil de Carafa ). S’ensuivent plusieurs romans collectifs signés cette fois Wu Ming, ce qui, en mandarin, « signifie anonyme » (signature usuelle des tracts dissidents chinois), mais aussi, selon la prononciation, « 5 noms » .
Car les Wu Ming sont cinq (4 aujourd’hui), par ailleurs auteurs de romans individuels signés, dans ce cas, 1, 2, 3, 4 ou 5. Hum, ça a l’air compliqué mais en fait c’est simple : une bande de ritals pondent ensemble ou séparément de super romans mélant histoire, politique, polar et aventures palpitantes qui se dégustent comme du bon vin italien, capiche ?
#Wu_Ming #Chéribibi #collectif #Nabat
Causerie avec les dossards 1 & 5 dans le CHERIBIBI n°8
▻http://www.cheribibi.net/les-numeros/sommaire-numero-8
▻https://www.wumingfoundation.com/italiano/biographie.htm#Q
▻https://seenthis.net/messages/622000#message622174
▻https://editions-metailie.com/livre/new-thing
▻https://www.youtube.com/watch?v=55cNDClJQzs
« Être skinhead fait sens, revendiquer une identité ouvrière, exactement parce qu’ils nous disent qu’il n’y a plus de sens à faire ça. Il faut se remettre à parler en terme de classes, de conflit, ça a du sens. Sinon nous enrageons...et nous sommes foutus ! »
Ratcharge (2004-2014) était un #fanzine qui disséquait le quotidien avec le même acharnement que la #musique. Au fil de ses trente-quatre numéros, il a montré ce que pouvait être la #littérature_punk : pas de nostalgie, une démarche autonome de A à Z et des récits directement tirés du vécu, couchés sur le papier comme trois accords plaqués dans un fracas de larsens. Errances urbaines, squats, dérives sous acide, apnées salariales, guerre contre l’ennui : une littérature brute, héritière bâtarde de la contreculture américaine et du vide existentiel de la banlieue parisienne.
▻http://www.la-petroleuse.com/punk-rock/4442-entre-un-neant-et-un-autre-ratcharge.html
« La question, c’était de savoir pourquoi je n’arrivais pas à me débarrasser de cette dépression chronique que je me traînais depuis une dizaine d’années. Pourquoi la lose était partout, sur chaque trottoir, sous chaque tapis, dans chaque bouffée de nicotine et chaque gorgée de vodka, chaque baiser et chaque opportunité. Pourquoi les nouvelles étaient toujours mauvaises. Pourquoi je me sentais aussi seul, et pourquoi j’avais tant l’impression d’être déjà mort. Lors des jours les plus sombres, le scénario paraissait plausible – on était déjà tous crevés, tous ensemble en enfer. La délivrance n’arriverait pas, elle avait loupé sa correspondance et s’était allongée sur les rails du métro, nue, fermant les yeux jusqu’à ce que le vrombissement touche le bord de son crâne et fasse cesser la douleur. Ces jours-là, je regardais le tableau de Jésus-Christ sur le chauffage glacial de ma cuisine et j’implorais son pardon pour avoir commis le péché ultime, celui de ne pas croire en lui, ni aux autres, ni à moi. La vie n’existait pas, j’étais perdu, c’était clair, net, et Tony était encore plus foutu que moi, sauf que lui, par un tour de passe-passe qui m’était alors inexplicable, semblait presque se réjouir de cette situation. « C’est moi qui fait chier ? Tu t’arranges pas Alex, j’essaye juste de t’aider… Ton problème c’est que tu prends tout trop dramatiquement, t’es une vraie diva et t’appelles « dépression » ce que la plupart des gens appellent juste la vie. Tu sais ce que tu devrais faire ? Accepte ton sort. Tout est de la merde, OK, la belle affaire ! Fais avec, comme tout le monde. Arrête de te débattre et accepte la noirceur, serre-la dans tes bras, arrête de faire du sur-place, accepte les ténèbres. Putain me regarde pas comme ça, tu vois d’autres solutions, toi ? T’as déjà tenté tout le reste non ? »
+ d’extraits par Mat Von Petrolo :
▻http://www.la-petroleuse.com/blog/entre-un-neant-et-un-autre
Livre zine RETOUR A MIAMI Erick Lyle
▻http://www.la-petroleuse.com/livres-critique-sociale/3336-retour-a-miami-une-ville-a-l-ere-d-art-basel.html?search_query=E
Traduction en français d’extraits du #fanzine US d’Erick Lyle « Scam ».
En 2010, le San Francisco Bay Guardian envoie #Erick_Lyle couvrir la neuvième édition d’Art Basel à #Miami. C’est l’occasion pour lui de revenir dans sa ville natale et d’observer les transformations provoquées par la plus prestigieuse #foire_d’art_contemporain au monde. Alors que les amateurs d’art se pressent par milliers et que les promoteurs immobiliers investissent massivement, Miami reste une des villes les plus pauvres des Etats-Unis ; les défilés de célébrités côtoient les ouvertures de squats ; le clinquant tente de chasser les populations les plus pauvres. Dans Retour à Miami, Lyle dresse un portrait du monde de l’art et de son hypocrisie, évoquant tour à tour les liens entre le marché de l’art et celui de l’immobilier, entre la culture et l’économie, la difficulté d’articuler des critiques de ce milieu ou la récupération du street art (avec une interview cinglante de Shepard Fairey). Une analyse au vitriol complétée par le portrait d’une ville à part et des nouvelles formes de résistance nées, sur fond de crise économique, dans le sillon d’Art Basel.
#critique_sociale #Art #anticapitalisme
▻https://www.artbasel.com
#Mike_Diana _Robot 20/35 1997, 43 x 19cm, Pen & Ink Drawing
Programmée du 24 mai au 17 juin 2017 par la galerie Arts Factory et les éditions DIVUS, l’exposition « America’s Most Wanted » met à l’honneur Mike Diana et #Stu_Mead, deux artistes parmi les plus subversifs issus de l’underground américain des années 90.
[ certaines oeuvres présentées sont susceptibles de heurter un public non averti ]
▻http://artsfactory.net/index.php/mike-diana-stu-mead
#exposition #compilation #fanzine #comics #underground #stéphane_Blanquet
Vie et Mort selon Mike Diana
▻http://www.du9.org/dossier/vie-et-mort-selon-mike-diana
Diana n’est pas le sujet d’un délire intimiste pervers mais l’auteur d’un portrait grimaçant de l’Amérique, celle des petites villes conservatrices où l’on s’ennuie, avec sa capacité à déliter le rapport à autrui, et son tiraillement particulier entre individualisme et pression religieuse et communautaire.
▻http://www.mikedianacomix.com/events.html
stu mead - cow girl, 1994 - acrylique sur toile, 45 x 36 cm
Big Up Girls ! — Mme Ex
▻http://bigupgirls.tumblr.com/post/158021684939/ouhla-%C3%A7a-fait-un-moment-quil-ny-a-pas-eu
Voilà le 1er portrait d’un groupe 100% féminin 100% cool 100% rupin avec Mme Ex
]]>LE JUKEBOX DE LADISTROY
▻http://shop.ladistroy.fr/playlist.php
#piano #violoncelle #solfège #musique_classique #punk_hardcore #fanzine
Parution du zine féministe « Hors Je(u) »
▻https://coutoentrelesdents.noblogs.org/post/2016/11/12/parution-du-zine-feministe-hors-jeu
#ANTISEXISME #JOURNAUX #bd #fanzine #feminisme #feministe #hors_jeu #interview #magazine #matérialisme #pamphlet #temoignage
[Big Up Girls !] Mélo (Girlzilla - La Crève)
▻http://bigupgirls.tumblr.com/post/152914606589/m%C3%A9lo-girlzilla-la-cr%C3%A8ve-merci-m%C3%A9lo-pour-ce
Merci Mélo pour ce beau retour de la scène grenobloise, d’un bout de récit de vie très chouette !
#BigUpGirls #fanzine #infopunk #féminisme #feminisme #grenoble #grilzilla
]]>Publication du portrait de Julie (Arthés city rock association) sur le site de Big Up Girls !
▻http://bigupgirls.tumblr.com/post/152331137229/julie-arth%C3%A9s-city-rock-association-albi-rpz