• Les « #partizanke », ces femmes qui ont combattu le #fascisme et le #patriarcat

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, plus de 100 000 femmes rejoignirent les rangs des #partisans de #Tito pour combattre les occupants nazis et fascistes. Après la libération, elles furent d’ardentes militantes du socialisme yougoslave et de l’égalité des sexes. 70 ans plus tard, une nouvelle génération de militantes reprend leur héritage à son compte pour s’opposer au retour des valeurs nationalistes et conservatrices.


    http://www.courrierdesbalkans.fr/articles/les-partizanke-ces-femmes-qui-ont-combattu-le-fascisme-et-le-patr

    #femmes #guerre #ex-Yougoslavie #résistance #Yougoslavie

  • (en vie de) #Pasolini
    #communisme ~ #fascisme ~ #société ~ #naturalité ~ #sacralité...
    et TOTO.

    j’ai été un poète de 7 ans


    |-> L’Atelier fiction : Qui je suis [1998]
    https://youtu.be/V7I0boxnwKQ


    |-> interview Ina.fr : L’enragé
    http://www.ina.fr/video/CPF86621305


    |-> montage : Le fascisme de la société de consommation :
    https://youtu.be/BwrZFstEP7U

    |-> vivre et encore plus
    http://www.ina.fr/video/CPB76065795/pier-paolo-pasolini-vivre-et-encore-plus-video.html
    ( un peu frustrant puisque l’extrait s’arrête juste au début de l’interview de Pasolini )

  • Le PS soutient des manifestations néo-fascistes contre les opposants à la loi travail
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/mai2016/psfn-m19.shtml

    Hier le syndicat de #police Alliance, proche du Front national (FN), a appelé à des manifestations sur des places à travers la France occupées jusqu’alors par le mouvement #NuitDebout, qui conteste la loi travail. Plusieurs hauts dirigeants du FN s’y sont rendus. Sous prétexte de combattre la « haine anti-flics », les manifestations visaient à casser l’opposition à la loi travail, refusée par une large majorité des Français malgré son imposition sans vote par le Parti socialiste (PS) à l’Assemblée.

    Ces manifestations sans précédent témoignent du stade avancé de la crise de la #démocratie en Europe. Bien que d’une coloration nettement pro-FN, ces manifestations ont recueilli non seulement le soutien à la fois organisationnel et politique du gouvernement PS, mais la participation du Front de gauche et de syndicats liés à #NuitDebout, dont la CGT. Ces forces, terrifiées par la montée de l’opposition ouvrière à l’austérité en Europe et surtout contre leur allié de longue date, le PS, se rangent du côté de l’extrême-droite contre les travailleurs.

    Avant la manifestation prévue pour 12h place de la République à Paris, les gendarmes en service ont installé des barrages filtrants autour de la Place de la République, abandonnée par les associations qui y l’avaient occupée afin de lancer #NuitDebout. La préfecture de Paris avait bloqué l’accès à la place via le métro. Les gendarmes interdisaient l’entrée sur la place, à part aux policiers en civil, à quelques journalistes, et aux personnalités politiques, principalement mais pas uniquement liées au FN.

    Alors que quelques centaines de policiers occupaient la place, les gendarmes brimaient les jeunes, retenus aux barrages filtrants, qui essayaient de s’y rendre pour manifester contre Alliance. La préfecture a également utilisé l’état d’urgence pour interdire une contre-manifestation organisée par le collectif Urgence, notre police assassine (UNPA), prétextant des « risques importants de troubles graves à l’ordre public ».

    Lundi, la préfecture a également interdit à 18 militants du collectif Anti-fasciste de participer à des manifestations cette semaine contre la loi travail. La préfecture n’accusait pas ces militants, qui n’ont pas été interpellés lors des manifestations, de violences contre la police, mais les a néanmoins interdits « de séjour » lors de manifestations, citant les pouvoirs spéciaux de l’Etat sous l’état d’urgence. Ceci suivait l’arrestation « préventive » de dizaines de manifestants par le PS.

    #fascisme

  • BDS c’est résister au fascisme qui monte en occident

    Global Empire : Eyal Weizman : Excavating Israel
    https://vimeo.com/167062251

    Tariq Ali talks to Eyal Weizmann, Professor of Spacial and Visual Cultures Goldsmiths, University of London, about the pressure being applied by Israel on the White House and EU to illegalise the BDS (Boycott, Divestment and Sanctions) campaign.

    #BDS #Israël #Palestine #Etats-Unis #Union-Européenne #refus-du-droit-international #réfugiés #fascisme #racisme #crise-de-la-démocratie #complexe-militaro-industriel #services-de-renseignements #industrie-de-l'armement #données-privées

  • Black M, Verdun, et le festival de la mauvaise foi | Coups de Gueule de Lau
    https://coupsdegueuledelau.wordpress.com/2016/05/15/black-m-verdun-et-le-festival-de-la-mauvaise-foi

    En général, quand je vois « Black M » dans un titre d’article, je ne lis pas.
    Parce que sa musique c’est de la merde, parce que j’ai un mépris sans limite pour son culte du fric, et que j’ai la rancune tenace face à l’homophobie décomplexée des (ex) membres de Sexion d’Assaut.
    Et qu’en prime je me farde du Black M et du Maitre Gims à longueur de journée de taf parce que je bosse avec des ados qui adorent la soupe musicale mainstream.
    Donc ouais, habituellement, je ne lis pas.

    D’où le fait que le début de la polémique autour de Black M à Verdun a eu lieu sans que j’y prête attention : je ne lisais tout simplement pas les articles sur la polémique, parce que je m’arrêtais à « Black M » et que je ne pensais pas qu’il y ait quoi que ce soit d’important à lire dans un article concernant Black M.
    Quand le concert a été annulé, le nombre d’articles qui me sont passés devant le nez dans ma timeline sur les réseaux sociaux m’a amené à me dire « Wtf qu’est ce qu’il se passe ? », et à lire les articles.
    J’ai donc découvert en même temps :
    – L’invitation de Black M à Verdun.
    – Le tollé dans les rangs de l’extrême droite.
    – L’annulation.
    – Et les réactions sans nuances de CERTAIN.ES militant.es anti-racistes.

    Cet article, je l’ai écrit en mode coup de gueule (comme le titre du blog pourrait éventuellement le laisser supposer).
    Pas en mode étude sociologique.

    Je l’ai écrit en mode coup de gueule d’une personne pas hétéro, qui en l’espace de quelques minutes découvrait :
    – Que des abrutis finis avaient eu l’idée lumineuse d’inviter à une commémoration à visée plutôt pacifique (commémorer les victimes, c’est pas célébrer la guerre hein…) un mec qui a fait partie d’un groupe musical qui incitait verbalement à trancher les organes génitaux des homos et qui « assumait à 100% son homophobie ». Paie ton pacifisme. 1er crachat dans la gueule.
    – Que des crevures d’extrême droite – qui habituellement ont plutôt tendance à cracher joyeusement à la gueule des personnes LGBT+ – avaient eu l’indécence de tenter de bouffer au râtelier LGBT+ pour planquer leur racisme sous le tapis. 2ème crachat dans la gueule.
    – Et que CERTAIN.ES militant.es anti-racistes abordaient la défense de Black M en empêchant toute forme de mention de son homophobie dans la discussion, et en accusant de racisme toute personne ne se pliant pas à cette exigence. 3ème crachat dans la gueule.

    Alors oui, cet article a été écrit du tac au tac, énervée, en colère. Ouais.
    Colère que je continue d’estimer légitime, et tant pis pour les personnes qui verront là une preuve de mon « racisme ».
    Mais colère qui m’a amené à présenter les choses sans les hiérarchiser en terme de conséquences ou de gravité sur un plan SOCIAL et SOCIETAL.
    S’il est grave sur la plan humain que des personnes se sentent le droit de dire à des personnes touchées par l’homophobie de fermer leur gueule sur le sujet, c’est très loin d’avoir le même impact sur le plan de la société que la mobilisation raciste dégueulasse dont Black M a fait les frais.
    On est bien d’accord là dessus.
    Et en aucun cas mon aversion pour Black M ne me fait trouver la moindre excuse aux sous-merdes d’extrême droite qui ont lancé un bashing contre ce mec dont ils se foutent royalement, mais qui se trouve avoir une couleur de peau et une religion qui ne leur reviennent pas.

    Maintenant, s’il y a encore des gens qui ont envie de chercher dans cet article une preuve de mon « racisme », j’ai envie de dire : démerdez vous avec votre conscience.
    J’ai dit ce que j’avais à dire sur le sujet et je n’y reviendrai pas.

    #racisme #sexisme #homophobie #verdun #intersectionnalité #extrême-droite #fascisme #manif_pour_tous

  • S’il te plaît, dessine-moi le programme de la droite... Enfin des droites
    http://libreaffichage.blogspot.fr/2016/05/sil-te-plait-dessine-moi-le-programme.html

    Pas de souci, c’est facile.
    Suppression, réduction, limitation, contrôle, fin, annulation, rétablissement, retour... Un champ sémantique classique, tranquille, d’une droite classique, tranquille, droite dans ses bottes.
    Hier, pendant le grand raout de la motion de censure présentée par la droite à l’Assemblée nationale, Christian Jacob a été magistral, puissant, lyrique, convaincant même... Surtout quand il énumérait une à une toutes les mesures de gauche prises par le Gouvernement depuis 2012.

    Un vrai VRP.
    Sauf en ce qui concerne les idées lumineuses de la droite... Enfin des droites... Enfin des candidats de droite aux Primaires... Bref.

    Christian Jacob en VRP du Gouvernement.
    Je me dois donc d’être la VRP de la droite, enfin des droites... Enfin des candidats de droite aux Primaires... Bref.

    Voilà ton dessin. Ou dessein, c’est selon.

    #droites #programme #synthèse

    • Une droite c’est un point qui est parti faire de la marche à pied !

      Cette citation de Paul #Klee ou de Wassily #Kandinsky, je ne sais plus, n’a bien sur rien à voir avec la politique mais avec la peinture, l’art abstrait, l’onirisme.
      je ne peux plus voir la droite, les droites, leur programme en peinture. Avec la primaire et ces candidats difficile de ne pas s’y intéresser, si seulement ils pouvaient s’entre-tuer.

    • Il n’y a pas, en France, une droite mais trois : droites légitimiste, orléaniste et bonapartiste. Enoncées par #René_Rémond en 1954 dans La #Droite_en_France, cette distinction est devenue classique, et le titre du présent ouvrage prend acte de cette acceptation. Mais, depuis, la France a changé ; les #familles_politiques aussi. La distinction est-elle encore valable ? La division #droite-gauche elle-même a-t-elle encore un sens ? Qu’en est-il de l’extrême droite ? Comment se situe le #gaullisme par rapport à ces trois #traditions ? Telles sont quelques-unes des questions aux-quelles, dans cette étude qui se prolonge jusqu’au lendemain des présidentielles de 1981, René Rémond s’attache à répondre. Loin d’être périmée par l’actualité, sa thèse éclaire en fait le sens des événements les plus récents : en retour, leur déchiffrement projette une lumière nouvelle sur les périodes plus lointaines : l’historien est conduit à faire une lecture neuve du bonapartisme, du boulangisme et des ligues. En outre, tout un chapitre a été consacré au #fascisme_français et à l’examen des causes de sa faible pénétration. René Rémond, qui enseigne à l’université de Nanterre dont il a été le premier président, et à l’Institut d’Etudes Politiques, conjugue la discipline de l’historien et l’approche du politiste. Convaincu de la constance propre et de l’autonomie des faits de culture, il s’intéresse depuis longtemps à la continuité des idées politiques et aux manifestations de l’opinion publique. Les Droites en France est désormais un ouvrage classique de l’historiographie politique française.
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Droites_en_France

  • Une terroriste

    Foto: Tobias Hase / dpa

    Les années de prison ont sans doute laissé des traces dans le visage de Beate Zschäpe. Pourtant il y a d’autres histoires que raconte ce visage. Il ressemble à celui des femmes de la génération de ma grand-mère qui ont toutes participé à maintenir un semblant de vie normale sous un régime meutrier. Il a fallu des décennies à ces femmes pour retrouver l’expression détendue de leur jeunesse, la majorité d’elles n y est jamais parvenue.

    Le visage de la photo montre une expression dont le proverbe dit qu’elle te fait geler le sang dans les veines.

    http://www.morgenpost.de/politik/article207558023/Zschaepe-NSU-Trio-waere-fast-bei-Kontrolle-geschnappt-worden.html

    #fascisme #terrorisme #extrême-droite

  • Les incontinences de François H., le rappeur de l’Élysée
    http://www.dedefensa.org/article/les-incontinences-de-francois-h-le-rappeur-de-lelysee

    Les incontinences de François H., le rappeur de l’Élysée

    12 mai 2016 – En un sens, ce type, François H., est plus “performant” en fait de déconstruction qu’un Robespierre ou qu’un Lénine. Il a l’air bonasse du notaire de province rougissant et un peu moite qui va au boxon tirer son coup en douce, mais c’est désormais un habitué. Dans tout ce qu’il fait, François H. parvient à une quasi-perfection dans l’acte maléfique, et surtout dans l’auto-dissimulation de cet agir-là qu’il réalise comme on tire la chasse, en catimini et en col-cravate. Bref, c’est pas mon genre...

    Tout cela pour dire qu’il a réussi à me faire signer une pétition, pour la première fois de ma vie. (Je suis le citoyen démocratique modèle tel que je le rêve : j’ai voté une fois dans ma vie, j’ai signé une pétition une fois dans ma vie, et cela à (...)

    • Euh ...

      Je persifle, certes, et me conduis en garnement mais c’est pour mieux dissimuler l’indignation silencieuse qui me prend et me soulève. Savent-ils ce que c’est que Verdun, ces types dans leur 4x4 aux vitres teJe persifle, certes, et me conduis en garnement mais c’est pour mieux dissimuler l’indignation silencieuse qui me prend et me soulève. Savent-ils ce que c’est que Verdun, ces types dans leur 4x4 aux vitres teintées et leurs Peugeot grand luxe ? Ont-ils consacré un instant de leur précieux temps-compté à tenter de saisir la nostalgie tragique du souvenir de l’immense et terrible bataille ? Savent-ils encore “tenter de saisir” ? Peuvent-ils encore entr’apercevoir l’immensité tragique de cet événement, cette horreur mélangée au sublime exactement, toutes ces choses que leurs petits phrases étriquées comme leurs petits costumes et mécaniques comme leurs psalmodies labellisées-“droit-de-l’homme”, ne peuvent jamais espérer effleurer seulement ?rintées et leurs Peugeot grand luxe ? Ont-ils consacré un instant de leur précieux temps-compté à tenter de saisir la nostalgie tragique du souvenir de l’immense et terrible bataille ? Savent-ils encore “tenter de saisir” ? Peuvent-ils encore entr’apercevoir l’immensité tragique de cet événement, cette horreur mélangée au sublime exactement, toutes ces choses que leurs petits phrases étriquées comme leurs petits costumes et mécaniques comme leurs psalmodies labellisées-“droit-de-l’homme”, ne peuvent jamais espérer effleurer seulement ?

      Voici quelqu’un qui a réussi à saisir toute cette tragédie, mais cela ne l’a pas empêché de participer à lancer la génération suivante dans la tempête d’acier 39-45.

      https://de.wikipedia.org/wiki/Ernst_J%C3%BCnger

      Sein erster dezidiert politischer Artikel, Revolution und Idee, erschien im September 1923 im Völkischen Beobachter.

      In Stahlgewittern, aus dem Tagebuch eines Stoßtruppführers by Ernst Jünger
      http://www.gutenberg.org/ebooks/34099

      In Stahlgewittern
      Aus dem Tagebuch eines Stoßtruppführers

      Von Ernst Jünger - Kriegsfreiwilliger, dann Leutnant und Kompagnieführer im Füs. Regt. Prinz Albrecht v. Preußen (Hann. Nr. 73) Leutnant im Reichswehr-Regiment Nr. 16 (Hannover)

      Mit dem Bilde des Verfassers
      Berlin 1922 / Verlag von E. S. Mittler & Sohn

      Zur Erinnerung an meine gefallenen
      Kameraden.

      Herrn Hermann Stegemann in Verehrung gewidmet

      extrait du préface

      Das Bild des Krieges war nüchtern, grau und rot seine Farben; das Schlachtfeld eine Wüste den Irrsinns, in der sich das Leben kümmerlich unter Tage fristete. Nachts wälzten sich müde Kolonnen auf zermahlenen Straßen dem brandigen Horizont entgegen. „Licht aus!“ Ruinen und Kreuze säumten den Weg. Kein Lied erscholl, nur leise Kommandoworte und Flüche unterbrachen das Knirschen der Riemen, das Klappern von Gewehr und Schanzzeug. Verschwommene Schatten tauchten aus den Rändern zerstampfter Dörfer in endlose Laufgräben.

      Nicht wie früher umrauschte Regimentsmusik ins Gefecht ziehende Kompagnien. Das wäre Hohn gewesen. Keine Fahnen schwammen wie einst im Pulverdampf über zerhackten Karrees, das Morgenrot leuchtete keinem fröhlichen Reitertage, nicht ritterlichem Fechten und Sterben. Selten umwand der Lorbeer die Stirn des Würdigen.

      Und doch hat auch dieser Krieg seine Männer und seine Romantik gehabt! Helden, wenn das Wort nicht wohlfeil geworden wäre. Draufgänger, unbekannte, eherne Gesellen, denen es nicht vergönnt war, vor aller Augen sich an der eigenen Kühnheit zu berauschen. Einsam standen sie im Gewitter der Schlacht, wenn der Tod als roter Ritter mit
      Flammenhufen durch wallende Nebel galoppierte. Ihr Horizont war der Rand eines Trichters, ihre Stütze das Gefühl der Pflicht, der Ehre und des inneren Wertes. Sie waren Überwinder der Furcht; selten ward ihnen die Erlösung, dem Feinde in die Augen blicken zu können, nachdem alles Schreckliche sich zum letzten Gipfel getürmt und ihnen die Welt in blutrote Schleier gehüllt hatte. Dann ragten sie empor zu brutaler Größe, geschmeidige Tiger der Gräben, Meister des Sprengstoffs. Dann wüteten ihre Urtriebe mit kompliziertesten Mitteln der Vernichtung.

      #guerre #fascisme #militarisme #machisme

  • Notizen zu einer Nazi-Unternehmer-Familie aus der Provinz, Maschinenbau

    Paul Kleinewefers
    https://de.wikipedia.org/wiki/Paul_Kleinewefers

    Paul Kleinewefers (* 22. Januar 1905 in Krefeld; † 18. Dezember 2001) war ein deutscher Unternehmer, Mäzen und Schriftsteller in Krefeld.[1]
    Leben

    Kleinewefers studierte in Karlsruhe, schloss als Diplom-Ingenieur sein Studium ab und übernahm 1929 die Leitung des Familienunternehmens Joh. Kleinewefers Söhne Maschinenfabrik in Krefeld als geschäftsführender Gesellschafter.[2] Er gehörte dem Tat-Kreis an. Im August 1932 schloss er sich der NSDAP als Mitglied an.[3] Bei der Rede Hitlers vor dem Industrie-Club Düsseldorf war er unter den Anwesenden. Darüber schreibt er in seinen Erinnerungen:

    „Für mich, der ich den ganzen Saal vor mir hatte, war es ungeheuer interessant zu sehen, wie die zunächst mit maskenhaften Gesichtern dasitzenden Menschen, die führenden Männer der deutschen Industrie, durch Hitlers Rede von Viertelstunde zu Viertelstunde verändert wurden. Nur ganz wenige haben ihre zurückhaltende Art bis zum Schluß behalten. Die große Mehrheit wurde immer mehr fasziniert, ging immer stärker mit. Immer häufiger gab es Beifall. Am Schluß der Rede, die fast zwei Stunden dauerte und in der sich Hitler völlig verausgabte, gab es ungehemmten Dauerbeifall.“[4]

    Während des Zweiten Weltkriegs beschäftigte auch sein Unternehmen Zwangsarbeiter:[5]

    Nach dem Zweiten Weltkrieg widmete sich Kleinewefers dem Wiederaufbau seines Unternehmens. Das Unternehmen setzte 1991 etwa 500 Mio. DM um und hatte rund 2.000 Mitarbeiter.[6]

    Nach seinem Rückzug aus dem Unternehmen gründete er 1989 die Adalbert-Stiftung. Er war Ehrensenator der Universität Karlsruhe und Träger der Diesel-Medaille in Gold. Er war Mitglied der Akademischen Fliegergruppe Karlsruhe [2]

    Kleinewefers verfasste zwei Bücher über die Zeit der Weimarer Republik und über die Zukunft eines wiedervereinigten Europas.

    Im Jahre 1961 erwarb Kleinewefers den Heydevelthof und modernisierte ihn.[7] [8] Er hatte mit seiner Frau Eva (1909−1979) zusammen fünf Kinder,[2] darunter Jan Kleinewefers, ehemaliger Präsident des VDMA, der das Unternehmen weiterführte.

    Jan Kleinewefers - Munzinger Biographie
    https://www.munzinger.de/search/portrait/Jan+Kleinewefers/0/21050.html

    Jan Kleinewefers wurde am 12. Mai 1935 als Sohn des Unternehmers Paul Kleinewefers in Krefeld geboren.

    Nach dem Abitur 1954 an einem humanistischen Gymnasium studierte K. Rechtswissenschaften und volontierte nach dem Referendarexamen 1958/1959 im Maschinen- und Anlagenexport. Anschließend war er 1959/1960 Assistent des späteren Bundesbankpräsidenten Karl Klasen, der damals Mitglied im Vorstand der Deutschen Bank war. 1960/1961 studierte K. an der Wharton Graduate School of Business Administration der University of Pennsylvania, Philadelphia, und nutzte die Zeit auch zur Wahrnehmung der US-Interessen der Firma Kleinewefers. 1961/1962 absolvierte K. das Europäische Institut für Unternehmensführung (INSEAD) in Fontainebleau mit Abschluss als MBA (Master of Business Administration).

    ÜBER DIE KLEINEWEFERS BETEILIGUNGS-GMBH, KREFELD
    http://k2-krefeld.de/pdf/kleinewefers-fakten-201509.pdf
    1862 gegründet, 2014 geht’s weiter. War da noch was Anderes ?

    Krefeld: Kleinewefers strukturiert Firmen um
    http://www.rp-online.de/nrw/staedte/krefeld/kleinewefers-strukturiert-firmen-um-aid-1.3137162

    17. Januar 2013
    Bisher ist Kleinewefers mit dem Umstrukturierungsbündel nicht an die Öffentlichkeit gegangen. „Wir wollen den Prozess erst abschließen“, erklärte Simon. Nachdem immer mehr Anwohner sich fragen, was an der Girmesgath entsteht, erklärten beide jetzt die Schritte: Von außen sichtbar ist nur der Rückschnitt auf einer zur Girmesgath gelegenen Wiese, dahinter wird derzeit auch ein Lagerzelt versetzt, und es werden Vorbereitungen für das Chemielager getroffen, das früher für die TAG an der Gladbacher Straße stand.

    Aus Sicht von Simon und Körsmeyer hat die Umstrukturierung für die Anwohner an der Girmesgath Vorteile: Durch die Verlegung des Zentralen Fertigwarenlagers nach Grefrath würde der Lkw-Verkehr reduziert. „Am Standort Girmesgath wird nur noch produziert.“ Große Entwicklungschancen bietet die Umstrukturierung für den Standort Gladbacher Straße. Einige alte Hallen dort sollen abgerissen werden, andere bleiben stehen. Die frei gewordene Fläche von 45 000 Quadratmetern dort soll zu einem Gewerbepark entwickelt werden. Es gebe Interessenten aus dem Automobilbereich, erklärte Körsmeier.

    Was für ein Blabla. Was wichtig ist, erfährt man aus anderen Quellen. Offensichtlich hat es sich gelohnt.

    MASCHINENBAU: Das Ende der Eigenbrötler
    http://www.focus.de/finanzen/news/maschinenbau-das-ende-der-eigenbroetler_aid_140298.html

    Montag, 08.02.1993
    „Die ziemlich lang andauernde gleichzeitige Investitionsschwäche in fast allen wichtigen Absatzmärkten“, tröstet der neue VDMA-Verbandspräsident Jan Kleinewefers, habe es „so noch nicht gegeben“.
    ...
    SIEBEN WEGE AUS DER KRISE
    Was Experten der UBM – Unternehmensberatung München – und der Stuttgarter Branchenspezialist Hans-Andreas Fein ihren Kunden raten:

    1. Aggressiv die Kostenführerschaft auf dem Weltmarkt in mehreren Bereichen angehen: Vertrieb und Service, Entwicklung, Einkauf und Finanzen.
    2. Die Kosten müssen radikal um 20 bis 30 Prozent im Durchschnitt runter.
    3. Gemeinsam in den boomenden Tigerländern – Japan, Südkorea, Hongkong, Taiwan, Singapur – oder in China direkt mit einem oder mehreren Partnern aktiv werden. 4. Vor Ort regionale Partner im Bereich Software und Montage einschalten.
    5. Technikverliebtheit – die Maschinen sind häufig mit zu vielen Funktionen überfrachtet – zugunsten preisgünstiger Großserien aufgeben.
    6. Aktiver Vertrieb: Erst Kundenbedürfnisse ausleuchten, dann entwickeln.
    7. Kreatives Marketing: Schlüsselfertige Lösungen rund um die Maschine verkaufen.

    Wenn der Senator erzählt...
    http://www.dkp-linker-niederrhein.de/index.php/krefeld/113-wenn-der-senator-erzaehlt-.html

    Der Firma Kleinewefers hat das „III. Reich“ sichtbar gutgetan, sie wurde zum Nationalsozialistischen Musterbetrieb" ernannt. Nach Beginn des Krieges erhält die Firma, wie andere auch, sogenannte „Fremdarbeiter“ als Arbeitssklaven. In seinem Buch schildert P. Kleinewefers deren Leben als fast schön: „Keineswegs waren die Fremdarbeiter etwa der Willkür des Betriebsführers oder anderer Stellen ausgeliefert.“ Daß die Wirklichkeit anders war, zeigt auch ein Brief der Fa. Kleinewefers an die Krefelder Gestapo. Überhaupt hatte der Senator ein gutes Verhältnis zur Krefelder Gestapostelle: „Zu Weihnachten hatten sie gelegentlich ein Fäßchen Bier bekommen, so taten sie mir manchen Gefallen, und ich konnte helfen.“ Auch konnte sich die Fa. Kleinewefers nach Osten ausdehnen, mit einem Betrieb in der besetzten Tschechei.

    Die Früchte des Bösen
    http://www.dkp-linker-niederrhein.de/index.php/krefeld/112-die-fruechte-des-boesen.html

    Die Adalbert-Stiftung wurde gegründet und finanziert durch den Krefelder Unternehmer Paul Kleinewefers. Sie hieß auch zunächst Kleinewefers-Stiftung und wurde erst 1989 in Adalbert-Stiftung umbenannt. Paul Kleinewefers war Nazi-Urgestein in Unternehmerkreisen, „alter Kämpfer" wie das früher hieß. Er unterschied sich von anderen Kapitalisten dadurch, daß er das nie verleugnete. In seinem autobiographischen Buch „Jahrgang 1905" schrieb er 1976: „Die Beseitigung der Demokratie und die Einführung des ‚Führerprinzips’ wurde keineswegs überall als Zwang und Diktatur empfunden, denn es war offensichtlich, wie sehr sich die extreme Demokratie selbst ad absurdum geführt hatte." Bei der Ansicht blieb er auch: „Diese Organisation der Wirtschaft (Selbstverwaltung) und der einzelnen Betriebe sowie die Arbeitsfront mit dem Treuhänder der Arbeit empfinde ich auch in der Rückschau noch als eine fast ideale Wirtschafts- und Sozialverfassung im Interesse aller." Und: „Der soziale Frieden in der Bundesrepublik Deutschland hat auch die Wurzel in jenen Jahren und in der segensreichen Aktivität der Deutschen Arbeitsfront."
    ...
    1988 erschien Kleinewefers zweites Buch „Erneuerung aus der Mitte" gemeinsam geschrieben mit dem rechtradikalen Prof. Bernhard Willms, dem, der auch am Wirtschaftsprogramm der „Republikaner" mitarbeitete. Darin versuchen sie ein „Konzept für die Neugestaltung Mitteleuropas". „Abschied gilt es nach Meinung der Verfasser vor allem vom Prinzip einer einseitigen Westbindung zu nehmen", heißt es im Klappentext. Ziel ist ein neues Gebilde mit Deutschland und Österreich als Kern, und ihrer Hegemonie über Osteuropa, ein Konzept das Ähnlichkeit mit der Lebensraumkonzeption Hitlers hat. Auch die Folgen sind bedacht: „Es ist also unausweichlich, daß die Gesellschaftsverfassung der Zentraleuropäischen Föderation jedenfalls weniger liberal sein wird und muß als die der Bundesrepublik Deutschland und Österreich." Hatte Kleinewefers sich im „3. Reich" bereits einen Betrieb in der besetzten Tschechei angeeignet, den er nach 1945 wieder verlor, so blieb der europäische Osten und der deutsche Einfluß darin sein eigentliches Thema und auch das der Kleinewefers-/Adalbert-Stiftung.

    #auf_deutsch #Allemagne #histoire #économie #fascisme #industrie #Gestapo

  • Matteotti Morente 1926
    http://www.museomariobernasconi.com/page1.htm

    Giacomo Matteotti
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Giacomo_Matteotti

    Giacomo Matteotti (né le 22 mai 1885 à Fratta Polesine, dans la province de Rovigo en Vénétie - mort à Rome le 10 juin 1924) était un député socialiste italien.

    Son assassinat par un groupe fasciste et les événements qui suivirent sont considérés comme l’un des tournants majeurs du régime mussolinien vers une forme plus autoritaire de gouvernement.

    La casa avita di Giacomo Matteotti
    http://4passiinvaldisole.blogspot.de/2015/03/la-casa-avita-di-giacomo-matteotti.html

    Mario Bernasconi 1899-1963
    https://en.wikipedia.org/wiki/Mario_Bernasconi

    On June 13, 1926 in New York, on the Daily News of the workers of America, “The New World” in the center of the front page appears the reproduction of the sculpture “Il Martire” (The Martyr) by Mario Bernasconi. It was Giacomo Matteotti, which in New York on that day, the second year of his tragic death was commemorated. Bernasconi later donated this sculpture to the Chamber of Labor in Lugano.
    ...
    1960 - 1963 - The company Baylender of Milan, asks Mario Bernasconi to create, for the centennial occasion of the Kleinewefers company in Germany, the statue Il Genio del lavoro (Genius der Arbeit). Mario successfully finishes the artwork.

    Museum Mario Bernasconi
    http://www.museomariobernasconi.com

    #Italie #histoire #mouvement_ouvrier #fascisme #assassinat

  • Rallye „Spurensuche Verbrechen der Wirtschaft 1933-1945“ - Fritz Berg, Herr Kleinewefers, Stinnes und andere
    http://www.verbrechen-der-wirtschaft.de/texte/0035_hintergrund.htm

    Ein Projekt der VVN/BdA NRW
    25.05.2010

    Die im Hintergrund - Fritz Berg, Herr Kleinewefers, Stinnes und andere

    Autor: Manfred Demmer

    Sonntags spricht er von Demokratie...
    „Sonntags spricht er von Demokratie, Montags weiß er nicht mehr wie er das machen soll.
    Denn mit seinen Maschinen, will er weiter verdienen manchen Beutel voll.
    Die Katze läßt das mausen nicht, auch wenn sie manchmal schnurrt,
    sie zeigt euch ihre Krallen schon, sobald ihr mal nicht spurt.“

    So beginnt ein Lied, welches 1969 von Hannes Stütz geschrieben wurde und was jenem Herren gewidmet ist, der damals mit einem Ausspruch deutlich machte, dass man zur Durchsetzung seiner Interessen von der Waffe Gebrauch machten könnte, „Dann herrschte wenigstens wieder Ordnung“, so begründete er das damals. Der Schießwütige war kein Krimineller - sondern der erste Vorsitzende des Bundesverbandes der Deutschen Industrie nach 1945, der die Funktion von 1949 bis 1971 ausübte. Er hieß Fritz Berg und kam aus Altena, wo er geboren wurde und seine Schulausbildung genoss. Nach einer Bank- und Kaufmannsausbildung folgten Tätigkeiten in den USA (u.a. bei Ford in Detroit) und Kanada. Ab 1928 war Prokurist in der Firma seines Vaters, welche Stahlerzeugnisse produzierte. Ob in jenen Jahren der Unternehmer sich mit politischen Fragen befasste oder ob er sogar Mitglied der NSDAP wurde, kann nicht mit Sicherheit gesagt werden. Ein Brand 1961 im Westfälischen Wirtschaftsarchiv vernichtete Akten, die Auskunft über Bergs konkrete Tätigkeit hätten geben können. Jedoch steht fest, dass der ab 1940 tätige Alleininhaber der Firma, aktiv im Beirat der Wirtschaftskammer war. Diese Gauwirtschafts-

    kammern waren Wirtschaftsorganisationen der Nazis, die die faschistischen Ziele im Bereich der Wirtschaft umsetzen halfen. Ab 1942 wurden Sie, infolge der Zielsetzung der Nazis das Wirtschaftsleben den Erfordernissen des sich abzeichnenden „Totalen Krieges“ zu unterwerfen und die Kräfte der Wirtschaft regional zu bündeln, per Erlass des Reichswirtschaftsministerium Nachfolger der Industrie- und Handelskammern und der Handwerkskammern. „Die ohnehin“, so heißt es in einem Lexikon, „seit der ’Machtergreifung’ drastisch eingeschränkte Selbstverwaltung dieser Wirtschaftsbereiche wurde damit beseitigt.“ Hätte hier nicht stehen müssen, die selbst gewollte bzw. selbst herbeigeführte Beseitung? Fritz Berg wird wohl kaum Probleme damit gehabt haben. Denn er wurde - das ist trotz der verbrannten Akten gesichert - 1943 stellvertretender Leiter der Wirtschaftsgruppe Eisen-, Stahl- und Blechwarenindustrie, wo für ihn sicherlich nicht nur die Produktion von Blechdosen im Vordergrund stand. Ebenfalls gehörte er dem Präsidium der Wirtschaftsgruppe Metallwaren an. Es ist kaum anzunehmen, dass er auch dort nicht mit „kriegswichtigen Fragen“ befasst war - ob nun als ernannter Wehrwirtschaftsführer oder nicht.

    Nachdem Kriege ging dann ungebrochen seine Karriere weiter. Er wird 1946 Vorsitzender des Wirtschaftsverbandes Eisen-Stahl- und Metallverarbeitung - zu einem Zeitpunkt also wo Gewerkschaften sich erst nach und nach sich organisieren konnten - und präsidiert der Südwestfälischen Industrie- und Handelskammer in Hagen vor. Berg - der kurzzeitig auch Bürgermeister in Altena war - leitete 1951 die erste westdeutsche Industriellen-Delegation in die USA. Der Gutsbesitzer war Mitglied in vielen Aufsichtsräten und im Präsidiums der Deutschen Gesellschaft für Auswärtige Politik. Er war außerdem Geschäftsführer jener 1954 gegründeten „Staatsbürgerlichen Vereinigung“, die in den 1960er und 1970er Jahren politisch motiviert Spenden sammelte, um diese dann an politische Parteien - vornehmlich von rechts - weiterzuleiten. Hierbei fand dann ein Bruch der Gesetzgebung statt, weil die Parteien verpflichtet sind über die Herkunft ihrer Mittel Rechenschaft abzulegen und es dabei zu eklatanten Vorstößen kam. Das Bundesverfassungsgericht erklärte dieses Verhalten in einem Urteil von 1979 für rechtswidrig. Im Umfeld der Flick-Affäre wurde diese Vereinigung zu einem Skandal, zumal auch Hinweise darauf sichtbar wurden, dass es unter dem Dach der Vereinigung zu Kontakten zwischen CDU-Politikern und NPD-Leuten gekommen war. Während diese also unter der Regie dieses Geschäftsführer geschah, fühlt der sich genötigt, einen Schießbefehl auf streikende Arbeiter zu fordern. Natürlich nur, um die Ordnung herzustellen, die nach Ansicht des während der Nazizeit „qualifizierten“ Arbeitgeberbosses, durch die Septemberstreiks von 1969 bedroht war. Auch in der Nazizeit war ja die Ordnung durch einen Schießbefehl von Göring hergestellt worden, dem tausende Arbeiter zum Opfer fielen. Gewerkschafter und Antifaschisten protestierten gegen die Berg-Aussagen, die Verbände der Unternehmer und ihre politischen Sprachrohre übten klammheimliche bis offene Sympathie mit ihrem Boss, der 1979 in Köln verstarb. Wie sang Hannes Stütz zum Schluss seines Liedes:

    „Samstag ist der Krieg vorbei und die halbe Welt entzwei. Herr Berg ist guten Mut’s,
    Jetzt ist er wieder Demokrat solang er davon Nutzen hat. Wenn nicht - dann kehrt ! Was tut’s?
    Es sei denn, es ist jemand da, der ihm den Weg verbaut, in die Hände nimmt und mitbestimmt, was er uns täglich klaut.
    Denn die Katze läßt das mausen nicht auch wenn sie manchmal schnurrt.
    Sie zeigt Euch ihre Krallen schon sobald ihr mal nicht spurt.“

    Er war dabei

    Im WDR-Fernsehen konnte man am 26.März 1985 eine Geschichtsstunde der besonderen Art miterleben. Da war auf der einen Seite ein Mann, der als Kommunist schon vor Beginn des staatlichen Naziterrors gegen die deutschen Faschisten gekämpft hatte. Dafür wurde er von den Nazis drangsaliert, seine Frau im KZ Auschwitz umgebracht und er selber im KZ Buchenwald gefangen. Kurt Bachmann - um ihn handelte es sich - war Präsidiumsmitglied der VVN-Bund der Antifaschisten und der FIR (Internationale der Widerstandskämpfer), Er berichtet in dem Film „Volksgenossen“ über seine Erfahrungen im Faschismus. Der andere Part hatte jener Mann inne, der in einem Buch mit dem Titel „Jahrgang 1905“ bekannte, dass er bei den Nazis voll dabei war. Wie z.B. am 26.Januar 1932, wo der Unternehmersohn im Industrieclub in Düsseldorf Herrn Hitler lauschte, wie dieser den Herren der Banken und der Industrie seinen Plänen vortrug und diese dann in begeistertes Entzücken ausbrachen. Paul Kleinewefers aus Krefeld, der 1928 den ersten Kontakt mit den Nazis aufnahm, schreibt: „Ich war unter den bekannteren Krefelder Unternehmern und in der sogenannten Gesellschaft zu dieser Zeit der einzige Parteigenosse.“ Und als Nazi jubelt er, als die Gewerkschaften 1933 verboten wurden (wie es ja der "Führer vor etwas mehr als einem Jahr vorher in Düsseldorf angedeutet hatte) und mit der „Deutschen Arbeitsfront“ eine Organisationsform entstand, bei der der Betriebschef nach dem „Führerprinzip“ zum innerbetrieblichen Diktator bestellt wurde. So schreibt Kleinewefers in seinem Buch: „Die Beseitigung der Demokratie und die Einführung des ’Führerprinzips’ wurde keineswegs überall als Zwang und Diktatur empfunden, denn es war offensichtlich, wie sehr sich die extreme Demokratie selbst ad absurdum geführt hatte.“ Ja, auch noch in bundesrepublikanischer Zeit stellt er fest: „Diese Organisation der Wirtschaft (Selbstverwaltung) und der einzelnen Betriebe sowie die Arbeitsfront mit dem Treuhänder der Arbeit empfinde ich auch in der Rückschau noch als eine fast ideale Wirtschafts- und Sozialverfassung im Interesse aller.“ Und auch das stammt aus seiner Feder: „Der soziale Frieden in der Bundesrepublik Deutschland hat auch die Wurzel in jenen Jahren und in der segensreichen Aktivität der Deutschen Arbeitsfront“. Kleinewefers und die Firma profitierten vom III.Reich, der Betrieb wurde zum „Nationalsozialistischer Musterbetrieb“ erklärt.( Bis 1940 durften insgesamt 297 Betriebe den Titel führen), was natürlich auch manche Vorteile verhieß. Während des Krieges konnte sich die Firma im Osten ausdehnen. Ein Betrieb entstand nun in der besetzten Tscheslowkai. Und wie sich das gehörte, bedankte sich der dem „Führer, Volk und Vaterland“ verpflichten Unternehmer, für die Fürsorge des faschistischen Staates für seine Unternehmer, auch bei der Gestapo. Wie in der gesamten Industrie, Handwerk und bei Bauern bekam auch Kleinewefers sogenannte Fremdarbeiter, die als Arbeitssklaven für den Profit des nationalsozialistischen Musterbetriebes und Herrn Kleinewefers schuften mussten. Waren da mal welche drunter, die sich renitent zeigten, wurden diese bei der Gestapo denunziert. Am 2. November 1942 hieß es in einem Firmenbrief:

    „An die Geh. Staatspolizei:

    Unsere Ostarbeiterin P. Alexandra, geboren 1895, hat in unserem Lager unter den Ostarbeiterinnen Unruhe gestiftet und ist mit der Verpflegung nicht zufrieden. Sie hat versucht ihre Arbeitskameradinnen dazu zu bewegen die Arbeit niederzulegen und ebenfalls Beschwerde über Essen usw. vorzubringen. Wir haben die Ostarbeiterin daraufhin in Einzelarrest genommen um sie von den anderen Lagerinsassen abzusondern. Wir haben festgestellt, daß die Genannte und auch noch andere Ostarbeiterinnen im Hause Inratherstrasse angeblich bei einer Frau M. verkehren und es hat den Anschein, als ob von der Stelle aus die Ostarbeiterinnen irgendwie beeinflusst werden. Wie uns zugetragen wurde, ist die Frau M. gebürtige Russin und deren Mann wegen politischer Straftaten im Gefängnis. Wir bitten Sie, die Angelegenheit genau zu untersuchen und vor allem gegen die Alexandra P. die notwendigen Schritte zu unternehmen.

    Heil Hitler!

    Joh. Kleinewefers Soehne ppa“

    Da solches ja nicht in einem faschistischen Musterbetrieb zu dulden war, wird wohl seitens der Geheimen Staatspolizei dazu geführt haben, die „Bitte“ zu erfüllen. Und Keinewefers wusste was er zu machen hatte. Er bedankte sich artig und schrieb in seinem Buch: „Zu Weihnachten hatten sie gelegentlich ein Fäßchen Bier bekommen, so taten sie mir manchen Gefallen, und ich konnte helfen.“

    Nach der Befreiung von Krieg und Faschisms war die Unternehmerfamilie Kleinewefers, wegen ihrer Rolle in der Nazidiktatur, erstmal gesellschaftlich isoliert. So umgab man sich zunächst mit ehemaligen Nazi-"Kulturschaffenden", wie z.B. Hitlers Lieblingsbildhauer Arnold Breker. Doch bald gelangten sie in die „Gesellschaft“ zurück. Kleinewefers-Sohn Jan wurde sogar von 1993 bis 1995 Bundesvorsitzender des einflußreichen Unternehmerverbandes der Maschinenbauindustrie (VDMA). Auch heute sitzt er noch in zahlreichen Gremien, wie etwa dem Stiftungsrat des Internationalen Karlspreis. Kleinewefers gründete eine Stiftung - die zuerst nach ihm benannt, dann 1989 in Adalbert-Stiftung umbenannt wurde . Diese Stiftung war seit ihrer Gründung eine Art Scharnier zwischen Rechten, Konservativen und (immer mehr) Prominenten aus Politik und Industrie. Geprägt wurde sie durch ihren Stifter. Sie arbeitet eng mit der Konrad Adenauer -Stiftung der CDU und dem Düsseldorfer Industrieclub (Nachfolger von genau jenem!) zusammen. Das Paul Kleinewefers sich auch an anderer Stelle profilierte tat diesen Beziehungen keinen Abbruch. Wie etwa 1999, wo er - im Alter von 94 Jahren - in der Zwangsarbeiterdebatte - einen Artikel in der ultrarechten Zeitschrift „Soldat im Volk“ schrieb. Zitat: „Wir Betriebsführer in der damaligen Rüstungsindustrie standen unter dem Druck, bestimmte Leistungen in der Produktion von Waffen, Maschinen, Geräten usw. zu erbringen, abgesehen von der vaterländischen Pflicht, unsere Aufgabe ebenso selbstverständlich zu erfüllen, wie man das von den Soldaten an der Front erwartete.“

    In der Tat - er erfüllte seine selbstverständliche Pflicht. Paul Kleinewefers war und blieb dabei!

    Seine Lebensaufgabe

    Im „Braunbuch“, - jenes Nachschlagewerk welches 1965 in der DDR erschien um über die Karrieren von Fachleuten der Nazizeit in der Bundesrepublik zu berichten, was entsprechend der damaligen antikommunistischen bundesdeutschen Staatsdoktrin als kommunistisches Machwerk und Fälscherbuch , als „politische Pornograhie“ bezeichnet wurde, gegen das auch juristisch vorgegangen wurde, - findet sich auf Seite 48 ein Eintrag über Werner Albert. Er wird dort als Wehrwirtschaftsführer bezeichnet, der bei Kronprinz in Solingen tätig war und ist. Weiterführende Informationen gibt es leider nicht und auch in anderen Nachschlagewerken wird man bei dem Namen nicht fündig. Also haben die „Braunbuch“ - Macher hier nur etwas hineingeschrieben um die Bundesrepublik im Kalten Krieg an zu schwärzen?

    Am 3. August 1966 erschien im „Solinger Tageblatt“ ein Artikel mit der Überschrift: „KPZ wurde ihm zur Lebensaufgabe“. Anlass ist der 65.Geburtstag des langjährigen Vorsitzenden des Arbeitgeberverbandes der „Klingenstadt“ Solingen, eben jenem Werner Albert. Bevor aus dem Artikel weiter zitiert werden soll, wollen wir einige biographische Daten beisteuern, die den Hintergrund ausleuchten helfen. Geboren wurde er in Düsseldorf, „baute“ sein Abitur in Remscheid, wo er auch ein Praktikum bei der Firma Mannesmann machte. Am 21.April 1925 begann er dort - der zuvor eine Diplomprüfung als Maschinenbauer an der TH München abgelegt hatte - als Betriebsingenieur bei Mannesmann. Daneben war er 1925 auch als Assistent am Kaiser Wilhelm - Institut für Eisenforschung in Düsseldorf tätig. 1926 promovierte er an der Fakultät für Eisenhüttenwesen bei der TH Aachen. Bei Mannesmann wurde er 1930 Betriebsleiter des Walzwerkes in Rath (Düsseldorf) und dann in gleicher Position im Werk Landore der British Mannesmann Tube Co. In Wales.

    Nun soll weiter aus dem Artikel zitiert werden, wo mitgeteilt wird, das er „vor 28 Jahren in die Klingenstadt (kam), nachdem ihn die Generaldirektion der Mannesmann AG zum Vorstandsmitglied der gerade übernommen Kronprinz AG berufen“ hatte. Und an anderer Stelle wird berichtet, dass er „in der technischen Leitung der Kronprinz AG seine Lebensaufgabe fand. Mit welchem Geschick er dieser Aufgabe gerecht wurde, das geht aus der Tatsache hervor, dass er die Zeiten der immer schwieriger werdenden Produktionsverhältnisse, ebenso wie die des Wiederaufbaus und der jüngsten rationalisierenden Neuorganisation zum Wohle des Unternehmens meisterte.“ Hier müssen nun einige Anmerkungen gestattet sein, denn was hatte es sich mit der „gerade übernommen Kronprinz AG“ auf sich? Was waren die „immer schwieriger werdenden Produktionsverhältnisse“? Und was konnte man unter dem „Wohle des Unternehmens“ verstehen?

    Der Wirtschaftsjournalist Kurt Pritzkoleit warf 1963 ein Blick hinter die Türen der deutschen Wirtschaft. Seine Erkenntnisse veröffentlichte er in dem Buch „Männer-Mächte-Monopole“. Dabei sind auch Hinweise auf die „gerade übernommene Kronprinz AG“ zu finden. Doch bevor dieses Thema kurz behandelt werden soll, müssen einige Worte zu den immer „schwieriger werdenden Produktionsverhältnissen“ gesagt werden. Der von der übergroßen Mehrheit der Industrie begrüßte Zweite Weltkrieg, der Aufträge und damit höchste Profite versprach, forderte natürlich auch von den Betrieben „Opfer“. Was tun, wenn die deutschen Arbeiter statt hinter der Drehbank an Flakgeschützen stehen? Da müssen eben andere ran, am besten solche, denen man noch kümmerlichere Löhne (wenn überhaupt) zahlen kann, als man es schon bei der deutschen „Gefolgschaft“ tat. Also müssen Zwangsarbeiter her, um die „schwierigen Produktionsbedingungen“ zum „Wohle des Unternehmens“ zu lösen. Und Werner Albert verfuhr danach. In den Kronprinz -Werken schufteten in den Anfangsjahren des Krieges bereits rund 700 Arbeitssklaven. Der spätere Wehrwirtschaftsführer hatte die Leitung der Kronprinz AG zu dem Zeitpunkt übernommen, als 1938 „die Springflut der politischen Ereignisse“ (Pritzkoleit) die Mannesmann - Röhrenwerke (die Kronprinz und die Vorgängerfirma Alexander Coppel einverleibt hatte) „auf der Höhe des Krieges zu den größten deutschen Montankonzernen“ werden lässt. Begonnen hatte alles bereits 1930, als Mannesmann ein Fünftel der Firma erwarb. Ab 1934, wo im Mannesmann-Konzern Generaldirektor Wilhelm Zangen waltete, wuchs das Imperium ständig weiter. Zu der Zeit als Werner Albert verantwortlich für KPZ wurde, hatte Mannesmann weitere 20 Beteiligungsgesellschaften im In-und Ausland. Was hatte es sich mit der von Pritzkoleit erwähnten Vorgängerfirma Alexander Coppel auf sich?

    Im neunzehnten Jahrhundert hatte sich in Solingen die Firma „Alexander Coppel“ etabliert, die Stahlwaren und auch Blankwaffen herstellte. Die Familie war jüdischen Glaubens. In einem Zweigwerk in Hilden wurden darüber hinaus Stahlrohre produziert. Der 1865 geborene Alexander Coppel tritt in die Firma ein und wirkt auch im öffentlichen Leben von Solingen und Hilden mit. Entsprechend seiner nationalliberalen Einstellung zeichnet er im Ersten Weltkrieg Kriegsanleihen und fordert die Bürger und "seine"Arbeiter ebenfalls dazu auf. Von 1915 bis 1942 ist er Vorsitzender der Synagogengemeinde in Solingen und einige Zeit auch im Vorstand der Industrie- und Handelskammer aktiv.In der Weimarer Republik wendet er sich der Deutschen Demokratischen Partei zu und ist deren Stadtverordneter bis 1929 in der Klingenstadt. Ungeachtet seiner Aktivitäten für die Belange der Stadt wird er schon frühzeitig von den Nationalsozialisten angegriffen.Im Juni 1932 gibt es bei der Firma in Solingen auf Initiative des Betriebsrats einen halbstündigen Protest gegen eine Schießerei von SA-Leuten, bei der 4 Arbeiter verletzt wurden. Nach der Machtüber - tragung verschärften sich die Angriffe. Schon 1934 emigrieren Familienangehörige in die Schweiz. Im Nazi-Sudelblatt „Der Stürmer“ werden Angriff auf das jüdische Unternehmen gestartet. Trotz-dem ergeht am 7.August 1933 seitens der Firma ein Schreiben an die NSBO (Nationalsozialistische Betriebszellen-Organisation), Ortsgruppe. Hilden zur Einführung des deutschen Grußes durch Erheben des rechten Armes. Drei Tage später beteiligt sich Alexander Coppel an den Kosten für eine NSBO-Fahne. Darin "soll der gemeinsame hohe nationale Geist zum Ausdruck kommen.’’ Doch auch die Tatsache das die IHK der Familie „nationale und soziale Gesinnung“ bescheinigte und das sich die NSBO im Juni 1933 dafür einsetzte, zu berücksichtigen, dass bei der Firma staatliche Waffenproduktion in Auftrag gegeben werden könnten, all das konnte nicht verhindern, dass die jüdische Firma schon vor der Reichspogromnacht „arisiert“ wurde. In einem Beitrag einer Solinger Schule über die Familie Coppel heißt es dazu: „Trotz vermehrter Judenauswanderung durch den drohenden Nationalsozialismus halten die Brüder dem Werk die Treue bis sie schließlich 1936 aus der Firmenbelegschaft verabschiedet werden und die Firma in fremde Hände übergeben werden muss.“ (!!??) „Verabschiedet“? „Die Firma in fremde Hände übergeben“? Der für Solingen zuständige Nazi-Gauleiter Friedrich Karl Florian hatte in einem Gaubefehl 1938 das Wort „Arisierung“ verboten und befohlen von einer „Entjudung“ zu sprechen. „Entjudet“ wurde das Werk in Hilden am 1.März 1936 und der Betrieb in Solingen am 16.April. Wie die genauen Vorgänge waren ist weitgehend unbekannt - nur das Kronprinz, dass „entjudete“ Unternehmen sich einverleibte, ist bekannt. Alexander Coppels Bruder, Gustav nimmt sich 1941 das Leben, seine Tochter Anna kommt 1942 im KZ Ravensbrück um.

    Der Wehrwirtschaftsführer Albert wird sich damals wohl kaum um das Schicksal seines ehemaligen Unternehmerkollegen gekümmert haben, der dann im Juli 1942 - siebenundsiebzigjährig - mit anderen Solinger Juden ins Ghetto nach Theresienstadt deportiert wurde, wo er am 5.August 1942 verstirbt. Der Wehrwirtschaftsführer Albert konnte nahtlos - wie es ja auch seiner beruflichen Aufgabe entsprach, nahtlose Rohre herzustellen - als führender Mann der Solinger Wirtschaft „den Wiederaufbau zum Wohle des Unternehmens“ fortsetzen. Und dies geschah mit „alten Kameraden“ der Nazizeit.

    Da hatten in Hilden Kommunisten, Sozialdemokraten, Zentrumsleute und Parteilose beim Einmarsch der Amerikaner einen Antifa-Ausschuss gebildet, der auch von den Besatzern akzeptiert wurde. Diesem ersten demokratischen Gremium gehörte auch der Hildener Werksleiter der Firma Kronprinz an, der SS-Mitglied gewesen war. Auf Protest der Kommunisten hin wurde er - der auf Vorschlag der Wirtschaft in den Ausschuss gesandt worden war - entlassen. In Solingen sahen es die Betriebsräte des Kronprinz-Betriebes als eine der wichtigsten Aufgaben an, die Entnazifizierung im Betriebes durchzuführen. In der Zeit vom 22.Oktober 1945 bis 12.April 1946 mußten dadurch ehemals aktive Nazis durch die Betriebsleitung entlassen werden. Wie gesagt, nicht der ehemalige Wehrwirtschaftsführer, der nun als Vorstand der Kronprinz AG demokratisch geworden war, handelte, sondern die Arbeiter und Angestellten des Betriebes. Als Dank dafür wurden diese dann Jahre später bei der „rationellen Neuorganisation zum Wohle des Unternehmens“ aus dem Betrieb entlassen, entfernt.

    Der langjährige Boss des Solinger Arbeitgeberverbandes, der über 40 Jahre an den Schalthebeln des Kronprinz-Betriebes stand, hat seine Lebensaufgabe - den Profit höchstmöglichst zu erreichen - erfolgreich durchgeführt. Was spielen da eventuelle moralische Fragen eine Rolle ? Was spielt da die Frage nach dem Schicksal eines von den Nazis ermordeten jüdischen Unternehmers eine Rolle?

    Förderer der Nazis vor und nach dem Krieg

    Auf der offiziellen Internetseite des Stinnes-Konzerns wird man darüber aufgeklärt, dass 1948 die Familie Hugo Stinnes mit den Gesellschaftern Cläre Stinnes, Hugo Stinnes jun. und Otto Stinnes in Mülheim an der Ruhr das Unternehmen Hugo Stinnes oHG zu neuer Größe aufbauten. Man erfährt auch, dass die erfolgreiche Unternehmensentwicklung 1925 durch Liquiditätsprobleme und Veräußerungen von .Teile des Unternehmens durch Banken ins Stocken geriet, dann jedoch durch amerikanische Banken wieder in Gang kam, um 1941 als „Feindvermögen“ von den USA beschlagnahmt zu werden. Es wäre hier sicherlich interessant, die gesamte Geschichte der Stinnes-Dynastie (die 1808 mit der Gründung eines Schifffahrts- und - Kohlenhandels begann) zu untersuchen, doch kann hier nur kurz jener Abschnitt beleuchtet werden, der 1924 mit der Übernahme , des von seinem Vater - während der Inflation (!!) - „erworbenen“ Unternehmen begann und im ständigen Auf und Ab des kapitalistischen Wirtschaftslebens immer größer und damit einflussreicher wurde. Der Herr über 1500 Unternehmen war z.B. auch Mitglied des Aufsichtsrats des Rheinisch-Westfälischen Kohlen-Syndikats. Am 20. Februar 1933 war er Teilnehmer - auch als Vorstandsmitglied des Reichsverbandes der Deutschen Industrie - beim Geheimtreffen von 27 Industriellen mit Adolf Hitler und Hermann Göring in Berlin. Auf diesem Treffen wurde für den laufenden Wahlkampf zur Reichstagswahl am 5.März 1933 von der Creme der deutschen Industrie noch schnell mehr als zwei Millionen Reichsmark für die NSDAP locker gemacht. Obwohl nach außen hin die Fassade des unpolitischen, nur an Wirtschaftsfragen interessierten Unternehmers aufrecht erhalten wurde, ist bekannt das Stinnes jun. sich nicht scheute , während der Besetzung Dänemarks mit dem Nazi-Statthalter Werner Best Geschäfte zu machen. Best war ein promovierter deutscher Jurist, Nazi, Polizeichef, SS-Obergruppenführer und ab 1942 deutscher Statthalter im besetzten Dänemark, wo er vehement für die „Endlösung der Judenfrage“ eintrat. Der nach der Befreiung in Dänemark zum Tode verurteilter Nazi-Verbrecher, kommt nach deutscher Intervention in die Bundesrepublik, wo er sofort aktiv an der Kampagne für eine Generalamnestie zugunsten von NS-Tätern mitwirkt. 1953 wird er Direktoriumsmitglied und Justitiar bei der Hugo Stinnes Industrie- und Handels GmbH in Mülheim an der Ruhr. Im Juli 1989 stellt die Staatsanwaltschaft Düsseldorf einen Antrag auf die Eröffnung eines Verfahrens gegen Best wegen Mordes an 8723 Menschen. Der war aber einige Wochen zuvor gestorben. Dank des Mannes im Hintergrund mit Namen Hugo Stinnes jun. - dem auch Unterstützung anderer ehemaliger NS-Funktionäre nachgesagt wird - konnte Best unbehelligt als „Demokrat“ in Erscheinung treten. Stinnes sei Dank!

    #Allemagne #histoire #fascisme #nazis #industrie #économie #auf_deutsch

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    Le message me rappelle qu’en volant du temps de vie à des millions de gens ces spammeurs se comportent en SS du net. Apparamment il sont d’accord avec cette définition. Qu’on les traite en conséquence.

    #net-nazis

    • C’est plus que " des spammers se comportent en SS du net ". C’est la sociologie d’un pays, c’est notre époque, c’est le fascisme réel et original. T’inquiète, Auschwitztrips.com existe indépendamment de ses usages. On verra la même chose en France, en Allemagne, ailleurs, et ce n’est pas d’abord un problème « du net »

      Tu peux rapporter le SPAM sur http://www.enom.com/help/abusepolicy.aspx#fragment-0.

      Il paraît que le domaine lui-même n’est pas utilisé pour autre chose que le SPAM. Alors, le registrar va avoir une opinion.

      :~$ whois ausschwitztrips.com
      (...)
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      #nazis_tout_court #fascisme #extrême_droite #Bullshit

  • Un fascisme féministe pourrait diriger l’Europe selon le sociologue Jean Viard.
    http://www.ladepeche.fr/article/2016/04/05/2318567-sentiment-plus-perspective-politique.html

    « On est actuellement face à une grande peur de déclassement, porté par des mouvements d’extrême droite ou de fascisation comme les islamistes, qui essaient de réinstaurer leur mythe de l’âge d’or. Il est très possible qu’on passe par une période de fascisme, on n’en est pas loin, avec des extrême droites modernes en Europe, dirigées par des femmes. »

    #France #NuitDebout #féminisme #Fascisme

  • Une réaction à l’édito de Riss publié en anglais: How did we end up here?
    https://charliehebdo.fr/en/edito/how-did-we-end-up-here

    Take the local baker, who has just bought the nearby bakery and replaced the old, recently-retired guy, he makes good croissants. He’s likeable and always has a ready smile for all his customers. He’s completely integrated into the neighbourhood already. Neither his long beard nor the little prayer-bruise on his forehead (indicative of his great piety) bother his clientele. They are too busy lapping up his lunchtime sandwiches. Those he sells are fabulous, though from now on there’s no more ham nor bacon. Which is no big deal because there are plenty of other options on offer - tuna, chicken and all the trimmings. So, it would be silly to grumble or kick up a fuss in that much-loved boulangerie. We’ll get used to it easily enough. As Tariq Ramadan helpfully instructs us, we’ll adapt. And thus the baker’s role is done.

    Teju Cole - Charlie Hebdo was given last year’s PEN/James and Toni...
    https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=10153616146902199&id=200401352198&fref=nf&pnref=s

    Historical analogy can be tiresome and too easy, but sometimes it’s the sharpest thinking tool around. Reading this extraordinary editorial by Charlie, it’s hard not to recall the vicious development of “the Jewish question” in Europe and the horrifying persecution it resulted in. Charlie’s logic is frighteningly similar: that there are no innocent Muslims, that “something must be done” about these people, regardless of their likeability, their peacefulness, or their personal repudiation of violence. Such categorization of an entire community as an insidious poison is a move we have seen before.

    Read the piece yourself—don’t just react. Read the piece and think through who you wish to be in relation to the kinds of arguments it presents. If I hadn’t carefully scrutinized the url (and thus confirmed that it really is legit), I’d have thought someone was doing a cruel parody of laïcité. The fact that the essay itself is written in English also indicates very clearly that Charlie is aware of its global audience now, of the bigotry that is increasingly popular here in the US, disguised and undisguised.

    Meanwhile, you might remember that SOS Racisme, a French “anti-racist” organization, was brought to New York last year to defend Charlie from accusations of racism. One of the founders of SOS Racisme was Laurence Rossignol, the current French minister for women’s rights. This same Rossignol said last week that women who wear the hijab are like the “nègres américains” (American negroes/ American niggers) who accepted slavery.

    So, SOS Racisme gets on stage and, on behalf of PEN, gives an award to Charlie Hebdo, and everybody applauds and congratulates themselves for their fine understanding of satire. The same Charlie, in this new editorial, writes: “From the bakery that forbids you to eat what you like, to the woman who forbids you to admit that you are troubled by her veil, we are submerged in guilt for permitting ourselves such thoughts.”

    What thoughts? The wish to discriminate freely against Muslims without having to be called out on it. The freedom to draw everyone who is Muslim, or comes from a Muslim family, or is connected to North Africa, or “looks” Arab, into one big universal blood guilt that makes them literally responsible for the horrors perpetrated by a few maniacs. The desire to have this hatefulness lauded as courage.

    (On en est où du débat «Mais non Charlie ils sont pas islamophobes»?)

    (via Angry Arab)

    • Putain je crois que cet édito est encore plus gerbant que les dessins.

      Par ailleurs, admire la logique « orwelienne » aussi :
      – il y aurait soit disant une peur de la contradiction, de l’objection, de la controverse, de la discussion, de la contestation qui s’institue dans la société (je reprends tous les mots utilisés)
      – contre ça, il faudrait interdire la parole à Tariq Ramadan (entre autre), et ne pas débattre avec lui (et obliger les boulangers à faire des sandwichs contenant du porc).

      Wait…

      #vomi #Riss #Charlie_Hebdo #islamophobie #racisme #Grand_Remplacement (c’est clairement le thème de ces exemples de ces fourbes musulmans qui s’insèrent au milieu de nos croissants)

    • Etonnant de pouvoir lire l’édito en anglais, et de tomber sur un paywall pour pouvoir le lire en français... Ça empêche les comparaisons. Et puis le lire en français, ça permettrait de lever le doute sur la bêtise du propos lu en anglais. Après tout, c’est pas ma langue natale... peut-être que je lis mal.

      Ça donne l’impression que Val n’a pas quitté Charlie.

    • @biggrizzly
      Tu peux le voir là :
      https://twitter.com/search?f=images&vertical=default&q=riss%20%C3%A9dito&src=typd

      Dans le livre de Denis Robert, à propos des bombardements sur la Serbie :

      "Dans le n°361 de Charlie Hebdo en lieu et place de la chronique de Charb (Note : CH du 19 mai 1999), un texte de Riss (qui n’écrit pas d’ordinaire) reproche même aux pacifistes d’être des collabos ! De même sur le traité constitutionnel européen : si d’autres voix que celle de Philippe Val se font entendre, c’est lui qui conduit une campagne véhémente et caricaturale contre les partisans du « non » au référendum. Riss montre là un rapprochement très net avec Philippe Val et Richard Malka. Plus jamais il ne sera pris à défaut quant à cette proximité."

    • J’ai l’impression que c’est encore une discussion où tout le monde a raison parce ce chacun voit les choses de son point de vue particulier. Il me semble qu’on puisse se rapprocher de la « vérité » à travers une analyse des intérêts des émetteurs des messages divers. Disons follow the money ou cui bono pour ceusses qui préfèrent le latin à l’anglais.

      Donc, pour ajouter un peu de confusion à celle qui régne déjà voici mon point de vue à moi :

      Le texte de Charlie me rappelle la pièce célèbre de Max Frisch Monsieur Bonhomme et les Incendiaires : Pièce didactique sans doctrine (Biedermann und die Brandstifter : Ein Lehrstück ohne Lehre) . Vu comme ça c’est un avertissement contre des trends qui sont tout à fait inquiétants. Si on ignore l’énervément et les commentaires provoqués par le fait que le texte de Charlie vise chacun de nous individuellement, surtout chacun qui croit avoir compris le problème, on peut l’interpréter comme un appel à la mise en question de toutes les idées préfabriquées, un appel contre l’égoïsme, contre le communautarisme, pour l’entente, pour l’identification des intolérants incorrigibles et pour la solidarité.

      Vu comme ça le texte de Charlie a le même défaut que celui de l’auteur suisse en 1958 : Il omet l’analyse des forces qui font bouger cet amalgame d’hommes, d’idées et d’actions. Les textes demeurent au niveau de la surface. Ils n’apportent pas grand chose et ne constituent surtout pas d’outils pour libérer qui que ce soit de quoi que ce soit. Le sous-titre de Frisch le dit explicitement.

      Dommage, passons à autre chose.

      P.S. Si le Grand Duduche avait été allemand, il aurait été obligé d’étudier Biedermann und die Brandstifter au lycée.

      Biedermann und die Brandstifter
      https://de.wikipedia.org/wiki/Biedermann_und_die_Brandstifter

      Biedermann und die Brandstifter ist ein Drama des Schweizer Schriftstellers Max Frisch. Es handelt von einem Bürger namens Biedermann, der zwei Brandstifter in sein Haus aufnimmt, obwohl sie von Anfang an erkennen lassen, dass sie es anzünden werden. Der Untertitel lautet „Ein Lehrstück ohne Lehre“.

      #idéologie #terrorisme #religion #islam #fascisme

    • Quand Riss énonce l’ensemble des causes de cette façon :

      The causes are numerous beyond counting and everyone will naturally choose the one that suits best their own convictions. Law and Order fans will denounce the haplessness of the police. Xenophobes will blame immigration. Sociologists will rehash the evils of colonialism. Urban-planners will point to the evils of ghettoisation.

      Il omet dans sa liste « take your pick » ce que la grosse majorité des commentateurs clame depuis des années : « c’est tout de la faute de l’Islam (et des arabes) ». Ce que son texte finit par conclure (tu m’étonnes), à la façon dont tous les briseurs de tabous et de portes ouvertes font depuis Huntington.

      Ils causent de peur de s’exprimer, de crainte de critiquer, mais ils sont partout, à réciter les mêmes choses, tout le temps, dans toutes les langues, et sur toutes les publications. Comment une telle façon de se victimiser peut-elle à ce point faire illusion ? :-(

  • Polarização política no Brasil: O maniqueísmo é o ópio dos tolos | Opinião | EL PAÍS Brasil
    http://brasil.elpais.com/brasil/2016/03/30/opinion/1459339584_372231.html?rel=cx_articulo#cxrecs_s

    podemos classificar de tolerante uma sociedade racista (que discrimina os descendentes de africanos e os índios), machista (cerca de cinco mil mulheres mortas por ano, o quinto maior índice de feminicídio do planeta), homofóbica (líder mundial de assassinatos de homossexuais), xenófoba (no caso, nossa intransigência é seletiva, apenas contra imigrantes pobres), e também, descobrimos há não muito tempo, fascista.
    Porque é uma atitude autoritária tentar impor nossas opiniões ao outro, e, quando frustrados, procurarmos desclassificar agressivamente nosso interlocutor. O totalitarismo não tem lado – ceifa à esquerda e à direita com a mesma intensidade.

    Valable aussi chez nous, et pas qu’un peu...

    #racisme #machisme #homophobie #feminicide #xenophobie #fascisme

  • Giles Ji Ungpakorn - Wikipedia, the free encyclopedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/Giles_Ji_Ungpakorn


    Des fois que vous ne le connaissiez pas encore ...

    Giles Ji Ungpakorn (Thai: ใจ อึ๊งภากรณ์; rtgs: Chai Uengphakon; IPA: [tɕāj ʔɯ́ŋ.pʰāː.kɔ̄ːn]; born 25 October 1953) is a Thai-British academic and political activist. He formerly worked as an associate professor at Faculty of Political Science, Chulalongkorn University, before he fled to the United Kingdom after facing a lèse majesté charge in Thailand.
    ...
    Giles Ungpakorn was formally charged with lese majeste in Bangkok on January 20, 2009. He had 20 days to respond to the charges, after which the Thai authorities would decide whether his case would be given to the Thai courts for prosecution. Ungpakorn said he was being charged because of the contents of his book A Coup for the Rich, which points out the main reasons the coup in Thailand two years prior took place. He fled Thailand in February 2009, returning to the United Kingdom. He stated, “I did not believe I would receive a fair trial.”

    ... voici le dernier article de son site excellent.

    Thai middle classes are violently opposed to democracy | Uglytruth-Thailand
    https://uglytruththailand.wordpress.com/2016/03/20/thai-middle-classes-are-violently-opposed-to-democracy


    J’y découvre sans être étonné que la base sociologique du fascisme est identique en Thailande avec celle qui a porté au pouvoir les nazis allemands en 1933 et qui continue à s’agiter sous des appellations comme #AfD, #Pegida, etc. L’article parle aussi du fascisme clérical que l’on sous-estime trop souvent. Si vous avez envie de faire connaissance avec les hommes et organisations qui font le bonheur des adeptes du sexe avec mineur(e)s et d’autres plaisirs peu humanistes voici une source de qualité.

    Lak Si is where the fascist monk Buddha Isara blocked the polling station, refusing to allow people to exercise their right to vote. Fascist Isara made a statement after the popcorn gunman was sentenced to jail, stating that he had helped pay for his defence and would always support him.

    This obnoxious monk and Sutep Teuksuban, who led the various anti-election mobs, should be put in jail on the basis of being the master-minders and funders of these violent actions. But do not hold your breath. Fascist Buddha Isara is generalissimo Prayut’s favourite monk and has been given a free hand to organise reactionary demonstrations and spread his filth. We should not forget either that the junta head and the two-faced Democrat Party leader Abhisit Vejjajiva are guilty of mass murder on the streets when they organised the shooting of pro-democracy demonstrators in 2010.

    The middle classes in Thailand hate and despise the majority of ordinary working people and the poor. They hate the fact that rich tycoon Taksin won the hearts and minds of most ordinary people with his universal health care and pro-poor policies. The middle classes loathe democracy because they are out-voted by the majority. They want to turn the clock back to a time when workers and small farmers knew their place and suffered their poverty in silence. They want to hang on to their ill-gotten privileges by maintaining social and economic inequalities. They are cowardly because they fawn on the rich and powerful and grovel to the monarchy. They also hide behind the men of the military. The violent disruption of the elections was designed to cause a crisis which could be used as an excuse to stage yet another military coup.


    Giles Ji Ungpakorn’s Red Siam manifesto
    https://socialistworker.co.uk/art/16755/Giles+Ji+Ungpakorn%E2%80%99s+Red+Siam+manifesto

    But as a staring point I offer the following ideas, the ideas of one red-shirted citizen.

    We must have freedom of expression and the freedom to choose our own government without repression and fear.
    We must have equality.
    We have to abolish the mentality of ’big people\\little people’.
    We must abolish the practice of crawling to the royal family.
    Politicians must be accountable to the electorate, not to shadowy conniving figures beyond popular control.
    We need to build a culture where citizens respect each other.
    We must have freedom and equality of the sexes and among different ethnicities.
    We must respect women, gays and lesbians.
    We must respect Burmese, Laotians, Cambodians and the Muslim Malay people in the south.
    Women must have the right to chose safe abortions.
    Refugees should be treated with friendship and dignity as any civilised society would do.
    Our country must be a Welfare State. Taxes must be levied on the rich. The poor are not a burden, but are partners in developing the country. People should have dignity. The present exploitative society stifles individuals and destroys personal creativity.
    In our country the king should honour his constitutional role and stop intervening in politics. But the ruling class in Thailand gain much from using the Monarchy and they will not easily stop doing this. Therefore the best way to solve this problem is to build a republic where all public positions are elected and accountable.
    For too long Thai society has been under the iron heels of the generals. We must cut the military budget and abolish the influence of the army in society ensuring that it can no long be an obstacle to democracy.
    We must have justice. The judges should not claim power from the Crown in order to stop people criticising their decisions. We must change the way that ’Contempt of Court’ laws are used to prevent accountability. We need to reform the justice system root and branch. We need a jury system. The police must serve the population, not extract bribes from the poor.
    Citizens in towns and communities must take part in the management of all public institutions such as state enterprises, the media, schools and hospitals.
    Our country must modernise. We need to develop the education system, transport and housing. We should create energy from wind and solar power to protect the environment.
    Our country must be peace-loving, not start disputes with neighbouring countries or support wars.

    The dinosaurs of Thai society, the Yellow Shirted royalists, will froth at the mouth in anger at this manifesto, but that is merely the symptoms of people who carry superstitious beliefs from the past, seeking to cling to their privileges at all costs. Their time is finished. We, the pro-democracy Redshirts will move forward to build a new society.

    #Thailande #fascisme #lutte_des_classes #petite_bourgeoisie #putsch #bouddhisme #religion

  • Worried about the return of fascism? Six things a dissenter can do in 2016 | TNI

    the legitimacy of Trump, Le Pen and the like comes not from the sudden appeal of a new brand of right wing populism, but the wider legitimisation of their core views by mainstream politics.

    https://www.tni.org/es/art%C3%ADculo/te-preocupa-la-vuelta-del-fascismo-seis-cosas-que-puedes-hacer-en-2016?content_

    #facism #populism #extreme_droite

  • La campagne de Trump : une nouvelle étape dans l’effondrement de la #démocratie américaine
    http://www.wsws.org/fr/articles/2016/mar2016/pers-m15.shtml

    Les conséquences des tensions sociales explosives aux États-Unis, combinées à la guerre sans fin à l’étranger, apparaissent à ​​la surface de la vie #politique. Pour la première fois aux États-Unis, un candidat avec un programme nettement fascisant et autoritaire, qui déclare ouvertement qu’une grande partie de la population américaine doit être réprimée, est sur ​​le point d’obtenir la candidature du Parti républicain.

    Trump – avec son énorme fortune accumulée grâce aux affaires financières, aux opérations immobilières et à la #criminalité pure et simple – est la personnification politique du caractère oligarchique de la société américaine, où une petite élite ayant à sa disposition une énorme #richesse préside à des niveaux d’#inégalité sociale sans précédent. Sa campagne représente une mesure préventive de cette #oligarchie, tout à fait consciente de la montée du militantisme dans la classe ouvrière, de développer de nouvelles méthodes de pouvoir plus ouvertement autoritaires.

    Le rôle particulier de Trump est de puiser dans la #colère sociale profonde produite par un système politique hostile et indifférent aux problèmes du #chômage de masse, de la baisse des #salaires et du déclin économique, qui touchent des millions de personnes. Il cherche à canaliser cette colère dans une direction réactionnaire, par un mélange de dénonciations populistes des entreprises « déloyales » qui exportent les emplois et d’attaques racistes et xénophobes contre les immigrés, les musulmans et les pays étrangers.

    Le phénomène Trump est issu d’un climat politique et social déterminé. Le fait même que le sénateur Ted Cruz du Texas, son principal rival républicain, soit présenté comme une alternative « modérée » montre à quel point le système politique américain a viré à droite. Cruz est sans doute aussi réactionnaire et dangereux que Trump, il préconise l’escalade militaire au Moyen-Orient, d’énormes réductions d’impôts sur les sociétés et les riches, et l’érection d’un état ​​semi-théocratique en Amérique.

    Le Parti démocrate est lui-même déchiré par la crise. Hillary Clinton, sa favorite officielle à la présidence, est la personnification du statu quo politique. Elle a présenté sa campagne comme la continuation du gouvernement Obama, approuvant précisément le gouvernement dont les politiques – renflouement de Wall Street au détriment des travailleurs, extension des guerres du gouvernement Bush, renforcement des pouvoirs de l’appareil militaro-policier – ont créé les conditions pour la montée du Trump.

    #racisme #fascisme

    • Je vu le show que John Oliver a consacré à Trump. En dehors de ses effets « comiques », il soulignait des faits assez intéressants comme le fait que Trump passe sa campagne à dire tout et son contraire, partant probablement du principe intéressant que les gens tendent à retenir ce qui les arrange.

      Ainsi, Trump se déclare un coup pour la possession des armes à feu et un autre contre, un coup contre l’avortement et à un autre moment, avec un autre public, il se présente comme un défenseur du droit des femmes.

      C’est une stratégie habile qui a pris acte de l’extrême polarisation de la pensée politique et de la tendance exacerbée par les réseaux sociaux de ne plus lire, échanger penser qu’avec ceux qui sont d’accord avec soi-même tout en ignorant totalement les autres.

      Du coup, les libéraux (dans le sens américain, pas le nôtre) vont découvrir dans les médias libéraux que Trump dit des choses libérales, les conservateurs, qu’il dit des trucs conservateurs et au final, tout le monde pensera que Trump est bien, essentiellement parce qu’il pense comme chacun d’entre nous, pris individuellement.

      Mais comme le souligne John Oliver, en fait, au final, personne ne sait vraiment ce que Trump pense et c’est vachement embêtant d’attendre de lui avoir filé la plus grosse puissance militaire de tous les temps dans les pattes pour le découvrir.

  • Why Fascism is the Wave of the Future
    http://www.lrb.co.uk/v16/n07/edward-luttwak/why-fascism-is-the-wave-of-the-future

    It is only mildly amusing that nowadays the standard Republican/Tory after-dinner speech is a two-part affair, in which part one celebrates the virtues of unimpeded competition and dynamic structural change, while part two mourns the decline of the family and community ‘values’ that were eroded precisely by the forces commended in part one.

    Avec une conclusion beaucoup moins convaincante.

  • le Festival d’un bloggeur dans l’Eure

    "Si cela se produisait dans un autre pays, on crierait au « fascisme ». A la confiscation des droits civiques par une caste d’élus."
    Dominique le prolifique

    C’est bien le moins que l’on puisse faire...parler, écrire, protester
    chacune, chacun avec ses moyens. Le meilleur serait de s’organiser !

    http://damville.blogspot.fr jeudi 14 janvier 2016 jeudi 17 décembre 2015

    "Le peuple est bafoué. « Ils » savent mieux que nous ce qui est bon pour nous.Et la main sur le cœur, plein de bonne volonté, ils décident, persuadé du bien fondé de la légitimité qu’ils se sont eux-même octroyés.
    Ainsi, pendant 4 ans, Mesnils su Iton sera géré, administré par des personnes n’ayant aucune légitimité. J’en connais quelques unes, et ce sont des personnes fort honnêtes. L’illégitimité de leur mandat leur est incompréhensible car les élus de la nouvelle commune n’ont pas réellement compris ce qu’est une démocratie. Ils croient que leur bonne volonté pourrait remplacer la légitimité que seul le suffrage universel confère. Je leur dis « STOP »."
    "Parce que depuis le début, le peuple a été tenu à l’écart. Et qu’on ne me dise pas qu’ils ont agi par « délégation de pouvoir ». C’est faux. Le peuple ne leur a jamais délégué le pouvoir de dissoudre les communes ni d’en créer une autre"
    "Si cela se produisait dans un autre pays, on crierait au « fascisme ». A la confiscation des droits civiques par une caste d’élus."
    #communes _nouvelles#fascisme

  • Rouillan toujours sincère et encore puni. Et l’Etat Français qui ressemble de plus en plus à 1984 : il y a une vérité d’Etat qu’on n’a pas le droit de nier. Si l’Etat dit que 2+2=3, alors ceux qui disent autre choses sont des menteurs et doivent être punis. L’Arabie Saoudite est une démocratie. Israel est gentil. L’Etat d’Urgence est indispensable...

    Il juge les jihadistes de novembre « courageux » : enquête sur Rouillan, ancien d’Action directe
    Nathalie ALONSO et François BECKER, AFP, le 7 mars 2016
    https://fr.news.yahoo.com/enqu%C3%AAte-rouillan-action-directe-apologie-terrorisme-184719298.ht

    #France #Jean-Marc_Rouillan #Terrorisme #Etat_d'urgence #Vérité_d'Etat #Militantisme #politique #radicalité #contre_révolution #1984 #Big_Brother #Fascisme

  • Due milioni dal governo per il museo del fascismo

    l governo Renzi ha deciso che per l’Italia è arrivato il momento di fare i conti con il passato ed è pronto a rompere un tabù che dura da oltre 70 anni: l’Italia avrà un museo dedicato al Fascismo. E già qui ci sarebbe abbastanza materiale per scatenare il dibattito storico-ideologico. Ma non è tutto, perché il museo sorgerà proprio nella Casa del Fascio di Predappio, a 500 metri dalla casa natale di Benito Mussolini. E a poco più di un chilometro dalla cripta che conserva le spoglie del Duce, che ogni anno richiama decine di migliaia di nostalgici in camicia nera. Il dossier è nelle mani del sottosegretario Luca Lotti: due settimane fa - lontano dai riflettori - è andato di persona a controllare il palazzo sorto nel Ventennio e ha assicurato che il governo troverà i fondi che ancora mancano (due milioni di euro, pari al 40 per cento dei costi di realizzazione). Probabilmente tramite il Cipe: procedura snella e tempi rapidi.

    Un passo necessario, dopo quello - decisivo - che trasferirà la proprietà della Casa del Fascio dal demanio al Comune. A dicembre lo Stato ha infatti avviato le pratiche per la cessione (a titolo gratuito) dell’edificio che negli Anni Trenta ospitava la sede del partito. A inizio marzo ci sarà la firma definitiva e si potrà partire con la fase operativa. Per Giorgio Frassineti, sindaco Pd, è un sogno che si realizza. Da anni si batte con invidiabile caparbietà per riportare la storia in quel palazzo di tre piani (con annessa torre littoria) oggi totalmente abbandonato, infestato da topi e guano. «Vogliamo dare un contributo alla Storia del nostro Paese» dice passeggiando davanti alle vetrine dei negozi di «souvenir», che non sono certo il miglior biglietto da visita per un paese che ha l’ambizione di diventare meta di studiosi e non solo di adunate post-fasciste. Però oggi Predappio è questo. Magliette e uniformi della X Mas appese vicino ai calendari del #Duce in offerta (tre per sei euro). Il body per neonati con la scritta «Per un mondo più pulito, torna zio Benito» accanto alla mazza di legno marchiata «Me ne frego». Per avere un’idea del pensiero del visitatore-tipo basta fare un giro nel cimitero. Varcato il cancello, in fondo a destra si trova la cripta di Mussolini. Davanti all’enorme busto, sopra un banco avvolto nel tricolore, i nostalgici si inginocchiano e lasciano dediche su un quaderno. Slogan, frasi fatte. Qualche richiamo all’attualità: «Torna un po’ a sistemare l’Italia che è alla rovina. A noi, Duce», ha scritto ieri Maria Grazia Griccini da Monte Urano, nel Fermano.
    «Vogliamo liberarci dagli aspetti ideologici e mettere al primo posto la storia» dice Carlo Giunchi, consulente del sindaco che da anni lavora a questo «grande centro di documentazione». Perché per l’amministrazione è ancora difficile parlare di «museo». Eppure di questo si tratterà, anche se in una forma moderna e interattiva, «non sarà una mera raccolta di cimeli». Giunchi è appena tornato da Monaco, dove un anno fa ha aperto il primo museo dedicato al nazismo. L’idea è di replicare una cosa simile anche nel paese di Mussolini. Il progetto è corposo e dettagliato: nei 2.100 metri quadrati dell’ex Casa del Fascio sorgeranno un centro di documentazione, con archivio e biblioteca. Un’esposizione permanente (che poi sarebbe il museo), sviluppata su tre piani, mostre temporanee, un’area ristoro, un bookshop e gli uffici. Il costo totale è di cinque milioni di euro: 500 mila euro li mette il Comune, altrettanti la Fondazione Cassa di Risparmio di Forlì, due milioni dovrebbero arrivare dai fondi europei attraverso la Regione e altri due li metterà direttamente il governo, che sembra più che determinato: lunedì prossimo Palazzo Chigi manderà alcuni suoi tecnici a Predappio.

    Poi bisognerà trovare i fondi per la gestione, che verrà affidata a una Fondazione creata ad hoc: in Comune stanno già arrivando diverse offerte di donazioni. Ma il percorso rimane un terreno minato e le polemiche sono già dietro l’angolo. L’Anpi tiene gli occhi ben aperti. «Abbiamo collaborato al progetto e la nostra presenza è volta a garantire che non ci siano aspetti celebrativi - spiega Carlo Sarpieri, presidente provinciale dell’associazione partigiani - per questo vigileremo affinché si rispetti il massimo rigore storico-scientifico». Per il resto garantisce Palazzo Chigi.

    #predappio #fascisme #Italie #musée