• Nudge causes #facebook shares to drop by more than 20%
    https://hackernoon.com/nudge-causes-facebook-shares-to-drop-by-more-than-20-2b28572c342d?source

    Shares in social networking giant Facebook dropped by a staggering 24% overnight after the revelation that huge numbers of users are deleting their News Feeds using a Chrome extension called Nudge.The Chrome extension, which lets users get rid of the highly-addictive News Feed across all platforms while retaining the useful parts of Facebook, dramatically reduces the amount of advertising revenue that Facebook can make off its users, since they no longer see targeted adverts — or indeed anything at all — on their Facebook home page.It’s thought that thousands of Facebook users are flocking to the Delete Your News Feed feature in order to take back control of how they use the social network. Analysts have been scrambling to redo their financial models for a world where users do not endlessly (...)

    #nudge-causes-facebook #fb #facebook-share-price #social-media

  • Reporter Shows The Links Between The Men Behind Brexit And The Trump Campaign : NPR
    https://www.npr.org/2018/07/19/630443485/reporter-shows-the-links-between-the-men-behind-brexit-and-the-trump-campaign

    The Guardian’s #Carole_Cadwalladr's investigation into #Cambridge_Analytica's role in #Brexit has led her to Russian connections and the #Trump campaign. She says British investigators are now “working very closely with the #FBI.”

    #Russie #NPR #Fresh_Air #investigation

  • Supreme Court Rules That the U.S. Government Must Get a Warrant Before Accessing Cellphone Location Data
    https://theintercept.com/2018/06/22/supreme-court-rules-that-government-must-get-a-warrant-before-accessin

    In a landmark privacy decision, the Supreme Court ruled 5-4 on Friday that police must get a warrant in order to obtain your cellphone’s location data over an extended period of time. The decision is a major victory for privacy advocates, who have long argued that the law has failed to keep pace with the amount of intrusive data we voluntarily hand over to private companies. Chief Justice John Roberts joined the liberal justices on the court, declaring that even though the data is held by (...)

    #T-Mobile #FBI #smartphone #écoutes #géolocalisation #procès

  • FBI says Russians hacked hundreds of thousands of home and office routers
    https://www.theguardian.com/technology/2018/may/25/router-hacking-russia-fbi

    Agency urges router owners to reset them and download updates amid fears hackers could collect data The FBI warned on Friday that Russian computer hackers had compromised hundreds of thousands of home and office routers and could collect user information or shut down network traffic. The US law enforcement agency urged the owners of many brands of routers to turn them off and on again and download updates from the manufacturer to protect themselves. The warning followed a court order (...)

    #FBI #serveur #hacking

    • 20 ans qu’on nous dit que la NSA nous écoute tous, que les preuves s’accumulent... mais les seules informations qui méritent d’être publiées et suivies par la Grand’ Presse, c’est que les Russes exploitent des failles connues de tous depuis 20 ans. Les routeurs avec mot de passe par défaut, on sait que des moteurs de recherche publics existent, mais évidemment, ce sont les russes qui les exploitent et seulement les russes...

      La propagande est décidément partout, tout le temps. Epuisant.

  • Innocents aujourd’hui, coupables demain ? Pourquoi tout ce que vous faites, dites, ou pensez en ligne aujourd’hui sera utilisé demain contre vous
    http://www.atlantico.fr/decryptage/innocents-aujourd-hui-coupables-demain-pourquoi-tout-que-faites-dites-ou-p

    Dans une tribune, l’entrepreneur suédois Rick Falkvinge fait la distinction entre la surveillance analogique du « veux monde » et celle du monde numérique, qui conserve et stocke toutes nos données. Avec le risque de devenir coupables dans le futur pour des propos et des comportements admis aujourd’hui. Atlantico : Dans un monde où les propos sont conservés, des conversations téléphoniques aux tweets en passant par les mails, Rick Falkvinge souligne que des propos tenus aujourd’hui et socialement (...)

    #FBI #Google #Facebook #Google_AdWords #Baidu_Maps #algorithme #manipulation #oubli #contrôle #surveillance (...)

    ##vidéo-surveillance

  • USA - Iran : Pour faire oublier les dessous de table de trump
    Trump : La couche de fange la plus épaisse Paul Jorion
    https://www.pauljorion.com/blog/2018/05/09/trump-la-couche-de-fange-la-plus-epaisse

    Quand on s’attribue généreusement l’image de celui qui asséchera le bourbier, qui drainera le marécage (« To Drain the Swamp »), le risque que l’on court, c’est que quelqu’un découvre que c’est dans votre propre jardin que la couche de fange est en réalité la plus épaisse.

    Le président #Trump a accepté de courir ce risque et il en récolte aujourd’hui les fruits amers.

    Mercredi de la semaine dernière, le 2 mai, Rudolph Giuliani, ancien maire de New York et candidat malheureux à l’investiture du Parti républicain aux élections présidentielles de 2008, qui venait de rejoindre l’équipe d’avocats de Trump, jetait un pavé dans la mare : « Non, les 130.000 $ de prix du silence versés à l’actrice porno #Stormy_Daniels ne constituaient pas une infraction au financement de la campagne présidentielle : ils avaient été remboursés par #Trump lui-même, par l’intermédiaire de son avocat Michael Cohen, grâce à des versements mensuels d’un montant de 35.000 dollars ».

    Or on apprend aujourd’hui dans un document versé au dossier par l’avocat de Daniels (de son vrai nom Stephanie Clifford), le très haut en couleurs Michael Avenatti (il a couru entre autres les 24 heures du Mans), que d’autres – et en particulier, la compagnie #AT&T – alimentaient par des versements du même ordre de grandeur le compte de Essential Consultants, la coquille créée par Cohen dans l’état du #Delaware, fameux pour son moins-disant juridique, moins de quinze jours avant le premier versement à Clifford.

    La justification des 200.000 $ versés par AT&T : « Obtenir des lumières (insights) quant au fonctionnement de la nouvelle administration », par le truchement de quelqu’un fort bien placé pour connaître ce type d’information : nul autre que l’avocat de Trump lui-même. Aucun rapport donc entre ce versement et l’approbation que la firme cherche à obtenir en ce moment dans sa tentative de prise de contrôle de #Time_Warner_Inc. d’un montant de 85 milliards de dollars, tentative bloquée depuis novembre de l’année dernière par le ministère de la Justice dans le cadre de l’application des lois anti-trust (une décision est attendue le 12 juin). Le principal souci pour les deux cocontractants est sans doute aujourd’hui que le vin au fond du pot ne noie la chandelle dont on espérait la lumière !

    Et AT&T n’était pas seule à verser, entre la fin de l’année dernière et le début de celle-ci, des fonds considérables à l’avocat de Trump. On compte aussi la firme coréenne #Korea_Aerospace_Industries qui s’efforce en ce moment, en concurrence avec l’Américain #Lockheed_Martin, d’obtenir un contrat juteux d’avions de chasse d’essai pour l’US Air Force. Il y avait aussi la firme pharmaceutique suisse #Novartis, qui n’a pas hésité à verser à Essential Consultants, en douze tranches, 1,2 millions de dollars, à l’époque où les paiements dits « de M. Trump » remboursaient son avocat de sa généreuse avance (dont il a affirmé lui, de manière un peu pitoyable, qu’elle était alimentée par une ligne de crédit dont son logement servait de collatéral) .

    Mais ce n’est pas tout : les généreux #donateurs de l’avocat de M. Trump, à l’époque où il s’efforçait de gérer la cupidité d’amantes – ou s’affirmant telles – importunes du Président, comptaient aussi le fonds Columbus Nova, essentiellement financé par l’#oligarque_russe #Viktor_Vekselberg et géré par son cousin #Andrew_Intrater, lequel a offert 250.000 $ comme contribution personnelle au financement de l’inauguration officielle de M. Trump.

    Or Vekselberg est déjà l’objet de sanctions imposées début avril par Robert Mueller dans le cadre de son enquête sur une éventuelle collusion entre la campagne de Trump et la Russie, comme l’interdiction pour lui de se rendre aux États-Unis ou d’y ouvrir un compte en banque. La raison pour laquelle Vekselberg était sanctionné était loin d’être claire à l’époque car il était question surtout d’interférences russes avec la campagne électorale par le biais de la diffusion de propagande populiste, suprématiste, etc. sur les réseaux sociaux.

    Et ceci signifie que ce que nous découvrons aujourd’hui du fait de la diligence d’Avenatti, l’avocat de Stormy Daniels, la commission Mueller le sait déjà depuis le 6 avril, jour où ces sanctions furent prises à l’égard de « sept oligarques russes et douze compagnies dont ils sont les propriétaires ou qu’ils contrôlent, dix-sept fonctionnaires de haut rang du gouvernement russe, ainsi qu’une firme d’État de commerce d’armement et une banque russe, sa filiale. »

    Et l’on comprend mieux du coup a posteriori l’affolement de Trump le 9 avril quand la totalité des dossiers de son avocat Michael Cohen furent saisis dans un raid du #FBI, conjointement chez lui, dans le bureau qu’il occupait dans une firme d’avocats qui rompit immédiatement ses relations avec lui, ainsi que dans la chambre qu’il occupait dans un hôtel durant la rénovation de son domicile.

    La conclusion à tirer, c’est que pour des versements comme des peccadilles du genre 130.000 $ pour faire taire des empêcheurs ou empêcheuses de danser en rond du type Stormy Daniels, les candidats se bousculaient en réalité au portillon, allant d’#oligarques russes à des compagnies américaines à la tête de conglomérats internationaux comme AT&T, et que les #pots-de-vin tombaient comme à #Gravelotte (4,4 millions de dollars versés à Essential Consultants selon le New York Times).

    Ce que les tribulations de tous ces généreux #corrupteurs et #corrompus suggèrent, c’est que tout pays se révèle peut-être une république bananière aussitôt que l’on s’intéresse à la partie immergée de l’iceberg, la différence entre les cas flagrants et les autres n’étant qu’au niveau de la gestion des apparences.

    Quoi qu’il en soit, l’assèchement du bourbier, le « Du balai », ce n’est donc pas Trump qui s’en occupe en réalité, c’est Robert Mueller, et le bourbier s’assèche de jour en jour de lui-même, sans que Mueller doive même dire quoi que ce soit. Et avec un peu de chance, Trump disparaîtra du paysage avant même que celui-ci ne dépose ses conclusions.

    On comprend mieux dans ce contexte l’empressement de Trump ces jours-ci à mettre en application les propositions les plus décervelées de son programme, du genre de sa dénonciation hier du traité avec l’#Iran : l’étau se resserre pour lui, et le temps presse toujours davantage. « J’aurai au moins honoré mes promesses de campagne ! », se dit-il sans doute. Et s’il se retrouve en prison, il aura au moins la satisfaction de ne pas avoir trahi sa base. Laquelle exultera, nul n’en doute, et le portera en triomphe, à sa sortie de Sing-Sing dans quelques dizaines d’années.

  • Iran. « Pas acceptable » que les États-Unis soient le « gendarme » de la planète
    https://www.crashdebug.fr/international/14867-iran-pas-acceptable-que-les-etats-unis-soient-le-gendarme-de-la-pla

    J’espère que ce petit épisode sur l’Iran permettra au commun des mortels d’entrevoir la dictature sans partage qu’exerce les États-unis sur la France et sur le monde… (vidéo ci-dessous)

    Il faut dire que quand on consacre 700 Milliards de dollars par an à son armé ont a quelques arguments...

    Selon Bruno Le Maire, il n’est « pas acceptable » que les États-Unis se placent en « gendarme économique de la planète » après la décision de Donald Trump de rétablir les sanctions visant l’Iran.

    Jugeant que le retrait américain de l’accord nucléaire est « une erreur » pour la sécurité internationale, mais aussi du point de vue économique, Bruno Le Maire a observé que cette décision aurait des « conséquences » pour les entreprises françaises, telles que Total, Sanofi, Renault ou encore Peugeot. « En deux ans, la France a (...)

    • Trump : La couche de fange la plus épaisse Paul Jorion
      https://www.pauljorion.com/blog/2018/05/09/trump-la-couche-de-fange-la-plus-epaisse

      Quand on s’attribue généreusement l’image de celui qui asséchera le bourbier, qui drainera le marécage (« To Drain the Swamp »), le risque que l’on court, c’est que quelqu’un découvre que c’est dans votre propre jardin que la couche de fange est en réalité la plus épaisse.

      Le président #Trump a accepté de courir ce risque et il en récolte aujourd’hui les fruits amers.

      Mercredi de la semaine dernière, le 2 mai, Rudolph Giuliani, ancien maire de New York et candidat malheureux à l’investiture du Parti républicain aux élections présidentielles de 2008, qui venait de rejoindre l’équipe d’avocats de Trump, jetait un pavé dans la mare : « Non, les 130.000 $ de prix du silence versés à l’actrice porno #Stormy_Daniels ne constituaient pas une infraction au financement de la campagne présidentielle : ils avaient été remboursés par #Trump lui-même, par l’intermédiaire de son avocat Michael Cohen, grâce à des versements mensuels d’un montant de 35.000 dollars ».

      Or on apprend aujourd’hui dans un document versé au dossier par l’avocat de Daniels (de son vrai nom Stephanie Clifford), le très haut en couleurs Michael Avenatti (il a couru entre autres les 24 heures du Mans), que d’autres – et en particulier, la compagnie #AT&T – alimentaient par des versements du même ordre de grandeur le compte de Essential Consultants, la coquille créée par Cohen dans l’état du #Delaware, fameux pour son moins-disant juridique, moins de quinze jours avant le premier versement à Clifford.

      La justification des 200.000 $ versés par AT&T : « Obtenir des lumières (insights) quant au fonctionnement de la nouvelle administration », par le truchement de quelqu’un fort bien placé pour connaître ce type d’information : nul autre que l’avocat de Trump lui-même. Aucun rapport donc entre ce versement et l’approbation que la firme cherche à obtenir en ce moment dans sa tentative de prise de contrôle de #Time_Warner_Inc. d’un montant de 85 milliards de dollars, tentative bloquée depuis novembre de l’année dernière par le ministère de la Justice dans le cadre de l’application des lois anti-trust (une décision est attendue le 12 juin). Le principal souci pour les deux cocontractants est sans doute aujourd’hui que le vin au fond du pot ne noie la chandelle dont on espérait la lumière !

      Et AT&T n’était pas seule à verser, entre la fin de l’année dernière et le début de celle-ci, des fonds considérables à l’avocat de Trump. On compte aussi la firme coréenne #Korea_Aerospace_Industries qui s’efforce en ce moment, en concurrence avec l’Américain #Lockheed_Martin, d’obtenir un contrat juteux d’avions de chasse d’essai pour l’US Air Force. Il y avait aussi la firme pharmaceutique suisse #Novartis, qui n’a pas hésité à verser à Essential Consultants, en douze tranches, 1,2 millions de dollars, à l’époque où les paiements dits « de M. Trump » remboursaient son avocat de sa généreuse avance (dont il a affirmé lui, de manière un peu pitoyable, qu’elle était alimentée par une ligne de crédit dont son logement servait de collatéral) .

      Mais ce n’est pas tout : les généreux #donateurs de l’avocat de M. Trump, à l’époque où il s’efforçait de gérer la cupidité d’amantes – ou s’affirmant telles – importunes du Président, comptaient aussi le fonds Columbus Nova, essentiellement financé par l’#oligarque_russe #Viktor_Vekselberg et géré par son cousin #Andrew_Intrater, lequel a offert 250.000 $ comme contribution personnelle au financement de l’inauguration officielle de M. Trump.

      Or Vekselberg est déjà l’objet de sanctions imposées début avril par Robert Mueller dans le cadre de son enquête sur une éventuelle collusion entre la campagne de Trump et la Russie, comme l’interdiction pour lui de se rendre aux États-Unis ou d’y ouvrir un compte en banque. La raison pour laquelle Vekselberg était sanctionné était loin d’être claire à l’époque car il était question surtout d’interférences russes avec la campagne électorale par le biais de la diffusion de propagande populiste, suprématiste, etc. sur les réseaux sociaux.

      Et ceci signifie que ce que nous découvrons aujourd’hui du fait de la diligence d’Avenatti, l’avocat de Stormy Daniels, la commission Mueller le sait déjà depuis le 6 avril, jour où ces sanctions furent prises à l’égard de « sept oligarques russes et douze compagnies dont ils sont les propriétaires ou qu’ils contrôlent, dix-sept fonctionnaires de haut rang du gouvernement russe, ainsi qu’une firme d’État de commerce d’armement et une banque russe, sa filiale. »

      Et l’on comprend mieux du coup a posteriori l’affolement de Trump le 9 avril quand la totalité des dossiers de son avocat Michael Cohen furent saisis dans un raid du #FBI, conjointement chez lui, dans le bureau qu’il occupait dans une firme d’avocats qui rompit immédiatement ses relations avec lui, ainsi que dans la chambre qu’il occupait dans un hôtel durant la rénovation de son domicile.

      La conclusion à tirer, c’est que pour des versements comme des peccadilles du genre 130.000 $ pour faire taire des empêcheurs ou empêcheuses de danser en rond du type Stormy Daniels, les candidats se bousculaient en réalité au portillon, allant d’#oligarques russes à des compagnies américaines à la tête de conglomérats internationaux comme AT&T, et que les #pots-de-vin tombaient comme à #Gravelotte (4,4 millions de dollars versés à Essential Consultants selon le New York Times).

      Ce que les tribulations de tous ces généreux #corrupteurs et #corrompus suggèrent, c’est que tout pays se révèle peut-être une république bananière aussitôt que l’on s’intéresse à la partie immergée de l’iceberg, la différence entre les cas flagrants et les autres n’étant qu’au niveau de la gestion des apparences.

      Quoi qu’il en soit, l’assèchement du bourbier, le « Du balai », ce n’est donc pas Trump qui s’en occupe en réalité, c’est Robert Mueller, et le bourbier s’assèche de jour en jour de lui-même, sans que Mueller doive même dire quoi que ce soit. Et avec un peu de chance, Trump disparaîtra du paysage avant même que celui-ci ne dépose ses conclusions.

      On comprend mieux dans ce contexte l’empressement de Trump ces jours-ci à mettre en application les propositions les plus décervelées de son programme, du genre de sa dénonciation hier du traité avec l’#Iran : l’étau se resserre pour lui, et le temps presse toujours davantage. « J’aurai au moins honoré mes promesses de campagne ! », se dit-il sans doute. Et s’il se retrouve en prison, il aura au moins la satisfaction de ne pas avoir trahi sa base. Laquelle exultera, nul n’en doute, et le portera en triomphe, à sa sortie de Sing-Sing dans quelques dizaines d’années.

  • Les Américains enquêtent sur les liens entre Lafarge/GBL et les groupes terroristes en Syrie. Martin Buxant - 4 Mai 2018 - L’Echo
    https://www.lecho.be/tablet/newspaper/une/les-activites-syriennes-de-gbl-interessent-les-americains/10008983.html

    Cela commence à faire tache du côté de Gerpinnes, le QG de la famille Frère, actionnaire de référence de GBL. Depuis plusieurs mois, le holding financier du baron Albert Frère est dans le collimateur des enquêteurs belges et, singulièrement, du parquet fédéral, la plus haute autorité belge en matière d’antiterrorisme. Celui-ci a ouvert un dossier en novembre dernier et désigné un juge d’instruction pour enquêter sur des faits commis par le cimentier #Lafarge en Syrie – une entreprise dont #GBL est aujourd’hui actionnaire à 9,43% (20% jusqu’en 2015, date de la fusion avec le Suisse Hocim).


    680 millions de dollars
    Deux préventions sont, à ce stade, explorées par les enquêteurs. Financement d’un groupe #terroriste et participation aux activités d’un groupe terroriste. Lafarge a en effet travaillé entre autres avec l’organisation État islamique (EI) et le Front al Nosra (lié à Al-Qaïda) en vue de préserver les intérêts de son implantation de Jalabiya, une usine située à 90 kilomètres de Raqqa, capitale de l’EI. Cette implantation a représenté un investissement de 680 millions de dollars pour Lafarge en 2010.

    Entre 2011 et 2015, des dizaines millions de dollars auraient été versés via différents canaux (commissions, droits de passage, revente de matériel,…) aux groupes terroristes – ceci alors que la Belgique et les forces de la coalition étaient engagées en pleine guerre contre l’EI en Syrie et en Irak.

    D’après une source judiciaire, « les billets de banque retrouvés dans la poche d’un #Abaaoud ou d’un autre provenaient peut-être de Lafarge. C’est de cela qu’il s’agit. C’est ce cercle du financement du terrorisme que l’on doit casser ».

    Le parquet fédéral a donc ouvert un dossier GBL. Dans un premier temps, les Belges se sont contentés d’épauler les autorités judiciaires françaises qui mènent le dossier Lafarge mais le volet belge a pris de l’ampleur, entre autres via des perquisitions et saisies chez GBL mais aussi via la mise sur écoute téléphonique de plusieurs responsables du holding financier.

    L’ampleur du dossier est devenue telle qu’il a aujourd’hui éveillé la curiosité des autorités américaines. Deux agences, le #FBI et le DOJ (Ministère de la Justice), ont demandé l’accès à toutes les pièces des dossiers « syriens » Lafarge/GBL.

    Interrogé, le parquet fédéral n’indique pas si les pièces ont été transmises. Étant donné le haut degré de collaboration antiterroriste entre Belges, Français et Américains, il apparaît peu probable que l’accès au dossier Lafarge/GBL soit refusé aux autorités américaines…
    Une seule question se pose désormais avec acuité aux enquêteurs dans ce dossier : est-il possible que les représentants de GBL au sein de Lafarge aient pu tout ignorer des agissements du cimentier en Syrie en vue de préserver les intérêts de leur usine ?

    Dommages collatéraux
    A ce stade, les documents saisis sont encore en cours d’analyse. « Le degré d’implication et de connaissance des dirigeants de GBL n’est pas arrêté, mais une chose est déjà certaine : on se trouve à tout le moins face à des comportements complètement #immoraux et #anti-éthiques. C’est très grave », selon une source.

    Plusieurs responsables du groupe, dont Gérald Frère, Gérard Lamarche, Thierry de Rudder, Victor Delloye et Albert Frère, ont été mis sur écoute, selon certains compte-rendus consultés par Le Monde.
    D’après plusieurs sources, l’intérêt américain pour le dossier n’est pas encore très clair mais Washington met en avant la théorie des effets, c’est-à-dire que potentiellement les activités de Lafarge en Syrie ont impacté son économie et sa sécurité nationale. Potentiellement, pour Lafarge/GBL, les dommages collatéraux peuvent être importants puisque les Etats-Unis, en vertu des législations antiterroristes, peuvent empêcher certains groupes qu’ils ont dans leur viseur judiciaire de travailler sur leur territoire.

    Autre effet potentiel, souligne un analyste, le Suisse #Holcim pourrait se retourner contre Lafarge/GBL pour ne pas avoir été mis au courant des déboires judiciaires de Lafarge.

    À ce stade, il est peu probable qu’un procès du groupe GBL se tienne en Belgique : la voie privilégiée par les autorités judiciaires belges est de fournir tous les éléments aux Français qui, eux, pilotent le dossier Lafarge.

    Les autorités belges ont fait de la lutte contre la #corruption internationale une priorité. Des trafics de faux passeports aux dossiers d’adoption bidouillés en République démocratique du Congo, jusqu’aux commissions payées en #Syrie. Une directive a été donnée aux enquêteurs de pousser leur travail le plus loin possible.

    « C’est notre enquête interne qui a permis de révéler ces faits »
    Chez GBL, on trouve la pilule judiciaire particulièrement amère et – pour tout dire – injuste. Le holding financier a engagé les services de #Linklaters, un important cabinet d’avocats bruxellois pour défendre ses intérêts. Les conseils du groupe préfèrent s’exprimer off the record mais la ligne de défense est claire : « Le groupe GBL et ses représentants n’avaient strictement aucune connaissance des activités et du mode opératoire de Lafarge en Syrie et actuellement le groupe GBL collabore pleinement et entièrement avec la justice belge. »

    Du côté de GBL, on met l’accent sur le fait que c’est un audit diligenté au sein de Lafarge à la demande expresse de GBL qui est à l’origine des révélations sur les agissements avec l’#État_islamique. Cet audit a été réalisé par le cabinet Baker & McKenzie et toutes les conclusions ont été transmises aux enquêteurs belges et français, insiste-t-on du côté de GBL. « C’est quand même à souligner : c’est nous-mêmes qui avons permis que ces faits soient mis au jour via un travail de bénédictin », dit-on.

    GBL pointe le fait que tous les documents nécessaires ont pu être saisis lors des perquisitions dans les bureaux du groupe. Et les conseils du groupe expliquent ceci : GBL est une holding financière détenant des participations dans une dizaine de sociétés. Le fonctionnement du groupe est celui-ci : GBL délègue des représentants dans les conseils et comités des structures où elle a investi, mais c’est d’abord et avant tout les aspects financiers qui sont scrutés. « Le profil des représentants le prouve, ce ne sont pas des opérationnels. Ils reçoivent des dossiers de la part du management, ils discutent des ordres du jour, mais ils sont actifs sur les points financiers. Nos représentants n’ont évidemment jamais entendu parler de #Daech ou quoi que ce soit et dès que ça a été le cas il y a eu audit interne et transmission des pièces à la justice. »

    La justice estime que certaines pièces et PV sont manquants : « Si des pièces sont manquantes, c’est chez Lafarge, nous n’avons jamais eu accès à ces pièces. » Sur le fait que les comptes rendus de certaines écoutes téléphoniques laissent entendre que des représentants de GBL auraient pu se douter des agissements de Lafarge en Syrie : l’instruction judiciaire est en cours et les avocats du groupe GBL n’ont pas encore eu accès au dossier judiciaire complet et ne peuvent donc prendre position. « Personne chez GBL n’était au courant. Ces informations ne sont pas remontées depuis Lafarge. À présent, c’est à la justice à déterminer qui savait quoi, comment et à quel moment. » Interrogé également, le CEO du groupe GBL Gérard Lamarche assure ne jamais avoir été mis au courant des agissements de Lafarge en Syrie.

    #grand_homme #grand_patron #javel #terrorisme #argent #LafargeHolcim #multinationales #influence #attentats #BNB

    Suite de https://seenthis.net/messages/652093

  • Politics Over Principle
    https://www.nytimes.com/2011/12/16/opinion/politics-over-principle.html

    The trauma of Sept. 11, 2001, gave rise to a dangerous myth that, to be safe, America had to give up basic rights and restructure its legal system. The United States was now in a perpetual state of war, the argument went, and the criminal approach to fighting terrorism — and the due process that goes along with it — wasn’t tough enough. President George W. Bush used this insidious formula to claim that his office had the inherent power to detain anyone he chose, for as long as he chose, (...)

    #FBI #législation #militarisation #surveillance

  • How the Border Patrol Faked Statistics Showing a 73 Percent Rise in Assaults Against Agents
    https://theintercept.com/2018/04/23/border-patrol-agents-assaulted-cbp-fbi

    Last November, reports that a pair of U.S. Border Patrol agents had been attacked with rocks at a desolate spot in West Texas made news around the country. The agents were found injured and unconscious at the bottom of a culvert off Interstate 10. Agent Rogelio Martinez soon died from his injuries. Early reports in right-wing media outlets such as Breitbart suggested that the perpetrators were undocumented immigrants, and President Donald Trump quickly embraced the narrative to bolster his (...)

    #FBI #surveillance #migration #frontières #manipulation

  • Fake news : Facebook doit-il être le garant de la vérité ? - UP le mag
    http://www.up-inspirer.fr/40796-facebook-doit-il-etre-le-garant-de-la-verite

    EXTRAIT DU MAG – Le réseau social est accusé aléatoirement, par les uns et les autres, de laisser apparaître des contenus jugés néfastes et/ou de supprimer des éléments jugés pertinents. Derrière cette problématique, c’est la question de l’influence de l’entreprise qui est posée.

    UP 17Cet article est extrait du UP mag n°17 sorti le 18 septembre 2017 avec un dossier consacré aux « Fake news » et à retrouver sur notre boutique.

    « Nous ne voulons pas être les arbitres de la vérité », répètent à l’envi les dirigeants de Facebook. Le réseau social aime à rappeler qu’il n’est pas producteur de contenus et n’est pas responsable de ce qui est posté par ses utilisateurs. Pourtant, des modérateurs suppriment bien, au quotidien, des profils d’utilisateurs ou leurs posts, selon des règles qui, en fait, semblent plutôt arbitraires. Au printemps dernier, l’hebdomadaire britannique Guardian s’est procuré des extraits des « manuels de modération » fournis aux modérateurs du réseau social, jusqu’ici restés secrets. Dans cette série d’articles intitulée « Facebook files », on apprenait par exemple qu’une remarque telle que « quelqu’un devrait tuer Trump » serait supprimée car, en tant que chef de l’État, Trump fait partie des « catégories protégées » établies par le réseau social. En revanche, il est possible d’écrire « pour briser le cou d’une conne, faites bien attention à appuyer au milieu de sa gorge » ou encore « va chier et meurs », car ces propos ne sont pas considérés comme de véritables menaces.

    Il faut d’emblée reconnaître qu’établir des règles de modération appliquées à des milliards d’utilisateurs aux profils politiques et culturels immensément variés n’est pas chose aisée. Mais ces exemples sont pour le moins déroutants. Déroutante l’est encore plus, la manière dont Facebook définit ses « catégories protégées ». Le site d’investigation américain ProPublica a révélé en juillet dernier qu’il supprime les contenus qui s’attaquent à des catégories de race, genre, appartenance religieuse, origines nationales et ethniques, orientation sexuelle et handicap, ou maladie, mais qu’en revanche, les sous-catégories que sont les classes sociales, l’âge, l’avis politique ou bien les sous-groupes religieux sont « non-protégées ». Résultat, quand un membre de la Chambre des représentants des États-Unis écrit « Massacre des musulmans radicalisés […], chassez-les, identifiez-les et tuez-les », sa publication n’est pas supprimée, car elle vise le sous-groupe spécifique des musulmans radicalisés. En revanche, quand Didi Delgado, poète et militante du mouvement Black Lives Matter, traite tous les Blancs de racistes, son message est supprimé et son compte suspendu pendant une semaine.
    Intérêt économique

    « Ces documents révèlent les décisions politiques de Facebook. Alors que l’entreprise affirme sans cesse que son rôle n’est pas éditorial, ceux-ci attestent du contraire. (…) Lorsque Facebook estime que des images participent à une opération de sensibilisation de l’opinion, il laisse en ligne des contenus qui contreviennent aux règles qu’il a lui-même édictées. Dans ce cas, on peut aussi s’interroger sur ce qui est retiré ! », observe Sarah Roberts, chercheuse en sciences de l’information à l’université de Californie de Los Angeles (UCLA), dans une interview accordée au Monde.

    « Alors qu’on attribue à Facebook d’avoir facilité le “Printemps Arabe“ de 2010-2011, contre les régimes autoritaires, les documents suggèrent que, au moins dans certains cas, les règles de modération de l’entreprise tendent à favoriser les élites et les gouvernements par rapport aux militants de base ou les minorités raciales », écrit le site ProPublica. Le site rapporte également qu’au moment de l’annexion de la Crimée par la Russie, en 2014, de nombreux Ukrainiens se sont plaints de voir leurs posts censurés et profils bloqués à la demande d’utilisateurs pro-Kremlin. En Israël, les comptes de Palestiniens seraient bloqués si souvent que l’expression #FbCensorsPalestine est devenue populaire.

    Facebook pratiquerait-il un filtrage idéologique ? La position de l’entreprise vis-à-vis des discours négationnistes, révélée par le Guardian, est à ce titre intéressant. Elle encouragerait à supprimer les contenus niant l’Holocauste uniquement dans quatre pays (France, Allemagne, Israël et Autriche) sur les 14 où cela est interdit. Un document indique que la société « n’accepte pas la législation locale qui fait obstacle à un monde ouvert et connecté » et ne considère la suppression des contenus négationnistes que dans les pays où elle risque d’être poursuivie ou bloquée. En fait, selon Hervé Le Crosnier, enseignant-chercheur à l’Université de Caen en culture numérique, l’entreprise mondiale est surtout guidée par un critère économique : retenir l’attention des utilisateurs, qu’ils restent le plus longtemps sur le réseau, peu importe la véracité du contenu. « Ils n’ont aucun intérêt économique à nettoyer, sauf si ça devient tellement pourri que ça va faire décliner l’attention des gens. Leur unique crainte est que trop de violence ou d’affrontements provoque de la désaffection pour le réseau », nous explique-t-il.
    Pouvoir incontestable

    Seulement, à chaque censure, Facebook s’arroge le droit de définir ce qui est montrable, ou pas, et cela lui donne un pouvoir forcément contestable. L’automne dernier, le réseau social s’est attiré les foudres de la Norvège pour avoir censuré la photo de la « fille au napalm », la fameuse image de la guerre du Vietnam où l’on voit une fillette, nue, qui vient d’être brûlée après un bombardement au napalm. La Première ministre Erna Solberg avait alors bien exprimé la problématique : « Ce que fait Facebook, en supprimant ces images, et quelles que soient ses intentions, c’est une révision de notre histoire commune. » « Le manque de transparence de Facebook est une question importante, car son pouvoir est immense : plus d’un milliard de personnes utilisent le site, souvent comme source d’information ou comme moyen de communiquer », rappelle Sarah Roberts. « On a laissé se développer des plateformes sans régulation sociale (notamment en ne payant pas d’impôts), pour qui les corps intermédiaires (familles, communauté religieuses, syndicats) sont les choses à éviter, et qui sont devenus des outils indispensables. La question est : maintenant que c’est développé, comment fait-on ? », résume Hervé Le Crosnier.

    Certains États tentent d’infléchir le réseau social, mais pas forcément de la façon la plus souhaitable. L’Allemagne a ainsi adopté en juin une loi qui expose les réseaux importants comme Facebook à une amende pouvant s’élever à 50 millions d’euros s’ils ne suppriment pas sous 24 heures les contenus « manifestement délictueux ». Avant même que la loi ne passe, Reporters Sans Frontières s’est inquiété que ce genre de projet mène « à la multiplication de cas de censure dans la mesure où les réseaux sociaux pourraient être tentés de supprimer plus de contenus pour payer moins d’amendes ». « RSF rejette ce projet, qui ne ferait que contribuer au mouvement général de privatisation de la censure, en déléguant à des plateformes privées le rôle de juges, les laissant décider de ce qui doit être supprimé ou non, comme si les géants du web allaient remplacer les cours indépendantes et impartiales », a dénoncé Elodie Vialle, responsable du bureau Journalisme et Technologie à Reporters sans frontières. L’ONG a de plus regretté l’utilisation de termes vagues dans la législation allemande et dit craindre que cela encourage d’autres pays européens à suivre la même voie.
    Signalement par les internautes

    « Un conseil aux gouvernements autoritaires : si vous voulez censurer Internet sans faire d’histoire, il vous suffit de qualifier les articles qui vous déplaisent de “désinformation“, et personne en Occident ne viendra protester », écrivait dans un post de blog Evgeny Morozov, chercheur et écrivain américain d’origine biélorusse, qualifiant de « fausses solutions » les idées des États européens pour empêcher la propagation de fausses nouvelles. Mais vaut-il mieux tout laisser dire, même les pires fake news, pour éviter de tomber dans une censure arbitraire ? « Le sujet est très complexe et d’ailleurs la vérité n’est pas le bon critère, car ça ne veut rien dire la vérité, ça dépend de qui parle, de ce qu’on fait. En revanche, il faut protéger le citoyen de ce qui a un caractère antisocial et qui est défini par la loi », affirme Hervé Le Crosnier. Mais ce qui est antisocial dans un pays ne l’est pas forcément dans un autre et Facebook veut éviter au maximum d’avoir des règles différentes en fonction de la géolocalisation de ses utilisateurs.

    En attendant, le projet développé par Facebook en partenariat avec des médias français, (dont l’AFP, France Info, Le Monde, 20 minutes et Libération), apparaît comme une alternative intéressante à la censure. Il s’agit de permettre aux internautes de signaler les contenus douteux, pour les faire vérifier par les rédactions partenaires. En fonction, le contenu ne sera, non pas supprimé, mais signalé comme une information non-validée par le groupe de rédaction. Il n’y a pas encore eu de bilan de ce projet annoncé en mars. Ceux qui ne croient plus dans les gros médias n’y verront probablement qu’une manière de plus de s’imposer. D’autres signaleront que cette solution n’empêchera pas toutes les bêtises d’être écrites sur le réseau, et que les algorithmes encouragent de toute façon ceux qui pensent d’une certaine manière à se conforter dans leur opinion. Mais là au moins, c’est à chacun, et non pas à Facebook, d’arbitrer.

    #Fake_news

  • Trump-Mueller, une guerre au parfum de Watergate
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190318/trump-mueller-une-guerre-au-parfum-de-watergate

    Andrew McCabe, alors directeur par intérim du #FBI, lors d’une audition au Congrès le 11 mai 2017. © Reuters Hors de contrôle, le président américain s’en prend désormais directement à #Robert_Mueller, le procureur spécial chargé d’enquêter sur lui et sa campagne présidentielle. Ira-t-il jusqu’à le limoger, au risque d’une crise politique majeure ?

    #International #Donald_Trump #Etats-Unis

  • 21 degrés de liberté – 10
    https://framablog.org/2018/03/19/21-degres-de-liberte-10

    L’usage par les journalistes de #Documents physiques fuités était – et est encore – protégé par les lois. Mais les documents électroniques qui ont fuité exposent aujourd’hui les journalistes à des poursuites… Voici déjà le 10e article de la série écrite … Lire la suite­­

    #21_degrés_de_liberté #Libertés_Numériques #Analogique #FBI #Fuites #Hygiene_numerique #Informations #Journalisme #Justice #numerique

  • Je n’avais pas entendu parler de The Invaders (aussi connu sous de Black Organizing Project), un groupe d’activistes de Memphis proches du Black Panther Party. D’abord opposés à Martin Luther King, ils finissent par se rapprocher de lui et par assurer sa garde rapprochée quand il est à Memphis. Comme par hasard, ils sont éloignés de lui (probablement par un agent double, Marrell McCullough) lorsqu’il est assassiné en 1968.

    Un article :

    The Invaders : A Uniquely Memphis Story
    Smart City Memphis, le 30 mars 2008
    http://www.smartcitymemphis.com/2016/11/the-invaders-a-uniquely-memphis-story

    Un film :

    The Invaders de #Prichard_Smith (2016)
    http://www.imdb.com/title/tt5039442

    Une critique du film :

    ‘The Invaders’ set to take New York City by storm
    Real Times Media, le 11 novembre 2015
    http://realtimesmedia.com/index.php/memphis/56787-film-review-%E2%80%98the-invaders%E2%80%99-set-to-take-new-yor

    Un article qui en parle :

    It’s Been 50 Years, and Most Don’t Know the FBI & Police Admitted Their Role in the Assassination of Dr. King
    Andrew Emett, The Free Thought Project, le 4 avril 2017
    http://thefreethoughtproject.com/fbi-memphis-polices-admitted-involvement-assassination-mlk

    Et même dans un document officiel :

    Findings on MLK Assassination, National Archives, pages 411-413
    https://www.archives.gov/research/jfk/select-committee-report/part-2d.html#inciting

    Et apparemment RFI va en parler lors de son hommage à Martin Luther King, 50 ans après son assassinat...

    #The_Invaders #Black_Organizing_Project #USA #Memphis #Lorraine_Motel #Black_Panther_Party #Martin_Luther_King #MLK #Noirs #Racisme #FBI #agents_doubles #assassinat_politique

  • Palantir a secrètement mis en place un programme de prédiction des crimes à La Nouvelle-Orléans
    https://www.stuffi.fr/palantir-programme-prediction-crimes-nouvelle-orleans

    Depuis 2012, la société privée Palantir travaille aux côtés de la police de La Nouvelle-Orléans afin de mettre en place un programme de prédiction du crime. Les élus de la ville n’étaient pas au courant. Bienvenue dans Minority Report. Palantir à la rescousse après Katrina Pour rappel, Palantir Technologies est une société américaine spécialisée dans l’analyse et la science des données. Co-fondé en 2004 par l’entrepreneur Peter Thiel, l’entreprise travaille aux côtés de bon nombre d’agences du renseignement (...)

    #DGSI #Palantir #algorithme #réseaux #criminalité #sécuritaire #surveillance #MinorityReport #NSA #CIA (...)

    ##criminalité ##FBI

  • iPhone : une firme israélienne saurait débloquer beaucoup plus de smartphones chiffrés
    https://www.numerama.com/tech/332409-iphone-une-firme-israelienne-saurait-debloquer-beaucoup-plus-de-sma

    Cellebrite, la société israélienne que l’on suspecte d’être à l’origine du déverrouillage de l’iPhone 5c lié à la fusillade de San Bernardino, aurait développé des techniques pour pénétrer dans beaucoup plus de smartphones chiffrés qu’Apple commercialise. À la suite de la fusillade de San Bernardino, aux États-Unis en décembre 2015, le FBI a été un temps confronté au chiffrement d’un iPhone 5c qui appartenait à l’un des tireurs. Après un éphémère bras de fer judiciaire avec Apple, qui refusait de satisfaire (...)

    #Cellebrite #FBI #cryptage #smartphone #iPhone #Apple #hacking

  • Le #FBI est devenu le héros improbable des anti-Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190218/le-fbi-est-devenu-le-heros-improbable-des-anti-trump

    C’est l’une des bizarreries de l’ère Trump : souvent critiqué pour son usage massif de la surveillance ou ses coups tordus contre la gauche américaine, le FBI est désormais considéré par nombre de ses opposants comme un rempart face à l’arbitraire du président américain. 20 janvier 2018. Pancarte pro-Mueller dans un cortège de la Marche des femmes à Cambridge, Massachusetts © Reuters

    #International #Donald_Trump #Russie #Vladimir_Poutine

  • Le #FBI, héros improbable des anti-Trump
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190218/le-fbi-heros-improbable-des-anti-trump

    C’est l’une des bizarreries de l’ère Trump : souvent critiqué pour son usage massif de la surveillance ou ses coups tordus contre la gauche américaine, le FBI est désormais considéré par nombre de ses opposants comme un rempart face à l’arbitraire du président américain. 20 janvier 2018. Pancarte pro-Mueller dans un cortège de la Marche des femmes à Cambridge, Massachusetts © Reuters

    #International #Donald_Trump #Russie #Vladimir_Poutine

  • Finding Your Voice
    https://theintercept.com/2018/01/19/voice-recognition-technology-nsa

    Forget About Siri and Alexa — When It Comes to Voice Identification, the “NSA Reigns Supreme” At the height of the Cold War, during the winter of 1980, FBI agents recorded a phone call in which a man arranged a secret meeting with the Soviet embassy in Washington, D.C. On the day of his appointment, however, agents were unable to catch sight of the man entering the embassy. At the time, they had no way to put a name to the caller from just the sound of his voice, so the spy remained (...)

    #Apple #Google #FBI #NSA #Amazon #Alexa #Siri #Home #biométrie #voix #surveillance #empreintes (...)

    ##facial

  • IDF on Twitter: “In memory of Dr. Martin Luther King Jr., take this day to be kind to others https://t.co/paqaAdKoie
    https://mobile.twitter.com/IDFSpokesperson/status/952957645987696640

    #FBI on Twitter: “Today, the FBI honors the Rev. Martin L. King Jr. and his incredible career fighting for civil rights. #MLKDAY https://t.co/9UEulHmL8a
    https://mobile.twitter.com/FBI/status/821037660613398529

    #chutzpah #sans_vergogne #Etats-Unis #Israel #MLK

  • La vente présumée d’un logiciel truffé de code « russe » au FBI met le français Safran dans l’embarras
    http://www.numerama.com/politique/317502-la-vente-presumee-dun-logiciel-truffe-de-code-russe-au-fbi-met-le-f

    Le géant industriel français Safran aurait vendu au FBI une solution biométrique qui contient du code russe. L’entreprise est aujourd’hui dans le collimateur de la justice pour avoir caché cette information. Le géant Français Safran fournit au FBI, ainsi qu’à différentes agences américaines, une solution d’analyse des empreintes biométriques. Mais selon deux anciens employés de l’entreprise française, ce logiciel contiendrait du code réalisé par une société proche du Kremlin. Pour BuzzFeed News, cette (...)

    #Safran #FBI #algorithme #biométrie #surveillance #empreintes #manipulation

  • FBI Software For Analyzing Fingerprints Contains Russian-Made Code, Whistleblowers Say
    https://www.buzzfeed.com/chrishamby/fbi-software-contains-russian-made-code-that-could-open-a

    In a secret deal, a French company purchased code from a Kremlin-connected firm, incorporated it into its own software, and hid its existence from the FBI, according to documents and two whistleblowers. The allegations raise concerns that Russian hackers could compromise law enforcement computer systems. The fingerprint-analysis software used by the FBI and more than 18,000 other US law enforcement agencies contains code created by a Russian firm with close ties to the Kremlin, according (...)

    #Safran #FBI #algorithme #manipulation #biométrie #empreintes #surveillance

  • Trump et la #Russie : l’homme du président plaide coupable
    https://www.mediapart.fr/journal/international/021217/trump-et-la-russie-l-homme-du-president-plaide-coupable

    Le général #Michael_Flynn, au cœur de l’enquête sur l’ingérence russe. Michael Flynn, qui fut l’un des artisans de la victoire de Trump puis son conseiller à la sécurité nationale, est accusé d’avoir menti au #FBI sur ses liens avec la Russie et a décidé de plaider coupable. Il annonce ainsi une collaboration avec la justice américaine.

    #International #Donald_Trump #Jared_Kushner #Poutine #Robert_Mueller

  • Pourquoi Flynn, l’homme du président, plaide coupable
    https://www.mediapart.fr/journal/international/021217/pourquoi-flynn-l-homme-du-president-plaide-coupable

    Michael Flynn, qui fut l’un des artisans de la victoire de Trump puis son conseiller à la sécurité nationale, est accusé d’avoir menti au #FBI sur ses liens avec la #Russie et a décidé de plaider coupable. Il annonce ainsi une collaboration avec la justice américaine.

    #International #Donald_Trump #Jared_Kushner #Michael_Flynn #Poutine #Robert_Mueller