Neurologie et hormones
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Grâce aux méthodes d’observation non-intrusives (IRM, EEG, etc.), on peut observer le fonctionnement de telle ou telle zone du cerveau. On a pu ainsi mesurer que les femmes consacraient une part importante de leur cerveau au mimétisme, ce qui les rend particulièrement douées pour interpréter les expressions du visage des personnes qui se trouvent face à elles (en se « calant » sur leur expression faciale, leur respiration,…) et développer une capacité à l’empathie mais aussi à la divination : la fameuse « intuition féminine » est donc un fait objectif et explicable. De son côté, lorsqu’un homme a oublié une dispute ou un moment important de sa vie de couple, ce n’est pas spécialement de sa faute, sa mémoire se construit moins dans les zones affectives du cerveau.
On apprend bien d’autres choses étonnantes. Par exemple le fait qu’une femme soit la plupart du temps réceptive à l’odeur de son compagnon, mais qu’elle se trouve indifférente à cette odeur au moment de son pic de fécondité… et bien plus attirée par l’odeur d’hommes plus virils (virilité qui s’évalue d’un point de vue hormonal).